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1 DOSSIER PEDAGOGIQUE

2 CONTACTS Médiateurs Tél : /09 bretho@agglo-annecy.fr pmverjus@agglo-annecy.fr fchampagnat@agglo-annecy.fr La Turbine sciences Place Chorus Cran-Gevrier 2

3 TABLE DES MATIÈRES Préface...4 Concepteur...4 Contenu...4 Descriptif détaillé des manipulations MODULE «LES GRANDES PHOTOS» MODULE «HYBRIDE» VITRINE «PIEDS ET MAINS» MODULE «UTILISATION D UNE IMAGE INVERSEE» MODULE «MEMOIRE DES CHIFFRES» MODULE «COOPERATION» MODULE «COMMUNICATION» MODULE «BRACHIATION» MODULE «AVEC LES PIEDS!» MODULE «UTILISATION D OUTILS» MODULE «EVOLUTION» MODULE «FILM SUR LA CONSCIENCE» MODULE «FILM VISION D ARTISTE» MODULE «ZOOTROPES» MODULE «ENFANT SAUVAGE» MODULE «FILM SUR LE PROPRE DE L HOMME»...20 QUESTIONS SUR BÂCHE...21 L ESPACE LECTURE...21 LIENS AU PROGRAMME...22 BIBLIOGRAPHIE

4 Préface Ce guide pédagogique, créé par le CCSTI, musée des sciences de Laval, a été conçu pour vous apporter des informations sur l exposition «l Homme est-il un grand singe» et pour approfondir les connaissances sur ce sujet. Articulé autour du descriptif détaillé des manipulations, vous retrouvez également des informations complémentaires sur les grands singes et l Homme («pour en savoir plus») et des encadrés sur d autres animaux intitulés «et chez les autres?». L objectif de cette exposition est de questionner la définition de l Homme par comparaison avec les grands singes. Ce questionnement sera fait à travers les différentes manipulations et films décrits ci-après. Concepteur Une exposition itinérante créée par le Forum départemental des Sciences, à partir de l exposition «Le propre du singe» du Muséum de Neuchâtel (Suisse). Scénographie et graphisme Pied à coulisse Fabrication Milieux et territoires Les images de Cyril Ruoso et Dominique Fontenat sont tirées du livre d Emmanuelle, Grundmann : L homme est un singe comme les autres paru aux Éditions Hachette Pratique. Contenu expo Depuis quelques décennies, l éthologie (science des comportements des espèces animales dans leur milieu naturel) a permis de mettre en évidence que certains critères considérés jusqu ici comme l apanage de l homme doivent être réévalués. L observation des grands singes (chimpanzé, orang-outan, bonobo, gorille) a ainsi montré que la bipédie, l utilisation d outils, le rire, l empathie, la transmission d une culture, la coopération, la politique, les soins étaient présents dans le règne animal. La frontière entre l homme et l animal apparaît, au regard de l histoire, une nouvelle fois perturbée! A travers une série de modules, de vidéos et de textes vous pourrez expérimenter et découvrir que la comparaison avec l animal occulte souvent une autre question fondamentale, celle de la définition de l homme. Les grands thèmes de l exposition : - quelles sont les différences anatomiques entre les pieds et les mains de l Homme et des grands singes? - l utilisation d outils, - la mémoire flash, - la communication, - la coopération, - l évolution. 4

5 Descriptif détaillé des manipulations 1 MODULE «LES GRANDES PHOTOS» Huit couples de grandes photos en noir et blanc, composés d une photo de singe et d une photo d humain dans des situations similaires sont exposés. La similarité entre les situations, les regards voire les émotions, troublent le visiteur dès son entrée dans l exposition. Ces grandes photos résonnent avec le titre de l exposition. En insistant sur le mimétisme physique, le visiteur est invité au questionnement concernant la frontière entre humanité et animalité. 2 MODULE «HYBRIDE» À l'intérieur du module, le visiteur aperçoit un orang-outan "réaliste". En plaçant ses yeux dans ceux du singe, son visage va se confondre avec celui de l'animal. Le visiteur s'observe ainsi en «hybride», mélange d'homme et de singe, qui symbolise comme pour les photos le questionnement sur la frontière homme-animal. 5

6 3 VITRINE «PIEDS ET MAINS» L homme et le chimpanzé possèdent plus de 98% de gènes en commun mais ils présentent de grandes différences anatomiques liées à leurs modes de vie. On le constate en observant pieds et mains. Chez l homme, la main n est spécialisée ni dans la locomotion, ni dans la suspension. Le pied est hautement spécialisé pour la marche verticale (bipédie). Chez le chimpanzé, le gorille et l orang-outan, la main montre un haut degré de spécialisation pour la vie arboricole. Le pied est d abord adapté pour se déplacer dans les arbres. La marche bipède est occasionnelle. Durant la marche, toute la plante du pied est en contact avec le sol, donnant une empreinte complète. Ils marchent en varus, c est-à-dire en prenant appui sur l extérieur du pied. Chimpanzé LA MAIN Homme Les doigts sont très longs et recourbés pour faciliter la suspension Le pouce est très court et n est pas véritablement opposable aux autres doigts (sauf avec l index pour le bonobo) Les os des phalanges sont recourbés La main présente cinq doigts allongés, deux phalanges au pouce et un axe de symétrie rayonnant avec le majeur au centre Le pouce s oppose aux autres doigts Les os des phalanges sont droits 6

7 Chimpanzé LE PIED Homme calcanéum calcanéum tubercules vue dorsale vue plantaire Le gros orteil est fortement réduit, mais il peut s opposer aux autres orteils et s écarter d un angle égalant 90 (sauf chez l orang-outan où il est très réduit et parfois absent) Il n y a pas de voûte plantaire Le calcanéum (os du talon) est horizontal et repose sur le sol par toute sa surface. Comme il ne possède qu un tubercule (une petite bosse) sur la partie arrière dirigé vers l intérieur, le pied a tendance à basculer vers l extérieur Le gros orteil est large et parallèle aux autres doigts de pied. Il n est pas opposable et ne s écarte des autres que de 5 à 15 maximum Il est le seul être vivant à posséder une voûte plantaire Il est le seul mammifère dont le calcanéum est relevé dans sa partie antérieure. De plus, cet os a deux tubercules au lieu d un. De ce fait, lorsqu il s appuie sur le sol, le talon possède une bonne assise grâce à ces deux bosses Durant la marche, la plante du pied est en contact avec le sol à la fois par le talon et par l avant du pied et les orteils Comparatif de mains. De gauche à droite : main de chimpanzé, de gorille, de babouin et d homme. (dinosauria.com) 7

8 4 MODULE «UTILISATION D UNE IMAGE INVERSEE» Les grands singes, mais aussi les capucins, et quelques autres primates, savent utiliser un miroir pour découvrir un objet caché. Simple à première vue, l exercice ne va pas de soi car l image que le miroir renvoie est inversée. Le cerveau a parfois de la peine à tenir compte de cette illusion. Dans ce module, le visiteur se retrouve confronté à la difficulté de penser «à l envers» par rapport à ses habitudes. L objectif est de prendre conscience de la difficulté de cet acte de pensée. En comparant avec la vidéo, nous découvrons la facilité avec laquelle le singe est capable d utiliser un miroir pour se repérer et attraper de la nourriture, alors qu il n en a jamais utilisé auparavant! Cette faculté d adaptation questionne sur les capacités du cerveau de l animal par rapport au cerveau humain. Dans la plupart des cas, l Homme aura des difficultés à suivre le labyrinthe! Et chez les autres? Les éléphants peuvent également utiliser des miroirs pour repérer des aliments placés hors de leur champ visuel. Les animaux les plus malins de la planète 1- Quand un éléphant d Asie se trouve face à un miroir suffisamment grand, il commence par inspecter son corps. 2- Une pomme est placée sur une étagère de l autre côté du mur et hors de vue de l éléphant. L éléphant ne peut pas voir directement le fruit, mais il peut en avoir l image dans le miroir. 3- L éléphant se sert du miroir pour passer la trompe par-dessus le mur et attraper le fruit. 5 MODULE «MEMOIRE DES CHIFFRES» En 2007, l équipe du professeur Matsuzawa de l université de Kyoto présentait des résultats ahurissants : la mémoire «flash» du chimpanzé est beaucoup plus performante que celle de l homme. Le visiteur va se trouver en difficulté pour replacer les 7 numéros qui lui seront soumis en moins d une seconde. En découvrant que le singe arrive à retrouver 9 numéros avec une grande facilité, l humain se retrouve questionné sur les capacités de sa mémoire «flash» comparativement à celle de l animal, plus performante. 8

9 Pour en savoir plus Le champion de la mémoire immédiate se nomme Ayumu. Il est le fils de Ai (amour en japonais), célèbre chimpanzé qui a appris à utiliser un langage artificiel pour nommer, décrire et quantifier des objets. Ayumu parvient à mémoriser 10 chiffres en moins d une seconde. L exercice consiste à appuyer dans l ordre (de 1 à 10) sur les numéros qui se sont allumés puis éteints. Ayumu réussit encore dans 80 % des cas quand les chiffres lui sont montrés durant 7 dixièmes de seconde. Les chercheurs ont fait exécuter le même exercice à des étudiants. Les résultats obtenus par Homo sapiens sont pitoyables : 40 % de réussite seulement. D après les scientifiques, cette mémoire visuelle, photographique, est connue chez les jeunes enfants. Mais elle se dissipe avec l âge, à peu près quand se développe la maîtrise du langage. D ailleurs, les chimpanzés eux-mêmes perdent peut-être cette capacité avec l âge. La mère du champion Ayumu n a pas obtenu de meilleurs résultats que les étudiants. Nous voilà rassurés : sur un point au moins, nos capacités mentales atteignent celles d une vieille guenon (extrait du Futura science du 5 décembre 2007). 6 MODULE «COOPERATION» Bonobos et chimpanzés savent coopérer quand cela s avère nécessaire, mais se montrent aussi parfois très égoïstes. La vidéo mise à disposition par le professeur Frans de Waal nous montre une scène étonnante: un chimpanzé essaie de motiver son congénère pour l aider à tirer sur une corde afin d obtenir de la nourriture disposée sur un plateau à l extérieur de la cage. Le second singe se plie-t-il à l exercice de bonne ou mauvaise grâce? La vidéo ne le dit pas! Cela ne vous rappelle-t-il rien? L homme est sans cesse confronté à cette alternative : aider son prochain sans être pénalisé. Par deux, les visiteurs se retrouvent confrontés au même objectif : déplacer le cube sans le faire tomber, en collaborant avec son coéquipier. Le visiteur va se rendre compte des processus mis en jeu dans un acte de coopération : enjeu partagé, discussion, dextérité En comparant cet acte avec celui réalisé par les singes dans la vidéo, le visiteur découvre que, bien que complexe, cette relation existe aussi de façon consciente chez l animal, induisant un questionnement sur les formes de comportements sociaux qui seraient spécifiques à l homme. 9

10 Pour en savoir plus La coopération signifie que deux individus ou plus œuvrent ensemble au même objectif, d où un résultat supérieur à celui qu ils auraient obtenu s ils avaient travaillé séparément. Les chimpanzés de la forêt Tai coopèrent intentionnellement lorsqu ils chassent. Ils émettent un appel caractéristique pour indiquer l ouverture de la chasse, à la suite de quoi les chimpanzés se répartissent les rôles : les premiers entraînent la proie vers l avant, les deuxièmes essaient de la saisir, les troisièmes l empêchent de s échapper et les derniers attendent, dissimulés derrière d épais feuillages, pour bondir sur la victime. Les chimpanzés partagent aussi la viande avec ceux qui ont participé à la chasse, et dans ce cas, le rang de hiérarchie de dominance n est pas important. Si un mâle placé en haut de la hiérarchie arrive après la chasse, il a moins de chance d obtenir un morceau de viande que ses congénères chasseurs de rang inférieur. D autres chercheurs réfutent ces affirmations et estiment que la chasse des chimpanzés n est pas plus coopérative que celle des lions (explication dans «et chez les autres?»). A partir des observations en milieu naturel il est difficile d établir jusqu où va la coopération ntentionnelle des chimpanzés. Un certain nombre d expériences ont été réalisées sur la coopération des primates non humains. Dans la première étude, un gros bloc de béton fut installé en dehors de la cage de deux jeunes chimpanzés. Des bananes furent posées sur le bloc, puis des cordes furent fixées à celui-ci et passées à travers les barreaux de l enclos. Pour un seul chimpanzé, le bloc était trop lourd, il fallait unir leur force pour déplacer le bloc de béton. Le film réalisé sur cette expérience montre très certainement que le comportement des chimpanzés était intentionnel. L un des chimpanzés se montre peu intéressé par la tâche et commence à s éloigner. Son compagnon s approche de lui, place son bras autour de ses épaules et le convainc de retourner vers les cordes. Les deux chimpanzés réussissent à avancer le bloc de béton jusqu à l atteindre et le chimpanzé qui s ennuyait se retire à nouveau, apparemment heureux que son compagnon ait la banane pour lui tout seul. Les animaux les plus malins de la planète Une seconde version plus récente de l expérience de la corde a été réalisé avec des singes capucins. Les deux singes doivent coordonner leurs mouvements pour faire venir la plate-forme et atteindre leur nourriture. Si l on place une cloison opaque entre les deux singes, leur coordination devient insuffisante pour réussir à atteindre leur nourriture. En conséquence, les singes capucins affichent un comportement coordonné qui constitue un aspect important de la coopération. Et chez les autres? lorrain-lions-afrique.skyrock.com La chasse chez les lionnes. La chasse en groupe, à laquelle se livrent les lionnes, constitue sans doute l un des plus fameux exemples de coopération animale. Une étude a montré que lorsque les lionnes chassent en groupe, elles rapportent un nombre de proies bien supérieur que lorsqu elles chassent individuellement. Cependant, même si elles chassent en groupe, cela ne signifie pas que leur tactique soit plus élaborée : un observateur a noté que leur répartition sur le terrain, pour cerner leur proie, semblait être plus opportuniste qu organisée. 10

11 7 MODULE «COMMUNICATION» En imitant quelques faciès du singe, le visiteur prend conscience des principes de communication qui existent chez l animal. Ces principes, faisant écho au langage articulé humain, questionnent sur le principe même de comparaison homme/animal. En effet, le propre de l homme peut-il être décrété à l échelle d un système précis (langage articulé) ou doit-on retenir le principe général de communication? Pour en savoir plus Anxieux, les singes communiquent sans cesse entre eux. Le visage des chimpanzés est dépourvu de poils. Ils peuvent ainsi donner à leur face de nombreuses expressions et communiquer aux autres leurs humeurs : la colère, la joie, la peur... Toutes ces mimiques faciales sont très importantes dans le groupe de chimpanzés, du plus fort au plus faible. En, colère, le chimpanzé serre fortement ses lèvres et dresse ses poils. Effrayé ou excité, le chimpanzé a la bouche ouverte. On peut voir toutes ses dents. Lorsque le chimpanzé veut quelque chose, il fait la moue en avançant ses lèvres. Pour montrer qu il veut jouer, le chimpanzé sourit. Ce même sourire peut aussi montrer que le chimpanzé est nerveux. Les singes ne peuvent pas parler avec un langage articulé pour plusieurs raisons. Chez le singe, la partie du pharynx située juste avant la bouche est beaucoup moins volumineuse, il y a donc moins de variation du volume possible et donc le singe prononce moins de voyelles que l homme. De plus, chez l homme, la langue peut bouger, alors chez le singe elle occupe quasiment tout l espace et ne peut, par conséquent, pas exécuter les mouvements nécessaires pour prononcer les consonnes. 11

12 Organisation de la gorge et de la bouche chez le singe à droite et chez l homme à gauche Pharynx Enfin, la position debout de l homme permet de prononcer plusieurs voyelles en une seule expiration. Les singes étant le plus souvent en position penchée, ils ne peuvent prononcer qu une voyelle par expiration. Par ailleurs, le mécanisme de la parole est commandé par une zone du cerveau, l aire de Broca, très bien définie chez l homme, beaucoup moins chez le singe. Quand nous parlons, que ce soit avec la bouche ou avec des gestes, nous imaginons le mot et il se «dessine» dans notre cerveau, dans une autre zone bien définie chez l homme et beaucoup moins chez le singe. Parmi les études les plus innovantes réalisées dans la seconde moitié du XXe siècle, figurent celles menées sur l acquisition du langage par les animaux. A l aide de supports tels que la langue des signes américaine, des symboles abstraits ou des formes en plastique représentant des mots, certains animaux se sont avérés être d excellents élèves en la matière. Le jeune chimpanzé femelle, Washoe, fut le premier chimpanzé auquel fut enseignée la langue des signes. Après plusieurs années, Washoe apprit 130 signes. Le chimpanzé pouvait utiliser des gestes qui correspondaient à des objets, des actions et des personnes. Il est également reconnu que les chimpanzés sont capables d apprendre des symboles et de les utiliser pour désigner et demander des objets ou des activités. Ils savent aussi distinguer des relations conceptuelles telles que «plus grand» et «plus petit», «en dessous» et «au dessus», «dans» et «sur», «identique» et «différent». Whashoe futura-sciences.com Et chez les autres? Les abeilles excellent à communiquer entre elles par l intermédiaire de danses et savent parfaitement en interpréter les messages. La danse exécutée par l abeille éclaireuse, à son retour à la ruche, transmet aux autres abeilles des informations sur le type de source alimentaire qu elle a découvert et sur son emplacement. Après plus de 6000 observations dans le milieu naturel du comportement des abeilles, Karl Von Frisch a dénoué le mystère de la danse des abeilles. Il a découvert que les informations étaient transmises au moyen de deux types de danse : la danse circulaire et la danse frétillante. Pour davantage d informations sur ces techniques de communication, vous pouvez vous référer au dossier pédagogique réalisé par l équipe de médiation scientifique de la Turbine Sciences et accompagnant la présentation de l exposition «Secrets d abeilles, une histoire d ailes et de miels». 12

13 8 MODULE «BRACHIATION» Vous êtes-vous déjà suspendu par les bras plus de 3 minutes? Les singes gibbons et orang-outans en tête sont passés maîtres dans ce domaine. Grâce à leurs longs membres antérieurs, ils se déplacent dans les arbres avec une agilité étonnante et restent accrochés aux branches plusieurs heures durant. Et vous, arriverez-vous facilement à traverser, à la seule force des bras, l échelle horizontale? Le visiteur va constater quelques difficultés à utiliser ses bras dans un mode de déplacement inhabituel. Cet exercice questionne sur les capacités musculaires de l homme et de l animal. Plus généralement, ce module, couplé à celui intitulé «Avec les pieds!», interpelle sur les spécificités que permet la quadrupédie comparativement à la bipédie de l homme. La quadrupédie est-elle plus ou moins évoluée que la bipédie? 9 MODULE «AVEC LES PIEDS!» Manipuler des éléments avec ses pieds n est pas dans les habitudes humaines. En constatant la relative difficulté d empiler les cubes, la quadrupédie questionne de nouveau la bipédie humaine, comme pour les bras (voir module «brachiation»). Ce module renvoie aussi vers la vitrine «pieds et mains» dans laquelle on peut évoquer l aspect «manuel» des pieds du singe (pouce opposé). Pour en savoir plus La bipédie n est pas l apanage des Homo sapiens. D autres espèces comme les chimpanzés ou les bonobos utilisent ce mode de locomotion. La seule différence réside dans le fait que seul l humain l utilise de manière quasi systématique et sur de grandes distances. La quadrupédie chez l Homme est utilisé par les bébés. Homme Chimpanzé Bonobo adulte Suspension 1 % 50 % 45 % Quadrupédie 0 % 40 % 35 % Bipédie 99 % 10 % 20 % Les grands singes ont une aptitude à la bipédie. Ils se suspendent dans les arbres par les bras, le corps à la verticale, et ils montent aux arbres verticalement. Ils peuvent donc avoir cette position verticale sur le sol et marcher debout dans certaines circonstances. Depuis 10 millions d années, l aptitude à se suspendre a été sélectionnée. La bipédie moderne qu on retrouve à partir du genre Homo date de 2 millions d années avec Homo ergaster. Il n y a pas eu une seule bipédie, il est donc préférable de parler des bipédies, caractère non exclusif à l Homme. 13

14 10 MODULE «UTILISATION D OUTILS» Dans la nature, la nourriture se cache parfois dans des endroits difficiles d accès. Il faut alors développer des trésors d imagination pour obtenir ce que l on souhaite : termites juteuses, fourmis dodues ou noix enfermées dans leur coque. Pour cela, gorilles, chimpanzés ou bonobos utilisent des outils simples mais efficaces. Et si, au supermarché, vous deviez faire pareil pour obtenir vos aliments? L utilisation d outils est fréquente chez les singes. Ce critère ayant été historiquement évoqué pour définir le propre de l homme, le visiteur découvre que ce n est pas le cas. D autres observations d utilisation d outils par les singes peuvent se faire grâce au module «utilisation d une image inversée» et «Film sur le propre de l homme». Pour en savoir plus Grâce à l'utilisation d outils, les animaux améliorent les capacités physiques essentielles dans la lutte pour la survie, comme par exemple leur force, leur dextérité ou leur équilibre. Les chimpanzés sauvages utilisent une gamme d'outils extrêmement variée et de nouvelles découvertes en la matière ont lieu chaque année. Plus de 70 types d'outils ont été identifiés à ce jour. Au début des années 1960, Jane Goodal observa que les chimpanzés transformaient branches et brindilles en outils qu'ils enfonçaient dans les termitières. Les termites s'accrochent alors sur ce bâton, il ne reste qu'à le retirer et se délecter de ce repas. Chimpanzé cherchant des termites Mike Richey - GNU Free Documentation License, Version 1.2 Les chimpanzés sont aussi capables de fabriquer des lances et les utilisent pour attraper les galagos nichés profondément dans le creux des arbres. A plusieurs endroits d Afrique, les chimpanzés ont été vus en train d utiliser des pierres comme marteau et enclume pour casser les noix de palme. Cependant, certains chimpanzés d Afrique ignorent totalement l utilisation des pierres, même lorsque les palmiers à huile existent dans leur environnement. Chimpanzé cassant une noix avec une pierre (lesdefricheurs.fr) La comparaison de tous les sites d habitat de chimpanzés en Afrique centrale et en Afrique occidentale et de leurs boîtes à outils respectives, montre que les chimpanzés possèdent une culture primitive, étant donné qu ils manipulent un éventail de différents outils sur chaque site, mais que tous les outils ne sont pas utilisés sur tous les sites. Ce phénomène suggère que les chimpanzés acquièrent un savoir-faire avec les types d outils utilisés au sein de leur propre communauté, via l apprentissage par observation auprès de leurs mères. 14

15 Et chez les autres? Le dauphin et l éponge de mer. Après plusieurs observations de dauphin avec une éponge sur le museau, les scientifiques se sont posés la question de l utilité de cette-ci. Il s avèrent que les dauphins, plus particulièrement les femelles, utilisent une éponge comme moyen de protection. Avant de se mettre en quête de nourriture, le dauphin explore un lit d éponge, pour en trouver une et la mettre sur son rostre. Une fois protégé, il peut alors racler le corail à la recherche de petits poissons sans risquer des blessures. Un seul individu aurait un jour initialement appris nanimoland.blogspot.com à utiliser les éponges pour protéger son museau, quelque part dans l océan, entre 1830 et Cette compétence aurait ensuite été transmise dans sa lignée maternelle, sans être partagée avec d autres adultes ni même avec des jeunes non apparentés. Ce fait explique le faible pourcentage de dauphins maîtrisant cette étonnante capacité. La méthode de transmission, apprentissage ou imitation de la mère, n est en revanche toujours pas connue. 11 MODULE «EVOLUTION» La classification permet au visiteur de replacer les différentes espèces les unes par rapport aux autres, de mesurer en quelque sorte «l écart» entre les espèces selon la théorie de l évolution. Il découvre aussi qu il a existé plusieurs espèces d hommes dont Homo sapiens, celle à laquelle il appartient. Ce schéma permet aussi de découvrir que «l homme ne descend pas du singe», mais qu ils ont un ancêtre commun. L étude des faciès par le visiteur lui permet souvent d avoir un point de vue «intuitif» sur ce qu il considère être humain ou animal. Le module permet donc de questionner les arguments, et de savoir si les critères physiques ont leur place dans la définition du propre de l Homme. Pour en savoir plus Pour comprendre la place de l Homme sur notre planète, détaillons la classification des espèces. La disparition des dinosaures lors de la crise crétacé-tertiaire, il y a 66 millions d années, a permis l expansion des mammifères. De nouvelles niches écologiques se sont libérées, favorisant le développement de nouvelles espèces dont les primates (cf. classification des primates). L ordre des primates se définie par les 5 doigts de la main et du pied, le pouce opposable, des ongles plats et non des griffes, ainsi que les 2 yeux en façade permettant une vision stéréoscopique. La locomotion des primates est dominée par les membres postérieurs, le centre de gravité étant plus proches des membres postérieurs que des membres antérieurs. Les molaires sont assez peu spécialisées et il y a deux incisives au maximum, une canine, trois prémolaires et trois molaires par demi mâchoire. En comparaison avec des mammifères de taille similaire, les femelles primates ont des portées peu nombreuses, la gestation et la période juvénile sont plus longues. Les primates font partie de la classe des mammifères, caractérisée par l allaitement des petits et la présence de poils sur le corps 15

16 Dans l évolution des primates, il y a tout d abord eu les primates avec un museau, on les retrouve aujourd hui sur l île de Madagascar (lémuriens). Il y a -40 millions d années, des espèces ne présentant plus un museau mais un nez apparaissent. Le nez présente des narines fortement séparées et s ouvrant latéralement. Ce sont les singes du nouveau monde, les platyrrhiniens (ouistiti, singe hurleur, singe araignée). Lémurien Comparaison des narines. A droite les narines d un singe de l ancien monde, à gauche celle d un singe du nouveau monde. Singe araignée A 25 millions d années, des espèces présentant une cloison entre les deux narines réduite et des narines s ouvrant horizontalement apparaissent. Ce sont les singes de l ancien monde, les catharrhiniens (macaque, mandrill,...). Aux alentours de 20 millions d années une autre branche apparaît, celle des hominoïdes, des singes sans queue (gibbon, orang-outan, gorille, chimpanzé, l Homme). Mandrill Chimpanzé Les «grands singes» regroupent les orangs-outans, les gorilles, les chimpanzés et l Homme. Seuls les orangs-outans vivent sur le continent asiatique, gorilles et chimpanzés étant présents sur le continent africain. Les fossiles des premiers hominines (lignée humaine) ont également été retrouvé sur ce continent. Chaque groupe de primates est représenté aujourd hui par des espèces actuelles. Mais bon nombre d espèces ont disparu au cours de l évolution. Proconsul est un genre éteint de l ordre des primates dont différentes espèces vivaient en Afrique. Les Proconsuls avaient déjà des caractéristiques propres aux hominoïdes car ils ne possédaient pas de queue. Proconsul planet-terre.ens-lyon.fr 16

17 Dans la lignée humaine, les hominines (espèce humaine actuelle et espèces fossiles), une seule espèce est représentée aujourd hui, espèce à laquelle nous appartenons tous : Homo sapiens. Dans le passé, plusieurs espèces humaines ont coexisté (par exemple, Homo néandertalensis avec Homo sapiens). De plus, un autre genre d hominines a existé : les australopithèques avec l exemple de Lucy. Classification des Homininés. (podcastscience.fm ) Le genre homo est apparu depuis 3 millions d années. Il se définit par une capacité crânienne plus importante, une boite crânienne plus arrondie, une réduction de l appareil masticateur et de la face, des petites canines et une bipédie quasi exclusive. Les différentes espèces d Homo ; de gauche à droite : Homo habilis, Homo erectus, Homo Néanderthalis, Homo sapiens L amélioration de la bipédie et le développement de l encéphale permet de classer l homme avec le gorille, le chimpanzé et le bonobo (hominidés). Certaines données moléculaires confirment ce rapprochement. Parmi les hominidés, c est avec le chimpanzé que l homme est le plus proche, c est à dire qu il partage l ancêtre commun le plus récent. L évolution est constamment remise en cause par les découvertes de nouveaux fossiles. 17

18 12 MODULE «FILM SUR LA CONSCIENCE» Le film présente la comparaison des réactions de l homme et du singe face à un miroir. Il permet de découvrir que certains singes ont conscience de leur image, et de mesurer leur degré de réactivité par rapport à celle-ci. Pour en savoir plus Longtemps on a cru que l une des différences les plus frappantes et les plus considérables entre les êtres humains et les autres espèces animales était le concept de soi, autrement dit la conscience qu a l être humain de sa propre existence et de son propre comportement. Des chimpanzés ont été observés sans miroir. Pendant cette phase, les observateurs se sont intéressés aux comportements auto-dirigés. C est à dire combien de fois chaque animal touchait-il les parties de son corps qu il ne pouvait pas voir? Ensuite, un grand miroir a été placé à l extérieur de la cage, mais suffisamment près pour que les chimpanzés y voient les images qui s y reflétaient. Tous les chimpanzés réagirent de la même façon : ils se comportèrent comme si on leur présentait soudainement un chimpanzé inconnu. Puis, les chimpanzés commencèrent à expérimenter d autres formes de comportement, comme s ils souhaitaient tester ce dont l autre chimpanzé était capable. Une fois qu un chimpanzé avait plus ou moins compris la fonction du miroir, les observateurs constatèrent qu il dinosoria.com ouvrait la bouche et tirait la langue pour examiner l intérieur de sa cavité buccale. Les chimpanzés commencèrent aussi à inspecter d autres parties de leur corps qu ils ne pouvaient voir que grâce à un miroir, comme leur dos ou l intérieur des jambes. La capacité des jeunes enfants à se reconnaître dans un miroir possède des points communs avec celle des chimpanzés. Dans les deux cas, cette reconnaissance ne surgit pas ex nihilo, mais se construit progressivement. Entre 15 et 18 mois, les enfants semblent comprendre que l image qu ils voient dans le miroir est un reflet de leur propre visage et de leur propre corps. Comme si le fait que les chimpanzés semblaient se reconnaître dans le miroir ne constituait pas une preuve suffisante, Gallup inventa le test de la marque colorée afin de confirmer ses théories. Ce test permet d évaluer la conscience de soi en permettant de déterminer si un animal est capable de reconnaître son propre reflet dans un miroir comme étant une image de lui-même. L un après l autre, chaque chimpanzé accédait à un miroir placé à l extérieur de la cage de test. Les expérimentateurs, placés hors de vue, regardèrent comment les chimpanzés réagissaient lorsqu ils voyaient les marques sur leurs oreilles et sous leur sourcils. Les chimpanzés commencèrent aussitôt à toucher les marques rouges et à renifler leurs doigts. Ils utilisaient les informations renvoyées par le miroir pour toucher les emplacements exacts des étranges marques rouges. 18

19 Et chez les autres? Les dauphins Les dauphins sont souvent comparés aux autres mammifères intelligents pourvus d une flexibilité comportementale et évoluant au sein de structures sociales complexes et dynamiques, tout comme les grands singes. Les premières tentatives pour démontrer que les dauphins se reconnaissaient dans un miroir furent peu concluantes ; cependant, les indices étaient prometteurs. Au départ, le dauphin résidait dans un bassin rectangulaire équipé d un miroir. Une fois qu il avait été marqué (soit une vrai marque à l encre blog-les-dauphins.com noire, soit touché comme si une marque était apposée sur son corps), il semblait inspecter son corps dans le miroir, nageant d avant en arrière en face du miroir, tout en tournant la tête et le corps. Le dauphin fut transféré dans un plus grand bassin, puis marqué de façon réelle ou factice. Aussitôt, le dauphin nageait rapidement en direction du miroir, placé à l intérieur du plus petit bassin, comme s il était impatient de vérifier la présence éventuelle d une marque. 13 MODULE «FILM VISION D ARTISTE» Le film présente différents arguments questionnant le propre à l homme (le génie, le rire, etc ) qui sont illustrés par un morphing d un visage d homme qui devient un visage de singe. NB : les arguments cités sont donc artistiques, non scientifiques! Le morphing ou morphose est un des effets spéciaux applicables à un dessin. Il consiste à fabriquer une animation qui transforme de la façon la plus naturelle et la plus fluide possible un dessin initial vers un dessin final. Il est la plupart du temps utilisé pour transformer un visage en un autre. 14 MODULE «zootropes» Deux zootropes permettent au visiteur de visionner deux «morphings» différents. Ces modules sont en lien avec le film «Vision d artiste». L effet d optique créé par le zootrope permet au visiteur de créer le morphing tel qu il peut le voir à l écran dans le film «vision d artiste». La décomposition des images permet de voir les phases intermédiaires et les «hybrides», qui interrogent poétiquement la frontière entre homme et singe. Ces images sont aussi à mettre en rapport avec le module «Hybride». 19

20 15 MODULE «ENFANT SAUVAGE» Si tu avais grandi seul parmi de loups... des ours... des singes... Où habiterais-tu? Comment te déplacerais-tu? Comment t exprimerais-tu? Que mangerais-tu? Serais-tu un humain? En répondant aux questions, le visiteur prend conscience que sa vie aurait été autre, celle de ce qu on appelle un «enfant sauvage». Son habitation, son mode de déplacement, sa communication, son alimentation ainsi interrogés questionnent sur ce qui ferait de lui un humain s il avait été élevé par des animaux. La problème sous-jacent est celui de l inné et de l acquis : est-on homme par nature, ou par culture? Un texte accompagne ce module : il est extrait de «Mémoire et rapport sur l enfant sauvage Victor de l Aveyron», écrit par Jean Itard (médecin, ) entre 1801 et A la lecture de ce texte, le visiteur constate la comparaison récurrente à l animalité faite par le médecin. Les enfants sauvages questionnent la frontière entre humanité et animalité, entre l inné et l acquis, entre nature et culture. Par cet exemple, le visiteur prend conscience de la complexité à définir précisément l Homme. 16 MODULE «FILM SUR LE PROPRE DE L HOMME» En regardant les images de singes et en constatant tous les critères déjà évoqués historiquement, le visiteur prend conscience de l extrême complexité à définir le propre de l Homme. Ce film, tiré de la série «Des animaux trop humains», est composé de différentes scènes présentant les critères historiques évoqués comme étant «le propre de l homme», illustrés à chaque fois par des images de singes se conduisant selon ce critère : rire, faire de la politique, transmettre une culture, utiliser des outils, jouer, avoir de l empathie, etc Des textes dispersées dans l exposition sont en lien avec cette vidéo. Ils ont la même intention, celle de faire découvrir comment certains critères considérés historiquement comme l apanage de l homme ont été réfutés, notamment par l éthologie (jouer, partager une culture, faire de la politique, rire, utiliser des outils, être sensible à la peine d autrui, se soigner). 20

21 QUESTIONS SUR BACHE Tout le long du parcours de visite, des questions sont posées au visiteur : Être un humain, est-ce une question de culture? Y a-t-il eu un premier humain? Si l être humain évolue, peut-on en arrêter une définition? Quel est le propre de l homme? Les questions perçues à différents endroits de l exposition permettent au visiteur d avoir conscience en permanence des enjeux qu il y a derrière la question titre «L Homme est-il un grand singe?» Au-delà de la comparaison entre l Homme et l animal, il y a aussi des questions sur les frontières entre les différentes espèces d hommes et sur la capacité à pouvoir le définir. Peut-on arrêter une définition ou faut-il le voir comme un continuum permanent? L ESPACE LECTURE Inviter au questionnement, éveiller la curiosité et l imagination, satisfaire les besoins d information, c est ce que proposent ces ouvrages : des albums pour le plaisir, des documentaires pour montrer, pour comprendre Ils permettent aussi de rebondir sur les modules présentés dans l exposition, voire d explorer des pistes moins développées. 21

22 LIENS AUX PROGRAMMES Niveau de classe Contenu Lien avec l exposition cours moyen 1ère année Présentation de la biodiversité : - rechercher des différences et des ressemblances entre espèces vivantes (présence de vertèbres, nombre de membres, présence de poils, présence de plumes...). - proposer des tris en fonction des différentes caractéristiques mises en évidence, justifier ses choix cours moyen 2ème année Présentation de la classification du vivant à partir de petites collections (3 ou 4 espèces), par exemple, animaux, champignons, végétaux : - approcher la notion de caractère commun avec le support de schémas simples (ensembles emboîtés) - interpréter les ressemblances et les différences en terme de parenté 6ème SVT Diversité, parentés et unité des êtres vivants. La diversité des espèces est à la base de la biodiversité. Une espèce est un ensemble d individus qui évoluent conjointement sur le plan héréditaire. Les organismes vivants sont classés en groupes emboîtés définis uniquement à partir des attributs qu ils possèdent en commun. comparaison des squelettes brachiation comparaison des squelettes évolution comparaison des squelettes évolution 3ème SVT Ces attributs définis par les scientifiques permettent de situer des organismes vivants dans la classification actuelle. Évolution des organismes vivants et histoire de la Terre : une espèce nouvelle présente des caractères ancestraux et aussi des caractères nouveaux par rapport à une espèce antérieure dont elle serait issue. L Homme, en tant qu espèce, est apparu sur la Terre en s inscrivant dans le processus de l évolution. comparaison des squelettes évolution 22

23 Niveau de classe Contenu Lien avec l exposition Philosphie : TS enseignement général Programmes de TS enseignement obligatoire Le sujet : - La conscience - La perception - L inconscient - Autrui La raison et le réel : - Théorie et expérience - La démonstration - L interprétation - Le vivant - La matière et l esprit D un point de vue génétique, l Homme et le chimpanzé, très proches, se distinguent surtout par la position et la chronologie d expression de certains gènes. Le phénotype humain, comme celui des grands singes proches, s acquiert au cours du développement pré et postnatal, sous l effet de l interaction entre l expression de l information génétique et l environnement (dont la relation aux autres individus). enfant sauvage film sur le propre de l Homme film sur la conscience coopération évolution Les premiers primates fossiles datent de -65 à -50 millions d années. Ils sont variés et ne sont identiques ni à l Homme actuel, ni aux autres singes actuels. La diversité des grands primates connue par les fossiles, qui a été grande, est aujourd hui réduite. comparaison des squelettes atelier brachiation utilisation d outil Homme et chimpanzé partagent un ancêtre commun récent. Aucun fossile ne peut être à coup sûr considéré comme un ancêtre de l homme ou du chimpanzé. Le genre Homo regroupe l Homme actuel et quelques fossiles qui se caractérisent notamment par une face réduite, un dimorphisme sexuel peu marqué sur le squelette, un style de bipédie avec trou occipital avancé et aptitude à la course à pied, une mandibule parabolique, etc. Production d outils complexes et variété des pratiques culturelles sont associées au genre Homo, mais de façon non exclusive. La construction précise de l arbre phylogénétique du genre Homo est controversée dans le détail. 23

24 BIBLIOGRAPHIE Cette bibliographie vous permet de découvrir les fonds documentaires de la Turbine sciences et de la médiathèque en lien avec l exposition «L Homme est-il un grand singe?» présentée par La Turbine sciences. Les documents de La Turbine sciences sont en consultation sur place au Point Info Ressources, ceux de la médiathèque peuvent être consultés ou empruntés. LIVRES LIVRES JEUNESSE L homme et l animal / Brigitte Labbé, P.-F. Dupont-Beurier ; illustrations de Jacques Azam.- Toulouse : Milan jeunesse, p.- (Les goûters philo ; 29). Résumé : Ce livre examine l ambiguïté des relations entre l homme et l animal, faites de proximité (l homme est aussi un animal) et de distance (mais un animal intelligent). Il analyse ce qui les distingue l un de l autre et ce qui les rend semblables. La Turbine sciences et médiathèque section jeunesse 590 LAB Les singes / photographies Cyril Ruoso ; textes Emmanuelle Grundmann.- Paris : La Martinière jeunesse, p. Résumé : Des textes documentaires et 50 photographies pour tout savoir sur le singe : son anatomie, son mode de vie, ses relations avec les autres animaux et avec les humains. Une répartition en chapitres thématiques permet aux jeunes lecteurs de suivre l animal dans sa vie quotidienne et de découvrir des informations insolites : sa manière de boire, de s épouiller, etc. La Turbine sciences RUO Humanimal : notre zoo intérieur / textes de Jean-Baptiste de Panafieu ; illustrations de Benoît Perroud et Lucie Rioland.- Saint-Herblain : Gulf Stream éd., p. - (Dame nature) Résumé : Ce documentaire remonte dans le passé pour faire découvrir les origines communes des hommes et des animaux. Il montre les points communs qui existent entre les hommes et d autres espèces animales. La Turbine sciences et médiathèque section jeunesse PAN La petite fille aux singes : l enfance incroyable de Jane Goodall.- Paris : De La Martinière Jeunesse, Résumé : Inspiré de la vie de la primatologue et anthropologue Jane Goodall, ce récit raconte comment ses rêves d enfance se sont réalisés. Aspirant dès son plus jeune âge à vivre en Afrique auprès des animaux sauvages, elle a consacré sa carrière à l étude des chimpanzés. La Turbine sciences MCD 24

25 L enfant sauvage : d après l histoire vraie de l enfant sauvage de l Aveyron / Mordecai Gerstein - Paris : Archimède-l Ecole des loisirs, p. Résumé : L histoire vraie de Victor (portée au cinéma par François Truffaut), l enfant sauvage de l Aveyron découvert en 1800 dans la forêt par des chasseurs. Il ne savait pas parler. On l envoya à Paris pour être examiné par des savants. Le jeune docteur Itard décida de s occuper de lui et de l éduquer. La Turbine sciences 813 GER Comment l homme a compris que le singe est son cousin / Juliette Nouel- Rénier ; conseiller scientifique, Pascal Picq,... ; illustrations Anne Simon.- Paris: Gallimard jeunesse, p. (La connaissance est une aventure ; 2). Résumé : Ce livre recense les innombrables questions que nos ancêtres se sont posées sur les origines de l homme. La Turbine sciences et médiathèque section jeunesse NOU LIVRES ADULTE L homme est un singe comme les autres / Emmanuelle Grundmann ; photos primates, Cyril Ruoso, photos humains, Dominique Fontenat. - Paris : Hachette pratique, p. Résumé : Si l homme n était finalement qu un grand singe presque comme les autres? Un livre inédit et bouleversant, avec près de 200 photos, qui se veut un plaidoyer et un cri d alarme sur la disparition programmée des grands singes et sur l urgence de les sauver. La Turbine science GRU Les frontières de l humain / Henri Atlan, Frans De Waal. - Paris : Le Pommier, p.(le Collège de la cité) Résumé : L intelligence et la culture ne suffisent pas à caractériser l humain. Espèce parmi les espèces, nous partageons avec tous les êtres vivants une histoire commune, des mécanismes communs que les chercheurs expérimentent de plus en plus finement. La tradition philosophique est contredite depuis un siècle par la biologie... La Turbine sciences 128 ATL Homme et animal, la question des frontières / Valérie Camos, Franck Cézilly, Pierre Guenancia..., - Versailles : Ed. Quae, p.- (Update sciences & technologies). Résumé : Deux grands types de critiques convergent aujourd hui pour remettre en question la thèse de la singularité radicale de l homme. Au plan scientifique d abord, de nombreux primatologues tendent à mettre en évidence que, du point de vue de l identité psychologique comme de celui des performances cognitives, la différence entre les grands singes et l homme ne serait pas de nature mais seulement de degrés... La Turbine sciences

26 L homme, l animal et la machine / Georges Chapouthier, Frédéric Kaplan.- Paris: CNRS éd., (Biblis : sciences ; 42). Résumé : Les animaux ont-ils une conscience? Les machines peuvent-elles se montrer intelligentes? Chaque nouvelle découverte des biologistes, chaque progrès technologique nous invite à reconsidérer le propre de l homme... La Turbine sciences 156 CHA Les animaux sont-ils intelligents? / Dominique Lestel. - Paris : Éd. le Pommier, p. (Les petites pommes du savoir ; 79). Résumé : Les animaux sont-ils intelligents? Si la réponse paraît évidente, pourquoi attendit-on le XXe siècle pour reconnaître que les animaux étaient loin d être bêtes? Qu est-ce que l intelligence animale? Comment l étudier? Certaines espèces sont-elles plus intelligentes que d autres? Certains animaux plus que d autres? Jusqu où comparer intelligence animale et intelligence humaine. La Turbine sciences LES Le singe est-il le frère de l homme? / Pascal Picq.- Paris : Ed. le Pommier, p. (Les petites pommes du savoir ; 19). Résumé : L homme est un singe, plus exactement une espèce de singe. Et parmi les 140 espèces de singes, certaines sont plus proches de l espèce humaine que des autres espèces. Pour P. Picq, il est temps de revoir des clichés qui reposent sur des mythes, des croyances, des angoisses, de réconciler l homme avec sa nature de singe, à condition de savoir qui sont les singes et donc les hommes. La Turbine sciences et médiathèque section jeunesse PIC Gorilles : portraits intimes / Florence Perroux, photographies Sébastien Meys. - Paris : Éd. le Pommier, p. Résumé : «Croiser le regard d un grand singe est une expérience singulière qui laisse rarement indifférent. Pour peu qu on s y attarde, une drôle de sensation vous envahit : ce regard induirait-il plus que ce qu il veut bien laisser paraître? Quelles pensées insondables peuvent donc cacher ces faciès étonnamment humains?» Côtoyant et photographiant les anthropoïdes depuis plusieurs années, Sébastien Meys et Florence Perroux ont eu envie de nous faire découvrir ou redécouvrir le gorille. La Turbine sciences

27 Le bestiaire cérébral : des animaux pour comprendre le cerveau humain / François Clarac et Jean-Pierre Ternaux.- Paris : CNRS éd., p. Résumé : Comment comprendre le cerveau humain? En explorant celui des animaux! Voilà ce que nous apprennent les neurosciences depuis leur apparition au XIXe siècle. Une recherche fascinante retracée ici de manière à la fois rigoureuse et ludique, de Darwin aux développements les plus récents de la biologie. Un ouvrage de vulgarisation heureuse qui nous invite aussi à repenser la place de l animal dans nos sociétés... La Turbine sciences CLA La symphonie animale : comment les bêtes utilisent le son / Antonio Fischetti; dessins d Honoré.- Paris : Vuibert ; Issy-les-Moulineaux : ARTE éd., p. Résumé : Pour découvrir les moyens de communication sonore des animaux (truite, singe hurleur, cerf, gibbon, grenouille, etc.), leurs organes producteurs de sons, leur usage du son pour tisser des liens sociaux, se reproduire, apprendre, imiter leurs congénères, etc... La Turbine sciences et médiathèque section adulte 591,59 FIS REVUES La Recherche, n 477, juillet-août 2013 : Les singes vervets ont un comportement conformiste, p.26 Pour la science, n 395, septembre 2010 : Ethologie : la parole aux singes, pp Science et vie junior, mai 2010 : Intelligence animale : paroles de singe! pp La Recherche, n 438, février 2010 : La nouvelle histoire de l homme, pp Science et vie junior, novembre 2009 : Qu est ce qui fait de nous des humains? pp Pour la science, n 382, août 2009 : Qu est-ce qui nous rend humains? pp Les Génies de la science, n 18, février-mai 2004 : Darwin, l arbre de vie, 94 p. 27

28 EXPOSITIONS* A l aube de l humanité / producteur Double Hélice panneaux ; 60 x 90 cm. Résumé : Au cours de l évolution humaine, différentes espèces d hominidés ont cohabité sur la Terre. Il n en reste aujourd hui qu une seule : l Homo sapiens qui a colonisé toute la planète. Les grands singes vont-ils disparaître? / producteur Cité des sciences et de l industrie, panneaux ; 40 x 60 cm, Résumé : Quelles menaces pèsent sur les grands singes? Sont-ils réellement en danger? Quelle est la part de responsabilité de l homme? Que faut-il faire pour mieux protéger ces espèces? Cette exposition permet de faire le point sur les populations de grands singes aujourd hui et apporte des éléments de réponses scientifiques à des questions qui alimentent un débat souvent passionnel. *expositions empruntables auprès de la responsable du Centre de ressources de La Turbine sciences Magali Ronget-Hétreau (mronget-hetreau@agglo-annecy.fr) SITES INTERNET Le site Hominidés.com présente un dossier sur les grands singes Ce que l homme et le gorille ont en commun L homme ne descend pas du singe, il a des ancêtres communs avec lui, c est différent Documentaire France 5 : Pas si bêtes, les singes Le site de l Institut Jane Goodall France propose un dossier sur les grands singes Articles du site Futura sciences Anatomie comparée de l homme et du singe Un homme sur 13 a des pieds faits pour grimper aux arbres Peut-on donner des droits humains aux chimpanzés? Cerveau d homme et cerveau de singe : de si petites différences Bonobos et humains régulent leurs émotions de la même façon 28

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