Jean LEBLOND ENREGISTREMENT RÉALISÉ LE 05/04/2012 PAR MADAME MYRIAM FELLOUS-SIGRIST.
|
|
- Jean-Christophe Barbeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AV1 AT L041/E01 Jean LEBLOND M. Jean Leblond est né en 1926 à Paris. ENREGISTREMENT RÉALISÉ LE 05/04/2012 PAR MADAME MYRIAM FELLOUS-SIGRIST. STATUT DU TÉMOIN FONCTION À LA SNCF Cheminot pendant la Deuxième Guerre mondiale De calqueur à chef d études principal DATE D ENTRÉE ET DE DEPART DE LA SNCF AXE DE L ÉTUDE SUJET PRINCIPAL THEMES ABORDES OUTIL DE CONSULTATION MATÉRIEL D ENREGISTREMENT DURÉE DE L ENREGISTREMENT DURÉE APRÈS TRAITEMENT DU SON Vie et travail au quotidien pendant la Deuxième Guerre mondiale : mémoire et récits de cheminots Vie quotidienne d un cheminot dans un bureau d études pendant la guerre Présentation et début de la guerre Vie quotidienne et professionnelle pendant l Occupation Libération et après guerre La SNCF pendant la Deuxième Guerre mondiale Motivations pour répondre à l Appel à témoins CD audio TASCAM DR-40 1 heures 19 minutes 50 secondes 1 heures 7 minutes 31 secondes Communication Le témoin autorise, à partir du 5 avril 2012, la copie, la consultation, l exploitation pour des travaux à caractère historique ou scientifique, la diffusion sonore et la publication de la transcription et de l enregistrement avec mention de son nom, par contrat passé avec l AHICF à laquelle toute demande d utilisation à d autres fins de l enregistrement et de la présente analyse doit être adressée. 1
2 Documents fournis par le témoin et consultables auprès du SARDO -Dessins réalisés par un ami, Jean Iseppi, pendant l Occupation. -Un faux, imprimé dans les bureaux en La convocation à un entretien d embauche à la SNCF de Jean Leblond. Compte rendu analytique I Présentation et début de la guerre (Plage 02) Jean Leblond est entré à la SNCF le 3 avril 1944 [à l âge de 18 ans] et il a terminé sa carrière en septembre Pendant la guerre, il habitait avec ses parents au Raincy [Le Raincy, Seine-Saint-Denis]. Jean Leblond a commencé des études qu il n a pu achever du fait de la guerre. Par «la suite [il a] travaillé beaucoup. [C est] un autodidacte» et il est «arrivé assez haut quand même» et «en [est] fier». Il a obtenu son brevet élémentaire et a suivi des cours complémentaires, «presque un an de section industrielle après le brevet», avant d entrer à la SNCF. Avant guerre son père était prothésiste dentaire et sa mère «artisane brodeuse». «[Son] grand-père maternel était cheminot» tout comme son arrière-grand-père. Son grand-père était à la «Compagnie de l Est» «au service des finances rue d Alsace». Jean Leblond a «toujours aimé le chemin de fer». «Tout ce qui touche au chemin de fer [le] passionne ou [le] contrarie des fois.» (4mn:18s) (Plage 03) Au moment de la déclaration de guerre Jean Leblond était en vacances avec sa famille, ils étaient «en camping au Crotoy [Le Crotoy, Somme]». Peu avant la déclaration, son père qui était de «la classe 13» décida de rentrer pensant être mobilisé. De cette déclaration Jean Leblond se souvient «de toutes les stupidités et les mensonges qu on [leur] a racontés». Paul Reynaud [à partir du 21 mars 1940, il devient président du Conseil et ministre des affaire étrangères d un gouvernement d union nationale] ayant «dit que la route du fer était définitivement coupée». «Nous vaincrons parce que nous sommes les plus forts». «On a tellement été plus forts qu en 1940 les Allemands ont dévalé en France et en quinze jours ça a été fini.» «On avait parait-il la meilleure armée du monde, on était lamentablement équipés et surtout lamentablement commandés.» «On en était restés à la guerre de 14, on n était pas en 39.» «Nos généraux, notre Etat-Major n avaient pas pensé que depuis 14 il y avait les chars d assaut, il y avait les avions, il y avait les parachutistes.» «On nous avais bourré le crâne avec la ligne Maginot», «ils sont passés à côté les Allemands». «C était jamais que la transposition des tranchées de 1914 mais en béton.» La famille de Jean Leblond a été surprise «surtout par la défaite». Son père «étant un ancien de 1914 a été surpris» mais il «vivait encore avec ses souvenirs de 1914». «Quand le maréchal Pétain est arrivé au pouvoir, ah c était bien, c était un ancien de 14. Ça n a pas duré longtemps parce que dès que Pétain [ ] a serré la main d Hitler à Montoire [Montoire-sur-Loir, Loiret-Cher] ça a été terminé.» [entrevue du 24 octobre 1940 entre Hitler et Pétain] (2mn:57s) (Plage 04) La famille Leblond a participé à tout l Exode «à bicyclette» et très souvent il «fallait se jeter dans les fossés parce que les avions [les] mitraillaient». Ils ont quitté Paris avec la volonté de passer la Loire mais les infrastructures ayant été détruites ils restèrent finalement en Touraine et «ont été très bien accueillis par les gens». À son retour d Exode, Jean Leblond qui avait quatorze ans est entré au [cours] «complémentaire». Avant la guerre, il avait appris l anglais pendant un an. A son retour, l enseignement de l anglais avait été supprimé et remplacé par celui de l allemand. En signe de protestation, sur les 25 élèves ils furent «20 à rendre leur composition d allemand blanche». Ils se sont «fait gentiment rappeler à l ordre par le directeur qui [les] comprenait très bien». (4mn:29s) 2
3 II Vie quotidienne et professionnelle sous l Occupation (Plage 05) Jean Leblond se rappelle que «c était très dur» de se ravitailler. Quand il est entré à la SNCF, «tous les mois, du bureau d études il sortait des tonnes de faux tickets de pain», «[ils] ne sortaient que des 750 grammes». «C était très dur», un peu moins lorsque sa mère s est remise à travailler. Il y avait aussi du «marché noir». (2mn:59s) (Plage 06) Jean Leblond est «entré comme calqueur auxiliaire» à la SNCF après avoir passé un examen. Au moment de l embauche, «il a fallu qu [il] mette sur [son] contrat d embauche qu[ il] n était pas juif». Les jeunes ont «été très bien soutenus par [leurs] anciens» qui leur ont notamment indiqué qu en cas de rafle «au deuxième sous-sol du 160 rue du Faubourg Saint-Martin [Paris, X e ], il y avait un souterrain qui aboutissait dans la gare de l Est». (2mn:18s) (Plage 07) «Au troisième étage du 160 rue du Faubourg Saint-Martin [Paris], il y avait les Allemands de la Deutsche Reichsbahn», «ils avaient des revolvers». «Ils surveillaient le trafic» et «de temps en temps, il y avait des croquis à faire pour eux». Jean Leblond se rappelle qu on lui disait : «Tiens p tit gars, c est pour les gens du troisième». Un travail qui aurait pris une matinée en temps normal, ils «y passaient la semaine». Ils avaient de nombreuses excuses : la mauvaise qualité du papier calque, la mauvaise encre de chine, les mauvais grattoirs. «Très souvent, c était des trains avec des compositions» qui leur était demandés. (2mn:22s) (Plage 08) Jean Leblond est entré à la SNCF «comme calqueur auxiliaire à 17 ans et demi». Il avait fait «pratiquement un an de section industrielle après le brevet». «Les anciens [les] aidaient» «[leur] expliquaient», ils ont «été formés [ ] par [les] anciens». Au départ, il étudiait les voitures et les wagons et notamment «les voitures de démarrage» «qui sont sorties en 1946». Ils étaient «une soixantaine» dans «le bureau d étude voitures» et «une trentaine» dans le «bureau d étude wagons». La DEV [La division des études des voitures de la SNCF] avait été à l origine «quand la SNCF a été créée». «Il y avait des gens qui étaient issus du bureau des chemins de fer de l Est», «de l OCEM (Office Central d Études de Matériel de Chemin de Fer [service commun aux anciennes compagnies créées en 1919])». Dans le bureau d étude, «ça commençait à calqueur» et «ça finissait à chef d équipe principal». (4mn:41s) (Plage 09) Jean Leblond devait parfois aller travailler en bicyclette à cause des bombardements. Il se souvient des bombardements du triage de Vaires [Vaires-sur-Marne, Seine-et-Marne] ou de celui de Noisy [Noisy-le-Sec, Seine-Saint-Denis] le 18 avril [1944]. À partir de 1943, il devint secouriste à la Croix-Rouge tout comme son père qui «était un ancien infirmier de la guerre de 14». Ils étaient «appelés de temps en temps» mais «pas souvent». «C était surtout pour intervenir dans la commune.» (5mn:04s) (Plage 10) Des collègues de Jean Leblond ont été réquisitionnés pour partir en Allemagne, notamment pour «[conduire] des locomotives». Il se souvient avoir été contrôlé dans le métro «par des agents de police français» «qui [les] fouillaient». Entre collègues, ils parlaient assez librement de la situation générale. Il devait travailler 48 h par semaine selon son contrat d engagement. (5mn:19s) 3
4 III Libération et après guerre (Plage 11) À la Libération, Jean Leblond s est «engagé». Sa mère qui était brodeuse a été contactée pour «broder des insignes pour un groupe de résistance qui était en train de se constituer». «C était le groupe Charles Hildevert.» Quand ils sont venus chercher les insignes, Jean Leblond a souhaité partir avec eux mais sa mère est intervenue pour l en empêcher. Il est donc «entré aux FFI». Il n a pas fait «de la résistance armée». Il «distribuait des tracts». Le jour de la Libération le groupe Hildevert a été «encerclé» alors qu il partait «empêcher des Allemands de partir». «Ils sont tombés sur une section de SS» mieux armée et ont presque «tous été massacrés au lance-flamme et à la mitrailleuse». Jean Leblond était à Provins [Seine-et-Marne] où il «gardait les camps de prisonniers». «Il y avait deux camps de prisonniers [ ] les prisonniers de la Wehrmacht [ ] ils m ont fait pitié [ ] et il y avait les SS [ ], on leur faisait pas de cadeaux». Il souhaitait être muté dans une unité combattante mais n y parvint pas. (4mn:43s) (Plage 12) Jean Leblond se rappelle qu en février ou mars [1945] «un papier ministériel» arriva demandant aux cheminots de «rejoindre leur administration parce que fallait reconstruire le chemin de fer». Il a donc réintégré son poste à la SNCF fin mars Il «faisait les plans pour les voitures de démarrage». «[Il] faisait les bulletins rectificatifs» «au fur et à mesure de la construction». (7mn:28s) (Plage 13) Jean Leblond participa aux grèves d août 1944 quand les chemins de fer se sont mis en grève «on a tout fermé» jusqu à la Libération. Il y avait eu «un mot d ordre» «de Résistance- Fer». Il prit «une carte en 46-47» au syndicat. En dehors de son travail, il avait des activités notamment de «cyclo camping». (4mn:01s) (Plage 14) Jean Leblond est resté jusqu en 1973 rue du Faubourg Saint-Martin, puis il fut «recentralisé au 15 rue Traversière» où il termina sa carrière. À partir de 1958 il a «travaillé sur l attelage automatique», «c était une idée qui avait été lancée par M. Louis Armand». Mais le projet fut finalement abandonné. Pour ce projet, Jean Leblond a «participé à de nombreuses réunions internationales y compris de l autre côté du rideau de fer». En 1975, il fut muté et devint «l adjoint au chef de section MI 3 (le département d investissement, rue Traversière)» [le département des investissements de la direction du Matériels, 15 rue Traversière, Paris XII e ]. Il «tenait le secrétariat technique». «Tous les quinze jours, il y avait une réunion au niveau de tous les ingénieurs, chefs de service.» «Une fois par an il y avait une réunion entre la direction du matériel et des transports.» [direction du Transport] Jean Leblond a «terminé chef d étude principal». Au cours de sa carrière, il a formé des jeunes cheminots, notamment lorsqu il travaillait sur l attelage automatique. Il parlait parfois de la période de la guerre avec eux. (7mn:56s) IV La SNCF pendant la Deuxième Guerre mondiale (Plage 15) Pour Jean Leblond, la guerre et l Occupation ont «peut-être soudé un peu» la SNCF qui avait été créée juste avant la guerre. «Il y avait encore l esprit réseaux». Les jeunes arrivés après la création de la SNCF comme lui ont «eu l esprit SNCF». Selon Jean Leblond, pendant la guerre «la SNCF a dû subir». «Ceux qui critiquent, ils savent pas ce que c est que d avoir une mitraillette sur le ventre.» Il a entendu parler de «soldats allemands qui sont passés dans la chaudière», «le mécanicien et le chauffeur ils se sauvaient, ils restaient pas». «Mais il fallait vraiment avoir du courage.» «Ceux qui critiquent la SNCF ne devraient pas oublier qu un des grands patrons de la SNCF [ ] qu était M. Louis Armand c était un des responsables de Résistance-Fer.» (3mn:44s) 4
5 V Motivations pour répondre à l Appel à témoins (Plage 16) Jean Leblond a répondu à l Appel à témoins car il «pense qu il faut toujours se référer aux Archives [ ], aux anciens». Cette histoire et cette mémoire «s en ira avec [eux]». Il parle parfois de cette période avec ses petits-enfants qui lui «demandent des détails». Il a «écrit [ses] mémoires» «qu «[il] a distribué à [ses] enfants et petits-enfants». Il a décidé d écrire car «[son] grand-père paternel a fait la conquête du Tonkin» et il a beaucoup voyagé pour son travail, mais il n a jamais transmis ce qu il avait vécu. (5mn:10s) 5
Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) Dates : 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche
Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche Septembre 1939 : début de la deuxième guerre mondiale Anschluss : annexion
Plus en détailLa seconde guerre mondiale
CM2 Découverte du monde Histoire Compétences : La violence du XXe siècle : les deux conflits mondiaux La seconde guerre mondiale - À partir de l étude de cartes et de documents statistiques, comprendre
Plus en détailChap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement
Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chanson : Nuit et brouillard de Jean Ferrat http://www.youtube.com/watch?v=94yoxycqo6s
Plus en détail1 ère partie - Avant la libération, le contexte historique
A l'est - En janvier 1944, débute l'offensive soviétique qui entraîne la retraite de la Wehrmarcht de ses alliés. En juillet 1944, l'armée rouge, désormais supérieure en effectifs et en armements, pénètre
Plus en détailLa Libération du Nord-Pas de Calais
La Libération du Nord-Pas de Calais I Une Libération éclair : 1 er au 5 septembre 1944 A La libération de la région et de la Belgique en 5 jours, du 1 er au 5 septembre : une ruée fulgurante des Alliés,
Plus en détailDe l Etat français à la IVème République (1940-1946)
De l Etat français à la IVème République (1940-1946) Introduction : Présentation de la défaite : -En juin 1940, la chute de la IIIème République (1875-1940) accompagne la déroute militaire. -Le 10 juillet
Plus en détailOLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL
OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL «Oliver l enfant qui entendait mal» est dédié à mon frère, Patrick, qui est malentendant, à la famille, aux amis, et aux professionnels, qui s impliquèrent pour l aider.
Plus en détailDocument 7. 13. Pourquoi ce discours de 1995 marque-t-il un moment important?
Pages 77-78. Passage en italique. «Je crois devoir attirer votre attention sur le fait qu en exécution des ordres reçus du commandeur des SS, les arrestations ont été opérées uniquement par la police française
Plus en détailI) La politique nazie d extermination
I) La politique nazie d extermination La Seconde guerre mondiale a été marquée par l extermination de 10 millions de personnes par les nazis. Les Juifs en particulier ont été les victimes d un génocide
Plus en détail1er sept. 1939 Les troupes allemandes... C'est le début de la Seconde Guerre mondiale.
Le contexte historique : la France pendant la Seconde Guerre mondiale Complétez la chronologie suivante. Vous pouvez vous référer au site http://www.e-chronologie.org/monde/ww2.php 1er sept. 1939 Les troupes
Plus en détailA Eperlecques, le Blockhaus de 100 000 m3 était destiné à devenir une base de lancement de fusées V2.
Les élèves de troisième ont découvert les principaux faits de la Seconde Guerre Mondiale (1939-1945) qui se sont déroulés dans notre région, le Nord-Pas-de-Calais. Cette visite sert d introduction à l
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailété 1914 dans la guerre 15/02-21/09/2014 exposition au Musée Lorrain livret jeune public 8/12 ans
été 1914 Nancy et la Lorraine dans la guerre exposition 15/02-21/09/2014 au Musée Lorrain livret jeune public 8/12 ans 1 3 2 4 5 6 7 9 8 1870-1914 : une guerre attendue? Août 1914 : partis pour un été
Plus en détailLE QUOTIDIEN DANS L ABRI
LE QUOTIDIEN DANS L ABRI 7AUDIOGUIDE Avant l état de siège, plusieurs centaines de personnes descendent dans l abri le temps d une alerte aérienne. Pas de banc, l éclairage y est installé tardivement :
Plus en détailEXAMEN MODULE. «U4 Le client au cœur de la stratégie des entreprises» Jeudi 5 septembre 2013. 09h30 11h30. Durée 2 heures
Licence Professionnelle d Assurances 2012-2013 EXAMEN MODULE «U4 Le client au cœur de la stratégie des entreprises» Jeudi 5 septembre 2013 09h30 11h30 Durée 2 heures (document non autorisé) calculatrice
Plus en détail«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie?
«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie? Paroles : «En avant les p tits gars». Fragson. 1913.
Plus en détailKerberos mis en scène
Sébastien Gambs Autour de l authentification : cours 5 1 Kerberos mis en scène Sébastien Gambs (d après un cours de Frédéric Tronel) sgambs@irisa.fr 12 janvier 2015 Sébastien Gambs Autour de l authentification
Plus en détailArchivistes en herbe!
Les archives c est quoi? Un archiviste travaille avec des archives. Oui, mais les archives c est quoi? As-tu déjà entendu ce mot? D après toi, qu est-ce qu une archive? 1. Les archives ce sont des documents
Plus en détailLe menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire
Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,
Plus en détailLe passé composé. J ai trouvé 100 F dans la rue. Il est parti à 5 h 00.
Le passé composé J ai trouvé 100 F dans la rue. Il est parti à 5 h 00. Le passé composé présente des actions passées, ponctuelles, et d une durée délimitée dans le passé. Formation : avoir ou être (au
Plus en détailGuide des expositions temporaires. Service Educatif Édition 2015
Guide des expositions temporaires Service Educatif Édition 2015 Résistance et Monde rural en Zone interdite 1940-1944 Le Musée de la Résistance de Bondues Le musée a pour vocation de transmettre ce que
Plus en détailDr Marcel Tenenbaum rescapé de la Shoah
D ix questions à Dr Marcel Tenenbaum rescapé de la Shoah La Caserne Dossin en bref... La Caserne Dossin est située à Malines en Belgique. C est à cet endroit que l on regroupa les Juifs de ce pays avant
Plus en détailNewsletter FH-DCE 2006-02-02 http://www.fhdce.com. Federation Harley-Davidson Clubs Europe
Federation Harley-Davidson Clubs Europe Newsletter FH-DCE 2006-02-02 http://www.fhdce.com Le bulletin sortira une fois par mois et vous donnera autant de nouvelles et d informations que possible de la
Plus en détailA u t e u r : P e r s o n n a g e s :
Damien L. 3éme1 Auteur : Anne Frank Livre de poche. Edition Définitive. Personnages : - Anne Frank - Mr Otto Frank ou Pim : son père - Mme Frank ou Edith Hollander : sa mère - Margot : sa soeur - Mr Van
Plus en détailRévision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009.
Révision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009. SOMMAIRE Un plaignant estime que le Téléjournal du 30 novembre a commis
Plus en détailChapitre 5 Notions de base de la communication
Chapitre 5 Notions de base de la communication 1) Information et communication Activité 1 : 1) Indiquez si les situations suivantes relèvent selon vous de l information (I) ou de la communication (C) :
Plus en détailAuxiliaire avoir au présent + participe passé
LE PASSÉ COMPOSÉ 1 1. FORMATION DU PASSÉ COMPOSÉ Formation : Auxiliaire avoir au présent + participe passé PARLER MANGER REGARDER J ai parlé Tu as parlé Il/elle/on a parlé Nous avons parlé Vous avez parlé
Plus en détailIndications pédagogiques E2 / 42
à la Communication Objectif général Indications pédagogiques E2 / 42 E : APPRECIER UN MESSAGE Degré de difficulté 2 Objectif intermédiaire 4 : PORTER UN JUGEMENT SUR UN MESSAGE SIMPLE Objectif opérationnel
Plus en détailCORRECTION BREVET BLANC 2
CORRECTION BREVET BLANC 2 PARTIE 1: Histoire Question 1: Expliquer les repères qui correspondent aux dates suivantes: 622 / 1598. 622: l'hégire, Mahomet et ses compagnons quittent La Mecque pour Médine,
Plus en détailELEMENTS POUR UNE HISTOIRE DES TEXTES CONCERNANT LE PLACEMENT ET L EMBAUCHE DES TRAVAILLEURS.
ELEMENTS POUR UNE HISTOIRE DES TEXTES CONCERNANT LE PLACEMENT ET L EMBAUCHE DES TRAVAILLEURS. (article L.311-1 à L321-12 et L.330-1 à L.330-9 du Code du travail) (extraits des Cahiers du Chatefp n 2-3,
Plus en détailTableau méthodique des mots matières contenus dans l'index alphabétique
Tableau méthodique des mots matières contenus dans l'index alphabétique Administration générale - Administration communale - Administration départementale - Administration préfectorale - Bâtiment administratif
Plus en détailDe la discrimination à l extermination
De la discrimination à l extermination La crise des années trente a réveillé en France l antisémitisme qui sommeillait depuis l affaire Dreyfus. Les groupes d extrême-droite mènent des campagnes dont la
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE LA VILLE DE SAINT-CLOUD S OPPOSE A LA CONSTRUCTION SUR L HIPPODROME DE SAINT-CLOUD
DOSSIER DE PRESSE LA VILLE DE SAINT-CLOUD S OPPOSE A LA CONSTRUCTION SUR L HIPPODROME DE SAINT-CLOUD Conférence de presse Samedi 14 mars 2015 Contact presse : Alexia Dana / 01 47 71 54 96 / 06 18 04 02
Plus en détailLes Républicains Espagnols sous Vichy et l occupation
Les Républicains Espagnols sous Vichy et l occupation Après le drame de l agression contre leur République par une partie de l armée soutenus par les dictateurs européens, après l épreuve de l exode et
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE. La Commission a entendu Mme M.R., sa fille, Mme M.K., ainsi que MM. S.A., capitaine de police, et S.C., brigadier-chef.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE COMMISSION NATIONALE DE DÉONTOLOGIE DE LA SÉCURITÉ Saisine n 2010-109 AVIS ET RECOMMANDATIONS de la Commission nationale de déontologie de la sécurité à la suite de sa saisine, le
Plus en détailDans nos classes. La Résistance et la Déportation dans les manuels. Classe de troisième. Les leçons : Collection. Auteurs (sous la direction de)
Dans nos classes La Résistance et la Déportation dans les manuels Classe de troisième Les leçons : Belin, avril 2003. Eric Chaudron, Remy Knafou. Leçons La 2 guerre mondiale. * Les grandes phases de la
Plus en détailRapport de fin de séjour Mobilité en formation :
Rapport de fin de séjour Mobilité en formation : A. Vie pratique : J ai effectué mon Master 1 de droit public en Erasmus à Copenhague d août 2009 à fin mai 2010. Logement : Accès au logement : J ai pu
Plus en détailV3 - LE PASSE COMPOSE
CM1 V.3 LE PASSE COMPOSE DE L INDICATIF Il s agit de mettre en évidence la conjugaison des verbes en «er», en «ir-iss» des verbes être, avoir, faire, prendre, aller, pouvoir. On mettra en évidence le fait
Plus en détailDirect and Indirect Object Pronouns
Direct and Indirect Object Pronouns A. Complete the following sentences with the appropriate direct object pronoun. 1. Pierre regarde Marie. Pierre regarde. 2. André prend les photos. André prend. 3. La
Plus en détailMEILLEURS AMIS... PEUT-ÊTRE? Producent Gabriella Thinsz Sändningsdatum: 23/11 2004
MEILLEURS AMIS... PEUT-ÊTRE? Producent Gabriella Thinsz Sändningsdatum: 23/11 2004 Salut! Est-ce que tu as un bon copain? Un meilleur ami? Est-ce que tu peux parler avec lui ou avec elle de tout? Est-ce
Plus en détailARCHITECTURE ET DECORATION RAPPORT DE STAGE - CLASSE DE 3E DU 14 AU 18 DECEMBRE 2009 THOMAS MASSONNEAU
DU 14 AU 18 DECEMBRE 2009 THOMAS MASSONNEAU RAPPORT DE STAGE - CLASSE DE 3E ARCHITECTURE ET DECORATION Collège Sainte-Marie des Ursulines 34, avenue de la Colonne 31500 TOULOUSE Tél. 05 34 25 28 61 Fax.
Plus en détailcompl mentaire des dossiers réalisés dans le cadre du Concours national de la Résistance notamment de ceux réalis
Introduction L ensemble ensemble documentaire qui suit est complémentaire compl mentaire des dossiers réalisés r dans le cadre du Concours national de la Résistance R sistance et de la Déportation, D notamment
Plus en détailREGISTRE DE LA MÉMOIRE DU MONDE. LE BREVET BENZ DE 1886 (Allemagne)
REGISTRE DE LA MÉMOIRE DU MONDE LE BREVET BENZ DE 1886 (Allemagne) Réf. : n 2010-61 PARTIE A INFORMATIONS ESSENTIELLES 1 RÉSUMÉ La motorisation individuelle, qui a presque 150 ans d histoire, a donné naissance
Plus en détailTROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS. Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale
TROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale Qu est-ce que ce film nous apprend sur l évolution de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale en France?
Plus en détailLa IIe Guerre mondiale, une guerre d anéantissement et génocides Introduction : «radicalisation de la violence» une guerre d anéantissement
H2.1 : Guerres mondiales et espoirs de paix. La II e Guerre mondiale, une guerre d anéantissement et génocides. Introduction : Si la 1 ère guerre mondiale fut la première guerre totale, la 2 ème GM, par
Plus en détailIII. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides?
III. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides? Dans les régions occupées par l URSS, des divisions SS les Einsatzgruppen) massacrent systématiquement les Juifs à partir de 1941. Ils sont gazés
Plus en détailC était la guerre des tranchées
C était la guerre des tranchées Jacques Tardi Format 23,2 x 30,5 cm 128 pages C et album consacré, comme son titre l indique, à la vie dans les tranchées pendant la Première Guerre mondiale est constitué
Plus en détailLes problèmes. Répond aux questions des problèmes en utilisant le tableau.
Les problèmes Répond aux questions des problèmes en utilisant le tableau. 1. Monsieur Pierre pèse 53 kg. Pendant les vacances, il a grossi de 5 kg. Combien pèse-t-il maintenant? Il grossit Combien? Monsieur
Plus en détail1- Présentation de la structure
1- Présentation de la structure Cadre L école Paul Langevin se situe sur la commune de Pontivy, les locaux des classes de maternelle et d élémentaire se rejoignent par la cantine. L école maternelle compte
Plus en détailExposition Camps d internement du Limousin (1940-1944)
COMMUNIQUE DE PRESSE Exposition Camps d internement du Limousin (1940-1944) Du 11 mars au 20 avril 2013 au musée Edmond-Michelet Destinés à l origine à regrouper les étrangers «indésirables», les camps
Plus en détailscaricato da www.risorsedidattiche.net
Le Français en ligne Verbes je-tu-il/elle-ils-elles Ecrivez les verbes au présent du. Je ne crois pas qu'il... possible de tout faire en même temps. (être) Je doute que tu... la capacité de comprendre
Plus en détailMarseille Provence Métropole à la rescousse des tours d'euromed
Page 1 sur 5 Marseille Provence Métropole à la rescousse des tours d'euromed 09 mars 2014 Par Louise Fessard et Jean-François Poupelin (le Ravi) - Mediapart.fr Golem image Afin de faire entrer Marseille
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. A-qui-S. www.a-qui-s.fr
DOSSIER DE PRESSE Fondée en 2005 dans les Pyrénées Atlantiques, l entreprise A-QUI-S conçoit et réalise des étiquettes afin d identifier les effets personnels : vêtements, chaussures, sacs, stylos et bien
Plus en détailSi vous aviez une voiture, que cela changerait-il dans votre vie?
Comment venez-vous à la faculté? Avez-vous votre permis de conduire? Avez-vous une voiture à disposition? Si vous aviez une voiture, que cela changerait-il dans votre vie? Je viens à Cagliari en train
Plus en détailSavoir organiser son temps
Savoir organiser son temps Formation «Gestion du temps et organisation du travail» - 24 et 25 octobre 2006 - FRCIVAM Bretagne Déterminer ses objectifs Ce qui importe ce n est pas ce que vous faites mais
Plus en détailQuelques exemples de croyants célibataires
Périodique de matière biblique pour les jeunes - Août 2013 - Numéro 16 Quelques exemples de croyants célibataires La situation du chrétien En 1 Corinthiens 7, Paul aborde le sujet du chrétien célibataire.
Plus en détailCompte rendu : Bourse Explora Sup
Compte rendu : Bourse Explora Sup J ai effectué un stage d un mois et demi passionnant au sein de l école de langue anglaise LTC à Brighton. J ai eu par la suite la chance d être embauchée durant un mois
Plus en détailCe guide est dédié à la mémoire de Zaza et à toutes les autres mères du monde
Myriam Robert-César est née en 1941. Après des études supérieures en Suisse et en Italie, elle se maria et se consacra exlusivement à sa famille. A 40 ans, elle débuta sa rapide carrière pour les Encyclopaedia
Plus en détailLa responsabilitié civile... vous connaissez?
Fiche d activité FA La responsabilitié civile... vous connaissez? Lorsqu on parle d assurance habitation, le feu et le vol sont les deux sortes de sinistres qui viennent d abord à l esprit. Mais il y en
Plus en détailQuestionnaire sur les Antécédents Linguistiques. (Version 2.0, 2012)
Questionnaire sur les Antécédents Linguistiques (Version 2.0, 2012) Voyez http://cogsci.psu.edu/ pour l usage et crédit en ligne Veuillez fournir vos coordonnées ci-dessous: Nom: Email: Téléphone: Veuillez
Plus en détailCarrière des Fusillés Musée de la Résistance de Châteaubriant
INFORMATIONS Carrière des Fusillés Musée de la Résistance de Châteaubriant Le musée est situé route de Laval, à 2 km environ du centre de Châteaubriant (44), à la Sablière, carrière des fusillés. Horaires
Plus en détailferraillés l'aide des guerre. légitimité. diesel-
Le matériel ferroviaire historiq que roulant Le but de la sauvegarde du patrimoine ferroviaire roulant consiste à retracer r l'histoire des chemins de fer luxembourgeois ainsi quee la technique ferroviaire
Plus en détailCommuniqué de presse. Les Voies de la Liberté. Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc
Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc Les Voies de la Liberté Du 15 septembre 2015 au 28 mai 2016 Communiqué de presse Mémorial de la Shoah, CDLV82017 Le Mémorial En 2009,
Plus en détailDes ipad dans les écoles angevines : un projet ambitieux
DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Corine Busson-Benhammou Responsable Relations Presse Tél : 02 41 05 40 33 - Mobile : 06 12 52 64 98 Courriel : corine.busson-benhammou@ville.angers.fr Angers est la
Plus en détailExemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs
Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs
Plus en détailJe veux apprendre! Chansons pour les Droits de l enfant. Texte de la comédie musicale. Fabien Bouvier & les petits Serruriers Magiques
Je veux apprendre! Chansons pour les Droits de l enfant Texte de la comédie musicale Fabien Bouvier & les petits Serruriers Magiques Les Serruriers Magiques 2013 2 Sommaire Intentions, adaptations, Droits
Plus en détailDix questions difficiles posées en entrevue et dix excellentes réponses
Cet outil a pour but de présenter dix questions d entrevue typiques et le type de réponse qui constitue une réponse concise et réfléchie. Ces questions sont parmi les plus difficiles posées en entrevue.
Plus en détailRapport de fin de séjour à Bruxelles
Rapport de fin de séjour à Bruxelles Introduction Durant l année de mon master 2 Histoire-Histoire de l art à l Université Pierre Mendes France de Grenoble je devais réaliser un stage de 2 mois minimum.
Plus en détailÉtude de cas 11. Il fut un temps où nous étions amis. Apprentissage Professionnel Continu
Étude de cas 11 Il fut un temps où nous étions amis Apprentissage Professionnel Continu Introduction Le cas dans cette publication fut écrit par un membre inscrit de l Ordre des éducatrices et des éducateurs
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE. Elle a pris connaissance de la procédure judiciaire. Elle a entendu M. D.M., ainsi que M. E.P., officier de police judiciaire.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE COMMISSION NATIONALE DE DÉONTOLOGIE DE LA SÉCURITÉ Saisine n 2008-108 AVIS ET RECOMMANDATIONS de la Commission nationale de déontologie de la sécurité à la suite de sa saisine, le
Plus en détail2.1. Les chemins de fer
2.1. Les chemins de fer 2.1.10. Les transports de fret CFL cargo Evolution du trafic fret Le tableau suivant fait apparaître une augmentation de 19 % du tonnage transporté en trafic international (départ
Plus en détailAmicale des prisonniers politiques et ayants-droit du camp d extermination de Neuengamme
CEGES / Centre d Études et de Documentation Guerre et Sociétés contemporaines AA 2244 Amicale des prisonniers politiques et ayants-droit du camp d extermination de Neuengamme A) Le classement des archives
Plus en détail1. La famille d accueil de Nadja est composée de combien de personnes? 2. Un membre de la famille de Mme Millet n est pas Français. Qui est-ce?
1 LA FAMILLE 1.1 Lecture premier texte Nadja va passer quatre mois de la prochaine année scolaire en France. Aujourd hui, elle a reçu cette lettre de sa famille d accueil. Chère Nadja, Je m appelle Martine
Plus en détailTNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE
15/01/10-08:01 - Page 1/3 Ref. Doc. : 2500-4318690-8 A : Service de presse / VEOLIA ENVIRONNEMENT Mot-Clé : VEOLIA BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA
Plus en détailUn violon dans la nuit
Un violon dans la nuit Présentation de l ouvrage Titre : Un violon dans la nuit Auteur : Didier Daeninckx Illustrateur : Pef Editeur : Rue du monde Genre : Album historique Résumé : Un matin, Alexandra
Plus en détail5 clés pour plus de confiance en soi
ASSOCIATION JEUNESSE ET ENTREPRISES Club SEINE-ET- MARNE 5 clés pour plus de confiance en soi Extrait du guide : «Vie Explosive, Devenez l acteur de votre vie» de Charles Hutin Contact : Monsieur Jackie
Plus en détailMusée temporaire. Le jeu
Musée temporaire Le jeu Bienvenue à la Banque nationale de Belgique! La Banque nationale de Belgique n est pas une banque comme les autres Par exemple, tu ne peux pas y ouvrir de compte bancaire : seules
Plus en détailAbords d école : limitation à 30km/h à certaines heures seulement?
1 Concerne : Abords d école limitation 30Km/h Gilet rétro réfléchissant Camions Nouvelles cartes de stationnement - Motards Abords d école : limitation à 30km/h à certaines heures seulement? Arrêté Royal
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES 5. SANCTIONS ET CHANGEMENTS... 5 6. EXCEPTIONS... 5 7. PERSONNE RESPONSABLE... 5 8. ENTRÉE EN VIGUEUR... 5
Directive relative à l utilisation et au transport des bicyclettes sur les équipements de l AMT MARS 2011 I TABLE DES MATIÈRES 1. PRÉAMBULE... 1 2. CHAMP D APPLICATION ET OBJET DE LA DIRECTIVE... 1 3.
Plus en détailDocuments et pistes d utilisation sur le thème «les mémoires de la Seconde Guerre Mondiale.
Documents et pistes d utilisation sur le thème «les mémoires de la Seconde Guerre Mondiale. Approfondissement en accompagnement personnalisé T L / ES. Il s agit de deux journaux de la Résistance et d un
Plus en détailGUIDE. «La Cadière d Azur accessible à tous»
GUIDE «La Cadière d Azur accessible à tous» Le village de La Cadière d Azur est un village perché. Les ruelles sont étroites, et il y a de nombreuses pentes. Le village possède plusieurs parkings, situés
Plus en détailLe rôle de leadership du chef Tecumseh dans la défense du Haut-Canada
Le rôle de leadership du chef Tecumseh dans la défense du Haut-Canada Aperçu de la leçon Le leadership est une qualité importante en temps de guerre. Qu est-ce qui fait un leader? Le chef Tecumseh a joué
Plus en détailL assurance est là pour protéger votre famille
Assurance L assurance est là pour protéger votre famille Vous avez travaillé fort pour venir vous établir ici et commencer une nouvelle vie. L assurance met vos proches et vos biens à l abri des pertes
Plus en détailDis-moi ce que tu as fait, je te dirai qui tu es 1
Dis-moi ce que tu as fait, je te dirai qui tu es 1 1. la lettre qu il A écrite A. Observez les phrases suivantes et soulignez les participes passés. Que remarquez-vous? Le CV qu il a envoyé. Le document
Plus en détailLE DISCOURS RAPPORTÉ
LE DISCOURS RAPPORTÉ Le discours rapporté Le discours rapporté direct et indirect On parle de discours rapporté quand une personne rapporte les paroles d une autre personne ou bien ses propres paroles.
Plus en détailÀ propos d exercice. fiche pédagogique 1/5. Le français dans le monde n 395. FDLM N 395 Fiche d autoformation FdlM
fiche pédagogique FDLM N 395 Fiche d autoformation FdlM Par Paola Bertocchini et Edvige Costanzo Public : Futurs enseignants en formation initiale et enseignants en formation continue Objectifs Prendre
Plus en détailCentre d archives historiques de la SNCF
Centre d archives historiques de la SNCF ARCHIVES DU BUREAU DU CLASSEMENT DU SERVICE CENTRAL DU PERSONNEL (202LM) 1937-1943 (0,2m.l.) RÉPERTOIRE NUMÉRIQUE DETAILLE dressé par Olivier GAUDRE Sous la direction
Plus en détailCONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA
CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA QUELLES SONT LES CONDITIONS POUR POUVOIR CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA? Vous devez être âgé d au moins 16 ans et être détenteur d un permis de conduire valide. Il y a
Plus en détailPER I TURISTI STRANIERI: GUIDARE IN ITALIA. Documents normalement demandés pour conduire une voiture de location en Italie:
Location de voitures Documents normalement demandés pour conduire une voiture de location en Italie: - Permis de conduire en cours de validité, obtenu depuis au moins 1 an, donnant l'autorisation de conduire
Plus en détailJe les ai entendus frapper. C était l aube. Les deux gendarmes se tenaient derrière la porte. J ai ouvert et je leur ai proposé d entrer.
Je les ai entendus frapper. C était l aube. Les deux gendarmes se tenaient derrière la porte. J ai ouvert et je leur ai proposé d entrer. Mais je me suis repris : En fait, je préférais les recevoir dans
Plus en détailMarcel Tessier. Directeur honoraire de la SNCF ENREGISTREMENT REALISE AU DOMICILE DU TEMOIN A PARIS, LE 12/09/2007 PAR MARIE- NOELLE POLINO
Entretien n 3 Marcel Tessier Directeur honoraire de la SNCF M. Marcel Tessier est né le 19/09/1920 à Avignon (Vaucluse). ENREGISTREMENT REALISE AU DOMICILE DU TEMOIN A PARIS, LE 12/09/2007 PAR MARIE- NOELLE
Plus en détailPrésentation du DVD Une petite fille privilégiée Un témoignage de Francine Christophe Une histoire dans l Histoire
Présentation du DVD Une petite fille privilégiée Un témoignage de Francine Christophe Une histoire dans l Histoire Ce témoignage de Francine Christophe, expérience douloureuse d une partie de sa vie, «croise»
Plus en détailMODERNISATION DE LA LIGNE DIJON-DOLE DOSSIER DE PRESSE 14 AVRIL 2014
MODERNISATION DE LA LIGNE DIJON-DOLE DOSSIER DE PRESSE 14 AVRIL 2014 SOMMAIRE UN EFFORT DE MODERNISATION SANS PRECEDENT SUR LE RESEAU NATIONAL... 1-2 PRÉSENTATION TRAVAUX LIGNE DIJON-DOLE-BESANCON.....
Plus en détailEOI ARUCAS DEPARTAMENTO DE FRANCÉS DOSSIER: PASSÉ COMPOSÉ AVEC ÊTRE EXERCICES
DOSSIER: PASSÉ COMPOSÉ AVEC ÊTRE EXERCICES 1 le passé composé avec être Mettez les verbes au passé composé (auxiliaire être). 1. Je (aller)... au cinéma hier soir. 2. Nous (venir)... en taxi aujourd'hui.
Plus en détailUn contrat de respect mutuel au collège
Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en
Plus en détailDE MÉMÉ À JEAN-NOËL GUÉRINI
Marie-Hélène Porri DE MÉMÉ À JEAN-NOËL GUÉRINI Un plagiat? Mon Petit Éditeur Retrouvez notre catalogue sur le site de Mon Petit Éditeur : http://www.monpetitediteur.com Ce texte publié par Mon Petit Éditeur
Plus en détailDOSSIER Technique de l'exposant. 20 e. congrès français de rhumatologie. 2 3 4 5 Décembre 2007
DOSSIER Technique de l'exposant 20 e congrès français de rhumatologie 2 3 4 5 Décembre 2007 P2 P3 / P4 P5 / P6 P7 P8 P9 P10 P11 / P12 P13 INFORMATIONS GÉNÉRALES ADRESSES UTILES STANDS ÉQUIPÉS PAR LA SOCIÉTÉ
Plus en détail