EDF Flamanville. Bilan 2014 et perspectives 2015

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1 EDF Flamanville Bilan 2014 et perspectives 2015 N imprimez ce message que si vous en avez l utilité. EDF CNPE de Flamanville BP LES PIEUX Twitter Flamanville Twitter EPR Flamanville SA au capital de euros R.C.S. Paris CONTACT PRESSE Philippe LEGRAND : Mathieu CHERET : EDF Flamanville 1

2 FICHE D IDENTITÉ DE LA CENTRALE DE FLAMANVILLE Date de mise en service Unité de production n 1 : 1985 Unité de production n 2 : 1986 Production ,4 milliards de kilowatts par heure (kwh) Nombre d unités de production 2 Puissance totale 2 X MW Effectif total 813 Bilan 2014 et perspectives

3 Communiqué de presse bilan 2014 La centrale nucléaire de Flamanville est un acteur économique essentiel de la région Basse-Normandie. En 2014, elle a produit 18,4 milliards de kwh, soit près de 4,5 % de la production nucléaire française. La sûreté constitue l ensemble des dispositions prises par l exploitant d une installation nucléaire pour protéger l homme et l environnement contre la dispersion de produits radioactifs. Avec la prévention des risques, c est la première priorité des équipes d EDF Flamanville. Le professionnalisme des exploitants de la centrale de Flamanville, la recherche systématique de l amélioration continue et le bon état des matériels garantissent un bon niveau de sûreté. L année 2014 a notamment été marquée par une mission d inspection menée par les experts de l Agence Internationale de l Énergie Atomique (AIEA). La sécurité des personnes intervenant sur les installations, qu elles soient salariées d EDF ou d entreprises extérieures, est également une préoccupation de tous les instants. En 2014, le taux de fréquence d accidents (nombre d accidents par million d heures travaillées) s est élevé à 4,4 (5,94 en 2013), soit 10 accidents ayant entraîné un arrêt de travail (15 en 2013). Les actions de sensibilisation à la sécurité ont été nombreuses, notamment en matière de risque routier. La centrale porte une attention particulière aux rayonnements auxquels pourraient être exposés les salariés travaillant en zone nucléaire. Le souci de les limiter au maximum est permanent. Ainsi, en 2014, aucun intervenant n a dépassé 16 msv, la réglementation fixant la limite d exposition pour les travailleurs du nucléaire à 20 msv/an. Et la dosimétrie collective (dose moyenne reçue par travailleurs) s est élevée à 0,864 H.Sv. 4 événements significatifs pour la radioprotection ont été enregistrés mais n ont pas eu de conséquences pour la santé des personnes. En 2014, les rejets émis par l exploitation de la centrale sont toujours restés inférieurs aux limites autorisées et près de 95 % des déchets ont été recyclés ou valorisés. La centrale de Flamanville se prépare aujourd hui encore au renouvellement des compétences de ses équipes. En 2014, 71 nouveaux embauchés ont rejoint les effectifs, dont 2 travailleurs handicapés, ce qui porte le nombre de salariés EDF à heures de formation ont été dispensées en 2014, soit en moyenne 143 heures par salarié. Bilan 2014 et perspectives

4 SOMMAIRE I. Flamanville 1 & 2 1. La centrale de Flamanville au sein du parc nucléaire français 6 2. La sûreté nucléaire, notre priorité absolue 8 Une activité réglementée et contrôlée en permanence 8 Une exploitation transparente 9 Les engagements d EDF suite à l accident de Fukushima 9 Une prise en compte des risques en lien avec les pouvoirs publics L environnement, une préoccupation au quotidien Préparer l avenir du site 13 Une réévaluation du niveau de sûreté des réacteurs 13 Des investissements pour préparer l avenir 13 Une gestion rigoureuse des déchets radioactifs 14 Le choix du recyclage du combustible usé La centrale de Flamanville, un acteur économique local incontournable 15 Des retombées économiques importantes 15 Favoriser l insertion des jeunes et des personnes en situation de handicap Chiffres clés Dates clés 17 II. Flamanville 3 : l exploitant 1. Recrutement et formation pour garantir les compétences Sureté et sécurité L innovation pour préparer l avenir L année 2015, tournée vers Chiffres clés Bilan 2014 et perspectives

5 III. Le chantier EPR de Flamanville 3 1. La sécurité, toujours notre priorité La qualité de construction pour la sûreté de demain , une année de belles réussites Perspectives Travailler ensemble, véritable force du chantier 27 IV. Implication locale 1. Des partenariats forts avec les acteurs locaux Une information continue du public 30 Bilan 2014 et perspectives

6 I. Flamanville 1 & 2 1. La centrale de Flamanville au sein du parc nucléaire français La centrale nucléaire de Flamanville est située sur la commune de Flamanville, en Basse-Normandie. Composée de deux unités, elle a produit, en 2014, 18,4 MWh, soit près de 4,5 % de la production nucléaire française. Quotidiennement, ce sont 813 hommes et femmes qui œuvrent à la production en toute sûreté d une électricité compétitive et faiblement émettrice de CO 2. Les 58 réacteurs français actuellement en exploitation appartiennent à la même technologie appelée «Réacteurs à Eau Pressurisée» (REP), déployée dans l Hexagone entre 1977 et La centrale de Flamanville fait donc partie d un parc standardisé, ce qui permet de mutualiser les ressources d ingénierie, d exploitation et de maintenance, tout en disposant d un retour d expérience important, applicable à l ensemble des sites. En 2014, le parc nucléaire français a produit 415,9 milliards de kwh. La centrale de Flamanville a, quant à elle, produit 18,4 milliards de kwh, soit près de 4,5 % de la production nucléaire française d EDF. Bilan 2014 et perspectives

7 Bilan 2014 et perspectives

8 2. La sûreté nucléaire, notre priorité absolue La centrale de Flamanville dispose d une équipe qui s assure au quotidien que l ensemble des règles de sûreté encadrant l exploitation de la centrale nucléaire sont respectées. Organisés en astreinte, ces salariés peuvent être sollicités en dehors des heures ouvrables, 24 heures sur 24. De plus, chaque année, les 813 salariés de la centrale de Flamanville consacrent heures à leur formation, afin de s entraîner à faire face à tous types de situations, de la plus simple à la plus complexe. La culture de sûreté repose sur les compétences collectives et individuelles acquises depuis le début de l exploitation du parc nucléaire et développées en permanence grâce à un investissement important dans la formation. Une activité réglementée et contrôlée en permanence Comme toutes les centrales nucléaires EDF, la centrale de Flamanville est soumise aux contrôles vigilants de l Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui assure, en toute indépendance au nom de l État, le contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection pour protéger les travailleurs, les riverains et l environnement des risques liés à l exploitation nucléaire. L ASN est la seule habilitée à autoriser la mise en service ou la poursuite de l exploitation d une centrale nucléaire en France. La loi du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire (dite «loi TSN» et désormais intégrée dans le Code de l environnement) en a fait une autorité administrative indépendante. En 2014, vingt inspections ont été réalisées à la centrale de Flamanville, dont huit de façon inopinée. Ces inspections donnent lieu à des «lettres de suite», publiées sur le site internet La centrale dispose alors d un délai de deux mois pour répondre aux remarques faites par l ASN et exposer, si besoin, les actions mises en place. De plus, les centrales nucléaires d EDF sont régulièrement évaluées au regard des meilleures pratiques internationales par les inspecteurs et experts de l Agence Internationale de l Énergie Atomique (AIEA) dans le cadre des évaluations appelées OSART (Operational Safety Review Team). La centrale de Flamanville a connu une inspection de ce type en Les experts ont émis 7 recommandations, 7 suggestions et relevé 18 bonnes pratiques. Dans le prolongement du programme OSART, EDF a fait l objet en 2014 d une inspection de sûreté concernant les services centraux, appelée «Corporate Osart». Visant à évaluer comment l impératif de sûreté est intégré dans l organisation de l exploitant, cette inspection a permis d identifier 17 bonnes pratiques susceptibles de devenir de futurs standards internationaux et n a révélé aucun écart par rapport aux standards existants. Pour évaluer l appui apporté par les services nationaux aux centrales nucléaires, les experts de l AIEA ont également enquêté dans plusieurs sites nucléaires. Bilan 2014 et perspectives

9 Une exploitation transparente Tous les événements ayant trait à l exploitation survenus à la centrale de Flamanville sont déclarés à l Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et rendus publics. Ils sont classés selon une échelle de gravité internationale dite «échelle INES» (International Nuclear Event Scale). L échelle INES va de l écart sans conséquence de niveau 0 à l accident le plus grave de niveau 7, coefficient attribué à l accident de Tchernobyl et, plus récemment, à celui de Fukushima. En 2014, la centrale de Flamanville a déclaré zéro événement de niveau 0 et zéro événement de niveau 1 (hors événements génériques). Les engagements d EDF suite à l accident de Fukushima Au lendemain de l accident de Fukushima, en mars 2011, les centrales nucléaires françaises ont fait l objet d évaluations complémentaires de sûreté visant à examiner la robustesse des installations face à des situations extrêmes, dépassant en termes d intensité l accident de Fukushima. À l issue de ces évaluations, menées par EDF et confrontées aux inspections indépendantes de l Autorité de sûreté nucléaire, le régulateur a jugé satisfaisant le niveau de sûreté des installations. Sans délai, EDF a engagé un plan d'actions visant à mettre en œuvre les améliorations demandées par l ASN pour faire face aux situations les plus improbables. Se déployant sur plusieurs années, ce programme comprend notamment : la mise en place de la Force d Action Rapide du Nucléaire (FARN) qui est désormais capable d'intervenir, en cas d urgence, dans n importe quel site nucléaire en France pour secourir deux réacteurs. Quatre bases ont été installées à Civaux, Dampierre, Paluel et Bugey et sont déjà partiellement opérationnelles. À ce jour, la FARN est en capacité d intervenir de façon simultanée sur quatre réacteurs d'un site. L objectif pour 2015 est d étendre cette capacité à un site de six réacteurs. Ainsi, tous les sites nucléaires français d EDF seront couverts par le dispositif ; la construction sur chaque site d'un nouveau Centre de crise local (CCL) capable de résister à des agressions de types séisme ou inondation bien au-delà du référentiel actuel et dimensionné pour gérer un accident grave simultanément dans tous les réacteurs d'un site. Le premier CCL sera opérationnel en 2017 pour le démarrage de Flamanville 3 ; Bilan 2014 et perspectives

10 l'installation d'un diesel d ultime secours sur l'ensemble des 58 réacteurs avant Le principe est de disposer d'une alimentation électrique supplémentaire en cas de défaillance des deux alimentations externes et des deux alimentations internes déjà existantes. Au total, les dispositions complémentaires qui seront mises en place suite aux évaluations complémentaires de sûreté représenteront un investissement d environ dix milliards d euros pour l ensemble du parc nucléaire, dont la moitié était déjà prévue dans le cadre des travaux relatifs à la durée de fonctionnement des unités de production à partir de quarante ans d exploitation. Une prise en compte des risques en lien avec les pouvoirs publics En 2014, 33 exercices dont 5 en lien avec les forces du Service Départemental d Incendie et de Secours (SDIS) de la Manche ont été organisés à la centrale pour tester les organisations et apporter des améliorations. Ces exercices ont également été l occasion de vérifier l efficacité des dispositifs d alerte et de la gestion technique des accidents. Car si la probabilité d accidents reste extrêmement faible en raison des multiples dispositions prises à la conception et en exploitation, la gestion des risques passe par la mise en place de plans d urgence, impliquant l exploitant et les pouvoirs publics, permettant de faire face à tout type de situation : le Plan d Urgence Interne (PUI), sous la responsabilité d EDF ; le Plan Particulier d Intervention (PPI), sous la responsabilité du préfet et des pouvoirs publics afin de prendre les mesures nécessaires pour protéger les populations ainsi que l environnement en cas de risque de rejets. Bilan 2014 et perspectives

11 3. L environnement, une préoccupation au quotidien La recherche d amélioration continue en matière de respect de l environnement constitue un engagement majeur pour la centrale de Flamanville. Toutes les nuisances potentielles des centrales nucléaires radioactivité, chaleur, bruit, rejets chimiques, impact esthétique ont été prises en compte dès leur conception. Préalablement à la construction des centrales, EDF a réalisé, pour chacun de ses sites, un bilan radio-écologique initial qui sert de référence pour les contrôles réalisés tout au long de l exploitation. Ces contrôles sont permanents et encadrés par une réglementation stricte. Chaque année, EDF fait réaliser par des laboratoires extérieurs qualifiés une étude radio-écologique et hydro-biologique afin de suivre l impact de ses installations sur les écosystèmes. En juillet 2004, l ensemble des centrales nucléaires a obtenu la certification environnementale ISO Cette norme internationale certifie l existence et l efficacité des démarches environnementales en vigueur. La centrale nucléaire de Flamanville a obtenu sa certification en 2003 et passera un audit de suivi en Plus de 60 personnes au sein de la centrale nucléaire de Flamanville travaillent en permanence à la maîtrise des impacts de l exploitation et à la surveillance de l environnement autour du site. Les contrôles réalisés par les équipes de la centrale sont nombreux et, pour beaucoup, quotidiens. En 2014, à la centrale de Flamanville, environ analyses et mesures ont ainsi été réalisées pour contrôler les rejets et leur impact sur l environnement. Ces mesures montrent des résultats largement en-dessous des limites annuelles réglementaires. La centrale publie mensuellement l ensemble des résultats réalisés sur son site internet Contrôle permanent des rejets Surveillance de l environnement Depuis le 1 er février 2010, comme l ensemble des autres acteurs du nucléaire (CEA, Andra, Marine nationale, etc.), la centrale de Flamanville transmet également les résultats de sa surveillance de l environnement au réseau national de mesures de la radioactivité dans l environnement, réseau mis en place par l IRSN. L ensemble de ces données est disponible sur le site internet Bilan 2014 et perspectives

12 Conformément à l article L et L du Code de l environnement, tous les événements environnementaux survenus à la centrale de Flamanville sont déclarés à l Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et rendus publics. En 2014, la centrale de Flamanville a déclaré 4 événements environnementaux (ESE). Bilan 2014 et perspectives

13 4. Préparer l avenir du site Une réévaluation du niveau de sûreté des réacteurs La centrale nucléaire de Flamanville a été conçue pour une durée d exploitation d au moins quarante ans. C est l Autorité de sûreté nucléaire (ASN) qui, après analyses et examens, se prononce sur la poursuite d exploitation pour dix années supplémentaires à l issue des visites décennales. La visite décennale intègre une réévaluation et un réexamen de sûreté afin de prendre en compte les progrès technologiques et le retour d expérience de l ensemble des installations nucléaires dans le monde, puis d effectuer les modifications nécessaires en augmentant toujours le niveau de sûreté de l installation. Les prochaines visites décennales, déterminantes pour la poursuite de l exploitation de chacun des réacteurs de la centrale nucléaire de Flamanville, auront lieu à partir de Trois types d arrêts sont programmés pour un réacteur, tous les 12 ou 18 mois, pour recharger le combustible et réaliser la maintenance de toutes les installations : l Arrêt pour Simple Rechargement du combustible (ASR) ; la Visite Partielle (VP), consacrée au rechargement du combustible mais aussi à un important programme périodique de maintenance ; la Visite Décennale (VD), qui conclut des contrôles approfondis et réglementaires des principaux composants que sont la cuve du réacteur, le circuit primaire et l enceinte du bâtiment réacteur. Des investissements pour préparer l avenir En 2014, la centrale de Flamanville a investi près de douze millions d euros, ce qui permet de conserver en permanence les installations dans un état optimum pour un fonctionnement en toute sûreté. Entre 2015 et 2025, EDF mènera un important programme d investissement visant à prolonger la durée de fonctionnement des centrales au-delà de quarante ans pour répondre aux besoins énergétiques de la France dans les décennies à venir. Bilan 2014 et perspectives

14 Ce programme consiste à : - réaliser des travaux de maintenance lourde tels que le remplacement de gros composants (remplacement des générateurs de vapeur, rénovation du contrôle commande, etc.) ; - réaliser des travaux de maintenance courante et programmée dans le cadre des révisions annuelles et décennales ; - apporter des améliorations en matière de sûreté exigées par l ASN pour délivrer l autorisation d exploiter pendant dix années supplémentaires. Ce volet comprend aussi les modifications décidées suite aux évaluations complémentaires de sûreté réalisées après l accident de Fukushima. Ce programme de modernisation ne s ajoute pas aux autres projets en cours dans le parc nucléaire, mais harmonise les chantiers déjà engagés pour pérenniser l outil de production d EDF. Il va se déployer de site en site au fur et à mesure des visites partielles ou décennales, sans remettre en cause l équilibre entre l offre et la demande d électricité. Si les travaux sont prévus dans le cadre des arrêts des unités de production déjà programmés, leur volume sera plus important que lors des arrêts standards. De ce fait, ils représentent d importantes opportunités de développement pour le tissu économique des territoires et la filière nucléaire française. Une gestion rigoureuse des déchets radioactifs L'exploitation de la centrale de Flamanville, comme toutes les centrales nucléaires, génère des déchets radioactifs qu'elle gère avec la plus grande rigueur : des déchets radioactifs dits «à vie courte», qui perdent au moins la moitié de leur radioactivité tous les 30 ans et contiennent 0,1 % de la radioactivité totale des déchets ; des déchets dits «à vie longue», issus du traitement du combustible nucléaire usé. Ce dernier est constitué de 96 % de matière recyclable en de nouveaux combustibles et 4 % de déchets non recyclables. Les progrès réalisés en matière de gestion de ces déchets ont permis de diviser par trois leur volume, dans l ensemble du parc, depuis Le choix du recyclage du combustible usé La stratégie d EDF, retenue depuis les années 1980 en matière de cycle de combustible nucléaire, en accord avec la politique énergétique nationale, est de pratiquer le traitement des combustibles usés (uranium recyclable et plutonium). Ce traitement permet, d une part, de valoriser la matière recyclable contenue dans le combustible usé pour produire de nouveaux combustibles et, d autre part, d isoler les déchets radioactifs, non recyclables, et de les conditionner sous une forme stable et durable qui évite toute dispersion de radioactivité dans l environnement. En 2014, tonnes de combustible usé ont ainsi été traitées en France dont 96 assemblages pour la centrale de Flamanville. Bilan 2014 et perspectives

15 5. La centrale de Flamanville, un acteur économique local incontournable Des retombées économiques importantes Dès le lancement des chantiers en 1978, la centrale de Flamanville a participé au développement du tissu économique du Cotentin et du département de la Manche. Actuellement, 813 salariés EDF travaillent sur le site de Flamanville, ainsi que 363 salariés permanents d entreprises prestataires, tout au long de l année. À cela, il convient d ajouter les salariés d entreprises prestataires lors des arrêts pour maintenance : de 600 à selon le type d arrêt. Les commandes auprès des entreprises locales devraient s élever à environ 15 millions d euros en De plus, la centrale a contribué à la fiscalité à hauteur de 56,4 millions d euros en 2014, dont 11,9 millions d euros pour la seule taxe foncière. Favoriser l insertion des jeunes et des personnes en situation de handicap La centrale de Flamanville assure le renouvellement de ses compétences par des recrutements réguliers : 273 depuis 2008 (9 en 2008, 16 en 2009, 32 en 2010, 49 en 2011, 50 en 2012, 46 en 2013 et 71 en 2014). Elle s implique aussi activement dans la formation des jeunes en apprentissage : 45 apprentis ont été accueillis en 2014 à la centrale dans des domaines variés comme la conduite, les automatismes, la maintenance, la chimie, la radioprotection, etc. De la même façon, elle favorise l insertion professionnelle des jeunes en accueillant chaque année environ 50 stagiaires. La centrale de Flamanville s engage également dans l insertion des personnes en situation de handicap dans le monde du travail : en 2014, deux personnes ont bénéficié d une embauche. Bilan 2014 et perspectives

16 6. Chiffres clés 2014 Site Production Effectifs Nombre de réacteurs en service : 2 Nombre de réacteurs en déconstruction : 0 Énergie nette produite en milliards de kwh : 18,4 Part dans la production française d énergie nucléaire : 4,5 % Effectif total (EDF et salariés extérieurs permanents) : Embauches : 71 Apprentis : 45 Age moyen de l effectif : 39,2 ans Taxes et impots 56,4 M Dont : Taxe sur les installations nucléaires : 22,9 M Cotisation foncière des entreprises (CFE) : 9,1 M Imposition forfaitaire sur les entreprises de production : 7,9 M Redevance sur l eau : Cotisation sur la valeur ajoutée : 5,1 M Redevance voie navigable : Taxe foncière : 11,9 M Sûreté Inspections de l Autorité de sûreté nucléaire (ASN) : 20 dont 8 inopinées Sécurité Nombre d accidents avec arrêt de travail : 10 Taux de fréquence d accidents pour les salariés EDF et entreprises extérieures (par millions d heures de travail) : 4,4 Evénements significatifs pour la sûreté de niveau 1 ou plus 0 (hors génériques) Environnement Prélèvements et analyses : environ Événements significatifs pour l environnement 4 Bilan 2014 et perspectives

17 7. Dates clés 1975 : Référendum local sur l implantation d une centrale nucléaire. Le «oui» l emporte avec 63 % des suffrages à 1986 : Lancement de la construction et démarrage des unités de production (1985 pour l unité 1 et 1986 pour l unité 2) : Évaluation de la sûreté en fonctionnement par l Agence Internationale de l Énergie Atomique (AIEA) : Inauguration du Bâtiment Inter Entreprises pour améliorer les conditions d accueil et de travail des salariés d entreprises extérieures : Obtention de la certification environnementale ISO : Mise en service du simulateur, réplique exacte d une salle de commande : Émission d un avis favorable par la Commission Nationale du Débat Public pour le projet EPR. Lancement des travaux préliminaires : Publication du premier rapport Transparence et Sûreté Nucléaire pour la centrale de Flamanville ; Inspection exhaustive du Bâtiment Réacteur de l unité 2 : aucun défaut n est détecté ; Exercice de sécurité civile, piloté par la Préfecture de la Manche : Modernisation du système de surveillance de l environnement ; Accréditation COFRAC du «laboratoire environnement» pour les mesures de la radioactivité : Inauguration du chantier-école ; Renouvellement de la certification ISO ; Obtention du niveau «Bon» par rapport aux standards internationaux de l état des installations de l unité de production n : Évaluation Complémentaire de Sûreté suite à l accident de Fukushima ; Inspection de l Autorité de Sûreté Nucléaire post-fukushima : confirmation du «bon» niveau de sûreté de la centrale de Flamanville ; 200 milliards de kwh produits depuis la mise en service : Évaluation Globale d Excellence par l Inspection Nucléaire d EDF ; WANO Peer Review : revue d experts français et étrangers ; Renouvellement de l accréditation COFRAC du «laboratoire environnement» ; 28 juin : exercice de Sécurité Civile, piloté par la Préfecture de la Manche. Bilan 2014 et perspectives

18 2013 : PRO LOG : un guichet unique pour faciliter l accueil des partenaires ; WANO Peer Review : Follow Up, revue d experts français et étrangers : L entrée en zone contrôlée se fait désormais en bleu de travail ; Réouverture du Centre d Information du Public après plus d un an de travaux ; Les unités de production n 1 et n 2 sont arrêtées pour recharger un tiers de leur combustible et effectuer des opérations de maintenance. Inspection OSART menée par les experts de l Agence internationale de l énergie atomique (AIEA) qui émettent 7 recommandations, 7 suggestions et 18 bonnes pratiques. Bilan 2014 et perspectives

19 II. Flamanville 3 : l exploitant 1. Recrutement et formation pour garantir les compétences En 2014, 73 personnes ont intégré le CNPE de Flamanville 3 portant ainsi le nombre total de salariés à 419. Comme pour les précédentes vagues de recrutement, la priorité est donnée à l emploi local. Un tiers de l effectif total est d origine locale. En 2014, heures ont été consacrées à la formation soit plus de 229 heures par salarié. Depuis 2008, le personnel de la centrale de Flamanville 3 a bénéficié de plus de heures de formation. Ces formations permettent d intervenir et d appréhender, dans les conditions réelles, les équipements et la conduite de la future installation a également vu le renouvellement du partenariat avec l AFPA de Cherbourg-Octeville. Ce partenariat a pour vocation de maintenir et de développer les compétences des équipes pour toujours mieux maîtriser les activités de maintenance, essentielles à la sûreté de l exploitation d une centrale nucléaire. La centrale de Flamanville 3 a également accueilli 10 apprentis en lien avec des écoles régionales. 2. Sureté et sécurité Pour préparer ses équipes et garantir le fonctionnement de la centrale en toute sûreté, Flamanville 3 a consacré une journée à la sûreté nucléaire en Véritable colonne vertébrale de la centrale, 16 Ingénieurs Sûreté et Chargés d Exploitation ont obtenu leur habilitation. Une performance remarquable qui démontre le degré de préparation des équipes. Le déploiement du Plan de Management de la Sécurité et la déclinaison du référentiel de radioprotection ont été menées en salariés ont été formés aux gestes de premiers secours et un exercice incendie en présence des secours extérieurs a été réalisé en Une sensibilisation accrue à la sécurité routière a également été un axe fort de l année L innovation pour préparer l avenir EDF est un acteur-clé du progrès, à travers la mise en œuvre d initiatives innovantes dans le domaine industriel. Les futurs exploitants de Flamanville 3 s inscrivent pleinement dans cette dynamique. Ainsi en 2014, une vingtaine d innovations imaginées par des salariés a été détecté lors du challenge innovation qui a réuni l ensemble des salariés. Bilan 2014 et perspectives

20 À cette occasion, des innovations imaginés et développées en collaboration avec des entreprises ou des établissements scolaires locaux ont été dévoilées dont : - une boîte permettant de condamner des matériels. Elle a été développée en collaboration avec le lycée de Tocqueville qui en a créée le prototype, - un obturateur développé en collaboration avec Efinor, entreprise d ingénierie du Cotentin. Cet appareil permettant de gagner en sécurité et en délai d exécution lors des arrêts des unités de production fait actuellement l objet d un dépôt de brevet par EDF. Le déploiement de ces innovations dans l ensemble du parc nucléaire EDF est actuellement à l étude et est susceptible d intéresser de nombreux autres secteurs industriels. 4. L année 2015, tournée vers La préparation des équipes d exploitation : continuer à professionnaliser les salariés au métier d exploitant de l EPR ; maintenir les actions de formations initiées (plus de heures prévues en 2015) ; poursuivre les activités de maintenance et d exploitation. L innovation Accentuer le développement de l innovation par nos collaborateurs, au service de la performance. Elle sera mise en œuvre avec la collaboration d entreprises et établissements scolaires locaux. 5. Chiffres clés 2014 Effectifs Sûreté Sécurité Effectif (salariés EDF) : 419 Embauches : 73 Apprentis : 10 Heures de formation : Taux de fréquence d accidents pour les salariés EDF et entreprises extérieures (par millions d heures de travail) : 5 Bilan 2014 et perspectives

21 III. Le chantier EPR de Flamanville 3 RETOUR SUR 2014 La sécurité au rendez-vous L an dernier, la sécurité a encore progressé sur le chantier. Aucun accident grave n est à déplorer et le nombre des accidents sur le chantier a poursuivi sa diminution pour atteindre un niveau jamais atteint par le passé. Ces progrès, qui s inscrivent dans la durée, sont le fruit du travail et de l implication au quotidien de tous les salariés du chantier. Des étapes-clés franchies En 2014, les défis ont été nombreux et chaque entreprise, chaque salarié, s est impliqué avec professionnalisme dans la réussite et le franchissement de nombreuses étapes : introduction de la cuve du réacteur, du premier des quatre générateurs de vapeur et du pressuriseur, achèvement du bétonnage de l enceinte interne, mise en service de la salle de commande L année aura aussi été marquée par la réalisation des premiers grands essais sur un EPR, notamment au niveau du circuit d eau brute secourue en station de pompage. En fin d année, une nouvelle feuille de route a été adoptée, avec un objectif de démarrage de Flamanville 3 en ET BREF REGARD SUR 2015 La sécurité toujours au cœur de nos activités Dans un contexte de chantier encore plus exigeant, les salariés continueront, en 2015, à travailler dans la même dynamique pour prolonger les bons résultats obtenus l an dernier. Tout d abord en restant solides sur les fondamentaux que sont le port des équipements de protection individuelle, la tenue de chantier, mais aussi en capitalisant et en renforçant les éléments mis en place l an dernier (management de proximité). Une année encore plus dense en montages et en essais Les montages électriques et mécaniques vont se densifier, principalement dans l îlot nucléaire et particulièrement dans le bâtiment réacteur : fin de montage du circuit primaire, introduction et soudage des trois derniers générateurs de vapeur, circuits auxiliaires sera aussi une année importante pour le génie civil, avec notamment la fin de l enceinte externe du bâtiment réacteur, précédée de l achèvement de la mise en précontrainte de l enceinte interne, ainsi que l ensemble des finitions dans les bâtiments. En périphérie du chantier, les travaux de construction du Centre de crise local se poursuivront également. Et pour continuer sur la dynamique de fin 2014 avec les essais «station de pompage», de nombreux systèmes vont entrer en essais en 2015 : en station de pompage, en salle des machines avec les graissages de la turbine, mais aussi dans l îlot nucléaire avec des systèmes de ventilation et de refroidissement. Travailler ensemble, véritable force du chantier En 2015, l effectif du chantier, en plus des 800 salariés pour EDF, devrait se maintenir autour de salariés d entreprises. Formation et intégration resteront les deux piliers de la réussite du chantier EPR, au service des salariés, avec un objectif de heures de formation. Les membres du comité de suivi poursuivront leur travail de dialogue social pour encore améliorer la qualité de vie sur le chantier. L Association Inter-Entreprises, l Association Loisirs, ainsi que la conciergerie, continueront à proposer des services et activités en s adaptant à la demande des salariés. Bilan 2014 et perspectives

22 1. La sécurité : une priorité continue Des fondamentaux solides En 2014, de nombreuses opérations très techniques ont été réalisées en toute sécurité sur le chantier : introductions de la cuve, du premier des quatre générateurs de vapeur, du pressuriseur Aucun accident grave n a été à déplorer et le nombre d accidents a poursuivi sa diminution tout au long de l année pour atteindre un niveau jamais atteint par le passé. Ainsi, le taux de fréquence des accidents à fin décembre 2014 était de 7, contre 10,66 fin Par ailleurs, et malgré toutes les actions de prévention mises en œuvre sur les contrôles radiographiques avec un volume hors norme de contrôles en 2014, un événement significatif pour la radioprotection a été déclaré l an dernier, sans conséquences pour la radioprotection (contre 2 en 2013). Ces bons résultats sont le fruit de l implication de tous et le résultat de mesures prises l an dernier (renforcement du management de proximité, etc.) et d une solidité maintenue sur les fondamentaux que sont notamment le port des équipements de protection individuelle et la tenue de chantier. La Direction du chantier et les entreprises partenaires ont poursuivi leur travail de prévention et d information auprès des salariés. Deux journées sécurité ont été organisées en 2014 pour échanger sur des thèmes tels que la prévention routière, la prise en compte et la sensibilisation au handicap, les travaux en hauteur ou le risque électrique. En 2014, un nouveau rendez-vous le challenge sécurité a été proposé aux salariés. A destination de toutes les entreprises du chantier, il a consisté pour les équipes participantes, d une part, à répondre à un questionnaire et, d autre part, à concourir sur les standards en matière de «tenue de chantier». Quatre équipes ont été récompensées. Présence accrue du management de proximité : des premiers résultats tangibles En 2014, de nouvelles mesures ont été prises pour améliorer encore nos résultats. L identification visuelle du chef d équipe est devenue obligatoire afin de renforcer le rôle du management de proximité dans la garantie de la sécurité de son équipe. De plus, les pratiques de performance humaine ont été systématiquement utilisées à chaque début d activité : - Le «pré-job briefing» pour préparer toute activité et identifier les risques particuliers liés au chantier, - La «minute d arrêt» avant toute intervention ou reprise d une intervention, - Le «débriefing» en fin de chantier afin d améliorer les conditions de réalisation ultérieures. Bilan 2014 et perspectives

23 Cette année, pour aller plus loin encore dans l obtention de bons résultats, la présence du management de proximité sera renforcée, via les chefs d équipe qui bénéficieront de davantage de formations. Celles-ci permettront de mieux maîtriser les outils mis à leur disposition pour atteindre leurs objectifs en termes de qualité, de rigueur, et surtout, de sécurité. C est la maîtrise des fondamentaux qui permettra aux salariés de développer une véritable culture de la sécurité. Enfin, un outil supplémentaire sera mis à la disposition des salariés du chantier pour améliorer toujours plus la sécurité. Il permettra de classifier et de hiérarchiser les presqu accidents pour traiter plus rapidement et plus efficacement les écarts observés sur le chantier. 2. La qualité de construction pour la sûreté de demain Les innovations de sûreté de l EPR se concrétisent sur le terrain Dans le récupérateur de corium, dispositif situé au centre du bâtiment réacteur et visant à accroître la sûreté du réacteur en cas de fusion du cœur, le chariot mécanique, permettant d insérer le «bouchon fusible» sous la cuve, est mis en place. Après la fin des activités de cuvelage et la mise en eau du réservoir de sauvegarde dit «IRWST» en 2013, qui contiendra à terme une réserve d eau de 1900m 3 au plus près du réacteur, les opérations de montages mécaniques ont pris le relais. En 2014, 20 inspections de l Autorité de sûreté nucléaire (ASN) ont été réalisées, dont 5 inopinées. La qualité de réalisation est au cœur des activités. Ainsi, près de 100 contrôleurs de travaux EDF veillent au quotidien, aux côtés des entreprises partenaires, à la qualité de réalisation sur le chantier. En 2015, continuer à être exigeant sur la qualité de réalisation En plus de la finalisation de la précontrainte de l enceinte interne et de la réparation de la soudure sur le générateur de vapeur n 1, de nombreuses activités importantes sont prévues dans de multiples bâtiments en Pour poursuivre la dynamique initiée en 2014, le programme pour cette année prévoit la poursuite de l introduction de gros composants (générateurs de vapeur) et la densification des essais sur de nombreux systèmes : en station de pompage, en salle des machines, dans l îlot nucléaire sur des systèmes de ventilation et de refroidissement. Nous continuerons en 2015 à être exigeants sur la qualité de réalisation, sous le contrôle de l Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Bilan 2014 et perspectives

24 : des étapes-clés franchies Introduction de la cuve, introduction et soudure des branches primaires, achèvement de l enceinte interne du bâtiment réacteur, inauguration de la salle de commande, démarrage des essais dans l îlot conventionnel, mise en place d un générateur de vapeur et du pressuriseur. L année 2014 a été dense et jalonnée par des étapes-clés franchies avec succès. Un début d année dense en activités En janvier, après trois jours de manœuvres extrêmement techniques, la cuve du réacteur a été mise en place dans son emplacement définitif, en toute sécurité. Avec les générateurs de vapeur, le pressuriseur et les pompes primaires, la cuve fait partie des composants principaux du circuit primaire principal. D un poids de 425 tonnes, de plus de 10 mètres de long et de 5,5 mètres de diamètre, elle a été fabriquée par Areva à l usine de Chalon-sur-Saône. En mars, le dernier des quatre générateurs de vapeur a été livré sur le site. C est le dernier gros composant du circuit primaire livré par voie maritime, au port de Diélette. D un poids de 530 tonnes, de 24 mètres de hauteur, soit 2 mètres de plus que les générateurs de vapeur des générations précédentes de réacteur, il est le composant qui fournit la vapeur nécessaire à la rotation de la turbine. L introduction du premier générateur de vapeur s est déroulée en septembre. Le chantier dispose désormais de tous les composants essentiels du circuit primaire principal. En septembre également, le chantier de l EPR accueillait les deux derniers moteurs diesels principaux du bâtiment Nord. Ils ont été introduits début octobre, soit quelques mois seulement après la livraison du bâtiment Nord. L EPR dispose de 4 moteurs diesel principaux séparés géographiquement dans 2 bâtiments distincts. Ils sont au nombre de 4 car la sûreté renforcée à la conception de l EPR repose sur 4 fonctions indépendantes identiques. Une seule de ces fonctions suffit à secourir le réacteur en cas d incident. De plus, 2 moteurs diesels d ultime secours ont été prévus à la conception de l EPR. Le premier est en place depuis juillet 2014, le second sera installé dans le bâtiment Nord courant Les moteurs diesels principaux mesurent 7,9 mètres de longueur pour 3,7 mètres de large et 4,7 mètres de haut. Pesant 100 tonnes, ils peuvent fournir une puissance de 7,5 MW. En novembre, le pressuriseur a été introduit à son emplacement final, dans le bâtiment réacteur. D un poids de 146 tonnes, cette pièce de 4 mètres de large de 4,5 mètres de largeur et de 15 mètres de long a pour rôle de maintenir l eau du circuit primaire sous forte pression (155 bars) afin d empêcher l ébullition de l eau portée à plus de 310 C. Autres temps forts des montages réalisés dans le bâtiment réacteur : l ensemble du cuvelage des piscines est achevé et les montages dans le réservoir IRWST se sont poursuivis avec l installation des filtres. La piscine de désactivation du bâtiment combustible, après avoir accueilli ses deux portes pivotantes, a passé avec succès son test d étanchéité et est dotée du pont de manutention du combustible. Bilan 2014 et perspectives

25 Une progression rapide des activités en salle des machines En salle des machines, les trois pompes du circuit d extraction du condenseur et les pompes dites APA, servant, entre autres, à alimenter les générateurs de vapeur en eau, ont été installées. Les montages électriques et la mise en place de l éclairage définitif se sont poursuivis dans tout le bâtiment, de même que l installation du système de protection incendie. En parallèle, plusieurs essais ont été réalisés pendant l année : le réservoir d Alimentation auxiliaire de secours des générateurs de vapeurs (ASG), les deux Groupes sécheurs-surchauffeurs (GSS) et le condenseur ont franchi leurs épreuves hydrauliques, tandis que les essais d aspersion du système de détection incendie dans le local du Groupe de Graissage de la turbine (GGR) et le remplissage en huile du circuit se sont déroulés en toute sécurité. Cette progression s est également concrétisée en fin d année dans la station de pompage avec la réussite des premiers essais d ensemble sur les systèmes de filtration et d injection d eau brute de refroidissement du train 4, déclenchés à partir du contrôlecommande. Enfin, en 2014, les travaux de ventilation ont progressé de manière considérable dans tous les bâtiments et la construction d un nouveau bâtiment, a proximité du chantier, a débuté : le futur Centre de crise local (CCL) du site de Flamanville. 4. Perspectives 2015 pour le chantier Capitaliser et développer une véritable culture sécurité dans un contexte de chantier encore plus exigeant En 2015, de nombreuses opérations d envergure sont programmées. Les montages vont s intensifier, notamment dans le bâtiment réacteur avec la finalisation des montages du circuit primaire. Cette année sera aussi rythmée par une accélération considérable des essais dans l ensemble des bâtiments. Comme en 2014, ces opérations seront marquées dans tous les bâtiments et dans tous les corps de métier par une importante co-activité, la multiplication des tirs-radio et surtout, une forte augmentation des mises sous régime de consignation. Dans ce contexte, la sécurité devra être placée au cœur des activités sur le chantier. Les résultats 2014 de la sécurité sur le chantier ont confirmé la bonne tendance observée ces dernières années et s expliquent en partie par la mise en place des pratiques de performances humaines. En 2015, l objectif sera de renforcer cet usage des bonnes pratiques, en s appuyant encore davantage sur le rôle des chefs d équipe. Bilan 2014 et perspectives

26 Intensification et finalisation des montages En 2015, les activités seront denses pour les équipes de chantier et les challenges à relever nombreux. Les montages électriques et mécaniques se poursuivront de manière intensive et l accent sera mis encore davantage sur la qualité des réalisations. au dôme son apparence définitive. L enceinte du bâtiment réacteur sera aussi l objet de toutes les attentions, puisque en 2015 s achèveront les travaux de précontrainte de l enceinte interne, tandis que l enceinte externe sera bétonnée pour donner Des opérations de génie civil seront réalisées sur les autres bâtiments du site, notamment pour les travaux de finition, mais aussi en périphérie du chantier, avec les futurs Centre de crise local (CCL) de Flamanville et Poste de garde Nord. Dans l îlot nucléaire, les derniers composants du circuit primaire (les trois derniers générateurs de vapeur, la ligne d expansion du pressuriseur et les circuits auxiliaires) seront installés et soudés. En parallèle de ces travaux, les activités électriques telles que le tirage de câbles et les raccordements ou les installations d armoires électriques se poursuivront, de même que les montages des différents réseaux parcourant l installation. Des essais de plus en plus nombreux Les premiers essais d ensemble du système de refroidissement et de filtration du train 4 de la station de pompage, réussis, devront être complétés par la mise en service de l ensemble des divisions du bâtiment. En salle des machines, les essais se concentreront notamment sur la turbine du groupe turbo-alternateur. Dans la continuité des essais réalisés fin 2014, le rinçage du circuit du Groupe de Graissage de la turbine (GGR) et les essais sur le circuit hélium garantissant l étanchéité de l alternateur (GHE) permettront de mettre en route l arbre de la turbine avec ses moyens de graissage définitifs sera aussi marquée par les essais des principaux systèmes de ventilation. Dans le prolongement des premiers tests réalisés en décembre sur la ventilation de la salle de commande et du contrôle-commande, les systèmes de ventilation des bâtiments de sauvegarde, combustible, auxiliaire nucléaire et diesel seront mis en service. Les essais concerneront également le bâtiment diesel Sud, avec le démarrage d un des deux moteurs diesel principaux. Bilan 2014 et perspectives

27 Enfin, la partie nucléaire des installations sera, elle aussi, testée. Les circuits de production d eau glacée du bâtiment réacteur (circuit DER), de réfrigération intermédiaire (RRI) et d évacuation ultime de la chaleur du réacteur (EVU) commenceront à être mis en service avec les premiers rinçages de circuits. À l issue de ces opérations de mise en propreté, les différents circuits seront préparés chimiquement pour les prochaines phases d essais 5. Travailler ensemble, véritable force du chantier Les femmes et les hommes du chantier De nombreux corps de métiers sont représentés à l EPR : coffreurs, soudeurs, mécaniciens, robinetiers, menuisiers, grutiers, peintres, électriciens, ingénieurs, techniciens... Au total, ce sont plus de 40 métiers qui sont représentés sur le chantier. Pour EDF, environ 400 salariés pilotent et surveillent la construction de l EPR et environ 420 préparent l exploitation. Les salariés des différentes entreprises en dehors d EDF sont plus de fin 2014, avec un effectif qui se maintiendra à ce niveau élevé tout au long de l année Fin 2014, il y a toujours plus de 50 % de salariés locaux grâce notamment aux actions de formation du programme Grand Chantier. Il y a 30 % de salariés déplacés français et moins de 20 % d étrangers, majoritairement de nationalité portugaise. Près de 30 millions d'heures ont été travaillées depuis le début du chantier, dont pratiquement 5 millions d'heures 2014, avec un rythme similaire attendu en Recrutement et formation La formation et la reconversion des salariés sont les deux priorités du programme Grand Chantier, dans le cadre de l engagement de développement de l emploi et des compétences. Depuis le début du chantier, offres d emploi ont été émises par les entreprises, 3351 ont été satisfaites soit un taux supérieur à 92 %. Par ailleurs, 853 demandeurs d emploi locaux ont été formés et 748 recrutements ont été réalisés, soit 88 %. Plus de heures de formation ont été dispensées par des organismes locaux, dont près de heures pour l année Dans le cadre de l Engagement de Développement des Emplois et des Compétences (EDEC), des actions spécifiques d information ont été organisées auprès des salariés démobilisables pour leur présenter des opportunités de reconversion, principalement en lien avec les activités du chantier et de la maintenance nucléaire. Sur 434 salariés démobilisés dans le cadre de l'edec, plus d'une personne sur deux a retrouvé un emploi. En 2015, la formation continuera à être une priorité, avec un objectif de heures de formation. Bilan 2014 et perspectives

28 Concertation et intégration pour réussir le chantier EPR Sur le chantier, le Comité de suivi est composé des représentants de 5 Unions syndicales départementales : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT et FO, du président du CISSCT (Comité Interentreprises pour la Santé, la Sécurité et les Conditions de Travail), du Président de l Association Interentreprises et de la Direction EDF. Le Comité de suivi est un espace d échanges, de concertation et de suivi des activités du chantier, afin d anticiper au mieux les éventuels problèmes rencontrés par les entreprises et les salariés au quotidien. L un de ses objectifs est de favoriser l intégration de tous les salariés du chantier en mettant à leur disposition toute l information nécessaire à leur vie professionnelle et quotidienne. En 2013, un guide des salariés présentant les principes généraux du droit du travail en plusieurs langues a été mis à la disposition des salariés. Il est distribué à tous les salariés qui entrent sur le chantier. Le livret d accueil précisant les services mis à leur disposition (logement, transport, cours de langues, accueil sur le chantier, loisirs, etc.) a été complètement rénové. En 2014, la concertation s'est poursuivie, notamment autour des thèmes de la Qualité de vie au travail (QVT). Association interentreprises L Association Interentreprises (AIE) a pour mission d apporter des solutions d hébergement, de restauration et de transport à l ensemble des salariés du chantier. Au service de tous, l association a proposé en 2014 : places d hébergement dans le cadre du programme Grand Chantier personnes prises en charge par les différentes navettes depuis les parkings déportés mis à la disposition du personnel repas par jour en moyenne servis au Restaurant Inter-Entreprises (RIE). L'offre du RIE a été complétée depuis octobre 2014 par les food trucks, mis à disposition des salariés 4 jours par semaine. Association Loisirs L Association Loisirs propose des activités culturelles et sportives aux salariés du chantier depuis Elle compte désormais 430 adhérents. Parmi les activités organisées en 2014 : randonnée, char à voile, paintball, carnaval de Granville, foulées de la Presse de la Manche, plages du débarquement, Mont-Saint-Michel, Mondial de l automobile, repas... De nouvelles activités sont prévues dès le début de l année Les investissements du programme Grand Chantier Cinquante huit opérations sont inscrites au programme d accompagnement Grand Chantier, 44 sont réalisées et 14 en cours. Le montant des opérations d aménagement réalisées ou engagées sur le territoire dans le cadre du Grand Chantier est aujourd hui estimé à 123 M. Quatre projets ont été achevés au cours de l année 2014 : L usine d eau potable de Teurtheville-Hague, Le RPI de Sotteville, L aménagement du centre ville de Cherbourg (première phase), L aménagement de la zone d activité Louis Lumière à Cherbourg-Octeville. Bilan 2014 et perspectives

29 Quatre projets seront achevés au cours de l année 2015 : L aménagement des Bas de Diélette, La construction d un gymnase aux Pieux, La construction d un gymnase à Flamanville, Les restaurants scolaires de Grosville, Tréauville et Bricquebosq. IV. Implication locale 1. Des partenariats forts avec les acteurs locaux La centrale s implique tout au long de l année auprès des élus et de tous les partenaires locaux. EDF Flamanville inscrit ses actions de partenariats dans la durée, en faveur de l environnement, du patrimoine local et de la solidarité. En 2014, EDF Flamanville était partenaire du club de rugby de Flamanville, le Rugby Ouest Cotentin, contribuant principalement à la formation des jeunes et à l animation locale. Un partenariat sportif a également été noué avec le PSCO, Palme Sportive Cherbourg Octeville, jeune club cherbourgeois très bien classé nationalement. Dans le domaine culturel, EDF Flamanville 1 & 2 a soutenu le Trident Scène Nationale à Cherbourg, le Festival Hague en Musiques, le projet de l association Art-en-Ciel (50 cerfs-volants «cousus main» et décorés par des artistes locaux pour le 70 e anniversaire de la Libération) et l association 3 Angles, initiatrice de l exposition et du livre Sur les pas de Lucien Goubert. EDF Flamanville est également «Ambassadeur» de la Cité de la Mer à Cherbourg. Lors d opérations nationales (Téléthon, Restos du Cœur, etc.) ou locales (trail La Barjo, etc.), les salariés de Flamanville font preuve de solidarité et apportent un soutien à ceux qui en ont le plus besoin. En novembre dernier, 72 salariés sont venus défendre les couleurs de Flamanville (chantier EPR, associations interentreprises et loisirs du chantier et Flamanville 1 et 2) lors de la course de 7 km, appelée "la Populaire", des Foulées de la Presse de la Manche. Cette mobilisation a permis aux salariés de Flamanville de décrocher la troisième place du challenge interentreprises ont été remis à l AFM lors de l édition 2014 du Téléthon, preuve de la générosité des équipes EDF Flamanville. Un chèque de ainsi que des jouets et des denrées alimentaires ont également été collectés pour les Restos du Cœur de la Manche par les salariés de Flamanville 1 & 2. EDF Flamanville est également partenaire des Pompiers Humanitaires de Normandie et de la Société nationale des sauveteurs en mer (SNSM). Fidèle aux valeurs de solidarité du Groupe EDF, et dans le cadre de son partenariat avec la Fédération Française de Handisport, Flamanville 3 soutient depuis 2014 le tandem handisport formé par Thibault Richard, contrôleur de travaux chez EDF, et son binôme Laurent Huyghe, dans la catégorie «mal voyant». En fin d année, ils ont remporté la Coupe de France paracyclisme. Bilan 2014 et perspectives

30 La conciergerie solidaire du Cotentin Paniers de fruits et légumes, lavage de véhicules, relais de poste, pressing, repassage. Plus de 250 personnes adhérentes des trois unités de Flamanville font appel aux services proposés par la Conciergerie Solidaire du Cotentin. 2. Une information continue du public La centrale nucléaire de Flamanville informe systématiquement le public de son fonctionnement et de son actualité : Le Centre d Information du Public (CIP) est ouvert à tous. Des visiteurs y sont accueillis tout au long de l année et des conférences pour les scolaires y sont données. En 2014, personnes ont bénéficié d une information sur le nucléaire au sein du CIP de la centrale et ont pu prolonger la visite par une découverte des installations. Tout au long de l année, plusieurs journées à thème sont organisées, souvent en lien avec les associations locales, avec pour objectif de faire découvrir nos métiers et sensibiliser aux activités liées à la production d électricité (Fête de la science, Semaine du développement durable, Journée de l industrie électrique, Fête de la nature, etc.). L actualité du site nucléaire de Flamanville, comme celle de tous les autres sites, est disponible sur les pages dédiées à la centrale sur le site internet Le fil permet de suivre en temps réel l actualité de la centrale de Flamanville. L EPR de Flamanville 3 dispose également d un compte Twitter La centrale de Flamanville met aussi à disposition des riverains un numéro vert pour se tenir informé de l actualité de la centrale, des modalités d accès pour la visiter et pour poser des questions sur son fonctionnement, sept jours sur sept : Bilan 2014 et perspectives

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