MANUEL QUALITE Laboratoire d analyses médicales AX BIO OCEAN
|
|
- Henri Joseph
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MANUEL QUALITE Laboratoire d analyses médicales AX BIO OCEAN Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 1 sur 28
2 Sommaire 1. Introduction Présentation du LBM Renseignements administratifs... 3 a. Structure juridique... 3 b. Siège social :... 3 c. Dirigeants : Présentation de l activité du LBM Organisation géographie L équipe : Organigramme Le LBM et ses partenaires Mission du LBM Ethique Indépendance - Confidentialité Mission hygiène et sécurité Accueil des personnes à mobilité réduite Communication a. Communication interne b. Communication externe Système de management de la qualité Politique qualité Organisation et système de management Les acteurs de la qualité Les outils de l amélioration continue a. L écoute client b. Identification et maitrise des non conformités c. Actions correctives d. Actions préventives e. Indicateurs qualité f. Audits internes g. Amélioration continue h. Revue de direction Le système documentaire Maitrise des outils techniques et des compétences a. Processus PRE ANALYTIQUE b. Processus ANALYTIQUE c. Processus POST-ANALYTIQUE d. Processus URGENCE e. Processus RESSOURCES HUMAINES f. Processus MATERIEL g. Processus SYSTEME INFORMATIQUE DU LABORATOIRE h. Processus ACHAT ET GESTION DES STOCKS i. Processus HYGIENE SECURITE ET ENVIRONNEMENT J. Processus AMP..27 Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 2 sur 28
3 1. Introduction Le manuel qualité présente les dispositions générales adoptées et mises en œuvre par le laboratoire pour obtenir et garantir la qualité de ses prestations conformément aux exigences de la réglementation en vigueur et aux exigences de la norme NF EN ISO et du document SH Ref 02. Il décrit notamment l organisation du laboratoire, ses différents types de prestations et les dispositions mises en place et appliquées systématiquement en matière d assurance de la qualité. Il s adresse à notre structure interne, aux clients, prescripteurs, correspondants, partenaires, auditeurs Il s applique, pour les phases pré-analytique, analytique, et post-analytique dans les installations permanentes du laboratoire sur tous les sites et l ensemble des secteurs d activité. Le manuel qualité est tenu à jour sous l autorité et la responsabilité du responsable qualité désigné par la direction du laboratoire. Ce manuel qualité est diffusé sous la responsabilité de la Direction par le service qualité. Il est mis à disposition des patients sur chaque site dans les salles d attente. Pour les destinataires externes, il est disponible sur le site internet du laboratoire : axbioocean.fr Le manuel qualité fait partie de la documentation du système qualité du laboratoire. Il est soumis, de fait, aux exigences de la procédure de maîtrise de la documentation notamment en ce qui concerne l archivage. 2. Présentation du LBM 2.1 Renseignements administratifs a. Structure juridique b. Siège social : c. Dirigeants : LBM AX BIO OCEAN Raison sociale : SELARL Cf. extrait k bis en annexe 1. LBM Ax Bio Océan 31, av des Allées Paulmy Bayonne Tél : Télécopie : Dirigeants : 23 biologistes co-responsables 23 biologistes co-responsables Mme Nicole ETCHEGORRY Mme Geneviève COUS M. Dominique SAVARIT M. Sylvain BOURRINET M. Patrice BLOUIN M. Richard GLEICHMANN Mme Catherine LAPEYRE Mme Marie BRASSENS RABBE M. Christophe FERTIER M. Alain PECASTAING Mme Annie FOSSATS Mme Maylis BIDEGAIN Mme Anne DE BIGAULT DE CAZANOVE M. Sébastien BOUCHER Mme Valérie MOURGUES Mme Helene MARTEUILH Mme Marie BIDAULT Mme Armelle DUPUIS Mme Isabelle KHAFALLAH M. Eddy GRENIOUX M. Fréderic LACHATRE M. Remi BOUSSIER M. Jean-Louis CLAVERE Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 3 sur 28
4 2.2 Présentation de l activité du LBM Site PLATEAU MAIG 8 avenue du Colonel Melville LYNCH ANGLET Bayonne - Paulmy 31 av des Allées Paulmy BAYONNE Tel : Fax : Bayonne - Réduit 3-5 Place du Réduit Bayonne Tel : Fax : Bayonne - Saint Esprit Boulevard Alsace Lorraine Bayonne Tel : Fax : Bassussarry Zone du Makila Bassussarry Tel : Fax : Biarritz - Kennedy 55 av Président JF Kennedy Biarritz Tel : Fax : Boucau 16 av Charles de Galle Boucau Tel : Fax : Cambo 1 Place Cyrano Cambo les Bains Tel : Fax : Hasparren 23 rue de l Ursuya Hasparren Tel : Fax : Mauléon 35 Boulevard des Pyrénées Mauléon Tel : Fax : St Jean Pied de Port 22 avenue Renaud St Jean Pied de Port Tel : Fax : Saint Palais 25 bis avenue Frédéric de Saint Jaymes St Palais Tel : Fax : Activités Plateau technique : Immunologie Hématologie Hémostase, Sérologie Immuno-hématologie Bactériologie Site Technique : Biochimie générale et spécialisée (HT21 (agrément) Site Technique : Assistance médicale à la procréation (AMP)(agrément) Plateau technique: Biochimie générale Immunologie Hématologie Hémostase Immuno-hématologie Plateau: Immuno-hématologie Hématologie Hémostase Biochimie Permanence des soins OUI OUI OUI Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 4 sur 28
5 Site Dax - Sablar 8 av Saint Vincent de Paul Dax Tel : Fax : Dax St Vincent 9 rue Frédéric mistral Dax Tel : Fax : Dax - Centre 13 cours Galliéni Dax Tel : Fax : Hossegor 258 Av du Golf Hossegor Tel: Fax: St Paul les Dax 234 av de la Résistance St Paul les Dax Tel : Fax : St Vincent de Tyrosse Chemin Mattecu St Vincent de Tyrosse Tel : Fax : Peyrehorade Place Nauton Truquez Peyrehorade Tel : Fax : Saint Martin de Seignanx 50 rue Marie Curie St Martin de Seignanx Tel : Fax : Orthez 1 Place de la Poustelle Orthez Tel : Fax : Oloron Ste Marie 5 av Sadi Carnot Oloron Sainte Marie Tel : Fax : Salies de Béarn 10 rue de l église Salies de Béarn Tel : Fax : Activités Plateau technique clinique : Biochimie générale Immunologie Hématologie Hémostase Plateau technique: Biochimie générale Immunologie Hématologie Hémostase Plateau technique clinique: Immunologie Hématologie Hémostase Biochimie Permanence des soins OUI OUI Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 5 sur 28
6 2.3 Organisation géographie Plateau technique principal MAIG Plateaux techniques secondaires Sites péri-analytiques Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 6 sur 28
7 2.4 L équipe : Organigramme Direction - Collège de biologistes coresponsables COPIL Responsable HSE Responsable Métrologie / Matériel Responsable Achat Responsable Ressources humaines Responsable Informatique Responsable Vigilances Directeur qualité Pilote processus Commissions techniques Commissions processus Biologiste médical Biologiste Responsable Technique Responsable qualité Auditeur interne Correspondant HSE Correspondant Matériel Correspondant Achat Comptable Correspondant qualité Agent d entretien Coursier Préleveur Secrétaire Technicien Fonction qualité Lien fonctionnel Lien hiérarchique COPIL : Comité de Pilotage HSE : Hygiène, Sécurité et Environnement Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 7 sur 28
8 2.5 Le LBM et ses partenaires CENTRE NATIONAUX DE REFERENCE LBM SPECIALISE (BIOMNIS) LBM CENTRE HOSPITALIER (DAX / BAYONNE / ORTHEZ) Organismes de tutelle Organisme d accréditation ANSM COFRAC EFS LBM CENTRE HOSPITALIER (DAX / ORTHEZ) Sous-traitants MINISTERE DE LA SANTE LBM AX BIO OCEAN ORGANISMES PAYEURS (CPAM, MUTUELLES, ) Clients : demande d analyses ORDRE DES FOURNISSEURS Organismes payeurs IDE PATIENTS MEDECINS Fournisseurs Echange d analyses : sous-traitant + client EXPERTISE GREFFE DES TRIBUNAUX EHPAD CENTRES DE REEDUCATION FONCTIONNELLE MEDECINE DU TRAVAIL MAISONS DE RETRAITE HAD CLINIQUES SERVICE DES POMPIERS MAISONS DE SOINS CENTRES HOSPITALIERS Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 8 sur 28
9 2.6 Mission du LBM Le Laboratoire de biologie Médicale Ax Bio Océan remplit différentes missions qui sont les suivantes : Le laboratoire assure le prélèvement d échantillons divers (sang, autres liquides biologiques, tissus divers etc ) sur ses sites selon des protocoles adaptés. Le Laboratoire est chargé d effectuer en routine les analyses médicales prescrites par les médecins de ville et d établissements de soins afin de concourir au diagnostic et à la prescription des soins pour les patients. Le laboratoire est chargé de diffuser les résultats aux prescripteurs ainsi qu aux patients s ils le demandent, dans des délais conformes aux exigences de ses clients. Le laboratoire réalise des analyses en urgence et met en place les moyens permettant de répondre efficacement aux besoins. Il réalise également les prestations suivantes : - Prélèvement à domicile et en clinique - Collecte de prélèvements réalisés par des médecins et/ou Infirmières libérales Le laboratoire possède deux agréments : - Dosage des marqueurs sériques de la Trisomie 21 fœtale - PMA 2.7 Ethique Indépendance - Confidentialité La direction s assure de l absence de lien entre la rémunération et les résultats analytiques, en «quantité» et en «nature», ce qui permet d éviter toute pression sur le personnel. Afin de garantir les exigences déontologiques inhérentes aux activités du laboratoire, les principes immuables suivants sont respectés : Aucune considération financière ou politique n influe sur la réalisation des analyses ; L intérêt et les besoins du patient sont toujours la considération première ; Tous les patients sont traités équitablement et sans discrimination ; Seules les informations strictement nécessaires à la réalisation de l analyse et à l interprétation des résultats sont collectées. L ensemble du personnel est soumis au respect strict du secret professionnel et de la confidentialité. 2.8 Mission hygiène et sécurité La direction met en place et actualise régulièrement des procédures visant à garantir la sécurité et l hygiène des locaux et matériels: De son personnel dans l exercice de ses fonctions, lors de la manipulation d échantillons biologiques. Un dialogue est instauré entre les salariés et la direction en présence membres de la médecine du travail, au sein d une commission, le CHSCT, qui se réunit de manière trimestrielle. De ses patients au sein des sites de son laboratoire Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 9 sur 28
10 2.9 Accueil des personnes à mobilité réduite Un accès aux personnes à mobilité réduite est prévu sur l ensemble des sites du LBM. En cas d impossibilité de déplacement d un patient, le LBM s assure de rendre possible le prélèvement à domicile, soit via son réseau d IDE, soit par le déplacement du personnel du LBM autorisé Communication a. Communication interne Pour s assurer que la politique, les objectifs et les moyens mis en place, et les résultats associés sont connus et compris par l ensemble des collaborateurs, des actions de sensibilisation et de communication interne sont réalisées par la direction, le responsable qualité et correspondant qualité par différents moyens : Les revues de direction et les revues de processus, l affichage de notes de service, la messagerie interne via kalilab, les réunions qualité avec le personnel et au moins un membre de la commission qualité. Ils permettent de renforcer la compréhension et l appropriation, par l ensemble du personnel, des objectifs, des attentes des clients et des résultats liés à la performance du laboratoire. Les réunions qualité permettent aussi de recueillir les suggestions du personnel, suggestions analysées par la direction à des fins d amélioration des outils et plus globalement du système de management. b. Communication externe Communication avec les professionnels de santé Les biologistes échangent régulièrement avec leurs divers correspondants (CLIN, CME établissements de santé, réunions d information etc ) et selon les cas par le biais de notes d information par courrier. Le manuel de prélèvement est mis en ligne afin d être disponible à tout préleveur externe en temps réel. Ce manuel est également disponible depuis un smartphone. Communication avec les patients Les patients ont accès au site internet du laboratoire proposant un certain nombre d informations (coordonnées des différents sites du laboratoire, les activités pratiquées, ) ainsi qu au manuel qualité. L ensemble du personnel est à disposition des patients sur les différents sites pour répondre aux besoins, questions diverses ainsi que pour écouter leurs suggestions et enregistrer leurs réclamations. Des réunions d information pour la PMA sont aussi organisées périodiquement. Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 10 sur 28
11 3. Système de management de la qualité 3.1 Politique qualité 2015 Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 11 sur 28
12 Nos axes de progression pour 2015 Axe 1 : Assurer une communication interne efficace Rédiger la procédure «Assurer une communication interne efficace» (savoir à quel interlocuteur s adresser : associés Comité de pilotage membres de commissions processus / techniques responsable de site salariés-chsct ; définir quel est le logiciel de communication à utiliser selon les cas : Byg, Kalilab, ou Hexalis) - Tracer toutes les réunions et diffuser correctement les revues : gestion des revues. - Remplacement des notes internes par des messages de rappel S assurer de la satisfaction interne des utilisateurs quant au retour d information sur les différents projets du LBM (Communication ascendante et descendante et transversale) Axe 2 : Poursuivre la démarche d amélioration continue o Améliorer la gestion des non conformités et réclamations (rédaction, analyse périodique ) o S assurer que les éléments de mesure du niveau de qualité du LBM (Non conformités réclamations Indicateurs Qualité résultats contrôles qualité externalisés - ) soient analysés par les personnes responsables, soient sources d actions correctives si nécessaires et que les décisions prises soient communiquées à l ensemble des personnes concernées o Réaliser des revues de processus trimestrielles o Définir la fiche de fonction d un pilote de processus et leur assurer une formation qualité o Constituer une équipe d auditeurs internes et réaliser des audits internes de l ensemble de nos activités o Mettre en place au sein de chaque processus : l analyse de risque et l utilisation d indicateurs qualité Axe 3 : Sécuriser le processus analytique o Améliorer la gestion des contrôles de qualité internes et externes : stratégie de passage analyse d impact en cas de contrôle non conforme analyse des résultats en commission technique et communication des conclusions / actions aux salariés lors des réunions qualité sur site o Réalise la vérification de méthode d au moins 50% des examens dont 1 par famille COFRAC Axe 4 : S assurer d une organisation optimale pour le plateau Maignon et Clinique o o o Gestion des ressources humaines Gestion du matériel Gestion des tournées et de la logistique Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 12 sur 28
13 3.3 Organisation et système de management La direction a décidé de mettre en place un management par processus et d impliquer l ensemble de ses directeurs dans cette démarche d amélioration continue en les nommant dans des commissions processus. L ensemble de la direction est active dans le projet d accréditation du LBM. Le système de management est unique pour l ensemble du LBM. Il repose sur une politique qualité commune et un système documentaire harmonisé et homogène. Il couvre l ensemble des examens correspondant à sa portée flexible présenté et ce en tout temps, de jour comme de nuit. Toutes les activités du LBM sont identifiées, définies et suivies au travers de processus représentés sur la cartographie ci-dessous : Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 13 sur 28
14 Pour assurer l objectif d amélioration continue, le LBM fonctionne sur complémentaires : deux axes de travail Le PDCA (prévision maitrise analyse amélioration) de l ensemble de ses activités métier liées à la prise en charge des demandes d analyses ainsi que celles assurant le management de l entreprise et la disponibilité continue des ressources. Les activités sont organisées pour répondre aux besoins implicites et explicites des clients (patients, prescripteurs, IDE externes, autorités diverses, COFRAC..) La maitrise de ses outils techniques et des compétences de son personnel garantit le maintien du niveau de qualité atteint Amélioration Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 14 sur 28
15 3.4 Les acteurs de la qualité Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 15 sur 28
16 La direction du laboratoire est responsable de la conception, de la mise en œuvre, de la maintenance et de l amélioration du système de management de la qualité. Elle définit chaque année sa politique qualité et ses objectifs. Elle alloue les ressources nécessaires à la réalisation des objectifs et au maintien du niveau de qualité déjà atteint. Les directeurs qualité sont responsables du calendrier d accréditation et de l amélioration continue du niveau de qualité du LBM. Ils proposent activement des orientations pour la politique qualité et les objectifs annuels lors de la revue de direction. Ils forment avec le COPIL (comité de pilotage) le processus organisationnel ORG et en assurent le pilotage. Les directeurs qualité et les biologistes qualité sont responsables du suivi de l ensemble des outils de mesure de la qualité (non-conformités réclamations résultats d audits et d enquêtes indicateurs qualité). Ils surveillent la bonne adéquation entre les pratiques - les exigences de la norme NF EN ISO et les besoins des clients. Ils sont les garants d une bonne implication de tous dans le SMQ. Ils encadrent les ingénieurs qualité, le consultant qualité et les auditeurs internes et définissent conjointement avec l auditeur interne ICA un programme d audit annuel. Les ingénieurs qualité sont le relais entre les directeurs qualité et les pilotes de processus pour assurer une bonne déclinaison des objectifs qualité généraux en objectifs processus et mesurer régulièrement le niveau de qualité de chaque activité afin de proposer des actions correctives lorsqu une dérive est constatée. Elles sont également responsables de la maitrise documentaire. Enfin, elles encadrent les correspondants qualité. Le consultant qualité est sollicité pour expertise des actions prévues dans le cadre de la mise en conformité du LBM avec la norme NF EN ISO Les auditeurs internes réalisent le programme d audit définit par les biologistes qualité et sous la responsabilité de l auditeur ICA. Les pilotes de processus, soutenus par un ingénieur qualité, sont tenus de mesurer le niveau de maturité de leur processus et de mettre en place des actions d amélioration pour monter en puissance et développer ainsi le niveau de qualité de leurs activités. Les commissions processus sont chargées de l harmonisation des pratiques et de l assurance des compétences du personnel sur leurs activités. Elles analysent, avec l ingénieur qualité, le niveau de qualité atteint et cherchent les causes et solutions aux éventuelles dérives. Les commissions techniques et scientifiques sont chargées de la portée flexible de leur famille ainsi que de la vérification des méthodes pour les examens proposés à l accréditation. Elles sont également responsable de décider et communiquer toutes les exigences techniques de leur famille d examens (exigences pré-analytique / données techniques / commentaires post-analytiques) et enfin de surveiller leurs outils techniques (CQI EEQ anomalie analytique). Elles encadrent les référents techniques Les correspondants qualité sont le relais de la communication qualité entre le quotidien sur les sites et les ingénieurs qualité. Les référents techniques sont le relais de la communication technique entre le quotidien sur les paillasses et les commissions techniques. L ensemble des salariés et des biologistes médicaux sont acteurs du SMQ et s engagent à travailler en synergie avec leur équipe, les qualiticiens et la direction pour une atteinte maximale des objectifs qualité. Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 16 sur 28
17 3.5 Les outils de l amélioration continue a. L écoute client La procédure «Ecouter les clients internes et externes» décrit l engagement de la direction à mettre en place une organisation permettant de transformer les besoins des clients en satisfaction. Les clients sont tant externes qu internes. Les processus sont tour à tour client et fournisseur les uns des autres et à ce titre font donc partie intégrante de l écoute client. Les enquêtes de satisfaction ainsi que les réclamations sont analysées et servent de support à la mesure de la qualité perçue. Les résultats permettent de mettre en place des actions correctives et plus largement de définir la politique qualité et les objectifs qualité. L ensemble des salariés est sensibilisé à l importance de prendre en compte toute remarque et critique négative quant aux prestations proposées afin que la commission processus concernée puisse en analyser les causes et proposer des solutions pour y remédier. b. Identification et maitrise des non conformités La direction a donné les moyens nécessaires au bon déploiement de la gestion des non-conformités par la mise en place du logiciel KALILAB et l attribution de temps qualité aux correspondants qualité. L ensemble des salariés a connaissance de la procédure «Maitriser les non conformités» et participe activement à la déclaration de tout évènement ne respectant pas les exigences décrites dans les documents qualité, les cahiers des charges, les notes internes, les textes réglementaires L ensemble des salariés sait également identifier les non conformités pouvant affecter les résultats d analyses et avertit alors le biologiste médical afin de ne prendre aucun risque quant aux résultats rendus au patient et prescripteur. Seul un biologiste peut dans un tel cas décider de déroger et d accepter de rendre les résultats. Les non conformités sont analysées de façon régulière : point mensuel sur les sites techniques et point bimestriel dans les sites péri-analytiques. Les revues de ces analyses dans les sites permettent de mentionner les points de dysfonctionnement par processus afin d alerter les pilotes. Ces derniers abordent à leur tour en réunion de commission processus et/ou technique les dysfonctionnements mis en lumière. Cela permet d ouvrir d éventuelles actions correctives ainsi que de suivre le nombre et type de dérogations effectuées. Les dérogations fréquentes sont des signaux d alerte : soit le niveau de qualité est trop faible soit les objectifs et exigences fixés sont irréalisables. Les commissions des processus concernées sont responsables du niveau de qualité de leurs activités et à ce titre des mesures à prendre à l issue des analyses des non conformités, leurs causes, leurs impacts et les dérogations liées. c. Actions correctives L analyse de la criticité des dysfonctionnements est un outil permettant aux ingénieurs qualité de cibler les anomalies nécessitant la mise en place d action corrective (gravité*fréquence). Certains dysfonctionnements ne seront que «sous surveillance» et déclencheront une action corrective si la fréquence du problème augmente. Le logiciel Kalilab permet la documentation et le suivi des actions correctives ouvertes (action acteurs délai motivation indicateur de mesure de l efficacité de l action). Lorsque l indicateur d efficacité démontre une non amélioration du dysfonctionnement, une autre action est envisagée. Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 17 sur 28
18 d. Actions préventives La procédure «Piloter les processus» montre la volonté de la commission qualité et plus précisément des pilotes de processus d établir pour chaque activité de chaque processus, une analyse a priori des dysfonctionnements probables. La criticité de chaque dysfonctionnement amène les pilotes de processus, à mettre en place ou non des actions préventives. Ces actions préventives sont documentées dans Kalilab et leur efficacité est mesurée afin de s assurer de leur pertinence. Elles sont à l origine de : La rédaction d un document qualité Une information ou une formation La mise en place de nouvelles ressources ou organisation La mise en place d outils de traçabilité La mise en place d indicateurs qualité pour s assurer de la bonne marche de l activité e. Indicateurs qualité Il existe dans le SMQ deux types d indicateurs qualité : Indicateurs «Politique qualité». ils sont annuels et liés à un objectif qualité. Ils permettent de suivre la bonne réalisation de l objectif et son impact positif sur le niveau de qualité du LBM. Indicateurs «Surveillance». Ils sont liés à une activité et sont décidés suite à une analyse de risques a priori ou une analyse de dysfonctionnements (écart audit non conformités réclamation). Ils permettent de surveiller la non apparition d une dérive. Les indicateurs qualité sont documentés de la façon suivante : Processus concerné Responsable de l indicateur Fréquence de mesure Bornes acceptables / objectifs à atteindre / seuil de tolérance Date d ouverture date de clôture Conditions de clôture Conditions déclenchant une analyses des résultats (causes de dérive actions correctives) f. Audits internes Un planning d audit annuel proposé par la commission qualité et approuvé par l ensemble de la direction prévoit l audit de l ensemble des processus. Ces audits sont des leviers d amélioration de notre système qualité. Ils permettent de mettre en lumière les dérives des activités et la non satisfaction aux exigences de la norme NF EN ISO Ces audits sont pratiqués par une personne formée à l audit interne et habilitée. L auditeur est systématiquement détaché des activités auditées pour garantir l objectivité de l audit et l absence de conflit d intérêt. Une équipe d auditeurs internes a été constituée et formée début 2015 par l auditeur ICA du LBM. Les résultats des audits sont analysés en revue de processus puis en revue de direction. Ils sont le socle de plans d actions pour augmenter le niveau de qualité des prestations proposées par le LBM. Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 18 sur 28
19 g. Amélioration continue Le laboratoire s est fixé comme mission l optimisation de son fonctionnement dans le but de garantir que les soins prodigués au patient soient de la meilleure qualité possible. Pour cela chaque pilote de processus, accompagné d un ingénieur qualité et de sa commission, dessine chaque année au cours d une revue de processus des actions à mener pour augmenter le degré de maturité de son processus. Les actions d amélioration sont analysées en revue de direction. Toutes les idées sont alors cotées (faisabilité - impact sur le client impact sur le niveau de qualité du LBM) et intègrent ou non un plan d action (court moyen ou long terme). La direction attribue les ressources nécessaires et les pilotes, les ingénieurs et les biologistes qualité suivent les plans d actions afin d assurer leur bonne réalisation. Les commissions techniques déploient également leur calendrier de vérification des méthodes en accord avec l ensemble de la direction, et ce pour garantir la sécurité des résultats analytiques. h. Revue de direction La direction, les biologistes médicaux, les ingénieurs qualité participent au minimum à deux revues de direction chaque année. Des revues exceptionnelles peuvent également être réalisées si la direction ou la commission qualité le juge nécessaire. Ces revues ont pour objectif global de mesurer le niveau de qualité des prestations proposées dans le cadre des soins prodigués aux patients. C est donc un temps fort pour le laboratoire qui profite de ces revues pour : Analyser les résultats de mesure de la qualité des activités du LBM : audits internes, enquêtes, bilans des non conformités et réclamations, indicateurs qualité Analyser sa dynamique d amélioration continue en critiquant l avancée des différents plans d actions et l efficacité des actions entreprises Analyser la performance des actions préventives pour la maitrise des risques Critiquer l atteinte ou non des objectifs fixés Mesurer la performance des outils technique (EEQ ) Mesurer le niveau de qualité des organisations externes Evaluer la performance des fournisseurs et sous-traitants Discuter des suggestions du personnel Evaluer la pertinence des examens réalisés et la pertinence de ses procédures d acceptation et de gestion des échantillons Mettre en place une nouvelle ligne de conduite pour optimiser son fonctionnement et développer son niveau de qualité = nouvelle politique et nouveaux objectifs pour l année à venir Le compte-rendu de chaque revue de direction est porté à la connaissance de tout le personnel afin de lui faire part des différentes conclusions et décisions prises. Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 19 sur 28
20 3.6 Le système documentaire Le système de management de la qualité s appuie sur une gestion stricte des documents internes et externes permettant notamment l harmonisation des pratiques et la mise à disposition des informations utiles à la bonne réalisation des activités. Les documents sont organisés selon la structure suivante : Documentation externe L ensemble des documents fait l objet d une identification univoque et unique. La nomenclature utilisée est décrite dans la procédure de «Gestion documentaire». Les documents sont gérés par le logiciel KALILAB. Cela permet : De diffuser de façon sélective les documents qualité De suivre la lecture et l engagement à respecter les consignes énoncées De faire des demandes de modification de documents en vigueur D assurer une disponibilité totale des documents aux salariés De suivre l état d un document (rédaction vérification approbation diffusion nouvelle version en cours de rédaction) D archiver les versions obsolètes De tenir le calendrier des documents à réviser Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 20 sur 28
21 3.7 Maitrise des outils techniques et des compétences a. Processus PRE ANALYTIQUE 6. Assurer l identitovigilance 1. Traiter les demandes d analyses 2. Prélever le patient 3. Préparer les échantillons biologiques 4. Transporter les échantillons 5. Réceptionner des échantillons biologiques * prélevés à l extérieur du LBM * d un autre site du LBM H Réception FOURNISSEURS : 1. Préleveurs externes : réalisant des prélèvements selon la convention signée avec le LBM 2. Patients : apportant des prélèvements réalisés par leurs soins ou par un préleveur externe selon les recommandations données par le LBM Objectifs du processus Fournir des échantillons conformes prêts à être techniqués dans les délais préconisés Fournir les données cliniques nécessaires à la bonne interprétation des résultats et à une prestation de conseil efficace Garantir l intégrité et le maintien de l identité du patient Informer et former les fournisseurs (préleveurs externes et patients) aux exigences pré-analytiques pour la réalisation d un bon prélèvement acheminés dans les conditions assurant l intégrité des échantillons, ainsi qu aux renseignements cliniques nécessaires à l interprétation des résultats Engagement de la direction La direction a priorisé l uniformisation des pratiques de la phase préanalytique lors de la dernière fusion amenant le LBM à compter 23 sites. L objectif étant de minimiser les risques de non réalisation des analyses ou d interprétation impossible faute d échantillon conforme et de données cliniques pertinentes portées à la connaissance des biologistes. Dans ce but une table de préconisations synthétique listant l ensemble des analyses réalisées par le LBM et les préconisations pour chacune est mise à la disposition de tous, préleveurs internes et externes. La fiche de suivi médical a également été repensée pour permettre la saisie des données cliniques nécessaires L uniformisation du SIL a également permis d améliorer le niveau de qualité du processus pré-analytique pour une communication parfaite entre les 23 sites. Les conditions de transport inter-sites, les phases d envois et de réception font l objet d une surveillance constante : la mise en place d un logiciel de colisage permet de connaitre, critiquer et améliorer les délais d acheminement des échantillons des sites péri-analytiques vers les plateaux techniques, ceci afin d améliorer les délais de rendu des résultats. Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 21 sur 28
22 b. Processus ANALYTIQUE Réaliser Gérer les contrôles de qualité interne Réaliser l analyse Réaliser la validation analytique Méthode Vérification (portée A) d une méthode de biologie médicale Gérer la portée flexible Gérer les EEQ Vigilance Réactovigilance Objectifs du processus Réaliser des analyses selon des méthodes vérifiées et dont la performance est régulièrement surveillée D assurer une communication rapide des résultats pathologique urgents ou à implication sérieuse au biologiste médical pour une prise en charge optimale du patient Engagement de la direction La direction a priorisé l uniformisation : o Des méthodes utilisées o Des supports de prélèvement o Des règles de validation des CQI o Des fournisseurs d EEQ o Des critères d alertes de validation automatique de repasse Ainsi que l achat du logiciel BYG permettant une gestion complète et automatisée des CQI ainsi des dossiers de vérification. Ainsi, tout technicien ou biologiste peut suivre depuis n importe quel site le comportement des CQI, les incertitudes de mesure.. Les commissions techniques ont rédigé les différents modes opératoires utiles à la bonne utilisation des automates et à la réalisation des analyses. Ces derniers sont disponibles sur KALILAB et aux postes de travail. Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 22 sur 28
23 c. Processus POST-ANALYTIQUE 1. Valider et interpréter les résultats 2. Transmettre les résultats 3. Assurer une prestation de conseil 4. Conserver les échantillons biologiques 5. Evaluer les prestations des sous-traitants 6. Gérer les paiements des dossiers Sous-traitants : résultats d analyses sous-traitées FOURNISSEURS : Objectifs du processus Interpréter les résultats aux patients et prescripteurs = prestation de conseil pour une bonne prise en charge médicale Transmettre les résultats dans des délais compatibles avec une éventuelle prise en charge médicale Conserver les échantillons dans de bonnes conditions pour une éventuelle reprise ou un ajout d examens complémentaires Sécuriser la validation et le rendu des résultats pendant la permanence de soins Assurer le paiement des dossiers Evaluer les sous-traitants pour rendre compte à la direction en RDD Engagement de la direction Les biologistes médicaux font systématiquement et quotidiennement la revue de l ensemble des résultats disponibles (résultats du LBM et Résultats d examens sous-traités) et apportent une conclusion au compterendu au regard des informations cliniques disponibles lorsque cela est pertinent pour les soins prodigués au patient. Chaque responsable technique a établi pour l ensemble des paramètres de son domaine, les valeurs de référence biologique et les valeurs critiques nécessitant la communication urgente des résultats. Ces données sont connues des biologistes médicaux et des techniciens afin d assurer la rapidité de la prise en charge médicale du patient. La direction a investi dans des ressources informatiques afin de permettre une optimisation du processus de validation, interprétation et rendu des résultats. Les biologistes médicaux ont ainsi à leur disposition pour une validation complète, pertinente et fiable : o Les résultats des CQI dans BYG o Les incertitudes de mesures dans BYG o Les délais de prise en charge des échantillons dans le Middleware d Hexalis o Les éventuelles non conformités liées au dossier dans Kalilab Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 23 sur 28
24 d. Processus URGENCE Les demandes urgentes telles que spécifiées par les prescripteurs suivent un processus spécifique afin d assurer une maitrise optimale des risques de non satisfaction du délai de rendu des résultats. Toutes les mesures préventives sont mises en place et l ensemble des salariés est sensibilisé aux consignes de traitement d une demande urgente, de l enregistrement du dossier à la transmission des résultats en passant par l identification des échantillons et le tri spécifique en technique. e. Processus RESSOURCES HUMAINES 1 Recruter / Intégrer 2 Accueillir les stagiaires 4. Former 5.Qualifier / habiliter 7 Gérer le dossier du personnel 6 Ré - évaluer 3 Gérer les plannings Objectifs du processus Définir les fonctions stratégiques nommées fonctions clés et mettre en place une suppléance afin de garantir le bon maintien des responsabilités et activités Garantir la compétence des personnes affectées aux différentes activités. Ceci passe par des habilitations à la réalisation de diverses tâches liées à la fonction de la personne et à l évaluation périodique des compétences Garantir la formation continue de chaque salarié. Ceci passe par des formations internes et/ou externes. Une formation au SMQ est dispensée à tous les salariés afin de permettre à chacun de participer et faire vivre la qualité au quotidien. La présence suffisante de salariés pour la bonne réalisation de l ensemble des activités du LBM. Engagement de la direction La direction a souhaité prioriser les actions de ce processus de la façon suivante : o Habilitation de l ensemble des salariés aux tâches effectuées afin de garantir les compétences humaines o Formations internes fréquentes aux nouvelles organisations et aux nouveaux outils pour une bonne maitrise des activités o L attribution de nouvelles fonctions dite «correspondant» sur chaque site afin d assurer un dialogue de qualité entre les commissions processus et le terrain. Nous avons ainsi les correspondants : Qualité Colisage Matériel Achat et gestion des stocks HSE o La mise en place des fonctions «référents de poste» permettant un dialogue de qualité entre les commissions techniques et les paillasses sur les sites techniques. La maitrise des compétences, du bien-être et de l implication du personnel est un levier de prévention des dysfonctionnements éventuels au sein du laboratoire. C est donc une étape clé dans la gestion du laboratoire pour garantir la réalisation des différents objectifs fixés. Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 24 sur 28
25 f. Processus MATERIEL 1 Maintenir les équipements 2 Réaliser raccordement métrologique 3 Gérer activité analytique en mode dégradé Objectifs du processus Mettre à disposition des équipements maintenus et en bon état de fonctionnement, afin de garantir la qualité des analyses et des services rendus, ainsi que la sécurité du personnel qui les utilisent Garantir la continuité du service en cas de pannes Engagement de la direction La direction a investi dans le logiciel KALILAB, pour la gestion de la qualité et plus précisément dans le cadre de ce processus pour la documentation du matériel utilisé dans chaque site. Des formations ont été dispensées aux correspondants matériel et du temps a été dégagé pour prendre en main ce logiciel qui permet maintenant une maitrise des activités du processus, à savoir : Liste à jour des matériels utilisés Alertes des maintenances préventives adressées aux personnes habilitées à les réaliser Traçabilité des maintenances internes et externes, préventives comme curatives Traçabilité des étalonnages Analyses des NC par matériel Liaison entre le matériel et les documents liés utiles à la bonne utilisation et au bon entretien de ce dernier Les données issues de toute la traçabilité matérielle sont analysées par le pilote de processus et proposées en revue de direction. Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 25 sur 28
26 g. Processus SYSTEME INFORMATIQUE DU LABORATOIRE Sécurisation du SIL 1. Assurer l intégrité et la sécurité des données informatisées Objectifs du processus Assurer l intégrité et la disponibilité des données informatisées dans le temps Assurer la confidentialité des données informatisées Fournir des outils informatiques performants Engagement de la direction La direction s engage à maitriser ses outils SIL afin d assurer : La sécurité d accès aux données en fonction des habilitations et fonctions de chaque salarié L intégrité des données entre toutes les interfaces SIL ainsi que les éditions papiers et transmissions électroniques des résultats L intégrité dans le temps de l ensemble des données Des tests sont régulièrement réalisés pour assurer la maitrise des différents risques liés à l intégrité des données. Les droits de paramétrages sont limités aux biologistes référents informatiques et toute opération de paramétrage est soumise à un test de vérification avant d être validé Les mots de passe sont changés automatiquement tous les 6 mois Les fonctions critiques de chaque logiciel ont également été listées et sont accompagnées de modes dégradés afin d assurer la continuité des activités même en l absence de ressources SIL. Un contrat de maintenance avec le prestataire SIL permet enfin d assurer une prise en charge rapide lors d un dysfonctionnement. Enfin, le SIL a fait l objet d une déclaration à la CNIL sous le Numéro Les patients sont informés de leur droit en terme de sauvegarde / destruction des données personnelles détenues par le LBM. Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 26 sur 28
27 h. Processus ACHAT ET GESTION DES STOCKS Objectifs du processus Sélectionner et évaluer les fournisseurs Assurer la fourniture de consommables et d équipements de qualité Gérer les approvisionnements nécessaires à la réalisation des analyses (équipements, consommables) et au fonctionnement général du laboratoire (fournitures bureau, ) Gérer les stocks des consommables Engagement de la direction L axe prioritaire de travail de ce processus a été de mettre en place l utilisation de cahier des charges et d un circuit d achat. Ainsi, un cahier des charges type et son guide d utilisation sont à la disposition de toutes les commissions processus et commissions techniques. Ces dernières peuvent ainsi documenter leurs demandes d achats de matériels et fournitures auprès de la commission Achat. L utilisation de ce cahier des charges permet de poser les critères de sélection et d évaluation des fournisseurs. Ces évaluations ont lieu tous les ans en revue de direction. Ensuite, l achat du logiciel KALILAB pour toute la structure et plus particulièrement dans ce processus, le module STOCKS permet : D uniformiser les catalogues de produits afin que toute la structure travaille sur les mêmes supports De suivre les commandes en cours, celles déjà réalisées, les différents mouvements de stocks Connaitre les quantités disponibles et éventuellement réaliser des approvisionnements entre sites pour un dépannage ponctuel Maitriser les dates de péremption Maitriser les quantités et déclencher des alertes commandes lorsque les stocks sont trop faibles. Lier des non conformités produits / commandes / livraison à un fournisseur et ainsi enrichir l évaluation annuelle Enfin, des sondes thermiques étalonnées COFRAC et un logiciel de suivi des températures ont été achetés et surveillent en continu les températures des différentes zones. Ceci afin d assurer le maintien de la qualité et de l intégrité des consommables et équipements. Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 27 sur 28
28 i. Processus HYGIENE SECURITE ET ENVIRONNEMENT 1. Assurer la sécurité de tous au sein des activités du LBM 2. Assurer l hygiène des locaux et du matériel 3. Gérer les déchets 4. Assurer le respect de la confidentialité Objectifs du processus Assurer la propreté des locaux Maitriser les risques au sein des locaux et au cours des activités Maîtriser le circuit des déchets Assurer le respect de la confidentialité Engagement de la direction La direction s engage à ce que ses locaux et aménagements permettent : Le confort des patients, visiteurs et salariés Un accès à tout type de patientèle : personnes âgées, handicapées, jeunes enfants Le respect de la confidentialité L identification claire et univoque des zones à accès limité La séparation des activités d accueil et de technique et plus spécifiquement la séparation en technique des activités dites incompatibles (plateau de bactériologie séparé des autres activités) Une zone de stockage et de rangement n affectant pas la sécurité du personnel et des clients Une salle de repos pour le personnel Le respect des normes d hygiène et sécurité. Le CHSCT participe avec le médecin du travail au déploiement des installations adéquates (lumière, niveau sonore, température, gestion des déchets..). Une vérification des différentes installations (électriques, alarme incendie, extincteurs, portes automatiques..) est réalisée chaque année et met en avant les points de sécurité à revoir. Le CHSCT est responsable de l amélioration des conditions de travail. Des mesures sont prises pour garantir également la propreté des locaux et des surfaces de travail pour éviter tout risque de contamination des personnes et des échantillons primaires. La traçabilité des opérations de nettoyage permet d attester que les dispositions prises sont effectuées. (traçabilité dans Kalilab) j. Processus AMP Le processus AMP possède son propre Manuel d Assurance Qualité. Référence : 4-A1-MQ Ref : 0-A1-MQ Version : 03 - Page 28 sur 28
Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013
La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du
Plus en détailMise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé
Mise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé SELARL ANALYS / SELARL ANALYS-I Une démarche d accréditation multisites Journée du 29 Juin 2010 Thierry Avellan tavellan@free.fr
Plus en détailManuel qualité du laboratoire
Laboratoire de biologie médicale des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Pôle de biologie 1 place de l Hôpital BP 426 67091 Strasbourg Cedex Manuel qualité du laboratoire Version 04 Rédaction : Cellule
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailAudit interne. Audit interne
Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils
Plus en détailMANUEL ASSURANCE QUALITE MANUEL QUALITE CENTRE DE BIOLOGIE DU LANGUEDOC
MANUEL ASSURANCE QUALITE Ref : MAQ-COMM-TOUS-001-14 Version : 14 Applicable le : 09-01-2015 MANUEL QUALITE CENTRE DE BIOLOGIE DU LANGUEDOC BEGUIER E. - CALIEZ T. - FONTES C. -JEANE. KERDRANVAT H. - LE
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLa gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité
La gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité 8 ème journée professionnelle de l ANTAB - 21 Octobre 2011 Fatima TOUBAIS Ingénieur qualité Accréditation des Laboratoires Direction
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailManuel Management Qualité ISO 9001 V2000. Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13
Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13 Manuel Management Qualité ISO 9001 V2000 EVOLUTIONS INDICE DATE NATURE DE L'EVOLUTION 00 09/06/2000 Edition Originale 01 29/09/2000 Modification suite à audit interne
Plus en détailRéférences : norme ISO 15189 et documents COFRAC applicables au laboratoire. Laboratoire Benezech Delhoume
MANUEL D ASSURANCE LABORATOIRE Références : norme ISO 15189 et documents COFRAC applicables au laboratoire Laboratoire Benezech Delhoume 1 rue Père Colombier 81000 ALBI Tel : 05 63 77 78 90 Fax : 05 63
Plus en détailGénie Logiciel LA QUALITE 1/5 LA QUALITE 3/5 LA QUALITE 2/5 LA QUALITE 4/5 LA QUALITE 5/5
Noël NOVELLI ; Université d Aix-Marseille; LIF et Département d Informatique Case 901 ; 163 avenue de Luminy 13 288 MARSEILLE cedex 9 Génie Logiciel LA QUALITE 1/5 La gestion de la qualité Enjeux de la
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailLa métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart
La métrologie au laboratoire vigitemp 10 centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 Base de données Utilisateur Principe général
Plus en détailSystèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailREF01 Référentiel de labellisation des laboratoires de recherche_v3
Introduction Le présent référentiel de labellisation est destiné aux laboratoires qui souhaitent mettre en place un dispositif de maîtrise de la qualité des mesures. La norme ISO 9001 contient essentiellement
Plus en détailActivités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets
Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Activités 1. 1. Pilotage, management Direction Informer et aider les élus à la décision Définir (ou participer à la définition de) la stratégie de la direction
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détailSERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS
SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques
Plus en détailTremplins de la Qualité. Tome 2
Tome 2 CET OUVRAGE EST UN GUIDE D INTERPRETATION DE LA NORME NF EN ISO 9001 VERSION 2000 AVANTPROPOS Ce guide d aide à la rédaction du Manuel de Management de la Qualité a été rédigé par la Fédération
Plus en détailActivité : Élaboration, mise en forme et renseignement de documents
ACTIVITÉS ADMINISTRATIVES À CARACTÈRE TECHNIQUE Activité : Élaboration, mise en forme et renseignement de documents Tâche : Rédaction de messages et de courriers professionnels simples liés à l activité
Plus en détailMANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC
MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC Lorraine Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux
Plus en détailBEP métiers des services administratifs BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS
BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS ANNEXE I a RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES I. APPELLATION DU DIPLÔME BEP métiers des services administratifs RÉFÉRENTIEL
Plus en détailCQP Plasturgie Opérateur spécialisé en assemblage, parachèvement finition. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification
CQP Plasturgie Opérateur spécialisé en assemblage, parachèvement finition Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification Designation du métier ou des composantes du métier en lien
Plus en détailAccueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA
Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil
Plus en détailAuteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité. Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président. Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015
Manuel Qualité Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015 CIS Valley Manuel Qualité- MAQ_V08 page 1/16 Engagement
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR
DIRECTION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR BREVET DE TECHNICIEN SUPERIEUR «Services et prestations des secteurs sanitaire et social» Septembre 2007 Arrêté portant définition et fixant les conditions
Plus en détailMANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC
Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux référentiels dont le plus connu et le
Plus en détailCQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification
CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification DESIGNATION DU METIER OU DES COMPOSANTES DU METIER EN LIEN AVEC LE CQP Le titulaire
Plus en détailREFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISION PARITAIRE NATIONALE DE L EMPLOI DE LE METALLURGIE Qualification : Catégorie : B Dernière modification : 10/04/2008 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 I OBJECTIF
Plus en détailRôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique
Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des
Plus en détailAccréditation des laboratoires de ais
Accréditation des laboratoires de biologie médicale m français ais Hélène MEHAY Directrice de la section Santé Humaine Cofrac 52 rue Jacques Hillairet 75012 Paris Journée FHF Centre 30 juin 2015 1 L accréditation
Plus en détailMémoire technique Aide à la rédaction
Mémoire technique Aide à la rédaction Pour apprécier la valeur technique de l offre, le maître d ouvrage peut exiger des candidats la fourniture d un mémoire technique. Deux cas de figure s offrent alors
Plus en détailRapport d'audit interne du processus RESSOURCES MATERIELLES NANCY
Rapport d'audit interne du processus RESSOURCES MATERIELLES Date de l'audit : 23/03/2010 - Processus audité(s) : Système management qualité Site audité : Nancy Référentiel(s) : ISO 9001 : 2008 Équipe d'audit
Plus en détailZone de commentaires. Convention EFS / ES ( document à joindre) II, Les systèmes d'information OUI NON NC Zone de commentaires. Zone de commentaires
5. ENSEMBLE DES PIECES CONSTITUANT LE DOSSIER A FOURNIR A L'AGENCE REGIONALE DE L'HOSPITALISATION POUR UNE DEMANDE D AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT D UN DEPÔT DE SANG DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE I.
Plus en détailDURÉE PUBLIC CONCERNÉ PRÉ-REQUIS. OUTIL PÉDAGOGIQUE FORMATEUR(S) PRIX Consultant CQS
43 A-011 2 demi-journées / 7 heures Utilisateur :Tout personnel de la structure qui sera Obligatoire : Aucun pré-requis n est nécessaire. amené à utiliser le logiciel au quotidien. Facultatif : Avoir des
Plus en détailBaccalauréat professionnel. Maintenance des Équipements Industriels
Baccalauréat professionnel Maintenance des Équipements Industriels 2005 SOMMAIRE DES ANNEXES DE L ARRÊTÉ DE CRÉATION DU DIPLÔME ANNEXE I : RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME I a. Référentiel des activités professionnelles...7
Plus en détailUnité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012
Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche
Plus en détailPROCEDURE ENREGISTREMENT
Page 1 sur 7 ANNULE ET REMPLACE LES DOCUMENTS SUIVANTS référence 04/PR/001/02/V01 04/PR/001/02/V02 04/PR/001/02/V03 04/PR/001/02/V04 04/PR/001/02/V05 04/PR/001/02/V06 04/PR/001/02/V07 04/PR/001/02/V08
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailMANUEL Q S E. Mise à jour : Mai 2014. Qualité - Sécurité - Environnement
MANUEL Q S E Mise à jour : Mai 2014 Qualité - Sécurité - Environnement Editorial BÂTIMENTS - Privé - Public - Industriel La société RIVASI BTP est implantée dans la Drôme et les Bouches-du-Rhône. Elle
Plus en détailBTS Assistant de manager(s) LES FINALITES PROFESSIONNELLES
BTS Assistant de manager(s) LES FINALITES PROFESSIONNELLES 1 FINALITÉ 1 Soutien à la communication et aux relations internes et externes L assistant facilite la communication à tous les niveaux (interpersonnel,
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailCAP d Installateur sanitaire RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES
PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES Les activités sont à développer lors de la réalisation d un ouvrage ou d une installation simple ACTIVITES : 1) Préparation / Organisation 1- Prendre connaissance du
Plus en détailRÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES. Présentation
RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES Présentation Les matériels agricoles, de travaux publics et de manutention, de parcs et jardins sont de plus en plus complexes et l'évolution de leurs technologies
Plus en détailCe document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE
MANUEL MANAGEMENT QUALITE Révision janvier 2010 Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE Place d
Plus en détailAuditabilité des SI et Sécurité
Auditabilité des SI et Sécurité Principes et cas pratique Géraldine GICQUEL ggicquel@chi-poissy-st-germain.fr Rémi TILLY remi.tilly@gcsdsisif.fr SOMMAIRE 1 2 3 4 Les leviers d amélioration de la SSI Les
Plus en détailAcquisition. d une centrale de surveillance des températures CAHIER DES CHARGES. Maître de l'ouvrage :
Acquisition d une centrale de surveillance des températures CAHIER DES CHARGES Maître de l'ouvrage : INSTITUT NATIONAL DE LA RECHERCHE AGRONOMIQUE Etablissement public à caractère Scientifique et Technologique
Plus en détailEtude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie pharmaceutique et les CQP des industries chimiques
Etude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie et les CQP des industries chimiques @ COPYRIGHT LEEM - Page 1 sur 51 Sommaire 1 - Finalités des passerelles... 3 2 - Principes
Plus en détailAudit COFRAC sur site : un examen détaillé pour la réussite de votre accréditation!
Accréditation COFRAC ISO 15189 Audit COFRAC sur site : un examen détaillé pour la réussite de votre accréditation! Audit Accréditation COFRAC ISO 15189 L Audit sur site, un soutien précieux! Engagé dans
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailA1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE
Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de
Plus en détailCharte d audit du groupe Dexia
Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans
Plus en détailTECHNIQUES INDUSTRIELLES MANAGEMENT ECOLE DU MANAGEMENT ORGANISATION INDUSTRIELLE FORMATIONS REGLEMENTAIRES BUREAUTIQUE ET INFORMATIQUE
! CALENDRIER DES S INTER-ENTREPRISES ENTREPRISES 2015 TECHNIQUES INDUSTRIELLES MANAGEMENT ECOLE DU MANAGEMENT ORGANISATION INDUSTRIELLE S REGLEMENTAIRES BUREAUTIQUE ET INFORMATIQUE CONTACTS Bas-Rhin -
Plus en détailLE référentiel des métiers
LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des
Plus en détailRéorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban
Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Cahier des charges du Logiciel Médico Technique Rédigé en collaboration avec Cahier des charges du Logiciel Médico Technique La procédure d
Plus en détailMANUEL QUALITE. Greiner Bio-One SAS
MANUEL QUALITE Greiner Bio-One SAS Version 2 - Avril 2013 Page 2 sur 28 SOMMAIRE Fonctions du manuel qualité page 4 Politique et engagement de la Direction page 5 Présentation de Greiner Bio-One page 6
Plus en détailCQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle
CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Guide de repérage des compétences du candidat Candidat Nom :... Prénom :........ Entreprise :... Le document original est conservé par l entreprise
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailDPS 14 septembre 06. Bilan de l avancée de la démarche à 6 mois AIPST Caen
DPS 14 septembre 06 Bilan de l avancée de la démarche à 6 mois AIPST Caen Composition du comité de pilotage, constitué en Janvier 2006 Composition du comité de pilotage de l AIPST / Groupe régional - 2
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailProgramme Hôpital numérique
Programme Hôpital numérique Boite à outils pour l atteinte des pré-requis Fiches pratiques Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire 1. LE PROGRAMME HOPITAL NUMERIQUE... 3 2. LE SOCLE
Plus en détailLA GESTION DU DEVELOPPEMENT INDIVIDUEL. Hôtesse Standardiste
LA GESTION DU DEVELOPPEMENT INDIVIDUEL Hôtesse Standardiste EVALUATION GDI DU SALARIE Hôtesse Standardiste NOM : PRENOM : Période d'activité : Matricule : Date de l'entretien : Préambule à l'entretien
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailProgramme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation
G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2
Plus en détailCharte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon
Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailSYSTÈME DE MANAGEMENT DE LA QUALITÉ
SYSTÈME DE MANAGEMENT DE LA QUALITÉ Version Objet des modifications 30/10/2009 Conception initiale du manuel 10/02/2011 Amélioration n 1 du système 17/02/2012 Amélioration n 2 du système Etabli & Vérifié
Plus en détailBaccalauréat professionnel vente (prospection - négociation - suivi de clientèle) RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION
RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 16 I. COMPÉTENCES C1. PROSPECTER C11. Élaborer un projet de prospection C12. Organiser une opération de prospection C13. Réaliser une opération de prospection C14. Analyser
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailLa biologie médicale en France : présent et avenir. Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015
La biologie médicale en France : présent et avenir Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015 Les fondamentaux de la biologie médicale en France Une discipline jeune, apparue dans les années
Plus en détailFonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com
Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut
Plus en détailRecours aux entreprises extérieures
RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détail3 - Sélection des fournisseurs... 4. 4 Marche courante... 5. 4.1 Conditionnement Transport... 5. 4.2 Livraison... 5
1 SOMMAIRE 1 Introduction... 3 2 Principes... 3 3 - Sélection des fournisseurs... 4 4 Marche courante... 5 4.1 Conditionnement Transport... 5 4.2 Livraison... 5 4.3 - Garantie qualité / Conformité... 5
Plus en détailAméliorer l efficacité de votre fonction RH
Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes
Plus en détailLABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax.
LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax. 01.39.43.78.79 www.laboexpress.fr SOMMAIRE I. PRESENTATION
Plus en détailLa dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé
La dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé HOPITECH - Angers 10 Octobre 2014 Vladimir Vilter ASIP Santé Comment échanger par mail les données de santé des patients facilement
Plus en détailManuel Qualité. Satisfaire durablement et efficacement nos clients
Q Manuel Qualité Satisfaire durablement et efficacement nos clients Politique Qualité Acteur reconnu de la sécurité des personnes et des biens et de la protection de l environnement, Apave a la volonté
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA
1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement
Plus en détailLe champ d application de notre système de management
NOS ACTIVITES NOTRE ENGAGEMENT NOTRE FONCTIONNEMENT Le périmètre de notre système de management Le périmètre du Système de Management correspond au site de Bordeaux (usine, Unité de Développement des Systèmes
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailFORMATION DU PERSONNEL. Année. Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre
DU PERSONNEL Année Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre 1. LE PLAN DE. L élaboration du plan de formation. La direction des ressources humaines est chargée
Plus en détailC11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges
Classe de situation (3) Clas.1.1. Conduite d'un projet de F1 Mise en œuvre et suivi de projets de (3 classes de situations / 10 situations / 12 compétences) Situations (4+2+4) Compétences (6+2+4) Compétences
Plus en détailVotre expert en flux documentaires et logistiques. Prestations audit/conseils
Votre expert en flux documentaires et logistiques Prestations audit/conseils 1. ConseiL optimisation d exploitation courrier 2. Conseil Aménagements 3. Conseil en procédures de gestion courrier 4. Accompagnement
Plus en détailTableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication
Bande de Com! Tableau de Bord Julien Pansier PROJET Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication 1.1.1 Prise en charge du dossier de l annonceur C11.1. S approprier la demande de l annonceur - Comprendre
Plus en détailCADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL
CADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL Coopératives de services financiers Publication initiale : Décembre 2007 Mise à jour : TABLE DES MATIÈRES 1. Introduction... 3 2. Principes généraux...
Plus en détailLa fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.
Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord
Plus en détailConditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE
DEPARTEMENT ENVELOPPES ET REVETEMENTS Constructions Légères et Couvertures Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE Livraison Cahier V1 de Mars 2010
Plus en détailCAP Serrurier-métallier REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES ACTIVITES ET TACHES
REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES ACTIVITES ET TACHES ACTIVITES : TACHES 1 - Prendre connaissance des documents, des consignes écrites et orales. 2 - Relever des cotes pour l'exécution
Plus en détailNom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET
Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Glossaire La terminologie propre au projet, ainsi que les abréviations et sigles utilisés sont définis dans le Glossaire. Approbation Décision formelle, donnée
Plus en détailRéférentiel Engagement de service
Toute reproduction intégrale ou partielle faite en dehors d une demande expresse d AFNOR Certification ou de ses ayants droits ou ayants cause est illicite (code de la propriété intellectuelle artt. L122-4
Plus en détailNOUVEAU COMPATIBLE COFRAC. Validez la conformité de vos échantillons en un seul geste. Le tube témoin enregistreur de température
Le tube témoin enregistreur de température Validez la conformité de vos échantillons en un seul geste NOUVEAU COMPATIBLE COFRAC Étalonnez vous-même votre Nanotrack! Assurez la traçabilité de la température
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détail