Processus de planification et de gestion : la coopération sectorielle et territoriale

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Processus de planification et de gestion : la coopération sectorielle et territoriale"

Transcription

1 Processus de planification et de gestion : la coopération sectorielle et territoriale University of Newcastle Department of Marine Sciences and Coastal Management mars 1999 Contrat No: ERDF Résumé La gestion intégrée de zones côtières (GIZC) est un processus de planification et de gestion qui vise à concilier les multiples activités et sollicitations qui pèsent sur les ressources et l'espace côtiers avec la protection des écosystèmes littoraux, dynamiques et vulnérables, et le maintien des fonctions et des services qu'ils fournissent. En créant un cadre qui permet de gérer des activités multisectorielles et de ménager des options pour l utilisation de ces ressources à l avenir, elle offre un moyen de renforcer le développement économique régional et d'améliorer la qualité de la vie dans les régions en cause. La Commission européenne a lancé le programme de démonstration sur la gestion intégrée de zones côtières afin de déterminer les conditions nécessaires pour gérer efficacement ces espaces et de définir les mesures visant à remédier à la détérioration continue des régions côtières européennes. L étude thématique D, intitulée «Processus de planification et de gestion : la coopération sectorielle et territoriale» est au cœur de ce programme, dont une des hypothèses fondatrices (COM(95) 511) est que la dégradation et la mauvaise gestion constantes de beaucoup des régions côtières d'europe sont imputables à des problèmes : de coordination insuffisante entre les différents niveaux et secteurs de l'administration; de participation et de consultation insuffisantes de tous les acteurs concernés; d information insuffisante ou inadéquate sur l'état des zones côtières et sur l'incidence des activités humaines (économiques ou non). L'étude thématique D a été conçue dans le but : d évaluer et d illustrer à quel point le manque de cohérence entre les politiques, les programmes et les plans sectoriels et territoriaux nuit à la gestion durable des zones côtières dans les régions couvertes par le projet de démonstration; d analyser les facteurs qui empêchent une coopération et une coordination efficaces; de proposer des approches permettant de surmonter ces obstacles à la lumière de l'expérience acquise grâce aux projets de démonstration et ailleurs. Les principales sources d'information de cette étude ont été les questionnaires envoyés aux chefs de projet et aux experts nationaux, et les inspections de projet effectuées entre avril 1998 et janvier 1999.

2 BESOINS DE COORDINATION Les projets de démonstration ont confirmé l existence de contradictions importantes entre les politiques, les programmes et les plans sectoriels et territoriaux ainsi que l absence d une approche intégrée de la planification et de la gestion côtières au niveau de ceux-ci. La coordination en vue d une gestion côtière efficace présente quatre facettes : l intégration horizontale des politiques, des mesures de gestion et des plans d aménagement entre les différents secteurs, services et agences à un niveau de pouvoir donné ; l intégration verticale des politiques, des mesures de gestion et des plans d aménagement depuis le niveau de pouvoir national jusqu au niveau de pouvoir local ; l intégration territoriale compte tenu des relations mutuelles et de l interdépendance entre les composantes terrestre, estuarienne, littorale et maritime des zones côtières ; l'intégration cohérente des objectifs, politiques, plans et stratégies de gestion axés sur le développement durable à travers le temps. Deux points méritent d'être soulignés : Premièrement, l intégration géographique doublée d une approche systémique est un aspect fondamental de la gestion côtière. Idéalement, la réalisation de l'intégration géographique devrait être à la base de la définition des autres besoins de coordination. L approche systémique englobe les sous-systèmes environnemental et socio-économique. Deuxièmement, et cela intéresse particulièrement l'étude thématique D, l'intégration de la planification sectorielle et territoriale n'est pas toujours possible à un même niveau administratif. L'intégration horizontale et verticale sont donc des éléments indissociables de toute initiative locale de GIZC. Les obstacles qui freinent la coopération et la coordination dans les projets de démonstration sont : la fragmentation des dispositions institutionnelles, et notamment le manque et les chevauchements de compétences parmi et entre les différents niveaux administratifs ; l absence de sensibilisation aux avantages socio-économiques et écologiques d une gestion côtière efficace; les conflits perçus entre les besoins socio-économiques à court terme et les enjeux du développement durable à plus long terme; l application et la mise à exécution incomplètes de certains éléments clés de la législation de l aménagement du territoire et de l environnement; la concurrence entre agences sectorielles ou entre collectivités locales voisines, parfois attisée par les rivalités politiques. Vu le degré de fragmentation du dispositif de gestion, une réorganisation administrative ou une redéfinition et une redistribution des rôles et des compétences auraient parfois des raisons d être. Toutefois, une telle réorganisation peut ne pas être acceptable ou considérée comme justifiable pour les besoins de la gestion côtière. Les projets ont démontré que la coordination entre les différents acteurs concernés permet souvent d élaborer une stratégie ou une vision commune pour les régions côtières de manière plus simple, plus rapide et plus souple. À plus long terme, l harmonisation des dispositions institutionnelles améliorera l'efficacité de la gestion côtière. Page ii

3 LES PROJETS DE DÉMONSTRATION Les méthodes de développement de la coopération et de la coordination suivies par les projets sont très diverses, ce qui reflète en partie des différences de culture, et selon la nature de l agence responsable, les limites des projets, etc. Parmi les démarches les plus caractéristiques (de la plus simple à la plus compliquée) figurent notamment l intervention dans le cadre du système de planification territoriale réglementaire, l approche sectorielle ou thématique, la coalition d autorités voisines, et les partenariats avec le secteur public et privé. Jusqu'à présent, il est difficile d'évaluer si certaines de ces approches réussissent ou réussiront mieux que d'autres. À ce stade de l'évolution des projets de démonstration, le résultat recherché est la mise en place d un processus de gestion côtière approprié, viable et convenablement soutenu. Les questions de la viabilité et du large soutien sont étroitement imbriquées dans les projets de démonstration qui sont, dans l ensemble, de type non officiel et volontaire. Les facteurs qui contribuent à la viabilité d'une initiative de GIZC sont la volonté politique étayée par l aide publique, le renforcement de la capacité, le soutien institutionnel et administratif, et l aide financière. Un premier pas pour susciter le soutien nécessaire consiste à sensibiliser les protagonistes officiels ou non aux avantages directs et indirects de la GIZC et aux raisons pour lesquelles ils ont intérêt à participer à l'initiative. Les projets ont livré une foule d enseignements en termes de travail avec des partenaires du secteur public et privé. Certains ont maintenant atteint un stade critique en ce qui concerne l'adoption et l application de stratégies par les agences et les organisations compétentes. Dans certains cas, les fonctions de coordination seront elles-mêmes assurées par l'autorité locale. La valeur d'un organisme indépendant tel qu un forum ou un syndicat en tant que cheville ouvrière ou catalyseur de la coordination a été démontrée dans beaucoup de projets, mais c'est à ce niveau que le financement à venir est le moins assuré. Certaines des approches les plus simples de la coordination constituent un véhicule inapproprié pour la GIZC étant donné le champ limité des questions qu elles permettent d aborder. Le choix de la méthode doit être adapté à la capacité locale et beaucoup de projets ont choisi l option stratégique d exploiter les forces existantes et de développer leur potentialité en traitant un éventail limité de questions ou en travaillant avec un nombre réduit de partenaires. L approche non officielle comporte des avantages et des risques. Il s est avéré qu elle offre un bon moyen d élargir la participation ainsi qu un mécanisme de gestion plus souple et sensible. Pour le long terme, des inquiétudes se sont exprimées dans plusieurs projets au sujet de la possibilité d appliquer des politiques, des stratégies et des plans non officiels et au sujet de leur statut par rapport aux plans officiels ou à la législation sectorielle en cas de conflit. À cet égard, la clé du problème est l «appropriation» des objectifs et des stratégies du projet par l éventail complet des parties prenantes; les projets ont démontré que c est faisable grâce à un processus de participation ouvert et éclairant. Les recommandations suivantes s'appliquent particulièrement aux initiatives de GIZC non officielles du type de celles contenues dans le programme de démonstration. Elles se fondent sur une évaluation des bonnes pratiques issues des projets de démonstration et soulignent l'importance d'une approche stratégique du développement de mécanismes de coordination pour la GIZC. Recommandations pour les initiatives locales Planifier prospectivement pour construire les bases d un mécanisme de coordination efficace Adopter une approche logique et systématique pour développer la GIZC, par exemple en suivant le cycle du projet qui comporte la description, l'analyse, la programmation et l exécution, mais sans trop de rigidité. Page iii

4 Prévoir les besoins en matière de collecte d'informations, de communication, de sensibilisation et de participation, et affecter les ressources en conséquence. Prévoir les besoins de formation et d'autres mesures de développement des ressources humaines. Accorder suffisamment de temps pour accomplir les tâches essentielles de chaque étape du processus de GIZC. Évaluer les besoins de coordination dans une perspective assez large Adopter une approche systémique (environnementale et socio-économique) pour sélectionner les limites et définir les besoins «horizontaux» et «verticaux» de coordination en conséquence. Veiller à ce que toutes les parties concernées soient représentées ; utiliser des structures telles qu un comité directeur et des groupes de travail pour assurer la faisabilité et la gérabilité du processus de participation. Envisager les tendances et les scénarios de développement du futur et identifier les moteurs de l évolution environnementale ou socio-économique à long terme. Adopter une méthode adaptative et progressive pour créer une structure de coordination souple Adopter une méthode de GIZC progressive et souple afin de pouvoir tirer des enseignements de l expérience acquise tout en obtenant des résultats avec la capacité et les moyens existants. La GIZC étant un processus itératif, exploiter les réussites en utilisant les occasions qui en résultent pour étendre le champ de l'initiative avec le temps. Vérifier et enregistrer l'expérience acquise et adapter les stratégies de gestion en conséquence. Ménager une flexibilité suffisante pour s adapter aux modifications dans la politique nationale, notamment la réorganisation du pouvoir local, et pour répondre aux exigences nouvelles et changeantes vis-à-vis des zones côtières. Créer et entretenir un large soutien Sensibiliser le grand public, les hommes politiques et les services et agences de gestion au caractère indispensable et aux avantages de leur collaboration. Chercher un appui politique afin de légitimer l'initiative en étant conscient des désavantages : les élections et les priorités politiques locales peuvent être perturbatrices. La pression d un collège de confrères, l'attention de médias et l existence d un "champion" localement respecté sont des facteurs précieux pour stimuler la participation ; mais, en définitive, le succès d'une initiative de GIZC dépendra d'une véritable adhésion de tous les participants à ses objectifs. Développer un sentiment d appropriation. Produire, si possible, des résultats précoces et visibles afin de démontrer les avantages de la coordination dans le règlement d une question importante au plan local. Projeter la mise en œuvre dans l avenir Chercher à définir une aide financière à long terme pour les besoins de coordination à longue échéance dès les premiers stades de l élaboration de l'initiative. Répartir les tâches de mise en œuvre parmi un réseau d agences et autres organismes de gestion, y compris du secteur privé, selon leurs compétences. Chercher, dans la mesure du possible, à utiliser les instruments de planification réglementaires pour assurer un effet à long terme. Page iv

5 Ne pas construire un château de cartes, mais bien une stratégie fondée sur des mesures et des programmes complémentaires mais indépendants qui peuvent être appliqués individuellement. CRÉATION D'UN ENVIRONNEMENT FAVORABLE Vu la répartition actuelle des compétences de planification sectorielles et territoriales entre les différents niveaux de pouvoir, la cohérence de la prise de décision est irréalisable sans une bonne coordination entre tous les niveaux administratifs, de l échelon le plus local à l échelon national. Idéalement, cette démarche devrait être guidée par une politique harmonisée, voire intégrée, au plan européen et au sein des États membres. Les principes de participation et de subsidiarité qui émergent actuellement corroborent l un et l autre l'idée que la prise de décision doit se situer le plus près possible du niveau local ; un cadre plus large doit cependant être mis en place afin d'assurer : une perspective appropriée pour équilibrer l'intérêt national et européen et les préoccupations locales; une politique côtière globale garantissant la cohérence entre les différentes initiatives locales; l apport d une aide financière et technique appropriée aux initiatives locales. La région (ou tout autre niveau administratif associé à la planification stratégique) peut détenir la clé permettant de résoudre le problème de l'intégration territoriale et sectorielle d'une façon qui, tout à la fois, reflète la politique nationale et européenne et convient aux conditions locales. La région n'est pas nécessairement l échelon auquel la planification et la gestion détaillées des interventions doit avoir lieu - la programmation et l exécution détaillées sont essentiellement des tâches locales, mais elle est potentiellement un niveau d habilitation critique en ce qui concerne la levée de certains obstacles à la coordination d un plus grand nombre d'initiatives de GIZC locales. Au-delà de cela, il est clair que beaucoup pourrait être fait au niveau national pour favoriser, faciliter et promouvoir plus d initiatives locales à tout le moins en harmonisant le cadre politique qui régit les zones côtières. Il en va de même pour le niveau européen. Recommandations pour le niveau national Assurer la compatibilité des politiques côtières Veiller à ce que les politiques et stratégies sectorielles et autres au niveau national soient compatibles entre elles et, le cas échéant, adaptées aux régions côtières. Créer des structures appropriées pour la coordination et l'harmonisation suivies des politiques concernant les composantes terrestre et marine de la zone côtière. Diffuser des orientations générales de politique côtière claires en vue de l évaluation des différentes propositions d aménagement. Créer un point de convergence national pour les initiatives locales Assurer la cohésion entre les différentes initiatives. Fournir un mécanisme pour l'échange de connaissances et, si possible, le partage des aptitudes. Organiser le contrôle et l'évaluation des initiatives côtières. Page v

6 Faciliter les approches intégrées de la gestion côtière Examiner l'applicabilité du principe de subsidiarité pour la redistribution des responsabilités. Respecter le besoin de cohérence verticale. Diffuser des orientations techniques concernant les meilleures pratiques d aménagement sectoriel et de planification des zones côtières, et notamment des indications pour la gestion des écosystèmes côtiers et la prévention des risques naturels. Promouvoir la formation et la recherche interdisciplinaires. Envisager des mécanismes de financement à long terme pour les fonctions locales de coordination de la GIZC. Recommandations pour le niveau communautaire Assurer la compatibilité des politiques côtières à tous les niveaux administratifs Veiller à ce que les politiques et stratégies sectorielles et autres aux niveaux européen et autres soient compatibles entre elles et, le cas échéant, adaptées aux besoins d aménagement particuliers liés à la nature dynamique des régions côtières. Envisager des structures appropriées pour la coordination et l'harmonisation suivies des politiques et des programmes concernant les composantes terrestre et marine de la zone côtière. Assurer l'utilisation appropriée des Fonds structurels en élargissant les études d'impact des projets de manière à tenir compte des phénomènes côtiers et exiger une coordination avec les agences et services politiques compétents pour la planification territoriale et sectorielle. Faciliter les approches intégrées de la gestion côtière Encourager une perspective transnationale. Promouvoir le niveau international de qualité de l environnement et de développement durable en utilisant des incitations. Promouvoir la formation et la recherche interdisciplinaires. Diffuser des orientations techniques concernant les meilleures pratiques d aménagement sectoriel et de gestion des zones côtières. Page vi

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 9 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Plus en détail

AVIS DU BUREAU POLITIQUE DE LA CRPM (Approuvé par le Bureau Politique de la CRPM 3 juin 2011 Angra do Heroísmo, Açores-PT)

AVIS DU BUREAU POLITIQUE DE LA CRPM (Approuvé par le Bureau Politique de la CRPM 3 juin 2011 Angra do Heroísmo, Açores-PT) CRPMPPP110017 B0 CONFERENCE DES REGIONS PERIPHERIQUES MARITIMES D EUROPE CONFERENCE OF PERIPHERAL MARITIME REGIONS OF EUROPE 6, rue Saint-Martin 35700 RENNES - F Tel. : + 33 (0)2 99 35 40 50 - Fax : +

Plus en détail

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude: RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les

Plus en détail

Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement

Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement Agence de Développement Social Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement SOMMAIRE 1. vision 2. Mission de l ADS dans le domaine de la Protection de l Environnement,

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

Workshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta

Workshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta PROJET FORMATION DE LEADERS POUR LA DEMOCRATISATION ET LE DEVELOPPEMENT LOCAL DANS LA MUNICIPALITE DE SAN JOSE DE CUCUTA COLOMBIE. 1. CADRE D'INSERTION DU PROJET Les conditions de vie de la population,

Plus en détail

Charte du tourisme durable

Charte du tourisme durable Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme

Plus en détail

Le cadre européen des certifications pour l éducation et la formation tout au long de la vie (CEC)

Le cadre européen des certifications pour l éducation et la formation tout au long de la vie (CEC) Cadre européen des certifications Le cadre européen des certifications pour l éducation et la formation tout au long de la vie (CEC) Europe Direct est un service destiné à vous aider à trouver des réponses

Plus en détail

CADRE DE COMPÉTENCES EN COMMERCE D INTÉGRATION

CADRE DE COMPÉTENCES EN COMMERCE D INTÉGRATION CADRE DE COMPÉTENCES EN COMMERCE D INTÉGRATION Étude sur les ressources humaines du commerce international du FITT d intérêts et de connaissances. Toutefois, compte tenu de la nature du commerce d intégration,

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. Accompagnant le document

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. Accompagnant le document COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 19.12.2011 SEC(2011) 1611 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT Accompagnant le document Proposition de règlement du Parlement

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

Principes de management de la qualité

Principes de management de la qualité Principes de management de la qualité Introduction Ce document est une introduction aux huit principes de management sur lesquels sont fondées les normes relatives au système de management de la série

Plus en détail

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux

Plus en détail

DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION

DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION ISO/CEI/GEN 01:2001 DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION Avant-propos Parallèlement à l'essor rapide du commerce international des biens et services,

Plus en détail

DOCUMENT OFFICIEUX DES COPRÉSIDENTS. Chapitre Paragraphes Page. Comprendre les risques de catastrophe...14 8

DOCUMENT OFFICIEUX DES COPRÉSIDENTS. Chapitre Paragraphes Page. Comprendre les risques de catastrophe...14 8 Note explicative 1. Ce document est l avant-projet préliminaire du cadre de réduction des risques de catastrophe pour l après-2015. Il servira de base aux consultations informelles ouvertes à mener en

Plus en détail

DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES*

DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES* R. GESTION DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES* Le Groupe de travail des politiques de coopération en matière de et de normalisation: Reconnaissant que l atténuation du risque qui peut avoir une incidence

Plus en détail

Association CARRE GEO & ENVIRONNEMENT

Association CARRE GEO & ENVIRONNEMENT Association CARRE GEO & ENVIRONNEMENT GUIDE PRATIQUE D INTEGRATION DES ASPECTS LIES AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES DANS LA CONCEPTION, L ELABORATION, LA MISE EN ŒUVRE ET LE SUIVI DES PLANS DE DEVELOPPEMENT

Plus en détail

pas de santé sans ressources humaines

pas de santé sans ressources humaines Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième

Plus en détail

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus

Plus en détail

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil

Plus en détail

Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement

Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement NATIONS UNIES TD Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement Distr. GÉNÉRALE TD/B/COM.3/EM.10/2 1er novembre 2000 FRANÇAIS Original : ANGLAIS CONSEIL DU COMMERCE ET DU DÉVELOPPEMENT

Plus en détail

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Le Groupe consultatif du SYGADE soumet à l'attention du Secrétaire général de la CNUCED les conclusions suivantes formulées lors de sa 9ième

Plus en détail

Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle

Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle Préambule La quatrième conférence internationale sur la promotion de la santé : "A ère nouvelle, acteurs nouveaux : adapter la promotion

Plus en détail

La solution IBM Rational pour une ALM Agile

La solution IBM Rational pour une ALM Agile La solution IBM pour une ALM Agile Utilisez votre potentiel agile Points clés Adopter l'agilité à votre rythme Supporter une livraison multiplateforme Intégrer la visibilité Démarrer rapidement Que votre

Plus en détail

L évolution des indicateurs sur l enfance Identifier des indicateurs centrés sur l enfant pour élaborer les politiques de l enfance¹

L évolution des indicateurs sur l enfance Identifier des indicateurs centrés sur l enfant pour élaborer les politiques de l enfance¹ L évolution des indicateurs sur l enfance Identifier des indicateurs centrés sur l enfant pour élaborer les politiques de l enfance¹ Asher Ben-Arieh, PhD Rédacteur en chef, Child Indicators Research Adjoint

Plus en détail

PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE

PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE Note Conceptuelle PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE La Tunisie renouvelle son engagement pour le développement et la prospérité de l'afrique et des pays arabes, par l'organisation de la 8ème édition de

Plus en détail

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011 Cote du document: EB 2010/101/R.41 Point de l'ordre du jour: 17 b) Date: 9 novembre 2010 Distribution: Publique Original: Anglais F Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT. accompagnant la COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.10.2012 SWD(2012) 291 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L ANALYSE D IMPACT accompagnant la proposition de règlement du Parlement européen

Plus en détail

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit

Plus en détail

Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.

Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English. Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie

Plus en détail

Musées et paysages culturels

Musées et paysages culturels La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,

Plus en détail

LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ

LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ POURQUOI UNE RÉFORME? Améliorer l État de santé de la population Plus d Équité, Une meilleure couverture, Et La maîtrise des coûts! THÈMES PRIORITAIRES

Plus en détail

The Promotion of Employee Ownership and Participation

The Promotion of Employee Ownership and Participation The Promotion of Employee Ownership and Participation Study prepared by the Inter-University Centre for European Commission s DG MARKT (Contract MARKT/2013/0191F2/ST/OP) Final report October 2014 French

Plus en détail

Question 1: Informations sur la personne ou entité interrogée

Question 1: Informations sur la personne ou entité interrogée Juin 2013 QUESTIONNAIRE REPONSE DES AUTORITES FRANCAISES CONSULTATION SUR LES RÉSULTATS DE L ÉTUDE SUR LA SITUATION ACTUELLE ET LES PERSPECTIVES DES SOCIÉTÉS MUTUELLES EN EUROPE Question 1: Informations

Plus en détail

FLEGT Note d Information

FLEGT Note d Information Série 20 Note FLEGT Note APPLICATION DES REGLEMENTATIONS FORESTIERES, GOUVERNANCE ET ECHANGES COMMERCIAUX Directives sur le Contrôle Indépendant INTRODUCTION Le Plan d action de l UE pour l application

Plus en détail

Ecologie industrielle, circuits courts : enjeux de la proximité Cas de l agglomération Dunkerquoise. Présentation de Fedoua KASMI

Ecologie industrielle, circuits courts : enjeux de la proximité Cas de l agglomération Dunkerquoise. Présentation de Fedoua KASMI Ecologie industrielle, circuits courts : enjeux de la proximité Cas de l agglomération Dunkerquoise. Présentation de Fedoua KASMI Séminaire «Stratégies territoriales d innovation et dynamiques entrepreneuriales

Plus en détail

Avis d Energie-Cités. Cette proposition est disponible sur : http://europa.eu.int/eur-lex/fr/com/dat/2001/fr_501pc0226.html

Avis d Energie-Cités. Cette proposition est disponible sur : http://europa.eu.int/eur-lex/fr/com/dat/2001/fr_501pc0226.html Avis d Energie-Cités Projet de Directive Performance énergétique des bâtiments Octobre 2001 Proposition de Directive du Parlement européen et du Conseil présentée par la Commission [COM(2001) 226 final

Plus en détail

A. Compétences et attributions. 1. Une institution nationale est investie de compétences de protection et de promotion des droits de l'homme.

A. Compétences et attributions. 1. Une institution nationale est investie de compétences de protection et de promotion des droits de l'homme. PRINCIPES DE PARIS PRINCIPES CONCERNANT LE STATUT ET LE FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS NATIONALES POUR LA PROTECTION ET LA PROMOTION DES DROITS DE L'HOMME En octobre 1991, le Centre pour les droits de

Plus en détail

LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications

LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications FORUM MONDIAL SUR LES RELATIONS PUBLIQUES NOVEMBRE 2012 Le mandat des

Plus en détail

Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec

Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec Résumé des résultats et conclusions de la recherche Marie-Ève Maillé, Ph. D. Centre de

Plus en détail

Normes Mauritaniennes de l Action contre les Mines (NMAM) Inclus les amendements Janvier 2014

Normes Mauritaniennes de l Action contre les Mines (NMAM) Inclus les amendements Janvier 2014 NMAM 11.10 Normes Mauritaniennes de l Action contre les Mines (NMAM) Inclus les amendements Gestion de l information et rédaction de rapports en Mauritanie Coordinateur Programme National de Déminage Humanitaire

Plus en détail

Projet «Aménagement participatif du territoire et gestion des ressources naturelles dans les Andes péruviennes (phase II)»

Projet «Aménagement participatif du territoire et gestion des ressources naturelles dans les Andes péruviennes (phase II)» Projet «Aménagement participatif du territoire et gestion des ressources naturelles dans les Andes péruviennes (phase II)» 1. Présentation du projet Le projet «Aménagement participatif du territoire et

Plus en détail

Programme de Travail sur les Aires Protégées

Programme de Travail sur les Aires Protégées PROGRAMMES DE TRAVAIL DE LA CDB Programme de Travail sur les Aires Protégées Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique Programme de Travail sur les Aires Protégées Secrétariat de la Convention

Plus en détail

LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES

LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : janvier 1995 Réédité

Plus en détail

Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale. La protection des droits de la personne

Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale. La protection des droits de la personne Guide pratique sur l'encadrement de la recherche biomédicale Dispositions législatives relatives au chapitre : La protection des droits de la personne Code de la santé publique Dispositions introduites

Plus en détail

DIALOGUE AVEC LES CONSTRUCTEURS DE VEHICULES

DIALOGUE AVEC LES CONSTRUCTEURS DE VEHICULES CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT 2 rue André Pascal, F-75775 PARIS CEDEX 16 TEL. 33 (0)1 45 24 97 10 / FAX: 33 (0)1 45 24 97 42 e-mail: ecmt.contact@oecd.org

Plus en détail

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre

Plus en détail

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES REPUBLIQUE FRANÇAISE PREMIER MINISTRE Secrétariat Général de la Défense Nationale N 730/ SCSSI Issy-les-Moulineaux, le 13 janvier 1997 GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS

Plus en détail

la séparation totale des activités des postes et télécommunications;

la séparation totale des activités des postes et télécommunications; LE CADRE GENERAL D ASSISTANCE PAR CONSULTANTS POUR L ELABORATION ET LA MISE EN OEUVRE D UN CADRE LEGAL APPROPRIE POUR LE SECTEUR DES TELECOMMUNICATIONS CONTEXTE GENERAL Le Gouvernement [PAYS] a adopté,

Plus en détail

Quels progrès dans le développement des composants icargo?

Quels progrès dans le développement des composants icargo? News letter n 5 Juin 2013 Editorial Erick Cornelisse icargo est un projet de l'union européenne du septième programme-cadre qui vise à faire progresser et à étendre l'utilisation des TIC pour soutenir

Plus en détail

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités

Plus en détail

2005R1698 FR 01.01.2007 001.002 1

2005R1698 FR 01.01.2007 001.002 1 2005R1698 FR 01.01.2007 001.002 1 Ce document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions B RÈGLEMENT (CE) n o 1698/2005 DU CONSEIL du 20 septembre 2005 concernant

Plus en détail

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,

Plus en détail

DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO

DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO L'UNESCO s'appuie sur un éventail aussi large que diversifié de relations de collaboration et de partenariats dans toutes les régions du monde pour s acquitter

Plus en détail

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Source : "Comptable 2000 : Les textes de base du droit comptable", Les Éditions Raouf Yaïch. Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Le nouveau système comptable consacre d'importants

Plus en détail

Burundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga

Burundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Burundi Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Organisation : Ministère de l'intérieur et de la Sécurite Publique

Plus en détail

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE

Plus en détail

CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT

CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT CONFÉRENCE EUROPÉENNE DES MINISTRES DES TRANSPORTS EUROPEAN CONFERENCE OF MINISTERS OF TRANSPORT DÉCLARATION DE PRINCIPES CONCERNANT L'ERGONOMIE ET LA SÉCURITÉ DES SYSTÈMES D'INFORMATION EMBARQUÉS Introduction

Plus en détail

Politique de gestion documentaire

Politique de gestion documentaire Politique de gestion documentaire Responsabilité de gestion : Secrétariat général Date d approbation : 24 avril 1979 C.A. C.E. Direction générale Direction Date d'entrée en vigueur : 24 avril 1995 Date

Plus en détail

LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES

LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES LIBRE CIRCULATION DES MARCHANDISES La libre circulation des marchandises, la première des quatre libertés fondamentales du marché intérieur, est garantie par la suppression des droits de douane et des

Plus en détail

UN NEW DEAL POUR L ENGAGEMENT DANS LES ÉTATS FRAGILES

UN NEW DEAL POUR L ENGAGEMENT DANS LES ÉTATS FRAGILES UN NEW DEAL POUR L ENGAGEMENT DANS LES ÉTATS FRAGILES LE CONSTAT 1,5 milliards de personnes vivent dans des États fragiles ou en conflit. Environ 70 % des États fragiles ont été affectés par un conflit

Plus en détail

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante? Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle

Plus en détail

Quadro Paese Stream 2013-2015 TUNISIA

Quadro Paese Stream 2013-2015 TUNISIA DIREZIONE GENERALE PER LA COOPERAZIONE ALLO SVILUPPO Ufficio III Quadro Paese Stream 2013-2015 TUNISIA 1. Encadrement et raisons de la présence de la coopération italienne Les raisons qui font de la Tunisie

Plus en détail

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Commission de la condition de la femme Cinquante-quatrième session 1 er -12 mars 2010 Point 3 a) de l ordre du jour Suivi de la quatrième Conférence

Plus en détail

Communiqué de la Conférence des Ministres européens chargés de l Enseignement Supérieur, Londres, 17-18 Mai 2007

Communiqué de la Conférence des Ministres européens chargés de l Enseignement Supérieur, Londres, 17-18 Mai 2007 Communiqué de Londres 18 mai 2007 Communiqué de la Conférence des Ministres européens chargés de l Enseignement Supérieur, Londres, 17-18 Mai 2007 VERS L ESPACE EUROPEEN DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR : REPONDRE

Plus en détail

Prise de position du CCRE sur la proposition de directive relative à l efficacité énergétique

Prise de position du CCRE sur la proposition de directive relative à l efficacité énergétique COUNCIL OF EUROPEAN MUNICIPALITIES AND REGIONS CONSEIL DES COMMUNES ET REGIONS D EUROPE Inscrit au registre des représentants d intérêts de la Commission européenne. Numéro d inscription : 81142561702-61

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable

Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable COSEIL DE L'UIO EUROPÉEE Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable Conseil ÉDUCATIO, JEUESSE, CULTURE ET SPORT Bruxelles, 21 mai 2014 Le Conseil

Plus en détail

MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE

MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la

Plus en détail

DOCUMENT DE CONSULTATION

DOCUMENT DE CONSULTATION COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation

Plus en détail

Plan d'action de l'union européenne: les communications par satellite dans la société de l'information

Plan d'action de l'union européenne: les communications par satellite dans la société de l'information COMMISSION DES COMMUNAUTES EUROPEENNES Bruxelles, le 05.03.1997 COM(97) 91 final COMMUNICATION DE LA COMMISSION AU CONSEIL, AU PARLEMENT EUROPEEN, AU COMITE ECONOMIQUE ET SOCIAL ET AU COMITE DES REGIONS

Plus en détail

SHAPE-RISK SHARING EXPERIENCE ON RISK MANAGEMENT (HEALTH, SAFETY AND ENVIRONMENT) TO DESIGN FUTURE INDUSTRIAL SYSTEMS 1

SHAPE-RISK SHARING EXPERIENCE ON RISK MANAGEMENT (HEALTH, SAFETY AND ENVIRONMENT) TO DESIGN FUTURE INDUSTRIAL SYSTEMS 1 2004 2007 : Une action de coordination sur 3 ans inscrite au 6 ème Programme Cadre de Recherche Communautaire réunissant 19 partenaires européens SHAPE-RISK SHARING EXPERIENCE ON RISK MANAGEMENT (HEALTH,

Plus en détail

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne

Plus en détail

COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS

COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS 1 sur 9 COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS (L'article intégral est paru dans Gestions Hospitalières n 357 de juin-juillet 1996) Pour plus d'informations concernant

Plus en détail

Lutte contre l étalement urbain

Lutte contre l étalement urbain Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l

Plus en détail

EVALUATION À 360 Demonstration MICHEL DUPONT RAPPORT PERSONNEL 360. rapport généré: 2010-01-05 http://compass360.net

EVALUATION À 360 Demonstration MICHEL DUPONT RAPPORT PERSONNEL 360. rapport généré: 2010-01-05 http://compass360.net Demonstration MIHEL DUPONT RAPPORT PERONNEL 360 rapport généré: 2010-01-05 http://compass360net TABLE DE MATIÈRE Michel Dupont Page 2 TABLE DE MATIÈRE omment utiliser votre rapport 3 GRILLE DE OMPETENE

Plus en détail

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

L assurance qualité N 4. Décembre 2014

L assurance qualité N 4. Décembre 2014 N 4 L assurance qualité Décembre 2014 L es investissements dans les systèmes et services d orientation tout au long de la vie (OTLV) doivent démontrer le bénéfice pour les individus, les communautés et

Plus en détail

EUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie

EUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie Les communes sur la scène européenne Après vous avoir présenté le programme citoyen "L Europe pour les citoyens" dans le Mouvement communal de mai 2007, nous vous présentons, ci-dessous, l ensemble des

Plus en détail

L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)

L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE

Plus en détail

Code de la publicité écologique

Code de la publicité écologique Code de la publicité écologique Code de la publicité écologique: Préambule Une société saine construit un avenir durable. De plus en plus, le souci de l'homme pour son environnement en constitue un élément

Plus en détail

PARLEMENT EUROPÉEN. Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs DOCUMENT DE TRAVAIL

PARLEMENT EUROPÉEN. Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs DOCUMENT DE TRAVAIL PARLEMENT EUROPÉEN 2004 2009 Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs 15.2.2008 DOCUMENT DE TRAVAIL sur le rapport d initiative sur certains points concernant l assurance automobile

Plus en détail

L 347/320 Journal officiel de l Union européenne 20.12.2013

L 347/320 Journal officiel de l Union européenne 20.12.2013 L 347/320 Journal officiel de l Union européenne 20.12.2013 RÈGLEMENT (UE) N o 1303/2013 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 17 décembre 2013 portant dispositions communes relatives au Fonds européen

Plus en détail

Normes pour la pratique professionnelle de l'audit interne

Normes pour la pratique professionnelle de l'audit interne Normes pour la pratique professionnelle de l'audit interne Copyright 2001 de The Institute of Internal Auditors, 247 Maitland Avenue, Altamonte Springs, Florida 32701-4201. Tous droits réservés. Conformément

Plus en détail

Alternatives Économiques - Hors-Série Numéro 105 - avril 2015

Alternatives Économiques - Hors-Série Numéro 105 - avril 2015 Pages 38 à 41. Pourquoi on a fait l'euro. Alternatives Économiques - Hors-Série Numéro 105 - avril 2015 - situe en 1970 le projet de créer une monnaie unique au sein de la Communauté économique européenne

Plus en détail

Le tableau comparatif suivant reprend les principaux articles concernant le monde de l édition.

Le tableau comparatif suivant reprend les principaux articles concernant le monde de l édition. Rapport Reda, tableau comparatif Le tableau comparatif suivant reprend les principaux articles concernant le monde de l édition. Alors que Julia Reda appelait à une harmonisation hâtive et à un élargissement

Plus en détail

Table des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5

Table des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5 Critères des commissions interdisciplinaires du du Comité national mandat 2012-2016 Table des matières CID 50... 3 CID 51... 3 CID 52... 4 CID 53... 4 CID 54... 5 2 CID 50 Gestion de la recherche La CID

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

Aperçus de l Outil d'auto-évaluation de la résilience face aux catastrophes à l usage des gouvernements locaux

Aperçus de l Outil d'auto-évaluation de la résilience face aux catastrophes à l usage des gouvernements locaux Aperçus de l Outil d'auto-évaluation de la résilience face aux catastrophes à l usage des gouvernements locaux Quelles sont les bonnes raisons d utiliser l'outil d'autoévaluation à l usage des gouvernements

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR

COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR Regio Basiliensis et ARFE COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR LES POPULATIONS, L ECONOMIE ET LES REGIONS II. Forum ARFE du 22 février 2008 en coopération avec la Regio Basiliensis

Plus en détail

DECLARATION SUR LA PROPOSITION DE REGLEMENT DU PARLEMENT EUROPEEN ET DU CONSEIL

DECLARATION SUR LA PROPOSITION DE REGLEMENT DU PARLEMENT EUROPEEN ET DU CONSEIL Európai Határ Menti Régiók Szövetsége (EHMRS) AGEG c/o EUREGIO Enscheder Str. 362 D-48599 Gronau DECLARATION SUR LA PROPOSITION DE REGLEMENT DU PARLEMENT EUROPEEN ET DU CONSEIL sur des dispositions spécifiques

Plus en détail

Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS)

Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS) Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS) Exposé succinct I. Introduction II. Objet de la gestion des données du secteur des transports III. Efforts passés et présents par le SSATP

Plus en détail

L évaluation environnementale stratégique régionale au Canada. Principes et orientations PN 1429 ISBN 978-1-896997-85-8 PDF

L évaluation environnementale stratégique régionale au Canada. Principes et orientations PN 1429 ISBN 978-1-896997-85-8 PDF L évaluation environnementale stratégique régionale au Canada Principes et orientations PN 1429 ISBN 978-1-896997-85-8 PDF Conseil canadien des ministres de l environnement, 2009 Le Conseil canadien des

Plus en détail