Journée technique Association Rhône Alpes Qualité Compost

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1 Journée technique Association Rhône Alpes Qualité Compost GESTION DES EAUX USEES SUR LES PLATES FORMES DE COMPOSTAGE (Caractérisation et solution de traitement) Démarche de la Communauté d Agglomération de CHAMBERY METROPOLE en vue de résoudre la problématique du traitement des lixiviats sur la plate-forme déchets végétaux de Voglans (73) 8 juin 2010

2 1. PRESENTATION SOMMAIRE DU SITE Propriété du site : CHAMBERY METROPOLE (service Déchets) Exploitant t : TERRALYS Rhône Alpes Date de mise en service de l installation : mai 1993 Statut réglementaire : PFCDEV soumise à autorisation (322 B3) pour un volume annuel maximal de m 3 Provenance déchets végétaux : - déchèteries de l agglomération (4 pour 75% des apports) - services tech. communes de l agglomération (15 % des apports) - entreprises privées (paysagistes pour 10% des apports) Mode traitement : retournement mécanique sur plate-forme non couverte Superficie du site : m² dont m² imperméabilisés (enrobé) Capacité de stockage lixiviats : 800 m 3 total (700 m 3 utile) Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

3 1.1. CONFIGURATION ACTUELLE DE LA PLATEFORME Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

4 1.2. CONFIGURATION FUTURE DE LA PLATEFORME Le raisonnement de la gestion des lixiviats est fait sur la configuration future du site. Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

5 2. PROBLEMATIQUE DE LA GESTION DES LIXIVIATS 2.1. BILAN QUALITATIF DES LIXIVIATS Tableau n 1 : bilan qualitatif des lixiviats du 3ème bassin Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

6 2.2. BILAN QUALITATIF DES LIXIVIATS Actuellement, les lixiviats du 3 ème bassin sont rejetés par sur verse au milieu naturel, sans prétraitements (hors décantation). Les rejets au milieu naturel sont non conformes aux exigences de l actuel arrêté préfectoral de la PFCDEV de Voglans et à l AM du BILAN QUANTITATIF DES LIXIVIATS Objectifs : déterminer le volume annuel moyen de lixiviats générés par l activité de compostage (aucune données volumétrique disponibles) Données utilisées : plan surfacique du site (en configuration future) + données moyennes décennales de la station météorologique de l aéroport de Voglans (1300 mm / an) Méthodologie : - prise en compte 7 zones PFCDEV et types de surfaces imperméabilisées - prise en compte des types de produits présents sur les surfaces et des coefficients de rétention en eau des produits - prise en compte des précipitations moyennes, des t moyennes et de l évapo-transpiration moyenne (2000 à 2009) Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

7 2.3. BILAN QUANTITATIF DES LIXIVIATS Tableaux n 2 et 3 : pluviométrie et EVP moyenne sur 10 ans (2000 à 2009) et périodes de déficit hydrique Dans la configuration future du site (+2200 m² d enrobé), sans augmentation des capacité de stockage (800 m 3 ), le volume annuel moyen de lixiviats collecté par les 3 bassins de stockage sera de l ordre de 8300 m 3 / an. Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

8 2.4. SYNTHESE INTERMEDIARE - à l exception du ph et de la t, l ensemble des autres paramètres prévus à l arrêté préfectoral dépassent les seuils de rejet au milieu naturel - en comparaison des seuils prévues à l AM du et de ceux de sitesterralys,lesseuilsdel APdelaPFCDEVdeChambéryMétropole sont draconiens - impossible de respecter les seuils actuels pour le rejet au milieu naturel avec les ouvrages existants et difficile d envisager qu un «simple» traitement par lit macrophytes (quelles qu en soit les dimensions) permette d assurer le respect des seuils actuels de rejet - à noter que la Communauté d Agglomération a pris en compte cette problématique dès l été 2009 en réalisant une étude de faisabilité de différentes solutions o s de traitement tate e t - cette étude portait alors sur une surface totale du site de 2,5 ha - la solution proposée à l époque n était que mono-filière (macrophytes) - le dimensionnement alors envisagé à l époque portait sur une surface de macrophytes de l ordre de 1 ha (en aval du site) pour un montant d investissement non compatible avec les disponibilités budgétaires de la Communauté d Agglomération Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

9 2.5. RAISONNEMENT ADOPTE PAR LA COLLECTIVITE Au regard des constats et contraintes évoquées précédemment, d un commun accord, la Comm. D Agglo. De Chambéry Métropole et son exploitant (TERRALYS) ont décidé de raisonner la gestion des lixiviats selon les axes suivants : raisonnement de la gestion des lixiviats sur le dernier bassin approche mettant l accent sur une gestion «multi-filières» des lixiviats générés par la PFC DEV Les axes de travail : 1. action vis-à-vis DREAL pour envisager la mise en adéquation des seuils de rejets avec les exigences de l AM du 22 avril augmentation des capacités de stockage sur site (+ 400 m 3 ) 3. augmentation ti du volume annuel utilisé en ré-aspersion 4. recyclage agricole par épandage d une fraction 5. pré-traitement des lixiviats sur site, pour en améliorer la «dégradabilité», en vue soit d un dun éventuel maintien du rejet au milieu naturel (sous réserve de la mise en conformité des actuels seuils de rejet de l AP avec ceux visés à l AM du 2 avril 2008) soit d un traitement pour tout ou partie des lixiviats sur site (lits macrophytes) et/ou d un traitement sur unité de dépollution extérieure (UDEP) Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

10 3. LES AXES DE TRAVAIL 3.1. SEUILS AP ACTUEL et SEUILS AM du Février 2010 : 1 er contact de la Comm. D Agglo. avec DREAL 73 Résultats : en 1 ère approche, l administration de tutelle donnerait un accord de principe sur la mise en adéquation des normes des rejets de la PFCDEV de Voglans avec les seuils prévus à l arrêté ministériel du 22 avril Mai 2010 : réunion de travail avec la DREAL 73 Résultats t :position DREAL confirmée, dans cadre futur AP les seuils de rejet pris en compte seront ceux de l AM du Conséquence : le traitement par macrophytes de tout ou partie des lixiviatsi iats peut à nouveau être envisagé «plus» sereinementeinement Investigations cpltaires : analyser finement les contraintes de qualité du milieu récepteur (Police des Eaux 73 et service Envt de Chambéry Métropole) afin de s assurer sassurer si des exigences spécifiques pourraient être demandées par ses services Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

11 3.2. AUGMENTATION CAPACITE STOCKAGE - au regard du bilan hydrique précédent et des volumes de lixiviats générés sur le site, il semble opportun en préventif d augmenter le volume de stockage - sans être à proprement parlé une solution de traitement, cet aménagement permettra alors de faciliter la gestion des flux de lixiviats entre les différentes filières - compte tenu de la configuration du site, sans altérer le potentiel de traitement, l implantation d un ouvrage de stockage supplémentaire est envisageable en amont du 2 nd bassin - surface disponible : 435 m² - cette ouvrage complémentaire de stockage pourra prendre la forme soit d une citerne souple non enterrée (pb de vulnérabilité aux actes de vandalisme), soit la forme d un bassin en géo-membrane (moindre vulnérabilité) - Les 1ers chiffrages réalisés é par l exploitantl t indique que la seconde solution (bassin en géo-membrane) est la plus pertinente, tant sur le plan économique qu en matière de lutte contre le vandalisme Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

12 3.3. AUGMENTATION VOLUME UTILISE EN ASPERSION Conditions requises : - humiditéoptimalepourcompostagededevestdel ordrede50à55% - en fonction saisons, les DEV entrants présentent une humidité comprise entre 25 et 35 %, soit un écart à l optimal de 20 à 25 % - sur la période d octobre doctobre à mai, les précipitations «naturelles» suffisent à assurer l humidité optimale des produits (les mois de novembre et mars se singularisent par un fort excédent hydrique des produits en cours de compostage) - d un point de vue technique, seule la période de juin à septembre justifie un apport de lixiviats sur les produits en cours de compostage (déficit hydrique) Volume annuel réutilisable : 2200 à 2300 m 3 /an Spécificité : dans tous les cas de figure, cette filière de réutilisation présente un caractère saisonnier marqué (4 mois sur 12 de l année) Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

13 Moyens matériels envisageables / avantages et contraintes : - aspersion par canon type maraichage avantages :systèmeenpostefixe,opt lutte incendie, automatisation arrosage inconvénients : odeurs, micro-dispersion, vandalisme, coût investissement - arrosage par rampe avec pendillards avantages : système poste fixe, automatisation arrosage, écoulement gravitaire inconvénients : vandalisme, emprise au sol (perte surface), coût investissement - arrosage par tuyaux souples déposés sur l andain avantages : rusticité du système, écoulement gravitaire, coût d investissement inconvénients : non régulation des apports, chronophage, mise en œuvre longue et difficile, problèmes de sécurité (nécessité de monter sur les andains de 4 m) Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

14 3.4. RECYCLAGE AGRICOLE PAR EPANDAGE Volume annuel réutilisable : à ce jour, via ses contacts agricoles sur le secteur, TERRALYS a identifié un potentiel d épandage de l ordre de 47 ha épandables dans un rayon maximum de 5 km autour de la PFCDEV (Voglans) et d environ 75 ha sur les communes de Yenne et Saint Paul En privilégiant des épandages de proximité, à raison d une dose moyenne d épandage de l ordre de 60 m 3 /ha en mars et avril et de juillet à octobre (doses à confirmer avec les administrations compétentes), les surfaces présentes sur le secteur de Voglans permettraient le recyclage d environ 2800 m 3 /an. Moyens matériels envisageables : - tonne à lisier (12 m3) + tracteur - épandages réalisés par maître d ouvrage ou l exploitant Spécificité : dans tous les cas de figure, cette filière de réutilisation présente un caractère saisonnier marqué (mars avril et juillet à fin octobre) Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

15 3.5. PRE-TRAITEMENT DES LIXIVIATS Constats : - l actuelle qualité des lixiviats n autorise pas leur rejet au milieu naturel (au regard des normes de rejet de l AP de la PFCDEV de Voglans) - l actuelle qualité des lixiviats n autorise pas également leur traitement en station d épuration (indépendamment des modalités raccordement réseau, la faisabilité d une telle solution passerait par un abaissement du rapport DCO / DBO5 inférieur à 3) - l actuelle qualité des lixiviats demeure un frein quant à l efficacité d un traitement in situ par lit macrophytes Conséquences : - En vue d améliorer la «traitabilité» (de tout ou partie) des lixiviats, la Comm. D Agglo et son exploitant ont décidé de lancer une campagne d essai d un système d aération (oloïdes) des deux 1ers bassins - après curage des bassins, les matériels ont été mis en place le 27 mai - un protocole de suivi de la qualité des lixiviats a été mis en place - l efficacité et l intérêt du syst. d aération sera analysée à l issu de la phase de test de 2 mois (fin juillet 2010) Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

16 4. BILAN ET SCENARIOS ENVISAGEABLES 4.1. BILAN A ce stade de l étude, le raisonnement de la gestion des lixiviats se résume ainsi : - volume annuel lixiviats collecté en situation future : 8300 m 3 /an - capacité actuelle stockage : 700 m 3 efficaces (pour 800 m 3 utiles) - capacité future de stockage : 1100 m 3 efficaces (pour 1200 m 3 utiles) - volume annuel réutilisables en aspersion : 2300 m 3 / an (mini) - tests en cours pour le pré-traitement des lixiviats sur site pour définir les modalités de traitement in-situ (macrophytes) ou ex-situ (UDEP) pour tout ou partie du volume annuel de lixiviats - volume annuel utilisable en épandage agricole : 2800 m 3 /an(mini) Dans tous les cas de figure, les 2 filières actuellement validées (aspersion et recyclage agricole) se caractérisent par une saisonnalité marquée, imposant de fait la recherche de solution de traitement pérenne sur l année Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

17 4.2. SCENARIOS 1 ) efficacité aération avérée + ré-haussement seuils AP + aspersion sur site : rejet excédent milieu naturel 2 ) efficacité ité aération modérée é + ré-haussement seuils AP + aspersion sur site : traitement partiel sur macrophytes in situ avec rejet au milieu naturel 3 ) efficacité aération avérée ou modérée + ré-haussement seuils AP + aspersion sur site + accord Maître d Ouvrage sur filière agricole : traitement multi-filière avec aspersion + épandage + rejet volume excédentaire au milieu naturel ou traitement t complémentaire in situ (macrophytes) ou ex-situ (UDEP) Journée Technique de l ARACQ «Gestion des eaux usées des PFC» Ecosite de la Buisse 8 juin

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