A L L O C A T I O N d E T U D E S : L E P O I N T

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1 B O U R S E S A L L O C A T I O N d E T U D E S : L E P O I N T S O M M A I R E - -=-=-=-=-=-=-=-=- 1) - Quelques rappels historiques 2) - Analyse actuelle 3) - Les tentatives de råcupåration 4) - Nos possibilitås. X X X I) QUELQUES RAPPELS HISTORIQUES La revendication d'allocation d'etudes est presque aussi vieille que la Charte de Grenoble. C'est en effet alors que l'allocation d'etudes fait son apparition comme revendication - timide - du mouvement Åtudiant, mais dans une perspective corporatiste. 2 - Cette revendication a suivi dans son contenu politique l'åvolution gånårale des directions Åtudiantes. C'est ainsi qu'en 1963, l U.G.E. analysait "le travail Åtudiant" : elle constatait l'aliånation sentie par l'åtudiant (elle constatait l'imperfection du travail Åtudiant", dont elle voyait deux caractåristiques : a) travail individuel par son esprit, son objet, sa forme ; b) manque d'adaptation É ce qu'est l'åtudiant et É ses besoins en matiñre de dåveloppement humain") aliånation qui doit Ötre supprimåe. Si l'on en croit l'u.g.e. d'alors, : 1) par un travail "participant dans lequel l'åtudiant donnera de lui möme et recevra des autres" 2) par une liaison avec le travail professionnel, on arrive ainsi É une premiñre Åbauche de conclusions thåoriques :.../...

2 - I7 - il existe un travail, certes imparfait, mais råel de l'åtudiant d'oà nåcessitå d'un salaire. "L'Åtudiant est socialement utile, il a donc droit É l'indåpendance matårielle. Il est inadmissible que l'etat se dåcharge sur les familles du soin d'assurer une vie dåcente É ceux qui sont intågrås dans son processus de dåveloppement" = dåfense d'un prå-salaire sur critñres universitaires. Donc une conclusion relativement juste É partir d'un raisonnement faux, dans son essence, puisque envisageant le problñme dans l'optique de l'åtudiant et non dans le cadre du systñme de formation ; raisonnement d'autant plus scabreux qu'il est construit É partir d'une vision subjective et psycho-sociologique de l'åtudiant et de ses Åtats d'âme et non de son statut objectif dans le systñme Åconomique. 3 C est en se situant dans cette möme optique de l'individu- Åtudiant que l'u.n.e.f. lanäa, en 1965, sa campagne pour l'attribution d'une Allocation d'etudes, versåe directement É tous les Åtudiants, sur critñres universitaires ; c est É partir des notions de "dåpendance", "irresponsabilitå", "isolement", qui lui semblaient caractåristiques d'un "statut Åtudiant", que l'u.n.e.f. soutenait thåoriquement sa revendication. En fait, c'est dans une perspective sur le fond råformiste que le bureau de l'u.n.e.f. de 1965 dåfendait l'allocation d'etudes : fiers d'avoir "dånoncå les carences de l'universitå, son inadaptation criante aux nåcessitås actuelles de l'åconomie et de l'åvolution des techniques, son incapacitå É råpondre aux dåsirs des Åtudiants d'acquårir une formation professionnelle valable", les dirigeants de l'u.n.e.f. ajoutaient : "ce n'est pas en maintenant l'åtudiant dans un statut d'irresponsable et d'assistå que notre universitå formera des individus capables de prendre en charge leur formation et de jouer un rãle conscient dans la sociåtå actuelle". 4 - Contre ces conceptions råformistes, des råactions se sont fait jour, la plus intåressante Åtant celle qui permit É Terrel de remettre en cause la position de l U.N.E.F. sur l'aide directe aux Åtudiants. Se fondant sur l'absence objective de råalitå de la notion de statut Åtudiant, et dåfendant alors la thñse de l'allocation d'etudes sur critñres sociaux, en s'efforäant de "redonner au mot d'ordre sa place correcte, c'est-é-dire hiårarchiså et situåe", cette revendication intervient dans le seul but de favoriser la dåmocratisation du recrutement de l enseignement en 1) annulant les inågalitås de revenus au dåpart, 2) en permettant aux Åtudiants de faire leurs Åtudes É plein temps. Nous montrerons plus loin (cf. "Analyse Actuelle"), pourquoi cette analyse nous semble incorrecte dans ses fondements thåoriques (Terrel ne voit pas l'utilitå tactique que peut repråsenter un mot d'ordre revendicatif dans une perspective de "dynamique des luttes" ), et illusoire dans l'objectif poursuivi;.../...

3 - I8 - (A cet Ågard il semble bien que comme l'ont montrå BOURDIEU et PASSERON (in "Les HÅritiers"), le contenu de l'enseignement et les måcanismes de sålection, soient aussi efficaces, sinon plus, que les facteurs matåriels pour former un obstacle É la dåmocratisation.). 5 - Pour Paccou de l'u.g.e. : "l'åtudiant n'åtant pas engagå directement dans le processus de production, n'åtant möme pas intågrå de maniñre autonome et complñte dans les circuits de production, n'entretient avec le systñme socio-åconomique que des rapports mådiatisås en relation avec sa situation d intellectuel". Il essaie de råhabiliter les critñres universitaires, en affirmant que : "le milieu Åtudiant conservera toujours une relative autonomie, au moins idåologique, par rapport É ses origines, et möme É son devenir de classe". Il apparaåt ainsi que Paccou, privilågiant l'idåologie par rapport É l'åconomie se range de facto aux cãtås de ceux qui dåfendaient, avant Terrel, les thñses dites Åthicopsychologiques. II) ANALYSE ACTUELLE L'analyse actuelle tend É rechercher les possibilitås de dåbouchås dans des luttes plus larges et ne se pråoccupe qu'en second lieu de la revendication en soi. A partir du dåveloppement constant des forces productives, 1a bourgeoisie se trouve contrainte d'une part de permettre la reproduction Ålargie de la force de travail d'autre part et de maniñre complåmentaire de råpondre É la nåcessitå politique de transmission et de maintien de l idåologie dominante. Ceci la place face É deux contradictions : - En premier lieu, s'il y a nåcessitå d'ålargissement de la base de recrutement de l'universitå, elle doit se faire au moindre coçt, ce qui implique une aide sur critñres sociaux uniquement. Ceci explique la nåcessitå ressentie par le pouvoir de supprimer de fait l'aide indirecte en appliquant une politique de våritå des prix (Restau U., hausse des loyers en citås U., etc...) et de la personnaliser en aide directe. Fort intåressantes, É ce propos, sont les conclusions de la Commission Aigrain "Il est apparu É la commission que l'importance de l'effort accompli en faveur des restaurants universitaires (90 millions), aide indiffårenciåe attribuåe pratiquement É l'ensemble des Åtudiants, quel que soit le montant de leurs revenus, Åtait peu compatible avec la recherche d'une action sålective destinåe É encourager les Åtudiants issus des milieux modestes É effectuer des Åtudes supårieures. La möme remarque s'applique dans une moindre mesure aux citås universitaires, oà, compte tenu de la capacitå d'accueil existante, des chambres peuvent Ötre offertes, pour l'instant, au möme prix É des Åtudiants issus de milieux modestes et É d'autres.../...

4 - I9 - appartenant É des catågories plus favorisåes (É l'heure actuelle, la moitiå seulement des Åtudiants logås en citås universitaires sont boursiers)... la philosophie de ces diverses propositions est d'instituer plus de clartå dans le måcanisme actuel d'aide aux Åtudiants. A la place de plusieurs formes d'aide directe ou indirecte, la commission pråfñre un systñme oà une somme d'argent plus importante serait donnåe aux Åtudiants qu'il parait souhaitable d'aider, É charge pour eux de payer É leur vrai prix les prestations dont ils bånåficient..." Un avantage annexe est de permettre une certaine sålectivitå. La möme commission demande en effet des critñres universitaires plus stricts pour l'obtention des bourses. - En second lieu, la volontå de favoriser les ÅlÅments de la petite bourgeoisie, comme Åtant les plus aptes É jouer le rãle de servants idåologiques du capital et de faäon É s'assurer de sa fidålitå politique, conduit É mettre en place un systñme de bourses maquillå sous le titre d'allocation d'etudes sur critñres sociaux. En effet, la seule allocation d'åtudes råelle reste celle sur critñres universitaires. Or, elle est en contradiction avec l'idåe de coçt minimal. Le systñme sur critñres sociaux permet, lui, de distribuer plus de bourses É la petite bourgeoisie, de maniñre plus gånåralisåe et É un taux plus ÅlevÅ, sans pour autant remettre en cause le systñme du quotient familial et de la demi part favorisant les milieux les plus aisås. De plus, les critñres fondås sur la dåclaration du revenu familial dåfavorisent syståmatiquement les salariås au profit des catågories oà la fraude par Åvasion fiscale est possible et couramment pratiquåe : 45 % de fils d'ouvriers rentrås dans l'enseignement supårieur sont actuellement boursiers. Les chiffres sont significatifs, pour en pourcentage : REPARTITION des BOURSIERS SUIVANT LEUR ORIGINE SOCIO-PROFESSION- NELLE - issus de FacultÅs I.U.T TOTAL patrons Industrie 9,6 8,5 9,8 commerce Prof. libårales, 6,3 1,8 6,3 cadres sup. Cadres moyens 12 6,4 12,1 exploitants agricoles 11, ,3 TOTAL : 39,1 32,7 39,5 Ouvriers agricoles 2,1 2,9 2,1 Ouvriers 22,2 31,5 22,5 TOTAL : 24,3 34,4 24,6

5 De fait, le terme Allocation d'etudes, issu de l'idåe originelle de råmunåration directe du travail Åtudiant, ne peut Ötre rattachå qu'aux critñres universitaires. Toutes les aides sur critñres sociaux sont accordåes en fonction du revenu familial : elles sont donc, en fait, des complåments de l aide apportåe par la famille. Allocation d'etudes n'est employåe par la bourgeoisie et les råformistes que dans un but mystificateur et de råcupåration de l ancien mot d'ordre de l U.N.E.F. III)- CONJONCTURE : Le but du pouvoir et en effet, lorsqu'il en aura les moyens, de råcupårer cette revendication, É de fins d'intågration. a) La commission MALLET reprend les propositions sur l institution d un systñme dit d Allocation d'etudes sur critñres sociaux dans le premier cycle, sociaux universitaires (sous forme de pröt), dans le second et universitaires dans le troisiñme. Les motivations sont explicites dans le texte : "L'Åtude des diffårents projets a fait ressortir la nåcessitå de l'orientation voire Åventuellement d'une certaine forme de sålection, l orientation ne pouvant porter ses fruits qu É terme. Il a ÅtÅ convenu que la poursuite des travaux se ferait en tenant pour acquis les points suivante : * que l'orientation (ou la sålection) Åtait råalisåe, ce qui est indispensable pour l'attribution d'une Allocation d'etudes ; * que chaque Åtudiant Åtait É la place souhaitable, pour lui, en nombre concordant avec les besoins de la Nation ; * que cette orientation, ou sålection, Åtait de la compåtence des instances pådagogiques et pas du ressort de la commission ; * que cette orientation ne se fera pas dñs le premier cycle oà seul le critñre social est retenu". On s aperäoit alors que l'allocation d Etudes ne sera attribuåe qu'aprñs orientation, suivant les besoins de la nation. Cette orientation ne se fera pas dñs le premier cycle, et donc seul le critñre social y sera retenu. Ainsi se confirme implicitement notre analyse. A noter "qu'il a ÅtÅ proposå que l'etat puisse encourager dñs ce stade, la poursuite de certaines Åtudes jugåes utiles É la collectivitå en majorant les taux des allocations pour ces Åtudes. Dans le deuxiñme cycle, möme systñme avec nombre des bånåficiaires augmentå et barñme plus favorable...? Une aide facultative sous forme de pröt est possible. Peut-on appeler cela une aide? Bien plus intåressant est le fait que le troisiñme cycle disposerait d'une allocation råelle..../...

6 - 2I - De lé É en dåduire que la bourgeoisie, considårant que le troisiñme cycle lui permet de se reproduire dans ses fonctions de direction politique, Åconomique et idåologique, s attribue É elle-möme la våritable Allocation d'etudes, il n'y a pas loin. D'autant plus que les problñmes de dågrñvements fiscaux ne sont jamais abordås. Ce qui est certain en tout cas, c'est que jamais la Commission ne lui reconnaåt le caractñre de salaire ("cette aide, bien que n'åtant pas un salaire...") : il est hors de question d'admettre l utilitå sociale du travail Åtudiant sans cette forme. Pourtant la conception gånårale semble bien Ötre en filigrane : l'etat råmunårant, pour partie, le travail Åtudiant, doit pouvoir orienter et sålectionner en fonction des besoins de la bourgeoisie (dåclaration du MinistÑre des Finances : "la bourse est la meilleure aide É finalitå pådagogique retenant en tant que critñres universitaires aussi bien la qualitå intrinsñque des Åtudes poursuivies (succñs aux examens), que la nature de ces Åtudes au regard des besoins de la Nation"). De plus, la restructuration des Oeuvres Universitaires en renforäant la dichotomie vie/travail, doit empöcher l'etudiant de saisir la råalitå de son insertion dans le systñme. Les bourses seraient donc de la compåtente des Oeuvres, effaäant ainsi la relation råmunåration - travail. b) Le projet pråsentå par l' U.N.E.F.- Renouveau n'åtait diffårent que sur deux points : un de minime importance : - une faible part de pråsalaire dans le second cycle ; un de vocabulaire : - un salaire au lieu d'une allocation dans le troisiñme cycle (dans le texte : "L'Åtudiant est un rentable pour la Nation, c'est un salaire...")! Ce qui a permis É la dite "U.N.E.F.-Renouveau" de cautionner avec d'autant plus de facilitå la politique de la bourgeoisie en se ralliant É son projet (Lire l'humanitå du ). c) Les vues du pouvoir : En Novembre, GUICHARD dåclarait : "On peut se demander si dans l'enseignement supårieur, il ne faudrait pas råduire la part considårable de l aide indirecte qui, avec 200 millions, s'ålñve É prñs de la moitiå des crådits d'aide directe. Ne serait-il pas possible de transfårer une partie de cette subvention aveugle É une aide selective qui, dans les conditions actuelles de dåmocratisation de l'enseignement supårieur, est certainement le facteur efficace de son accålåration?. Ceci correspondrait É la possibilitå d'augmenter le nombre des bourses de 50 % et de le porter É 30 % du nombre des Åtudiants. Le pouvoir serait donc en mesure, le cas ÅchÅant, de råussir (surtout s'il y a amålioration de la conjoncture Åconomique É moyen terme), É mettre en place un systñme de pseudo-allocation d Åtudes servant É ses fins d'intågration..../...

7 IV) - NOS DEVOIRS ET NOS POSSIBILITES Face É cette offensive du pouvoir et des råformistes, il est nåcessaire, quoiqu il arrive, de råagir par une campagne d explication et de dåmystification. a) Rappelons succinctement en premier lieu les propositions antårieures : - Prise en charge intågrale par l Etat de la formation de ses cadres et techniciens, dñs l'entråe dans l'enseignement supårieur ; - attribution automatique mensuelle et durant toute l'annåe, É tous les Åtudiants sur critñres universitaires uniquement, et non plus sur critñres sociaux basås sur le taux d'imposition des parents ; - montant de la råmunåration Ågale au S.M.I.G.; RÅmunÅration financåe uniquement par une subvention inscrite au Budget de l'education Nationale et servie directement aux bånåficiaires par les services du TrÅsor. - Loi applicable aux Åtudiants Åtrangers ; - le coefficient familial est diminuå d une é part et le chiffre d'impãts verså par la famille augmente en fonction du revenu familial ; - libertå de choisir ses Åtudes ; suppression de toutes autres formes d'aide Åtatique directe ou indirecte, et des crådits de fonctionnement du CNOUS. Le chiffre d'impãt de la famille augmente du fait de la suppression d'une é part de l'irpp b) A la lumiñre de ces ÅlÅments : La discussion doit se poursuivre. Il reste É dåterminer si l'attribution d'une Allocation d'etudes correspondrait råellement É une salarisation immådiate des Åtudiants. Ceci constituerait un facteur d'homogånåitå permettant un rapprochement de la situation de l'åtudiant par rapport É celle des travailleurs. Cette analyse reste douteuse, Åtant donnå que l'åtudiant n'est qu'en phase de constitution de la force de travail, qu'il n'est pas encore intågrå directement dans le processus de production. Une seule constatation positive est possible. Il s'agit,le cas ÅchÅant, de forcer la bourgeoisie É prendre en charge le coçt social de la formation, exploitant ainsi la contradiction due É la volontå de la faire au coçt minimal. c) Cette action ne peut pourtant Ötre envisagåe compte tenu des råserves pråcådentes et des risques de råcupåration par le pouvoir, que si le mouvement Åtudiant est dans un rapport de force suffisamment favorable. Ceci afin de pouvoir assumer politiquement l'explication et la råcupåration de ce mot d'ordre. La seule possibilitå tactique, est celle d'une offensive consåcutive É des actions de masse. Actions menåes contre la diminution de l'aide indirecte (restau U. loyers en citå...) ou la stagnation de l'aide directe (bourses), conjointement É la dånonciation de la politique intågrationniste du pouvoir (commission Mallet), cautionnåe par les råformistes.

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