INTRODUCTION Traitement Biopsie+++
|
|
- Amélie Petit
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Mehdi DAGHFOUS Service «Hichem BAHRI» de Chirurgie Plastique, Réparatrice et de Chirurgie de la Main. Institut KASSAB d Orthopédie. Tunis TUNISIE 2 ème Congrès Franco-Maghrébin de Chirurgie de la Main Hammamet : Mai 2015
2 INTRODUCTION TO main rares. Main: 2 à 8 % des localisations osseuses. Tumeurs bénignes+++ (> 90% des cas) Diagnostic: - Parfois facile Traitement -Si non évident Biopsie+++ Phalanges, Métacarpiens et Os du carpe
3 INTRODUCTION Principal Problème Mauvais Diagnostic. - Traiter chirurgicalement une lésion médicale. - Traiter insuffisamment une lésion grave. Diagnostic Différentiel
4 DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL Etiologies Infectieuses: -Ostéomyélite. -Tuberculose. Maladies du système: - Sarcoïdose - Histiocytose X Perturbations hormonales: -Tumeur Brune: Hyperparathyroïdie Métastases.
5 DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL Spina Ventosa
6 Diagnostic Différentiel Tumeur Brune Bilan Phosphocalcique. Parathormone.
7 Diagnostic Différentiel Aspect en radis
8 Diagnostic Différentiel Sarcoïdose Maladies du Système Biopsie
9 Classification des Tumeurs Osseuses Tissu concerné Tumeurs bénignes Tumeurs malignes Os Ostéome ostéoïde Ostéosarcomes et leurs variantes Ostéoblastome Cartilage Chondrome Chondrosarcomes (solitaires et multiples) Exostose ostéogénique (solitaires et multiples) Chondroblastome Fibrome chondromyxoïde Conjonctif Fibrome Fibrosarcomes Fibrome non ossifiant Histiocytofibrome malin Tissu hématopoïétique de la moelle osseuse Notochorde Lymphomes (= lymphosarcomes) Myélome-plasmocytome Chordome Neuro-ectoderme Neurofibrome Sarcome d Ewing Schwannome Schwannome malin Origine incertaine Tumeurs à cellules géantes Lésions pseudotumorales Adamantinome Tumeurs à cellules géantes Kyste essentiel Kyste anévrismal Dysplasie fibreuse
10
11
12 CHONDROMES TO primitive Cartilagineuse Bénigne. La plus fréquente: 50 90% Age: 4 ème décade Age moyen: 32 ans (notre série). H=F (Sex ratio=0,72 notre série) P1 = P2 > M > P3 > C.
13 CHONDROMES Circonstances de Découverte Tuméfaction isolée : 34% Tuméfaction + douleur : 6% Douleur isolée : 6% Fracture Pathologique : 32% Découverte fortuite : 16% Déformation : 6%
14 CHONDROMES Imagerie Radio Standard+++. -Lacune centromédullaire bien limitée. -Contours arrondis. -Corticales continues parfois soufflées ou érodées. -Calcifications intra lésionnelles: très évocatrices.
15 CHONDROMES Enchondrome Chondromes solitaires >90% -Centrale: Enchondrome. -Périphérique: Ecchondrome. Chondromes multiples <10% -Maladie d Ollier -Syndrome de Maffuci Ollier Ecchondrome
16 CHONDROMES Imagerie Autres moyens: TDM; IRM; Scintigraphie Analyse fine si diagnostic peu évocateur. T1
17 CHONDROMES Traitement * Biopsie: non indispensable. * Chirurgical +++.Solitaire..Localisations symptomatiques : formes multiples.fractures pathologiques: consolidation -Enchondromes: Evidement -Ecchondromes:. Exérèse +/- évidement.
18 CHONDROMES Traitement Greffe Spongieuse+++ Site de prélèvement : - Crête iliaque : Olécrane : Petites lésions. Substituts Osseux: Phosphate tricalcique.
19 CHONDROMES Anatomie-pathologique Confirmer le diagnostique. Confirmation de la présomption diagnostique: 96 % Macroscopiquement: aspect de cartilage hyalin blanc nacré ou grisâtre de consistance pâteuse rarement dure. Microscopiquement: Substance chondroïde hyaline Chondrocytes
20 CHONDROMES: Cas 1 Rx initiale Chondrome associé Evidement Tumoral
21 CHONDROMES: Cas 1 Rx post op Greffe Spongieuse
22 CHONDROMES: Cas 1 Résultat + 12 mois
23 CHONDROMES: Cas 2 Fracture Consolidation Évidement + Apport spongieux
24 CHONDROMES: Cas 2 Résultat + 2 ans
25 OSTEOME OSTEOÏDE Tumeur Bénigne Ostéogène: OMS. JAFFE : 1935 Petite taille < 1,5 cm. Croissance limitée. Notre Série: 17 cas publiés.
26 OSTEOME OSTEOÏDE Epidémiologie 10%: tumeurs bénignes. Main: 6-13% des cas. Age jeune: ans (29 ans notre série). 2 F / 1 H (1,5 F / 1 H notre série). Phalanges > Métacarpiens > Carpe
27 OSTEOME OSTEOÏDE Clinique Douleur +++. Absente: 11% des cas. Tableau pas toujours caractéristique. Evolution plusieurs années (2 mois à 3 ans: notre série). Test à l Aspirine + 11cas /13 (Notre Série).
28 OSTEOME OSTEOÏDE Clinique Tuméfaction modérée. - Aspect en Fuseau: Localisations digitales (P1 et P2). - Synovite: Localisation poignet. Raideur : Localisations juxta-articulaires (doigt et poignet) Tableau de monoarthrite.
29 OSTEOME OSTEOÏDE Imagerie Radiographie standard: - Zone arrondie radio-transparente = Nidus. - Sclérose + calcification centrale. Image en Cocarde. - Sclérose parfois importante. -Corticale : Sclérose +++ -Médullaire : Peu de sclérose -Sous périosté : Pas de sclérose
30 OSTEOME OSTEOÏDE Imagerie TDM: 7 fois / 17 - Moyen le plus fiable. - Aspect typique de Nidus. - Calcification centrale: 50% des cas.
31 OSTEOME OSTEOÏDE Imagerie IRM: 1 fois / 17 - Si symptomatologie non évocatrice. - Utile surtout pour Dg différentiels. - Œdème péri lésionnel. - Rehaussement du Nidus: Hyper vascularisation de la lésion. - Couplée à la TDM.
32 OSTEOME OSTEOÏDE Imagerie Scintigraphie: 2 fois / 17 - Si Radio normale avec tableau évocateur. - Hyperfixation en Spot Hyper vascularisation. - Sensibilité: 100%
33 OSTEOME OSTEOÏDE Histologie Confirme le Diagnostic. Nidus central : Travées osteoïdes grêles, tissu conjonctif très vascularisé, cellules à prédominance d ostéoblastes. Condensation périphérique faite d os compact très vascularisé Fibres nerveuses dans le nidus et dans la sclérose.
34 OSTEOME OSTEOÏDE Traitement Exérèse en bloc ou Evidement +/- Apport spongieux ++ Photo coagulation au LASER : -Dangereuse pour les structures nobles -Pas d ana-path. Récidive : Rare -Exérèse incomplète -Double localisation
35 OSTEOME OSTEOÏDE: Cas 1 H: 18 ans, P1 médius gauche Douleur + tuméfaction + Flexum IPP : 2 ans
36 OSTEOME OSTEOÏDE: Cas 1
37 OSTEOME OSTEOÏDE: Cas ans
38 OSTEOME OSTEOÏDE: Cas 2 F: 21ans, M2 Dt Douleur + Raideur MP : 3 mois
39 OSTEOME OSTEOÏDE: Cas 2
40 OSTEOME OSTEOÏDE: Cas 2
41 OSTEOME OSTEOÏDE: Cas 2 Résultat Clinique et Radiologique
42 Kyste Anévrismal Kyste Anevrismal KA: Pseudotumeur osseuse, bénigne, agressive. Fort taux de récidive : 30 à 60% des cas. Localisation à la main < 5%. Dg parfois difficile Biopsie systématique
43 Kyste Anévrismal Clinique Tuméfaction évoluant depuis quelques semaines. Indolore. Fracture pathologique.
44 Kyste Anévrismal Imagerie Radiologie: - Lésion polylobée, expansible, métaphyso-épiphysaire, ou excentrique. - Erosions corticales - Parfois Os soufflé Forte suspicion du diagnostic
45 Kyste Anévrismal Imagerie IRM: - Niveaux liquidiens: 2/3 des cas. - Pas d extension dans les paries molles.
46 Kyste Anévrismal Biopsie A l aiguille sous contrôle TDM ou Echo. Chirurgicale. Aspect de liquide séro-hématique Ana-Path Diagnostic: Kyste Primaire ou Secondaire.
47 Kyste Anévrismal Traitement Curetage +/- Apport spongieux. Lésions évoluées ou en os sous Chondral: Résection + Reconstruction (Péroné ou greffe cortico-spongieuse). Radiothérapie: Risque de dégénérescence. Sclérothérapie: Efficacité incertaine.
48 Kyste Anévrismal Garçon: 13 ans Tuméfaction du bord ulnaire Main
49 Kyste Anévrismal + 3 mois
50 Kyste Anévrismal
51 Kyste Anévrismal + 6 mois de Recul
52 Kyste Anévrismal
53
54 FIBROME CHONDRMYXOIDE Tumeur cartilagineuse rare. < 1% des tumeurs osseuses. Main: 3% de l ensembles des localisations. Diagnostic différentiel : -chondrome - chondrosarcome de bas grade de malignité.
55 FIBROME CHONDRMYXOIDE Clinique Pas de particularité cliniques: - Douloureuse ou non. - Tendre ou ferme - Atteinte de la mobilité articulaire rare. Imagerie Aspect radiologique: Non caractéristique. - Image lacunaire. - Taille variable. - Fines Cloisons intra-tumorales. TDM, IRM:
56 FIBROME CHONDRMYXOIDE Traitement - Evolution Traitement conservateur +++ Résection large + Greffe Spongieuse. Curetage simple: Risque de récidive élevé. Transformation maligne: Exceptionnelle.
57 FIBROME CHONDRMYXOIDE Garçon : 8 ans Tumeur P1 pouce Droit.
58 FIBROME CHONDRMYXOIDE Evidement simple Dg de FCM
59 FIBROME CHONDRMYXOIDE 3 mois post évidement simple Réhabitation osseuse
60 FIBROME CHONDRMYXOIDE 6mois post évidement simple 3ans post évidement simple
61 FIBROME CHONDRMYXOIDE Exérèse Large avec Greffe Spongieuse + FE
62 FIBROME CHONDRMYXOIDE 7 ans Post Opératoire
63 FIBROME CHONDRMYXOIDE 7 ans Post Opératoire
64 GRANULOME REPARATEUR A CELLULES GEANTES *Pseudo tumeur osseuse rare. *Localisations: - Maxillaire Petits os distaux: métacarpes, phalanges, métatarses. *Souvent découverte fortuite, ou symptomatologie récente modeste. *Imagerie: sémiologie variée non spécifique, Ne permet pas d affirmer le diagnostic
65 GRCG Diagnostic Différentiel * Tumeur à cellules géantes+++ -Très grandes cellules géantes multinuclées -Production de tissus ostéoide moindre -Fibroblastes moins nombreux Recherche immuno- histochimique: - P63 : (-) : GRCG - P63 (+) :TCG *Kyste anévrysmal *Tumeurs Brunes de l Hyperparathyroidisme
66 GRCG Traitement - Curetage + reconstruction par greffe. Récidives importantes Surveillance régulière. - Exérèse / Reconstruction.
67 GRCG: Cas 1 F: 30 ans. Tuméfaction P2 Indexe Gche depuis 8 mois
68 GRCG: Cas 1 Radiologie - Image ostéolytique prenant toute P2 et soufflant l os. - Articulations IPP et IPD semblent envahies.
69 GRCG: Cas 1 Biopsie: - Tumeur de couleur brunâtre, friable. - Pas de contenu séro-hématique. Granulome Réparateur à cellules Géantes.
70 GRCG: Cas 1 Résection Complète de P2
71 GRCG: Cas 1
72 GRCG: Cas 1 +1 an
73 HEMANGIOME INTRAOSSEUX -TO rare < 1%. - Vasculaire. -Rachis, Crane, Face ++ (70%) -Main: Très rare. - Os du carpe: 1 er cas décrit.
74 Hémangiome intra-osseux Tableau silencieux. Clinique Découverte fortuite. Parfois: -Tuméfaction, -Douleurs ou -Fr. pathologique.
75 Hémangiome intra-osseux Imagerie * Radio: Lacune bien limitée, Contours nets, Polycycliques en nid d abeille, avec amincissement de la corticale. * IRM: Très vascularisée. Rehaussement massif : Gado. * Scintigraphie: Hyperfixation localisée Forme solitaire. Eliminer une angiomatose diffuse.
76 Hémangiome intra-osseux Evolution -Traitement *Evolution: stable ou s étendre *Moyens thérapeutiques: - Abstention. - Embolisation: Ethanol. - Chirurgie.
77 Hémangiome intra-osseux : Cas 1 H: 44 ans. Traumatisme Bénin Prise de contraste Images lytiques du grand os et des bases des 3è et 4è métacarpiens
78 Hémangiome intra-osseux : Cas 1 Evidement Osseux
79 Hémangiome intra-osseux : Cas 1 Greffe Spongieuse
80 Résultat clinique à 10 mois de recul Bonne Mobilité du Poignet
81 Hémangiome intra-osseux : Cas 1 Résultat radiologique à 10 mois de recul
82
83
84 CHONDROSARCOME Tumeur Maligne Cartilagineuse très rare. 4% des tumeurs malignes. 1 à 1,5% des chondrosarcomes du squelette. Age: 5 ème 7 ème Décade. F >>H. Phalanges (P1) > Métacarpiens.
85 CHONDROSARCOME Primitive ou secondaire. 3 grades. Ttt Chirurgical: amputations segmentaires. Pronostic: Bon
86 CHONDOSARCOME Clinique Tuméfaction: 1 er symptôme. Augmentation rapide de la taille. Douleur: Rupture corticale.
87 CHONDOSARCOME Imagerie Radiologie Standard: rechercher des signes de malignité * Erosion corticale. * Réaction périostée. * Infiltration des parties molles.
88 CHONDOSARCOME Imagerie TDM: Etude de la matrice cartilagineuse. Rechercher une érosion ou rupture corticale. IRM: Etude de la lésion et son extension. Scintigraphie: Hyperfixation Rechercher d autre lésions.
89 CHONDOSARCOME Traitement Amputation segmentaire++ Evidement: Récidives fréquentes. Risque de métastases: faible Malignité locale. Radiothérapie et chimiothérapie: non indiquées.
90 CHONDOSARCOME H: 60 ans Tumeur Osseuse Lytique de P1 de l annulaire et de l auriculaire
91 CHONDOSARCOME Amputation segmentaire
92 CHONDOSARCOME Résultat à 6 ans de recul
93 SARCOME D EWING James Ewing : ème tumeur osseuse maligne primitive Sujets jeunes +++ ( avant 30 ans) Atteinte de la main : rare (0,3% à 1%) Littérature: 50 cas. Atteinte phalangienne : exceptionnelle 2 cas publiés dans notre service.
94 SARCOME D EWING Forme indifférenciée des tumeurs Neurectodermiques Primitives Périphériques (PNET). t(11,22) : 85%cas ; t(21;22) : 15% des cas. Problème diagnostic, thérapeutique et pronostic. Très Grave.
95 SARCOME D EWING Clinique Tuméfaction douloureuse, ulcérée +/- infectée.
96 SARCOME D EWING Diagnostic Etude histologique et immunohistochimique confirmation diagnostique Prolifération sarcomateuse à cellules rondes Immunomarquage positif au CD99
97 SARCOME D EWING Traitement Protocole actuel Chimiothérapie préopératoire type VIDE Chirurgie carcinologique radicale Radiothérapie si tumeur primitive inopérable Étude histologique de la réponse à la chimiothérapie +++ Chimiothérapie adjuvante type IVA +/- Radiothérapie locale Survie à 5 ans : 60% pour les tumeurs localisées, 20 % pour les tumeurs métastatiques
98 SARCOME D EWING Retenir Tumeur agressive+++ Mauvaise réponse à la chimiothérapie : facteur mauvais pronostic Prise en charge multidisciplinaire +++
99 SARCOME D EWING: Cas 1 Garçon 10 ans Tm du pouce gauche: 4mois Biopsie :Tm d Ewing Bilan d extension initial négatif
100 SARCOME D EWING: Cas 1 Amputation trans MP suivie d une Chimiothérapie : 6 cures VIDE puis 6 cures IVA
101 SARCOME D EWING: Cas 1-25 mois PO: absence de récidive, - Méta. hépatiques et pulmonaires. -Chimiothérapie de rattrapage : 4 cures VIP. -Décès à 28 mois post opératoire.
102 CONCLUSION TO main: majorité des cas Bénignes. Diagnostic: Clinique et Imagerie. Attention aux diagnostics différentiels: lésions médicales. Chirurgie++ Particularités pour les tumeurs malignes.
Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailsur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière
Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailConsolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY
Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailIntérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils
Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils LAPEGUE Franck (1-2), LOUSTAU Olivier (2), DENIS Aymeric (2), BOUSCATEL Elodie (1), PONSY Sylvie (1), SANS
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailInstitut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010
C. Gable - DUHAM 2010 Les orthèses provisoires en pathologie traumatique LES FRACTURES DIGITALES LA MAIN COMPLEXE LES ENTORSES DIGITALES Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 Colette Gable,
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailIntroduction et préparation aux stages cliniques Traumatologie et orthopédie infantile À l usage du 2 et 3 cycle Faculté de Médecine ULG
Professeur Oreste Battisti, orthopédie infantile, ULG - 1 - Introduction et préparation aux stages cliniques Traumatologie et orthopédie infantile À l usage du 2 et 3 cycle Faculté de Médecine ULG Dr Oreste
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailAmputations partielles traumatiques de la main. Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy
Amputations partielles traumatiques de la main Colette Gable - Ergothérapeute CDS - IRR Nancy Amputations partielles de la main Introduction Amputation et répercussions psychologiques Principes de rééducation
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailL utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées
L utilisation de la moelle osseuse comme autogreffe en cas de fractures non consolidées Mohamed Ahmed Samir Kassem Chef de clinique assistant Hôpitaux Universitaires d Alexandrie, Egypte INTRODUCTION La
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLa main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab
La main traumatique: traumatismes ostéo- articulaires des doigts longs. DR Moughabghab Rappel anatomique! Phalanges: P1 P2 P3 = os longs! Articulations IP = trochléennes un seul degré de liberté. - tête
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailINTRODUCTION; OBJECTIFS; NOTRE SÉRIE;
PLAN INTRODUCTION; OBJECTIFS; NOTRE SÉRIE; MATÉRIELS & MÉTHODES; RÉSULTATS; DISCUSSION: GÉNÉRALITÉS; RAPPEL ANATOMIQUE DE LA BASE DU CRÂNE; CLASSIFICATION DES TBC; CLINIQUE. LES MOYENS D IMAGERIE DES TBC;
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailONCOLOGIE PÉDIATRIQUE
ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE SURVOL ET PERSPECTIVES MARIE JUTRAS MAI 2014 Plan Modalités thérapeutiques Cancers pédiatriques les plus fréquents Impact des traitements à court et long termes 1 Introduction Grâce
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLes tumeurs bénignes ne sont pas cancéreuses. Elles ne se propagent pas à d autres parties du corps.
Vivre avec le cancer Renseignements généraux à propos du cancer Le cancer apparaît lorsque des cellules deviennent anormales et prolifèrent de manière incontrôlée. Ces cellules empêchent les cellules saines
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailDÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :
Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique
Plus en détailGénéralités sur fractures, luxation et entorses
Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailLE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE
LE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE Sémiologie, étiologies et diagnostics différentiels J Giron, N Sans, ML Despeyroux, O Loustau, H Gandois, D Galy, JJ Railhac Service central d imagerie CHU Purpan - Toulouse
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailRADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE
RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE EN CONDITIONS STÉRÉOTAXIQUES Classement CCAM : 17 code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La
Plus en détailChirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER
Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Introduction Kinésithérapie Dénervation Arthrolyse - Artholyse chirurgicale - Artholyse + ligamentotaxis
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailTraumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara
Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailOption sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES
Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES PLLAANN DU CCOURRSS INTRODUCTION : GENERALITES I. CONSOLIDATION
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailSommaire. II. La physiopathologie des pertes de substance osseuse 18
Sommaire Introduction 5 I. Des rappels anatomiques et physiologiques 6 A. Les cellules du tissu osseux 7 1. Les ostéoblastes 8 2. Les ostéocytes 8 3. Les cellules bordantes 9 4. Les ostéoclastes 9 B. La
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailItem 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques
20 Item 123 Psoriasis Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER Connaître les particularités cliniques,
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailItem 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)
Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient
Plus en détailRÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME CORPORELS
RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 Le document a été préparé par la Direction des services médicaux en collaboration avec
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES
LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détail