Stratégie d implantation géographique et positionnement sur les marchés s d export d industriels laitiers
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- Charles Charles
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1 Stratégie d implantation d géographique et positionnement sur les marchés s d export d des industriels laitiers Benoît Rouyer Chef du service économique du CNIEL brouyer@cniel.com 1
2 Deux idées clés A la volatilité près, l Europe et la France laitières ont aujourd hui une vision plus favorable de leur avenir qu au début des années 1990 et Face à une demande soutenue, les zones laitières gagnantes de demain ne se définiront pas uniquement sur la base des coûts de production. La cohérence des options stratégiques et la qualité du dialogue entre producteurs et transformateurs seront également déterminants. 2
3 Un changement de cap! Un vrai défi d adaptation à la volatilité des prix Mais une vision plus favorable de l avenir Plutôt que 3
4 Vision de l avenir laitier en Europe et en France Ce qu il était courant d entendre il y a 7 ans (extrait d une étude Ubifrance-Cniel sur les produits industriels en décembre 2005) Depuis 2 ans, la conjoncture est plutôt favorable aux opérateurs européens engagés dans les produits industriels, mais La forte dépendance historique de la France à l égard du marché algérien, en dégradation régulière depuis 4-5 ans, met en difficulté certains opérateurs français. Les craintes à moyen terme d un abaissement de la valorisation des produits industriels fabriqués en Europe restent toujours aussi fondées. 4
5 Vision de l avenir laitier en Europe et en France Ce qu il était courant d entendre il y a 7 ans (extrait d une étude Ubifrance-Cniel sur les produits industriels en décembre 2005) Le contexte global pour les produits industriels à l échelle de l UE A court terme ( ) La donne environnementale sera a priori peu modifiée, et les perspectives semblent assez favorables. A moyen terme (à partir de ?) Le marché intra-ue risque d être fortement déstabilisé par l application des nouveaux accords OMC (en cours de négociation). OMC Le démantèlement des restitutions est a priori acquis (calendrier à définir). Un accroissement plus ou moins massif de l accès du marché intra-ue à des produits issus des pays tiers est attendu. 5
6 Un changement de cap pour la vision de l Europe et de la France laitières! Milieu des années 2000 Une vision très défensive du monde Le cycle OMC de Doha (alors d actualité) est surtout porteur de mauvaises nouvelles (suppression des restitutions ; accès accru de l UE aux importations) Le marché mondial sera de plus en plus dominé par des pays de l hémisphère Sud (Nouvelle- Zélande, Australie, Argentine et Brésil) Malgré la réforme de la PAC, l UE ne pourra pas être compétitive sur le marché mondial des produits laitiers sans restitutions. La filière laitière est très déstabilisée par la réforme de la PAC en cours (restriction de l intervention ; suppression des aides à l écoulement) La valorisation du beurre et des produits secs est structurellement moins bonne que celle des PGC. Début des années 2010 Une vision plus équilibrée du monde Le cycle de Doha est enlisé. A l OMC, l UE n est plus pointée du doigt, l agriculture n est plus l enjeu principal. Le marché mondial est en pleine croissance, tiré par la demande des pays émergents. La Nouvelle-Zélande et l Argentine en profitent pleinement, mais les autres compétiteurs de l hémisphère Sud (Brésil, Australie) sont beaucoup moins agressifs. L UE et les Etats-Unis semblent également en mesure de développer leurs exportations (au moins pour le lait infantile, la poudre de lait écrémé, le lactosérum et les fromages). La volatilité des prix devient le principal défi des opérateurs laitiers (partout dans le monde) La hiérarchisation des produits laitiers en termes de valorisation est beaucoup moins nette. 6
7 Quels sont les grands changements survenus depuis 6-7 ans qui expliquent ce revirement? L accroissement de la richesse mondiale s opère désormais en premier lieu dans les pays émergents 2000 à à 2010 RNB mondial Mrd USD RNB mondial Mrd USD Principaux contributeurs (%) Principaux contributeurs (%) Etats-Unis 24,1 Chine 21,2 Chine 7,9 Etats-Unis 8,9 Royaume-Uni 5,9 Brésil 6,7 Allemagne 5,7 Russie 4,7 France 5,1 Inde 4,5 Italie 4,3 Allemagne 4,0 Japon 4,2 France 3,4 Cniel / Banque mondiale (Méthode Atlas) RNB : revenu national brut ; remplace le PNB depuis 1995 dans les indicateurs de la Banque Mondiale. RNB : somme des revenus (salaires et revenus financiers) perçus par les agents économiques résidant sur un territoire. PNB : production annuelle de richesses (valeur des biens et services crées) par un pays, que ce soit sur son sol ou à l étranger. 7
8 Quels sont les grands changements survenus depuis 6-7 ans qui expliquent ce revirement? Les BRIC, fer de lance des pays émergents, sont déficitaires en produits laitiers. Leur importations se sont sensiblement accrues au cours des dernières années Cumul par produits des importations des BRIC (Brésil + Russie + Inde + Chine) CNIEL / Comtrade NB : en 2011 reconduction des données de l Inde de
9 Quels sont les grands changements survenus depuis 6-7 ans qui expliquent ce revirement? Les écarts de coûts de production entre continents se résorbent Les coûts augmentent sensiblement en Amérique du Sud Brésil (Sud) 50 VL Argentine 170 VL Pérou 17 VL Chine 17 VL Indonésie 18 VL Asie Pakistan 5 VL IFCN 9
10 Quels sont les grands changements survenus depuis 6-7 ans qui expliquent ce revirement? Les coûts augmentent sensiblement en Océanie Nouvelle Zélande 348 VL Nouvelle-Zélande 996 VL Les coûts augmentent modérément en Amérique en Europe de l Ouest Les coûts se stabilisent Canada 131 VL Allemagne (N) 95 VL Espagne (NO) 105 VL E-Unis (Wisconsin) 350 VL R Uni (SO) 229 VL IFCN 10
11 Quels sont les grands changements survenus depuis 6-7 ans qui expliquent ce revirement? Les écarts de prix du lait entre France, Nouvelle-Zélande et Etats-Unis se resserrent France : moyenne arithmétique des prix des 4 entreprises françaises suivies par LTO (Lactalis, Sodiaal, Bongrain et Danone) ; lait à 4,2% MG et 3,3% MP Etats-Unis : lait destiné à la fabrication de fromages (Class III) Nouvelle-Zélande : prix de Fonterra 11 11
12 Un changement de cap durable! Les projections macro-économiques sont plutôt favorables à l Europe et la France laitières 12
13 La richesse mondiale devrait continuer de se disperser davantage. Evolution du PIB et de la croissance du pays PIB PIB en milliard USD* Croissance annuelle du PIB (%) Croissance du PIB des pays émergents PIB des pays émergents Croissance du PIB des pays riches PIB des pays riches * : dollar constant valeur 2004 Conclusion de la FAO : les écarts de consommation par habitant entre pays riches et pays émergents devraient diminuer pour de nombreux produits alimentaires, dont les produits laitiers. 13
14 Ceci se traduit par le développement d une classe moyenne dans les pays émergents L exemple de l Inde et de la Chine Distribution des ménages selon le revenu en USD par an En Inde En Chine Nombre total de ménages (million) Nombre total de ménages (million) Fonterra 14
15 La majorité des pays émergents (Asie et Afrique) sont déficitaires en produits laitiers. Représentation des pays excédentaires et déficitaires en produits laitiers Pays excédentaire (solde positif > 2% production) Pays à l équilibre CNIEL (Année 2009) Pays déficitaire (solde négatif < 2% production) 15
16 La population mondiale va surtout s accroître dans les pays émergents Evolution de la population mondiale 2010 à 2050 (scénario médian ONU données révisées 2010) ONU 16
17 Le déficit laitier de l Asie (et de l Afrique) devrait se creuser dans les années à venir. Evolution du solde de la balance commerciale pour les produits laitiers (millions de tonnes équivalent lait liquide) CNIEL / FAO World agriculture: towards 2030/
18 Un changement de cap durable! Les investisseurs étrangers s intéressent (aussi) à l Europe laitière 18
19 Les investisseurs chinois investissent en Océanie, mais aussi en Europe, pour sécuriser leur approvisionnements en poudre de lait. En juin 2010 Courant Début 2011 prend le contrôle de escompte établir un partenariat avec et produire des poudres de lait en France prend le contrôle (N. Zélande) (France) (Pays-Bas) CNIEL / presse internationale 19
20 Les leaders mondiaux de la nutrition infantile investissent massivement en Europe. Biessenhofen CA 2011 produits laitiers : 13,3 M (dont 3,6 avec glaces) nutrition : 7,9 M Konolfingen Inauguration en avril 2011 Nouvel atelier de poudres infantiles (hypoallergéniques) au sein de l usine de Biessenhofen (Allemagne) Investissement de 117 M Inauguration en septembre 2011 Extension de la capacité du site de Konolfingen (Suisse) à tonnes par an de poudres infantiles probiotiques Investissement de 164 M CNIEL / presse internationale 20
21 Les leaders mondiaux de la nutrition infantile investissent massivement en Europe. CA 2011 produits laitiers : 11,2 M nutrition infantile : 3,7 M Macroom Annonce en mai 2011 Extension de la capacité de fabrication d aliments infantiles du site de Macroom (Irlande), portée à tonnes par an. Nouvelle tour de séchage 40 emplois créés Investissement de 50 M CNIEL / presse internationale 21
22 Le néo-zélandais Fonterra s intéresse également de près à l Europe. Aspatria Annonce en septembre 2011 Alliance stratégique entre Fonterra et First Milk (1 ère coop nationale en vol. collecté [1,73 Mrd l par an] ; CA ( ) : 670 M ) Fabrication de WPC 80 sur le site fromager d Aspatria (Cumbria) Montants investis non communiqués Annonce au mois de mai 2012 Alliance stratégique entre Fonterra et A-Ware (1 er pour les fromages ; CA (2010) : ~800 M ) Création d une fromagerie et d une usine d ingrédients laitiers Montants investis non communiqués négociant néerlandais CNIEL / presse internationale 22
23 Zones perdantes- zones gagnantes, qu en pense un leader mondial comme Nestlé? Les investissements annoncés ou finalisés par Nestlé dans le domaine laitier en 2011 et début Allemagne Lait infantile (117 M ) Espagne Lait concentré (6 M ) Suisse Lait infantile (164 M ) Colombie Lait de consommation (nd) Portugal Poudre de lait (2 M ) Maroc Collecte (4 M ) Algérie Poudre de lait (nd) EAU Poudre de lait (103 M ) Chine Centre de formation (300 M ) Ferme VL Philippines Poudre de lait (72 M ) Brésil Lait UHT (64 M ) Lactosérum démi. (24 M ) Chili Poudre de lait (100 M ) Angola Cond. poudre (8 M ) Sri Lanka Lait UHT (5 M ) Zimbabwe Import génisses (11 M ) Indonésie Poudre de lait (154 M ) CNIEL 23
24 La situation est donc a priori favorable pour l Europe laitière. Mais ne versons pas dans l angélisme Deux défis importants doivent être rapidement relevés : L adaptation des opérateurs laitiers à la volatilité des prix La cohérence des projets industriels montés à l exportation 24
25 La volatilité s amplifie sur le marché mondial et s invite désormais sur le marché intérieur européen et français. NB : cotations européennes mesurées en France ; prix du lait en Allemagne. 25
26 Les opportunités commerciales sont là, mais la concurrence également -> De la nécessité de monter des projets cohérents à l exportation. Peu d équivoque dans la définition des marchés à fort potentiel Du mimétisme en termes d investissement La vision stratégique des entreprises tend à converger vers les mêmes cibles 26
27 L exemple des produits laitiers secs Les investissements annoncés et réalisés en 2011 et début 2012 La partie émergée de l iceberg : Un montant d investissements > 2,5 milliards 53 projets 28 pays 46 entreprises Tasmanian Dairy Products Co NZ Food Innovation (Waikato) Estancias del Lago Meierei Wasbek 27
28 Des projets dans les répartis un peu partout dans le monde. Europe millions Asie 520 millions Amérique 500 millions Afrique > 20 millions Océanie 330 millions 28
29 Les investissements récents en Europe de l Ouest Investissements annoncés Investissements finalisés en 2011 et début 2012 (4 mois) Nom de l entreprise Type de produits et capacité annuelle (1 000 t) Montant de l investissement Lieu 810 millions Belgique Milcobel poudre de lait / nd / Kallo Suisse Nestlé poudres infantiles / 164 M / Konolfingen nd : non disponible * : Meierei Barmstedt, Meierei Wasbek, Schmafeldt- Hasenmoor Pays-Bas FrieslandCampina aliments infantiles, poudre de lait / 143 M / Leeuwarden + Beilen + Bedum Allemagne Nestlé poudres infantiles / 117 M / Biessenhofen Fude + Serrahn poudre de lait ( t) / 25 M / Gransee Uelzena & 3 coop* poudre de lait (570 Ml /an) / 64 M / Neumünster MUH poudre de lait (5 t/h, soit 450 Ml / an) + beurre / 60 M DMK lactosérum / 35 M / Nordhackstedt Müller lactosérum / 70 M / Leppersdorf DMK & Arla poudre de lait / nd / nord de l Allemagne Ammerland lactosérum / nd France Isigny Ste Mère poudre infantile / M Ingredia poudre de lait / 25 M / Saint Pol sur Ternoise Lactalis nouvelle tour / 40 M / Craon Sill lait infantile ( t) / 22 M / Plouvien Laïta produits secs / 18 M Eurosérum poudre de lait / 1,6 M / Onet Le Château 29
30 Conclusion La cible est large, Mais les investissements sont également considérables. Ces projets seront peut être rentables, mais une surproduction de produits laitiers secs n est pas à exclure dans les années à venir, surtout pour des produits standards. Construire une tour est une chose, mais vendre des produits secs et fidéliser ses clients constituent le véritable challenge. 30
31 31
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