Module M2.8 Compétences cliniques. L. de Leval, M. Fiche Pathologie Clinique IUP
|
|
- Carole Dumas
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Module M2.8 Compétences cliniques Pathologie Pathologie clinique: présentation, méthodes L. de Leval, M. Fiche Pathologie Clinique IUP
2 Pathos maladie Logos : étude Pathologie L étude des maladies comprend 4 aspects: Etiologie cause Mécanismes Morphologie des lésions Clinique
3 Robbins 1ère partie Robbins 2è partie Etiologie Mécanismes Morphologie des Lésions Clinique -thrombose embolie -Inflammation réparation -Néoplasies Macroscopie Conséquences Fonctionnelles Microscopie Pour le malade Pathologie fondamentale B2&3 Pathologie spéciale D organe
4 Pathologie clinique Spécialité médicale Quatre aspects de la pathologie Etiologie: cause Pathogenèse: mécanismes Modifications morphologiques et moléculaires Conséquences fonctionnelles et manifestations cliniques Diagnostic Repose sur l analyse de tissus et cellules
5 Laboratoires Hématologie Chimiei Microbiologie Toxicologie Génétique Pathologie Patient Médecine Clinique Medecine Interne Chirurgie Pediatrie Gynécologie Imagerie Médicale Radiologie Medecine nucléaire
6 Contribution de la pathologie clinique à la prise en charge des malades Pathologies oncologiques Diagnostic du type de tumeur Stade Facteurs pronostiques et prédictifs Pathologie tumorale bénigne Pathologies inflammatoires Pathologies infectieuses Pathologies liées à des désordres immunologiques Pathologies dégénératives Pathologies développementales
7 1-Méthodes de la pathologie clinique 2-Apport de la pathologie dans la prise en charge des patients t porteurs de cancers
8 Les secteurs d activité de la pathologie clinique Histopathologie: th i coupes tissulaires i Pièces chirurgicales, résections endoscopiques Biopsies endoscopiques, es à l aiguille ille Cytologie: préparations cellulaires Effusions, frottis, ponctions à l aiguille fine Pathologie moléculaire Peut être appliquée aux différents types de matériels Autopsies
9 1 - Histopathologie Secteur d activité le plus important Matériels tissulaires Pièces chirurgicales i Ex. : colectomie, hépatectomie, Prélèvements endoscopiques Ex.: biopsie d une ulcération digestive (diagnostic) polypectomie (diagnostic et exérèse) Biopsies à l aiguille Ex. : nodule hépatique, pulmonaire, mammaire,.
10 HISTOPATHOLOGIE ETAPES Examen macroscopique pq de la pièce opératoire Dissection et description Orientation des prélèvements Fixation et confection de blocs d inclusion (paraffine) Examen microscopique de lames colorées Rédaction et signature d un rapport d examen
11 Dissection et macroscopie Description de(s) lésion(s)
12 Orientation des prélèvements pour histologie
13 Techniciens de laboratoire
14 Examen microscopique 3 types de «colorations»: Coloration «standard» Hématoxyline éosine (HE) Colorations «spéciales»: histochimie Coloration «H. E.» Immunomarquages: recherche d antigènes spécifiques immunohistochimie
15 Histochimie Techniques basées sur des réactions biochimiques permettant de mettre en évidence in situ dans des tissus, différents constituants : PAS (Periodic Acid Schiff): glycogène, protéoglycans et mucines Bleu alcian: mucines Bleu de Prusse: fer Grocott: champignons Ziehl: mycobactéries Trichrome: collagène (fibrose/sclérose)
16 Démonstration d éléments mycéliens Coloration Grocott: aspergillus Coloration PAS: Coloration PAS: candidose
17 Colorations spéciales pathologie hépatique Trichrome fibrose collagene Bleu de Prusse - fer
18 Coloration de bleu alcian pour mise en évidence de mucines (adénocarcinome)
19 Immunohistochimie détection d antigènes dans une coupe tissulaire au moyen d anticorps Basé sur la spécificité de la réaction antigène-anticorps Révélation: fluorochromes (immunofluorescence) ou chromogène généré par réaction enzymatique (peroxidase, phosphatase alcaline)
20 Immunohistochimie Pathologie tumorale +++ Détection d antigènes associés à des agents infectieux Immunopathologie: dépôts de complexes immuns ou d Ig Ig, facteur du complément
21 Immunohistochimie Récepteurs des oestrogènes dans certains cancers du sein
22 CytoMegaloVirus (CMV) Immunohistochimie: immunopéroxydase
23 IgG membranaire sousépithélial et mesangial C1q membranaire et mesangial Immunofluorescence: pathologie og rénale C3 membranaire et mesangial
24 2- Cytopathologie Basée sur l étude des cellules Matériels Epanchements, LCR Exfoliation spontanée: expectorations, urines Liquides de lavage (cavités) Brossages Cytoponctions à l aiguille organes solides: sein, thyroide, poumon, glandes salivaires moelle osseuse
25 CYTOPATHOLOGIE TECHNIQUE Préparation des lames Etalement en couche mince des prélèvements Filtration des cellules en suspension Cytocentrifugation : cytospin Lames séchées +/- fixées Lames colorées: HE, Papanicolaou (frottis CV), Giemsa Culots cellulaires traités comme tissus
26 Cytologie og cervico-vaginale co a e Coloration de Papanicolaou
27 Moelle e osseuse Coloration de Giemsa
28 Histologie Cytologie Tissus congelés Frottis, cytospins Blocs fixés paraffine Blocs après centrifugation Architecture tissulaire Cellules Cellulesles Techniques spéciales ++ Techniques spéciales +/- Diagnostic ++ Orientation diagnostique Dépistage Diagnostic +/- Moins invasif plus rapide
29 3 - Pathologie moléculaire Secteur de la pathologie visant l étude et le diagnostic des maladies par l examen de molécules au niveau des organes, tissus, cellules Echantillons Tissus congelés Tissus fixés Cellules Utilise des outils de biologie moléculaire
30 Diagnostic moléculaire En pratique: complémentaire des autres méthodes Morphologie Immunohistochimie Méthodes de détection des altérations moléculaires lésions au niveau de l ADN -> RNA -> protéines
31 Diagnostic moléculaire Pathologie oncologique Diagnostic en hématopathologie Diagnostic des sarcomes Pronostic et prédiction de la réponse à des traitements ciblés Cancer du sein Pathologie infectieuse Amplification par PCR du génome d agents infectieux (Bacille de la tuberculose) Infection par EBV
32 Hybridation In Situ (HIS) Sur coupes (blocs de paraffine) Basées sur l hybridation de sondes nucléotidiques avec des séquences d ADN ou d ARN Séquences spécifiques d agents infectieux (EBV) FISH: recherche de réarrangement ou amplification de gène EBV HER2
33 Techniques basées sur l analyse d acides nucléiques extraits DNA -> PCR RNA -> RT-PCR Réarrangements de gènes Recherche de transcrits Séquençage (mutations ponctuelles) Séquences spécifiques d agents infectieux Autres méthodes Protéomiques (applications restreintes en routine) Méthodes analytiques à haut débit
34 Diagnostic moléculaire du sarcome d Ewing: translocations impliquant le gène EWS RT (ARN) EWS (ADN) Fli-1 (ADN) EWS-Fli-1 (ADN) RT-PCR contrôle RT-PCR Ewing primer Type 1 EWS (cadn) primer Fli-1 PCR Electrophorèse Type 2 M
35 Diagnostic moléculaire «Lésion moléculaire l» Méthode Séquences nucléotidiques exogènes PCR, hybridation in situ Translocation chromosomique Amplification génique Monoclonalité lymphoïde PCR RT-PCR FISH PCR quantitative FISH PCR Mutations ponctuelles Séquençage
36 4 - Autopsies Fœtales malformations Mort subite de l enfant anomalies génétiques éti Population pédiatrique Adultes Mort subite Mort inexpliquée Contrôle de qualité de l activité hospitalière Réponse aux traitements Pathologies dégénératives cérébrales
37 Resultats d examens en pathologie Délais attendus Extemporanés Résultat dans les 30 minutes A confirmer sur coupes définitives Echantillonnage partiel Cytologie Examen rapide Résultats au J+1 Biopsies: i coupes HE J+1 Jour +1 Pièces opératoires: coupes HE J+2 au minimum Immunohistochimie: + 1 jour Etudes moléculaires: quelques jours Processus séquentiel!
38
39 Pathologie clinique: tumorale, inflammatoire, infectieuse, immunopathologie, maladies dégénératives, autres... Rôle du pathologue dans la prise en charge des pathologies cancéreuses Poser le diagnostic de cancer Définir le type histologique et le grade Les facteurs pronostiques et prédictifs Pièces de résection chirurgicale Analyse peropératoire, biobanque Extension tumorale («staging g») Etude des marges de résection
40 1- Etablir le diagnostic de cancer Histologie Biopsies endoscopiques Biopsies à l aiguille, sous US ou CT Biopsies chirurgicales Cytologie Effusions, expectorations Aspirations à l aiguille fine Approche combinée With rare exceptions, the diagnosis of cancer relies upon pathologic evaluation of diseased tissue
41 Endoscopic biopsy + cytology
42 Biopsies p prostatiques p q sous US
43 2- Type histologique Tumeurs épithéliales: carcinomes Epidermoïdes Glandulaires Urothéliales Neuroendocrines Micropolis TP N 2 Tumeurs mésenchymateuses Néoplasies hématologiques Mélanome Basé sur HE sections +/- techniques complémentaires Implications ++ pour la prise en charge clinique -- staging -- traitement -- pronostic
44 Importance du type histologique og Protocoles thérapeutiques radicalement différents selon les grandes catégories de tumeurs Carcinome versus sarcome versus lymphome Au sein d une même «grande catégorie» de tumeurs, le type histologique indique les voies de dissémination, l attitude thérapeutique et le pronostic Carcinomes pulmonaires à petites cellules ou non Lymphomes non Hodgkiniens versus lymphome de Hodgkin
45 Rôle de l immunohistochimie dans le diagnostic des tumeurs malignes Définir l origine cellulaire des tumeurs indifférenciée (le type histologique) Déterminer l origine de métastases (primaire) Classer les lymphomes (immunophénotypage)
46 Tumeur à grandes cellules indifférenciée dans un ganglion DD : Carcinome vs. lymphome
47 CD45 CD20 Immunohistochimie déterminer le type d une tumeur maligne CD45 +, Kératine -: lymphome CD20 +: lymphome B CD30 Keratin- EMA-
48 Tumeur à petites cellules p bleues lésion hépatique
49 NSE Chromogranin g Carcinome neuroendocrine à petites cellules
50 Differentiation markers Epithelial tumors Cytokeratins, EMA Organ-specific markers: thyroglobulin, PSA, TTF1 Mesenchymal tumors Vimentin (peu spécifique) Muscle: actin, desmin, Lymphoid tumors CD45 = leucocytes B cells: CD20 T cells: CD3, CD4, CD8 Melanoma: S100, Melan A, HMB45
51 Grade des tumeurs Cancers présentent des degrés de malignité variables: bas grade, haut grade ; reflète les propriétés biologiques globales de la tumeur, son agressivité et le pronostic Critères histologiques et cytologiques, qui varient en fonction du type de tumeur En général: plus haut grade (tumeurs moins différenciées) associé à un moins bon pronostic
52 Grade histologique des carcinomes Architecture différenciation Noyaux: Atypies/pléomorphis me Taille nucléoles coloration Prostate : Gleason Sein: Elston et Ellis Colon rectum Rein: Fürhman Endomètre mitoses
53 Cancers du sein: «Bloom Richardson» (Elston & Ellis) Basé sur: architecture glandulaire, pleomorphisme cellulaire, activité mitotique
54 3-Marqueurs predictifs du pronostic et de la réponse à des traitements t Récepteurs aux oestrogènes dans le cancer du sein
55 HER2 +++ staining HER2 amplification Autres: Mutations d oncogenes (Kras BRAF...) dans les cancers du poumon ou du colon
56 4 - Prise en charge peropératoire et biobanking Examen extemporané : consultation per-opératoire : Spécimen adressé frais au laboratoire pendant l intervention, examiné immédiatement Résultat communiqué pendant l intervention susceptible de modifier le geste opératoire Examen macroscopique Examen microscopique: pq Cytologie: apposition, smear (tumeurs cérébrales) Coupes en congélation Indications: Marges de résection Diagnostic d une lésion (nodule péritonéal) Ganglions sentinelles
57 Le tissu est congelé, coupé au cryostat Les coupes colorées à l hématoxyline li éosine Artéfacts techniques limitant l interprétation, échantillonnage limité, pas d aide daide immunohistochimique ou colorations spéciales.
58 Biobanking: congélation tissulaire Recherche biomédicale utilisant des techniques moléculaires Echantillons appariés tumoral/normal l +/- sang
59 5- Stade d extension de la maladie Stade pathologique: ptnm TNM: adapté à chaque organe, mises à jours régulières T: tumeur primaire Taille Rapports anatomiques N: métastases ganglionnaires Micrométastase/métastase Nombre de ganglions atteints Localisation M: métastases à distance (foie, os, poumon, cerveau)
60 Stade T N M
61 6-Marges de résection chirurgicales Déterminer e si la résection d une tumeur est complète pour les spécimens macroscopiques Encre
62 Prostatectomie radicale marge positive (tumeur sur l encre)!
63 Rapport d examen Mme Janine R. 02/04/1965 Dr V. CHUV Rectum, résection antérieure basse : adénocarcinome moyennement différencié - Formant une tumeur de 4cm, - bourgeonnante et ulcérée, - infiltrant la musculature propre et focalement le mésorectum - Remaniée par une abondante fibrose (TRG : 2) - Tranches de section chirurgicales (TS): - TS radiaire (CRM) sans lésion à 0,5cm du carcinome - TS distale en tissu sain à 2 cm du carcinome; - deux adénomes tubulo-villeux en dysplasie de bas grade ganglions lymphatiques indemnes d infiltration carcinomateuse (0/25) Stade pathologique (selon TNM 7è àdition 2009) : ypt3 ypn0 R0 Renseignements cliniques: Patiente de 47 ans, anémiealtération de l état létat général. Coloscopie: tumeur du rectum moyen. Biopsie du 02/02/2012: adénocarcinome moyennement différencié. Statut K-Ras muté.
64 Colloque anatomo-clinique «Tumor Board» Biologie De la tumeur Type grade, marqueurs Extension De la tumeur Stade TNM /FIGO Traitements systémiques (chimioth., Tts ciblés,..) Qualité de l exérèse Traitement locorégional : chirurgie, radio-oncologie o cooge
65 Coordonnées du patient t (->AGE), du médecin prescripteur et du (des) médecin(s) traitant(s) Question clinique posée, antécédents, toute donnée biologique, clinique ou radiologique pertinente
66 Ne pas hésiter à envoyer les prélèvements chirurgicaux i FRAIS au laboratoire de Pathologie, indépendamment d une demande d analyse a extemporanée Dans le doute PRENDRE CONTACT avec le pathologiste Specimens frais: - congélation biobanking - Études moléculaires l - Etudes génétiques - Dissection macroscopiques - Fixation dans de bonnes conditions
67 Laboratoires Hématologie Chimiei Microbiologie Toxicologie Génétique Pathologie Patient Médecine Clinique Medecine Interne Chirurgie Pediatrie Gynécologie Imagerie Médicale Radiologie Medecine nucléaire
Biomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailMoyens et objectifs de l anatomie pathologique en médecine. Collège Français des Pathologistes (CoPath)
Moyens et objectifs de l anatomie pathologique en médecine Collège Français des Pathologistes (CoPath) Date de création du document 2011_2012 Sommaire 1 Historique... 3 2 Place de l'anatomie pathologique
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détaild anatomo-pathologiste
Le métierm d anatomo-pathologiste Paul P. de SAINT-MAUR Université Paris 6 -Hôpital Saint-Antoine Le 19 Novembre 2002 Le métier m d anatomopathologisted Qu est est-ce qu un un anatomo-pathologiste? Comment
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailM2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser
M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum Coordination : Pr Hahnloser Pathologie Dr. Maryse Fiche Cancers colo-rectaux Précurseurs : Images et figures : Robbins 8è Edition Objectifs d apprentissage : SCLO
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détail«La rapidité ne doit pas primer sur la qualité»
Interview avec le Prof. Dr Fernando Schmitt «La rapidité ne doit pas primer sur la qualité» Prof. Dr Fernando Schmitt Anatomopathologiste En septembre 2014, le Prof. Fernando Schmitt a rejoint le Laboratoire
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailA Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger
Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailHMB-45 + Mart-1 (Melan A) + Tyrosinase (HMB-45+A103+T311)
HMB-45 + Mart-1 (Melan A) + Tyrosinase Identification du Produit Réf. cat. Description 45318 IMPATH HMB-45&MART-1 RTU M (HMB-45&MelanA) Définitions Des Symboles P A E S DOC# DIS prêt à l emploi ascite
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailThérapies ciblées en Onco-Hématologie
Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailLes cancers de la prostate
Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailCRYOPRÉSERVATION DE TISSUS, CELLULES ET LIQUIDES BIOLOGIQUES ISSUS DU SOIN
RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE CRYOPRÉSERVATION DE TISSUS, CELLULES ET LIQUIDES BIOLOGIQUES ISSUS DU SOIN RECOMMANDATIONS Septembre 2009 1 L argumentaire scientifique de cette évaluation est téléchargeable
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailComprendre les lymphomes non hodgkiniens
France Lymphome Espoir Comprendre les lymphomes non hodgkiniens Un guide d information pour les patients et leurs proches En partenariat avec Edition septembre 2011 Préambule La première édition datant
Plus en détailLes cancers chez l enfant et l adolescent
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers chez l enfant et l adolescent G R A N D P U B L I C Les cancers chez l enfant et l adolescent Bien qu ils représentent dans les pays développés, au-delà de l âge de
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailONCOLOGIE PÉDIATRIQUE
ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE SURVOL ET PERSPECTIVES MARIE JUTRAS MAI 2014 Plan Modalités thérapeutiques Cancers pédiatriques les plus fréquents Impact des traitements à court et long termes 1 Introduction Grâce
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailDES de Pathologie AFIAP
DES de athologie AFIA 21 novembre 2009 J. Audouin,, S. ain IMMUNOHISTOCHIMIE Introduction I - Différentes méthodes AC conjugués Enzyme - anti-enzyme : A, AAA rotéine conjuguée : avidine, streptavidine
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailà Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale
à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers du sein G R A N D P U B L I C Les cancers du sein Aujourd'hui, en France, comme dans de nombreux pays
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détail