Encourager des projets novateurs Une stratégie de Québec en Forme, en lien avec sa valeur Innovation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Encourager des projets novateurs Une stratégie de Québec en Forme, en lien avec sa valeur Innovation"

Transcription

1 Encourager des projets novateurs Une stratégie de Québec en Forme, en lien avec sa valeur Innovation

2 PRÉFACE Ce document vise à clarifier le concept d innovation pour le personnel de Québec en Forme. Il sert aussi de base de référence pour l élaboration d un feuillet destiné aux partenaires. Les informations présentées dans ce document s appuient sur : une analyse de la littérature; les constats issus de l état de situation 2011, communément appelé «temps 0»; des commentaires recueillis lors d une tournée effectuée auprès d une vingtaine d équipes de Québec en Forme, qui portait sur des actions novatrices en regard des contextes des communautés locales, des régions et d organisations provinciales; des points de vue de professionnels œuvrant dans le domaine de l innovation

3 Table des MATIERES QUÉBEC EN FORME, UNE ORGANISATION QUI SE VEUT INNOVANTE 4 L INNOVATION POUR Y VOIR PLUS CLAIR 5 CRITÈRES DE BASE POUR ENCOURAGER DES PROJETS NOVATEURS 8 BALISES SPÉCIFIQUES AUX PROJETS DE DÉMONSTRATIon 10 L ÉVALUATION ET LE TRANSFERT DE CONNAISSANCEs 11 ANNEXE 1 : Objets d innovation ciblés par Québec en Forme 14 ANNEXE 2 : Processus d identification et d analyse d une innovation 15 BIBLIOGRAPHIE 16

4 Québec en Forme, une organisation qui se veut innovante Son mandat (la gestion du Fonds de promotion sur les saines habitudes de vie pendant dix ans), la nature et la visée de sa mission (mobiliser les personnes et toute la société québécoise autour de l augmentation du nombre de jeunes ayant adopté un mode de vie sain et actif) ainsi que ses façons de faire (s allier à divers partenaires et offrir un soutien adapté pour susciter des changements durables) sont en cohérence avec les caractéristiques clés de l innovation. L innovation fait aussi partie des sept valeurs 1 organisationnelles de Québec en Forme. Ces valeurs visent à guider la réalisation de sa mission, mais aussi le comportement de son personnel qui est appelé à les partager avec les divers partenaires. Dans le cadre de sa planification stratégique , Québec en Forme renforce son intérêt pour l innovation en adoptant une stratégie qui consiste à «Encourager des projets novateurs en lien avec les résultats ciblés en outillant et en soutenant, au besoin, les promoteurs de projets.» Avec cette stratégie, Québec en Forme vise certes à susciter auprès de ses partenaires l élaboration et la réalisation d actions novatrices, tout en se donnant les moyens de mieux capter ce qui ressort des pratiques courantes dans les projets locaux, régionaux et nationaux qu il soutient. Mais, il veut aussi ouvrir son soutien à des projets de démonstration qui porteront sur des objets d innovation dont l efficacité ou la faisabilité doivent être démontrées. Ces projets permettront de faire des apprentissages inédits quant aux facteurs 2 susceptibles de compromettre l atteinte des objectifs et des changements souhaités en mobilisation, en alimentation et en mode de vie physiquement actif. Ce document identifie et clarifie : les conditions pouvant susciter l innovation et les caractéristiques clés qui lui sont associées; quelques avancées et freins aux changements de pratiques dans les projets soutenus à ce jour; les critères de base pour encourager des projets novateurs et les balises de soutien pour les projets de démonstration; l évaluation et le transfert de connaissances des apprentissages liés à l innovation. 1 La valeur de l innovation se décrit comme suit : «Québec en Forme soutient les communautés et les organisations qui cherchent à instaurer de nouvelles pratiques sociales susceptibles d améliorer les habitudes de vie. Grâce à la contribution de son personnel, aux apports de la recherche et aux projets réalisés, des conditions de vie favorables sont mises en place pour acquérir de nouvelles connaissances et les mettre en application dans différents milieux.» 2 Quelques-uns des facteurs identifiés comme un obstacle sont listés à la section «L Innovation pour y voir plus clair». Encourager des projets novateurs 4

5 L INNOVATION POUR Y VOIR PLUS CLAIR Québec en Forme veut encourager l innovation et ouvrir la porte à des projets de démonstration. Il apparait donc utile de clarifier le sens du concept d innovation. La littérature propose une multitude de définitions, mais une seule semble faire consensus. Il s agit de celle du Réseau québécois en innovation sociale : «Une innovation sociale est une nouvelle idée, approche ou intervention, un nouveau service, un nouveau produit ou une nouvelle loi, un nouveau type d organisation qui répond plus adéquatement et plus durablement que les solutions existantes à un besoin social bien défini, une solution qui a trouvé preneur au sein d une institution, d une organisation ou d une communauté et qui produit un bénéfice mesurable pour la collectivité et non seulement pour certains individus. La portée d une innovation sociale est transformatrice et systémique. Elle constitue, dans sa créativité inhérente, une rupture avec l existant.» L innovation fait donc référence à l application de pratiques nouvelles ou améliorées plutôt qu à la découverte scientifique. Elle correspond à la capacité à créer de la valeur en apportant quelque chose de nouveau (un changement) dans le domaine considéré, tout en s assurant que l appropriation de cette nouveauté se fasse de manière optimale. Il y a ici une volonté et un engagement à faire autrement. C est donc la nature du changement qui constitue l innovation. Il existe plusieurs types de changements, dont les principaux sont de l ordre technologique, structurel (mode de fonctionnement), stratégique (le chemin pour atteindre l objectif), d un processus opérationnel (façon de réaliser l action), de services (type et contenu), d un système d interaction (façon d interagir avec d autres organisations). Peu importe le type, les organisations qui adoptent l innovation doivent d abord y trouver un avantage. Une fois celui-ci identifié, les réponses aux questions 3 suivantes leur permettront de prendre en compte plusieurs autres conditions à considérer. Est-ce que l innovation est compatible avec le contexte dans lequel je veux l implanter? Son niveau de complexité est-il surmontable pour amener le changement visé? Puis-je évaluer ce que ça peut donner dans un cadre réel? Est-ce que les changements seront observables? Pourront-ils créer un renouveau? Les partenaires sont-ils prêts à s ajuster en cours de route pour favoriser la réussite de l expérimentation? Quel est le niveau de transférabilité à d autres contextes? Est-ce perçu positivement dans mon organisation, dans ma communauté, dans mon secteur d intervention? Pour plus de détails sur l identification et l analyse d une innovation, voir l Annexe 2. 3 Les questions font référence aux conditions d adoption du modèle de Rogers. Encourager des projets novateurs 5

6 La littérature consultée propose plusieurs caractéristiques clés pour définir l innovation. Québec en Forme retient les huit suivantes. 1 Elle peut prendre diverses formes. 2 Elle émerge d un désir de sortir des pratiques courantes et vise donc un réel changement. 3 Elle appelle à un leadership partagé. 4 Elle ouvre la porte à l audace. 5 Elle fait appel à la mobilisation d une diversité de connaissances et de compétences. 6 Elle implique une rétroaction. 7 Elle exige une appropriation. 8 Elle fait appel à plusieurs catégories d acteurs. Il peut s agir d un processus, d un service, d une stratégie, d un système d interactions Le désir de résoudre un problème social est généralement le déclencheur, mais c est la volonté de s y investir qui rend l innovation possible. Le changement peut se concrétiser par : la modification d une pratique existante; l application de connaissances provenant d un autre milieu (ex. : transfert de résultats de recherches sur le terrain); la création d une nouvelle pratique. Ce qui suppose un engagement individuel, organisationnel et collectif et des actions collaboratives autour de la solution. Cela signifie que les partenaires qui s engagent osent prendre des risques et sont prêts à en assumer les conséquences, qu elles soient bénéfiques ou non. Cela permet de développer de nouvelles connaissances qui amènent les individus à élargir leur cadre de réflexion habituel à l égard de la problématique abordée. La rétroaction demande la collaboration des preneurs potentiels durant l élaboration, l expérimentation et l évaluation d une nouvelle pratique. Cette collaboration facilitera les ajustements nécessaires en cours de route. Cela signifie que la nouveauté créée suscite un intérêt, une volonté de l adopter de la part des preneurs (intégration dans leurs pratiques courantes) et, le cas échéant, de la part des bénéficiaires (utilisation directe du service créé). Ce qui assure reconnaissance et rayonnement. Les porteurs qui sont à l origine de l innovation. Seuls ou en groupe, ils jouent le rôle de promoteur. Ils possèdent des caractéristiques communes telles que : leadership, créativité, volonté de se prendre en main. Ils sont des visionnaires et ont la capacité de prendre des risques. Les bailleurs de fonds qui reconnaissent, valorisent et financent l innovation, et qui jouent un rôle de soutien. Ils ont la capacité d aider et d outiller l expérimentation, la documentation et la diffusion des apprentissages. Ils sont prêts à prendre des risques. Les partenaires de soutien qui apportent de nouvelles idées, encouragent et soutiennent les porteurs de l innovation dans leur démarche. Ils peuvent aussi documenter les apprentissages, ou encore, participer au partage de connaissances. Les preneurs qui s approprient la nouvelle façon de faire en la mettant en pratique dans leur organisation. Les bénéficiaires qui utilisent le nouveau service mis au point pour eux.

7 L innovation soutenue par Québec en Forme : quelques constats Un état de situation 4 des projets soutenus et des leviers disponibles aux divers paliers (local, régional et national) permet de noter quelques avancées dans la mise en place de nouvelles pratiques. Identifiées à l origine comme de l innovation en regard de la nature du changement visé et des caractéristiques clés qui leur sont associées, ces avancées prennent maintenant les allures de pratiques prometteuses. Elles concernent tant la capacité d agir ensemble que la mise en place de stratégies à l égard d environnements favorables à l adoption de comportements sains chez les jeunes. À titre d exemples Les instances ayant adopté une approche globale et intégrée pour mener une démarche de planification locale ou régionale. Un meilleur accès aux installations, notamment en région, grâce à des actions en transport collectif (covoiturage, bus communautaire, etc.). Des modèles d interventions pour l aménagement de corridors piétonniers, ou encore, pour l aménagement d espaces et l installation d équipements favorables à l utilisation du vélo, notamment en milieu urbain. Des collaborations avec des agriculteurs locaux pour des projets qui concilient des actions de production, de transformation, de distribution et d éducation. Un meilleur accès de proximité à des aliments sains, par le soutien à la création de marchés publics locaux, ou encore, par l assouplissement de règles pour favoriser l achat local. Seulement, on note aussi la présence de facteurs susceptibles de compromettre l atteinte du but, des objectifs et des changements souhaités par Québec en Forme en regard de la mobilisation, de la saine alimentation et du mode de vie physiquement actif. L absence ou la non-disponibilité de ressources d expertise. Le faible degré d engagement des organisations dans la prise en charge d actions structurantes. La difficulté à actualiser une approche territoriale intégrée. Le peu d expérience en évaluation d impact. Le peu d adhésion ou de sensibilisation au transfert de connaissances. Le peu de stratégies pour l élaboration et l actualisation de politiques et de mesures d accessibilité (économique et physique). La difficulté de rejoindre les acteurs du secteur de l agroalimentaire. L absence de modèles adaptés à la réalité rurale, notamment pour des plans de mobilité. La méconnaissance de pratiques prometteuses en saine alimentation et mode de vie physiquement actif. Ces facteurs sont trop souvent jugés comme des obstacles insurmontables, alors qu ils auraient avantage à être considérés comme une opportunité et une invitation à être créatif et ingénieux. S interroger sur les pratiques actuelles et oser prendre des risques pour faire les choses autrement peuvent, certes, amener des solutions gagnantes et porteuses de changement. Cela comporte évidemment les défis de trouver l équilibre entre la logique et l intuition ainsi que d apprendre à intégrer le nouveau et l ancien dans une toute nouvelle synthèse. 4 État de situation fait référence aux constats issus de l exercice du «temps 0», mais aussi aux informations recueillies lors de la tournée sur le concept de l innovation effectuée par des équipes de Québec en Forme en mars et avril Encourager des projets novateurs 7

8 CRITÈRES DE BASE POUR ENCOURAGER DES PROJETS NOVATEURS Pour encourager des projets novateurs, Québec en Forme envisage deux avenues. D une part, il souhaite inciter davantage les regroupements locaux de partenaires et les promoteurs de projets régionaux et nationaux à sortir de leurs pratiques courantes et, ainsi, les amener à mettre en place et à évaluer des «actions novatrices». D autre part, il veut ouvrir une nouvelle fenêtre de soutien pour explorer des objets d innovation dont l efficacité ou la faisabilité doivent être démontrées. Ces expérimentations se nommeront «projets de démonstration». Six critères de base pour déterminer le soutien de Québec en Forme Ces critères s appliqueront aux actions novatrices ET aux projets de démonstration Être en lien avec un ou plusieurs objectifs et changements souhaités 5 par Québec en Forme, de façon à contribuer au but visé quant à «L augmentation du pourcentage de jeunes qui ont adopté et maintiennent une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif favorables à leur plein développement.» Être en cohérence avec les huit caractéristiques clés 6 de l innovation : type de changement retenu; sortir des pratiques courantes; faire appel à un leadership partagé; faire preuve d audace; mobiliser une diversité de connaissances et de compétences; donner une rétroaction; faciliter l appropriation; faire appel à plusieurs catégories d acteurs. Être reconnu par Québec en Forme : cela signifie qu il reviendra à Québec en Forme de convenir si l action est novatrice ou s il s agit d un projet de démonstration à suivre, à documenter et à diffuser. Les critères suivants sont spécifiques aux projets de démonstration, lesquels visent des apprentissages inédits sur des objets d innovation particuliers S inscrire dans la liste des facteurs 7 nuisibles, susceptibles de compromettre l atteinte du but, des objectifs et des changements souhaités par Québec en Forme : ce qui signifie que l expérimentation aura pour objectif de réduire les obstacles. L objet de l innovation et la nature du changement visé par le projet ne seraient normalement pas financés par Québec en Forme, parce qu ils se situent en dehors de ses paramètres de financement habituels, ou qu ils nécessitent une expérimentation de faisabilité avant de lancer un large déploiement. Être proposé par des porteurs 8 engagés, reconnus, efficaces et mobilisateurs, qui possèdent l expertise nécessaire au projet et qui sont prêts à prendre des risques et à se placer dans un rapport gagnantgagnant avec Québec en Forme. 5 Alignement stratégique de Québec en Forme. 6 Voir la description des huit caractéristiques clés de l innovation à la page 3 (N.B. : à vérifier dans la version finale). 7 Voir la liste des facteurs à la section «L innovation pour y voir plus claire» en page 4 (N.B. : à vérifier dans la version finale). Cette liste sera précisée et bonifiée annuellement, notamment à la suite de l analyse de projets. Au besoin, des experts seront consultés. 8 Le mot porteur fait référence à un organisme local, régional ou national, à un regroupement, à un consortium de partenaires Encourager des projets novateurs 8

9 Schéma du processus d identification d actions novatrices et de projets de démonstration Stratégie 4 de la planification stratégique de Québec en Forme : Encourager des projets novateurs Susciter et Soutenir des actions novatrices au niveau local, régional et national Identifier et Soutenir des projets de démonstration en regard d objets d innovation dont l efficacité et la faisabilité doivent être démontrées Identifier les actions novatrices au sein des processus existants : plans locaux, projets régionaux et nationaux Mettre en place un mécanisme d identification des projets de démonstration Sélectionner les actions et projets en respectant les critères suivants : 1-Être en lien avec un ou plusieurs objectifs et changements souhaités 2- Être en cohérence avec les caractéristiques clés de l innovation 3- Être reconnu par Québec en Forme 4- S inscrire dans la liste des facteurs nuisibles 5- Objet d innovation normalement non financé par Québec en Forme 6- Porteurs engagés, reconnus, efficaces et mobilisateurs Inviter, outiller et accompagner le partenaire (local, régional, national) à suivre et à évaluer l action novatrice inscrite à son plan d action Inviter, outiller et collaborer avec un promoteur ciblé (local, régional ou national) pour élaborer le projet de démonstration, le mettre en œuvre et inscrire au plan d évaluation un processus de documentation des apprentissages Identification des apprentissages Reconnaissance et rayonnement (Correspondent à la phase d appropriation d une innovation. Voir Schéma d un processus d innovation sociale, Annexe 2) Il se pourrait que l analyse des plans et des projets nous permette de constater qu il s agit d une action novatrice en lien avec l un des objets d innovation ciblés pour des projets de démonstration. Dans un tel cas, on note une relation entre les deux cases. Cette relation n est pas recherchée et elle est très rare. Donc, si une équipe (régionale ou nationale) relève dans son analyse un projet ayant le potentiel d un projet de démonstration, elle contacte les conseillers concernés pour une deuxième analyse (conseiller SA, MVPA-Innovation). Encourager des projets novateurs 9

10 BALISES SPÉCIFIQUES AUX PROJETS DE DÉMONSTRATION Les projets de démonstration seront limités en nombre. Un maximum de quatre projets est envisagé pour la période couvrant la planification stratégique actuellement en vigueur ( ). Ils pourront être déployés à l échelle locale, régionale ou nationale. Le choix des projets de démonstration se fera sur la base d objets d innovation 9 ciblés en regard des facteurs représentant un obstacle à l atteinte des objectifs et changements souhaités. Les projets permettront ainsi d expérimenter les conditions favorables à la mise en œuvre de processus et d actions adaptés à des contextes particuliers. Le secteur Partenariat, transfert de connaissances et innovation (PTI), à qui incombe le choix des projets de démonstration, devra : préciser et prioriser les objets d innovation et la nature des changements visés; cibler un porteur pour élaborer un projet de démonstration en lien avec l objet ciblé; considérer les constats issus de l analyse des plans d action locaux et des projets régionaux et nationaux déposés à Québec en Forme, afin de voir s il y a des opportunités de concevoir des projets de démonstration; cerner les dimensions du projet sur lesquelles il est souhaitable de faire des apprentissages, collaborer avec le porteur du projet à l identification de mécanismes permettant de documenter les apprentissages, de les diffuser et de les transférer plus largement. Du personnel de Québec en Forme et des personnes de l extérieur pourront être sollicités pour donner leur avis ainsi que pour aider à entrer en contact avec le porteur visé. Le soutien (accompagnement et aide financière) de tels projets sera modulé en fonction des besoins de l expérimentation et de l atteinte des résultats visés. Plus spécifiquement : Le mode dialogue permettra de se placer dans un rapport «gagnant gagnant» avec le porteur. Le niveau et le type d accompagnement seront adaptés aux besoins des projets. Le financement fait partie du portefeuille d investissements de Québec en Forme; un pourcentage est réservé à l innovation dans les montants prévus aux projets locaux, régionaux et nationaux. Le soutien financier variera en fonction des objets d innovation retenus au projet et du contexte dans lequel l expérimentation se déroulera. Un soutien spécifique (ressources humaines, financement, mise en réseau avec un organisme 10 possédant l expertise ) sera accordé pour la mise en place d un processus d évaluation évolutive et de transfert de connaissances. Plusieurs secteurs de Québec en Forme seront mis à contribution, notamment ceux du PTI, de l Évaluation, de l Accompagnement et du Secrétariat général (pour les volets processus et communication). La gestion des projets de démonstration se fera selon les processus actuels, auxquels seront inclus les processus d apprentissage (évaluation évolutive) ainsi que le processus de la diffusion et du transfert des connaissances. 9 Voir Annexe Québec en Forme a conclu une entente de collaboration avec l organisme Dynamo. Encourager des projets novateurs 10

11 L ÉVALUATION ET LE TRANSFERT DE CONNAISSANCES Pour mieux identifier et suivre les actions novatrices dans les plans d action locaux ainsi que dans les projets régionaux et nationaux On l a vu, l analyse des plans d action locaux ainsi que des projets régionaux et nationaux constitue une occasion privilégiée pour relever la présence d actions novatrices. Aussi, pour faciliter leur identification, il semble pertinent de faire certains ajustements aux outils et processus actuels. Pour les actions locales Au plan d action, ajouter une section qui permet d identifier les actions novatrices. À la grille d analyse des plans d action annuels, inclure des questions sur l innovation telles que : Quelles sont les actions qui ne font pas partie des pratiques courantes de la communauté? Quels sont leurs effets? Selon votre lecture de la communauté, existe-t-il des actions novatrices en cours qui ne sont pas inscrites au plan d action du regroupement? Si oui, lesquelles? Revoir le document sur la documentation des projets novateurs locaux, produit en , afin d offrir aux porteurs de projets un outil permettant de décrire les apprentissages à retenir 11. Pour les projets régionaux Inscrire, dans la réflexion sur la stratégie régionale, la révision des outils utilisés à l interne (ex. : grille d analyse et rapport des projets) de façon à mieux cerner le type d innovation ainsi que les résultats et effets possibles de son expérimentation. Pour les projets nationaux Les critères des projets nationaux incluent déjà celui de l innovation. Il serait tout de même opportun d ajouter les caractéristiques clés de l innovation aux outils d analyse. Pour mettre en valeur les actions et projets novateurs recensés Pour mettre en valeur les actions et projets novateurs recensés Prévoir un mécanisme qui permettra aux responsables de l innovation et du transfert de connaissances de tenir annuellement une tournée auprès des équipes de Québec en Forme pour échanger sur les actions et projets novateurs recensés ainsi que sur les modalités de documentation, de diffusion et de transfert. 11 En 2010, Québec en Forme avait élaboré un document permettant de documenter (à titre expérimental) un nombre restreint d actions, considérées novatrices, dans quelques plans locaux. L exercice n a pas donné les résultats escomptés en terme de recensement des apprentissages. Et, bien que pertinent, il n a pas fait l objet d ajustements et donc n a pas été renouvelé les années subséquentes. Encourager des projets novateurs 11

12 Pour documenter et partager les apprentissages Les informations concernant les processus d évaluation évolutive et de transfert de connaissances sont à considérer. Voici quelques éléments qui permettent de distinguer les particularités et les complémentarités de ces deux processus. L évaluation permet généralement de comprendre et d éclairer l action de façon à pouvoir décider avec justesse de la suite des événements. Il existe une diversité d approches d évaluation. Celle retenue pour documenter les apprentissages faits en cours de route se nomme «Évaluation évolutive». Cette approche vise à soutenir l élaboration de stratégies en temps réel pour améliorer continuelle ment l adéquation entre les actions à poser et les résultats à atteindre. Elle suppose un processus de questionnement évaluatif et de collecte continue de l information. Elle se concentre sur les apprentissages plutôt que sur les modèles habituels d évaluation. Elle implique de nombreux acteurs, tant dans la détermination des objets de changement à enregistter et à documenter que dans l analyse des données recueillies. Elle recense les points de vue des partenaires et participants sur les exercices menant aux change ments visés. C est donc une approche qui s adapte aux besoins et au contexte changeants d une expérimentation et qui suppose une collaboration étroite entre l évaluateur et les personnes qui participent au projet. Il existe plusieurs méthodes pour enregistrer et documenter les apprentissages. Il revient aux promoteurs et aux partenaires du projet de convenir des méthodes à retenir. Enregistrer et documenter les apprentissages afin de : partager une compréhension commune du projet pour stimuler l intérêt et l engagement; suivre son évolution et identifier les changements survenus en cours de route; réajuster le tir, si les changements constatés ne sont pas ceux attendus; valider que les indicateurs vont dans le même sens que les commentaires recueillis auprès des partenaires et participants; faire, des apprentissages, une base de référence utile pour le transfert de connaissances. Les conditions favorables pour enregistrer et documenter les apprentissages sont : le dialogue avec les partenaires et les participants; la présence de personnes responsables de l animation des périodes de dialogue; la priorisation de dimensions d apprentissage en regard des changements souhaités; des moments planifiés et prévus au calendrier pour permettre le dialogue; l engagement du promoteur de projet; une expertise à l analyse des points de vue et informations recensées. Encourager des projets novateurs 12

13 Le transfert de connaissances est un processus structuré qui favorise l innovation. Il permet que les apprentissages réalisés, les bonnes pratiques acquises et les connaissances développées soient connus, diffusés et utilisés. Le transfert de connaissances implique donc des «porteurs» de connaissances et des «preneurs» de connaissances. Un plan de transfert de connaissances permet d établir : 1. ce qu on veut transférer (apprentissages, types de connaissances, etc.); 2. les changements escomptés chez les preneurs; 3. qui utilisera les informations (distinguer les utilisateurs des bénéficiaires); 4. qui animera le processus de transfert (transmetteur); 5. qui pourrait aider au processus de transfert (partenaires financiers ou de soutien); 6. les étapes, les outils et les activités de transfert; 7. les retombées attendues (degré d appropriation souhaité). Encourager des projets novateurs 13

14 ANNEXE 1 : Objets d innovation ciblés par Québec en Forme À noter : cette annexe est un document de travail, l analyse des objets d innovation étant toujours en cours. L état de situation 2011 ainsi que la tournée des équipes (printemps 2012) sur le sujet de l innovation ont permis de recenser des facteurs susceptibles de comprometre l atteinte du but, des objectifs et des changements souhaités dans l alignement stratégique de Québec en Forme. Ces facteurs, listés dans ce tableau, ont servi de base à une première réflexion (novembre 2012) visant à cibler des objets d innovation à considérer pour identifier des projets de démonstration. Facteurs nuisibles L absence ou la non-disponibilité de ressources d expertise. Faible degré d engagement dans la prise en charge d actions structurantes Difficulté à actualiser une approche territoriale intégrée Peu d expérience en évaluation d impact Peu d adhésion ou de sensibilisation au transfert de connaissances Peu d actualisation de politiques et de mesures d accessibilité (économique et physique) Difficulté à rejoindre les acteurs de l agroalimentaire 5 types d acteurs (MAPAQ, détaillants, TIR, RLP, services alimentaires) Absence de modèles de transport actif (TA) adaptés au milieu rural Méconnaissance de pratiques prometteuses en saine alimentation et mode de vie physiquement actif Objets d innovation à démontrer Prof d éducation physique : le sortir de sa classe pour utiliser ses compétences dans la communauté L engagement de bénévoles les outiller Saint-Michel (en cours) Arrimage entre les paliers pour faciliter l application d une approche intégrée (Y a-t-il lieu de documenter les projets pilotes d arrimage Montréal-Québec- Sherbrooke?) Sujet d évaluation à explorer : Réduire le gaspillage alimentaire Sujet d évaluation à explorer : Conjuguer sécurité alimentaire et saine alimentation Créer école d été en saine alimentation et mode de vie physiquement actif Allaitement : identifier et documenter ce qui se fait au Québec Brigades (en cours) Écoles ouvertes soirs et fins de semaine : réouverture obligée des conventions collectives Démontrer la rentabilité des menus santé dans restos de malbouffe; donc, offrir un choix varié Modifier ou améliorer l offre d un distributeur (ex. chaine de restos) en l associant à un événement sportif Trouver un modèle pour augmenter la mobilité en milieu rural Coordination offre de services entre 15 h et 17 h nécessite arrimage local et régional (ex. acteurs locaux pour animer sports étudiants ) Aménagement : en milieu rural, infrastructures collectives bâties autour de l école Mise en valeur de l intervenant : bénévole, éducateur physique, nutritionniste, etc. Documenter les freins à l ouverture des écoles les soirs et fins de semaine Démontrer la faisabilité de recettes saines à peu de coûts Aménagement : aire de repas conviviale aux abords de l école Ou salle à manger conviviale dans l école Intégrer dans le coffre à outils du travailleur de rue les pratiques en saines habitudes de vie Services alimentaires itinérants durant les 4 saisons

15 ANNEXE 2 : Processus d identification et d analyse d une innovation Le schéma 12 qui suit illustre la relation entre le type de changement, les conditions d adoption et les caractéristiques clés de l innovation. Le processus comporte trois phases : l émergence, l expérimentation et l appropriation. L émergence : L identification de la problématique est le point de départ de cette phase. Elle permet de bien cerner le type de changement souhaité et de faire l analyse des conditions d adoption qui indiqueront s il est avantageux d opérer le changement souhaité. L expérimentation : La mise en pratique permet de tester le changement souhaité, afin de voir si la nouvelle façon de faire répond aux attentes avant d en élargir l application. La durée de l expérimentation sera fonction de la nature du changement, mais aussi des stratégies d application et de rétroaction retenues. Durant cette phase, l évaluation évolutive et le transfert de connaissances sont essentiels pour identifier, comprendre et démontrer les apprentissages faits ainsi que pour réajuster les processus et les actions en cours de route. L appropriation : C est la reconnaissance et le rayonnement de la nouvelle façon de faire. Reconnaissance par les preneurs qui la mettent en pratique, et rayonnement dû à son utilisation par les bénéficiaires. SCHÉMA D UN PROCESSUS D INNOVATION SOCIALE ÉMERGENCE EXPÉRIMENTATION APPROPRIATION Identification du problème Élaboration du projet Application Rétroaction Appropriation de proximité Appropriation étendue Innovation sociale Type de changement souhaité Conditions d adoption Mise en pratique (test) Évaluation évolutive Transfert de connaissances Reconnaissance et rayonnement de la nouvelle pratique Caractéristiques clés de l innovation 12 UQAM, Réseau québécois en innovation sociale. Favoriser l émergence et la pérennisation des innovations sociales au Québec synthèse des travaux de la communauté d intérêt sur l innovation sociale, avril Encourager des projets novateurs 15

16 BIBLIOGRAPHIE Documents consultés Chaire FCRSS/IRSC sur le transfert de connaissances et l innovation, Département de management, Université Laval, Québec. Délégation France Québec, Principes et critères pour une intervention prometteuse en matière de promotion de saines habitudes de vie et de prévention des problèmes liés au poids, dans une perspective de développement durable et d équité, Fondation de la famille J.W McConnell, L ABC de l évaluation évolutive par Jamie A.A. Gamble, Fondation de la famille J.W McConnell, Dans un monde de changements imprévisibles, le Canada a surtout besoin de résilience, Fonds québécois de la recherche sur la société et culture, Innovation dans les services publics et parapublics à vocation sociale Rapport de la revue systématique des écrits, octobre Institute for research and innovation in social services, Creating a culture of innovation, mai Juan-Luis Klein, Jean-Marc Fontan, Denis Harrisson, et Benoît Lévesque, L Innovation sociale dans le contexte du «modèle québécois» : acteurs, composantes et principaux défis; Le philanthrope Québec en Forme, Planification stratégique , pour un Québec en forme, Québec en Forme, Soutien aux projets novateurs, septembre Rick Davies and Jess Dart, The Most Significant Change (MSC) Technique, A Guide to Its Use, avril ROGERS E. (1995), Diffusion of innovation, Free Press, New York, 4th edition. UQAM, Réseau québécois en innovation sociale - Favoriser l émergence et la pérennisation des innovations sociales au Québec synthèse des travaux de la communauté d intérêts sur l innovation sociale, avril Sites consultés CEFRIO : La Fabrique sociale : Ministère du Développement économique, de l Innovation et de l Exportation du Québec, Stratégie québécoise de recherche et de l innovation : Psychologie sociale : sociale.com/index.php?option=com_content&task=view&id=366&itemid=85 Théorie de la diffusion de l innovation : innovation Wikipédia: Encourager des projets novateurs 16

17 Québec en Forme 2013 Siège social 1075, rue Champflour Trois-Rivières (Québec) G9A 2A1 quebecenforme.org

Plan Stratégique 2008-2013

Plan Stratégique 2008-2013 Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite

Plus en détail

Ensemble vers de saines habitudes de vie!

Ensemble vers de saines habitudes de vie! Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec

Plus en détail

Déclaration québécoise pour l innovation sociale. Avril 2011

Déclaration québécoise pour l innovation sociale. Avril 2011 Déclaration québécoise pour l innovation sociale Avril 2011 p o u r l i n n o v a t i o n s o c i a l e Pour un système d innovation sociale au Québec Le développement d une société dépend de plus en plus

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...

Plus en détail

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens

Plus en détail

FICHE 9 TECHNIQUE DU CHANGEMENT LE PLUS SIGNIFICATIF

FICHE 9 TECHNIQUE DU CHANGEMENT LE PLUS SIGNIFICATIF FICHE 9 TECHNIQUE DU CHANGEMENT LE PLUS SIGNIFICATIF COTA asbl 7, rue de la révolution 1000 Bruxelles www.cota.be COTA asbl Fiche 9 - Technique du changement le plus significatif Cette fiche s inscrit

Plus en détail

PROGRAMME DE MENTORAT

PROGRAMME DE MENTORAT CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des

Plus en détail

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne

Plus en détail

DEVIS D ÉVALUATION. Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan. Automne 2013

DEVIS D ÉVALUATION. Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan. Automne 2013 DEVIS D ÉVALUATION Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan Automne 2013 La mise en contexte de l évaluation Depuis sa création en 1993, la commission d évaluation de l enseignement

Plus en détail

Rapport : Sur mandat de Promotion Santé Suisse Avenue de la Gare 52, 1003 Lausanne

Rapport : Sur mandat de Promotion Santé Suisse Avenue de la Gare 52, 1003 Lausanne Croix-Rouge suisse Département santé et intégration Service santé Werkstr. 18 3086 Wabern Rapport : Examen et ajustement des politiques cantonales dans le cadre du programme «Poids corporel sain» sous

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE

MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la

Plus en détail

Mémoire sur le financement participatif. déposé dans le cadre des consultations de l Autorité des marchés financiers

Mémoire sur le financement participatif. déposé dans le cadre des consultations de l Autorité des marchés financiers Mémoire sur le financement participatif déposé dans le cadre des consultations de l Autorité des marchés financiers Le 1 er mai 2013 Table des matières Introduction... 3 Mise en contexte... 3 Orientation

Plus en détail

POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES

POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES Groupe Affaires corporatives et secrétariat général 19 avril 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. CADRE GÉNÉRAL...3 1.1 Politique NOTRE RÔLE SOCIAL...3 1.2 Imputabilité...3

Plus en détail

Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi

Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Éléments principaux de Passeport pour ma réussite Passeport pour ma réussite

Plus en détail

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude

Plus en détail

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme

Plus en détail

Planification stratégique 2012-2015

Planification stratégique 2012-2015 DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du

Plus en détail

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services

Plus en détail

Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches

Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches Document mis à jour en avril 2014 Table de matière 1. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 3 1.1 PRÉSENTATION DU FONDS RÉGIONAL D INVESTISSEMENT

Plus en détail

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,

Plus en détail

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme

Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre

Plus en détail

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier

Plus en détail

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB En juin 2012, le conseil d administration de l AFANB a décidé d entreprendre une démarche de révision du plan stratégique qui mènera au dépôt d un plan stratégique

Plus en détail

Logiciels de Gestion de Projet: Guide de sélection

Logiciels de Gestion de Projet: Guide de sélection Logiciels de Gestion de Projet: Guide de sélection Logiciels de Gestion de Projets: Guide de sélection PPM Software Selection Guide ETAPE 1: Faiblesses Organisationnelles identifier clairement vos besoins

Plus en détail

Programme national «très haut débit»

Programme national «très haut débit» Liberté. Égalité. Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Programme national «très haut débit» - 1 - Sommaire I. ENJEU 3 II. DESCRIPTION GENERALE 4 III. PILOTAGE DU PROGRAMME 4 IV. PHASE DE LANCEMENT DU PROGRAMME

Plus en détail

Les approches globales et intégrées en promotion de la santé et du bien-être : les conditions nécessaires à leur développement 1

Les approches globales et intégrées en promotion de la santé et du bien-être : les conditions nécessaires à leur développement 1 Les approches globales et intégrées en promotion de la santé et du bien-être : les conditions nécessaires à leur développement 1 Marthe Deschesnes, Ph.D. Catherine Martin, M.Sc. Adèle Jomphe Hill, Ph.D

Plus en détail

Pour une pratique durable!

Pour une pratique durable! LE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ DES COMMUNAUTÉS : JUSQU OÙ PEUT-ON RÉALISTEMENT ALLER? Atelier de réflexion dans le cadre du colloque du RQIIAC Pour une pratique durable! Alain Meunier et Sonia Racine, conseillers

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE

Plus en détail

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles

Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Cet outil offre aux conseillers en orientation professionnelle : un processus étape par étape pour réaliser une évaluation informelle

Plus en détail

QUÉBEC EN FORME ROSEMONT PLAN DE COMMUNICATION 2011-2014. Présenté aux membres du comité Québec en forme Rosemont

QUÉBEC EN FORME ROSEMONT PLAN DE COMMUNICATION 2011-2014. Présenté aux membres du comité Québec en forme Rosemont QUÉBEC EN FORME ROSEMONT PLAN DE COMMUNICATION 2011-2014 Présenté aux membres du comité Québec en forme Rosemont par Magali Vaidye, le 17 janvier 2012 QUÉBEC EN FORME ROSEMONT Plan de communication 2011-2014

Plus en détail

REFERENCES SUR LES INDICATEURS

REFERENCES SUR LES INDICATEURS L i s t e b i b l i o g r a p h i q u e REFERENCES SUR LES INDICATEURS E t u d e G C P Nathalie Wilbeaux Actualisée en Juillet 2007 Bibliographie sélective sur les «indicateurs» - Etude GCP 2003-2007-

Plus en détail

SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants

SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants POLITIQUE POLITIQUE D ÉDUCATION INTERCULTURELLE DATE : 26 mars 2014 SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants DESTINATAIRES : À toute la communauté

Plus en détail

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent

Plus en détail

OUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT

OUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT OUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT Angèle Bilodeau, Ph.D. 1, 2 Marilène Galarneau, M.Sc. 2 Michel Fournier, M.Sc. 1 Louise Potvin, Ph.D. 2 Gilles Sénécal, Ph.D. 2, 3 Jocelyne Bernier, M.Sc.

Plus en détail

En fonction de sa proposition, Hydro-Québec s attend à ce que la nouvelle tarification soit effective au début de l année 2007.

En fonction de sa proposition, Hydro-Québec s attend à ce que la nouvelle tarification soit effective au début de l année 2007. NOTE AU LECTEUR Fondée en 1961, l Association provinciale des constructeurs d habitations du Québec (APCHQ) est une référence en matière de construction et de rénovation résidentielles. Regroupant quelque

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période

Plus en détail

PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015

PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 1. Contexte PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 Dans le passé, on recherchait des superviseurs compétents au plan technique. Ce genre d expertise demeurera toujours

Plus en détail

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS Ce document présente la procédure d évaluation des services centraux de l UNIL

Plus en détail

Vers l amélioration continue

Vers l amélioration continue Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission

Plus en détail

Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale

Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale Plan de la présentation Le secteur Recherche, innovation et science citoyenne

Plus en détail

se constituer une Équipe

se constituer une Équipe SOCIÉTÉ CANADIENNE D HYPOTHÈQUES ET DE LOGEMENT se constituer une Équipe L aménagement de logements abordables témoigne de la vision et du travail acharné de nombreux intervenants : du personnel, des employés

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Conseil régional Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Dans ce tableau, la numérotation est utilisée afin de faciliter le suivi de la présentation. Légende Palier N signifie national R signifie régional

Plus en détail

PROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009

PROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009 Présidence de la République Commissariat à la Sécurité Alimentaire APCAM/MSU/USAID Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali Phase II (PROMISAM - II) PROMISAM -

Plus en détail

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit

Plus en détail

LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal

LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal Orlando G. Cerocchi LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal :: INTRODUCTION :: OBJECTIF DU PROGRAMME :: FESTIVALS ET ÉVÉNEMENTS TOURISTIQUES ADMISSIBLES :: CHAMPS

Plus en détail

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014

CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014 CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel

Plus en détail

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7

Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7 Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7 novembre 2012 Cadre de mieux-être en Le cadre de notre

Plus en détail

Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE)

Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Date de l ouverture de l appel à projets : Mi-juillet 2013 Date de clôture de l appel à projets : 31 octobre

Plus en détail

ITIL V3. Objectifs et principes-clés de la conception des services

ITIL V3. Objectifs et principes-clés de la conception des services ITIL V3 Objectifs et principes-clés de la conception des services Création : janvier 2008 Mise à jour : juillet 2011 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a

Plus en détail

Ententes de développement des ressources humaines autochtones au Québec

Ententes de développement des ressources humaines autochtones au Québec FNHRDCQ CDRHPNQ Ententes de développement des ressources humaines autochtones au Québec Il existe 5 détenteurs d ententes au Québec qui ont la responsabilité d administrer les programmes d emploi et de

Plus en détail

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant

Plus en détail

Lean Management : une stratégie de long terme. Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable?

Lean Management : une stratégie de long terme. Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable? Lean Management : une stratégie de long terme Pourquoi l évolution des comportements est-elle essentielle à une réussite durable? Au cours de ces deux dernières années, les grandes entreprises du monde

Plus en détail

PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Mai 2015

PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Mai 2015 PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Mai 2015 Le présent document a été produit par le ministère de l Économie, de l Innovation et des Exportations Coordination et rédaction Direction

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques

Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques En 2013, le Conseil des arts du Canada a publié le Document d'information : Révision des programmes de subventions de fonctionnement

Plus en détail

La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation

La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation L O U I S E P O T V I N, P h D C H A I R E D E R E C H E R C H E D U C A N A D A A P P R O C H E S C O M M U N A U T A I R

Plus en détail

Contexte et mandat. Politique nationale de la ruralité 2007-2014 :

Contexte et mandat. Politique nationale de la ruralité 2007-2014 : Contexte et mandat Politique nationale de la ruralité 2007-2014 : mise en place du groupe de travail sur les communautés dévitalisées Mandat : Recenser l information existante et pertinente pour les communautés

Plus en détail

Soutien aux entreprises novatrices

Soutien aux entreprises novatrices Soutien aux entreprises novatrices Richard O Shaughnessey Directeur régional Le 23 mai 2013 1 Quel est le mandat du Programme d'aide à la recherche industrielle (PARI-CNRC)? Notre mandat Stimuler la création

Plus en détail

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2. Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.

Plus en détail

APFP. Les Pays, moteurs de stratégies de développement territorial et de gouvernance locale. Contribution de l Association de

APFP. Les Pays, moteurs de stratégies de développement territorial et de gouvernance locale. Contribution de l Association de Mars 2012 cahier d acteurs Association de Promotion et de Fédération des Pays APFP APFP Pays / Territoires de projet Contribution de l Association de Promotion et de Fédération des Pays dans le cadre des

Plus en détail

SOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL...

SOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL... Fédération Internationale des Producteurs Agricoles 1 «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES» Ce document fut élaboré dans l objectif d apporter une information la plus complète possible sur le thème du

Plus en détail

GUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE

GUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE Direction générale adjointe Planification, qualité et mission universitaire Coordination de l enseignement et de la recherche 1250, rue Sanguinet, Montréal, QC H2X 3E7 Tél. : (514) 527-9565 / Téléc. :

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

Plan d action sur le changement climatique de [nom de la collectivité]

Plan d action sur le changement climatique de [nom de la collectivité] Province du Manitoba Climate Change Planning Resource Guide Plan d action sur le changement climatique de [nom de la collectivité] Élaboré par : Remerciements : P. ex. conseil municipal, conseil d administration,

Plus en détail

Programme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle

Programme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle Programme Transit Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle Développé par l Association des personnes handicapées de la rive-sud

Plus en détail

Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE

Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Le Sommaire constitue un abrégé du document intitulé Bilan de l an I de Solidarité jeunesse : Rapport du Comité aviseur de Solidarité

Plus en détail

Le fonds local d investissement (FLI) et le fonds local de solidarité (FLS) CRITÈRES ET CONDITIONS D ADMISSIBILITÉ. Sommaire

Le fonds local d investissement (FLI) et le fonds local de solidarité (FLS) CRITÈRES ET CONDITIONS D ADMISSIBILITÉ. Sommaire Le fonds local d investissement (FLI) et le fonds local de solidarité (FLS) CRITÈRES ET CONDITIONS D ADMISSIBILITÉ Sommaire Objectif... 2 Critères d admissibilité... 2 Dépôt d un dossier... 2 Principaux

Plus en détail

Profil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0

Profil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0 SYNAPSE CENTER CHALLENGE Un programme de création d emplois pour les jeunes Synapse Center/IYF Profil du programme Titre du programme : Challenge Composantes : 1. Renforcement de l employabilité des jeunes

Plus en détail

APPEL A PROJETS PROGRAMME DE PRÉFIGURATION DU PLAN NUMÉRIQUE

APPEL A PROJETS PROGRAMME DE PRÉFIGURATION DU PLAN NUMÉRIQUE MINISTÈRE DE L ÉDUCATION NATIONALE, DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE APPEL A PROJETS PROGRAMME DE PRÉFIGURATION DU PLAN NUMÉRIQUE I. Public cible de l appel à projets Un appel à projets est

Plus en détail

PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones

PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones Édition de février 2011 Réalisé par le Comité patronal de négociation

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE # 64 INTÉGRATION COMPÉTENTE ET SÉCURITAIRE DES NOUVEAUX EMPLOYÉS

FICHE TECHNIQUE # 64 INTÉGRATION COMPÉTENTE ET SÉCURITAIRE DES NOUVEAUX EMPLOYÉS FICHE TECHNIQUE # 64 INTÉGRATION COMPÉTENTE ET SÉCURITAIRE DES NOUVEAUX EMPLOYÉS Chez les jeunes de 15 à 24 ans, 54 % des accidents du travail surviennent dans les six premiers mois de l emploi. Pour tous

Plus en détail

Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années

Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années Les cours de la série «Connaissances et employabilité» du secondaire premier cycle sont axés sur l exploration.

Plus en détail

OUVRIR LES PORTES DE LA BANQUE AUX JEUNES ENTREPRENEURS

OUVRIR LES PORTES DE LA BANQUE AUX JEUNES ENTREPRENEURS Contexte général de lancement de l expérimentation Pour des raisons indépendantes de notre volonté et de notre implication, la convention avec le Ministère a été signée à la fin du mois de décembre 2010.

Plus en détail

Avis d'emploi vacant. Poste(s) supervisé(s) : Date d'affichage : 18 mars 2015. À propos de CATIE

Avis d'emploi vacant. Poste(s) supervisé(s) : Date d'affichage : 18 mars 2015. À propos de CATIE Titre du poste : Service : Relève de : Poste(s) supervisé(s) : Statut : Endroit : Courtier en connaissances, Programmes de santé sexuelle des hommes gais Échange des connaissances Directrice associée,

Plus en détail

Présentation du programme de danse Questions-réponses

Présentation du programme de danse Questions-réponses Présentation du programme de danse Questions-réponses Description du programme Le DEC préuniversitaire en Danse du Cégep de Rimouski offre une formation collégiale préparatoire à la poursuite d études

Plus en détail

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes

Plus en détail

Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET

Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET ADOPTÉE LE 9 SEPTEMBRE 2009 MODIFIÉE EN MAI 2012 Le Forum jeunesse Estrie est soutenu financièrement par le gouvernement

Plus en détail

Planification financière

Planification financière Planification financière Introduction La planification financière couvre un large éventail de sujets et dans le meilleur des cas, elle les regroupe d une manière ordonnée et intégrée. Toutefois, vu qu

Plus en détail

Gestionnaires. Parcoursd apprentissage

Gestionnaires. Parcoursd apprentissage Gestionnaires Parcoursd apprentissage V2 VOTRE PARTENAIRE EN APPRENTISSAGE L École de la fonction publique du Canada offre des produits d apprentissage et de formation qui contribuent au renouvellement

Plus en détail

Atelier Campagne Marketing social

Atelier Campagne Marketing social Atelier Campagne Marketing social Vous devez mettre sur pied, au cours de ce bref atelier, une campagne de marketing social. Vous devrez aussi justifier vos activités de communication. Le nom d une organisation

Plus en détail

Pour surmonter ces obstacles, le Groupe d étude canadien sur la finance sociale fait trois recommandations au Comité permanent des finances :

Pour surmonter ces obstacles, le Groupe d étude canadien sur la finance sociale fait trois recommandations au Comité permanent des finances : Présentation prébudgétaire 2011 au Comité permanent des finances Sommaire Le Groupe d étude canadien sur la finance sociale et Génération de l innovation sociale (GIS) sont déterminés à assurer le développement

Plus en détail

RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement

RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement La recherche à l Université Sainte-Anne L Université Sainte-Anne, par son emplacement géographique,

Plus en détail

Améliorer l efficacité de votre fonction RH

Améliorer l efficacité de votre fonction RH Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes

Plus en détail

La classification des actifs informationnels au Mouvement Desjardins

La classification des actifs informationnels au Mouvement Desjardins La classification des actifs informationnels au Mouvement Desjardins Cas vécu en grande entreprise Jean-François Allard Directeur principal Risques Informationnels Mouvement Desjardins Anick Charland Conseillère

Plus en détail

Guide explicatif Nouveau barème d allocation des UFC

Guide explicatif Nouveau barème d allocation des UFC Guide explicatif Nouveau barème d allocation des UFC Table des matières Introduction p.3 Mise en contexte Objectifs Barème d allocation des UFC Guide de pointage des activités professionnelles p.5 Activités

Plus en détail

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE COMTÉ DE RIVIERE-DU-LOUP RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

Mémoire sur le projet de loi n o 36, Loi sur la Banque de développement économique du Québec

Mémoire sur le projet de loi n o 36, Loi sur la Banque de développement économique du Québec 2013 Mémoire sur le projet de loi n o 36, Loi sur la Banque de développement économique du Québec Présenté à la Commission de l économie et du travail, de l Assemblée nationale du Québec Présenté le 17

Plus en détail