Taux de survie des coopératives au Québec

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1 Sommaire Taux de survie des Développement économique Innovation Exportation

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3 Taux de survie des coopératives au Québec Direction des coopératives Direction générale des politiques et des sociétés d État Ministère du Développement économique, de l Innovation et de l Exportation du Québec

4 EPROCÉDÉ SANS CHLORE PROCESS Cette publication a été préparée par : Michel Clément, chargé de projet Caroline Bouchard Avec la collaboration de : Et la participation de : Sous la direction de : France Boutin Jocelyne Chagnon France Filion Daniel Lepage André Mercier Sylvie Richard Sylvain Mélançon Direction de l analyse économique François Grenier Direction des services à la clientèle Lise Jacob Direction des coopératives Pour tout renseignement concernant le contenu de cette publication : Ministère du Développement économique, de l Innovation et de l Exportation Direction des coopératives 710, place D Youville, 7e étage Québec (Québec) G1R 4Y4 Téléphone : (418) Courriel : dir.coop@mdeie.gouv.qc.ca Internet : Ce document est imprimé sur du papier recyclé Enviro 100 D CHLORINE FREE C H O I X E N V I R O N N E M E N TA L E N V I R O N M E N T A L I C E C H O

5 3 Un avant-goût 1999 : Une première étude sur le taux de survie des coopératives au Québec qui révèle que les taux de survie de ces entreprises sont de 64 % après cinq ans et de 46 % après 10 ans : Une nouvelle étude démontre que ces taux de survie se sont maintenus à des niveaux élevés, soit 62 % après cinq ans et 44 % après 10 ans. Des résultats éloquents étant donné : n une augmentation de plus de 52 % du rythme de création de nouvelles coopératives par rapport au début des années 1990; n une diversification plus marquée de ces entreprises dans de nouveaux secteurs d activité. De plus, cette étude présente : n les taux de survie selon le secteur d activité économique, la région administrative et la taille des coopératives (nombre d emplois au démarrage); n le taux de passage sur une période de 10 ans; n la moyenne d âge selon les catégories de coopératives.

6 4 Faits saillants DES TAUX DE SURVIE QUI DÉPASSENT LARGEMENT CEUX DE L ENSEMBLE DES ENTREPRISES QUÉBÉCOISES n Trois coopératives sur quatre franchissent le cap des trois ans comparativement à une entreprise sur deux pour l ensemble des entreprises du Québec. n Six coopératives sur 10 franchissent le cap de cinq ans d existence comparativement à un peu moins de quatre entreprises sur 10 pour les entreprises du Québec. n Quatre coopératives sur 10 franchissent les 10 ans d existence comparativement à deux entreprises sur 10 pour l ensemble des entreprises du Québec. Comparaison entre le taux de survie des coopératives et celui des entreprises québécoises (%) , ,2 62,0 44,3 Coopératives 40 35,0 Entreprises , ans 5 ans 10 ans Source : Direction des coopératives, MDEIE. Ministère du Développement économique, de l Innovation et de l Exportation, Taux de survie des nouvelles entreprises au Québec, mai 2008.

7 5 n Sur l ensemble des 10 premières années d activité, le taux de survie des coopératives dépasse, en moyenne, de 25,3% celui des entreprises du Québec. Comparaison entre le taux de survie des coopératives et celui des entreprises québécoises sur une période de 10 ans En pourcentage ,4 93,3 58,5 83,0 48,2 74,9 40,6 67,7 62,0 35,0 30,3 26,7 56,7 53,9 50,3 Coopératives Entreprise québecoises 23,8 21,6 46,6 44,3 19, Source : Direction des coopératives, MDEIE. Ministère du Développement économique, de l Innovation et de l Exportation, Taux de survie des nouvelles entreprises au Québec, mai n L écart en matière de taux de survie entre les coopératives et les entreprises du Québec est particulièrement important dans les cinq premières années d activité. À titre d exemple, après la première année d activité, 6,7 % des coopératives auront cessé leurs activités, contre 24,6 % des entreprises québécoises.

8 6 SEPT GRANDS FACTEURS QUI CONTRIBUENT À EXPLIQUER LE TAUX DE SURVIE ÉLEVÉ DES COOPÉRATIVES AU QUÉBEC Quatre facteurs relèvent davantage de la spécificité de la formule coopérative elle-même n Finalité particulière des coopératives : services aux membres plutôt que rendement sur le capital, ce qui implique des décisions d affaires différentes. n Rôle central du membre, qui est à la fois investisseur et utilisateur (client) dans la coopérative. n Encadrement juridique favorisant notamment la démocratie, la reddition de comptes aux membres et une gouvernance plus ouverte. n Présence d un groupe de promoteurs et ancrage dans le milieu. Trois facteurs relèvent davantage de l historique et de l environnement d affaires des coopératives n Forte représentation dans des secteurs économiques de base, près des besoins des gens (agriculture, forêt, services à domicile, funéraire, scolaire, etc.). n Fonctionnement en réseaux régionaux et sectoriels pour une majorité de coopératives. n Soutien d organismes de premier et deuxième niveau favorisant un meilleur encadrement des projets en démarrage ou en développement et présence d outils financiers et fiscaux adaptés à la formule coopérative.

9 7 Les coopératives de producteurs et de consommateurs, les championnes du taux de survie n Les cinq catégories de coopératives voient leur taux de survie dépasser celui des entreprises québécoises après cinq ans. Taux de survie des cinq catégories de coopératives, comparé à celui des entreprises québécoises, après cinq ans ,2 75,6 67, ,8 Moyenne des coopératives : 62, , Producteurs Consommateurs Solidarité Travailleurs actionnaires Travail Entreprisesquébécoises Source : Direction des coopératives, MDEIE. Ministère du Développement économique, de l Innovation et de l Exportation, Taux de survie des nouvelles entreprises au Québec, mai n Les coopératives de producteurs et de consommateurs enregistrent des taux de survie de plus du double de celui des entreprises québécoises après cinq ans. n Les coopératives de solidarité, pour une première fois 1, sont analysées au chapitre du taux de survie. Ces coopératives démontrent un taux de survie de 67,5 % après cinq ans, dépassant la moyenne de l ensemble des coopératives. 1 Cette catégorie de coopératives n existe que depuis 1997.

10 8 DES VARIATIONS ENTRE LES ÉTUDES DE 1999 ET 2008 POUR CERTAINES DES CATÉGORIES DE COOPÉRATIVES Taux de survie après cinq ans n Le taux de survie de l ensemble des coopératives diminue seulement de 2 % dans la nouvelle étude malgré un rythme de création de coopératives nettement plus important dans la dernière décennie et une plus grande diversification des entreprises démarrées. n Les coopératives de producteurs voient leur taux de survie demeurer stable. n Quant aux coopératives de travail, leur taux de survie s améliore après cinq ans dans l étude de n La performance des coopératives de consommateurs et de travailleurs actionnaires a diminué entre les deux études. Taux de survie (cinq ans) comparaison des études de 1999 et ,0 76,2 77,0 75,6 67,5 45,8 44,0 48,0 51,0 62,0 64, Producteurs Consommateurs Solidarité Travail Travailleurs actionnaires Total Source : Direction des coopératives, MDEIE.

11 9 Taux de survie après 10 ans n Le taux de survie des coopératives fléchit aussi de 2 % dans la nouvelle étude en raison des coopératives de consommateurs et des coopératives de travailleurs actionnaires. n Les coopératives de producteurs performent mieux dans la nouvelle étude en raison notamment des coopératives d utilisation de matériel agricole qui présentent un taux de survie très élevé. n Les coopératives de travail enregistrent également une certaine remontée du taux de survie dans l étude 2008, tirées vers le haut par les coopératives forestières et ambulancières. n Pour les coopératives de consommateurs, le secteur du commerce en général affecte principalement le taux de survie par rapport à l étude de n En ce qui a trait aux coopératives de travailleurs actionnaires, les difficultés provenant du secteur manufacturier diminuent également les résultats. Taux de survie (10 ans) comparaison des études de 1999 et ,1 58,0 57,0 66, ,3 26,0 24,6 40,0 44,0 46,0 Étude 2008 Étude Producteurs Consommateurs Travail Travailleurs actionnaires Total Source : Direction des coopératives, MDEIE.

12 10 TAUX DE SURVIE DES COOPÉRATIVES SUPÉRIEUR À CELUI DES ENTREPRISES QUÉBÉCOISES DANS 11 DES 14 GRANDS SECTEURS ÉCONOMIQUES 2 n Le taux de survie des coopératives dépasse celui des entreprises québécoises sauf dans le commerce, le secteur manufacturier et la construction. n Dans huit grands secteurs économiques sur 14, le taux de survie des coopératives atteint plus du double de celui des entreprises québécoises. Taux de survie après 10 ans comparaison des principaux secteurs économiques coopératifs et des entreprises québécoises comparables Construction Manufacturier Commerce Loisirs 20,6 11,1 26,4 17,2 18,3 17,6 17,7 25,0 Coopératives Entreprises québecoises Autres secteurs Services-conseils Transport Forestier Agricole Scolaire Hébergement et restauration Serv. personnels et sociaux Télécommunication Habitation 18,5 21,4 22,7 22,0 22,0 18,3 13,5 16,5 22,4 34,7 41,3 41,7 43,5 50,0 51,9 55,0 56,5 66,0 87,5 94, Source : Direction des coopératives, MDEIE. Ministère du Développement économique, de l Innovation et de l Exportation, Taux de survie des nouvelles entreprises au Québec, mai Les coopératives ont été réparties entre 14 grands secteurs économiques pour les fins de l étude.

13 11 n Des raisons particulières expliquent les performances moindres des coopératives dans le commerce, le secteur manufacturier et la construction. n Dans le domaine du commerce, la concurrence très forte des grandes chaînes dans plusieurs domaines laisse un espace réduit aux entreprises de plus petite taille comme les coopératives. n Dans le secteur manufacturier, la population étudiée comprenait plusieurs entreprises en difficulté qui ont utilisé la formule coopérative comme dernier recours. Il est à observer par ailleurs que les coopératives agricoles et agroalimentaires enregistrent de bons résultats dans le secteur manufacturier mais ces coopératives datent, très majoritairement, d avant la période couverte par l étude. n Le secteur de la construction constitue un défi pour la formule coopérative. Ce domaine est caractérisé par de nombreuses entrées et sorties qui laissent une place restreinte pour le développement des coopératives.

14 12 TAUX DE PASSAGE TRÈS ÉLEVÉ DES COOPÉRATIVES DÈS LA PREMIÈRE ANNÉE n Le taux de passage révèle une nouvelle dimension à la notion du taux de survie. En effet, il met en relief le pourcentage d entreprises qui passent ou survivent d une année à l autre. 3 n Le taux de passage des coopératives est nettement plus élevé que celui des entreprises québécoises pour l ensemble des 10 premières années d opération. Taux de passage annuels des coopératives et des entreprises québécoises, selon le nombre d années d activité (%) 100 En Pourcentage pourcentage (%) ,3 88,9 90,2 82,8 90,4 85,3 91,6 87,5 91,5 88,8 95,0 89,7 93,3 92,6 90,7 91,1 95,0 91,0 Coopératives Entreprises québécoises 78,0 75, Nombre d'années d'activité Source : Direction des coopératives, MDEIE. Ministère du Développement économique, de l Innovation et de l Exportation, Taux de survie des nouvelles entreprises au Québec, mai n L écart est particulièrement important durant les cinq premières années. n Alors que les entreprises québécoises ont un taux de passage en progrès notable d année en année, celui des coopératives est pratiquement uniforme, avec une légère progression dans le temps. 3 Le taux de passage représente le taux de survie en prenant toujours comme base de calcul les entreprises survivantes à la fin de l année précédente.

15 13 n Les coopératives ne présentent pas la même dynamique dans le temps que les autres entreprises. Les coopératives sont constituées prioritairement pour offrir des biens et services à leurs membres, même si elles recherchent la profitabilité pour assurer leur développement. n La finalité particulière des coopératives se traduit par une plate-forme d affaires différente. Ainsi, les coopératives risquent peu d être fermées si elles rendent les services voulus. Elles risquent peu également d être délocalisées ou d être vendues. FAIBLE IMPACT DE LA TAILLE AU DÉMARRAGE SUR LE TAUX DE SURVIE DES COOPÉRATIVES, CONTRAIREMENT À L ENSEMBLE DES ENTREPRISES QUÉBÉCOISES n Les coopératives, qu elles aient moins de cinq employés ou cinq employés et plus, présentent des taux de survie semblables après trois et cinq ans. Les coopératives se distinguent ainsi nettement des entreprises québécoises qui, elles, enregistrent des taux de survie nettement plus élevés lorsqu elles comptent cinq employés et plus au démarrage. Comparaison entre le taux de survie des coopératives et celui des entreprises québécoises, par taille d entreprise au démarrage (%) Taux de survie 3ans 5ans 10 ans Moins de5employés Coopératives 73,9 62,4 52,4 Entreprises québécoises 47,1 33,7 18,4 5employés etplus Coopératives 74,3 63,0 38,2 Entreprises québécoises 60,2 50,6 33,8 Source : Direction des coopératives, MDEIE. Ministère du Développement économique, de l Innovation et de l Exportation, Taux de survie des nouvelles entreprises au Québec, mai n À partir de la septième année, le taux de survie des coopératives comptant moins de cinq employés au démarrage dépasse celui ayant cinq employés ou plus. Cette caractéristique les distingue encore davantage des entreprises québécoises.

16 14 n Les taux de survie les plus importants après 10 ans se situent principalement dans les régions centrales 1 (Mauricie, Centre-du-Québec, Chaudière- Appalaches, Lanaudière, Bas-Saint-Laurent et Laurentides). Taux de survie des coopératives après 10 ans, selon la région administrative Moyenne 10 ans 44,3 Abitibi-Témiscamingue Montréal Montérégie Laval Côte-Nord Gaspésie-Îles -de-la- Madeleine Estrie Capitale-Nationale Outaouais Saguenay-Lac-St-Jean Laurentides Bas-Saint-Laurent Lanaudière Chaudière-Appalaches Centre-du -Québec Mauricie 26,5 33,3 39,1 40,0 41,2 41,7 42,5 43,2 43,5 44,1 46,7 50,0 50,0 56,1 58,3 60,0 Nord-du-Québec 83, Source : Direction des coopératives, MDEIE. n Les régions les plus urbanisées (ex. Montréal et Laval) et les régions ressources enregistrent, en général, les plus bas taux taux de survie. n Dans les millieux urbains, des facteurs tels que la présence de nombreuses possibilités économiques et un tissu social davantage pluraliste peuvent affecter les taux de survie des coopératives. Dans certaines régions ressources, la plus grande fragilité de l économie, les faibles populations à desservir et un vieillissement des populations semblent jouer un rôle important sur la pérennité des coopératives. 1 Dans le cas du Nord-du-Québec, la faiblesse de la population peut créer un certain biais. En ce qui concerne l Abitibi-Témiscamingue, cette région n a pu que récemment profiter de services d aide technique au démarrage des nouvelles coopératives, ce qui a influencé à la baisse le taux de survie.

17 15 Défis Les résultats de l étude mettent en lumière certains défis pour les acteurs du développement coopératif afin de maintenir ou améliorer les taux de survie. Ils se résument ainsi : n Se donner des stratégies d intervention et de suivi pour les secteurs ayant des taux de survie plus faibles et pour les secteurs en émergence ou revoir celles qui existent déjà. n Mieux soutenir les projets coopératifs dans les milieux plus fortement urbanisés ou dans certaines régions ressources pour hausser le taux de survie. n Dégager les champs d étude nécessitant plus d approfondissement en regard du taux de survie. n Mieux faire connaître les performances des coopératives en matière de pérennité afin de favoriser le choix de la formule coopérative lors du démarrage d entreprise. Pour en savoir plus L étude complète intitulée Taux de survie des est disponible dans le site Internet du ministère du Développement économique, de l Innovation et de l Exportation à l adresse sous Publications > Études et statistiques > Analyses du secteur coopératif.

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