Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 1
|
|
- Alexandre Beaupré
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 1
2 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 2 FEUILLE DE MISE A JOUR PLAN D ASSURANCE QUALITÉ REV REV PAGE A B C D E F G H I J PAGE A B C D E F G H I J
3 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 3 SOMMAIRE 1. PRÉSENTATION GÉNÉRALE Historique des désordres Synthèse des précédentes études réalisées Définition et objectif de la mission confiée à FONDASOL Description de la reconnaissance Documents utilisés ANALYSE GÉOTECHNIQUE DU SITE Aspect général du site Aspect géologique Niveau d'eau Caractéristiques mécaniques Essais pressiométriques Synthèse des paramètres de forages Résultats des essais de laboratoire Fouilles de reconnaissance de la structure du quai ANALYSE CRITIQUE DES RESULTATS PROPOSITION DE PRINCIPES DE CONFORTEMENT Classification et enchaînement des missions types d ingéniérie géotechnique ANNEXES Abréviations utilisées sur les coupes de sondages - Présentation des essais pressiométriques - Plan de situation - Coupes géotechniques - Fouilles de reconnaissance de la structure de chaussée du quai - Photographie de l échantillon intact - Résultats des essais en laboratoire - Plan d implantation des sondages
4 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 4 1. PRÉSENTATION GÉNÉRALE 1.1. Historique des désordres Le chantier se situe sur le quai du port de la Conférence à PARIS (75) dans le 8 ème arrondissement. Des désordres de type affaissements sont apparus sur le quai en 2003, au droit de l exutoire n 2. L emprise au sol de l affaissement est de 10 m 2 environ. Il a fait l objet d un comblement de 5 m 3 de béton. Des «flashs» se sont recréés autour de la zone de l ancien comblement. La visite du site a mis en évidence le long du quai, des désordres de types flash ou fissures. Nous observons des rapiècements de bitume dans certaines zones le long du quai Synthèse des précédentes études réalisées Une campagne de mesures géophysiques, au moyen de mesures de résistivité a été réalisée par le LROP (Laboratoire régionale de l Ouest Parisien) en Février Des zones d anomalies de résistivité ont été mises en évidence. Un repérage de zones dites «suspectes», des zones d affaissements et des zones dites «de référence» sans anomalies, a été effectué par le PAP. Le PAP a également missionné la Compagnie de Travaux Subaquatiques pour la reconnaissance subaquatique de trois exutoires en Seine le long du quai du Port de la Conférence.
5 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page Définition et objectif de la mission confiée à FONDASOL Le Port Autonome de Paris envisage à long terme, la réhabilitation du quai du port de la Concorde. La réalisation de ce projet nécessite préalablement une connaissance approfondie de la structure du quai. Au stade actuel du projet, il est prévu de réaliser un contrôle des zones suspectes et des zones d affaiblissement, dans le but de déterminer leur origine. Les zones de référence seront également contrôlées afin de permettre une comparaison et une analyse critique des différents désordres observés. Cette étude s inscrit dans le cadre d une mission de type G5 selon les termes de la norme NF P version 2006 précisés à la fin de ce rapport. Elle comprend : Les résultats des sondages et des essais réalisés en laboratoire (plan, coupes géologiques des sols rencontrés, résultats des essais, commentaires sur le déroulement de la campagne de reconnaissance). Les hypothèses géotechniques à prendre en compte pour caractériser l état du sol, particulièrement dans les zones d affaiblissement et des zones suspectes. Recommandations générales pour la réhabilitation des quais dans les zones présentant des anomalies significatives. Notre mission ne comprend pas le contrôle général de la plateforme et des zones de substitution (rapiècement) des structures qui ont été purgées.
6 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page Description de la reconnaissance Pour mener à bien cette mission, nous avons réalisé fin août et début septembre 2008, les sondages et essais détaillés dans le tableau en page suivante. Les sondages ont été nivelés en prenant comme référence le plan topographique qui nous a été fourni. Les coordonnées des sondages sont données en LAMBERT 1 avec une précision de l ordre de 2 à 5 m en plan due à la transformation des coordonnées géographiques en coordonnées planes (logiciel CIRCE). Les résultats des sondages et essais, ainsi que les schémas d implantation et de situation sont présentés en annexe du présent rapport.
7 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 7 Type de sondage Numéro sondage Cote relative mesurée à partir du plan topographique fournis Coordonnées Lambert I Profondeur (m) Nombre d essais SP X = Y = Pressiométriques SP SP X = Y = X = Y = SP X = Y = SC Idem SP1 6 # Carottés SC Idem SP2 5 # SC Idem SP3 7 # SC Idem SP4 5 # RF Idem SP1 1.5 # Fouilles de reconnaissance structurelle RF Idem SP2 1.5 # Rf Idem SP3 1.5 # RF Idem SP4 1.5 # RF5 1.5 # Type d essais de laboratoire Numéro sondage Cote relative à partir du plan topographique fournis # Profondeur (m) Nombre d essais Teneur en eau # # 6 Valeur au Bleu (VBs) Granulométrie et sédimentométrie RF1-RF2- RF3-RF4- RF5-SC1 # # Suivant les prélèvements 6 cf. paragraphe # # 6
8 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 8 Les sondages ont été répartis comme suit, au droit des différentes zones définies précédemment : Zones Sondages réalisés Zone de l émissaire n 2 (affaissements visibles) RF1-SP1-SC1 Zone de référence Zone de l émissaire n 3 (affaissements prévisibles) Zone de référence Zone suspecte RF2-SP2-SC2 RF3-SP3-SC3 RF5 RF4-SP4-SC Documents utilisés Les documents qui nous ont été communiqués afin de réaliser cette mission sont les suivants : Annexes du rapport du LROP de mars 2008 avec Plan de situation du profil et profil de résistivité apparente ; Rapport de visite de CTS du 07/08/08 ; Plan topographique du quai. Les documents que nous avons utilisés sont les suivants : Carte géologique du 8 ème arrondissement de Paris au 1/5 000 ème ; Carte IGN de Paris au 1/25000 ème ; Plan de prévention des risques d inondation de la ville de PARIS (PPRI).
9 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 9 2. ANALYSE GÉOTECHNIQUE DU SITE 2.1. Aspect général du site Le terrain est situé sur le quai du port de la Conférence à PARIS 8 ème (75). Du point de vue topographique, ce terrain est quasiment plat et se situe entre 28 NGF et 29 NGF Aspect géologique D après la carte géologique du 8 ème arrondissement de PARIS au 1/5000 ème, la succession lithostratigraphique prévisible au droit du quai est la suivante : Remblais urbains, Alluvions modernes, Alluvions anciennes, Fausses glaises. Les sondages pressiométriques ont traversé les formations suivantes, de haut en bas : La structure du quai composée de bitume sur 0,10 m d épaisseur en moyenne, puis de pavés de grès rectangulaire d épaisseur variable entre 0,07 m et 0,20 m suivant les reconnaissances. Une couche de sables fins beiges gris est ensuite reconnue sur 0,06 m à 0,08 m d épaisseur suivant les sondages. Les remblais. Ces matériaux présentent des épaisseurs variables suivant les sondages entre 2,8 m en SC4 et 6,5 m environ en SC3. Ces remblais sont très hétérogènes. Ils sont composés principalement de sables et graviers avec des débris de démolition (béton, ciment, plastique, blocs de calcaire ).
10 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 10 Les alluvions quaternaires. Cette formation est rencontrée sous les remblais sableux graveleux. Il s agit de sables et de graviers beiges à gris plus ou moins marneux avec des passages des sables calcaires. Cette formation est rencontrée au droit des sondages SC1, SP1, SC4 et SP4. Il est difficile dans les sondages destructif d identifier clairement la limite entre les remblais sablo-graveleux et les alluvions sous jacentes. Les passages de sables calcaires avec des cailloutis calcareux, sont observés au droit des sondages SC4 et SP4. Remarque : - La description des terrains traversés et la position des interfaces comportent des imprécisions inhérentes à la méthode de forage destructif. - L épaisseur des différents horizons peut varier notablement entre les sondages. Dans le cas des terrains superficiels (remblais et alluvions), les variations d'épaisseur et hétérogénéités sont très fréquentes. - Les remblais peuvent contenir des éléments de toute nature et de toute taille (éléments évolutifs, plâtre, brique, plastiques, ferrailles ). - La rencontre de blocs ou niveaux indurés de toute nature au sein des remblais, pourra gêner les terrassements et nécessiter l'utilisation d'un BRH. - Les Alluvions anciennes et les marno-calcaires sous-jacents peuvent contenir des blocs ou des bancs très durs (calcins, grès, silex, calcaire ).
11 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page Niveau d'eau Au moment de la reconnaissance (septembre 2009), le niveau d eau avait été noté entre 1,8 m et 2,8 m de profondeur soit entre 26,8 NGF et 25,8 NGF, suivant les sondages. Ces niveaux n étaient pas stabilisés. Ces niveaux correspondent à la nappe alluviale de la Seine. Le niveau de la nappe varie en fonction des saisons et du niveau de la Seine. Des circulations d eau sont également possibles dans les terrains superficiels (remblais et sables). Nous rappelons que l'intervention ponctuelle du géotechnicien ne permet qu'une approche du niveau d'eau à un moment donné, sans possibilité d'apprécier la variation inéluctable des nappes et circulations qui dépend notamment des conditions météorologiques. Pour obtenir des indications plus précises, une étude hydrologique pourra être confiée le cas échéant à un bureau d'études spécialisé. A titre indicatif, nous rappelons les cotes des crues de la Seine au droit du Pont Royal : Retenue normale RN : NGF Crue centennale 1910 : NGF Crue cinquantennale 1955 : NGF Crue décennale 1982 : NGF Le quai du port de la conférence se situe en zone rouge d après le PPRI de la ville de Paris. Il s agit d une zone inondable dite «zone de grand écoulement».
12 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 12 Extrait de la carte du PPRI de la ville de PARIS 8 ème arrondissement :
13 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page Caractéristiques mécaniques Essais pressiométriques Les 23 essais pressiométriques réalisés dans les 4 sondages pressiométriques permettent de caractériser mécaniquement les formations identifiées précédemment. Les remblais ont été caractérisés par 18 essais pressiométriques qui se répartissent de la façon suivante : - Module pressiométrique : 0,8 MPa E M 51,3 MPa - Pression limite nette : 0,10 MPa p l * 5,09 MPa Ces caractéristiques pressiométriques sont représentatives de terrains médiocres avec des tenues mécaniques hétérogènes. Ces matériaux sont de composition aléatoire avec des passages très durs et des passages fortement décomprimés. Les alluvions anciennes ont été caractérisées par 5 essais pressiométriques. - Module pressiométrique : 10,8 MPa E M 115,4 MPa - Pression limite nette : 0,71 MPa p l * 6,97 MPa Cette formation présente des caractéristiques mécaniques moyennes à très bonnes.
14 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page Synthèse des paramètres de forages Au cours de la campagne de sondages complémentaires, nous avons enregistré les paramètres de forage de tous les sondages réalisés. a) Présentation Les paramètres de forages ont été enregistrés en continu à l aide d un appareil de type Explofor LUTZ. Ils sont les suivants : - Pression de poussée (bar) - Pression de retenue (bar) - Pression d injection du fluide de forage (bar) - Pression de rotation (bar) - Vitesse instantanée d avancement de l outil de forage (m/h) La pression de poussée représente la pression que la machine exerce sur l outil de forage. Elle dépend évidemment de la compacité des sols rencontrés et doit être analysée conjointement avec les autres paramètres (pression d injection, vitesse d avancement). La pression d injection du fluide de forage donne des indications sur la nature des terrains traversés. Elle augmente lors de la traversée de terrains argileux peu perméables et diminue dans les terrains sableux et perméables. La vitesse d avancement de l outil de forage est inversement proportionnelle à la résistance opposée par le terrain. Elle augmente dans les terrains plus tendres et diminue dans les terrains plus durs. Elle doit être analysée conjointement avec pression sur l outil et la pression d injection. Lors de la traversée de zones très décomprimées ou de vides francs, la pression d injection diminue brutalement ; par contre, la vitesse d avancement augmente fortement. Nota : Pour chaque sondage, un étalonnage de chute du système de forage est réalisé : - En haut du sondage (EH), - En fin de sondage (EB).
15 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 15 Zone de l affaissement émissaire n 2 : SP1 Les valeurs de vitesse d avancement mesurées sur 1,5 m de hauteur correspondent à l avant-trou réalisé pour la localisation des réseaux enterrés et la reconnaissance de la structure du quai. Le sondage SP1, met en évidence un passage décomprimé entre 1,5 m et 3 m de profondeur avec des valeurs de l ordre de 900 m/h. Au-delà, les vitesses sont inférieures à 500 m/h jusqu à 5 m de profondeur environ. Deux passages un peu plus faibles sont observés entre 5 m et 7 m de profondeur et entre 8 m et 9 m de profondeur avec des vitesses d avancement de l ordre de 500 m/h. Ces valeurs sont concordantes avec les caractéristiques mécaniques obtenues par les essais pressiométriques dans ce sondage. Le toit de l exutoire se situe vers 3,5 m de profondeur sous le niveau du quai. Nous observons donc des passages décomprimés au-dessus du toit de cet émissaire, sur 1,5 m de hauteur environ. Zone de référence : SP2 Les valeurs de vitesse d avancement mesurées sur 1,5 m de hauteur correspondent à l avant-trou réalisé pour la localisation des réseaux enterrés et la reconnaissance de la structure du quai. Les enregistrements de paramètre de forage montrent des passages fortement décomprimés au droit du sondage SP2. En effet, les vitesses d avancement sont de l ordre de 1000 à 1200 m/h. ces valeurs sont en accord avec les caractéristiques mécaniques médiocres obtenues dans les essais pressiométriques.
16 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 16 Zone de l émissaire n 3 : SP3 Cette zone présente des valeurs de vitesse d avancement régulière de l ordre de 500 m/h. Il n y a pas de zones d anomalies significatives dans le sondage. Cependant, les caractéristiques mécaniques des terrains sont médiocres. Zone suspecte : SP4 Cette zone présente des valeurs de vitesse d avancement faibles inférieures à 100 m/h. Ces valeurs sont concordantes avec les bonnes caractéristiques mécaniques des terrains obtenues dans les essais pressiométriques. Cette zone (au droit du sondage SP4) n est donc pas concernée par des problèmes de passages décomprimés.
17 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page Résultats des essais de laboratoire Sondages Profondeur de prélèvements (m) Matériaux Teneur en eau Wn (%) VBS Analyse granulométrique 50 mm(%) 2 mm (%) 80 µm (%) Classification GTR RF RF Sables et graviers beiges Sables et graviers beiges gris B B3 RF Sables fins beiges A1 RF RF Sables limoneux beiges marron Sables et graviers marneux B B3 SC H Sales et graviers liant marneux B3 Nous avons classé le matériau prélevé au droit du sondage RF3 en A1 suivant le GTR 92. Cette catégorie correspond à des silts alluvionnaires peu plastiques. Le guide précise que ce sont ces «sols changent brutalement de consistance pour de faibles variations de teneurs en eau». Nous avons classé les matériaux prélevés au droit des autres fouilles en B3 suivant le GTR 92. Il s agit de graves silteuses. Ces matériaux ont une proportion d éléments fins inférieure à 12%.
18 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page Fouilles de reconnaissance de la structure du quai Nous avons réalisé 5 fouilles de reconnaissances de la structure du quai. Ces fouilles ont été réalisée à la pelle pioche et au marteau piqueur. Elles sont descendues jusqu à 0,3 m et 0,5 m de profondeur suivant les fouilles pour la reconnaissance de la structure de chaussée et prolongées à 1,5 m pour la prise d échantillons et la localisation d éventuels réseaux enterrés. Nous retrouvons quasiment la même structure du quai au droit des 5 fouilles réalisées : Une couche d enrobé de 0,10 m d épaisseur environ ; Un horizon composé de pavés de grès rectangulaire, de tailles différentes entre 0,07 m et 0,25 m suivant les fouilles ; Les sables et graviers beiges avec des passages fins. Des passages sablo-limoneux beiges à marron avec des racines et des radicelles sont reconnus dans la fouille RF4. Les schémas de ces fouilles ainsi que les photos sont présentés en annexe.
19 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page ANALYSE CRITIQUE DES RESULTATS A l issu de cette campagne de reconnaissance, nous avons mis en évidence la présence de terrains très décomprimés à l arrière des émissaires. Les analyses en laboratoire ont montré qu il s agit de matériaux comportant un pourcentage de fines inférieur à 12%. Ces éléments laissent donc présumer un entrainement de fines à l arrière de l émissaire avec une décompression des terrains sus-jacents. Le phénomène d affaissement observé en 2003, au droit de l émissaire n 2 pourrait se reproduire à l arrière de l émissaire n 3 compte tenu de la présence de matériaux fins de tenue mécanique médiocre. De plus, la zone de l émissaire n 2, n est pas comp lètement comblée puisque nous avons mis en évidence des matériaux décomprimés sur 1,5 m d épaisseur environ. La zone de référence présente des anomalies avec des terrains fortement décomprimés au droit du sondage. Cette zone pourrait faire l objet d affaissement au cours du temps. Les zones 4 et 5 sont des zones qui ne présentent pas d anomalies significatives. Seul le sondage SP4 a mis en évidence les alluvions quaternaires dès 2 m de profondeur.
20 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page PROPOSITION DE PRINCIPES DE CONFORTEMENT D après les informations que vous nous avez fournies, les émissaires mis en évidence sont usagés et ne sont pas en service. Un comblement de ces émissaires sera réalisé au moyen d un coulis de gros béton depuis le haut du quai, afin de stopper les entrainements de matériaux vers le lit de la Seine. Le béton pourra être mis en œuvre par l intermédiaire d un tube plongeur. Précédemment à ce comblement, il pourra s avérer nécessaire de réaliser un curage du fond de ces émissaires. Une fois l émissaire comblé, il conviendra de procéder à l injection des terrains décomprimés situés à l arrière de l émissaire. Les travaux de comblement et de renforcement seront également réalisés au niveau de la zone du sondage SP2 présentant des zones fortement décomprimées. Pour cela, deux techniques d injection sont envisageables : Soit une injection simple par forage. Il conviendra de s assurer de la compatibilité des matériaux injectés vis-à-vis des contraintes environnementales. Soit un renforcement de sol par Jet-grouting. Ce procédé consiste à déstructurer un sol et à le mélanger ou le remplacer partiellement par un agent de cimentation. La déstructuration s opère par l intermédiaire d un jet de fluide à haute énergie. Le fluide peut être l agent de cimentation lui-même. Schéma du principe :
21 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 21 Dans l un ou l autre des cas, il conviendra d établir un maillage soigné afin de garantir une bonne répartition du renforcement de sol. Des essais de contrôle seront réalisés à l issu des travaux d injection. Concernant la structure de chaussée du quai, il conviendra une fois les objectifs d utilisation et de circulation (trafic, nombre poids lourds / jours ) fixés de procéder à une étude spécifique de démolition et de reconstruction de la structure de chaussée du quai. Ce rapport conclut la mission G 5 qui nous a été confié par cette affaire. Selon l'enchaînement des missions au sens de la norme NF P , l'élaboration du projet géotechnique nécessite une mission de type G2, les études géotechniques d'exécution doivent être établies dans le cadre d'une mission G3 et une mission G4 de suivi géotechnique d'exécution des travaux doit être réalisée. Nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire. Dressé par l Ingénieur soussigné, C.NEUMANN Y.CHARLERY
22 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 22 Classification et enchaînement des missions types d ingéniérie géotechnique (Norme NF P ) Tout ouvrage est en interaction avec son environnement géotechnique. C'est pourquoi, au même titre que les autres ingénieries, l'ingénierie géotechnique est une composante de la maîtrise d'œuvre indispensable à l'étude puis à la réalisation de tout projet. Le modèle géologique et le contexte géotechnique général d'un site, définis lors d'une mission géotechnique préliminaire, ne peuvent servir qu'à identifier des risques potentiels liés aux aléas géologiques du site. L'étude de leurs conséquences et de leur réduction éventuelle ne peut être faite que lors d'une mission géotechnique au stade de la mise au point du projet : en effet, les contraintes géotechniques de site sont conditionnées par la nature de l'ouvrage et variables dans le temps, puisque les formations géologiques se comportent différemment en fonction des sollicitations auxquelles elles sont soumises (géométrie de l'ouvrage, intensité et durée des efforts, cycles climatiques, procédés de construction, phasage des travaux notamment). L'ingénierie géotechnique doit donc être associée aux autres ingénieries, à toutes les étapes successives d'étude et de réalisation d'un projet, et ainsi contribuer à une gestion efficace des risques géologiques afin de fiabiliser le délai d'exécution, le coût réel et la qualité des ouvrages géotechniques que comporte le projet. L'enchaînement et la définition synthétique des missions types d'ingénierie géotechnique sont donnés dans les tableaux 1 et 2. Les éléments de chaque mission sont spécifiés dans les chapitres 7 à 9 (de la norme). Les exigences qui y sont présentées sont à respecter pour chacune des missions, en plus des exigences générales décrites au chapitre 5 de la présente norme. L'objectif de chaque mission, ainsi que ses limites, sont rappelés en tête de chaque chapitre. Les éléments de la prestation d'investigations géotechniques sont spécifiés au chapitre 6 (de la norme). Tableau 1 - Schéma d'enchaînement des missions types d'ingénierie géotechnique Étape Phase d'avancement du projet Missions d'ingénierie géotechnique Objectifs en termes de gestion des risques liés aux aléas géologiques Prestations d'investigations géotechniques * 1 2 Étude préliminaire Étude d'esquisse Avant projet Projet Assistance aux Contrats de Travaux (ACT) 3 Exécution Étude géotechnique préliminaire de site (G11) Étude géotechnique d'avant-projet (G12) Étude géotechnique de projet (G2) Étude et suivi géotechniques d'exécution (G3) Supervision géotechnique d'exécution (G4) Première identification des risques Identification des aléas majeurs et principes généraux pour en limiter les conséquences Fonction des données existantes Fonction des données existantes et de l'avant-projet Identification des aléas Fonction des choix importants et dispositions pour constructifs en réduire les conséquences Identification des aléas résiduels et dispositions pour en limiter les conséquences Fonction des méthodes de construction mises en œuvre Fonction des conditions rencontrées à l'exécution Cas particulier Étude d'un ou plusieurs éléments géotechniques spécifiques Diagnostic géotechnique (G5) Analyse des risques liés à ces éléments géotechniques Fonction de la spécificité des éléments étudiés * NOTE À définir par l'ingénierie géotechnique chargée de la mission correspondante. Tableau 2 «Classification des missions types d ingénierie géotechnique» en page suivante (Décembre 2006)
23 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 23 Classification des missions types d ingénierie géotechnique (Norme NF P ) L'enchaînement des missions d'ingénierie géotechnique doit suivre les étapes d'élaboration et de réalisation de tout projet pour contribuer à la maîtrise des risques géologiques. Chaque mission s'appuie sur des investigations géotechniques spécifiques. Il appartient au maître d'ouvrage ou à son mandataire de veiller à la réalisation successive de toutes ces missions par une ingénierie géotechnique. ÉTAPE 1 : ÉTUDES GÉOTECHNIQUES PREALABLES (G1) Ces missions excluent toute approche des quantités, délais et coûts d'exécution des ouvrages géotechniques qui entre dans le cadre d'une mission d'étude géotechnique de projet (étape 2). Elles sont normalement à la charge du maître d'ouvrage. ÉTUDE GÉOTECHNIQUE PRÉLIMINAIRE DE SITE (G11) Elle est réalisée au stade d'une étude préliminaire ou d'esquisse et permet une première identification des risques géologiques d'un site : - Faire une enquête documentaire sur le cadre géotechnique du site et l'existence d'avoisinants avec visite du site et des alentours. - Définir un programme d'investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats. - Fournir un rapport avec un modèle géologique préliminaire, certains principes généraux d'adaptation du projet au site et une première identification des risques. ÉTUDE GÉOTECHNIQUE D'AVANT PROJET (G12) Elle est réalisée au stade de l'avant projet et permet de réduire les conséquences des risques géologiques majeurs identifiés : - Définir un programme d'investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats. - Fournir un rapport donnant les hypothèses géotechniques à prendre en compte au stade de l'avant-projet, certains principes généraux de construction (notamment terrassements, soutènements, fondations, risques de déformation des terrains, dispositions générales vis-à-vis des nappes et avoisinants). Cette étude sera obligatoirement complétée lors de l'étude géotechnique de projet (étape 2). ÉTAPE 2 : ÉTUDE GÉOTECHNIQUE DE PROJET (G2) Elle est réalisée pour définir le projet des ouvrages géotechniques et permet de réduire les conséquences des risques géologiques importants identifiés. Elle est normalement à la charge du maître d'ouvrage et peut être intégrée à la mission de maîtrise d'œuvre générale. Phase Projet - Définir un programme d'investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats. - Fournir une synthèse actualisée du site et les notes techniques donnant les méthodes d'exécution proposées pour les ouvrages géotechniques (notamment terrassements, soutènements, fondations, dispositions vis-à-vis des nappes et avoisinants) et les valeurs seuils associées, certaines notes de calcul de dimensionnement niveau projet. - Fournir une approche des quantités/délais/coûts d'exécution de ces ouvrages géotechniques et une identification des conséquences des risques géologiques résiduels. Phase Assistance aux Contrats de Travaux - Établir les documents nécessaires à la consultation des entreprises pour l'exécution des ouvrages géotechniques (plans, notices techniques, cadre de bordereau des prix et d'estimatif, planning prévisionnel). - Assister le client pour la sélection des entreprises et l'analyse technique des offres. ÉTAPE 3 : EXÉCUTION DES OUVRAGES GÉOTECHNIQUES (G3 et G4, distinctes et simultanées) ÉTUDE ET SUIVI GÉOTECHNIQUES D'EXÉCUTION (G3) Se déroulant en 2 phases interactives et indissociables, elle permet de réduire les risques résiduels par la mise en œuvre à temps de mesures d'adaptation ou d'optimisation. Elle est normalement confiée à l'entrepreneur. Phase Étude - Définir un programme d'investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats. - Étudier dans le détail les ouvrages géotechniques : notamment validation des hypothèses géotechniques, définition et dimensionnement (calculs justificatifs), méthodes et conditions d'exécution (phasages, suivis, contrôles, auscultations en fonction des valeurs seuils associées, dispositions constructives complémentaires éventuelles), élaborer le dossier géotechnique d'exécution. Phase Suivi - Suivre le programme d'auscultation et l'exécution des ouvrages géotechniques, déclencher si nécessaire les dispositions constructives prédéfinies en phase Etude. - Vérifier les données géotechniques par relevés lors des excavations et par un programme d'investigations géotechniques complémentaire si nécessaire (le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats). - Participer à l'établissement du dossier de fin de travaux et des recommandations de maintenance des ouvrages géotechniques. SUPERVISION GÉOTECHNIQUE D'EXÉCUTION (G4) Elle permet de vérifier la conformité aux objectifs du projet, de l'étude et du suivi géotechniques d'exécution. Elle est normalement à la charge du maître d'ouvrage. Phase Supervision de l'étude d'exécution - Avis sur l'étude géotechnique d'exécution, sur les adaptations ou optimisations potentielles des ouvrages géotechniques proposées par l'entrepreneur, sur le programme d'auscultation et les valeurs seuils associées. Phase Supervision du suivi d'exécution - Avis, par interventions ponctuelles sur le chantier, sur le contexte géotechnique tel qu'observé par l'entrepreneur, sur le comportement observé de l'ouvrage et des avoisinants concernés et sur l'adaptation ou l'optimisation de l'ouvrage géotechnique proposée par l'entrepreneur. DIAGNOSTIC GÉOTECHNIQUE (G5) Pendant le déroulement d'un projet ou au cours de la vie d'un ouvrage, il peut être nécessaire de procéder, de façon strictement limitative, à l'étude d'un ou plusieurs éléments géotechniques spécifiques, dans le cadre d'une mission ponctuelle. - Définir, après enquête documentaire, un programme d'investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats. - Étudier un ou plusieurs éléments géotechniques spécifiques (par exemple soutènement, rabattement, causes géotechniques d'un désordre) dans le cadre de ce diagnostic, mais sans aucune implication dans d'autres éléments géotechniques. Des études géotechniques de projet et/ou d'exécution, de suivi et supervision, doivent être réalisées ultérieurement, conformément à l'enchaînement des missions d'ingénierie géotechnique, si ce diagnostic conduit à modifier ou réaliser des travaux. (Décembre 2006)
24 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 24 ANNEXES Abréviations utilisées sur les coupes de sondages Présentation des essais pressiométriques Plan de situation Coupes géotechniques Fouilles de reconnaissance de la structure de chaussée du quai Photographie de l échantillon intact Résultats des essais en laboratoire Plan d implantation des sondages
25 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 25 ABREVIATIONS UTILISEES SUR LES COUPES DE SONDAGES Outils de forage (diamètres en mm) T 64 : taillant de diamètre 64 mm T 89 : taillant de diamètre 89 mm CB 60 : carottier battu de diamètre 60 mm CB 90 : carottier battu de diamètre 90 mm CR 101 : carottier rotatif de diamètre 101 mm CR 116 : carottier à câble de diamètre 116 mm CPS 90 : carottier à piston stationnaire diamètre 90 mm Tar 63 : tarière mécanique de diamètre 63 mm Tar 90 : tarière mécanique de diamètre 90 mm TàM 60 : tarière à main de diamètre 60 mm Tubage (diamètre intérieur en mm/diamètre extérieur en mm) 68/83-98/ /140 Divers PM E B A GSP EI : pelle mécanique : eau : boue de bentonite : air : boue de forage : échantillon intact Sonde P STD : pieu lanterné : standard métallique Nivellement NGF NI : nivellement général de la France : nivellement indépendant
26 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 26 PRESENTATION DES ESSAIS PRESSIOMETRIQUES E M (MPa) : Le module pressiométrique standard défini, par analogie avec le module de compression simple dans la théorie pseudo - élastique, à l expansion d une cavité cylindrique soumise à une pression croissante et calculé dans la première phase de l essai où l augmentation relative du diamètre de la sonde est proportionnelle à l augmentation de la pression. p f (MPa) : La pression de fluage, pression à partir de laquelle les tassements différés prennent une valeur importante par rapport aux tassements quasi-instantanés. C est la fin de la phase pseudo - élastique. p f est déterminé par l étude de l évolution de l augmentation du rayon de la sonde à pression constante en fonction du temps. p l (MPa) : La pression limite à partir de laquelle le terrain est en équilibre limite indifférent (écoulement semi - visqueux) dans une zone de rayon croissant avec le temps autour de la sonde, les variations de volume correspondantes étant encaissées par les déformations «élastiques» du terrain extérieur jusqu à l infini. p 0 (MPa) : La contrainte horizontale préexistante dans le terrain en son état initial, c est à dire au moment de la réalisation des essais pressiométriques et au niveau du plan de pose de la fondation. Si H est la profondeur de pose par rapport au terrain naturel et H s la profondeur de la nappe, la hauteur de terrain immergé au-dessus du plan de pose sera : H i = H - H s Soit : γ' le poids volumique immergé du sol γ le poids volumique apparent du sol hors nappe γ w le poids volumique de l eau le coefficient de poussée des terres au repos. K 0 Nous avons alors : p 0 = K 0.(γ.H s + γ'.h i ) + γ w.h i où K 0 est le coefficient de poussée des terres au repos qui est théoriquement de la forme : K 0 = ν/(1-ν) avec ν = coefficient de Poisson Comme en général dans un sol on a # 1/3 on en déduit K o # 1/2 D où la forme pratique : p 0 = (γ.h s + γ'.h i )/2 + γ w.h i
27 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 27 Plan de situation
28 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 28 Coupes géotechniques ZONE DE L EMISSAIRE N 2
29 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 29
30 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 30
31 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 31
32 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 32 ZONE DE REFERENCE
33 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 33
34 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 34
35 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 35
36 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 36 ZONE DE L EMISSAIRE N 3
37 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 37
38 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 38
39 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 39
40 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 40 ZONE SUSPECTE
41 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 41
42 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 42
43 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 43
44 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 44 Relevé des fouilles de reconnaissance de la structure de chaussée du quai
45 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 45
46 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 46 Photographies de l échantillon intact
47 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 47 NOTATION DES ESSAIS DE LABORATOIRE w % γ γd γs w L IP IP % c u ϕ u c' ϕ' R c e C c C s : teneur en eau naturelle : poids volumique humide : poids volumique du sol sec : poids volumique des particules solides : limite de liquidité : limite de plasticité : indice de plasticité : résistance au cisaillement du sol non drainé : angle de frottement du sol non drainé : cohésion effective : angle de frottement effectif : résistance à la compression simple : indice des vides : indice de compression : indice de gonflement Dmax : diamètre maximal des grains du sol Refus à 2 mm : pourcentage de matériaux ayant une dimension supérieure à 2 mm Passant à : pourcentage de matériaux ayant une dimension 80µ m inférieure à 80µm GTR : classification du sol suivant le Guide Technique LCPC-SETRA
48 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 48
49 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 49
50 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 50
51 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 51
52 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 52
53 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 53
54 Diagnostic géotechnique AF.IP Ind.A page 54 Plan d implantation des sondages
55
56
57
58
MR.12-0255 Pièce n 001 COMMUNAUTE DE COMMUNES DE LA THIERACHE D AUMALE
Reims Tél. 03 26 82 13 00 COMMUNAUTE DE COMMUNES DE LA THIERACHE D AUMALE MR.12-0255 Pièce n 001 WASSIGNY (02) Espace dédié au télétravail, à la téléconférence et à la téléformation Rue Maillard Etude
Plus en détailINSPECTION GÉNÉRALE DES CARRIÈRES. du 15 janvier 2003
INSPECTION GÉNÉRALE DES CARRIÈRES du 15 janvier 2003 Travaux de consolidations souterraines exécutés par injection pour les carrières de Calcaire Grossier, de gypse, de craie et les marnières 3, AVENUE
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailLe Mans - Tél. 02 43 87 53 64. AMA14.192 Pièce n 001. YVRÉ L ÉVÊQUE (72) Centre commercial Étude géotechnique G2-AVP
Le Mans - Tél. 02 43 87 53 64 AMA14.192 Pièce n 001 YVRÉ L ÉVÊQUE (72) Centre commercial Étude géotechnique G2-AVP Suivi des modifications et mises à jour Rév. Date Nb pages Modifications Rédacteur Nom,
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailMécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols
Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations
Plus en détailAugmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert
Augmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert www.keller-france.com Keller Fondations Spéciales 1 Présentation du projet Avenue du Général Leclerc Data Center de
Plus en détailFormation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION
mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailETUDE DE SOL. Mission G11 (bâtiments) Mission G12 (voiries) (Norme NF P 94-500) Dossier E08RS1829
ETUDE DE SOL Etude géotechnique préliminaire ZAC de Montbeugny Toulon sur Allier et Yzeure Création d une plate forme logistique multimodale 03340 MONTBEUGNY Mission G11 (bâtiments) Mission G12 (voiries)
Plus en détailL'apport du logiciel ANGELINE aux études géotechniques de tracés
L'apport du logiciel ANGELINE aux études géotechniques de tracés Hervé HAVARD Directeur adjoint Laboratoire Régional des Ponts et Chaussées d'angers Gilles SINOIR Technicien supérieur Division Informatique
Plus en détailDéformabilité des sols. Tassements. Consolidation
Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailä ãéåíë=åä ë=çé=äû~ëëìê~ååé=èì~äáí =ÇÉë= ÅçìÅÜÉë=ÇÉ=ÑçêãÉ=íê~áí Éë=
= Note d'information ^ìíéìêë=w=p íê~= o ëé~ì=`bqb= à~åîáéê=ommv= = ä ãéåíë=åä ë=çé=äû~ëëìê~ååé=èì~äáí =ÇÉë= ÅçìÅÜÉë=ÇÉ=ÑçêãÉ=íê~áí Éë= `Ü~ìëë Éë= a ééåç~ååéë= NNU= Les différents guides techniques et autres
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détailAvant d aller à la recherche d un terrain
Choisir un terrain Bien choisir un terrain pour construire une maison solide Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité de la construction.
Plus en détailESSAIS DE CHARGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POUR FONDATIONS PROFONDES A L INES
ESSAIS DE CHAGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POU FONDATIONS POFONDES A L INES Dynamic load testing and static compression test on fondation pile at the INES Jérôme GIPPON 1, aphaël DE TOUY 2 1 FANKI FONDATION
Plus en détailSouscription des assurances construction par un maître d ouvrage public
Souscription des assurances construction par un maître d ouvrage public Octobre 2013 1 / 24 SOMMAIRE 1) LE PROCESSUS DE SOUSCRIPTION 1.1) Quand souscrire les assurances construction? 1.2) Quels sont les
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailassociation française du gaz
association française du gaz RECOMMANDATIONS TECHNIQUES POUR LES TRAVAUX A PROXIMITÉ DES OUVRAGES DE DISTRIBUTION DU GAZ Partie 1 : prescriptions générales Article 10 du décret n 91-1147 du 14.10.1991
Plus en détailTRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES. Joseph ABDO
TRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES Joseph ABDO LE CONTEXTE LA ROUTE, UNE NÉCESSITN CESSITÉ La route : moyen de communication nécessaire au développement. - Mais, sa construction et son
Plus en détailLES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES
LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES THE SILTS FROM THE LOIRE RIVER: MODELLING OF CONSOLIDATION EFFECTS ON EXISTING INFRASTRUCTURE Sébastien
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailP. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009
à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution
Plus en détailRAPPORT D ÉTUDE 16/04/2007 DRS-07-86090-05803A. Évaluation et traitement du risque de fontis lié à l exploitation minière
RAPPORT D ÉTUDE 16/04/2007 DRS-07-86090-05803A Évaluation et traitement du risque de fontis lié à l exploitation minière Evaluation et traitement du risque de fontis lié à l exploitation minière Direction
Plus en détailINTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN
I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers
Plus en détaild'une EXTRACTION AVEC RABATTEMENT DE NAPPE
ENTREPRISE CHAPELLE S.A. ROUTE DE RIOTTER - LIMAS 69400 - VILLEFRANCHE SUR SAONE /DOCUMENT NON PUBLIC/ PROJET D'IfPLAmTION D'UE GRAVIERE A CRECHES SUR SAOE (71) EXA^EN DE L INCIDENCE SUR DES OUVRAGES DE
Plus en détailMise aux normes PMR de la zone publique CCTP DCE - 1 SOMMAIRE 1 GENERALITES... 2
Mise aux normes PMR de la zone publique CCTP DCE - 1 Travaux d aménagement de bureaux Lot n 02 Démolitions extérieures Gros-œuvre Au siège de la MSA LORRAINE à VANDOEUVRE (54500) SOMMAIRE 1 GENERALITES...
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailConsolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER
Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur
Plus en détailDIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE
DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE RAILWAY TRACK QUALITY ASSESSMENT: CASE STUDY OF A NEW
Plus en détailAuscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux
Auscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux Des ingénieurs spécialisés enrichissant depuis plus de 15 ans une expérience unique du Géoradar et des techniques non destructives.
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détail5 STATIQUE. 5.1 Généralités
5.1 Généralités 5.1.1 Introduction Pour remplir sa mission en tant que conduite d'évacuation il faut qu'une conduite réponde également aux exigences de statique. La statique possède une influence sur le
Plus en détailPrésentations de la 7 e matinée Décennale SCOR. Assurance des éoliennes terrestres
Présentations de la 7 e matinée Décennale SCOR Assurance des éoliennes terrestres Sommaire Préface 3 1 Développement de projets éoliens terrestres 4 2 Assurance des projets éoliens terrestres en France
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailCANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE
CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.
Plus en détailAIDE AU CHOIX DES GRANULATS POUR CHAUSSEES BASEE SUR LES NORMES EUROPEENNES
N 10 Janvier 2005 Cftr - info AIDE AU CHOIX DES GRANULATS POUR CHAUSSEES BASEE SUR LES NORMES EUROPEENNES La présente note d information a pour objet d'aider les maîtres d'ouvrage à choisir les granulats
Plus en détailAssistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête
Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête 74 RUE DE VIENNE, 27140 GISORS RAPPORT DE DIAGNOSTIC DES SONDAGES REALISES DANS LA SALLE DE PROJECTION 0. TABLE DES MATIERES 0. Table des matières...
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailLE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU
LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU Mesures Interprétations - Appliations Doument rédigé par des ingénieurs géotehniiens de GINGER CEBTP sous la diretion de : Mihel KHATIB Comité de releture : Claude-Jaques
Plus en détailConstruire des Ouvrages d'art en Béton
Construire des Ouvrages d'art en Béton Les contrôles a à posteriori postériori B. Clément (DLA) 19-20 janvier 2011 SOMMAIRE Pourquoi des essais Les types d'essais Les essais Conclusion 2 POURQUOI DES ESSAIS
Plus en détailPROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3
ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation
Plus en détailBRGM. Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93. Lieu-dit "Varachamp" M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET. Document non public
BRGM Commune de VILLE-sur-ILLON (Vosges) Etude d'aptitude des sols pour la réalisation d'un lagunage Lieu-dit "Varachamp" M. ALLEMMOZ J. CHEVALIER B. POLLET Avril 1993 R 37123 NAC 4S 93 Document non public
Plus en détail«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détailInrap / Les étapes de l archéologie préventive
Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailMESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation
COMITÉ FRANÇAIS DE MÉCANIQUE DES SOLS Journée «HYDRAULIQUE» du 23-01-2002 MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure,
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailPoint n 3 de l ordre du jour. Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les Conseillers généraux,
Point n 3 de l ordre du jour Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit de Fr. 111'456.- pour la réfection des pieux du débarcadère d Auvernier Monsieur le président,
Plus en détailInstitut Des Routes, des Rues et des Infrastructures pour la Mobilité COMPOMAC R (M2)
Institut Des Routes, des Rues et des Infrastructures pour la Mobilité Avis technique N 153 Mars 2010 Validité : 7 ans CHAUSSéES COMPOMAC R (M2) P2 P6 ENROBéS SPéCIAUX Sommaire Présentation du produit par
Plus en détailLe point de vue du contrôleur technique
Le point de vue du contrôleur technique mars 2010 P-E Thévenin Contrôle technique en zone sismique le contrôle technique missions et finalité contrôle technique obligatoire les attestations PS de contrôle
Plus en détailDocument Technique d Application
Document Technique d Application Référence Avis Technique 13/15-1273 Annule et remplace le Document Technique d Application 13/12-1140*V1 Chape non destinée à l enrobage de planchers chauffants Chape fluide
Plus en détailLes fondations des ouvrages de l'autoroute A 86 au sud de Paris
Les fondations des ouvrages de l'autoroute A 86 au sud de Paris Jean-Pierre GIGAN Ingénieur Chef de la section de mécanique des sols Bernard POUPELLOZ Ingénieur ENSG Laboratoire régional de l'est parisien
Plus en détailSSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :
Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite
Plus en détailATLAS questionnaire -DO
Questionnaire d'étude d'assurances constructions ATLAS questionnaire -DO Créé le : 13/05/2015 1/13 Questionnaire d'étude assurance de la construction Ce formulaire n'est pas un document contractuel et
Plus en détailMonitoring et suivi du comportement des chaussées
Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailC0nstruire une mais0n. Sommaire
Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire
Plus en détailMINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES. Boite Postale 6009-45018 ORLÉANS CEDEX - Tél. (38) 63.80.01
MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE CEOLOCIQUE NATIONAL Boite Postale 6009-45018 ORLÉANS CEDEX - Tél. (38) 63.80.01 A.S.A. DES PRODUCTEURS DE SEMENCES DE MAIS
Plus en détailPlan de modernisation des installations industrielles
Plan de modernisation des installations industrielles 1 Sommaire 1 - Contexte - Introduction 2 - Réglementation 3 - Périmètre 4 - Guides techniques 5 - Synthèse : périmètre-actions 2 1 Contexte - Introduction
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SikaLatex
FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide
Plus en détailla phase Études Nos précédents dossiers sur l économie de projet portaient sur les études préliminaires et le choix de la Économie de projet
Octobre 2013 - N 165 Économie de projet la phase Études Foyer d accueil médicalisé à Challans en Vendée Nos précédents dossiers sur l économie de projet portaient sur les études préliminaires et le choix
Plus en détailMise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes
RECOMMANDATION R 446 Recommandation adoptée par le comité technique national du bâtiment et des travaux publics lors de sa réunion du 14 mai 2009. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailParois industrielles préfabriquées. Willy Naessens 61
Parois industrielles préfabriquées Willy Naessens 61 Dans le domaine de la préfabrication, les parois préfabriquées en béton offrent une solution efficace pour toutes façades extérieures et cloisonnements
Plus en détailComité de suivi collège Galilée du 08 octobre 2014
Comité de suivi collège Galilée du 08 octobre 2014 Comité de suivi collège Galilée du 8 octobre 2014 1. Historique 1995 2014 2. Diagnostic structure : rapport intermédiaire octobre 2014 3. Gestion de la
Plus en détailSOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM
SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailQuelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détailBéton. Fig. 1- Essai d'étalement sur table
Béton TD 1- Essai d'étalement sur table ou Flow-table test (Norme ISO 9812) Cet essai est particulièrement adapté au béton très fluide, fortement dosé en superplastifiant. Le diamètre du plus gros granulat
Plus en détailRESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
Plus en détailDEPARTEMENT DU RHONE COMMUNE DE FEYZIN MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX. Objet de la consultation AMENAGEMENT D UN TERRAIN FAMILIAL POUR LES GENS DU VOYAGE
DEPARTEMENT DU RHONE COMMUNE DE FEYZIN MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX Objet de la consultation AMENAGEMENT D UN TERRAIN FAMILIAL POUR LES GENS DU VOYAGE Lot n 3 : Serrurerie, Clôtures Lot 3 - CCTP : CAHIER
Plus en détailRAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES. Ecole de MIRANGO I
RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES Ecole de MIRANGO I Vincent DAVID Le 21 décembre 2010 Table des matières 1- Les outils d accessibilité principalement utilisés 1-1 Les rampes d accès
Plus en détailMISSIONS D ETUDES EN STABILITE
MISSIONS D ETUDES EN STABILITE 1. Contenu des missions Les prestations du Bureau d Etudes IGRETEC peuvent être réparties en trois groupes : - études préalables ; - missions de projet : conception, étude,
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailRAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE
Bureau Alpes Contrôles bac.bourg@alpes-controles.fr - RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE REFERENCE: BT120018 indice 0 NOM DU PROCEDE: MODULES PHOTOVOLTAIQUES ASSOCIES EN POSE PORTRAIT OU PAYSAGE:
Plus en détailFiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS
Fiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS Lavogne : abreuvoir pour les troupeaux établi sur une couche d'argile imperméable. Naturelles à l'origine, elles sont souvent empierrées
Plus en détailDocument Technique d Application. Agilia sols A
Document Technique d Application Référence Avis Technique 12/09-1553*V2 Annule et remplace le Document Technique d Application 12/09-1553*V1 Intègre le modificatif 12/09-1553*02 Mod Chape fluide à base
Plus en détailLES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE
LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailÉtude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux
Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux Belkacem MOUSSAI Docteur Laboratoire de géotechnique Gérard DIDIER Docteur-Ingénieur Maître de conférences
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailVILLE DE FEYZIN ( Rhône ) Réfection d'un réseau d'évacuation d'eau usée. Place René LESCOT
VILLE DE FEYZIN ( Rhône ) MAITRE D'OUVRAGE VILLE DE FEYZIN Réfection d'un réseau d'évacuation d'eau usée Place René LESCOT CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUE PARTICULIERES (C.C.T.P) SOMMAIRE 1 OBJET DU MARCHE...3
Plus en détailLE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE
LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation
Plus en détail