Les zones à environnement contrôlé : conception, mise en place et maintien de zones à environnement contrôlé :
|
|
- Nicolas Grondin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les zones à environnement contrôlé : conception, mise en place et maintien de zones à environnement contrôlé : partie II : Les exigences du contrôle de qualité Prof. P.ODOU Institut de Pharmacie du CHRU de Lille Université Lille Nord de France Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques de Lille Laboratoire de Biopharmacie, Pharmacie Galénique et Hospitalière EA GRIIOT 35
2 Introduction Lors de la conception, les exigences du contrôle de qualité peuvent être classées en fonction de La structure Du matériel intégré Du personnel Dans le cadre de cet exposé, je ne m intéresserai qu aux exigences de la structure, les autres étant traités dans les autres exposés de ce séminaire. 36
3 Général (1) Même si la contamination particulaire et microbiologique sont des paramètres importants, ils ne sont pas les seuls pour votre contrôle de qualité lors de la mise en route d une ZEC Pour réaliser un contrôle de qualité sur les autres paramètres, il est possible de mettre en place la procédure suivante : 37
4 Général (2) La procédure est la suivante : a) Description : Pour chaque unité, la décrire et dresser une liste des unités et des salles en mentionnant la qualité de l air fourni. Données du Cahier des charges Classe : Surface (m²) : Hauteur : Pression : Température (+/- 2 C) : Humidité relative (%) : Air évacué traité : Pression d air évacué : Flux d air entrant : Vitesse moyenne dans la salle : Comparaison Données lors du contrôle 38
5 Général (3) La procédure est la suivante : b) Les éléments à contrôler : Pour chaque unité, la décrire et dresser une liste des unités et des salles en mentionnant la qualité de l air fourni. Données du Cahier des charges Ventilateurs introducteurs Les batteries chauffantes Les batteries refroidissantes Les préfiltres Les filtres HEPA. Composition des murs Etanchéité Composition des paillasses Comparaison Données lors du contrôle 39
6 Qualité de l air entrant (1) Après le filtre Préfiltre Rappel : soit la contamination moyenne d une grande ville ( 0,1 mg/m3), débit d une petite ZEC 1000 m3 /h cela correspond pour un an ( 8700 h) à : 0,1 * 1000* 8700 = 0,870 kg de poussière sur le filtre Faire ce calcul avec la contamination de l air ambiant Adapter le filtre au type de contaminant Vérifier le résultat obtenu, ne pas hésiter à mettre un deuxième filtre En fonction du type de pollution un filtre grossier ou fin peut être ajouté 40
7 Qualité de l air entrant (2) Après le préfiltre (suite) Plus la quantité de particules arrivant sur le filtre HEPA sera faible, Plus votre filtre HEPA sera protégé 1000 et plus il 870 durera un longtemps. air externe 800 Plus le coût de fonctionnement de la salle sera bas (les filtres HEPA coutent beaucoup 600 plus chers que les filtres grossiers ou fins) Moins vous aurez besoins d arrêt pour maintenance des filtres 70 d où une meilleure productivité Plus le risque de contamination microbiologique SF G4 sera F5 faible F6 F7 XPAIR : _normes/771.htm#139 Quantité (mg) arrivant sur le filtre HEPA avec contaminé à 0,1 mg/m3 avec un débit de 1000m3/h 41
8 TEST filtre HEPA (1) En Europe il existe encore deux méthodes de tests des filtres HEPA 1. Eurovent 4/4 qui utilise une particule de test de diamètre 0,65 µm 2. EN 1822 qui utilise une particule de test de diamètre 0,15-0,20 µm En pharmacie, seule l EN 1822 doit être acceptée En ce qui concerne le résultat attendu, il faut se référer en ce qui nous concerne aux classes définies dans les GMP ou BPP (en France) 42
9 Test Filtre HEPA(2) Orifice d injection MPPS Filtre HEPA Gaine d air Centrale d air ZEC Evaluation du nombre de particules passant au travers du filtre 43
10 Test Filtre HEPA (3) La norme EN 1822:2009 diffère de sa version précédente (EN 1822:1998) et inclut les éléments suivants : Test l efficacité globale Test les fuites d une une méthode de test et de classification des filtres composés de du filtre zone d un filtre médias en fibre synthétique. Classe filtres Valeur intégrale Efficacité d'épuration % Pénétration % Efficacité d'épuration % Valeur locale Pénétration % E E E12 99,5 0,5 - - H13 99,95 0,05 99,75 0,25 H14 99,995 0,005 99,975 0,025 U15 99,9995 0, ,9975 0,0025 Nouvelle classification : -E10-E12 ( ancien H10-H12) -Filtres à air particulaires efficaces -H13-H14 -Filtres à air particulaires haute efficacité - -U15-U17 -Filtres à air à pénétration ultra faible U16 99, , , ,00025 U17 99, , ,9999 0,
11 Qualité de l air dans la ZEC (1) la classification = qualification La référence à l ISO La classification doit être réalisée au repos et en activité. Equivalence des classes A, B, C, D avec les classes 45
12 Qualité de l air dans la ZEC (2) Classe BPF ISO A ISO 4.8 B ISO 5-7 C ISO 7-8 D ISO 8 Au repos En activité 0.5 µm 5 µm 0.5 µm 5 µm Non défini Non défini 46
13 Qualité de l air dans la ZEC (4) 1. qualification particulaire Le nombre de prélèvements est calculé de la manière suivante : N = Surface Le nombre de points d échantillonnage ne dépend plus de la classe de propreté. 47
14 Qualité de l air dans la ZEC (5) 1. qualification particulaire Le calcul statistique imposé par la Norme ISO est incontournable. Il vérifie l homogénéité de la propreté particulaire par un calcul de la borne supérieure de l intervalle de confiance. Procédure : 1. Calcul du nombre de points d échantillonage (P) 2. Minimum 3 échantillons par point (N). 3. Analyse statistique à réaliser obligatoirement. 48
15 Qualité de l air dans la ZEC (6) 1. qualification particulaire Détermination des moyennes Concentration moyenne par point de mesure A = (C 1 + C 2 + C 3 +..C N ) / N Concentration moyenne par point de mesure M = (A 1 + A 2 + A 3 +..A P ) / P Détermination des écarts Déviation standard (= écart type) SD = 2 2 ( A M) + ( A M) +...( A M) 1 2 P 1 P 2 Erreur standard ( erreur type) SD SE = P Calcul de la borne supérieure de confiance ( UCL) : UCL = M+SE 49
16 Qualité de l air dans la ZEC (7) 1. qualification particulaire L UCL doit être inférieur à UCL 95% Surface (m²) >841 N de point P >29 UCL 95% Hopital La multiplication des prélèvements n apportent pas d information supplémentaires mais attention augmentent le coût de la qualification 50
17 Qualité de l air dans la ZEC (8) 2. qualification microbiologique C est un vrai problème car rien n est standardisé!!! Pour votre contrôle de qualité lors de la conception, voici quelques conseils : A) Pour les prélèvements d air : i. Etablir un débit de prélèvement d environ 100 L /min ii. Faires des prélèvements dans les zones critiques iii. Eviter de faire les prélèvements dans les zones à haute vitesse ( en sortie de réseau.) 51
18 Qualité de l air dans la ZEC (9) 2. qualification microbiologique B) Pour les prélèvements de surface sur gélose : i. Utiliser des géloses à température ambiante ii. Faires des prélèvements dans les zones critiques iii. Eliminer les traces de détergeant au préalable iv. Standardiser la méthode de pression C) Pour les prélèvements de surface par écouvillonnage: i. Utiliser des écouvillons imprégnés d un liquide ii. Faires des prélèvements dans les zones critiques iii. Utiliser un masque pour déterminer la surface à tester iv. Croiser les mouvements 52
19 Qualité de l air dans la ZEC (10) 2. qualification microbiologique Donc, toute la difficulté est de définir les points critiques. Il n y a pas réellement de méthode universelle : 1. Utiliser l expérience, le bon sens 2. L analyse de risque 3. Et quelque fois, il faut se laisser guider par son «feeling» surtout lors de la phase de qualification où la ZEC n est pas forcément encore totalement connu. quelques exemples de points critiques Portes, coins, endroits avec une mauvaise aéraulique. Surface de travail recevant des Fiches de fabrication Tiroir 53
20 Autres contrôles (1) Contrôles Cascades de pression entre les salles Différences de pression en amont et aval du filtre Mesures du taux de renouvellement d air Cibles Pa Dépend de la vitesse de l air et du type de filtre Quand P double => Changement de filtre Vol/H Mesure de surpressions relatives - NF EN ISO Le principe de l essai consiste à : Vérifier la capacité de l installation dans son intégralité à maintenir la pression différentielle de l air spécifiée entre l installation et son environnement et entre les salles ou entre les salles et les zones extérieures. 54
21 Les contrôles de maintenance Spécifications pour les essais selon ISO Tests Conformité aux limites de Classes < ISO5 > ISO 5 Essais complémentaires Débit ou vitesses Pression différentielle Essai facultatifs Fuites sur filtres Visualisation flux d air Fuites de confinement Fréquences 6 mois 12 mois 12 mois 12 mois 24 mois 24 mois 24 mois 55
22 Conclusion Le contrôle de qualité est une étape primordiale dans la validation d une ZEC Le manque de rigueur à cette étape entraîne : 1) Difficulté de fonctionnement 2) Arrêt plus fréquent de maintenance 3) Risque pour la qualité des fabrications 4) Risque pour le personnel ( si produit dangereux). 56
23 En espérant que votre état n est pas celui de cette commission de discipline Merci 57
PARTIE 4 PROCESSUS DE SURVEILLANCE DES PRODUITS CERTIFIES MODIFICATIONS ET EVOLUTION
REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NFPOSTES DE SECURITE MICROBIOLOGIQUE PARTIE 4 PROCESSUS DE SURVEILLANCE DES PRODUITS CERTIFIES MODIFICATIONS ET EVOLUTION SOMMAIRE 4.1. Processus de surveillance des produits
Plus en détailMilieu, matières, matériels, méthodes : audits menés en industrie
38 dossier Retours d expérience Milieu, matières, matériels, méthodes : audits menés en industrie Par Sylvie Vandriessche, Aspec Les différents «M» du diagramme d Ishikawa correspondent à des domaines
Plus en détailClean air solutions. Industrie agroalimentaire
Clean air solutions Industrie agroalimentaire Industrie Agroalimentaire sécurité sanitaire des aliments Des causes microscopiques... L air extérieur véhicule de 200 à 1 500 bactéries au m 3. Une centrale
Plus en détailMesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15
Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter
Plus en détailA Global Solution For Green Buildings.
A Global Solution For Green Buildings. www.greenfumehood.com an product SORBONNES GREENFUMEHOOD Sécurité, performance, économies d énergie et respect de l environnement ehood m u F n e Gre tre des concen
Plus en détailHepatex CR. Le panneau à flux laminaire de référence
Hepatex CR Le panneau à flux laminaire de référence Hepatex CR Le panneau à flux laminaire de référence APPLICATIONS Conditionnement de l'air Energie Salle Propre Industriel Données clés u Efficacité de
Plus en détailTechnique de mesure de particules dans la pratique. De la théorie à l application.
Technique de mesure de particules dans la pratique. De la théorie à l application. Page 3 Page 3 Page 3 Page 4 Page 4 1 Introduction au comptage optique de particules 1.1 Principes physiques 1.1.1 Occultation
Plus en détailTraitement de l'air. en Salles propres
Traitement de l'air en Salles propres Microélectronique Aéronautique, Spatial... Agroalimentaire Plasturgie Industries de la Santé, Laboratoires, Pharmaceutique, Cosmétique, Dispositifs médicaux FRANCE
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailLa Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire.
Le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire La Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire. Protéger l environnement des hommes et des lieux, Contribuer à la sécurité des interventions
Plus en détailRegistres de fermentation lente. Critères d inspection
Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Registres de fermentation lente 1.15.0.3204 Registres de fermentation lente Registres Un échantillon
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS
CATALOGUE DES FORMATIONS 2009 CONDUITE DES PRESSES A GRANULER OUVERT A TOUS 2 sessions : 13 Janvier et 09 Juin 2009 Adhérent : 592 TTC/personne (495 H.T.) Non Adhérent : 828,82 TTC/personne (693 H.T.)
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailSystèmes de distributeurs Systèmes de distributeur selon la norme ISO 5599-1, taille 2, série 581. Caractéristiques techniques
ISO 5599-1, taille 2, série 581 Caractéristiques techniques 2 ISO 5599-1, taille 2, série 581 Systèmes de distributeurs Systèmes de distributeur, Série 581 Qn Max. = 2200 l/min Câblage individuel par enfichage
Plus en détailAnnexe 4 Bonnes pratiques de fabrication des produits pharmaceutiques : Principes généraux 1
Annexe 4 Bonnes pratiques de fabrication des produits pharmaceutiques : Principes généraux 1 Note d introduction Généralités Glossaire Gestion de la qualité dans l industrie pharmaceutique : principes
Plus en détailFiltres pour gaz et air. GF/1: Rp 1/2 - Rp 2 GF/3: DN 40 GF/4: DN 50 - DN 100 GF: DN 125 - DN 200
Filtres pour gaz et air GF/1: Rp 1/2 - Rp 2 GF/3: DN 40 GF/4: DN 50 - DN 100 GF: DN 125 - DN 200 11.02 Printed in Germany Edition 02.13 Nr. 225 676 1 8 Technique Filtres pour l'alimentation en gaz dans
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailAvec SAMSE et ses partenaires. Cetii. Les valeurs à connaitre
Coordination du lot transversal d étanchéité à l air : l ingénierie concourante Quelques astuces chantier : Chaque interface entre les lots ou interruption de la continuité d étanchéité, doivent être recueillis
Plus en détailVentilation : Mesure et réglage des débits
Ventilation : Mesure et réglage des débits Samuel Caillou Division Climat, Equipements et Performance Energétique CSTC - Pourquoi régler les débits? Pour avoir le bon débit au bon endroit Qualité d air
Plus en détailBADORIS - Document de synthèse relatif à une barrière technique de sécurité (BTS)
BADORIS - Document de synthèse relatif à une barrière technique de sécurité (BTS) Filtres à Très Haute Efficacité (THE) Version 0 juin 2006 Document élaboré par l IRSN Document de synthèse relatif à une
Plus en détailSystèmes d aspiration pour plan de travail
Systèmes d aspiration pour plan de travail Les systèmes d aspiration Nederman pour plan de travail peuvent être utilisés dans tout type d environnement en partant des postes d assemblage où des fumées
Plus en détailBâtiments bois à basse consommation d énergie. L étanchéité à l air. Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois
Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois Objectifs Performance thermique Pérennité du bâtiment Performance acoustique Protection incendie Santé Confort d été Confort ressenti
Plus en détailCHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX
FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa
Plus en détailVariantes du cycle à compression de vapeur
Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct
Plus en détailLe nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques
Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations
Plus en détailFRnOG, 25/01/2013. Marilyn, un datacenter vertical
FRnOG, 25/01/2013 Marilyn, un datacenter vertical www.celeste.fr Marilyn, un datacenter vertical Pourquoi un datacenter? Pourquoi l air? Pourquoi vertical? Qui est CELESTE? CELESTE est fournisseur d accès
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailRAPPORT DE STAGE. Effectué à. LYOCENTRE 24 avenue Georges Pompidou 15004 Aurillac. du 1 er mars au 30 aout 2011 par.
c Master 2 professionnel Procédés de production, Qualité et Contrôle des Produits de Santé VALIDATION NETTOYAGE ET DESINFECTION RAPPORT DE STAGE Effectué à LYOCENTRE 24 avenue Georges Pompidou 15004 Aurillac
Plus en détailGESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck
GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de
Plus en détailSimulation en aviation
Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en
Plus en détailChoisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos.
entreposage Choisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos. Un détecteur de gaz contribue à déterminer les mesures de prévention et l équipement de protection nécessaires dans le
Plus en détailLa gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité
La gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité 8 ème journée professionnelle de l ANTAB - 21 Octobre 2011 Fatima TOUBAIS Ingénieur qualité Accréditation des Laboratoires Direction
Plus en détailpur et silencieux dentaire
pur et silencieux dentaire de l air pur JUN-AIR a produit son premier compresseur il y a 50 ans et développé la technologie et le design qui ont fait du compresseur JUN-AIR le choix numéro UN des cabinets
Plus en détailPremi@ir Double Flux Compacte
Notice technique 04.12.068 Premi@ir - @irtwin European Ventilation Industry Association Premi@ir Double Flux Compacte Centrales monobloc plug & play avec roue de récupération, variateur de fréquence et
Plus en détailAutomobile & Mécanique agricole. Sources CNIDEP, IBGE
Automobile & Mécanique agricole Sources CNIDEP, IBGE I. Etapes de la fabrication (ou du service) et procédés utilisés L essentiel de l activité d une carrosserie consiste à réparer puis à remettre en peinture
Plus en détaildéveloppe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin.
alliance - développement - valorisation N/Réf : LET.A000.00.SAG.106149 développe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin. Grâce à son expertise de l industrie nucléaire, le service
Plus en détailEtanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42
Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air
Plus en détailCamfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001
FICHE OPÉRATION INDUSTRIE Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 CAS PRATIQUE Activité : produits et service dans le domaine de la filtration
Plus en détailDeltaCal BGI. Débitmètre étalon
Débitmètre étalon DeltaCal BGI Mesure simultanée du débit volumique, débit normalisé, température et pression Fonctionnement manuel ou automatique, optimisé pour une utilisation sur le terrain Large gamme
Plus en détailSoumise à l effet du vent, à la différence
CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détail1. Définition 2. 2. Quantité de données stockées 2. 3. La miniaturisation 3. 4. Les enjeux 4 LA MINIATURISATION ET SES CONSÉQUENCES 5
TABLE DES MATIÈRES 1. Définition 2 2. Quantité de données stockées 2 3. La miniaturisation 3 4. Les enjeux 4 LA MINIATURISATION ET SES CONSÉQUENCES 5 1. Contrainte de climatisation 5 2. Contrainte de filtration
Plus en détailEtonnamment silencieux Le nouvel
Etonnamment silencieux Le nouvel Egalement disponible avec commande en fonction de l humidité! N O U V E A U www.maico.de Pour se sentir à l aise Un produit tout à fait dans la tendance du bien-être De
Plus en détailCOMPRESSEURS DENTAIRES
FRANCE COMPRESSEURS DENTAIRES TECHNOLOGIE SILENCIEUSE MGF NOS SERVICES, NOS ENGAGEMENTS - Les pièces détachées sont disponibles sur stock dans notre site localisé en Saône-et-Loire. Envoi express en h
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailMonitEM Système de monitoring continue
MonitEM Système de monitoring continue Nouveau design : plus efficace, pour un meilleur rendement Fiche Technique Sondes interchangeables avec reconnaissance automatique. Monitoring des champs électriques
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailSe protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
Plus en détailLe chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020
Chauffe-eau thermodynamique Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Ballon de stockage ( 300 l) chaude M o d e c h a u f f a g e Q k T k Pompe à chaleur Effet utile Pompe à chaleur pour chauffer
Plus en détailLa métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart
La métrologie au laboratoire vigitemp 10 centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 Base de données Utilisateur Principe général
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailMEDIACLAVE. La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux
MEDIACLAVE La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux MEDIACLAVE La stérilisation rapide, reproductible et sûre des milieux Les milieux de culture bactérienne sont très largement utilisé,
Plus en détailChaîne de production des médicaments
Chaîne de production des médicaments GPAO : Aspects légaux et pharmaceutiques 2 Principe de base Une préparation n est entreprise que si la pharmacie possède les moyens appropriés pour la réaliser et la
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailClassification des pièces. Toutes. Supérieur et de confinement. Intermédiaire, supérieur et de confinement.
Commentaires spécifiques à certains points du formulaire de conformité. Dans la deuxième colonne, les classifications marquées en jaune sont celles pour lesquelles des changements ont été recommandés par
Plus en détailRegistre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ
Programme Lait canadien de qualité des Producteurs laitiers du Canada Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Utiliser avec le Registre et le Calendrier de DGI pour des dossiers
Plus en détailQualité des environnements intérieurs. 5. Extraction localisée. 5.1 Extraction localisée de base Condition préalable
Nombre minimal de point requis = 6; 1. Évacuation des gaz de combustion 1.1 Mesures de base pour évacuer les gaz de combustion Condition préalable Il n y a aucun appareil de combustion qui n est pas raccordé;
Plus en détailSystème de Pulvérisation à Chaud AccuCoat : La Solution pour les Applications d Enrobage
Nozzles Control Analysis Fabrication Système de Pulvérisation à Chaud AccuCoat : La Solution pour les Applications d Enrobage Une Technologie de Pulvérisation Avancée Garantit un Contrôle Précis de la
Plus en détailThermorégulateurs Series 5 et Series 4. Exciting technology!
Thermorégulateurs Series 5 et Series 4 Exciting technology! surveillance entièrement automatique du process menu interactif multilingue circuit fermé à l'abri du contact avec l'oxygène de l'air refroidissement
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailQuestionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise
Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise La politique environnementale
Plus en détailWWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale
WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailREF01 Référentiel de labellisation des laboratoires de recherche_v3
Introduction Le présent référentiel de labellisation est destiné aux laboratoires qui souhaitent mettre en place un dispositif de maîtrise de la qualité des mesures. La norme ISO 9001 contient essentiellement
Plus en détailINTRODUCTION AU LEAN MANUFACTURING
INTRODUCTION AU LEAN MANUFACTURING p.1 Les principes de l entreprise lean 1) Spécifier la valeur pour le client 2) Ne transférer que des produits bons 3) Eliminer le gaspillage, par une remise en cause
Plus en détailLindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT
lindab poutres Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT Eco-énergétique Applications Tertiaires (bureaux, hôpitaux, hôtels...) Modularité et design Neuf et rénovation Simplicité de montage
Plus en détailHygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement.
Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement. Pour un système d'eau potable fiable SIMPLEMENT BIEN APPROVISIONNÉ Un risque méconnu. Les légionnelles. Lorsqu'il s'agit des dangers de la douche,
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailSystème à débit variable T.One
C H A U F F A G E E T R A F R A I C H I S S E M E N T Système à débit variable T.One Pompe à chaleur Air/Air Habitat Système T.One Chauffage thermodynamique individ Une source d énergie renouvelable Une
Plus en détailRAPPORT DE TEST DE CONFINEMENT SELON BS 7989-4
E R L A B D. F. S RAPPORT DE TEST DE CONFINEMENT SELON BS 7989-4 CAPTAIR FLEX M391 L A B O R A T O I R E R & D E R L A B D. F. S P A R C D A F F A I R E S D E S P O R T E S V O I E D U F U T U R 2 7 1
Plus en détailIntroduction à l ISO/IEC 17025:2005
Introduction à l ISO/IEC 17025:2005 Relation avec d autres normes de Management de la Qualité Formation Assurance Qualité LNCM, Rabat 27-29 Novembre 2007 Marta Miquel, EDQM-CoE 1 Histoire de l ISO/IEC
Plus en détailPréambule. Précisions supplémentaires
Préambule Les prescriptions de sécurité préconisées dans ces fiches ne concernent que les risques liés à la présence d amiante non friable. Elles visent uniquement les matériaux non dégradés dans lesquels
Plus en détailVENTILATION POUR LE CONFORT D ETE
le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détailWhitepaper. La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur. Système de régulation. Réacteur. de température
Whitepaper Mettre en température économiquement La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur La mise en température de réacteur dans les laboratoires et les unités pilotes de l industrie
Plus en détailCampagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META)
Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Synthèse des résultats et recommandations F. CLERC 1, C. EYPERT- BLAISON 1, M. GUIMON
Plus en détailde l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction
de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction Guide de conception de projets GC-3.2.4 Fabrication et distribution de l'air comprimé et de l'eau réfrigérée (11/2007)
Plus en détailAQUASNAP TOUT INTÉGRÉ RIEN À AJOUTER 30RY/30RYH REFROIDISSEURS DE LIQUIDE / POMPES À CHALEUR GAINABLES
AQUASNAP TM REFROIDISSEURS DE LIQUIDE / POMPES À CHALEUR GAINABLES 30RY/30RYH TOUT INTÉGRÉ RIEN À AJOUTER S INTÉGRER SANS ÊTRE VU UN VÉRITABLE CONCEPT URBAIN INVISIBLE! Invisible, inaudible, discret, l
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailRISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE
RISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE >> www.cramif.fr RISQUE CHIMIQUE : LE SUIVI DES MESURES DE PRÉVENTION Dans le cas du risque chimique, lorsque la substitution
Plus en détailDBR. VARIZON Diffuseur basse vitesse avec diffusion d air réglable
VARIZON Diffuseur basse vitesse avec diffusion d air réglable Quelques caractéristiques Type de diffusion et zone de diffusion réglables Convient à tous les types de locaux avec des exigences élevées en
Plus en détailInfraLab. Analyseur de Viande. Production. Assurance Qualité. Laboratoire. Contrôle Qualité. The Measure of Quality
TM InfraLab Production Assurance Qualité Laboratoire Analyseur de Viande Contrôle Qualité The Measure of Quality Mesures en process de viandes NDC & l Industrie de la Viande Réalisation de production de
Plus en détailRendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB
1 Séminaire Bâtiment Durable: Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB 21 octobre 2014 Bruxelles Environnement LA REGLEMENTATION CHAUFFAGE PEB Alain BEULLENS, DPT CHAUFFAGE ET CLIM
Plus en détailProthésistes dentaires. Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire
Prothésistes dentaires Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire Carsat Centre Ouest Assurance des risques professionnels 37, avenue du Président René Coty 87048 LIMOGES CEDEX LOCAUX DE TRAVAIL
Plus en détailDétecteur de fumée. ALIMENTATION par pile 9V Communication. Modèle Ei 605C Optique. Description du produit. Fonctionnement
Détecteur de fumée ALIMENTATION par pile 9V Communication Modèle Ei 605C Optique Haute sensibilité répond à tous les feux standards Esthétique, compact Conception novatrice et robuste de la chambre optique
Plus en détaillevenok.com Identification du lot sur le document four ni par le demandeur
levenok.com Architectes D.P.L.G. RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE des matériaux et produits contenant de l'amiante pour l'établissement du constat établi à l'occasion de la vente d'un immeuble bâti REFERENCES
Plus en détailSystèmes de ventilation double flux CWL
Economie d énergie et respect de l environnement de série Systèmes de ventilation double flux CWL CWL 180 : jusqu à 180 m 3 /h CWL 300 : jusqu à 300 m 3 /h avec ou sans bypass CWL 400 : jusqu à 400 m 3
Plus en détailPOLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE
BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site
Plus en détailFauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22
Fauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22 Fauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22 Réf. SOC-RYS-301017 Caractéristique : Système d exploitation à main monté vers le haut, design
Plus en détailÉtuves de laboratoire T ambiante+5 à +300 C
16 Étuves de laboratoire T ambiante+5 à +300 C convection naturelle ou forcée régulateur-programmateur de température type "standard" ou type "Top" avec écran tactile LCD couleur et interface USB et éthernet
Plus en détailL efficacité énergétique dans les bâtiments
https://intranet.swe.siemens.com/fr/intra/infrastructure-cities/bt/offre/ssp/buildingautomation/energie/pages/notre-offre.aspx L efficacité énergétique dans les bâtiments siemens.com/answers Kurt Detavernier
Plus en détailPrésentation Datacenter Lausanne
Présentation Datacenter Lausanne Datacenter Iron Cloud dispose de plusieurs suites privatives dans un Datacenter indépendant de dernière génération. Ce dernier est situé en Suisse près de Lausanne. L infrastructure
Plus en détailCaractéristiques techniques INVERTER 9 SF INVERTER 9 HP INVERTER 12 SF INVERTER 12 HP
- CARACTERISTIQUES TECHNIQUES - UNICO INVERTER - Caractéristiques techniques INVERTER 9 SF INVERTER 9 HP INVERTER 12 SF INVERTER 12 HP Capacité de refroidissement (1) (min/moyen/max) kw 1.4/2.3/2.7 1.4/2.3/2.7
Plus en détailAnalyse et interprétation des données
8 Analyse et interprétation des données Les données de l enquête peuvent être utilisées pour différents types d analyses aussi bien au niveau national qu au niveau international. Ce chapitre explique comment
Plus en détailCATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS
(1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailGrâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE
la Grâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE Filiale du Groupe Suez Environnement et Leader en France,
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique
DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER Cursus complet théorique et pratique Durée : 6 semaines, soit 30 jours de formation : 210 heures Nature de la formation : théorique et pratique Horaires : de 09h00-12h00 / 13h00-17h00
Plus en détail