TP de Biochimie Groupe 4 Forestier Michèle Fournier Coralie Freyre Christophe Manipulation d ADN
|
|
- Joel Samson
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MANIPULATION D ADN Clonage du gène «venus» dans des plasmides et expression de celui-ci chez les bactéries E.Coli. Assistants: U. Loizides M. Umebayashi C. Gehin - 1 -
2 1. Résumé Lors de notre expérience, nous avons procédé au clonage d un gène nommé «venus», variante de la protéine GFP, que nous avons inséré dans un vecteur afin de pouvoir l exprimer dans la bactérie E.coli. Nous avons tout d abord amplifié le gêne par PCR, puis nous l avons fait digérer par des enzymes de restriction et nous l avons inséré dans un plasmide. Finalement, les vecteurs contenant le gêne d intérêt ont été incorporés par transformation dans les bactéries. Nous avons mis ces dernières en culture dans un milieu riche en ampicilline afin de repérer les bactéries transformées. Pour déterminer si le clonage a été réussi, nous avons procédé à des analyses UV ainsi qu à une électrophorèse. [1] 2. Introduction La protéine fluorescente verte, plus connue sous le nom de «GFP» fût découverte pour la première fois dans les années 1960, c est vers 1992 qu on lui trouva un intérêt biologique particulier, en effet, cette protéine provenant d une méduse (Aequorea victoria) à la particularité d émettre de la lumière verte sous UV. Cela s explique par le fait que la GFP possède un groupement chimique capable d absorber et d émettre de la lumière en retour. Ainsi cette protéine devint un marqueur dès plus efficace, l idée étant d attacher la séquence codante de la GFP au gène d une autre protéine afin de pouvoir visualiser cette dernière sous UV. Depuis, la science a développé d autres variantes de la GFP, capable d émettre du rouge, du bleu et du jaune. [2] Dans notre cas, la protéine «venus», que nous avons étudié dans notre expérience, est une variante de la GFP qui fluoresce en jaune. Pour pouvoir travailler sur notre gêne «venus», nous avons d abord réalisé une PCR, méthode révolutionnaire qui est une amplification de réaction en chaîne par polymérase. Elle fut découverte dans les années 90, et se développa assez rapidement dans tous les laboratoires. La PCR consiste à amplifier un segment d ADN connu en lui mettant des amorces spécifiques, la polymérase TAQ thermorésistante, provenant d une méduse, synthétise le brin complémentaire. Après plusieurs cycles de dénaturations et de synthèses consécutifs, le segment de base est cloné de manière exponentielle en plusieurs exemplaires. [3] Comme nous allons vous le démontrer dans les chapitres suivants, après amplification de notre gêne par PCR, nous avons eu recours au clonage, en procédant à l insertion de ce dernier dans un plasmide afin de pouvoir le copier et l exprimer dans les bactéries E.Coli. Le but de ce clonage étant de posséder notre gêne dans un vecteur bactérien facilement disponible et facilement amplifiable par une mise en culture. 3. Résultats 3.1 Electrophorèse : Gel produit PCR Une quantité de l échantillon d ADN résultant de la PCR est placé sur un gel d agarose. Un courant est appliqué sur ce gel, cela permettra de déterminer le poids de l ADN présent dans l échantillon. L ADN est chargé négativement et suivant sa taille, il migrera plus ou moins vite en direction de l anode (chargée positivement). Afin d observer l ADN, du bromure d éthidium est présent dans le gel. Il a pour propriété de se lier aux parties hydrophobes de l ADN et d être fluorescent en présence de lumière UV. [ 1] - 2 -
3 Image N 1 : ADN sur gel d agarose en présence de bromure d éthidium On peut d après cette image et la référence indiquant la taille moléculaire, estimer la taille de l échantillon d ADN à environs 0.7 KiloBase (700 paires de bases). 3.2 Electrophorèse : Gel digestion Deux réactions de digestions sont effectuées, un pour le plasmide et un pour l insert. Après purification, deux échantillons sont préparés avec du tampon 5xADN et de l eau, puis soit le plasmide, soit l insert. Ces deux échantillons sont chargé sur un gel d agarose, suivant la même méthode que ci-dessus. Cela permettra de déterminer la concentration de plasmide et d insert
4 Image N 2 : Insert et plasmide sur gel d agarose L échantillon contenant les plasmides à été contaminé avec de l eau, certainement que le tube était mal fermé au moment de l incubation dans le bain à 37 C. Par conséquent notre échantillon est beaucoup trop dilué, comme nous pouvons le voir en comparaison aux autres échantillons sur l image N 2. Pour la suite de l expérience, une solution de plasmide fournie par les assistants sera utilisée. L observation de l échantillon de plasmide nous permet tout de fois d estimer la taille de la molécule qui serait d environ 5 KiloBase. Nous observons pour l échantillon d insert une intensité équivalente à 125 ng, étant donné que pour la préparation de l échantillon nous avons utilisé 5 µl d insert. Nous avons une concentration estimée de 25 ng/µl. 3.3 Ligation Nous voulons avoir dans notre tube où la ligation entre plasmides et inserts s effectue 3 fois plus d inserts que de plasmides. Par conséquent nous devons calculer quelle masse d inserts est nécessaire. ng plasmide Kb insert ng insert = ( ) Ratio molaire Kb plasmide insert plasmide ( ) 3 = 21 ng 5 21 ng d insert sont nécessaires, puisque 50 ng de plasmide seront utilisés. Les concentrations exactes des échantillons de plasmides et d insert ont été fournies par les assistants. Insert : 74 ng/µl - 4 -
5 Plasmides : 47 ng/µl Afin d être plus précis, nous effectuons une dilution de 1 : 10 pour l échantillon d insert et de 1 : 2 pour l échantillon de plasmide. Calcul de la quantité à prendre après dilution : Insert : 21 ng = 2.8 µl 7.4 ng Plasmide : 50 ng = 2.2 µl 23.5 ng Deux échantillons de contrôle contenant uniquement les plasmides, le tampon, la ligase et l eau sont préparés. Puis deux échantillons identiques, mais contenant aussi les inserts sont préparés. Par la suite, les bactéries préalablement préparées sont insérées dans ces échantillons et après incubations, les colonies sont déposées sur des boîtes de pétries. Image N 3 : Boites de pétries 3.4 Echantillon de clones 6 échantillons sont préparés. Pour se faire, 5 colonies sont piquées dans les boîtes contenant l insert et une dans la boîte de contrôle. Ces colonies sont suspendues dans l eau et une PCR est effectuée pour les dupliquer. Les 6 colonies sont placées sur une boîte de pétrie afin d observer lesquelles contiennent le gène cible
6 Image N 4 : Boites de pétries, les 6 colonies Nous remarquons que seul l échantillon 2 contient le gène venus. C est en effet la seule colonie qui fluoresce à la lumière UV. L échantillon 4 ne contient aucune colonie. Les autres échantillons contiennent des colonies, mais qui ne fluorescent pas. Peut-être parce que la concentration est trop faible ou simplement ce sont des faux-positifs. 3.5 Observations finales des colonies bactériennes Les 6 échantillons ont été chargé sur un gel d agarose avec une référence moléculaire. Image N 5: Gel des 6 échantillons Un autre gel à été effectué avec uniquement l échantillon contrôle et un échantillon aléatoire. L échantillon choisit était le numéro 3. Ce dernier ne contient malheureusement pas le gène cible, mais cela à été remarqué plus tard
7 Image N 6 : Gel des 2 échantillons 4. Discussion et Conclusion 4.1 PCR La PCR est la meilleure méthode pour amplifier un fragment. 25 cycles sont suffisants pour atteindre le point de saturation Nous avons effectué 30 cycles, car les conditions ne sont souvent pas optimales et il nécessaire d effectuer plus de cycles avant d atteindre le point de saturation. Nos résultats sont cohérents avec les données théoriques : environ 0.7 kd (700 paires de bases) alors que le gène VENUS contient 711 paires de bases. [4] Le bromure d éthidium (BET ou EtBr) est tout à fait adapté à la précision de nos résultats, on aurait pu par exemple aussi utiliser un autre indicateur fluorescent comme SYBR Green I (SG) [5] qui est un indicateur plus précis mais plus cher aussi. [6] 4.2 Digestion Après digestion par des enzymes, nous avons effectué une électrophorèse afin de déterminer la quantité de plasmide et de plasmide+insert dans nos levures. Nous avons obtenu 125 ng d insert ce qui correspond au rendement attendu après purification. La quantité de plasmide est très en dessous de celle attendue. Ceci est certainement dû au fait que le tube a été mal refermé et que de l eau provenant de l humidité de l air s est solidifié sur l échantillon : celui-ci avait été placé dans la glace afin de conserver ses propriétés et d éviter qu il ne soit dénaturé. Nous avons obtenu 5 ng alors que la quantité attendue était plutôt de 42 ng ce qui est bien au dessus de notre résultat. Une meilleure gestion lors de la mise en conservation de nos échantillons aurait pu éviter cela. Le choix des enzymes est un choix classique, totalement adapté aux buts de ces travaux pratiques. D autres enzymes auraient pu être choisies comme : Sal I, Not I, Sma I etc. [1] Nous avons utilisé Xho I et Bam HI et nos résultats correspondent aux résultats des groupes ayant utilisé Bam HI et EcoRI. Il n y a vraisemblablement pas de différences entres ces enzymes dans le cas de nos travaux pratiques. Il est évident que la précision joue un rôle important pour formuler cette hypothèse : dans des cas plus spécifiques, il serait utile d appliquer des méthodes plus précises (au niveau du choix de l indicateur fluorescent, de la concentration du gel, de la tension appliquée lors de l électrophorèse, etc) pour déterminer si une enzyme permet une meilleure digestion qu une autre. Le vecteur pgex-4t-3 convient très bien pour notre expérience comme expliqué dans le protocole : une des protéines traduites est pratique pour purifier ou détecter le plasmide. [1] 4.3 Préparation des bactéries compétentes et transformation Les bactéries ont pu se développer sur des plaques de Petri sur gel d agarose. On peut remarquer que la plaque de contrôle n a que peu de colonies survivantes : le plasmide qui est normalement «ouvert» c'est-à-dire qu il ne forme pas un cycle, a réussi à se fermer, permettant aux bactéries de résister à l ampicilline. Quant à la boîte où les bactéries avaient les plasmides plus le gène VENUS, plusieurs colonies se sont développées. A noter que sur une de nos deux boites, une énorme colonie de bactéries a eu le temps de se développée. Il est probable que c est soit plutôt - 7 -
8 des bactéries ou un champignon. En utilisant des gants stériles et en travaillant rapidement dans un milieu hostile, cette contamination aurait pu être évitée. La transformation du plasmide digéré et ligué seul nous permet de tester l efficacité de notre plasmide+insert. 4.4 Préparation du plasmide Nous avons effectué deux réactions, un sur le contrôle et un sur le contrôle plus insert. Nous avons effectué une PCR de 25 cycles des deux échantillons prélevées sur nos plaques de pétri. Le promoteur est spécifique et n affecte pas l ADN de la bactérie ce qui nous assure que seulement les plasmides sont répliqués. 4.5 Contrôle des positifs Une seule des 5 colonies prélevées dans notre boîte contrôle plus insert s est révélée être positive. Les autres ne semblent pas contenir de mutants. A noter qu une des colonies ne s est pas développée : ceci est peut être dû à une erreur lors du choix des colonies pendant le transfert de plaques. La colonie contrôle est négatif ce qui est totalement cohérent. Nous pouvons remarquer sur le gel d électrophorèse que seulement la colonie qui était positive aux UV a bien le gène VENUS alors que toutes les autres n ont pas de marqueur fluorescent. De plus, on peut remarquer sur le gel d électrophorèse de digestion qu il y a beaucoup d impuretés. Ceci est certainement dû à une contamination avec de l ADN étranger qui a été digéré et qui se dépose sur toute l échelle. 4.6 Conclusion Cette expérience nous a permis de cloner et d exprimer le gène VENUS dans des plasmides insérés dans des bactéries de type E.Coli. Nous avons obtenu 20% de clones, la plus grande difficulté était de choisir les colonies qui contenaient le plasmide avec le gène d intérêt. Les étapes critiques sont lors des manipulations avec les bactéries, car il est très facile de contaminer les échantillons. Une meilleure stérilité nous garantirait des résultats plus esthétiques, et donc plus précis. Le clonage et la sélection de mutants fait partie intégrante de la biochimie. Elle a permis de comprendre beaucoup de mécanismes de régulations de gènes et a ouvert de grandes opportunités d applications notamment en médecine où il a rendu possible de cibler les cellules cancéreuses. [7] 5. Sources bibliographiques [1] TRAVAUX PRATIQUE DE BIOCHMIE,, T.Soldati, 2010 [2] GFP, (consulté le ) [3] PCR, (consulté le ) [4] Yeast ressource center, (consulté le [5] SYBR Green I (SG), (consulté le ) [6] Electrophorèse sur gel d agarose, (consulté le ) [7] Roger Y Tsien laboratory, (consulté le ) "J'atteste que dans ce texte toute affirmation qui n'est pas le fruit de ma réflexion personnelle est attribuée à sa source et que tout passage recopié d'une autre source est en outre placé entre guillemets" Michèle Forestier Coralie Fournier Christophe Freyre - 8 -
3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailProduction d une protéine recombinante
99 Production d une protéine recombinante Lic. B. PIRSON Lic. J-M. SERONT ISICHt - Mons Production de la protéine recombinante GFP (Green Fluorescent Protein d Aequoria victoria) par une bactérie ( E.
Plus en détailTable des matières. Renseignements importants sur la sécurité 2. Nettoyage et élimination 4. Spécifications 4
Système FlashGel TM Lonza Rockland, Inc. www.lonza.com scientific.support@lonza.com Assistance scientifique : 800-521-0390 Service à la clientèle : 800-638-8174 Rockland, ME 04841 Table des matières Renseignements
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailRapport Scientifique Seine-Aval 3
Rapport Scientifique Seine-Aval 3 Séminaire Seine-Aval 2008 Fiches de synthèse des propositions SA4 THEME 3 : TABLEAU DE BORD ET INDICATEURS OPERATIONNELS PUCES A ADN CHEZ MYTILUS EDULIS - 2005 - Danger
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :
Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailβ-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)
bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailSystème d imagerie DigiDoc-It
Système d imagerie DigiDoc-It Instructions d installation et d utilisation IMPORTANT : veuillez lire ces instructions avant d utiliser votre système UVP afin de vous familiariser avec les procédures d
Plus en détailHRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2
! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,
Plus en détailLes outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques
Les outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques Sommaire Preparation des acides nucléiques Extraction / purification Les enzymes agissant sur les acides nucléiques Les enzymes
Plus en détailSEQUENÇAGE LI-COR DNA 4200
SEQUENÇAGE LI-COR DNA 4200 Le gel de séquence contient 64 puits au maximum soit 16 clones traités en parallèle. Les oligos utilisés (modifiés en 5 ) fluorescent à 700/800 nm. Une amorce permet de séquencer
Plus en détailRAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705
356-3961 356-3963 356-4705 DOMAINE D APPLICATION La gélose RAPID Salmonella est un milieu chromogénique utilisé pour la recherche des Salmonella spp. lors de l'analyse des produits d alimentation humaine
Plus en détailMaxwell 16 Blood DNA Purification System
Manuel Technique Maxwell 16 Blood DNA Purification System Attention, cartouches à manipuler avec précaution, les bords scellés peuvent être tranchants. 2800 Woods Hollow Rd. Madison, WI USA Dispositif
Plus en détailSERVICES DE SEQUENÇAGE
MARCH 16, 2014 SERVICES DE SEQUENÇAGE Centre d innovation Génome Québec et Université McGill Services de Validation et détection de SNP Technologie de Séquençage de Nouvelle Génération Guide de l utilisateur
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailSRAL Saint Raphaël. Maison des associations 213, rue de la Soleillette 83700 Saint Raphaël. : 06 26 56 41 85 - : dromain.jean-pierre@neuf.
SRAL Saint Raphaël Maison des associations 213, rue de la Soleillette 83700 Saint Raphaël : 06 26 56 41 85 - : dromain.jean-pierre@neuf.fr Document réalisé par Jean Pierre DROMAIN Pour servir de support
Plus en détailIsolement automatisé d ADN génomique à partir de culots de cellules sanguines à l aide de l appareil Tecan Freedom EVO -HSM Workstation
PROTOCOLE AUTOMATISÉ Isolement automatisé d ADN génomique à partir de culots de cellules sanguines à l aide de l appareil Tecan Freedom EVO -HSM Workstation Mode d emploi des produits A1751 et A2751 Réservé
Plus en détailUE : GENE 2208. Responsable : Enseignant : ECUE 1. Enseignant : ECUE 2. Dr COULIBALY Foungotin Hamidou
UE : GENE 2208 Responsable : Enseignant : ECUE 1 Enseignant : ECUE 2 Dr COULIBALY Foungotin Hamidou Spécialités : Génétique Humaine Biologie de la Procréation Cytogénétique Spermiologie Essais Cliniques
Plus en détailFiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson
Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailCATALOGUE DES PRESTATIONS DE LA
1/23 La plate-forme Biopuces et Séquençage de Strasbourg est équipée des technologies Affymetrix et Agilent pour l étude du transcriptome et du génome sur puces à ADN. SOMMAIRE ANALYSE TRANSCRIPTIONNELLE...
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailSéquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN
Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité
Plus en détailgénomique - protéomique acides nucléiques protéines microbiologie instrumentation
génomique - protéomique acides nucléiques protéines microbiologie instrumentation Génomique, protéomique - Acides nucléiques Extraction d acides nucléiques ADN... Kit de filtration par colonnes... ADN
Plus en détailKIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2
KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détail2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences
2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences Jean-Etienne Poirrier Centre de Neurobiologie Cellulaire et Moléculaire Centre de Recherches du Cyclotron Université de
Plus en détailaltona altona RealStar CMV PCR Kit 1.0 always a drop ahead. 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany
altona DIAGNOSTICS altona DIAGNOSTICS RealStar CMV PCR Kit 1.0 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany phone +49 40 548 06 76-0 fax +49 40 548 06 76-10 e-mail info@altona-diagnostics.com
Plus en détailLES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS
CHAPITRE 1.1.7. LES BIOTECHNOLOGIES DANS LE DIAGNOSTIC DES MALADIES INFECTIEUSES ET LE DÉVELOPPEMENT DES VACCINS INTRODUCTION Les méthodes de biologie moléculaire ont de plus en plus d applications dans
Plus en détailSpectrophotomètre double faisceau modèle 6800
Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight
Plus en détailIBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire
IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailPlateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations
Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailSTÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1
Réduction des populations nonus 1 nonus 2 Taux de survie N/No Taux de mortalité No-N /No No : nombre initial de cellules vivantes N : nombre de cellules vivantes après le cycle de stérilisation nonus 3
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailExemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014
Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.
Plus en détailDémonstration d utilisation De NesmaCom
Démonstration d utilisation De NesmaCom Envoi : SMS Marketing - 1 - Démonstration : NesmaCom I. Connexion à NesmaCom Entrer votre Email et votre mot de passe pour accéder à votre compte sur notre solution
Plus en détailHaute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique.
Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Laboratoire Electronique Méthodologie. Jamart Jean-François. - 1 - La fabrication d un circuit imprimé. SOMMAIRE Introduction
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailLes Différents types de Requêtes dans Access
Les Différents types de Requêtes dans Access Il existe six types de requêtes. Les Requêtes «Sélection», qui sont le mode par défaut et correspondent à des «vues» des tables originelles. Cela signifie que
Plus en détailTests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique»
Tests de comparaison de moyennes Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Test de Z ou de l écart réduit Le test de Z : comparer des paramètres en testant leurs différences
Plus en détailAnalyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés
Analyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés Module 4 Extraction et purification de l ADN M. Somma WORLD HEALTH ORGANIZATION REGIONAL OFFICE FOR EUROPE ORGANISATION
Plus en détail10. Instruments optiques et Microscopes Photomètre/Cuve
0. Instruments s et Microscopes GENERAL CATALOGUE 00/ Cuve à usage unique pour spectrophotomètre Cuve jetable, moulée en et en pour UV. Avec parois traitées Kartell ment pour une transparence optimale
Plus en détailPlateforme. DArT (Diversity Array Technology) Pierre Mournet
Plateforme DArT (Diversity Array Technology) Pierre Mournet Lundi 8 avril 203 Pourquoi des DArT? Développement rapide et peu onéreux de marqueurs : Pas d information de séquence nécessaire. Pas de pré-requis
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailDate M.P Libellé Catégorie S.Catégorie Crédit Débit Solde S.B
Excel : Réalisation d un classeur Compta Saisir les étiquettes Renommer la première feuille Compta Laisser la première ligne vide et sur la deuxième ligne saisir les étiquettes Se placer sur A2 et saisir
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailSpectrophotomètres. www.jenway.com
Imlab Oude Vijvers 1 B-3370 Boutersem Spectrophotomètres www.jenway.com Bibby Scientific France - ZI du Rocher Vert - BP 79-77793 Nemours Cedex Tél. : 01 64 45 13 13 - Fax : 01 64 45 13 00 - email : bsf@bibby-scientific.fr
Plus en détailMISE AU POINT D UNE TECHNIQUE DE QUANTIFICATION DES POPULATIONS BACTERIENNES ET ARCHAEA DE L ECOSYSTEME CAECAL DU LAPIN PAR PCR EN TEMPS REEL
E C O L E N A T I O N A L E VETERINAIRE T O U L O U S E Master 2 Recherche «Elaboration de la Qualité et Sécurité Alimentaire» Directrice de stage : Mme Sylvie COMBES Mémoire bibliographique MISE AU POINT
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE
ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée
Plus en détailCHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE
CHROMATOGRAPHIE SUR COUCHE MINCE I - PRINCIPE La chromatographie est une méthode physique de séparation de mélanges en leurs constituants; elle est basée sur les différences d affinité des substances à
Plus en détailTD3 - Facturation avec archivage automatisé
TD3 - Facturation avec archivage automatisé Objectifs Insérer les formules nécessaires aux calculs d une facture. Créer une macro- commande avec l enregistreur de macros et l affecter à un bouton. Utiliser
Plus en détailRéception du tissus documentation examens sérologiques inspection préparation façonnage
Déroulement du processus Tutoplast Don de tissus accord du patient questionnaire au patient (don vivant) questionnaire aux proches du défunt (don mort) prélèvement du tissus sur le patient (ou en pathologie)
Plus en détailBREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice
Plus en détailCuves pour Spectrophotomètres
Cuves pour Spectrophotomètres Tél : 01.45.12.90.80 Fax : 01.45.12.94.75 info@bioserv.fr Page 25 TRAYCELL Ultra Micro Cuve à Fibres Optiques La TrayCell Hellma est une ultra micro cuve à fibres optiques
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailSystèmes de transmission
Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un
Plus en détailAnalyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés
Analyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés Module 11 Détection quantitative du soja Roundup Ready par PCR en temps réel N. Foti WORLD HEALTH ORGANIZATION REGIONAL
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailNotice d utilisation M5-01-002. Epigenomics AG, 10178 Berlin, Allemangne
Notice d utilisation Avant d utiliser ce kit, veuillez lire attentivement la notice et suivre scrupuleusement les instructions afin de garantir la fiabilité et la pertinence des résultats des tests. IFU
Plus en détailTD-SEC MODE OPÉRATOIRE
TD-SEC MODE OPÉRATOIRE RESPONSABLE : Marlène LEJARS SUPPLÉANT : Christine BRESSY Modifications : Version v01 Version v02 (ajout page 7, b) temps de solubilisation) Version v03 (ajout p7, 4.a) concentrations
Plus en détailBIRT (Business Intelligence and Reporting Tools)
BIRT (Business Intelligence and Reporting Tools) Introduction Cette publication a pour objectif de présenter l outil de reporting BIRT, dans le cadre de l unité de valeur «Data Warehouse et Outils Décisionnels»
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détail