info-réseau Éditorial Du 12 au 15 novembre, la ville n 29 Les Régies au Forum social européen : un modèle d économie solidaire SOMMAIRE

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1 n 29 numéro special novembre décembre info-réseau Journal d information du Comité National de Liaison des Régies de Quartier janvier 2003/2004 Éditorial Les Régies au Forum social européen : un modèle d économie solidaire SOMMAIRE 2-3 En direct des Régies À Épernay, Mainvilliers, au Puy-en-Velay Portrait d acteurs La presse parle des Régies [ 4-7 Le Dossier Le capital social, moteur d une économie sociale et '@@@W2@@f@@@5heJ@@@@J@@@@hW2@@e@@@ 7@@@Hh J@@@@@@@@5W2@6XJ@@@@@6KgV@@@@@Le@@Yhe@@@@@@@@@@HO2@@@6K@@@@eV@HW2@@@eW2@626XeO2@@@@J@@@5h 7@@@@V4@0YW&@@@)X7@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@)2@@@@@hJ@@@@@@@@@@W2@@@@@@@@@@@@@@@@@W&@@@@L7@@@@@@1W2@@@@@@7@@@Hh J@@@@5fW&@@@@@)X@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@h7@@@@@@@@@@T&@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@)X@@@@@@@@W&@@@@@@@@@@@he J@@@@He@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@5h@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@7@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@he 3@@@@W2@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@h@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@7@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@hf N@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@1h@@@@3@@@@@@@@@@@@@@@@@5@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@5hf 3@@@@@@53@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@5@@@@3@@@@@@5h@@@5N@@@5@@@@@@@@@@@@@H@@@@3@@@@@@@@@@@@@@5@@@@@@@@@@@@@Hhf V4@@@@0YV4@@@0MI4@0MI4@@@@@@V'@@H3@@5V'@@@@(Yh@@0Y3@@H@@@@@@@@@@@@@3@@5V'@@@@(MI4@@3@@H3@@@@@@@@@@@@hf I4@V4@V40YV4@@0Y J@@1 J@@@) J@@@f7@@@h7@@@ 7@@@ 7@@@H 7@@@f@@@5h@@@@ J@@@@fJ@@0Yh@@@5 O&@@@5 W2@@@@@5W2@6Xh7@@@5f7@XeW2@@@6XeW(YO26KeW2@6Xe@@6K O2@@@@@HW2@@6XeO2@@6X O&@@@@@@YO&@@@)XgJ@@@@HeJ@@1O&@@@@@)2@@HW2@@@@6&@@@)XJ@@@@@@@hW2@@@@@@@W&@@@@)KO2@@@@@1 W2@@@@@@@@@@@@@@@1g7@@@@e7@@@W2@@@@@@@@@@@@W&@@@@@@@@@@@@)&@@@@@@@hW&@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@5 7@@@@@@@@@@@@@@@@@fJ@@@@5eJ@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@gW&@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@(Y J@@@@@@@@@@@@@@@@@5f7@@@@He7@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@gW&@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@W(Y J@@@@@@@@@@@@@@@@(Yg7@@@@e@@@@@@@@@@@@@@@@@@@LN@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@5g@@@@@@@@@@@@@@@@@eV@@@@ 7@@@@@@@@@@@@@@@h@@@@@@@6X@@@@@@@@@@@@@@@@@@@)X@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@Hg@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@ 3@@@@@@@@@@@@@@@@1g@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@h@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@5 V'@@@@@@@@@@@@@@5g@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@(Y@@@@@@@@@@@@@@@@5h3@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@(Y V4@@@@@@@@@@@@0Yg3@@@@@(4@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@0Y3@@@@@0'@@@@@@@HhV4@@@@@@5@@@@@@04@@@0Y W-X W2@@@@@6XfW&Khf@@1 7@)X @@@@@@@@@1e@@@5he'@@@ J@@@5hfW2@@@@@@1 O&@@@HhfW&@@@@@@@@ O26XheO2@@@@@eO2@6Xg7@@@@@@@@@W2@6KO@KeW2@@@6X@@6Ke@@@@L7@XeO2@@6Xe@@6& J@@@@@@@@@5W2@@@)KO2@@@@@@@@@@@W2@@@@@W2@@@@1hW2@@@@@@@T2@@@@1fJ@@@@(Y@@@@7@@@@@@@6KO&@@@@@)X@@@@@@@@@@@)X@@)2@@@@@1J@@@@@ J@@@@@@@(YW&@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@gW&@@@@@@@@@@@@@@@@@fJ@@@@YO&@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@X@@@@@@@@@@W@@@@@@@@@@@@@@@@@@0Y 7@@@@@@(Y7@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@h7@@@@@@@@@@@@@@@@@5f7@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@V@@@@(MW@@@@7@@@@@@@@@@@@@@@@@e @@@@3@@@1@@@@@@@@@@@@@e@@@@V'@@@@@@@@@@@@@@Hh@@@@@@@@@@@@@@@@5g3@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@53@@@H@@@@N@@@@@@@@@@@He 3@@5N@@@@W@@@@@@@@@@@@@@6T@@@5V'@@@@('@@@@@@h@@@@@@@@I4@@@@0YgV4@@@@@@@@@@@@@@@3@@@@@@@@@@@HV'@@@@@5@@@@@04@@5f I4@@0M W26X W&@@)X W&@@@@)X W&@@@@@@)X W&@@@@@@@@)X W&@@@@@@@@@@)X O&@@@@@@@@@@@@)X O2@@6XfW2@@@@@@@@@@@@@@@1 O2@@@@@)XW&@@@@@(Y@@@@@@@@@@ O2@@@@@@@@)X*@@@@@(Y@@@@@@@@@@L W2@@@@@@@@@@@)XN@@@@(Ye@@@@@@@@@@1 @@@@@gn@@@@@@@@@@@@g@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@)x I'@@(YeV'@@@@@@@H V4@@@@@@@@@@g@@@@@@@@@@@@ 3@@@@@0M O&@@@@@@@@@@@@@@@@@@@0M V40M O2@@@@@@@@@@@@@@@@@@0M O2@@@@@@@@@@@@@@@0M O2@@@@@@@@@@@@@0M W2@@@@@@@@@@@@@(M 7@@@@@@@@@@@@@0Y J@@@@@@@@@@@0M 7@@@@@@@0M 3@@@@@@ V4@0MW@@@e@@@@@e@@e@@@@@eW2@@ 7@@@LJ@@@@5J@@e@@@@@W&@@@ 3@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@ V4040MI4@@@@@@@@@0MI4@0MI4@@@ Du 12 au 15 novembre, la ville de Saint-Denis (93) accueille le deuxième Forum social européen. Ce rassemblement manifestera la volonté de très nombreux Européens de ne pas limiter le projet communautaire aux seules dimensions du marché ou de la défense des intérêts acquis, mais de construire une Europe plus sociale, plus solidaire et plus accueillante. Depuis plus de quinze ans, nos Régies de quartier construisent chaque jour un modèle d économie solidaire impliquant les habitants dans la création de nouveaux services de proximité. Elles ont pu le faire en s appuyant sur la capacité des familles et des communautés à se mobiliser et à imaginer ensemble des solutions aux difficultés qu elles rencontrent. Cette richesse collective constitue le capital social sur lequel nous investissons. Il est bien différent du capital financier sur lequel se fonde le modèle dominant. Les Régies se nourrissent de ce capital social local et l enrichissent par la valorisation du lien entre habitants et la confiance rétablie dans leur quartier. C est ce modèle que nous voulons faire connaître sur place, à Saint- Denis, et à travers ce numéro spécial d Info-réseau. Bernard Reverdy Président du CNLRQ Que ce soit par la légitimité acquise auprès des habitants à travers l entretien du cadre de vie, ou par la création de services de proximité, d actions consacrées à la valorisation du lien social contre le repli ou l isolement, les Régies s attachent à conforter ou à reconstituer un capital social, à le dynamiser s il sommeille. Une mission qu illustrent les activités et les pratiques de plusieurs Régies, aux quatre coins de France En direct du Réseau Assemblée générale Développement Economie solidaire Internet Formation 12 Interview ] Jean-Baptiste de Foucauld, président de Solidarités face au chômage

2 En direct des Régies La mécanique en toute sécurité Régie de quartier sparnacienne - Épernay (51) Soucieuse d éviter les réparations sauvages de véhicules sur les parkings et d apporter aux habitants une réponse en terme de sécurité, d hygiène et de respect de l environnement, la Régie a mis en place une plate-forme mécanique. Pour 1e symbolique de l heure, les habitants disposent depuis le 1 er octobre d un espace de bricolage muni d une rampe d élévation et de conteneurs de recyclage pour huile de vidange, filtre à huile, liquide de refroidissement, batterie, ferrailles. Après avoir consulté les habitants et, parmi eux, les garagistes de la ville, la Régie a constitué un comité de pilotage regroupant de nombreux partenaires locaux. Elle a obtenu le soutien de la municipalité à travers le contrat de Ville, celui du Conseil régional, de Vivendi Environnement, l ADEME, l Agence de l Eau et la Caisse d épargne. Jobs d été au service du quartier Régie de quartiers Reconstruire ensemble - Mainvilliers (28) C est d une réelle volonté de la Régie d impliquer les jeunes dans la vie du quartier qu est né le projet Jobs d été. Six jeunes, en fin de scolarité ou déjà déscolarisés, porteurs d un projet personnel (contrat d alternance, BAFA, permis de conduire...), ont été recrutés par la Régie pour des travaux de décollage de papiers peints, de peinture de hall, de balayage des espaces communs, d effacement de tag, réalisés pour le compte de l OPAC et de la Ville. La Régie leur a ainsi permis de découvrir le monde du travail, tout en leur proposant une première expérience à inscrire sur leur CV. L OPAC 28 a assuré l encadrement technique. La mission locale a effectué un suivi social, incitant les jeunes à réfléchir sur leur avenir professionnel. À la fin de l été, le bilan de l opération s avérait plus qu encourageant. Sur le plan de la prestation, la Régie a constaté une ponctualité et une assiduité exemplaire, la qualité du service rendu, aisément visible par les habitants. Sur le plan civique, les jeunes ont pris conscience, à travers leur propre travail, du rôle des agents d entretien dans la propreté du quartier. Sur le plan social, les projets personnels se sont affirmés et les montages financiers sont en cours. Pour l un d entre eux, un contrat de travail avec l OPAC est en train d être négocié. La presse parle des Régies Mobilisation en faveur des sinistrés d Algérie La Régie d Amiens a activement participé au collectif Solidarité pour l Algérie. Un conteneur chargé de matériel médical, de vêtements et de denrées alimentaires est prêt à partir pour Alger. Le Courrier picard 9/09/03 La Régie de Trélazé a fait appel aux partenaires locaux et mobilisé les habitants pour l organisation d une soirée couscous dont les bénéfices ont été reversés à la Croix-Rouge relais du Croissant rouge algérien. Cet acte de solidarité était aussi l occasion d échanges entre les habitants. Le Courrier de l Ouest 26/06/03 Inauguration d une deuxième Régie parisienne Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a inauguré le 26 septembre, cité Michelet, la deuxième Régie de quartier de la capitale, considérée comme un outil de la politique de la Ville, notamment en matière d insertion par l économique. À terme, une Régie devrait être ainsi montée dans chacun des onze quartiers parisiens relevant de la politique de la Ville. AFP 26/09/03 2 Info-réseau N 29

3 Livres et contes au pied de l immeuble Régie de quartier du Puy-en-Velay (43) Afin de réunir les enfants qui ne participaient à aucune activité le mercredi, la Régie a mis en place trois points de lecture en bas d immeuble grâce à son propre fonds de livres et à ceux prêtés gratuitement par la bibliothèque municipale. L animatrice raconte des histoires, prête des livres et donne rendez-vous aux jeunes lecteurs la semaine suivante. Progressivement, les mamans ont rejoint leurs enfants autour du panier de la bibliothécaire. Cette bibliothèque nomade est alors devenu un lieu de rencontre entre les habitants. Parfois une conteuse les entraîne tous, adultes et enfants, écouter son récit dans une salle de spectacle, au pied d un autre immeuble, dans un square, en forêt... Des livres à gros caractères sont également disponibles pour les personnes âgées et malvoyantes. PORTRAIT D ACTEURS Rabah Kared, 39 ans Régie de Toulouse-Bellefontaine (31) À Bellefontaine, les habitants n hésitent pas à frapper à sa porte. «Les gens me connaissent. Ils savent que je peux les aider. Ça les réconforte.» Pour Rabah, cette disponibilité n est que le prolongement naturel de sa fonction de coordinateur technique à la Régie de quartier. «Jeune, je me suis peu investi dans la vie de mon quartier. À trente ans, j ai eu envie de m engager, de rendre service.» L occasion se présente en 1994, lorsque la Régie, alors nouvelle, cherche un chef d équipe pour l entretien des espaces verts. Le jeune métallier serrurier a deux atouts précieux : une polyvalence technique qui lui permet «de sauter d une branche à l autre»; des liens tissés de longue date avec les familles de Bellefontaine, quartier voisin de celui de La Reynerie où il a grandi. «Ce qui me plaisait à l idée d entrer à la Régie, c était à la fois l aspect social du travail et le fait que la prestation technique s effectuait en contact avec les habitants.» Depuis 2000, Rabah organise l activité de ménage et d entretien des espaces verts dont sont chargés une vingtaine de salariés. «Je suis un peu comme un guide sur le chemin du travail et de l autonomie. J accompagne les salariés, je les épaule.» «Rabah est vraiment respecté, à l intérieur comme à l extérieur de la Régie. Sa légitimité nous est précieuse. Il peut jouer un rôle de médiateur dès qu il le faut», ajoute le président, Jean-Claude Tapin. NOUVELLES RÉGIES LABELLISÉES Régie des quartiers de Bezons (95) SITES EN EXPERTISE Carvin-Libercourt-Oignies (62) Autun (71) Carmaux (81) Carcassonne (11) Rabah suit actuellement une formation qualifiante destinée aux encadrants techniques du secteur de l insertion par l économique. «Je vais acquérir des compétences qui me manquent pour évoluer. Et faire le point sur ce que j ai appris pendant dix ans de terrain.» Info-réseau N 29 3

4 @ 7@@(Ye/X W26XhW.heJ@@@HeV/e@f@f(R+Yh /KO.@f@g@e@@@ N@< g@@go2@@@@@ @f@he@e.yh@e@he@h@gv/e@ej@@(mf@hf@fw2@@ev+me W.@@hfW&@@ (Y @e@ W.f/Xf@@e@e V+Yhe/X V+Y N)KfO)Xh@heW2@@f3@@eO&@@@@@@hf@heV/ @@XI4@@@@@@@@@@@@6KO&YfW2@e.Ye@hf @ V@@@@@@0Mg@he@ @ @hf@@ f/khe@@ W.W.f@ @@f@ V/ @hf@e/xfv/g@he@gw&e@@h (Y O@X@W@X@)KV@V@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@6KV@)KeO@Kg@K /Xe@e @@ /K@7HN1J@W@2@@@@@@@@@@@@0Me@V4@0YgS,e@f@ V4@=O&UfI+Ye@eV4@@e@gI@4@@@@@@@@@@@@@@Ye@W2 f@/xe@e7u@f@e@ e@gv/g@)@ @@go2@eo&@@@@@@@@@0m J@@eO2@@@@@Xe @(R/eV'=O&@@@@(Me7Ue W&KO26@X@V@@@@@@Uf/Xhe)T-T2@@@@@@@@eW.Ye@ @@@@@@0M @ e@h@h@ko&@@@he(y O262@@@@@@62@@@@@@6X@@@@V@@@@@eV)K @6T2@ fv/xhe@@@@@hf@hev/e@@g/x W&KeO2@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@0MI@Mg@@@0Mf@@eI@4@@@@@@@@@@@6Kf@fW.hfV/fW2@hI+Me XfV/X@@eW2@@@@V'= N1 J5hfI4@@@6T.YW& V4@hf e7@@@@(mgo.@( @@@@h7@@@@@ys,hf.yhe W&@@(Ye@hfO2@@@@@0MeI4@.Ye/Xg@g@ 7@@0Y O2@@@@0Me@hV/e/Xf@ W2@@0Yhe@.YfC@@)f@@hf@e@f@e*@@e@@@)XhW20MI/g@e@ J@@X @ 7@@@e@hW2@@@@@@@Uhe@@@e@eJ@L@hfW.f@@hfO2@0M S1 W&(Yf@@eO2@@@(MfW&@T.he@@@g7H 3L O2@@0Y@@(f@h@f@I/@f@e@eS@@@@@h@gS,f@@L 5eO&@@@(MI/@@e@g@@@( N@@S@@@W&@0Y J5e O2@@@ O2@@@@@h@g@ O@ @g@@@@@(e@hf7yo2@@@@@xe/x@@ej5h@hew&n)xe fo.@ko.yg.ms,f@6xh@ /Xe3X@he@ W&@e@e/X/Xg@@6Xg(Yg@h@@@@@0MB1@V/g.Y *@L@)e LW2@H@@0Yh@@0Ye@eI/Xe@f@hW&e@eV/@N@@)Xe@he@@@@@@e7@5gV/V/@'@@fI/X@hf@@eO2@@@(Mf@ N@,f 17R' S,e@he@@*@f/Xf@@>, 3@ V'@1h@g@h@W&U/Xe@@f.Y /X V')X@.Yf@f&@LgV+R/@@@f@ W.Y @ @@g@i4@@@@yv)t.f/xe/ke@khf.yv/ @@ W&e@h@g*@hfI@'@XgI@MeW(Mf.R4@f@/X@0Yf@W.Me@h@@eV/ /Xf@f@f/T2@f@@g/Xhe@f@@@@@(@Mh@0Me 7@T.eW26T2@J@L@eV'T.h@eV4@he@7H N)XeW-Xe.Yhf@@ V/h@gV+M@h@eV/hfO)T2@@0Y@(YhW.fO2 V+Yf@f@gO&@@@@@0Y@@@@6&@g@J@=f@@ &V4@e@0M V/f.Ye@.YO.f@@ J5@h@.R'@@ @(h7hf'@go2@@@@@@xhv+mw@@@@@@@@@yev@@@@@@@@ gw.@f@@)@e.yej@@@@ V/ &@e7hh/kew&@@fw.@ W.g@@gS5e@@g@f@6Xhe@hfO2@@@@0MW5 )Xg@6T.Yg@h.Ye@@f@hB1 O2@@@@@@@@@@@0Y@(MeI'>)Xe@hf (M I@@hI'XI+MfV/he@Lh@e@@e@@f@@h@eW.he.Yf@f@h@.Y@g@/T26T26K N1g@h/T-T@)X@f@e@eJ5J@f@@hf.Ye@h@6Xe@ W& 75 (R/ @@gc(m e@ @f@gs)ko2@@@0yg@ &@e@39s5ej@@he@e@ V40Y@'@@f@ V/X3U T. 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Après le Forum social mondial (FSM) de Porto Alegre, dont la troisième édition, en janvier dernier, a montré la force du mouvement citoyen à l échelle de la planète, après le succès du premier Forum social européen (FSE) à Florence en 2002, c est en France, à Paris, Saint- Denis, Bobigny et Ivry, que sont conviés tous les acteurs de la société civile européenne (associations, ONG, syndicats...). À travers 55 réunions plénières, 250 séminaires, autant d ateliers, des stands et des animations diverses, le FSE se veut un espace ouvert de rencontres et d échanges entre une pluralité de mouvements qui affirment qu une autre Europe est possible, une Europe solidaire au service des citoyens et des peuples. Il s agit d en démontrer la possibilité en esquissant les voies et les moyens de sa réalisation. Un Village de l économie solidaire Les acteurs de l économie sociale et solidaire ont constitué un collectif pour la coordination, le suivi et la mise en œuvre de leur participation au FSE. Au sein d un Village de l économie solidaire organisé par le Mouvement de l économie solidaire (MES), l AERDQ (Association européenne des Régies de quartier) tiendra un stand avec la contribution du CNLRQ. Plusieurs séminaires traiteront de l entreprise, du commerce équitable, du développement d un secteur de la finance sociale et solidaire, de monnaies complémentaires... Un atelier est proposé par les Régies de quartier européennes sur les territoires pertinents pour le développement de l économie solidaire, la participation des habitants et le développement de la vie associative. Les Régies de quartier d Ile de France présentent quant à elles un programme d animations, de rencontres et d accueil entre les Régies d Europe. Le capital social, un bien collectif au bénéfice de chacun Depuis plusieurs années, les sociologues ne cessent de le montrer : l affaiblissement du lien social aggrave les inégalités, suscite la peur de l autre ou le repli communautaire; il est source d exclusion sociale et économique, et menace la cohésion des sociétés occidentales. Auparavant, Pierre Bourdieu avait exposé la situation d individus ou de familles qui, à capital économique et culturel égal, occupent une position sociale différente selon leur capacité à entrer en relation ou à créer des liens. Ce qui les distingue, c est le capital social dont ils disposent. La Commission européenne en élargit le concept : des formes d organisation sociale, fonctionnant comme des réseaux, associées à une confiance qui facilite la coordination et la coopération au bénéfice mutuel de chacun. Un bien collectif aussi important, selon Jean- Baptiste de Foucauld (lire p. 12), que le capital productif. 4 Info-réseau N 28

5 Désormais, lorsque économistes ou sociologues apprécient la capacité d un groupe humain à se développer durablement, ils tiennent compte de son capital économique, de son capital naturel, de son capital humain (démographie, santé, éducation), mais également de son capital social. Celui-ci repose sur la richesse des relations humaines, la capacité collective à créer de la vie sociale et culturelle, la participation à la vie de la cité, la confiance dans les institutions qu un groupe humain s est données. À l échelle d un quartier, ce capital social s exprime à travers l existence de réseaux de proximité, la capacité des habitants à trouver des réponses collectives aux problèmes auxquels ils sont confrontés, leur participation à la vie associative. Les Régies de quartier : une capacité à mobiliser les habitants et à créer du lien social Le dossier Sur la voie d une autre Europe «C est possible, on agit, on réfléchit, on construit» avaient inscrit sur les murs des courées les habitants du quartier de l Alma-Gare, à Roubaix, avant de créer la première Régie de quartier. Depuis, le mouvement des Régies s est développé à partir de cette capacité des habitants à s impliquer ensemble dans la vie sociale et économique de leur quartier. Non seulement les Régies se nourrissent de ce capital social local mais l enrichissent par la gestion urbaine partagée, le développement de services de proximité, la valorisation du lien social et de l engagement citoyen. L Alma-Gare, la première des Régies avec et pour les habitants En 1966, dans le quartier de l Alma-Gare, à Roubaix, quartier de courées insalubres, la vie est difficile, les relations sociales intenses, la volonté de se défendre constante. La Ville et son maire socialiste, Jules Guesde, annoncent la résorption de cet habitat très dégradé. Pour les habitants, la lutte ne fait pas un pli. Il faut éviter cette rénovation bulldozer qui a toutes les chances de mettre à mal la vie sociale des courées. Il faut aussi reloger tout le monde sur place. Après presque dix ans de mobilisation et une menace de réaménagement urbain qui se précise, les habitants se dotent en 1974 d une structure de rencontres, d information et d organisation, l Atelier populaire d urbanisme (APU). Une aide technique leur paraît indispensable pour réfléchir à la forme que doit prendre leur futur quartier. Une équipe d architectes et de sociologues les rejoint. En 1977, le Plan Construction donne l assise nécessaire à leur projet de rénovation. Trois ans plus tard, avant même l occupation des premiers logements, l APU refuse d abandonner la gestion du quartier. «L avenir, nous voulons continuer à le construire ensemble, élus, techniciens, habitants, c est peut-être cela vivre mieux, vivre et travailler autrement.» La réflexion dépasse le simple cadre urbain pour se porter sur la crise économique qui touche le Nord de la France. De ce contexte général, naîtra, après plusieurs expériences économiques innovantes, l idée d une Régie technique au service des habitants. La structure s occupe de l entretien du quartier, mais aussi de l accueil des populations nouvelles, de l animation et des fêtes. Elle devient l interlocuteur des habitants face aux instances concernées, élus et bailleurs, assure la médiation et réfléchit aux dispositifs à mettre en place pour répondre aux problèmes et aux besoins des habitants. Confrontée à la recherche permanente de moyens financiers, la Régie disparaîtra quelques années plus tard. Elle n en aura pas moins prouvé la capacité des habitants, dont un grand nombre de jeunes, à prendre en main leur avenir, mettant au monde à l Alma-Gare un essaim d initiatives et de compétences. Régie de quartier Repères, Orléans La Source Réunions de bas d immeuble : encourager l expression et l initiative des habitants appuyant sur son ancrage dans le quartier, la Régie a S mis en place, entre autres, une commission de sensibilisation des habitants, composée de bénévoles et de salariés chargés notamment de l entretien des espaces collectifs. Cette commission organise régulièrement des espaces d expression à proximité des habitations. Salariés et habitants peuvent ainsi discuter ensemble de la propreté du quartier et des prestations réalisées par la Régie, mais aussi de la sécurité, des manques et dysfonctionnements dans chaque montée. Au-delà, des relations entre voisins et d initiatives locales. En 2000, 19 réunions ont eu lieu, intéressant 166 familles sur 364 et impliquant 167 acteurs de la Régie ainsi que des représentants des bailleurs, de la municipalité et des associations. En 2001 et 2002, les rencontres aux bas des Info-réseau N 28 5

6 Le dossier Sur la voie d une autre Europe immeubles sont devenues des outils d implication des habitants dans le cadre de projets concernant un ou plusieurs immeubles. Aujourd hui, elles sont intégrées à une démarche de sensibilisation à l environnement, en partenariat avec le Conseil régional et la Ville, bientôt à la mise en place d une charte de qualité avec l OPHLM.«Ces échanges jouent un rôle très important dans le développement de la démocratie participative. Car celle-ci repose sur l expression directe des habitants», déclare le directeur, Mohamed Rhoulam. Au sein même de la Régie, les salariés sont sensibilisés au projet de la structure et à sa mission sociale par une série de réunions qui sont comptabilisées dans leur temps de travail : assemblée générale annuelle, réunions par service ou avec l ensemble des salariés deux fois par an, rencontres ponctuelles autour d actions associatives. «Ces réunions font partie intégrante de la vie de la Régie. Elles renforcent considérablement l implication des salariés», précise le directeur venus ensemble, dans deux cars affrétés par la Régie, se mêlant aux 500 autres spectateurs présents ce soir-là. Ils avaient tous participé, à un moment ou un autre, à cette troisième production audiovisuelle de la Régie de quartier, financée avec l aide de la Ville et du Conseil régional. Selon le même principe que dans le film précédent, Un amour de ZUP, qui a reçu le Trophée de la démocratie participative décerné par la Fondation de France, toujours avec l aide technique du réalisateur Pierre Nivan, une série de saynètes illustrent la vie de tous les jours. Mais cette fois le propos est axé sur le respect de l environnement. De la reconstruction partielle du quartier dans le cadre du Grand projet de Ville est née chez les habitantssalariés l envie de mieux défendre leur travail et leur cadre de vie. Les agents d entretien et les correspondantes de quartier, présents au quotidien auprès des habitants, les ont encouragés à donner leur avis, à collaborer au scénario, à jouer, à aider à la logistique. Ou encore à accueillir le tournage dans leur appartement. La mobilisation fut également le fait de Mathieu Prudhomme, 25 ans, chargé à la Régie de l accès à la citoyenneté. «Deux fois plus d habitants que dans le film précédent ont osé s impliquer. Notre méthode était plus spontanée. Nous proposions aux habitants d intervenir rapidement sur le film.» Autour de ce thème fédérateur qu est le respect de l environnement, la Régie a pu réunir plusieurs partenaires dont la police municipale. Les enfants d un club de loisirs ont composé une chanson pour illustrer le travail d un agent d entretien, les difficultés qu il rencontre, son besoin de reconnaissance. Le souhait de la Régie est maintenant de partager cette expérience avec les autres Régies, en leur diffusant le film accompagné du témoignage de Mathieu Prudhomme. Régie inter-quartiers, Blois Cit promise : une contribution collective au respect de l environnement et du cadre de vie Après neuf mois de préparation et de tournage, près de 140 habitants, dont une trentaine de salariés en insertion à la Régie, ont découvert «leur» film, Cité promise, sur l écran géant du multiplexe de la Ville. Ils sont Régie de quartier Villeneuve-Village olympique, Grenoble Un appartement de voisinage pour rompre l isolement et agir ensemble Les habitants de Géants-Baladins savent que toute la semaine, Françoise Convers les accueille à l appartement de montée. Ils savent qu ils pourront y boire un café, y parler de leur vie sans donner de nom ou d adresse, de leurs enfants, des soucis, grands et petits. Ils savent encore qu ils peuvent y rencontrer des voisins, faire connaissance, échanger des idées pour se sortir de l ornière. Parmi les 200 foyers de ce groupe d immeubles, les situa- 6 Info-réseau N 28

7 tions de rupture familiales, sociales, culturelles ou professionnelles sont nombreuses. D où un fort repli sur soi, une ambiance plombée par l incompréhension mutuelle, un lien social affaibli. C est pour rompre cet isolement et aider les habitants à renouer des liens entre eux et avec leur environnement proche que tous les organismes sociaux du quartier, le bailleur et la Ville se sont investis dans la construction du projet. Par le porte à porte et le bouche à oreille, les habitants ont appris qu un appartement de voisinage ouvrirait au début de l été. «Les gens en grande difficulté sont venus presque tout de suite. Ils ont compris que c était pour eux. Le fait que ce lieu soit né d une volonté collective a donné un autre sens à notre action, réconfortante et motivante pour les habitants», explique Françoise Convers, conseillère en insertion, recrutée en juin par la Régie. «Notre action pour l instant a un caractère d urgence. Nous devons régler les problèmes de fond en aiguillant les personnes vers des structures sociales. Mais notre objectif, à la Régie, c est d accompagner les habitants vers le développement de liens de solidarité et l action collective. Nous préparons d ailleurs une action de réhabilitation intérieure des logements, sur la part qui incombe aux locataires, fonctionnant sur l échange des savoirs et l apprentissage collectif.» Insersud Régie de quartier, Poitiers Un commerce de proximité pour maintenir une vie économique et sociale dans le quartier Début octobre, la Régie inaugurait avec ses partenaires, la Ville et le bailleur, la nouvelle boutique de Pique tout net dans un centre commercial récemment aménagé au cœur du quartier. En 1998, ce service de mercerie, couture et laverie avait été ouvert dans l ancien centre, qui se désertait alors de ses commerçants. Les habitants, parmi lesquels de nombreuses personnes âgées, se désolaient de leur disparition, et notamment de la mercerie et de la laverie, commerce mais aussi lieu de rencontre quotidien. Refusant la résignation et incitant les autres commerçants à faire de même, la Régie a ouvert Pique tout net, diversifiant en même temps les emplois proposés à ses salariées. Devenue membre de l association des commerçants locaux, elle s est battue à leur côté pour obtenir des conditions d activité plus attractives. Et elle a surtout pu maintenir sur place un espace social vivant, réinvesti aussitôt par les habitants. Régie des quartiers de Carcassonne et Berriac D une activité commune de nettoyage des tapis à la création d une association d habitantes Depuis une dizaine d années, les habitants du quartier du Viguier réclamaient à la municipalité une salle pour le nettoyage des tapis. En 2002, la Société audoise et ariégeoise de HLM a mis à disposition de la Régie un local de 80 m 2, finançant également les travaux d aménagement réalisés par l association. Peu à peu, réunies par cette activité commune de nettoyage, plusieurs mères de famille ont ressenti l urgence d intervenir sur les défaillances de l environnement extérieur. Réponse de la Régie : «Si vous voulez que votre voix porte, créez votre association. Nous vous aiderons.» En septembre, l association Alternatives Femmes était née. Dans une salle proche du local de nettoyage des tapis, aménagée par la Régie avec l aide des femmes de l association, la discussion est quotidienne. Elle porte sur les problèmes du quartier, la propreté, mais aussi l école, les activités du centre social... Avant de passer à l étape suivante : proposer, mobiliser et agir avec les autres habitants. Régie de quartier «Habiter Bacalan», Bordeaux Un journal de quartier, porteur d une libre parole des habitants Dans le deuxième numéro du journal de quartier, trimestriel gratuit de huit pages couleur édité par la Régie et rédigé par les habitants et les associations, on trouve toutes les manifestations passées ou à venir, le portrait d un habitant, des bouts de vie, une tribune libre. Une double page est cette fois-ci consacrée à l arrivée prochaine du tramway sur le quartier, avec les avis des différents acteurs concernés. «C est un projet que la Régie et les habitants préparaient depuis longtemps. Et grâce au partenariat de l Etat, de la Ville de Bordeaux, du Conseil régional d Aquitaine, du Conseil général, du Groupe Toit girondin et de la Protection judiciaire de la jeunesse, le projet a pu voir le jour. Cela a pris du temps car il manquait une réelle coordination des volontés des différents acteurs impliqués. Aujourd hui, la machine est lancée et notre objectif est de voir à terme le journal s émanciper de la tutelle Régie.» déclare le directeur. Le dossier Sur la voie d une autre Europe Info-réseau N 28 7

8 En direct du Réseau Vie du Réseau Assemblée générale : priorité à l économie solidaire et à la vie associative L Assemblée générale du CNLRQ s est tenue les 14 et 15 juin derniers, à Dourdan. Plus de 150 personnes, présidents et bénévoles, directeurs et salariés, ont débattu des orientations stratégiques du Réseau dans les années à venir. Les souhaits des participants sont bien au cœur du projet des Régies. Ainsi une priorité estelle attribuée au développement, sur le territoire des Régies, d actions collectives avec d autres acteurs de l économie solidaire; une autre priorité concerne l ouverture, aux partenaires exté rieurs, du débat sur la vie associative mené depuis deux ans au sein du Réseau. Autre orientation importante : renforcer le professionnalisme des Régies. L effort doit porter sur la capitalisation et la diffusion des pratiques innovantes, la mise en place d une démarche Poignée de main chaleureuse entre Bernard Reverdy, nouveau président du CNLRQ et Guy Dumontier, ancien président, qui poursuit sa collaboration en tant que membre associé du conseil d administration. qualité, la préparation des Régies à l évaluation de leurs activités. En outre, le Réseau devra conduire une réflexion sur les modes de participation des habitantssalariés au projet de la Régie. Enfin, les Régies attendent du Comité national un service de conseil méthodologique valorisant la spécificité de leur mission d insertion économique et sociale. Développement du réseau Habitants et associations doivent être au cœur du projet de Régie Les nouvelles Régies ne pourront se créer qu à partir du capital social mobilisé localement. Sollicité par de nombreuses collectivités territoriales, Régions, Départements ou Villes, pour le développement quantitatif de Régies de quartier ou de Régies rurales, le Réseau est amené à rappeler sans cesse la philosophie dont procède son développement. Les collectivités locales et les pouvoirs publics peuvent être de précieux appuis pour la création d une nouvelle Régie. Cependant, il est indispensable d identifier rapidement les associations et les habitants qui participeront à la définition du projet et à la coproduction de services nouveaux. Et le Réseau fait le pari de trouver, sur chaque territoire, des femmes et des hommes qui ont suffisamment de ressort, d énergie et d imagination pour reconstituer du lien social et participer à la requalification de leur quartier. Sans cette mobilisation du capital social, les Régies ne seraient que l externalisation de fonctions relevant de services municipaux ou de bailleurs sociaux. Le processus d accompagnement à la 8 création de Régie (voir encadré), mené par le CNLRQ, donne ainsi à chacun le temps et les moyens de prendre sa place et de s assurer de la présence d habitants et d associations partenaires dans le projet en cours. Huit étapes pour une Régie 1. Constitution d un comité de pilotage avec les premiers partenaires : élus, bailleurs, services, habitants, associations Désignation d un groupe projet avec une structure porteuse. 3. Organisation de trois réunions thématiques : territoire pertinent, habitants et lien social, activités possibles. 4. Bilan et évaluation du projet. 5. Constitution de l association de préfiguration. 6. Mise en œuvre des premières activités. 7. Expertise du CNLRQ, portant en particulier sur la participation effective des habitants. 8. Labellisation de la Régie et intégration au Réseau. 8 Info-réseau N 29

9 Formation Les nouveaux directeurs et directrices font le bilan de leur formation Le 3 octobre, le CNLRQ réunissait, à Paris, à leur demande, les nouveaux directeur(trice)s de Régies, venus des quatre coins de l hexagone (Chambéry, Romanssur-Isère, Mainvilliers, Bezons, Perpignan... ). L objet de la journée était de faire la synthèse d un cycle de formation de cinq jours, effectué six mois plus tôt. Le but de cette formation avait été de leur apporter une meilleure connaissance du Réseau et de constituer une culture commune sur le projet Régie de quartier. Il s agissait également de présenter le champ complexe du métier de directeur de Régie, c est-à-dire les compétences des différents partenaires institutionnels et économiques avec lesquels il sera amené à travailler, le domaine de l insertion économique et sociale, la réglementation juridique et fiscale, la gestion des ressources humaines... Mais encore d échanger expériences et savoirs et d évaluer les besoins enmatière de formation professionnelle. Les avis des directeurs sont unanimes. La formation les a aidés à mieux appréhender le projet Régie, mais aussi à s y interroger, à donner du sens au travail qu ils effectuent au quotidien, à prendre du recul par rapport à leur pratique. Les échanges d expériences, de trucs, d informations, leur ont été bénéfiques car, de manière générale, ces nouveaux directeurs se sentent un peu isolés dans leur commune et sur leur territoire, certains s avouant même quelque peu démobilisés au regard de l articulation toujours difficile entre les objectifs du projet économique, social et politique. «Mais si c est possible dans une Régie, il n y a pas de raison que cela ne fonctionne pas ailleurs», lançait, plein d enthousiasme, Bernard Monguillon, de la Régie de quartier de Mainvilliers. S est ainsi pleinement révélé, à travers cette formation, le sentiment d appartenance à un Réseau. De fait, les nouveaux directeurs ne s arrêteront pas là. Leur bourse d échanges de documents (l un sur évaluation des risques professionnels, l autre sur un projet de réhabilitation de logement) Économie solidaire perdurera au-delà de ce temps de formation, marquant la mobilisation d un véritable groupe, dynamique et opératoire. Développer des actions partagées sur le territoire des Régies La préparation du Forum social européen (FSE) était cette année l objectif prioritaire de la commission. Il s agissait pour ses membres d inciter le plus grand nombre d acteurs de Régie à venir témoigner de leurs pratiques. Le FSE constitue également une occasion privilégiée de rencontrer d autres acteurs du mouvement de l économie solidaire et d amorcer avec eux la mise en œuvre de projets communs. À cet égard, un des objectifs principaux des travaux de la commission en 2004 sera d aider les Régies à mener des actions partagées à l échelle de leur territoire. Car la démarche partenariale est une des clés du développement et de la reconnaissance de cette économie de la solidarité. Conformément aux orientations des deux dernières assemblées générales du cnlrq, la commission Économie solidaire mène aussi cette année réflexions et actions destinées à favoriser les échanges, les partenariats, la mutualisation de projets et la capitalisation d expériences avec les autres réseaux européens et, en particulier, au sein de l Association européenne des Régies de quartier. Info-réseau N 29 9

10 En direct du Réseau Internet : un nouveau centre de ressources alimenté par plus de 130 Régies Le nouveau site des Régies de quartier conserve sa vocation première : être un outil d échange et de mutualisation des expériences et des pratiques au sein du mouvement des Régies. Le site s est cependant étoffé en direction du grand public. en un Celui-ci peut désormais accéder à une présentation détaillée des Régies de quartier et de leurs activités, s informer sur les actions du Comité national et les formations qu il propose aux bénévoles et salariés des Régies, participer au développement du Réseau à partir des données qui lui sont transmises, télécharger les publications du CNLRQ pour en savoir plus... La grande nouveauté est réservée aux Régies. Elles disposent sur le site d un espace de ressources alimenté par plus de 130 Régies, basé sur le partage clic, des expériences, du savoir-faire et des connaissances de chacun pour l intérêt de tous. Afin de les aider je dans l utilisation de ce nouvel Intranet, le CNLRQ met à la disposition des Régies des affiches, brochures, un mode d emploi animé, un CD-rom... Le tout est gratuit et disponible sur intranet@cnlrq.org ou au : m implique INFO-RÉSEAU Thierry De Lavau, Sébastien Abonnement DGEFP Délégation générale Gross, Guy Lafrechoux, 12,20 Euros 80 F (4 numéros). à l Emploi et à la Formation Directeur de la publication Valérie Lamour, Nathalie Viot. Comité National de Liaison Professionnelle, Bernard Reverdy Illustrations des Régies de Quartier DGAS Direction Générale Secrétariat de rédaction Albert 47-49, rue Sedaine Paris. de l Action Sociale, Cécile Clavier Maquette accueil@cnlrq.org DIV Délégation Comité de rédaction Patricia Chapuis Site Interministérielle à la Ville, et rédaction Imprimeur Cette publication a bénéficié DIES Délégation Marie Michaud, Didier Bernard, LFT,Montreuil du soutien du ministère des Interministérielle à l Innovation Clotilde Bréaud, Virginie Brun, Numéro de dépôt légal Affaires sociales, du Travail sociale et à l Economie Sociale, Zinn-Din Boukhenaïssi, 91/0322. et de la Solidarité : FSE Fonds Social Européen. 10 Info-réseau N 29

11 p Les rendez-vous du CNLRQ Lire Écouter VOIR L I V R E Le guide de l entrepreneur social Cet ouvrage propose une synthèse des aides dont peut bénéficier un porteur de projet qui désire entreprendre socialement. Où s informer Où acquérir des compétences Comment se faire accompagner Où démarrer son projet Comment se faire financer Autant de questions auxquelles cet ouvrage répond par la présentation d une cinquantaine de structures et de dispositifs. Guide disponible sur commande auprès d AVISE (Agence de valorisation des initiatives socio-économiques). Prix public : 15 e. Tél : Novembre Mardi 4 et mercredi 5 Formation Nouveaux directeurs, à Paris (75). Samedi 15 et dimanche 16 Rencontres Acteurs Cycle VI ( 1er module), à Évreux (27). Samedi 15 et dimanche 16 Rencontres Acteurs Cycle VII (2 e module), à Orléans Rosiers (45). Mardi 25, mercredi 26 et jeudi 27 Formation Secrétaire/accueil, à Paris. Décembre Lundi 1 er Formation Encadrants techniques et accompagnants socio-professionnel (module tronc commun ), à Paris. Mardi 2, mercredi 3 et jeudi 4 Formation Accompagnants socio-professionnels (1 er module), à Paris. Vendredi 5 Bureau du CNLRQ, à Paris. Samedi 6 et dimanche 7 Rencontres Acteurs Cycle VII (3 e module), à Macon inter-quartiers Nord (71). Jeudi 11 et vendredi 12 Formation Encadrants techniques (1 er module), à Paris. Samedi 13 et dimanche 14 Rencontres Acteurs VI (2 e module), à Grenoble (38). Janvier Jeudi 8 Formation Encadrants techniques (2 e module), à Paris. Samedi 10 et dimanche 11 Rencontres Acteurs VI (3 e module), à Nevers (58). Vendredi 16 et samedi 17 Conseil d administration du CNLRQ, à Angers (49). Mardi 20 et mercredi 21 Formation Accompagnateurs socio-professionnels, à Paris. Mardi 20, mercredi 21 et jeudi 22 Formation Nouveaux directeurs (lieu à définir). F O R U M Rendez-vous au Forum social européen Du 12 au 15 novembre 2003, les Régies rencontrent les 80 associations européennes ayant choisi de soutenir le Village de l économie sociale et solidaire. Rendez-vous sur le site de l association l Usine : 379, av. du Président Wilson Saint-Denis. Accès : RER B station La Plaine/Stade de France, RER D station Stade de France/Saint Denis. Métro : ligne 13 station Saint-Denis Porte de Paris, Bus : n 153 Pour connaître le programme général connectez-vous sur le site : V I D É O Le Comité national a édité deux cassettes vidéo cette année. L une présente au public le dispositif Régie. La seconde est un support de débat qui interroge les acteurs des quartiers sur les axes d orientation de la Régie. Les Régies au cœur des quartiers pour qui et pour quoi 13 minutes pour comprendre le projet Régie de quartier. Des témoignages d acteurs, bénévoles et salariés, qui donnent le sens de l action des Régies : lien social, citoyenneté, création de nouvelles activités. La Régie de quartier, une association en mouvement Un outil pédagogique en cinq séquences de 4 mn, pour interpeller les participants et susciter le débat lors des événements locaux, des assemblées générales, des conseils d administration, des journées de formation... Cette vidéo permet de situer le dispositif Régie dans son contexte local et sa réalité de terrain. Des points de vue parfois complémentaires, parfois contradictoires, sur le territoire, le partenariat et la participation des habitants, les logiques d emplois et d insertion, l entreprise Régie, le Réseau. Vidéos disponibles sur commande au CNLRQ Info-réseau N 29 11

12 Interview entretien Interview de Jean- Baptiste de Foucauld. Jean-Baptiste de Foucauld a été Commissaire au Plan de 1992 à En 1985, il fonde et préside l association Solidarités nouvelles face au chômage ( Il est l auteur en 2002 d un essai de philosophie politique, Les Trois Cultures du développement humain (Editions Odile Jacob). Un développement matériel, relationnel et spirituel qui passe par la reconstitution d un capital social érodé, notamment par le chômage. Dans votre essai, vous écrivez qu un réseau relationnel dense n est pas seulement un atout pour la personne. Il constitue une force pour la collectivité. Jean-Baptiste de Foucauld : Le politologue Robert Putman a comparé l efficacité des politiques publiques dans différentes régions italiennes. Ces politiques étaient d autant plus efficaces qu il y avait en face d elles une communauté civique à même de se les réapproprier. C est-à-dire une communauté qui maintient et développe des liens de réciprocité et d entraide ; des liens qui n emprisonnent pas les individus, ne réduisent pas leur autonomie, mais leur fournissent au contraire des ressources pour développer leurs initiatives et se développer eux-mêmes. Des liens qui, comme vous le rappelez, ne sont pas simplement des contacts. J.-B. de Foucauld : Notre société offre des possibilités de contacts innombrables. La télévision, les portables, Internet... Mais les contacts restent marqués par une démarche de rentabilité. Je prends contact et il faut que ça me rapporte. Alors que dans le réseau relationnel, il y a un mécanisme de don qui fait passer le nous avant le je. Il ne faut pas pour autant fabriquer n importe quel lien. Il y a ce que Robert Putman, appelle les liens fermés. Ils agissent comme une espèce de colle sociologique. Les individus sont prisonniers de leur milieu ou de leur communauté. À l inverse, les liens ouverts permettent à l individu d être lui-même et d évoluer. De ce point de vue, un des effets pervers du chômage, c est que là où justement il faudrait resserrer les liens pour mobiliser du capital social, il y a un phénomène d évitement mutuel entre ceux qui ont et ceux qui n ont pas de travail. Le chômage peut toujours s apprécier en dernier ressort comme un déficit d initiatives et/ou de solidarité. Une des grandes fonctions de Solidarités nouvelles face au chômage, c est donc de convaincre monsieur tout le monde en disant : «Il y a autour de vous des personnes qui ont besoin d emplois, donc d entourage et de liens sociaux. Il y a aussi des besoins sociaux non satisfaits. Vous leur donnez du temps, vous donnez des revenus, et tout ça converge.» Ce que font les Régies de quartier, avec une méthode un peu différente, en mobilisant collectivités locales et bailleurs dans une optique innovatrice de travail social. Quels sont les moyens de reconstituer le capital social J.-B. de Foucauld : Le fait de travailler, c est déjà s inscrire dans un lien social naturel, fort. Toutes les communautés de travail sont beaucoup plus riches en échanges humains que la simple idée de bosser pour un salaire. La redistribution sociale des richesses doit être organisée prioritairement pour donner du travail à chacun, mais un travail de qualité, qui ait du sens, avec une bonne protection sociale. L engagement associatif est aussi une forme importante de lien social. Autour d une cause, d une action, on s unit pour réaliser une certaine performance collective, où chacun trouve sa place en fonction de ce qu il peut faire, non en fonction d une norme extérieure qui exclut. Enfin, le lien politique crée du capital social. À cet égard, il ne s agit pas seulement de voter. Les grands sujets collectifs - qu ils soient locaux, régionaux, nationaux -, méritent des débats, portés par la volonté de chercher ensemble le sens collectif que l on veut donner à une décision. Ce qui est le but de l éthique de la discussion. Elle nécessite des règles rigoureuses : le partage égal de l information, la prise en compte du vécu ou des problèmes de chacun. À l issue d un débat, il faut bien souvent un arbitrage, mais qu il soit conscient, qu il soit le fruit d une discussion où chacun a pu faire entendre sa voix. Ainsi la démocratie représentative ne flottera plus au-dessus de la société comme la brume au-dessus des eaux. 12 Info-réseau N 29

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