Programme d Appui à la Recherche en Réseau en Afrique PARRAF. Appel à projets
|
|
- Delphine Gagnon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Programme d Appui à la Recherche en Réseau en Afrique PARRAF Appel à projets Date de clôture de l appel à projets : 18 mars 2013 Dossiers de candidature à envoyer à parraf@ird.fr
2 1. Contexte, objectifs et présentation du programme La science joue un rôle croissant dans l économie globalisée et contribue à un développement plus soutenable. Depuis quelques années, les Etats africains, les institutions internationales et les Etats contributeurs de l aide publique au développement portent une attention particulière à la recherche. Elle participe à la consolidation des systèmes éducatifs, notamment d enseignement supérieur, dont la qualité repose sur l existence d une recherche scientifique nationale d excellence, ouverte sur l extérieur. La recherche est indispensable à la formation des compétences et des expertises des Etats et des sociétés africaines pour répondre aux enjeux du développement. Enfin, elle favorise l innovation à travers le transfert et l application des savoirs vers les acteurs du développement économique. L Afrique subsaharienne (hors Afrique du Sud), abrite plus de 10% de la population mondiale, mais s appuie sur seulement 0,8% des chercheurs de la planète pour assurer son développement 1. Les systèmes nationaux de recherche et d innovation ont connu des évolutions contrastées. Certains pays ont su acquérir des capacités scientifiques autour des grandes universités nationales et des centres de recherche quand d autres n ont pas développé de structures de recherche solides, ou doivent reconstruire, suite à des crises politiques, un système national mis à mal. Partant du constat de l importance de la recherche pour le développement, le ministère français des Affaires étrangères (MAE) développe un «Programme d Appui à la Recherche en Réseau en Afrique (PARRAF), avec un financement de 1,9 millions d Euros pour une durée de 3 ans. Il est coordonné par l Agence Inter-établissements de Recherche pour le Développement (AIRD) qui fédère 6 organismes français impliqués dans la recherche pour le développement (CIRAD, CNRS, CPU, INSERM, Institut Pasteur, IRD). PARRAF s appuie notamment sur les acquis de programmes de recherches antérieurs tels que les programmes AIRES-Sud, Corus et Ripiecsa qui ont démontré leur pertinence pour la production de connaissances, l animation de la recherche au Sud et la formation des étudiants. Ils ont permis de renforcer les partenariats Nord-Sud et Sud-Sud au travers d équipes internationales. Les coopérations scientifiques entre les pays d Afrique subsaharienne et la France sont anciennes. Ce programme, qui s inscrit dans la même dynamique de coopération, contribue à maintenir et à renforcer ces partenariats par un soutien à l insertion des scientifiques africains dans les circuits internationaux de la recherche. L enjeu du programme est, d une part, de favoriser l émergence de réseaux de recherche autour de projets fédératifs et régionaux et, d autre part, de renforcer les capacités de recherche des pays africains les moins développés. Pour cela, il soutient la recherche selon des modalités différenciées pour répondre à des besoins contrastés et favoriser les synergies et complémentarités régionales. 1 Rapport de l Unesco sur la science 2010, UNESCO, Paris, France Appel à projets PARRAF 2
3 2. Objectif de l appel Cet appel à projets permettra d identifier et de financer des projets selon les deux composantes ci-dessous : - composante «soutien à des réseaux» rassemblant des institutions de recherche et d enseignement supérieur sur des activités d accompagnement de la recherche pour un montant de composante «projets de recherche» qui permettront aux équipes issues des pays d Afrique les moins développés sur le plan scientifique de s associer à des réseaux pour un montant de Bénéficiaires de l appel 2 Bénéficiaires directs 3 Cet appel s adresse aux équipes de recherche et d enseignement supérieur issues d institutions africaines. Des structures ayant pour vocation la vulgarisation scientifique ou le transfert de technologies peuvent être bénéficiaires directs. Il cible principalement les pays d Afrique sub-saharienne francophone qui sont les partenaires historiques de la coopération scientifique française, ainsi que leurs partenaires non francophones appartenant à des ensembles régionaux intégrés (ex EAC, CEDEAO etc...). Il inclut des équipes originaires d Afrique lusophone et anglophone, à condition que leur participation s inscrive dans une démarche intégrant un partenaire francophone. Bénéficiaires indirects 4 Les équipes de recherche françaises associées aux réseaux sont des bénéficiaires indirects et ne pourront bénéficier d un soutien financier sur les crédits du programme. D autres institutions peuvent être associées en tant que bénéficiaires indirects de cet appel à projets, telles que des équipes de recherche d Afrique du Sud, d Egypte ou des pays du Maghreb. Celles-ci ne pourront pas bénéficier d un soutien financier sur les crédits du programme. Les frais liés à l implication des institutions africaines qui ne sont pas du domaine de la recherche ou de l enseignement supérieur, mais dont l implication a un intérêt (institutions politiques ou techniques mettant en œuvre les résultats de la recherche, entreprises du 2 Cf. Liste détaillée en annexe 3 Les bénéficiaires directs sont les équipes qui peuvent prétendre à un soutien financier selon les modalités décrites aux points 5 (financement des réseaux) et 6 (financement des projets). 4 Les bénéficiaires indirects ne bénéficient pas de financements mais le coût de leur participation peut être pris en charge dans le cadre des réseaux. Appel à projets PARRAF 3
4 secteur privé, associations de producteurs, etc. ) pourront au cas par cas être pris en charge dans le cadre des budgets alloués aux bénéficiaires directs. 4. Axes thématiques L appel concerne les thématiques suivantes : La santé : on s intéressera d une part aux maladies tropicales négligées (un groupe de maladies infectieuses défini par l OMS), qui touchent les populations les plus pauvres ou enclavées et d autre part aux maladies de civilisation (cancer, maladies cardio-vasculaires, diabète, obésité) et aux pathologies qui, du fait de l urbanisation croissante, des changements de mode de vie et des modifications environnementales, deviennent de véritables problèmes de santé publique dans les pays en développement. L agriculture : elle est ici entendue au sens large et inclut la production végétale, animale et halieutique. Le défi est de produire plus et mieux dans un contexte de développement durable, malgré les incertitudes liées au changement climatique. Il faut progresser dans le domaine de la fertilité des sols, de l agriculture écologiquement intensive, de la génétique des plantes, de la protection des espèces et du maintien de leur diversité, de la lutte contre les ravageurs, etc. Pour valoriser le travail des paysans et nourrir les villes, les connaissances sur l ensemble de la chaîne de valeur agroalimentaire doivent fortement progresser. Les aspects liés à la sécurité alimentaire pourront également être étudiés. Le développement urbain : l Afrique doit accueillir 300 millions de nouveaux urbains dans les 20 prochaines années : comment gérer cette forte croissance? La pluralité des acteurs aux côtés de l Etat, dans un contexte de décentralisation, pose la question des modes de gouvernance des villes (acteurs, domaines de compétence, actions, mode de fonctionnement, nature des rapports entre acteurs, etc.) Parmi les questions préoccupantes se posent notamment celle de la production et de la gestion de l habitat (politiques, promoteurs, financements, foncier, etc.), celle aussi des infrastructures (éducation, santé, culture, etc.) et des services urbains de base (eau, énergie, transports, assainissement, etc.). La problématique des activités économiques, en raison de leurs effets multiples sur l organisation et le fonctionnement même de l espace urbain et périurbain (typologie des emplois, localisation des activités, impact sociaux, environnementaux et économiques, gouvernance des villes, etc.) est stratégique. Les enjeux environnementaux sont abordés transversalement. Ils intègrent notamment : - la compréhension des modalités et des conséquences des changements climatiques (observés ou potentiels) - la compréhension des changements anthropiques, notamment la pression anthropique sur les ressources, les sols, etc. L intégration par entités géographiques (bassins versants, territoires périurbains, bassins d'approvisionnement, etc.) sera utile à la compréhension des conséquences de la mise en place des infrastructures (routes, barrages, etc.) sur le développement des productions (végétales, animales, etc.), la propagation des maladies, l impact de l'urbanisation sur les ressources (eau, sols, bois-énergie, etc. La biodiversité peut être prise en compte dans la mesure où elle est intégrée à des enjeux du secteur agricole et de sécurité alimentaire (tels que par exemple la caractérisation et l'augmentation de la diversité variétale, la mobilisation de productions nouvelles, etc.), ou des problématiques de santé (au travers notamment d'espèces vecteurs ou réservoirs de maladies). Appel à projets PARRAF 4
5 5. Composante «soutien à des réseaux» Objectifs et activités des réseaux Cette composante vise à soutenir les équipes de recherche africaines expérimentées qui s associent en réseau. Elles doivent aussi s associer à des équipes françaises, en particulier les équipes membres de l AIRD 5. Le soutien du programme PARRAF cible les activités (i) liées au développement et à la structuration de réseau, (ii) les activités d accompagnement de la recherche et de la formation, (iii) l échange et la mobilité Sud-Sud. Les activités de recherche réalisées dans le cadre du réseau ne sont pas éligibles à un soutien financier à travers ce programme. i. PARRAF vise la structuration de la recherche en réseau. Il soutient donc les activités de développement et structuration des réseaux. Il peut s agir du montage d un atelier fondateur, d évènements scientifiques fédérateurs, d outils de communication, du soutien à la gouvernance du réseau. La capacité des réseaux à s inscrire dans la durée est un élément important pour leur sélection. ii. Les réseaux doivent viser l émergence de projets collectifs de grande ampleur à travers des activités d accompagnement de la recherche. Les réseaux développant des projets de formation sont particulièrement attendus ainsi que ceux développant des activités de valorisation, d expertise, de communication scientifique, etc. Quelques exemples d objectifs qui peuvent être soutenus : - la création de masters ou d écoles doctorales au niveau régional, - la structuration d équipes pour répondre à des appels à projets internationaux, - la conduite d expertises collectives, - la valorisation des travaux en cours, y compris en dehors du monde académique, pour les décideurs ou le grand public à travers des ouvrages de synthèse, des émissions audiovisuelles, - le transfert de connaissances existantes envers des cibles identifiées, - la mise en place de structures de transfert et d innovation. Cette liste n est pas exhaustive. iii. Il est attendu des projets de réseaux qu ils renforcent la régionalisation de la recherche. La mobilité Sud-Sud est un instrument privilégié du programme PARRAF pour renforcer la régionalisation. Les projets développant un ambitieux volet d échanges de doctorants et de jeunes chercheurs (début de carrière) sont particulièrement attendus. La mobilité au Nord, si elle est admise, n est envisagée qu à titre complémentaire. Composition des réseaux 5 Sont membres de l AIRD : le Cirad, le CNRS, l Inserm, l Institut Pasteur, l IRD et toutes les universités françaises à travers la Conférence des Présidents d Université. Appel à projets PARRAF 5
6 Cette composante concerne des équipes de recherche appartenant à des institutions africaines qui ont déjà fait la démonstration de leurs capacités à mener des opérations de recherche ou de formation à la recherche. Chaque réseau désignera une équipe coordinatrice du réseau. Chaque réseau devra être composé au minimum de 5 équipes, issues de 3 pays africains différents. L association au sein des réseaux d équipes issues de différents champs disciplinaires, notamment les sciences sociales, constitue un atout. Les réseaux : - devront associer des équipes françaises, celles-ci seront considérées comme bénéficiaires indirects du programme PARRAF ; - pourront associer d autres partenaires africains : o ces partenaires peuvent être issus des pays francophones, lusophones et anglophones des pays d Afrique sub-saharienne (cf. liste en annexe) o des équipes issues des pays du Maghreb et d Afrique du Sud o des institutions en-dehors du domaine de la recherche et de l enseignement supérieur. Les institutions internationales pourront être considérées comme éligibles, après validation du comité de pilotage. Financement des réseaux Le montant maximum accordé à un réseau est de sur la durée du programme à savoir 3 ans ( ). L aide accordée est versée aux équipes du Sud, membres du réseau. Les institutions, considérées comme bénéficiaires directs du programme, prennent en charge les dépenses liées à la mise en œuvre du réseau. Les bénéficiaires indirects, membres du réseau, ne peuvent obtenir d appui financier. Les dépenses 6 éligibles concernent : - les frais de fonctionnement du réseau, tels que la création et animation de réseau, l organisation d ateliers ou d évènements scientifiques ; - les activités liées aux objectifs spécifiques du réseau ; - les actions de mobilité, sachant que la mobilité au Nord ne peut dépasser 20% du budget alloué à la mobilité par réseau. 6. Composante «projets de recherche» Objectifs et activités des projets 6 Le programme prévoit que les dépenses liées à la structuration et au développement du réseau représentent environ 20% des coûts, celles liées à la mobilité représentent 40% et les autres coûts 40%. Ces proportions sont indicatives. Appel à projets PARRAF 6
7 Cette composante vise à renforcer les capacités des équipes des pays d Afrique francophone (cf. liste en annexe) disposant de faibles moyens sur le plan scientifique et à renforcer leur intégration régionale. Ainsi, les projets des équipes issues de certains pays particulièrement peu développés sur le plan scientifique et/ou en situation de crise ou post-crise 7 sont attendus : Burundi, Comores, Côte d Ivoire, Djibouti, Guinée, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Tchad. Les projets des équipes issues des autres pays d Afrique francophone sont éligibles dans la mesure où ces équipes sont issues d institutions encore peu structurées du point de vue de la recherche telles que les universités de province nouvellement créées. Celle-ci permet de financer un projet de recherche en partenariat associé à un réseau et comprenant différents volets. i. Ce projet doit s effectuer en partenariat. Il inclut une équipe coordinatrice, issue des pays éligibles et une équipe d appui. Cette équipe d appui est soit une équipe française, soit une équipe africaine, dont l excellence scientifique est reconnue. ii. Les projets de recherche doivent s inscrire dans les thématiques définies pour les réseaux. Les projets pourront être présentés dans le cadre d un réseau ou seront associés à un réseau par le conseil scientifique. iii. Cette composante inclut un soutien à l équipement, la mise en œuvre de recherches et de formations. Financement des projets Le montant maximum pour chaque projet de recherche est de euros. L aide accordée est versée à l équipe du Sud, coordinatrice du projet. Toute dépense directement liée au projet est susceptible d être prise en charge selon trois types de dépenses : - les dépenses de fonctionnement au sens strict (produits de laboratoire, coûts des enquêtes de terrain, divers consommables, etc.) ; - les coûts liés au partenariat qui seront limités à 20% de l enveloppe de projets (missions de coordination, réunions inter-équipes, etc.) ; - les dépenses d équipements nécessaires aux travaux de recherche (plafonnées à 40% du total du projet) ; NB : Les dépenses de formation des membres de l équipe (chercheurs, ingénieurs et techniciens), avec pour objectif la maîtrise d une méthode ou d une technique, seront prises en charge dans le cadre des réseaux, à travers les mobilités de formations individuelles et la participation aux formations transversales. 7 Le critère du nombre de publications dans le Web of Science par millions d habitants a été utilisé comme l un des indicateurs pour établir cette liste. Appel à projets PARRAF 7
8 7. Durée Le financement des projets ne pourra excéder la fin du programme, prévue en Examen des projets a. Critères de recevabilité Pour les projets de réseaux Le projet doit être présenté par une équipe dont l activité principale est la recherche et/ou l enseignement supérieur, L équipe coordinatrice du réseau doit être originaire d un pays précisé dans la liste en annexe), Le réseau doit associer 5 équipes minimum, au moins une équipe issue d un pays francophone d Afrique subsaharienne, au moins trois équipes originaires de pays d Afrique subsaharienne francophone, anglophone ou lusophone (cf. Liste en annexe), Au moins une équipe française, en particulier les équipes membres de l AIRD, Les pays du Maghreb, l Egypte et l Afrique du Sud pourront proposer des équipes au sein des réseaux, bien qu elles ne bénéficient pas de soutien financier du programme. Pour les projets de recherche : Le projet doit être présenté par une équipe dont l activité principale est la recherche et/ou l enseignement supérieur. Le projet doit être soumis par une équipe issue d un pays éligible (Cf. Liste en annexe). L équipe présentant le projet peut être rattachée à un réseau. Le cas échéant, le comité de sélection veillera à ce qu elle puisse être intégrée à l un des réseaux retenus pour la composante 1. b. Critères d évaluation Pour les projets de réseaux : Pertinence de la proposition au regard des orientations de l appel à projets (axes thématiques, recommandations, objectifs de l appel), Qualité technique et impact potentiel du projet (notamment le caractère fédérateur, la durabilité potentielle, l importance du volet renforcement des capacités, les transferts potentiels des résultats et de valorisation etc.), Importance du volet mobilité Sud-Sud, Méthodologie, qualité de la construction du projet, Qualité du partenariat et de la coordination, Adéquation projet moyens / Faisabilité du projet. Pour les projets de recherche : Pertinence de la proposition au regard des orientations de l appel à projets, Appel à projets PARRAF 8
9 Intérêt de l intégration de l équipe et du projet dans un réseau, Structure de rattachement des équipes de recherche et qualité du partenariat, Qualité scientifique du projet, Adéquation projet moyens / Faisabilité du projet. La sélection d un réseau est nécessaire mais pas suffisante à la sélection des projets de recherche qui lui sont rattachés. 9. Modalités de soumission La soumission des projets se réalise en deux étapes : Déclaration préalable de réseaux : avant le 14 février 2013 (un mois après la publication de l appel) Sous format électronique à l adresse suivante : parraf@ird.fr Cette déclaration se compose d une description succincte du thème et des objectifs du réseau (environ 10 lignes), de la liste des équipes de recherche pressenties avec adresse mail d une ou plusieurs personnes de contact. Les déclarations seront publiées à l adresse suivante : L objectif étant de fédérer les différentes équipes, ces déclarations permettront : aux différents projets de réseaux de se regrouper le cas échéant pour éviter la dispersion et la duplication des efforts, aux équipes souhaitant s associer à un réseau de recherche de se manifester et de déposer un projet. Dépôt des dossiers complets avant le 18 mars 2013 sous format électronique à l adresse suivante : parraf@ird.fr N.B. : Les courriers d engagement pourront compléter le dossier et être envoyés jusqu au 30 mars Un partenaire ne présentant pas de lettre d engagement à cette date ne pourra être considéré comme membre du réseau. L original du courrier d engagement de chaque institution et tous les documents signés doivent être gardés en original et pourront être réclamés en cas de sélection du projet. 10. Définition des coûts éligibles Pour les composantes 1 et 2 Frais de déplacement des personnels permanents ou temporaires affectés au projet. Pour les mobilités, le barème des indemnités journalières pour les missions de courte durée et le barème des indemnités mensuelles pour les échanges de longue durée doivent être clairement indiqués y compris en fonction des grades ; Appel à projets PARRAF 9
10 Tous frais liés à l organisation de formations, d évènements ; Frais de «paillasse» (frais liés à l intégration d un étudiant dans un laboratoire) dans les universités d accueil pour les mobilités d étudiants ; Frais de publication et frais de communication ; Frais généraux de gestion (cf ) ou frais de structures dans la limite de 10%. Pour la composante 2 Frais de laboratoire (fluides, petits matériels, équipements, consommables ) ; 11. Processus de sélection et calendrier Appel à projet Lancement de l appel d offres : 14 janvier 2013 Pour les réseaux, déclaration d un pré-projet : avant le14 février 2013 Dépôt des projets : avant le 18 mars 2013 Une fois les projets de réseau et les projets de recherche déposés, la sélection s opère en trois étapes : - une évaluation des dossiers effectuée par des experts indépendants, - un classement des projets de réseaux et des projets de recherche réalisé par le conseil scientifique, - la liste définitive des projets soutenus est établie par le comité de pilotage. Diffusion des résultats : mai 2013 Démarrage et financement Une fois les arbitrages réalisés, une notification comportant le budget maximum alloué à chaque équipe sera envoyée à chaque responsable d équipe composant un réseau. Cette notification constituera un engagement de la part de l AIRD à verser les premières tranches de financements aux équipes. Les dépenses seront prises en compte à partir de la date de la notification, permettant ainsi, aux équipes de démarrer les activités. Il est attendu des réseaux qu ils réalisent leur atelier de démarrage, si cela est prévu, avant août La méthode de financement privilégiée est le financement direct aux institutions bénéficiaires. Les versements sont réalisés en tranches annuelles, en fonction du plan de financement proposé. Il est possible d ouvrir un compte dédié au projet ou de verser les financements sur un compte institutionnel. Mise en œuvre des projets de réseau et de recherche La mise en œuvre du projet est de la responsabilité du coordonnateur. Même si les équipes partenaires reçoivent un financement directement à travers leur institution de rattachement, elles rendent compte au coordinateur qui centralise les rapports techniques et financiers. Appel à projets PARRAF 10
11 Le coordonnateur peut effectuer à tout moment des demandes de modification du projet sur des aspects techniques ou financiers, pour toute action ou pour toute équipe appartenant au réseau dont il a la charge. Ces modifications font l objet d une négociation entre le secrétariat exécutif de PARRAF, le conseil scientifique et les équipes concernées. Modalités de suivi Chaque réseau sera suivi par un ou deux membres du conseil scientifique. Le secrétariat exécutif et un représentant du conseil scientifique effectueront au moins une mission de suivi auprès des équipes coordinatrices et, en fonction des possibilités, auprès des autres équipes associées au projet. Chaque projet fera l objet d un suivi financier rapproché et un compte-rendu des dépenses devra être effectué avant chaque demande de versement de tranche. Fin 2014 aura lieu une revue à mi-parcours qui portera sur les aspects techniques et les aspects financiers. Cette revue à mi-parcours décidera de la poursuite ou du recadrage éventuel voire de l arrêt du financement des réseaux et des projets. Un reliquat de 10% du budget maximal sera conservé jusqu à la remise du rapport final. Le montant versé en reliquat permettra de rembourser les dernières dépenses effectuées. En annexe : - Liste des pays éligibles Appel à projets PARRAF 11
12 Annexe : Liste des pays éligibles à l appel à projets du Programme d Appui à la Recherche en Réseau en Afrique Composante 1 : Soutien à des réseaux Les équipes membres des réseaux seront issues des pays suivants : o Bénéficiaires directs : Afrique francophone, lusophone et anglophone, notamment, Angola, Bénin, Botswana, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Cap-Vert, Comores, Congo, Côte d'ivoire, Éthiopie, Djibouti, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-équatoriale, Kenya, Lesotho, Madagascar, Malawi, Mali, Maurice, Mauritanie, Mozambique, Namibie, Niger, Nigéria, Ouganda, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Rwanda, Sao Tome et Principe, Sénégal, Seychelles, Somalie, Soudan, Swaziland, Tanzanie, Tchad, Togo, Zambie, Zimbabwe. o Bénéficiaires indirects : Afrique du Sud, Algérie, Egypte, France, Maroc, Libye, Tunisie. Composante 2 : Soutien aux projets - Pays à faibles capacités de recherche, en fonction du nombre de publications par rapport à la population (source : Web of Sciences) et/ou en situation de crise ou postcrise : Burundi, Comores, Côte d'ivoire, Djibouti, Guinée, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Tchad. - Les projets des équipes issues des autres pays d Afrique francophone sont éligibles (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Rwanda, Sénégal, Togo) dans la mesure où ces équipes sont rattachées à des institutions encore peu structurées du point de vue de la recherche, telles que les universités de province nouvellement créées. Appel à projets PARRAF 12
Connaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailPays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile
ANNEXE 1 Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile Pays Pays où il y a un Pays exigeant Pays exigeant risque de transmission la vaccination
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------
STATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------ (version amendée à Kampala, en Ouganda, le 19 août 2003) 2 Les signataires des présents Statuts, Reconnaissant
Plus en détailBOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU»
BOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU» 2010-2011 DOCUMENT DE PRÉSENTATION Appel international à candidatures ouvert du 10 novembre 2010 au 10 janvier 2011 1. DOCUMENT DE PRESENTATION
Plus en détailTHESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES
THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications
Plus en détailA. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale. 1.
Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale et pays dont les ressortissants en sont exemptés A. Liste des pays tiers dont les ressortissants
Plus en détailFonds. Soutien aux Entreprises en Afrique
Fonds d Investissement et de Soutien aux Entreprises en Afrique Paul Kabré S impliquer et investir aux côtés des entreprises africaines PROMOUVOIR LA CROISSANCE ET L EMPLOI EN AFRIQUE FISEA est un fonds
Plus en détailUn Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique
Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique Extrait de Un Aperçu de la Situation de l Eau Potable et de l'assainissement en Afrique Une perspective régionale s'appuyant sur des données récentes
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN
CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT EMBARGO Le présent document ne doit pas être cité ou résumé par la presse, la radio, la télévision ou des médias électroniques avant le
Plus en détailBOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER
BOURSES SCOLAIRES au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER ÉTABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL À CARACTÈRE ADMINISTRATIF SOUS
Plus en détailLe nouveau modèle de financement du Fonds mondial
Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme Quatrième reconstitution des ressources (2014-2016) Le nouveau modèle de financement du Fonds mondial Avril 2013 Introduction 1. Fin
Plus en détailBOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU»
BOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU» 2011-2012 DOCUMENT DE PRÉSENTATION Appel international à candidatures ouvert du 28 juin (1 er août en ligne) au 28 octobre 2011 (minuit,
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME DU SECTEUR PRIVÉ
C O N F É R E N C E D E S N AT I O N S U N I E S S U R L E C O M M E R C E E T L E D É V E L O P P E M E N T LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME
Plus en détailComparaison des dépenses réelles de consommation des ménages et des niveaux de prix en Afrique
Comparaison des dépenses réelles de consommation des ménages et des niveaux de prix en Afrique 2013 Banque africaine de développement Le présent document a été préparé par la Division de renforcement des
Plus en détailTravailleurs migrants et transferts de fonds vers l Afrique
Travailleurs migrants et transferts de fonds vers l Afrique Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté 100 Marchés, environnement porteur et perspectives des transferts
Plus en détailTableau récapitulant au 10 octobre 2014 l'état de la Convention et des accords y relatifs
Information concernant l état de la Convention, de l'accord relatif à l'application de la Partie XI de la Convention et de l Accord aux fins de l'application des dispositions de la Convention relatives
Plus en détailRévision des besoins non satisfaits: En bref Résumé de l analyse de MEASURE DHS
Révision des besoins non satisfaits: En bref Résumé de l analyse de MEASURE DHS Pourquoi faut-il changer la définition des besoins non satisfaits en matière de planification familiale? Le concept de besoins
Plus en détailMot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP
Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailINITIATIVE FRANCOPHONE POUR LA FORMATION A DISTANCE DES MAÎTRES (IFADEM) APPELS À PROJETS DE RECHERCHE 2014
INITIATIVE FRANCOPHONE POUR LA FORMATION A DISTANCE DES MAÎTRES (IFADEM) APPELS À PROJETS DE RECHERCHE 2014 1. Contexte des appels à projets Co- pilotée par l Agence universitaire de la Francophonie (AUF)
Plus en détailDIRECTIVES CONCERNANT LES GROUPES DE COMPÉTITEURS ET LES RAPPORTS DE TENDANCE
STR DIRECTIVES CONCERNANT LES GROUPES DE COMPÉTITEURS ET LES RAPPORTS DE TENDANCE Directives pour l Amérique du Nord et les Caraïbes Nombre minimum de propriétés Les groupes de compétiteurs doivent inclure
Plus en détail29 juin 2010, Luxembourg. Avec Samba Dia, Directeur Adjoint de l ins tu on de microfinance UM-PAMECAS, Sénégal. XIVème Midi de la microfinance
29 juin 2010, Luxembourg Avec Samba Dia, Directeur Adjoint de l ins tu on de microfinance UM-PAMECAS, Sénégal XIVème Midi de la microfinance INTRODUCTION La microfi nance au service des migrants...p.5
Plus en détailSud Expert Plantes Comité de Pilotage
Sud Expert Plantes Comité de Pilotage Mardi 8 Juin 2010, 9 :30-17 :30 Ministère des Affaires Etrangères et Européennes 27 rue de la Convention, salle 131, entrée par le 48 rue de Javel ; 75 015 Paris cedex
Plus en détailMortalité par cause spécifique et morbidité
par cause spécifique et morbidité Sur 10 décès qui se produisent dans le monde, 6 sont dus à des non, 3 à des pathologies, génésiques ou nutritionnelles et 1 résulte de. De nombreux pays en développement
Plus en détailPasseport en cours de validité avec copie des pages relatives à l'identité, validité et visa d'entrée en France.
F.36 Carte de Séjour Temporaire «Scientifique - Chercheur» ---------- Première demande (Changement de statut) -articles L.313-8 & R.313-11 à R.313-13 du CESEDA -Accord franco-algérien du 27 décembre 1968
Plus en détailMots clés : Réforme monétaire, monnaie africaine, développement économique, Afrique.
SODOKIN, Koffi 1 UNE UNITE DE MONNAIE AFRICAINE DANS LA PERSPECTIVE DE LA CREATION D UNE BANQUE CENTRALE AFRICAINE POUR LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE EN AFRIQUE: FONDEMENTS ANALYTIQUES ET PROPOSITIONS. Résumé
Plus en détailPeur sur la ville. L hebdo. GRATUIT Ne peut être vendu SÉCURITÉ UNIVERSITÉ LA BOURSE OU LA VIE NORD PARAPHE DE L ACCORD : LES RAISONS DU BLOCAGE
«Un journal c est la conscience d une nation». Albert Camus Journal www.journaldumali.com du Mali L hebdo N 01 du 16 au 22 avril 2015 NORD PARAPHE DE L ACCORD : LES RAISONS DU BLOCAGE BAD 2015 BIRAMA SIDIBÉ,
Plus en détailLa BAD en bref Mai 2013
La BAD en bref Mai 2013 1 Avertissement La Banque africaine de développement ne saurait être tenue pour responsable des erreurs et conséquences pouvant résulter des informations contenues dans cette publication.
Plus en détailLusaka, 7 mai 1982. Note: L'original de l'accord a été établi par le Secrétaire général de l'organisation des Nations Unies le 2 juin 1982.
. 2. b) Accord portant création de la Banque africaine de développement en date à Khartoum du 4 août 1963 tel qu'amendé par la résolution 05-79 adopté par le Conseil des gouverneurs le 17 mai 1979 Lusaka,
Plus en détailSTATUTS DE LA BANQUE AFRICAINE D INVESTISSEMENT
STATUTS DE LA BANQUE AFRICAINE D INVESTISSEMENT 1 CHAPITRE I DISPOSITIONS GÉNÉRALES Article 1 Définitions Dans les présents statuts, sauf disposition contraire, on entend par : «Acte», l Acte constitutif
Plus en détailBRIEFING NOTE 1 ETATS DES LIEUX DE LA MICRO-ASSURANCE EN AFRIQUE. 1. Dénombrer les bénéficiaires de la micro-assurance sur le continent africain
BRIEFING NOTE 1 Microinsurance Innovation Facility ETATS DES LIEUX DE LA MICRO-ASSURANCE EN AFRIQUE 1. Dénombrer les bénéficiaires de la micro-assurance sur le continent africain En Afrique, la micro-assurance
Plus en détailExtrait d'acte de naissance de moins de trois mois traduit en français.
F.35 Carte de Séjour Temporaire «Vie Privée et Familiale» «Conjoint de Scientifique» -articles L.121-1, L.121-3 et L.313-8 du CESEDA -Accord franco-algérien du 27 décembre 1968 modifié Démarche La demande
Plus en détailServices susceptibles d être retenus pour le classement :
NOTICE relative à la constitution des DOSSIERS de CLASSEMENT (Décret n 51-1423 du 05/12/51 modifié) Division des Personnels Enseignants Services susceptibles d être retenus pour le classement : - tous
Plus en détailLE CANNABIS EN AFRIQUE. Synthèse
LE CANNABIS EN AFRIQUE Synthèse Novembre 2007 Cette synthèse sur la situation du cannabis en Afrique a été préparée par Denis Destrebecq dans le cadre du programme des données pour l Afrique, le segment
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur
AFRISTAT PROGRAMME DE COMPARAISON INTERNATIONALE-AFRIQUE Termes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur Contexte Au cours de l année 2004, AFRISTAT
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailInvestissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»
Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives
Plus en détailACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944
ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste
Plus en détailIMPACT DE LA CRISE SUR LES ÉCONOMIES AFRICAINES MAINTENIR LA CROISSANCE ET POURSUIVRE LA RÉDUCTION DE LA PAUVRETÉ
IMPACT DE LA CRISE SUR LES ÉCONOMIES AFRICAINES MAINTENIR LA CROISSANCE ET POURSUIVRE LA RÉDUCTION DE LA PAUVRETÉ Perspectives et recommandations de l Afrique au G20 Un rapport du Comité des Ministres
Plus en détailPerspectives économiques en Afrique 2013
ÉDITION DE POCHE Afrique du Sud Algérie Angola Bénin Botswana Burkina Faso Burundi Cameroun Cap-Vert Comores Congo, Rép. Congo, Rép. dém. Côte d Ivoire Djibouti Égypte Erythrée Éthiopie Gabon Gambie Ghana
Plus en détailSAEGIS SUR SERION DES BASES DE DONNÉES DIVERSIFIÉES. UNE COUVERTURE MONDIALE. THOMSON COMPUMARK. Registre international.
DES DIVERSIFIÉES. UNE COUVERTURE MONDIALE. REUTERS/ANDY GAO Registre international Registre international Amérique du Nord Bermudes Canada Mexique États-Unis : Marques fédérales, Marques d État Amérique
Plus en détailQUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011
QUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011 Bureau du Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral
Plus en détailPour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme
Pour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme Séminaire régional à l intention des parlementaires et fonctionnaires de parlements des pays
Plus en détailLA COUR AFRICAInE DES DROITS DE L HOmmE ET DES peuples
GUIDE pratique LA COUR AFRICAInE DES DROITS DE L HOmmE ET DES peuples vers la Cour africaine de justice et des droits de l Homme Avril 2010 Guide pratique La Cour africaine des droits de L Homme et des
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détailDES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE
RAPPORT SUR LE STATUT DES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE Possibilités et Enjeux RAPPORT SUR LE STATUT DES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE Possibilités et Enjeux
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailL éditorial. Le secrétariat de CGLU Afrique lance ce premier numéro «L Etat des
L éditorial Jean-Pierre ELONG-MBASSI Le secrétariat de CGLU Afrique lance ce premier numéro «L Etat des Finances Locales en Afrique» afin de comparer, pour la première fois, les principaux chiffres et
Plus en détailPerspectives économiques en Afrique 2014
Édition de Poche Perspectives économiques en Afrique 2014 THÈME SPÉCIAL : Les chaînes de valeur mondiales et l industrialisation de l Afrique Afrique du Sud Algérie Angola Bénin Botswana Burkina Faso Burundi
Plus en détailJe tiens à vous informer que j'ai décidé d afficher le poste de Directeur du Bureau de la gestion des ressources humaines, à Paris (France).
09/12/2014 Réf. : Objet : CL/4083 Directeur (D-2) du Bureau de la gestion des ressources humaines Paris, France HRM 237 Madame, Monsieur, Je tiens à vous informer que j'ai décidé d afficher le poste de
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE: BILAN, PERSPECTIVES ET CHOIX DES POLITIQUES ÉCONOMIQUES
UNCTAD/GDS/AFRICA/1 TD/B/48/12 CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE: BILAN, PERSPECTIVES ET CHOIX DES POLITIQUES ÉCONOMIQUES NATIONS UNIES
Plus en détailUNIÃO AFRICANA Addis Ababa, ETHIOPIA P. O. Box 3243 Telephone +2511517700 Fax : +251115517844 Website : www.africa-union.org
AFRICAN UNION UNION AFRICAINE UNIÃO AFRICANA Addis Ababa, ETHIOPIA P. O. Box 3243 Telephone +2511517700 Fax : +251115517844 Website : www.africa-union.org CONSEIL EXÉCUTIF Vingtième session ordinaire 23-27
Plus en détailGénération des forces de police Standards et Procédures
Génération des forces de police Standards et Procédures Forum régional de Yaoundé 8-10 novembre 2009 Participation aux OMP: pratiques et paramètres par Mody BERETHE Divison Police des Nations Unies/DOMP
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailDOSSIER DE CANDIDATURE
DOSSIER DE CANDIDATURE U N I V E R S I T É T O U L O U S E 2 L E M I R A I L en partenariat avec y Diplôme Universitaire Responsable de site e-commerce et e-tourisme appliqués au développement des territoires
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC Autorité hiérarchique : Secrétaire Exécutif du RAPAC (SE), Expert-Responsable
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailSELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES
Plus en détailAppel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE)
Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Date de l ouverture de l appel à projets : Mi-juillet 2013 Date de clôture de l appel à projets : 31 octobre
Plus en détailPAYS LES MOINS AVANCES
PAYS LES MOINS AVANCES CE QU IL FAUT SAVOIR ET CE QU IL FAUT FAIRE Bureau du Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en
Plus en détailDOSSIER DE SOUMISSION DE PROJETS DE RECHERCHE NOTES EXPLICATIVES
DOSSIER DE SOUMISSION DE PROJETS DE RECHERCHE NOTES EXPLICATIVES Dans le cadre de la coopération Ivoiro Suisse, le Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique de Côte d Ivoire
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailLe point sur l épidémie de sida
07 Le point sur l épidémie de sida ONUSIDA/07.27F / JC1322F (version française, décembre 2007) Version originale anglaise, UNAIDS/07.27E / JC1322E, décembre 2007 : AIDS epidemic update: December 2007 Traduction
Plus en détailS. A. BANQUE DE CREDIT A L EXPORTATION DE TURQUIE
S. A. BANQUE DE CREDIT A L EXPORTATION DE TURQUIE PROGRAMME DU CREDIT AUX ACHETEURS DES PAYS DESTINE AU SECTEUR DE FABRICATION DE MACHINES AVEC LA COOPERATION DE L UNION DES EXPORTATEURS DE MACHINES ET
Plus en détailRepères n 7. Le financement des PME en Afrique. par Céline Kauffmann. www.oecd.org/dev/reperes CENTRE DE DÉVELOPPEMENT DE L OCDE
CENTRE DE DÉVELOPPEMENT DE L OCDE www.oecd.org/dev/reperes Repères n 7 Le financement des PME en Afrique par Céline Kauffmann Repères n 7 découle des Perspectives économiques en Afrique 2004/2005, une
Plus en détailEtabli par le secrétariat de la CNUCED. NATIONS UNIES New York et Genève, 2005
3 CONFERENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DEVELOPPEMENT Genève Prof ofil statistique tistique des Pays les Moins Avancés Etabli par le secrétariat de la CNUCED NATIONS UNIES New York et Genève,
Plus en détail0.142.301. Protocole relatif au statut des réfugiés. Texte original. (Etat le 17 décembre 2002)
Texte original Protocole relatif au statut des réfugiés 0.142.301 Conclu à New York le 31 janvier 1967 Approuvé par l Assemblée fédérale le 4 mars 1968 1 Instrument d adhésion déposé par la Suisse le 20
Plus en détailDécryptage des pouvoirs économiques et politiques du continent africain à travers 5 titres de référence
BROCHURE TARIFAIRE 2015 AFRICA Africa Intelligence Décryptage des pouvoirs économiques et politiques du continent africain à travers 5 titres de référence L abonnement à Africa Intelligence comprend l
Plus en détailRapport de fin du Programme
Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Département des Affaires Economiques et Sociales du Secrétariat Général des Nations Unies Programme des Nations Unies pour le Développement
Plus en détailMAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.
MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailGUIDE PRATIQUE des opérateurs privés. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT BOAD - Guide pratique GUIDE PRATIQUE DESTINE AUX OPERATEURS ECONOMIQUES PRIVES 1. PRESENTATION La Banque Ouest
Plus en détailVers des stratégies de développement localisées et plus inclusives en Afrique
www.africaneconomicoutlook.org/fr/ Synthèse Vers des stratégies de développement localisées et plus inclusives en Afrique Performances et perspectives en Afrique Perspectives macroéconomiques en Afrique
Plus en détailRéseau des pays du Mouvement SUN : Rapport de la 17 e réunion - 26 Janvier au 2 février 2015
Réseau des pays du Mouvement SUN : Rapport de la 17 e réunion - 26 Janvier au 2 février 2015 La 17 e réunion du Réseau des points focaux nationaux du Mouvement SUN s'est tenue du 26 janvier au 2 février
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détailOffre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD
Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation
Plus en détailARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES RENOUVELLEMENT DE L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL
MM11(F) ARRANGEMENT ET PROTOCOLE DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES RENOUVELLEMENT DE L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL (Règle 30 du règlement d exécution commun) IMPORTANT 1.
Plus en détailPOINT DE DÉCISION DE LA FRANCOPHONIE : STOPPER LES NOUVELLES INFECTIONS AU VIH ET GARANTIR LES TRAITEMENTS POUR TOUS
POINT DE DÉCISION DE LA FRANCOPHONIE : STOPPER LES NOUVELLES INFECTIONS AU VIH ET GARANTIR LES TRAITEMENTS POUR TOUS SOMMET DE LA FRANCOPHONIE kinshasa Octobre 2012 Messages clés : Les pays membres de
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,
Plus en détailAdmissions en formation initiale sous statut étudiant. Guide de candidature des candidats internationaux
Admissions en formation initiale sous statut étudiant Guide de candidature des candidats internationaux Session 2013 Table des matières I. Baccalauréat Scientifique (ou équivalent)...3 II. Classe Préparatoire
Plus en détail38 e assemblée générale de la FANAF
38 e assemblée générale de la FANAF Les nouveaux enjeux du contrôle des assurances Ouagadougou, mardi 18 février 2014 François Tempé Autorité de Contrôle prudentiel et de Résolution (ACPR) Abréviations
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailSélection d un Consultant chargé d accompagner le GIM-UEMOA dans le processus de mise en place d un Plan de Continuité de l Activité (PCA)
TERMES DE REFERENCE Sélection d un Consultant chargé d accompagner le GIM-UEMOA dans le processus de mise en place d un Plan de Continuité de l Activité (PCA) TDR_Plan de Continuité de l Activité (PCA)
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailTroisième partie ANNEXE STATISTIQUE
Troisième partie ANNEXE STATISTIQUE Troisième partie A N N e x e s t a t i s t i Q u e 99 Notes relatives aux tableaux annexes Signes conventionnels On trouvera, dans les tableaux, les signes conventionnels
Plus en détailAppel à candidature. Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers
Appel à candidature Portage d une plateforme mobilité sur le territoire de la Communauté d agglomération d Angers Contexte La mobilité géographique est l un des sujets centraux lorsque l on aborde la question
Plus en détailTERMES DE REFERENCE Mission n 14INI144
TERMES DE REFERENCE Mission n 14INI144 I. Informations générales Intitulé de la mission Composante Thématique(s) Bénéficiaire(s) Pays Durée totale des jours prévus 64 Revue documentaire des formes juridiques
Plus en détailBAREME GENERAL DES CONDITIONS APPLICABLES A LA CLIENTELE
BAREME GENERAL DES CONDITIONS APPLICABLES A LA CLIENTELE A PARTIR DU 1ER JUIN 2008 (Document non limitatif et modifiable) 2 I - OUVERTURE DE COMPTE Compte épargne Marina : 100.000 FCFA Dantokpa, Jéricho,
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailFinancement de l infrastructure publique en Afrique subsaharienne: scénarios, problèmes et options
RESUME DU DOCUMENT DE REFERENCE 15 DIAGNOSTICS DES INFRASTRUCTURES NATIONALES EN AFRIQUE Financement de l infrastructure publique en Afrique subsaharienne: scénarios, problèmes et options Cecilia Briceño-G.,
Plus en détailTERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES Avril 2015 «GIM-UEMOA» GIE au capital de 9 528 790 000 F CFA RCCM : SN-DKR-2004-B-8649 NINEA : 24209832
Plus en détailFormation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence
Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes
Plus en détail