Act ivité. Ressources Humaines. Activité. Ressources Humaines. Sociétariat. Activité Ressources Humaines. Sociétariat

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Act ivité. Ressources Humaines. Activité. Ressources Humaines. Sociétariat. Activité Ressources Humaines. Sociétariat"

Transcription

1 Assemblée générale 9-30 avril 009 Act ivité Resso urces Hu mai nes Activité Ressources Humaines Sociétariat Activité Ressources Humaines 008 Ressources Humaines Activité Ressources Humaines Sociétariat

2 Activité Ressources Humaines Sociétariat Assemblée Générale 9 et 30 avril 009 1

3

4 Sommaire L activité et le patrimoine des coopératives d Hlm en 008 p. 5 Vue d ensemble p. 06 Les coopératives qui construisent p. 08 La performance environnementale de la production des coopératives d Hlm p. 10 Le groupé p. 1 Le diffus p. 14 Les coopérateurs p. 15 Le lotissement p. 17 La production locative p. 18 Le patrimoine locatif p. 19 Les activités de gestion p. 0 Les ressources humaines en 008 p. 3 Les effectifs p. 4 Le sociétariat des coopératives d Hlm p. 7 3

5 Note méthodologique L activité, le patrimoine et le sociétariat en 008 Les données issues de cette partie proviennent de l enquête Activité conduite par le dispositif d autocontrôle en janvier 009 auprès de toutes les coopératives d Hlm adhérentes à la Fédération. Les ressources humaines en 008 Les données de cette partie s appuient sur l enquête annuelle effectifs conduite par le dispositif d autocontrôle sur les effectifs et salaires des coopératives d Hlm appliquant ou non la convention collective nationale des sociétés coopératives d Hlm. Responsabilité sociale et environnementale Pour la première année, ce rapport comporte des éléments décrivant l engagement des coopératives d Hlm en faveur du développement durable, conformément aux engagements de la Charte du logement durable et solidaire adoptée à l Assemblée générale 008. Ces éléments ont été recueillis par le dispositif d autocontrôle dans le cadre de l enquête «Activité» conduite auprès de l ensemble des coopératives d Hlm adhérentes à la Fédération. 4

6 L activité et le patrimoine des coopératives d Hlm en 008 5

7 Récapitulatif de la production En nombre de logements Secteur accession diffus / Contrats signés Dont : CCMI Prestations de services à pers. physiques VEFA diffus Secteur accession groupé / Mises en chantier En VEFA directe En SCI En SCCC Dont location-accession : Total des logements réalisés en accession Secteur locatif, logements lancés Lotissements, lots lancés Total des unités produites Groupé (mises en chantier) Diffus (contrats signés) Locatif (mises en chantier) Lotissements (lots lancés) En 008, et pour la eme année consécutive, la production des coopératives d Hlm enregistre un repli (-15%). Ce ralentissement touche avant tout les métiers de l accession sociale (-%). La production en diffus résiste mieux que le groupé (respectivement -17% et -3%) mais passe sous la barre des contrats signés. Le groupé représente cette année encore 70% des mises en chantier en accession sociale. Avec 585 lots mis en chantier, le lotissement se montre particulièrement dynamique et affiche une progression de 7%. Dans le même temps, le secteur locatif voit en revanche ses mises en chantier diminuer de 7%. 6

8 de 10 sociétés de 6 à 10 sociétés de 4 à 5 sociétés - de 5 sociétés Locatif Diffus Groupé Lotissements

9 Les coopératives qui construisent Production 008 Toutes activités confondues En 008, 88 sociétés ont mené une activité de production en accession. Pour 18 d entre elles, il s agit d une reprise de l activité. La répartition selon le volume de production laisse apparaître un très net tassement des opérateurs produisant plus de 100 unités par an (10 contre 0 en 007). La production moyenne diminue, passant de 61 à 55 unités par coopérative d Hlm. Toutefois, celle des opérateurs ayant repris récemment une activité se renforce légèrement. Toutes activités confondues 1 Locatif + diffus + groupé + lotissement - 9 sociétés en et + mises en chantier ou contrats signés En diffus 6 coopératives d Hlm sont intervenues en secteur diffus en nouvelle coopérative s est positionnée sur le marché tandis que sociétés s en sont retirées. La contraction globale du marché diffus impacte directement la production moyenne qui passe de 4 unités en 007 à 37 en 008. En groupé 64 coopératives d Hlm ont mis en chantier des logements en 008 contre 70 en coopératives n ont lancé aucune opération en 008 alors que 16 ont relancé leur production. Pour 7 d entre elles, il s agit d ailleurs de leur première opération d accession sociale. Le repli du nombre d opérateurs, doublé d une baisse globale des mises en chantiers, occasionne une contraction de la production moyenne qui passe de 41 logements par opérateur en 007 à 34 en sociétés en et + contrats signés En diffus sociétés en En groupé et + logements mis en chantier

10 Nos pratiques durables En 008, près d un quart des coopératives d Hlm sont engagées dans une démarche qualité pour leur production à travers leur maîtrise d ouvrage : Iso 9000, Qualibail, Qualimmo. Parallèlement, 6% des coopératives d Hlm sont engagées dans une démarche de développement durable sur leurs opérations (démarche de qualité environnementale, opération HQE, ) ou dans leur stratégie d entreprise (agenda 1, charte de développement durable ) sociétés en En locatif et + logements mis en chantier 14 sociétés en et + lots lancés 4 En lotissement 4 En locatif 0 coopératives d Hlm ont produit des logements et logements foyers en sociétés ont relancé leur production et ont initié leurs premières opérations. 7 opérateurs ont connu une baisse de leur production et 3 n ont rien produit cette année. En revanche, 3 coopératives ont vu leur production plus que doubler par rapport à 007. Au final, la production moyenne s établit à 56 logements par opérateur. La concentration de la production s accentue en 008 : le tiers des opérateurs assure les trois-quarts de la production. En lotissement 14 coopératives d Hlm ont produit du lotissement en 008. ont repris cette activité, tandis que 7 n ont lancé aucun lot. Par ailleurs, 4 sociétés ont lancé leurs premières opérations cette année. Le caractère éclaté de la production observé en 007 se confirme, seules 4 coopératives ayant produit plus de 50 lots. De même que la production totale, la production moyenne augmente, passant de 35 lots par opérateur à 4. Nombre de logements mis en chantier Alors que les coopératives d Hlm connaissent un léger ralentissement de leur production en groupé en 007, la production Hlm totale en accession augmentait de,7%. Ainsi, la part de marché des coopératives d Hlm - qui avait atteint un plus haut en 006 (64%) - s est contractée à hauteur de 58% en 007. Sur le seul marché du diffus, celle-ci continue toutefois de se renforcer d année en année pour atteindre près de 81% en 007. Nombre de logements mis en chantier (hors lotissements) Coopératives d Hlm Ensemble des autres organismes d Hlm (OPH et ESH) (43%) 488 (44%) (5%) 3 34 (57%) (55%) (64%) (58%) Groupé 3 % 31 % 4 % 51 % 49 % 59 % 5% Diffus 70 % 73 % 73 % 70 % 79 % 79 % 81% 9

11 La performance environnementale de la production des coopératives d Hlm En mai 008, lors de Assemblée générale de la Fédération, les coopératives d Hlm ont adopté la charte du logement durable et solidaire. Celle-ci représente l engagement en faveur d une meilleure prise en compte du développement durable dans l activité des sociétés coopératives d Hlm. La lutte contre le changement climatique Performance énergétique des constructions neuves 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 0% 10% ,% 15% 18% 67% Locatif Diffus Groupé Total moyenne BBC THPE HPE RT 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 0% 10% Développement des énergies renouvelables % 7% 5% 3% 59% Locatif Diffus Groupé Total PAC Géothermie Biomasse PV Sol. thermi 33% des logements mis en chantier en 008 visent des performances énergétiques supérieures à la réglementation thermique en vigueur, dans un souci de maîtrise des charges des habitants et de réduction des gaz à effet de serre. La préservation des ressources naturelles Plus de 880 logements mis en chantier en 008, soit près d un quart de la production, ont utilisé les énergies renouvelables : avec une forte prédominance de l énergie solaire et des pompes à chaleur (respectivement près de 60% et de 30% de ces logements). Préservation du cycle de l eau Gestion des déchets Choix de matériaux Equipement économie en eau Gestion des eaux pluviales Logement adapté à la collecte sélective Compost Matériaux locaux Matériaux renouvelables 45% 45% 40% 19% 1% 19% 16% 6% Locatif Diffus Groupé Total 9% 5% % % 0% % % 1% Locatif Diffus Groupé Total 19% 19% 1% 8% 5% 3% % % Locatif Diffus Groupé Total La limitation des consommations d eau est une préoccupation grandissante des coopératives d Hlm à travers une double problématique : la mise en place d équipements performants pour économiser l eau potable et la gestion des eaux pluviales à la parcelle. Plus de 00 logements mis en chantier sont adaptés à la collecte sélective à l intérieur du logement et plus de 60 logements proposent déjà un dispositif de compost des déchets verts. Les coopératives d Hlm adoptent une double approche concernant les matériaux : le recours à des matériaux locaux produits à moins de 100 km et le recours à des matériaux à faible impact environnemental comme le bois par exemple. 10

12 Mode de production responsable Mode de production responsable Chantier à faible nuisances Sensibilisation des habitants aux gestes verts Plus de 630 logements ont été mis en chantier en 008 dans le cadre d un chantier propre afin de réduire les nuisances du chantier causées à l environnement immédiat et à la population proche. 0% 5% 33% 16% 4% Pour que les logements soient utilisés par les habitants de façon optimale, la communication sur les bons comportements se développe. Ainsi, ce sont près d un quart des nouveaux habitants qui ont été sensibilisés. 0% 7% 4% Locatif Diffus Groupé Total Evolution de la performance énergétique de la production (en %) Les niveaux de performance énergétique des logements mis en chantier en 008 montrent une conception qui améliore la performance énergétique de la construction et doit se traduire par une réduction des charges énergétiques des habitants et des émissions de gaz à effet de serre. La performance énergétique globale de la production des coopératives d Hlm est en constante amélioration. Ainsi, la production ayant une meilleure performance énergétique que la réglementation thermique passe de 3% à 33%. RT005 HPE THPE 100% 100% % 15% 13% 18% 77% 67% Nos pratiques durables Le Grenelle de l environnement a renforcé les exigences de la réglementation thermique. Dès 01, les logements devront être à Basse consommation (<50kWh/m /an, modulé en fonction des régions). Pour se préparer à ces échéances, parallèlement au recours aux labels de performance énergétique, 15 coopératives d Hlm ont déjà initié des opérations expérimentales Basse Consommation. A noter : les premiers logements labellisés Minergie Plus en France ont été mis en chantier en 008 par Habitat de l Ill, coopérative d Hlm d Alsace. Activité - Ressources Humaines - Sociétariat- AG

13 Le groupé FONDS PROPRES La production La production groupée Commencé individuel (SITADEL)* Commencé collectif (SITADEL)* Individuel Collectif *Source : Ministère de l Équipement/DAE/SES : SITADEL En 008, la production des coopératives d Hlm en secteur groupé atteint 19 constructions lancées par 65 sociétés (sur 136 opérations). L année 008 se caractérise ainsi par une baisse importante des mises en chantier (-3%). Au niveau national, les mises en chantier connaissent un recul de 16%. Cette baisse est particulièrement sensible en ce qui concerne l activité menée via des SCI (-39%) tandis que la production en VEFA directe diminue pour sa part de 18%. La taille moyenne des opérations sous ordre de service approche les 16 logements (contre près de 0 en 007). La part de logements construits en SCI régresse ainsi à % des logements mis en chantier par les coopératives d Hlm (9% en 007). Moins de coopératives d Hlm ont eu recours à ce mode de production en 008, seulement 14 sociétés contre 0 en 007, pour un total de 494 mises en chantier. Avec logements lancés, la VEFA directe représente près de 76% des mises en chantier en groupé (70% en 007). 49 sociétés sont positionnées sur ce segment d activité et ont lancé 108 opérations. Au sein de la production, la répartition collectif / individuel des logements mis en chantier reste identique à celle constatée en 007 soit 60% - 40%. Le nombre de logements en location-accession mis en chantier a progressé de 16% en logements ont ainsi été mis en chantier et les prévisions pour 009 font état de plus de logements à lancer. 8 opérations ont été lancées en zones de rénovation urbaine pour un total de 63 logements. Les prévisions d activité témoignent de l ouverture de ces quartiers à l accession sociale à la propriété dans le cadre des conventions de l ANRU avec près de 500 logements en projet pour 009 et plus de 530 à l étude pour 010. En 008, logements ont été livrés en Pass-Foncier et 98 mis en chantier. Ce mode de production devrait se développer fortement ; 301 logements en Pass-Foncier sont en effet prévus en 009 et 47 en Pass-Foncier ont d ores et déjà été mobilisés, pour 60% en diffus et 40% en groupé. Enfin, 13 logements ont été vendus en VEFA à d autres bailleurs sociaux. Nos pratiques durables Dans le cadre de la production en groupé, 35% des coopératives d Hlm proposent aux accédants des options environnementales sur leur projet. 18% de la production a recours à l énergie solaire pour le préchauffage de l eau chaude sanitaire en complément d une bonne performance énergétique. Un quart des opérations sont réalisées en chantier propre. 1

14 Livraisons Réservations Ventes La commercialisation La commercialisation Les ventes de logements accusent une baisse de 6% par rapport à 007. Au total, ce sont 81 contrats de vente qui ont été signés en 008 ( 4 en 007) dont 141 levées d option en location-accession. Après une chute de 11% en 007, le rythme des réservations accuse en 008 une baisse de 5%. Au 31/1/008, logements avaient été réservés. Avec 806 logements, les livraisons continuent de progresser : +9% en 007 et +31% en accédants ont pu bénéficier d une TVA à 5,5% en zone Anru en 008 et pour 53 d entre eux de la prime Anru. Les stocks Au 31/1/008, les logements terminés sans avoir trouvé d acquéreurs atteignent le nombre de 118 (contre 44 en 007). Le stock de logements en cours de construction, ni vendus ni réservés, se situe à 1 9 logements, en hausse de 34% par rapport à coopératives d Hlm sont concernées. Ces stocks s avèrent moins concentrés qu en 007. Néanmoins, 50% d entre eux restent détenus par seulement 7 sociétés. Les stocks En cours de construction, ni vendus, ni réservés au 31/1 de l année en cours. Terminés au 31/1 de l année en cours et non vendus. 13

15 Le diffus Après une chute de 8% en 007, le nombre de contrats signés en diffus accuse cette année une baisse plus importante de 17% (-17% en CCMI, -44% en CPS mais stable pour la VEFA diffus). Ainsi, en 008, 6 coopératives d Hlm ont signé 965 contrats de vente, soit une moyenne de 37 logements par coopérative (contre 4 en 007). Le volume de production des 5 producteurs les plus importants baisse de 15% par rapport à 007 et seules 6 sociétés voient leur volume de ventes augmenter en 008. Les livraisons, quant à elles, chutent de 5% et s établissent à 1 18 unités. Le diffus Données pour les exercices Nombre de contrats signés total diffus CPS CCMI VEFA diffus Nos pratiques durables 45% des logements diffus mis en chantier cette année seront livrés avec des équipements économes en eau permettant une maîtrise de la consommation d eau potable. 10% de la production a recours aux pompes à chaleur pour le chauffage en complément d une bonne performance énergétique. En cohérence avec leur rôle d opérateur local, près de 15% de la production intègre les matériaux locaux, c'est-à-dire produits à moins de 100 km. 14

16 Les coopérateurs Sécurisation et plafonds de ressources Selon les termes du protocole du 8 mars 00 conclu entre l Etat et la Fédération, les coopératives d Hlm doivent accueillir des ménages achetant leur résidence principale dont les revenus sont inférieurs aux plafonds de ressources des prêts locatifs intermédiaires (PLI). Par ailleurs, 10% de ces ménages doivent disposer de ressources inférieures aux plafonds des prêts PAS. Ces ménages doivent se voir proposer la sécurisation Hlm (assurance-revente, garantie de rachat, garantie de relogement). Les ressources des accédants (en %) Investisseurs > PLI entre PLS etpli Entre PAS et PLS < PAS Investisseurs > PLI entre PLS etpli Entre PAS et PLS < PAS Groupé Diffus Ensemble Les ressources des accédants en accession groupée Les données étudiées concernant l activité en groupé ont porté sur 1 70 contrats de ventes ou de réservations signés en 008. D après les éléments recueillis, 85% des contrats de vente ont été conclus avec des ménages disposant de revenus inférieurs aux plafonds PLS et plus de la moitié des accédants (55%) respectent les plafonds PAS. Cette proportion est en hausse de 8 points par rapport à 007. Seuls 8% des contrats de vente concernent des ménages aux ressources comprises entre les plafonds PLS et PLI (6% en 007). Les ventes conclues avec des ménages aux ressources supérieures aux plafonds PLI restent stables à 3%. Les coopératives semblent de moins en moins s adresser aux investisseurs qui ne représentent plus que 4% des contrats en 008 (7% en 007). Néanmoins, pour les 19 coopératives concernées, cette clientèle représente encore 8% des ventes. Pour 6 d entre elles, elles dépassent les 40%. Par ailleurs, 33% des accédants ont pu bénéficier d un prêt à taux zéro (contre 41% en 007). Les ressources des accédants en secteur diffus Les données étudiées concernant l activité en diffus ont porté sur 793 contrats de ventes signés en ménages on pu bénéficier d un prêt à taux zéro, soit 49%. La part d accédants situés en-deçà des plafonds PAS atteint 36% (contre 55% en groupé), 41% pour les ménages entre PAS et PLS. Au final, 78% des contrats de vente ont été conclus avec des ménages disposant de revenus inférieurs aux plafonds PLS. La proportion de clients aux ressources dépassant les plafonds PLI atteint 17% (3% en promotion groupée). Les ventes à investisseurs, quant à elles, représentent à peine % des contrats conclus. 15

17 La sécurisation des accédants (en %) 6% 59% 6% 55% 61% 49% contrats signés diffus contrats signés groupés % de coopératives concernées 48% 65% 56% 83% 48% 8% Assurance revente Garantie de rachat Garantie de relogement La sécurisation Hlm en 008 En groupé, 60% des accédants bénéficient d une garantie de rachat et de relogement. 48% ont souscrit une assurance revente. En diffus, respectivement 56% et 5% des accédants bénéficient de la garantie de rachat et de relogement, en légère baisse par rapport à 007 (55% et 61%). 63% des accédants ont souscrit une assurance revente. Cependant, encore 40% des coopératives ne proposent aucun des 3 volets. 16

18 Le lotissement Le lotissement Après une baisse de % en 007, le nombre de lots lancés en 007 affiche une hausse importante de 7%, passant de 459 à 585 parcelles en cours d aménagement. 14 coopératives se sont engagées dans l aménagement de parcelles en 007, avec une moyenne de 4 lots lancés chacune (35 en 007). Les livraisons, quant à elles, ont baissé en 008 de 8% (419 lots livrés), de même que les ventes 008 qui accusent une chute de 7% (34 lots vendus). Les stocks augmentent fortement (+39%), atteignant 193 lots. Pour sa part, l encours de production ni vendu ni réservé a plus que doublé, passant de 05 lots à 448. Les prévisions de mises en chantier pour 009 s avèrent modérées, 70 lancements étant envisagés. Le lotissement Nombre de de lots lancés vendus stock réserves Données pour les exercices Nos pratiques durables L analyse de site, réalisée dans la quasi-totalité des opérations de lotissement, représente le point de départ des opérations d aménagement. L intégration de préoccupations environnementales dès l analyse de site prend une place de plus en plus importante. Pour mettre en cohérence les dispositions prises au niveau de l aménagement avec les performances des constructions, 30% des sociétés coopératives d Hlm intègrent dans leurs cahiers des charges du lotissement des préconisations pour intégrer le développement durable aux futures constructions. Préoccupations environnementales de l analyse de site Analyse du climat Proximité des transports Proximité des services Analyse des vues Prise en considération des nuissances Prise en compte des risques Appréciation des eaux pluviales Prise en compte des ressources locales 1% 50% 57% 57% 64% 64% 64% 71% 17

19 La production locative Le nombre de logements mis en chantier En 008, 0 coopératives d Hlm ont mis en chantier logements dont 6 ayant repris cette activité pour un total de 63 logements soit près de 4% de la production. En revanche, 3 coopératives d Hlm n ont pas mis de logements en chantier cette année. La production locative témoigne en 008 d une baisse de 7% (+,5% en 007). Seules 3 coopératives ont produit des logements-foyers, soit une production moyenne de 94 équivalents logements (-0% par rapport à 007). Le nombre de logements familiaux mis en chantier a connu pour sa part une légère baisse de %. La production moyenne par opérateur s élève à 56 unités. En 008, 5% des logements ont été mis en chantier dans le cadre d une acquisition-amélioration (59 logements) et 3% ont été mis en chantier en zone Anru (soit 37 logements). Par ailleurs, sur les 0 sociétés ayant mis en chantier des logements destinés à la location, 1 d entre elles mènent une activité régulière en accession. Nombre de logements mis en chantier Données pour les exercices Mises en chantier par les coopératives d Hlm Mises en chantier nationales (PLA/PLUS, PLA-I et LM, PLS, PLI) Nos pratiques durables La production locative 008 est majoritairement sous label de performance énergétique. Cette meilleure performance énergétique de la production locative s explique principalement par l existence d outils financiers pour ces opérations : prêt spécifique de la CDC, augmentation de loyer, aides des collectivités territoriales 40% des locataires sont sensibilisés aux gestes verts à adopter dès leur entrée dans les lieux. Performance énergétique de la production locative BBC 0,3% THPE 9,9% RT ,5% HPE 11,4 % 18

20 Le patrimoine locatif L âge du patrimoine locatif 1 % 0 % 16 % 8 % 4 % 10 % 10 % 10 % avant Le patrimoine locatif Patrimoine locatif selon financements L année 008 n ayant connu aucune cession ni transfert de patrimoine de grande ampleur, la structure du patrimoine est restée stable. Avec 51% de logements mis en service après 1995, le patrimoine des coopératives d Hlm se caractérise toujours par sa jeunesse. Celui-ci est composé pour 35% de logements issus d anciens financements sociaux et pour 36% de financements PLA ou PLUS. Ainsi, la majeure partie du patrimoine des coopératives d Hlm est conventionnée, à hauteur de 96,% (93,3% en ESH, 98% en OPH en 007). PAP - PC - Autre PLI PLS PLUS - PLA PLAI PLA-LM-TS Anciens financements 6% 4% % 35% 1% 36% 14% Nos pratiques durables La grande majorité du parc des sociétés coopératives d Hlm a été construit après la mise en place de la réglementation thermique. Ainsi, la consommation énergétique moyenne du parc selon l étiquette énergétique soit pour le chauffage et l eau chaude sanitaire est de 04 kwh/m /an quand la moyenne nationale est à 50. Dans le cadre des objectifs du Grenelle de l Environnement, 4 sociétés coopératives ont d ores et déjà identifié le parc le plus consommateur à améliorer thermiquement. Près de 500 logements sont concernés par cette démarche. Performance énergétique Logement économe < 50 A 51 à 90 B 91 à 150 C 151 à 30 D 31 à 330 E 331 à 450 F > 450 G Logement énérgivore Classification énergétique du parc Logement 04 KWh/m /an 19

21 Nombre de logements gérés (hors foyers) Le nombre de logements gérés 57 logements locatifs ont été mis en service en 008, soit un niveau équivalent à celui observé en % proviennent de la construction neuve des coopératives d Hlm tandis que 19% sont le fruit d acquisitions de logements existants. En 008, aucun logement n a fait l objet d une acquisition en VEFA ou en acquisition-amélioration. Le patrimoine locatif des coopératives s élève ainsi au 31/1/008 à logements familiaux, soit une hausse de 3%. Par ailleurs, les coopératives d Hlm gèrent logements-foyers et 16 locaux commerciaux. Les activités de gestion Les activités de gestion 37 coopératives d Hlm exercent une activité de gestion (34 en 007). 5 d entre elles (5 en 007) exercent exclusivement une ou plusieurs des activités suivantes : gestion de syndic, administration de biens, maîtrise d ouvrage déléguée ou prestation de services. 8 coopératives gèrent des logements comme administrateur de biens, pour un total de 615 logements (6 en 007). Une nouvelle coopérative d Hlm a développé cette activité en 008, tandis qu une autre a cessé de l excercer. 7 sociétés exercent une activité de syndic en 008 et gèrent lots principaux, soit un nombre moyen de lots gérés par société égal à 1 4 lots. 4 coopératives ont démarré cette activité en 008 pour un total de 890 lots gérés. Toutefois, à peine une coopérative d Hlm sur deux gère plus de lots. Nos pratiques durables En cohérence avec la charte de syndic solidaire, les sociétés coopératives d Hlm exerçant une activité de gestion de syndic placent l information et la formation des copropriétaires comme vecteur d une gestion responsable. Ainsi, ces pratiques d information se développent, notamment à travers le livret d accueil des nouveaux copropriétaires. Information des copropriétés et des copropriétaires (en %) Gestes verts à adopter Consommation des fluides (énergie, eau...) Consommation des budgets travaux Fonctionnement de la copropriété Copropriétés Copropriétaires 6 % des copropriétés 9% des copropriétaires 14 % des copropriétés 19% des copropriétaires 7 % des copropriétés 31% des copropriétaires 45 % des copropriétés 43% des copropriétaires 0

22 8 Répartition des sociétés qui font de la gestion de syndic par nombre de lots gérés nombre de lots / société nombre de sociétés nombre de groupes nombre de logements / groupes La gestion de syndic (1) L activité de gestion de syndic enregistre cette année une progression de près de 10% et s établit à lots gérés. 18 sociétés ont gagné des copropriétés en gestion ; 11 en ont perdu. Parmi ces dernières, une coopérative d Hlm a cédé cette activité à une Esh (36% des pertes 008 et % des lots gérés à fin 007) tandis que deux autres ont repris à leur compte l activité menée par des Esh (58% des gains 008 et 8% des lots gérés à fin 008). Les coopératives d Hlm présentent un gain de 05 copropriétés en 008, pour un total de lots pricipaux. 9% de ces lots proviennent de la production neuve en Hlm (pour 19% d une coopérative d Hlm). En parallèle, 54% des copropriétés acquises en 008 sont issues de la vente Hlm. Le nombre moyen de lots principaux par groupe géré s établit cette année à 36 lots contre 39 lots en % des copropriétés disposent d un carnet d entretien à jour (8% en 007). Par ailleurs, 0 coopératives ont mis en place des fonds de réserves pour travaux dans 31% des copropriétés gérées. Enfin, 0,5% des copropriétés gérées disposent d un compte bancaire ou postal séparé. 68,9 salariés en équivalent temps plein sont affectés à la gestion de syndic. 15 coopératives ont par ailleurs estimé le point mort de leur structure et 7 d entre elles estiment avoir atteint ou dépassé l équilibre de gestion (1) Pour plus d informations, se reporter au guide A.RE.COOP N 14 La pratique du syndic solidaire, mars

23

24 Les Ressources Humaines en 008 3

25 Les effectifs Les effectifs des coopératives d Hlm L enquête annuelle sur les effectifs et les salaires nous permet de disposer d informations statistiques sur les évolutions et les caractéristiques des personnels employés dans les coopératives d Hlm appliquant ou non la convention collective des sociétés coopératives d Hlm. Evolution des effectifs salariés en coopératives d Hlm Répartition des coopératives d Hlm selon leur effectif De même qu en 007, 75 coopératives emploient leur propre personnel pour un total de 118 coopératives menant une activité de production et/ou de gestion ; elles étaient 114 en 007. Ce chiffre traduit des modes de fonctionnement particuliers, notamment pour les coopératives relevant de groupes qui réalisent leurs prestations dans le cadre de conventions de mise à disposition de personnel. L effectif des coopératives d Hlm atteint cette année 951 salariés pour un équivalent temps plein de 835,8 emplois, soit une hausse de 4,5% et 5,5% par rapport à 007. L effectif moyen augmente légèrement, dépassant 1 salariés pour la première fois depuis 001. Cette évolution des effectifs affecte la structure du tissu coopératif ; la part des sociétés employant moins de 10 salariés dans l ensemble des coopératives d Hlm se limitant en 008 à 54% (61% en 007). D ailleurs, on observe un recul important des coopératives présentant un effectif inférieur à 5 personnes, 9% en 008 contre 41% en 007. Enfin, sociétés comptent plus de 50 salariés. Effectifs selon le type d emploi L année 008 voit un léger renforcement du personnel d encadrement. Le personnel d exécution reste toutefois la catégorie la plus représentée. Quant au personnel commercial, il représente 10% de l effectif total Nombre de coopératives Effectifs salariés Répartition des coopératives selon leur effectif (en % du nombre de sociétés) de 5 salariés de 5 à 10 salariés de 10 à 50 salariés + de 50 salariés Répartition des effectifs salariés selon le type d emploi (en % des effectifs totaux) Direction d encadrement Personnel commercial Agent de maîtrise Personnel d exécution Personnel d entretien et de gardiennage

26 Répartition des effectifs salariés selon la nature du contrat (en % des effectifs totaux) CDI CDD Autres Répartition des effectifs salariés selon le titulaire du contrat (en % des effectifs totaux) Hommes Femmes Personnel d entretien et de gardiennage 1 79 Personnel d exécution Agent de maîtrise 71 9 Direction et encadrement Les niveaux moyens de salaire selon le type d emploi (en brut mensuel, hors primes) Hommes Femmes Personnel d entretien et de gardiennage Personnel d exécution Agent de maîtrise Direction et encadrement Effectifs selon la nature du contrat La part des salariés en CDI progresse et atteint 95%, au détriment des contrats alternatifs (apprentissage, alternance, CNE,...), qui après une augmentation en 007, recule de 3 points. L usage des contrats à durée déterminée reste limité à 3% des salariés. En 008, le travail à temps partiel concerne près de 15% des salariés. Effectifs selon le titulaire du contrat Comme en 007, 30% des effectifs ont moins de 34 ans et 15% des effectifs plus de 55 ans. Sur la lancée de 007, le personnel continue de «rajeunir» puisque 58% des effectifs ont moins de 5 ans d ancienneté contre 55% en 007. Alors que les femmes comptent pour 53% de l effectif total (+ points par rapport à 007), elles sont toujours trés largement sous-représentées dans les postes d encadrement. Alors qu un équilibre paritaire est atteint parmi le personnel commercial et les agents de maîtrise, on observe un renforcement de leur présence aux postes d entretien et d exécution (respectivement 40% et 79% en 008 contre 35% et 75% en 007). Effectifs et salaires Les salaires moyens présentés ci-après sont issus des données recueillies auprès des coopératives sur un effectif global de 951 employés salariés des coopératives ou rémunérés par celles-ci dans le cadre d un groupement. Il s agit de salaires mensuels bruts moyens, hors primes, répartis selon la classification des emplois de la branche. La disparité salariale homme/femme observée en 007 pour les personnels d exécution et d encadrement subsiste en 008. Néanmoins, les écarts se resserrent. Parmi le personnel d exécution, une femme touchera ainsi un salaire inférieur de 9% à celui d un homme (11% en 007). Quant aux femmes cadres, leur salaire est en moyenne inférieur de 16% à celui de leurs homologues masculins (1% en 007). Par ailleurs, l écart va grandissant au sein de chaque catégorie d emploi avec le niveau de qualification, à l exception des cadres dirigeants pour lesquels l écart se réduit lègèrement. 5

27 Les pratiques socialement responsables des coopératives d Hlm Pour cette première année d intégration des pratiques socialement responsables, l échantillon n est pas représentatif, c est donc le nombre de sociétés ayant répondu à la question qui est indiqué. 5 coopératives d Hlm ont une politique formalisée en faveur du développement professionnel et/ou personnel de ses salariés et mènent des actions concrètes : formation professionnelle tout au long de la vie, équilibre vie professionnelle et personnelle, accompagnement des projets professionnels 6 coopératives d Hlm ont défini une politique et/ou des mesures appropriées pour la prévention des maladies professionnelles et des accidents du travail. Les coopératives d Hlm mènent majoritairement une politique interne pour mobiliser leurs salariés autour d un projet d entreprise (journée interne, communication vis-à-vis des salariés, participation des salariés) et améliorer la qualité de leur produit (échanges qualité). Une partie des sociétés ayant répondu va jusqu à mesurer, de manière formalisée, la satisfaction de leurs salariés. Politique interne (en nombre de coopératives d Hlm) Journée interne entreprise 16 Echanges qualité 1 Communication vis-à-vis des salariés 15 Mesure de la satisfaction du personnel 9 Participation des salariés 7 Projet d entreprise 9 Politique interne Concernant leurs valeurs et leurs règles de conduite, 3 coopératives d Hlm connaissent la charte de déontologie des coopératives d Hlm et 11 coopératives d Hlm ont défini leur propre charte déontologique. 17 coopératives d Hlm ont défini une politique volontaire en matière d égalité des chances et de lutte contre les discriminations (intégration des minorités, égalité homme/femme ). Nos pratiques durables En ce qui concerne l impact de leur propre fonctionnement, 40% des sociétés coopératives d Hlm favorisent les actions d économies d énergie et de réduction et recyclage des déchets. 6

28 Le sociétariat des coopératives d Hlm 7

29 Le sociétariat des coopératives d Hlm Le capital social des coopératives d Hlm Les 159 coopératives d Hlm de l échantillon cumulent à fin 008 plus de 91 millions d euros de capital social. La moyenne par coopérative s établit à 574 K. Très logiquement, le capital social présente toutefois de fortes disparités en fonction de l activité poursuivie et du niveau de celle-ci. 11 sociétés présentent un capital social proche du minimum légal ( ). Coopératives n ayant pas ou peu d activité Coopératives construisant de 10 à 50 logements par an Coopératives construisant plus de 50 logements par an Total Nombre de coopératives Capital social cumulé Capital social moyen d Hlm (1) La répartition du capital social Collège «A» Collège «B» Collège «C» Total Nombre d associés Capital social Poids ,40% ,60% ,00% (1) 100,00% Le nombre d associés présents au capital des coopératives d Hlm de l échantillon s élève à Les plus nombreux sont les 47 6 personnes physiques, porteurs de l identité coopérative, rattachés au collège des utilisateurs, salariés et SCCC. 69% d entre eux sont à l origine liés à leur coopérative d Hlm par un contrat de vente (location-attribution en cours ou achevé, contrat de VEFA, de location-accession, ou de CMI, ) ; 31% le sont par un contrat de location. 80% des locataires du patrimoine sont ainsi associés au capital de leur coopérative d Hlm. Le sociétariat salarié est en forte progression et concerne plus d une coopératives d Hlm sur 4 (4 sociétés) pour un total de 373 salariés, près de 40% des salariés de la branche «coopérative d Hlm». 3 coopératives d Hlm comptent également un FCPE de salariés actionnaire. La proportion de capital détenu par ces associés reste néanmoins extrêmement faible : elle équivaut à 1,4% du capital social cumulé. Toutefois, dans 4 coopératives d Hlm, les associés du collège A détiennent au moins 0% du capital et dans 11 cas plus de 50%. Si 1 coopératives d Hlm ont un collège A vide (7,5% de l échantillon), toutes ces coopératives d Hlm sont aujourd hui dotées d un projet de développement en cours de mise en œuvre. Les collèges B et C regroupent ce qu il est convenu d appeler les investisseurs. Les organismes d Hlm et les entreprises coopératives forment ensemble le collège C. Les autres associés (investisseurs personnes physiques ou morales) forment le collège B. A l exception des 5 coopératives en liquidation, toutes les coopératives d Hlm de l échantillon sauf une comptent parmi leurs associés des investisseurs. 4 n ont pas d investisseurs rattachés au collège B et 11 n ont aucun investisseur du collège C. 8 (1) L écart constaté provient d écarts de conversion en euros et de montants unitaires de parts sociales variables, au sein de certaines coopératives d Hlm.

30 Sans tenir compte de la pondération de l expression des voix des associés en assemblée générale organisée par les statuts des coopératives d Hlm, le sociétariat des coopératives d Hlm présente les caractéristiques suivantes : 60% des coopératives d Hlm ont un sociétariat dominé par un ou plusieurs organismes d Hlm et, dans 87% des cas, ces derniers détiennent une majorité du capital social : - dans près de deux cas sur trois, cet associé dominant est une société anonyme d Hlm, - dans 15% des cas, il s agit d une autre coopérative d Hlm, - dans 18% des cas, il s agit d un office public de l habitat, - enfin, 3 sociétés sont gérées de façon conjointe par une coopérative d Hlm et une ESH et une société est gérée paritairement entre un OPH et une ESH ; Le sociétariat issu du monde de l entreprise (entreprises privées et établissements bancaires non coopératifs ou collecteurs du 1% Logement) est présent dans 100 coopératives d Hlm, mais seulement de manière dominante dans 15% des cas. Les collecteurs du 1% Logement disposent de participations directes dans 59 coopératives d Hlm mais ne sont majoritaires en capital que dans 7 sociétés ; Les collectivités locales sont présentes dans plus d une coopérative d Hlm sur 3 (38% de l échantillon). Elles détiennent collectivement une majorité du capital dans 11 sociétés et sont susceptibles d exercer une influence dans 7 autres cas. Nbre de coopératives d Hlm concernées Catégories d associés présents au capital social des coopératives d Hlm Catégorie d associé Nombre Capital détenu Participation moyenne d associés En cumul dans les coop d Hlm concernées (en %) Utilisateurs ,35 Salariés ,33 Sccc ,94 Coopératives d Hlm ,75 Entreprises sociales pour l habitat ,10 Offices publics de l habitat ,94 Sacicap ,56 Entreprises coopératives ,77 Collecteur 1% ,90 Collectivités locales ,74 Filiales de Saci ,7 SEM ,0 Etablissements publics ,93 Entreprises privées non coopératives ,34 Entreprises bancaires et d assurances ,91 non coopératives Associations ,18 Personnes physiques investisseurs ,5 Copropriétés ,17 GIE ,04 9

31 La gouvernance des coopératives d Hlm Origine des administrateurs A l exception de 5 coopératives d Hlm en cours de liquidation et d une société actuellement sous administration provisoire, l échantillon comprend : 5 coopératives d Hlm administrées par un directoire et un conseil de surveillance, coopératives de droit local avec conseil de surveillance et conseil d administration, 146 coopératives d Hlm administrées par un conseil d administration. Dans 61% des cas, les fonctions de président et de directeur général sont dissociées et 33 directeurs généraux délégués sont présents pour assister le directeur général dans ses fonctions. Les conseils d administration Les administrateurs personnes physiques dominent largement les conseils d administration, qu ils soient utilisateurs ou investisseurs : ils représentent 60% des administrateurs (68% en 005). 11 coopératives d Hlm comptent un ou plusieurs salariés administrateurs. Associations : 6 Entreprises coopératives : 69 SCCC : 33 Ets publics et SEM : 18 Collectivités locales : 73 Monde de l entreprise : 77 Sacicap et filiales : 33 Organismes Hlm : 177 Origine des administrateurs Personnes physiques : 949 dont utilisateurs : 93 dont salariés : 16 Les coopératives d Hlm de l échantillon rassemblent administrateurs, soit une présence moyenne de 9,5 administrateurs par conseil d administration. Il se tient par ailleurs en moyenne 3 à 4 conseils par an par société ; il existe toutefois des disparités importantes (de 1 à 7 CA par an). 30

32 31

33 Tous droits réservés Edition : FNSCHLM conception-exécution FKP Avril 009 Papier 100 % recyclé 3

34 Sociétariat Activité Ressources Humaines 14, rue Lord Byron Paris Cedex 08 Tél : Télécopie : federation@hlm.coop Association membre de l Union sociale pour l habitat IMPRIMÉ SUR DU PAPIER 100% RECYCLÉ - CONCEPTION GRAPHIQUE : FKP

UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE

UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE CHIFFRES CLÉS DU LOGEMENT SOCIAL ÉDITION NATIONALE SEPTEMBRE 2011 UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE En 2010, les opérateurs Hlm ont également vendu 16 000 logements destinés à des accédants,

Plus en détail

Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété.

Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. LE PSLA Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. Le processus d accession se déroule en deux phases : Une phase locative qui dure de 6 mois à 2 ans

Plus en détail

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,

Plus en détail

Se raccorder à un réseau de chaleur

Se raccorder à un réseau de chaleur L habitat COMPRENDRE Se raccorder à un réseau de chaleur Le chauffage urbain peut-il être un moyen de diminuer la facture énergétique? Édition : décembre 2013 Pourquoi pas le raccordement À UN RÉSEAU DE

Plus en détail

ATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation

ATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation ATELIER PARISIEN D URBANISME Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation AVRIL 2015 Directrice de la publication : Dominique Alba Étude réalisée par : François Mohrt Sous la direction

Plus en détail

Financement de la réhabilitation des logements

Financement de la réhabilitation des logements Financement de la réhabilitation des logements Quels instruments disponibles? La gamme des outils Aides directes de l Etat et des collectivités locales Subventions nationales et locales Défiscalisation

Plus en détail

N O R D - P A S D E C A L A I S

N O R D - P A S D E C A L A I S NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l

Plus en détail

XXVème séminaire de formation des directeurs de coopératives d Hlm. Cahier 4. La sécurisation Hlm

XXVème séminaire de formation des directeurs de coopératives d Hlm. Cahier 4. La sécurisation Hlm XXVème séminaire de formation des directeurs de coopératives d Hlm Cahier 4 La sécurisation Hlm La sécurisation Hlm en bref Extrait du «guide de la sécurisation Hlm», A.RE.COOP., mars 2008 FONCTIONNEMENT

Plus en détail

FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER,

FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER, FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER, SON EVOLUTION ET DE LA «MAISON POUR 15 EUROS PAR JOUR» Synthèse Le Pass-foncier est un dispositif social d accompagnement des politiques locales

Plus en détail

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos économies d énergie l éco-prêt à taux zéro SOMMAIRE Écoutez vos envies d économies d énergie............ 3 Un éco-prêt à

Plus en détail

Un outil de portage au service des copropriétés

Un outil de portage au service des copropriétés Un outil de portage au service des copropriétés Coprocoop : une coopérative d Hlm Un objectif : Créer un outil dédié au portage de lots en copropriétés dégradées. La réponse : Une SCIC Hlm réunissant l

Plus en détail

MINISTERE DU LOGEMENT ET LA VILLE

MINISTERE DU LOGEMENT ET LA VILLE MINISTERE DU LOGEMENT ET LA VILLE PROJET DE LOI DE FINANCES INITIALE POUR 2008 Assemblée Nationale Commission des finances, de l'économie générale et du plan MISSION VILLE ET LOGEMENT PROGRAMME «DEVELOPPEMENT

Plus en détail

COMPRENDRE. Édition : février 2013

COMPRENDRE. Édition : février 2013 L habitat COMPRENDRE 2013 Édition : février 2013 sommaire glossaire introduction Se donner les moyens de maîtriser l énergie.3 À savoir avant de se lancer...4 Trouver l aide adaptée....6 Pour tout contribuable,

Plus en détail

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE

IMMOBILIER D ENTREPRISE La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber

Plus en détail

MISSIONS SOCIALES/ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ

MISSIONS SOCIALES/ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ MISSIONS SOCIALES/ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ Depuis la création du Crédit Immobilier de France en 1908, les SACI devenues SACICAP en 2008 ont pour vocation de faciliter l accession

Plus en détail

Assemblée générale - 26 mars 2008 - Paris. Un outil de portage au service des copropriétés

Assemblée générale - 26 mars 2008 - Paris. Un outil de portage au service des copropriétés Assemblée générale - 26 mars 2008 - Paris Un outil de portage au service des copropriétés Coprocoop : Présentation Une volonté politique : créée à l initiative du monde Hlm et du monde associatif et de

Plus en détail

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Le secteur du bâtiment est un des plus grands consommateurs d'énergie et émetteurs de gaz à effet de serre. C'est donc sur ce secteur que s'est

Plus en détail

Economies d énergie Rénovation thermique des bâtiments

Economies d énergie Rénovation thermique des bâtiments climat d innovation Economies d énergie Rénovation thermique des bâtiments Les aides financières à disposition des ménages Edition 2012 Essayons d y voir plus clair 2/3 Les décisions du Grenelle de l Environnement

Plus en détail

Groupe Logement Français. A l essentiel

Groupe Logement Français. A l essentiel Groupe Logement Français A l essentiel Octobre 2012 Le Groupe Logement Français Le Groupe Logement Français est l un des principaux acteurs du logement social en France. Il rassemble six Entreprises sociales

Plus en détail

PROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010

PROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010 PROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010 Les enjeux de l accession sociale PREAMBULE DANS LE CADRE DES ORIENTATIONS DEFINIES PAR LE PROTOCOLE D ACCORD D NATIONAL INTERPROFESSIONNEL ET

Plus en détail

1 Concevoir son projet et construire

1 Concevoir son projet et construire Se loger avec l économie sociale et solidaire avec l économie sociale et solidaire 1 Concevoir son projet et construire Soutien à la conception de votre projet de construction ou de rénovation, Assistance

Plus en détail

La Région met en œuvre un prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements

La Région met en œuvre un prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements Lundi 24 juin 2013 La Région met en œuvre un prêt bonifié pour la rénovation énergétique des logements Service de Presse 04 67 22 81 31 /// 04 67 22 80 47 presse-region@cr-languedocroussillon.fr Convaincue

Plus en détail

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014 n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance

Plus en détail

MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DE L ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA MER en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat

MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DE L ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA MER en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DE L ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA MER en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat DOSSIER DE PRESSE Benoist APPARU présente : La signature

Plus en détail

PremeLY Habitat 3 BBC

PremeLY Habitat 3 BBC PremeLY Habitat 3 BBC (Bâtiment Basse Consommation) SCPI DE TYPE «SCELLIER BBC» souscription ouverte jusqu au 20 décembre 2011 La clôture de la période de souscription pourra intervenir par anticipation

Plus en détail

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse

Plus en détail

(Bâtiment Basse Consommation)

(Bâtiment Basse Consommation) PREMELY Habitat 3 BBC (Bâtiment Basse Consommation) SCPI DE TYPE «SCELLIER BBC» Prorogation de la commercialisation jusqu au 20 décembre 2012. La période de souscription de PREMELY Habitat 3 BBC, prévue

Plus en détail

Jean-Yves RICHARD ADEME

Jean-Yves RICHARD ADEME «Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement

Plus en détail

Choisir un professionnel compétent

Choisir un professionnel compétent L habitat Choisir un professionnel compétent COMPRENDRE Pour des bâtiments économes en énergie Édition : février 2015 sommaire glossaire introduction Faites appel à des professionnels compétents... 3 Des

Plus en détail

Réseau de chaleur de Beauvais

Réseau de chaleur de Beauvais Réseau de chaleur de Beauvais Témoignage d un d abonné Gabriel CANTEINS Chargé de mission développement durable 22/11/2010 (v2) 1/13 Réseau de chaleur de Beauvais (témoignage) Rendez-vous de l ADEME 25

Plus en détail

Le Prêt Social de Location Accession PSLA

Le Prêt Social de Location Accession PSLA Le Prêt Social de Location Accession PSLA LES OBJECTIFS Favoriser l accession sociale à la propriété Faciliter le parcours résidentiel Permettre aux ménages à revenus modestes de devenir propriétaires

Plus en détail

LANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL

LANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 février 2007 LANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL FINANTOIT est le premier outil d investissement

Plus en détail

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,

Plus en détail

Investissez indirectement dans l immobi

Investissez indirectement dans l immobi SCPI PRIMO 1 Investissez indirectement dans l immobi PRIMO 1 a pour objectif de constituer un patrimoine immobilier résidentiel, permettant l accès aux avantages fiscaux du nouveau dispositif Scellier.

Plus en détail

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...

Plus en détail

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine

Plus en détail

Les mesures pour relancer la construction de logements

Les mesures pour relancer la construction de logements Les mesures pour relancer la construction de logements Janvier 2015 Le logement est devenu, pour la plupart des Français, cher et difficilement accessible. Le secteur de la construction traverse une grave

Plus en détail

Supplément au guide :

Supplément au guide : Supplément au guide : De très nombreuses aides peuvent financer une partie des frais liés à vos travaux de rénovation (prestations d études, diagnostics, prestations de maîtrise d œuvre fourniture et pose

Plus en détail

PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais. Réunion Publique du 27/06/2013

PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais. Réunion Publique du 27/06/2013 PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais Réunion Publique du 27/06/2013 1 Sa durée est de 3 ans de Juin 2013 à Mai 2016. Le périmètre de l opération concerne les 10

Plus en détail

Mobiliser les copropriétés face au défi énergétique. Yoann Girbeau, Chargé de mission Energie Climat, ALEC SQY

Mobiliser les copropriétés face au défi énergétique. Yoann Girbeau, Chargé de mission Energie Climat, ALEC SQY Mobiliser les copropriétés face au défi énergétique Yoann Girbeau, Chargé de mission Energie Climat, ALEC SQY c SQY Objectif : promouvoir les économies d énergies et les énergies renouvelables Publics:

Plus en détail

Prêt Social de Location Accession PSLA. Marché Immobilier Social. Dernière mise à jour Mars 2013. Document réservé exclusivement aux Professionnels

Prêt Social de Location Accession PSLA. Marché Immobilier Social. Dernière mise à jour Mars 2013. Document réservé exclusivement aux Professionnels Prêt Social de Location Accession PSLA Marché Immobilier Social Dernière mise à jour Mars 2013 Document réservé exclusivement aux Professionnels Tout savoir sur le Prêt Social Location Accession Les principes

Plus en détail

Monnaie, banques, assurances

Monnaie, banques, assurances Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d

Plus en détail

Simplifiez-vous la rénovation énergétique avec Énergies POSIT IF

Simplifiez-vous la rénovation énergétique avec Énergies POSIT IF Simplifiez-vous la avec www.energiespositif.fr , les spécialistes de la et de son financement en Île-de-France 400 000 logements franciliens à rénover d ici à 2020, c est 18 % des copropriétés L énergie

Plus en détail

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES

Plus en détail

Consulting SEO Mis à jour en juin 2012 ETUDE MOTS CLES CEQUAMI

Consulting SEO Mis à jour en juin 2012 ETUDE MOTS CLES CEQUAMI Consulting SEO Mis à jour en juin 2012 ETUDE MOTS CLES CEQUAMI Sommaire 1. ANALYSE DES RECHERCHES... 2 2. RECOMMANDATIONS...11 2.1. ELEMENTS DETERMINANTS...11 2.2. SELECTION DE MOTS CLES...11 Page 2 sur

Plus en détail

SCPI Fructipierre EN BREF

SCPI Fructipierre EN BREF SCPI Fructipierre Investissez indirectement dans l immobilier d entreprise et diversifiez votre patrimoine EN BREF FRUCTIPIERRE est une SCPI de taille importante détenant des actifs immobiliers représentant

Plus en détail

HABITATS PARTICIPATIFS

HABITATS PARTICIPATIFS HABITATS PARTICIPATIFS habitats participatifs et coopératifs : de quoi parle t-on? CAUE 92-31.03.15 1. LES COOPERATIVES D HLM Un peu d histoire Une des trois familles composant le mouvement Hlm, issue

Plus en détail

Guide Prêt Locatif Social (PLS)

Guide Prêt Locatif Social (PLS) Investir dans un logement destiné à la location. Qu est-ceque c est? Le prêt locatif social (PLS) s adresse à tout investisseur qui achète un logement pour le louer. Le PLS est destiné à financer des appartements

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

Les indicateurs du développement durable

Les indicateurs du développement durable Les indicateurs du développement durable (extraits de la première édition) Préambule L Association française de l assurance a publié en janvier 2009 sa Charte du développement durable, formalisant ainsi

Plus en détail

Etude statistique des données fournies par la CCIJP

Etude statistique des données fournies par la CCIJP Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES

DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES CAHIER DES CHARGES DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES Rappel du cadre général d intervention des 3 collectivités : Dans le prolongement du Schéma Régional de Développement

Plus en détail

LE PASS-GRL du 1 % Logement

LE PASS-GRL du 1 % Logement LE PASS-GRL du 1 % Logement UN NOUVEL OUTIL POUR FAVORISER L ACCES AU LOGEMENT A l initiative des partenaires sociaux du 1 % Logement, le PASS-GRL est opérationnel depuis le 1er janvier 2007 Nouvel outil

Plus en détail

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique

Plus en détail

Article225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014

Article225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014 Article225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014 Jean-Michel Silberstein Délégué Général CNCC Christophe Garot CNCC UNIBAIL-RODAMCO Le CNCC Le CNCC, Conseil National des Centres

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

livret d éd épargne bancaire. Taux de rémunr

livret d éd épargne bancaire. Taux de rémunr www.hdgdev.com 1 PROVAIR POUR EN SAVOIR PLUS! CODEVair : Livret d éd épargne monétaire rémunr munéré. Fonctionnement identique à celui d un d livret d éd épargne bancaire. Taux de rémunr munération indexé

Plus en détail

Responsabilité civile et décennale Construction maison individuelle

Responsabilité civile et décennale Construction maison individuelle Responsabilité civile et décennale Construction maison individuelle Référence de votre cabinet Code ORIAS N : Cachet de votre cabinet : Raison sociale Sigle Adresse Code postal Ville Téléphone Fax Mobile

Plus en détail

Crédit impôts énergie renouvelable développement durable 2015

Crédit impôts énergie renouvelable développement durable 2015 Crédit impôts énergie renouvelable développement durable 2015 Depuis la loi de finances pour 2005, a été créé un crédit d'impôt dédié au développement durable et aux économies d'énergie. S inscrivant dans

Plus en détail

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même

Plus en détail

performance environnementale Synthèse Décembre 2013 Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france

performance environnementale Synthèse Décembre 2013 Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france Étude réalisée en partenariat avec Immobilier tertiaire et performance environnementale Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france Synthèse Décembre 2013 Ce document synthétise les principaux

Plus en détail

Nous présentons ici les caractéristiques communes aux deux dispositifs puis leurs spécificités à jour au 1 er septembre 2009.

Nous présentons ici les caractéristiques communes aux deux dispositifs puis leurs spécificités à jour au 1 er septembre 2009. Le Pass foncier Introduction Conçu par les partenaires sociaux du 1% logement et mis en place par une convention signée entre l UESL et l Etat en décembre 2006, le Pass foncier 1 est un mécanisme destiné

Plus en détail

GUIDE DU CO- PROPRIéTAIRE

GUIDE DU CO- PROPRIéTAIRE GUIDE DU CO- PROPRIéTAIRE Avril 2013 Sommaire SYNDIC DE COPROPRIÉTÉ 6 FONCTIONNEMENT ET VIE DE LA COPROPRIÉTÉ Quel est son rôle? Comment est rémunéré votre syndic? Les différents acteurs Assemblée Générale

Plus en détail

Union. pour le Logement. des Entreprises. s engagent avec les salariés

Union. pour le Logement. des Entreprises. s engagent avec les salariés Les entreprises s engagent avec les salariés Union des Entreprises et des Salariés pour le Action Les missions d Action Le 1% (participation des employeurs à l effort de construction) a été institué en

Plus en détail

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013

L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Paris, le 15 octobre 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Un marché immobilier résidentiel caractérisé par une baisse

Plus en détail

Focus sur les politiques publiques de l épargne en France

Focus sur les politiques publiques de l épargne en France Focus sur les politiques publiques de l épargne en France T. Mosquera Yon Banque de France 1 En France, les pouvoirs publics ont, dès 1818, souhaité mettre en place des dispositifs visant à encourager

Plus en détail

Les aides pour les sociétés civiles immobilières

Les aides pour les sociétés civiles immobilières Comprendre TRAVAUX DE RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE Les aides pour les sociétés civiles immobilières Des conditions d attribution spécifiques Des aides financières existent pour soutenir les particuliers qui

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA VILLE Arrêté du 29 juin 2011 portant approbation des modifications du règlement général de l Agence nationale pour la rénovation urbaine NOR

Plus en détail

Analyse du processus de décision des propriétaires rhônalpins en matière de rénovation énergétique :

Analyse du processus de décision des propriétaires rhônalpins en matière de rénovation énergétique : Analyse du processus de décision des propriétaires rhônalpins en matière de rénovation énergétique : des motivations à la réalisation des travaux Le contexte Suite au Grenelle de l Environnement, l Etat

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015

DOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015 DOSSIER DE PRESSE Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement Paris, le 15 avril 2015 Contact presse Service de presse du ministère du Logement, de l Égalité des

Plus en détail

1 - Salaires nets tous secteurs confondus

1 - Salaires nets tous secteurs confondus N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.

Plus en détail

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)

Plus en détail

D O S S I E R D E P R E S S E

D O S S I E R D E P R E S S E DOSSIER DE PRESSE S O M M A I R E Le Groupe Électricité de Strasbourg et ses nouvelles marques - En 2008, la préparation de la filialisation du commercialisateur......................3 - Organigramme simplifié

Plus en détail

Guide du futur. propriétaire. Le groupe SNI vous donne les clés

Guide du futur. propriétaire. Le groupe SNI vous donne les clés Guide du futur propriétaire Le groupe SNI vous donne les clés Devenir propriétaire un acte fort Devenir propriétaire, aménager et personnaliser votre lieu de vie, vous constituer un patrimoine transmissible

Plus en détail

VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit

VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit VILLE DE BAYONNE RESTAURATION DES IMMEUBLES EN CENTRE ANCIEN Secteur Sauvegardé, Zone patrimoniale de St Esprit REGLEMENT D ATTRIBUTION DE SUBVENTIONS COMMUNALES Afin de préserver et mettre en valeur le

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

PATRIMMO COMMERCE. Société Civile de Placement Immobilier

PATRIMMO COMMERCE. Société Civile de Placement Immobilier PATRIMMO COMMERCE Société Civile de Placement Immobilier INVESTISSEZ INDIRECTEMENT EN PARTS DE SCPI DANS L IMMOBILIER COMMERCIAL Patrimmo Commerce a pour objectif de constituer un patrimoine immobilier

Plus en détail

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre

Plus en détail

La mutualisation du stationnement

La mutualisation du stationnement La mutualisation du stationnement Eric GANTELET, Président SARECO SARECO est un bureau d études spécialisé sur les questions de stationnement qui conseille les collectivités territoriales depuis la définition

Plus en détail

Pierre Avenir 3 Société Civile de Placement Immobilier

Pierre Avenir 3 Société Civile de Placement Immobilier Pierre Avenir 3 Société Civile de Placement Immobilier Communication à caractère promotionnel BNP Paribas REIM, société de gestion de portefeuille, lance une nouvelle SCPI Scellier, «label BBC» : Pierre

Plus en détail

DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES

DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES CAHIER DES CHARGES DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES Rappel du cadre général d intervention des 3 collectivités : Dans le prolongement du Schéma Régional de Développement

Plus en détail

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans

Plus en détail

NF habitat & nf habitat hqe TM

NF habitat & nf habitat hqe TM NF habitat & nf habitat hqe TM Certification rénovation maison l essentiel pour les professionnels Applicatif NF 500-02 - Version 1.0 introduction Depuis 1999, CÉQUaMi, filiale de l association QUaLiteL

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Avec près des deux tiers des

Avec près des deux tiers des Les Dossiers de l Observatoire Régional du Tourisme n 42 - mars 2012 Le poids économique de l hôtellerie de plein air en Pays de la Loire Plus de 600 campings Un chiffre d affaires annuel de 230 millions

Plus en détail

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre Qualifications et certifications RGE en rénovation Les qualifications et certifications RGE éligibles pour vos travaux de rénovation énergétique en métropole Le recours a un professionnel RGE est obligatoire

Plus en détail

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre Comprendre RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Mise à jour le 15 juin 2015 Près de 40 000 professionnels qualifiés RGE en métropole Les propriétaires, locataires,

Plus en détail

Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises

Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises 27 mars 2008 Le Groupe Crédit Mutuel en 2007 (1) La dynamique du développement et le 3 e résultat des banques françaises Résultat net part du groupe : 2 730 M Produit net bancaire : 10 568 M Coefficient

Plus en détail

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

éco-construction bâtiments d élevage

éco-construction bâtiments d élevage éco-construction bâtiments d élevage Jacques Capdeville, service Bâtiment-Environnement, Institut de l Elevage Michel Colache, Maison Régionale de l Elevage SIMA février 2011 un contexte Des préoccupations

Plus en détail

Audit 360 CONFORT, ENERGIE, SÉCURITÉ, VALORISATION. Une solution pour y voir plus clair dans votre copropriété

Audit 360 CONFORT, ENERGIE, SÉCURITÉ, VALORISATION. Une solution pour y voir plus clair dans votre copropriété Audit 360 CONFORT, ENERGIE, SÉCURITÉ, VALORISATION Une solution pour y voir plus clair dans votre copropriété Socotec en quelques mots 3 valeurs d engagement + 5 métiers structurants + 7 aes stratégiques

Plus en détail

RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE

RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 13 mars 2012 RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE Bonne résistance du PNB et du RBE en 2011, solidité financière confirmée, poursuite de la dynamique de développement

Plus en détail

Supplément au guide :

Supplément au guide : Supplément au guide : Les aides pour les propriétaires au 1 er janvier 2014 De très nombreuses aides peuvent financer jusqu à 95% des frais liés à vos travaux de rénovation (prestations d études, diagnostics,

Plus en détail

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,

Plus en détail

OPCIMMO-P. L épargne immobilière indirecte réinventée. Diversification compte-titres et assurance vie

OPCIMMO-P. L épargne immobilière indirecte réinventée. Diversification compte-titres et assurance vie Diversification compte-titres et assurance vie OPCIMMO-P Munich - Atelier an der Medienbrüke Paris - Cap 14 (VEFA) L épargne immobilière indirecte réinventée Document dédié à la présentation de l action

Plus en détail

POINT D INFORMATION SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT AU 13 DECEMBRE 2012

POINT D INFORMATION SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT AU 13 DECEMBRE 2012 POINT D INFORMATION SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT AU 13 DECEMBRE 2012 Philippe BOUCHARDEAU Nelly ARGOUD Adjoint de direction Adil 26 Stagiaire Elève avocate Adil 26 1 Rappels sur L ADIL 26 Les trois missions

Plus en détail

Dexia, le partenaire du développement

Dexia, le partenaire du développement Dexia, le partenaire du développement ensemble, à essentiel Dexia joue un rôle majeur dans le financement des équipements collectifs et des infrastructures, Dexia des secteurs de la santé et logement social,

Plus en détail