Le Mvula Trust en Afrique du sud : Un partenaire indépendant du gouvernement
|
|
- Gérard Larose
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Fiche 14 Programme pour l eau et l assainissement Un partenarait international pour aider les populations défavorisées a avoir un accès durable à des services d eau et d assainissement améliorés Le Mvula Trust en Afrique du sud : Un partenaire indépendant du gouvernement Région Afrique L eau, l assainissement et l hygiène sont des composantes essentielles du développement durable et de l allègement de la pauvreté. En Afrique, les responsables politiques et les spécialistes du secteur insufflent une nouvelle dynamique dans ces domaines importants. Cette fiche ainsi que d autres dans la même collection, participent de manière opportune à cette dynamique. Il s agit essentiellement d aider les politiciens, les responsables et les professionnels dans leurs activités. En ma qualité d ambassadeur de l eau pour l Afrique, nommé à Accra en avril 2002 et appuyé par la Conférence de l AMCOW en mai 2002, je vous les conseille. Salim Ahmed Salim Ambassadeur de l eau pour l Afrique Un opérateur communautaire et un agent de terrain du Mvula Trust s entretenant avec des enfants à une borne fontaine. Résumé Le Mvula Trust en Afrique du sud est une grande ONG dont le but exclusif est d approvisionner les populations démunies en eau et de leur offrir des services d assainissement. Son budget de fonctionnement annuel est de plus de 10 millions de US dollars. Très peu d ONG locales de cette taille travaillent dans le secteur de l eau et de l assainissement en Afrique. Pourtant, c est également une organisation jeune, qui a connu une croissance plutôt rapide depuis sa fondation en Elle a depuis sa création à nos jours, joué un rôle primordial dans le développement du vaste et urgent programme pour l eau et l assainissement en Afrique du sud. La présente publication retrace l histoire du développement du Mvula Trust et jette un regard inquisiteur sur son mode de fonctionnement. Le Mvula Trust est partagé entre deux fonctions essentielles : la fonction plus traditionnelle des ONG qui est de travailler avec les communautés et de les renforcer, de les sensibiliser et de promouvoir l innovation ; et celle d agence nationale d exécution, ayant pour domaine d exercice la plupart des zones rurales les plus démunies d Afrique du sud. Au cours de ces dernières années, le Mvula Trust a noué d étroites relations de travail et de coopération avec le gouvernement d Afrique du sud, relations qui lui ont permis d avoir une influence considérable sur les politiques gouvernementales. Le Mvula Trust offre à l Afrique du sud un mécanisme alternatif de prestation de services aux communautés démunies des zones rurales. Il dispose de principes et de méthodes de travail clairs, et est en mesure à la fois d influencer les décisions gouvernementales et d attirer des financements substantiels. Il est par conséquent un exemple susceptible d être suivi par d autres pays africains soucieux de créer des organisations indépendantes qui travailleraient en partenariat avec leurs gouvernements.
2 Contexte De l Afrique, toujours du neuf PLINY Le rôle de la société civile a pris une ampleur considérable dans de nombreux pays africains au cours de la décennie écoulée. Cela s est traduit par la prolifération des ONG locales africaines, qui prennent une part active au développement, notamment dans le secteur de l eau et de l assainissement. Un certain nombre de raisons expliquent cette prolifération, au nombre desquelles, notamment, l élargissement de l espace politique né de la consolidation des démocraties libérales dans la plupart des pays. Les ONG jouent désormais des rôles divers, allant du pilotage d initiatives non-conventionnelles ou difficiles, au renforcement de la pression des consommateurs, en passant par la prise de position contre les gouvernements et les agences extérieures sur les questions de politiques et les réactions rapides à des situations d urgence ou à des catastrophes naturelles. D autres raisons pratiques expliquent l émergence de certaines ONG spécifiques et leur rôle plus significatif dans bien des pays aujourd hui. L ampleur du défi représenté Membres fondateurs passés et présents du Trust Mvula Le Département des eaux et forêts L Union européenne Le Trust indépendant pour le développement L AusAID (du gouvernement d Australie) Ireland AID (du gouvernement d Irlande) Les autorités locales (les municipalités de district) La Primature du Cap oriental La Commission pour la recherche hydrologique DANIDA (du gouvernement du Danemark) DFID (du gouvernement du Royaume-Uni) par l approvisionnement en eau et l assainissement des populations non desservies à ce jour en Afrique va au-delà des capacités de la plupart des gouvernements. Dans bien des cas, des réformes ont également modifié le rôle de l Etat qui, de fournisseur direct de services, est devenu facilitateur et régulateur. Ainsi, une nouvelle génération d ONG a vu le jour avec pour mission d essayer de combler le vide laissé par l Etat. Elles s efforcent d associer prestation de services et sensibilisation, à travers l engagement avec l Etat. Ces ONG sont soucieuses d exercer un impact plus important à une échelle plus grande, en complétant les initiatives gouvernementales, au lieu de travailler de manière indépendante, comme l ont jusque-là fait les ONG. La présente fiche se penche essentiellement sur l une de ces ONG, le Mvula Trust en Afrique du sud. Historique du Mvula Trust Le Mvula Trust a été créé en 1993, six mois avant les premières élections démocratiques qui mirent fin à l ère de l apartheid en Afrique du sud. A l époque, les populations rurales étaient victimes d un dénuement particulièrement prononcé, dû à une grave sécheresse qui, en matière d approvisionnement en eau potable, a été aggravée par la chute des anciennes administrations des «homelands» (régions réservées aux Noirs), qui étaient chargées d assurer la gestion des infrastructures d approvisionnement en eau. Il fallait donc d urgence faire face à la situation, au moins jusqu à ce que le nouveau gouvernement se dote d un programme d approvisionnement en eau et d assainissement. Le Mvula Trust a été, dans un premier temps, conçu comme un projet quadriennal, dont l avenir dépendrait de ses rendements au cours des premières années de son existence et de ses besoins futurs. Il s agissait d alléger la situation critique du début des années 1990, en mettant en place un mécanisme rapide et efficace de financement de projets communautaires d approvisionnement en eau et d assainissement. En termes d approche, le Mvula Trust s est inspiré de la pratique internationale des ONG (qui est de mettre l accent sur les pauvres, de placer la population au cœur du développement, de privilégier les technologies appropriées, d être davantage mues par l objectif de travail que par le profit, et de privilégier aussi bien le processus que le produit), qu il a adaptée à l environnement spécifique de l Afrique du sud. Le premier financement du Mvula Trust lui a été accordé par le Trust indépendant pour le développement (qui gère une subvention du Parlement sud-africain), le Trust Kagiso (qui gère des fonds de l Union européenne) et par la Banque de développement d Afrique australe sous la forme de prêts. Au départ, le Trust était une organisation nongouvernementale dirigée par un Conseil indépendant créé à l initiative d un certain nombre de personnes membres du 2
3 Comité permanent pour l eau et l assainissement (Standing Committee on Water and Sanitation SCOWSAS), une initiative visionnaire de la société civile, qui a fonctionné pendant la période de transition de l apartheid vers la démocratie. Le tout premier Conseil d administration du Mvula Trust était en majorité composé de représentants de ses trois premiers membres fondateurs, de militants du développement rural et de spécialistes du secteur. Au cours de la période de transition démocratique, le Trust Mvula a joué un rôle crucial de sensibilisation et d élaboration de politiques en appui au nouveau gouvernement. Dès le départ donc, le type de relations devant exister entre le Trust et l Etat était supposé être basé sur la coopération et l engagement constructifs. Cette caractéristique du Mvula Trust revêtait un sens particulier à l époque, car les ONG, à l ère de l apartheid, étaient très connues pour leur militantisme et pour leurs positions antigouvernementales. La suite des événements a montré que la plupart des ONG de développement rural, qui furent créées sous le régime de l apartheid, ont eu du mal à adopter une position différente envers le gouvernement, même après la transition vers l ère démocratique. Au sein du paysage des ONG en Afrique du sud, le Mvula Trust avait aussi la particularité d avoir été consciencieusement bâti comme organisation professionnelle, basée sur l efficacité, et payant des salaires tenant compte du marché, contrairement à l éthique volontariste qui caractérise la plupart des ONG. Peu après le lancement par le nouveau gouvernement du Programme communautaire d approvisionnement en eau et d assainissement, un accord a été signé en 1995 entre le Mvula Trust et le Département des eaux et forêts (DWAF), pour officialiser les relations entre les deux institutions. Sept années plus tard, cet accord reste unique en son genre, tant par son contenu que par sa portée, dans les relations entre l Etat et les ONG en Afrique du sud. En effet, par les clauses de cet accord, l Etat sud-africain s engageait à financer des projets identifiés par le Mvula Trust (plus tard ces projets devaient être conjointement Réunion communautaire dans le kraal ou l enclos du chef. AFRIQUE DU SUD identifiés par le Trust et les nouvelles municipalités) pour une valeur totale d à peu près 10% du budget annuel d investissement du DWAF. Le Mvula Trust s engageait pour sa part à œuvrer en coopération avec l Etat, et notamment à l aider dans l élaboration de politiques. Comme stipulé dans l Acte original du Trust, une évaluation externe du Mvula Trust a été réalisée en Celle-ci a recommandé que l organisation soit transformée en une institution permanente. A cette époque, le Trust avait non seulement obtenu des financements du DWAF pour un nombre grandissant de projets, mais avait également signé des accords avec un certain nombre de bailleurs de fonds externes, en l occurrence l Union européenne et les gouvernements australien et irlandais. Le Trust Mvula n a pas cessé de se développer au fil des ans, au point qu il gère désormais des projets d eau, d assainissement et d élaboration de politiques pour un total annuel de marge brute d autofinancement de plus de 10 millions de US dollars. En termes de source de financement, les bailleurs de fonds étrangers acheminent désormais leur appui par le biais du DWAF, plutôt que de l envoyer directement aux ONG ; ainsi plus de 90% des fonds reçus par le Mvula Trust lui parviennent par le biais de l Etat. Cette nouvelle donne a de sérieuses conséquences sur la capacité du Trust à jouer un rôle indépendant de pionnier et d avocat de ses différentes initiatives, notamment parce que les autorités municipales, qui sont désormais ses principaux clients, sont moins souples et moins enclines au progrès que le DWAF au niveau national. 3
4 Comment fonctionne le Mvula Trust? Mise en œuvre de projets Le Mvula Trust a été créé à une époque où aucune initiative efficace n était prise par le gouvernement en matière d approvisionnement en eau ; ceci lui a permis de concevoir et de mettre en œuvre ses propres politiques et approches. L Etat a approuvé ce degré d indépendance et laissé au Trust suffisamment de latitude pour tester ses idées, tout en respectant l orientation générale des politiques gouvernementales. Le Mvula Trust a conçu une approche de la gestion communautaire et de la satisfaction des demandes qui, même après maints amendements opérés au fil des ans, reste unique en son genre en Afrique du sud. Mieux, le Trust a pu mettre en œuvre cette approche à grande échelle en exécutant entièrement plus de 250 projets d eau et de vastes programmes d assainissement dans sept des neuf provinces que compte le pays, et en utilisant chaque année plus de 10% du budget national d investissement. Le Trust Mvula adopte un modèle d élaboration de projet par lequel les organisations communautaires (telles que les Comités pour l eau et l assainissement) jouent le rôle de directeurs de projet. Elles gèrent elles-mêmes les fonds des projets et rémunèrent les fournisseurs de services (y compris les consultants techniques et sociaux), et supervisent la main-d œuvre locale. Le sens de l appropriation et de la responsabilité généré par cette approche, ajouté à la confiance et aux aptitudes développées, ont permis à un grand nombre de projets appuyés par le Mvula Trust d être davantage soutenus par les communautés qu ils ne l étaient à l époque où les programmes étaient gérés par l Etat. A titre d exemple, même après l annonce, en 2000, de la politique gouvernementale d approvisionnement gratuit en eau de base, les communautés appuyées par le Mvula Trust ont continué d acheter de l eau afin d assurer la survie de leurs projets jusqu à la mise en œuvre de la politique. Il n en fut pas de même au niveau des projets gérés par l Etat où même avant l annonce de la politique, le taux de recouvrement des coûts de ces projets était inférieur à 1%. Cependant, avec l avènement des municipalités dans les zones rurales depuis 1996, la situation du Mvula Trust a changé. Le processus de décentralisation des pouvoirs et le transfert des attributions publiques du gouvernement vers les municipalités s est fait assez rapidement. Désormais, les organisations municipales sont chargées de la gestion de l eau et de l assainissement. Mais plusieurs d entres elles ne perçoivent pas encore pleinement le rôle de développement qu elles sont appelées à jouer, et ne voient pas non plus d un bon œil l implication des ONG. Le Mvula Trust s emploie par conséquent activement à réduire l impact Etude de cas : Le projet communautaire d approvisionnement en eau de Nhlungwane Le projet de Nhlungwane est situé dans la région australe du Kwazulu-Natal. Cette communauté compte approximativement 227 ménages, avec une population de 1,100 habitants. Grâce au Mvula Trust, un projet d approvisionnement en eau a été créé et mené à terme en Depuis lors, le projet fonctionne normalement avec de très bons rendements en termes de recouvrement de coûts et de frais de fonctionnement. Les recettes, issues de la collecte d une contribution de 0,7 $ EU par mois par ménage, sont supérieures aux dépenses du projet d approvisionnement en eau ; ce qui a permis au projet de réaliser un solde en banque créditeur d un montant de plus de US $ 1,100 (au début de l an 2002). Le projet utilise de l eau de puits extraite par une pompe à moteur diesel et déversée dans un réservoir placé en hauteur, puis distribué par gravité dans 41 fontaines publiques. Les fontaines ont leur propre gérant qui sont tous des femmes (souvent surnommées «nompompis»). Ces gérantes exercent leurs fonctions à titre volontaire et de façon rotative entre les ménages situés dans le voisinage des fontaines. Chaque gérante garde la clé de la fontaine et l ouvre chaque jour à une certaine heure pour permettre aux habitants de s approvisionner en eau. Les gérantes collectent également les contributions mensuelles des ménages situés dans le voisinage de leur fontaine. Facteurs de réussite Le village de Nhlungwane est une communauté foncièrement unie, au sein de laquelle l approche de satisfaction de la demande du Trust Mvula a permis de susciter un sens prononcé de l appropriation et de la responsabilité du projet d approvisionnement en eau. Le Comité chargé de l eau dans le village entretient de bonnes relations de travail avec les autorités locales, et assure une communication ouverte et régulière avec les villageois à travers des réunions communautaires. Le projet a été initié et est géré par un certain nombre de personnes dynamiques, qui ont beaucoup contribué à promouvoir l engouement pour le projet chez les membres de la communauté. Le Comité chargé de l eau dans le village a pour soubassement des organisations communautaires de femmes qui mènent des activités dans le village depuis des décennies. 4
5 de ces deux problèmes et à nouer de bonnes relations avec les municipalités. Son but est d aider ces dernières à offrir aux communautés des services durables, fiables et bon marché d approvisionnement en eau. Au nombre des services offerts par le Trust, on peut citer : la mise en œuvre de programmes et projets de prestation durable de services d approvisionnement en eau l appui fonctionnel et l appui au développement de politique aux départements chargés de l eau au niveau des municipalités le suivi et l évaluation le choix et le recrutement de fournisseurs de services d approvisionnement en eau la création d entreprises communautaires de prestation de services d eau et la prestation de services d appui la promotion de l assainissement, de la santé et de l hygiène la formation et le renforcement des capacités des communautés, de l Etat et des consultants l élaboration de directives et d outils utilisables dans tous les volets des services d approvisionnement en eau. Impact sur les politiques Les étroites relations de travail entre le Trust Mvula et le gouvernement ont permis au Trust d influencer les politiques de l Etat en donnant le bon exemple à travers la participation aux réunions au cours desquelles sont examinées les questions de politiques. Plus particulièrement, en privilégiant les approches communautaires et la bonne perception des priorités et capacités des communautés défavorisées, le Trust a influencé l approche gouvernementale du développement rural. Cet impact sur les politiques a été particulièrement visible en matière d assainissement. L approche désormais adoptée par tous les programmes d assainissement de l Etat a été pilotée par le Trust entre 1994 et 1997, et ce dernier a beaucoup contribué à l élaboration de la politique nationale en matière d assainissement, publiée en Plus de 80% du programme gouvernemental en matière d assainissement ont été exécutés par le Trust Mvula, et ses spécialistes en assainissement ont été recrutés pour conseiller le gouvernement dans le cadre de la reproduction à grande échelle du programme actuellement en cours. L impact du Trust sur les politiques en matière d eau a été plus subtil. Alors que peu d éléments du modèle de satisfaction de la demande et de gestion communautaire du Trust Mvula ont été pleinement adoptés par l Etat, le Trust a collaboré étroitement avec le DWAF au fil des années, à travers l élaboration des outils et des directives utilisés Panneaux solaires fournissant de l énergie à une pompe d eau. lors de la mise en œuvre du programme gouvernemental. Le Trust Mvula est membre du Bureau directeur du secteur des services d approvisionnement en eau, qui est dirigé par l Etat, et il est l un des deux représentants de la société civile au niveau du Comité directeur du Programme gouvernemental des services d approvisionnement en eau («Masibambane»). Financement L autre caractéristique notable du Trust Mvula est son mode de financement. Avec la réduction des subventions participant à son fonds principal, le Trust a élaboré un système permettant de couvrir ses charges essentielles à partir des frais de mise en œuvre des projets qu il impute à ses bailleurs de fonds. Ces frais comprennent une indemnité d administration calculée sur la base d un pourcentage (qui varie entre 6% et 15%), une facturation du temps consacré à l exécution du projet et le recouvrement des dépenses de voyage et de diverses autres dépenses. Tout le personnel intervenant dans le projet remplit des formulaires de temps de travail. En réalité, le Trust fonctionne comme une firme de gestion de projets et de consultation à but non lucratif, qui fait la concurrence au secteur privé. Mais l absence d un fonds de base affecte négativement sa capacité à financer ses activités traditionnelles d ONG, telles que son programme interne de formation et de développement du personnel, le développement stratégique organisationnel et de politiques, la communication externe et la sensibilisation, et la participation aux conférences et ateliers. 5
6 Etude de cas : Le Programme d assainissement des écoles des zones rurales Entre 1997 et 2002, le Trust Mvula a exécuté un Programme d assainissement des écoles des zones rurales, sur un financement de l Union européenne. Dans plus de 150 écoles, des fosses septiques à ventilation améliorée ont été construites, et une formation ainsi qu une campagne de sensibilisation sur la santé et l hygiène ont été organisées. Les écoles ont été invitées à contribuer pour 10 % aux frais de construction, afin de susciter chez elles le sens de l appropriation du projet et de garantir que les comités de projet rendent financièrement compte aux parents. De même, les écoles ont été invitées à constituer des groupes d au moins cinq écoles du voisinage qui ont toutes des besoins d assainissement. L approche de groupe a eu deux principaux avantages : premièrement, les coûts unitaires (d administration par exemple) ont été amoindris, car des économies d échelle ont pu être réalisées ; deuxièmement, les écoles ont pu s entraider à maintenir l engouement par la pression des autres. L inconvénient était la frustration éprouvée par certaines écoles qui ont vu des écoles de leur groupe ne pas respecter les délais ou les clauses des accords, ce qui a occasionné des retards pour toutes les écoles de ces groupes. Enseignements L approche communautaire de satisfaction de la demande adoptée par le Trust Mvula, ajoutée à l utilisation du savoir-faire de la maind œuvre locale, a permis d offrir des infrastructures durables et bien entretenues à un coût de loin inférieur à celui des infrastructures offertes par l Etat. Vu le nombre important des parties prenantes au processus, il est essentiel de définir clairement au préalable les rôles, responsabilités, exigences et attentes, afin d éviter les déceptions, les frustrations et tout autre problème. Plus spécialement, dans le cas du projet d assainissement des écoles, il est important d organiser des cérémonies officielles de lancement du projet. Cela préserve l engouement au travail et réaffirme la responsabilité des écoles dans l entretien des latrines et dans la poursuite de la campagne de formation et de sensibilisation sur la santé et l hygiène. Pour assurer le maintien des bons comportements en matière d hygiène et de santé, une éducation dans ces domaines devrait devenir un thème récurrent dans les programmes scolaires. Par conséquent, il vaudrait mieux que les cours de santé et d hygiène soient dispensés par un certain nombre d enseignants formés au niveau de chaque école, plutôt que par des individus extérieurs à l école, dont les visites ne seraient qu occasionnelles. Analyse du succès du Trust Mvula A travers la promotion de l utilisation de spécialistes locaux et de leur savoir-faire, la collaboration avec l Etat pour assurer la duplication et la reproduction à grande échelle d approches améliorées du développement rural, et à travers l engagement constructif à influencer plus efficacement les politiques, le Trust Mvula réalise un impact qui va au-delà de ses capacités financières. Ce succès est dû à une conjugaison de plusieurs facteurs : Un opérateur communautaire démarrant une pompe à énergie solaire. Une relation à l origine mutuellement profitable avec le gouvernement Peu après la création du Trust Mvula, le nouveau gouvernement démocratiquement élu s est rendu compte des avantages qu il tirerait de l exploitation des capacités, de l engagement et de la créativité des ONG sectorielles pour combler les énormes lacunes en matière de prestation de services, et pour concevoir de nouvelles politiques et de nouveaux programmes. Le Trust était et reste l un des éminents représentants de ces ONG. Les responsables qui se sont succédés au niveau du gouvernement et du Trust ont renforcé cette relation. 6
7 Des dirigeants compétents Le Mvula Trust a tiré profit des qualités de visionnaires de ses différents dirigeants ainsi que de l appui d un personnel engagé et hautement compétent. Le premier directeur exécutif du Trust, avec l appui du Conseil d administration, a conçu et mis en œuvre ce qui, en Afrique du sud, était une approche radicalement nouvelle du financement et de la facilitation de projets de prestation de services d approvisionnement en eau et d assainissement. D importantes relations ont été renforcées avec divers partenaires locaux et internationaux, et le Trust s est vite bâti une bonne réputation dans le secteur. L appui d institutions étrangères La bonne réputation du Trust lui a valu l appui financier de divers bailleurs de fonds internationaux. A titre d exemple, un programme novateur, financé par l Union européenne, a été exécuté de 1997 à Ce programme était spécialement conçu pour exécuter un certain nombre de projets destinés à élaborer des politiques, à sensibiliser les populations et à piloter de nouvelles approches dans des domaines qui n étaient pas pris en charge par les programmes gouvernementaux. Il a permis au Trust Mvula d innover dans un certain nombre de domaines qui sont, depuis lors, devenus des repères dans le secteur. C est le cas de la méthode «participation à la transformation de l hygiène et de l assainissement», et du Programme durable et rentable de l assainissement dans les écoles (voir encadré). La capacité à s adapter à un environnement de travail en mutation Le Trust Mvula est également passé du statut d ONG fonctionnant avec un important potentiel de base, à celui d ONG associant les principes commerciaux de l efficacité et de la rentabilité (bien que ce soit à des fins non lucratives) avec les valeurs traditionnelles de volontariat qui caractérisent le secteur. Il a ainsi réussi à s adapter au nouvel environnement de financement des bailleurs de fonds, environnement dans lequel les coûts de fonctionnement sont couverts par les frais de mise en œuvre, tout en maintenant son rôle d agence d exécution du gouvernement, faisant souvent la concurrence au secteur privé. Le chiffre d affaires de l organisation a connu chaque année un taux de croissance de 25% à 40%, et la restructuration de ses activités a exigé un effort considérable ayant résulté en une amélioration constante de ses systèmes de gestion. La capacité à s adapter à un environnement politique en mutation Cette croissance s est opérée au moment même où le Département des eaux et forêts, principal client de l organisation, a passé la main aux municipalités. Cette nouvelle donne a nécessité un véritable changement de mentalité chez le personnel et les dirigeants du Trust. Les succès enregistrés à ce jour par le Trust Mvula dans le renforcement de ses relations avec les municipalités sont en grande partie dus à ses réalisations positives dans le créneau bien précis de la prestation de services aux petites communautés reculées (qui représentent plus de la moitié de la population rurale de certaines provinces). La plupart des responsables des municipalités sont des technocrates spécialisés dans la prestation classique de services en zone urbaine et peu habitués à collaborer avec leurs consommateurs. Le Trust Mvula a pu aider les autorités locales à combler certaines de ces lacunes, et son approche pour l appui aux Conseils ruraux et au renforcement de leurs capacités est de plus en plus appréciée par un nombre grandissant d entre eux. Priorités pour les années à venir Le Trust Mvula envisage quatre défis majeurs pour les années à venir : Permettre aux communautés rurales démunies de bénéficier aussitôt que possible de la politique d approvisionnement gratuit en eau de base, et veiller à ce que la subvention soit accordée de la manière la plus rentable possible et qu elle soit durable. Etendre son programme d assainissement des zones rurales, en lui accordant une importance égale à celle accordée au programme d approvisionnement en eau, et veiller à ce que l approche utilisée soit conforme aux principes de développement de la politique nationale. Développer les services d approvisionnement en eau de manière plus globalisante en les exécutant conformément à la stratégie gouvernementale de promotion d un développement rural durable et intégré. Conserver sa propre indépendance intellectuelle en dépit de sa dépendance vis-à-vis des recettes réalisées sur les projets plutôt que de ses revenus de base. A la lumière de ces défis, le Trust Mvula envisage d étendre ses interventions au-delà du secteur de l approvisionnement en eau et l assainissement, pour explorer des volets connexes tels que la gestion des ressources hydrauliques, les moyens d existence des populations rurales et le développement économique local liés à l accès à l eau potable et à l assainissement. 7
8 Enseignements pour d autres régions Bien que le Trust Mvula ait été créé dans les circonstances particulières du changement démocratique en Afrique du sud, de nombreux enseignements tirés de ses activités seraient utiles à d autres régions du continent. En raison de son approche de la satisfaction de la demande, de ses projets à gestion communautaire et de l aide qu il apporte au gouvernement en matière d élaboration de politiques, le Trust a acquis une réputation qui va au-delà des frontières de l Afrique du sud. Il a pris part à de nombreuses conférences et ateliers internationaux et a commencé à travailler, dans une moindre mesure, avec d autres pays d Afrique australe tels que le Mozambique, l Ile Maurice et le Lesotho. L exemple du Trust Mvula propose plusieurs enseignements à d autres ONG travaillant dans des circonstances similaires. Programme pour l eau et l assainissement-afrique (PEA-AF) The World Bank, Hill Park, Upper Hill, P.O. Box 30577, Nairobi, Kenya Tel: (254-2) , Fax: (254-2) wspaf@worldbank.org Web site: Les relations avec le gouvernement doivent être clairement définies Le partenariat avec le gouvernement peut s avérer efficace s il est bien entretenu par les deux parties. Les ONG peuvent aider le gouvernement en donnant le bon exemple, en offrant des services, en menant des évaluations et en servant de pionniers aux nouvelles politiques. D autre part, il est important pour les ONG de conserver leur indépendance organisationnelle et politique vis-à-vis de l Etat, afin de bénéficier de la crédibilité des communautés et de jouer efficacement leur rôle d avocats des pauvres. A un niveau plus élevé, une ONG bien structurée et indépendante aux niveaux politique et organisationnel, qui participe de manière constructive à l élaboration des politiques générales de l Etat, peut jouer un rôle significatif dans l accélération de la mise en œuvre des objectifs sectoriels nationaux. Des mécanismes de prestation indépendants peuvent venir à bout des barrières bureaucratiques et fixer des repères externes pour la performance même du gouvernement. L avantage concurrentiel reste l implication au niveau communautaire Les ONG qui se consacrent à renforcer leurs capacités dans la collaboration avec les communautés et à offrir des services durables au niveau local possèdent un avantage concurrentiel dans ce domaine, car ces volets ne sont pas le point fort du gouvernement ou du secteur privé. A ce niveau, l efficacité peut être améliorée en renforçant les capacités et les compétences du personnel local. A cet effet, le Trust Mvula dispose de ressources adaptées, au nombre desquelles des salaires concurrentiels. L efficacité professionnelle et la flexibilité organisationnelle sont essentielles Les organisations telles que le Mvula Trust doivent travailler pour réaliser l équilibre suivant : utiliser des méthodes commerciales efficaces et des économies d échelle pour tenir la concurrence avec le secteur privé, sans pour autant perdre leur nature d ONG et la valeur ajoutée qu elles offrent au niveau communautaire. Cela suppose en retour un équilibre entre la prestation de services rémunérés (qui privilégie l obtention de résultats mesurables) et la disponibilité d un financement de base (qui privilégie les questions de procédure et le développement à travers l apprentissage et la sensibilisation). Pour ce qui est du cas précis du Trust Mvula, l on a penché pour la prestation de services rémunérés. Cette option s avère durable en Afrique du sud, en raison de la puissance financière de l Etat et de la constance de l appui des bailleurs de fonds externes. Dans d autres pays africains présentant un environnement politique et financier différent, les ONG pourraient pencher pour des options autres que celles adoptées par le Mvula Trust, tout en tirant des enseignements de valeur de l xpérience de ce Trust. Remerciements Ecrit par : Martin Rall Rédacteur de la série : Jon Lane Rédacteur en chef : John Dawson Publié par : Vandana Mehra Photos de : Rowan Duvel Conçu par : Write Media Imprimé par : PS Press Services Pvt. Ltd. Traduction par : Bilha Mwenesi Août 2002 Le Programme pour l Eau et l Assainissement est un partenariat international qui vise à aider les populations défavorisées à avoir un accès durable à des services d eau et d assainissement améliorés. Les principaux partenaires financiers du programme regroupent les gouvernements de l Australie, l Autriche, la Belgique, le Canada, le Danemark, la France, l Allemagne, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, la Suède, la Suisse, le Royaume Uni ; le Programme des Nations Unies pour le Développement et la Banque mondiale. La Banque mondiale n accepte pas la responsabilité des opinions exprimées ci-dessus, qui sont entièrement ceux de l auteur, et ne devrait pas être attribuée à la Banque mondiale ou à toute autre organisation affiliée. Les désignations utilisées et la présentation du matériel sont seulement pour aider le lecteur et n impliquent pas l expression de quelconque opinion légale de la part de la Banque mondiale ou de ses affiliations au sujet du statut juridique de quelconque pays, de territoire, de ville, de secteur, ou de ses autorités, ou concernant les délimitations de ses frontières ou affiliations nationales. L information des publications du Programme pour l eau et l assainissement peut être librement reproduite. La reconnaissance appropriée sera appréciée.
Réforme sectorielle de l eau en milieu rural au Ghana : un changement majeur de politique et de structure
Fiche 2 Programme pour l eau et l assainissement Un partenarait international pour aider les populations défavorisées a avoir un accès durable à des services d eau et d assainissement améliorés Réforme
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailÉtapes suivantes du plan d action du Manitoba
Juillet 2005 Pour aller de l avant : L apprentissage et la garde des jeunes enfants Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Introduction En novembre 1999, le gouvernement du Manitoba a confirmé son
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailEtude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France)
Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Résumé du rapport réalisé par EUROPA pour la DATAR DATAR EUROPA Etude sur les maisons des services publics en Europe Résumé du rapport
Plus en détailLe HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification
Identification des be Le HCR est pleinement conscient de la nécessité de travailler en étroit partenariat avec ses principaux bailleurs de fonds pour rassembler les ressources dont il doit disposer pour
Plus en détailCréateur d opportunités
Créateur d opportunités Climat, énergie & ressources naturelles Agriculture & développement rural Marchés de l emploi & développement du secteur privé Systèmes financiers Commerce & intégration régionale
Plus en détailNom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées.
Nom Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL ATConf/6-WP/49 14/2/12 SIXIÈME CONFÉRENCE MONDIALE DE TRANSPORT AÉRIEN Montréal, 18 22 mars 2013 Point 2 : 2.2 Examen de questions
Plus en détailCentre d etudes. strategiques de l Afrique. E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e
Centre d etudes strategiques de l Afrique E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e Séminaire pour hauts responsables - Lisbonne, Portugal Le premier événement
Plus en détailEvaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE
MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailProposition de projet pour le soutien à l occasion des 100 ans d ecobeton water technologies
Proposition de projet pour le soutien à l occasion des 100 ans d ecobeton water technologies Accès à l eau potable et à l assainissement dans les Andes du Sud en Equateur Région de Saraguro-Oña ecobeton
Plus en détailDocument explicatif Introduction à Fairtrade
Document explicatif Introduction à Fairtrade Explication de quelques mots et expressions clés utilisés à Fairtrade. Coopérative de Café Cocla, Peru. Photo: Henrik Kastenskov Document: Document explicatif
Plus en détailLES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL :
LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : UN PARTENARIAT POUR BÂTIR DES COLLECTIVITÉS PLUS FORTES, PLUS PROSPÈRES ET PLUS DYNAMIQUES Mémoire prébudgétaire présenté par Imagine
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailLes Principes fondamentaux
Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du
Plus en détailPourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux
Pourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux Symposium international sur les services bancaires postaux John Anderson 613-290-0016 andersjs1@gmail.com «Ils sont des millions à ne pas avoir
Plus en détailTROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE
ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailPompes à eau potable solaires pour les communautés
Étude de cas 6, 03 2013 Pompes à eau potable solaires pour les communautés Sujet Camp de réfugiés IFO-II de Dadaab Lieu Comté de Garissa, au nord-est du Kenya Application Surface Eau potable et eau d'assainissement
Plus en détailSaint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.
Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailLe financement de l apprentissage informel
Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailNote sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda
Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda Alexandra Panis, BIT / STEP. Kigali, Janvier 2008 1) Contexte historique des mutuelles de santé au Rwanda En 1999, le gouvernement rwandais
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailRégime d assurance-maladie, de soins dentaires et d assurance-vie pour les artistes professionnels. Proposition de partenariat public-privé
Régime d assurance-maladie, de soins dentaires et d assurance-vie pour les artistes professionnels Proposition de partenariat public-privé Résumé En règle générale, les artistes et les autres professionnels
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailTitre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.
Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence
Plus en détailÉtude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS
Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations
Plus en détailCONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A
CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailMicrofinance plus: comment lier la microfinance à d autres services pour toucher les plus pauvres?
Microfinance plus: comment lier la microfinance à d autres services pour toucher les plus pauvres? MCA2 // Microfinance Modérateur Christophe Villa Professeur, Chaire microfinance, Audencia Intervenants
Plus en détailLe talent redéfini en fonction de l économie mondiale. Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada. kpmg.ca/lafonctionfinances
Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada kpmg.ca/lafonctionfinances Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale
Plus en détailGroupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement
Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE
Plus en détailCoffre-fort de données : comment la Suisse peut rester un site d excellence pour les datacenter dossierpolitique
Schweizerischer Verband der Telekommunikation Association Suisse des Télécommunications Swiss Telecommunications Association Coffre-fort de données : comment la Suisse peut rester un site d excellence
Plus en détailForum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements
Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement La République de Madagascar Forum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements Thème : Les Nouvelles Approches
Plus en détail73A.- ÉQUILIBRE ENTRE CONCURRENCE, SOLIDARITÉ ET DÉVELOPPEMENT
e n l a r g E d u c a t i o n V A L I S E P É D A G O G I Q U E " É L A R G I S S E M E N T D E L U N I O N E U R O P É E N N E " Cofinancée par l Union européenne VALISE PÉDAGOGIQUE "ÉLARGISSEMENT DE
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailPrésentation du Groupe IKEA
Présentation du Groupe IKEA IKEA dans le monde en quelques chiffres En 62 ans, le Groupe IKEA est devenu le leader mondial sur le marché du meuble. En tant que spécialiste de l ameublement et de la décoration
Plus en détailConseil Interrégional des Chambres des Métiers de la GR 2
Initiative du CICM Proposition au Sommet de la GR "Green Deal en vue d une politique énergétique et climatique efficiente dans la GR en coopération avec les PME de l artisanat" L Artisanat de la Grande
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailConsidérations sur la crise et le marché intérieur 1
Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.
Plus en détailLe M.B.A. professionnel
Le M.B.A. professionnel Un M.B.A. à temps partiel pour les professionnels qui travaillent un programme unique Le nouveau M.B.A. professionnel de la Faculté de gestion Desautels de l Université McGill est
Plus en détailConsultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers
entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles
Plus en détailACTED. Bien que les guerres soient officiellement terminées, il persiste des conflits localisés à l Est du territoire.
Chargé de Logistique RDC Closing date: 04 Sep 2015 I. ACTED ACTED ACTED est une association de solidarité internationale française qui a pour vocation de soutenir les populations vulnérables de par le
Plus en détailMANAGEMENT DE TRANSITION FRANCE
MANAGEMENT DE TRANSITION FRANCE EDITO «Quand le cabinet de recrutement Robert Walters a lancé l activité Management de Transition en France il y a 10 ans, beaucoup d entreprises et de candidats étaient
Plus en détailListe de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale
Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailPRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC
PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailExposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012
Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Introduction Le Groupe Co-operators limitée est détenu et dirigé par 45 membres-propriétaires de tout le Canada, issus
Plus en détailPLAN STRATÉGIQUE 2013-2016. Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi)
PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016 Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi) Ce rapport a été préparé par : 205, rue Catherine, Suite 300 Ottawa, Ontario K2P 1C3 Tél. : 613.230.6424 Fax : 613.567.1504
Plus en détailLignes directrices à l intention des praticiens
Janvier 2005 Lignes directrices à l intention des praticiens Visiter notre site Web : www.cga-pdnet.org/fr-ca Le praticien exerçant seul ou au sein d un petit cabinet et l indépendance Le Code des principes
Plus en détailWest Africa Water Supply, Sanitation and Hygiene (USAID WA-WASH) Program
Présentation sur les Services Durables a l Echelle (Triple-S): une initiative d apprentissage pour l approvisionnement des services d eau potables permanent www.waterservicesthatlast.org July 2012, IRC
Plus en détailCOALITION D ENTREPRISES SUD-AFRICAINES CONTRE LE HIV/SIDA (SABCOHA)
COALITION D ENTREPRISES SUD-AFRICAINES CONTRE LE HIV/SIDA (SABCOHA) Octobre 2005 Responsable du Programme: Brad Mears Tel : +27 11880 4821 E-mail: brad@sabcoha@co.za Site Web : www.sabcoha.co.za 1 Analyse
Plus en détailPROGRAMME DES PRESTATIONS D AIDE AU TRAVAIL INDÉPENDANT DE L ONTARIO (PATIO)
PROGRAMME DES PRESTATIONS D AIDE AU TRAVAIL INDÉPENDANT DE L ONTARIO (PATIO) EXIGENCES EN MATIÈRE DE VÉRIFICATION ET DE RESPONSABILITÉ POUR LA PÉRIODE ALLANT DU 1ER AVRIL 2015 AU 31 MARS 2016 1 PROGRAMME
Plus en détailÉtats financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS
États financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS Au 31 mars 2014 Deloitte S.E.N.C.R.L./s.r.l. 2000 Manulife Place 10180 101 Street Edmonton (Alberta) T5J 4E4 Canada Tél. : 780-421-3611
Plus en détailBETTERTHANCASH. La mise en œuvre d une aide alimentaire sous forme de paiements électroniques au Kenya : Étude de cas : le Kenya HIGHLIGHTS
BETTERTHANCASH A L L I A N C E Empowering People Through Electronic Payments Étude de cas : le Kenya HIGHLIGHTS Mars 2014 La mise en œuvre d une aide alimentaire sous forme de paiements électroniques au
Plus en détailGuide du programme Transition vers l'après-secondaire
Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens
Plus en détailPlan d orientations stratégiques 2012-2016
Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser
Plus en détailDéveloppement des compétences humaines de la Cour des comptes en République Démocratique du Congo
Développement des compétences humaines de la Cour des comptes en République Démocratique du Congo I. OBJECTIFS POURSUIVIS DANS LE DEVELOPPEMENT DES COMPETENCES HUMAINES. Dans la réalisation de leur noble
Plus en détailAméliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi
Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Congrès Mondial de l AMSEP Istanbul, 6 mai 2015 Sylvain Giguère, Directeur de la division LEED, OCDE Pourquoi
Plus en détailCe chapitre offre un aperçu du processus de
Identification des be Introduction Ce chapitre offre un aperçu du processus de planification qui sert à déterminer les besoins des réfugiés, des apatrides et des autres personnes relevant de la compétence
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailBonnes pratiques de l'ocde pour la gestion des sinistres d assurance
DIRECTION DES AFFAIRES FINANCIERES ET DES ENTREPRISES Bonnes pratiques de l'ocde pour la gestion des sinistres d assurance Ces bonnes pratiques, préparée par le Comité des assurance de l'ocde, ont été
Plus en détailANALYSE GLOBALE DES PROGRAMMES DE LA SHQ. SQEP 18 novembre 2011
ANALYSE GLOBALE DES PROGRAMMES DE LA SHQ SQEP 18 novembre 2011 Contexte Problématiques Objectifs Cadre conceptuel Étude comparative des programmes - Modèle matriciel de comparaison (indice ICP) - Grille
Plus en détailRapport sommaire. Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental
Rapport sommaire Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental Buenos Aires, Argentine 1-3 décembre 2000 Au cours des dix dernières années, le Canada a joué un rôle
Plus en détailPrésentation du programme européen Erasmus + jeunesse 2014-2020
Présentation du programme européen Erasmus + jeunesse 2014-2020 2007-2013 Education formelle et professionnelle : Erasmus, Comenius, Grundtvig, Léonardo Education non formelle : Jeunesse en Action Actions
Plus en détailPROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS
PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS Cycle terminal de la série sciences et technologies du management et de la gestion I. INDICATIONS GÉNÉRALES L enseignement de management des organisations vise
Plus en détailASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS
Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailIntelligence d affaires nouvelle génération
Intelligence d affaires nouvelle génération Sept étapes vers l amélioration de l intelligence d affaires par l entremise de la recherche de données À PROPOS DE CETTE ÉTUDE Les approches traditionnelles
Plus en détailAu profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics
DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailYouthStart ÉTUDE DE CAS PEACE
Par Laura Muñoz Conception, test pilote et commercialisation à grande échelle d un produit destiné aux jeunes Cet article présente les principales réalisations et difficultés rencontrées par PEACE (partenaire
Plus en détailEst-ce que les coopératives d habitations sont des résidences universitaires traditionnelles?
FAQ // coopératives d habitations étudiante Est-ce que les coopératives d habitations sont des résidences universitaires traditionnelles? Pas du tout! Mise à part qu elles soient dédiées à la population
Plus en détailMinistère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)
Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1
ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 Association des comptables généraux accrédités du Canada 100 4200 North Fraser Way Burnaby
Plus en détailObjectifs Stage en entreprise à l étranger
EURODYSSEE Stage pratique en entreprise Dans une autre région d Europe : Bade-Wurtemberg en Allemagne Wallonie-Bruxelles en Belgique Istrie en Croatie Régions d Espagne, Géorgie, Italie, Norvège, Portugal,
Plus en détailLA GOUVERNANCE DES SERVICES À L ENFANCE
LA GOUVERNANCE DES SERVICES À L ENFANCE GOUVERNANCE D UN SERVICE À L ENFANCE Vision Valeurs Mission Planification Priorités Politiques Gestion efficace Embaucher et encadrer la direction générale Fonctionnemen
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailLES ÉTAPES PRINCIPALES DU PROCESSUS D ACHAT D UNE FRANCHISE
LES ÉTAPES PRINCIPALES DU PROCESSUS D ACHAT D UNE FRANCHISE Un achat de franchise permet de concilier l investissement et la prise de risque minimale. L achat d une franchise nécessite tout d abord la
Plus en détailConseil de recherches en sciences humaines du Canada
Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012
Plus en détailBureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration
Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation
Plus en détailLES SOINS DE SANTÉ POUR LES MIGRANTS SANS PAPIERS EN SUISSE SERVICES
LES SOINS DE SANTÉ POUR LES MIGRANTS SANS PAPIERS EN SUISSE SERVICES UN CONTEXTE PLEIN DE CONTRASTES Dans la plupart des pays analysés, un écart peut être observé entre les normes définies par les droits
Plus en détailLe nuage : Pourquoi il est logique pour votre entreprise
Le nuage : Pourquoi il est logique pour votre entreprise TABLE DES MATIÈRES LE NUAGE : POURQUOI IL EST LOGIQUE POUR VOTRE ENTREPRISE INTRODUCTION CHAPITRE 1 CHAPITRE 2 CHAPITRE 3 CONCLUSION PAGE 3 PAGE
Plus en détail