One Discourse, Three Dialects: Changing the Social Model in Australia, the United Kingdom and the United States
|
|
- Amaury Émond
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 One Discourse, Three Dialects: Changing the Social Model in Australia, the United Kingdom and the United States Roxanne M. Pawlick et Sharon M. Stroick Résumé Janvier 2004 Rapport de recherche F 38 Documents des RCRPP sur l architecture sociale, disponible uniquement en anglais à partir du site ou sur demande au (613) Réseaux canadiens de recherche en politiques publiques inc , rue Albert Ottawa (Ontario) K1P 6M1 (613) (613)
2 Résumé Le Réseau de la famille des Réseaux canadiens de recherche en politiques publiques s emploie à examiner les choix futurs possibles pour une nouvelle architecture sociale pour le Canada du XXI e siècle dans le contexte d un ensemble de rapports de recherche reliés entre eux. Le présent document contient un examen de la façon dont on a modifié l agencement de la protection sociale par suite des défis économiques et sociaux auxquels les trois pays considérés comme des régimes libéraux (Australie, États-Unis et Royaume-Uni) ont eu à faire face. Afin d identifier les postulats et les choix concernant l agencement de la protection sociale que les trois pays ont retenus, le «losange du bien-être» est analysé pour déterminer les rôles respectifs de l État, des marchés, des collectivités et de la famille. L analyse a permis de détecter de quelle façon trois orientations possibles de la logique des politiques publiques assurer la sécurité pour tous, l insertion sociale et la cohésion sociale ont contribué à guider la transformation de l architecture sociale dans ces trois régimes libéraux. Pour chacun des pays, l étude comprend un survol rapide des racines historiques de l État providence, un exposé sur l agencement actuel de la protection sociale et une analyse des réformes récentes de la politique sociale orientée vers l emploi, qui visent à apporter des mesures de soutien aux personnes faiblement rémunérées sur le marché du travail en «mettant fin à la protection sociale comme nous la connaissons» et en aidant à «valoriser le travail». Une attention particulière est accordée à la façon dont l agencement de la protection sociale des familles, notamment des familles pauvres, s est modifié par suite de l évolution du marché du travail, des structures familiales et des politiques des États. Cette insistance s explique par le fait qu une bonne partie des réformes récentes des politiques dans ces trois régimes libéraux fut orientée vers les familles avec enfants, notamment celles qui avaient accès à des revenus de marché. Dans les faits, par l intermédiaire de la Personal Responsibility and Work Opportunity Reconciliation Act adoptée aux États-Unis en 1996, du train des programmes du «New Deal» mis en place au Royaume-Uni en 1997 et des réformes (Australians Working Together) instituées récemment en Australie, l accent est mis sur l individu afin qu il assure son propre bien-être dans toute la mesure du possible, notamment sous la forme d une participation au marché du travail. États-Unis Les Américains se sont tournés vers le marché comme source première de bien-être pendant une bonne partie du siècle dernier. Historiquement, une garantie de réduction de la pauvreté n a jamais été donnée, même si les États-Unis possèdent les taux de pauvreté infantile les plus élevés parmi les pays bien nantis de l OCDE. En fait, l incidence croissante de la dépendance à l égard de l aide sociale et du piège de la pauvreté est à l origine des réformes de l aide sociale de L agencement actuel de la protection sociale aux États-Unis est fondé sur le nouveau fédéralisme et la politique raciale, ainsi que sur des principes d assurance sociale, qui remontent à l époque du «New Deal» sous Roosevelt. Même si ces principes ont influencé les choix de politiques faits par les États-Unis, on pourrait soutenir qu il n existe aucune vision nationale d un système de protection sociale dans ce pays et qu au lieu de cela, la situation actuelle est le produit des décisions individuelles de 50 États. 2
3 Les politiques sociales américaines orientées vers l emploi mettent l accent sur les marchés et, dans une moindre mesure, sur les familles, et elles comportent un soutien limité des États offert presque exclusivement à ceux qui ont accès à un certain revenu de marché. L élaboration d initiatives de politique sociale en appui à l emploi se répartit sur plusieurs décennies, mais ces mesures ont reçu une impulsion considérable en Les réformes visaient à «mettre fin à l aide sociale comme nous la connaissons» et à inciter les prestataires de l aide sociale à se trouver un emploi. Au même moment, le programme d aide sociale aux familles (Aid to Families with Dependent Children) fut aboli. La Personal Responsibility and Work Opportunity Reconciliation Act de 1996 impose une limite maximale sur la vie entière de cinq ans concernant la possibilité de recevoir des prestations d aide sociale et rend obligatoire la nécessité pour les prestataires de se trouver un emploi. Par l intermédiaire du programme Temporary Assistance for Needy Families, qui offre un minimum de revenu pour une période limitée aux familles dans le besoin ayant des enfants à charge et ne disposant pas d autres moyens de subsistance, les divers États ont adopté des périodes de temps encore plus courtes pour accorder leur aide. En vertu de ce programme, l exemption sur l obligation de se trouver un emploi pour les chefs de famille monoparentale ayant des enfants à charge fut réduite de trois ans à 12 mois ou moins. Le but visé est d inciter les gens à se trouver du travail rapidement. Toutefois, comme les seuls emplois disponibles sont souvent faiblement rémunérés, les États-Unis ont aussi décidé d offrir une aide importante aux petits salariés sous la forme de généreux crédits d impôt qui servent de complément aux revenus de marché. Le Earned Income Tax Credit et ses mesures de soutien accessoires contribuent à rendre le travail attrayant ou à le valoriser. La protection de l assurance-santé a été étendue considérablement pour inclure les petits salariés, qui n ont pas de prestations de maladie parrainées par leur employeur, ou du moins pour assurer une protection à leurs enfants. Des indemnités de garde d enfants sont aussi de plus en plus disponibles, notamment pour ceux qui viennent tout juste d accepter un emploi, même si l accessibilité à des services de garde demeure toujours un problème pour la majorité des petits salariés. Avec la compression des programmes d aide sociale des États, les efforts déployés par les milieux d affaires et les groupes communautaires, tels que le Welfare to Work Partnership, contribuent aussi à aider les gens à mener une vie autonome, tandis que les employeurs des petits salariés tirent aussi avantage des stimulants fiscaux et financiers disponibles. On observe aussi un enthousiasme croissant pour des mesures de protection sociale fondée sur des actifs. Lorsque nous examinons les répercussions de cette conception de la protection sociale, nous constatons que la politique sociale des États-Unis à l égard des personnes à faible revenu et des familles est constituée d un système de mesures d appui au travail. Un accent manifeste est mis sur les marchés et les familles en tant que sources principales du bien-être. Dans la mesure où la sécurité est un objectif poursuivi aux États-Unis, les fonds publics ne peuvent désormais être légitimement acheminés que vers ceux qui prennent eux-mêmes leur responsabilité en gagnant un revenu de marché. Ceux qui n ont pas d emploi ne jouissent toutefois que de peu de sécurité puisqu ils sont soumis à la «menace de la limite de temps». On n accorde que peu d attention à l insertion sociale, sauf en ce qui concerne le Welfare to Work Partnership et les efforts diversifiés mais fragmentés du secteur bénévole. Dans les faits, la récente série de réformes de l aide sociale met l accent sur la prise en main par les gens de leurs propres responsabilités et de 3
4 celles de leur famille en bref, de ne pas être dans une situation de dépendance. Peu d attention est accordée à la cohésion sociale dans le sens qu on lui donne habituellement. Royaume-Uni Une révolution néo-libérale dans les affaires économiques a caractérisé l ère Thatcher, mais ce fut Tony Blair qui a mené à terme la révolution dans le domaine social. À l heure actuelle, le système de protection sociale au Royaume-Uni est fondé sur un modèle mixte de cotisations et de financement par le régime fiscal, qui vise à offrir une garantie générale contre la pauvreté. Le régime mis en place par les «nouveaux travaillistes» possède un caractère de redistribution un peu plus poussé en raison de ses politiques sociales à l égard des gens très pauvres, qui ont permis de relever le niveau de l aide sociale et d instaurer un salaire minimum pour la toute première fois. Toutefois, le Royaume-Uni n a pas échappé aux effets d une inégalité accrue des revenus, à laquelle s ajoute l augmentation du nombre de familles monoparentales. Pour s attaquer à cette situation, le gouvernement Blair a adopté une «troisième voie» («Third Way») le maintien d un vaste filet de sécurité sociale, des mesures de soutien actives visant à offrir des débouchés aux chômeurs, certaines contraintes pour les chômeurs et des mesures visant à permettre aux gens de tirer avantage des possibilités de devenir autonomes. Outre les politiques visant à «mettre fin à l aide sociale comme nous la connaissons» et de «valoriser le travail», les politiques du Royaume-Uni mettent l accent sur un troisième volet qui vise à éliminer la pauvreté infantile. Les réformes administratives offrent des mesures de soutien individualisées pour permettre aux gens en âge de travailler de se lancer sur le marché du travail ou d améliorer leur potentiel actuel de revenu de marché. Des partenariats avec les milieux d affaires et les groupes communautaires contribuent à appuyer cet objectif de politique d intervention directe. La protection sociale fondée sur des actifs est aussi en expansion au Royaume-Uni, comme en témoigne la création du programme de Saving Gateway, en vertu duquel le gouvernement offre des subventions de contrepartie comme stimulant financier pour aider les gens à se donner des habitudes d épargne régulières. Dans la même veine, un Child Trust Fund permet d offrir des fonds de dotation à tous les enfants à la naissance, mais avec un caractère plus généreux pour les enfants de familles pauvres. Cette initiative fait partie des efforts du Royaume-Uni visant à éliminer la pauvreté infantile d ici une génération. De plus, le gouvernement travailliste a accru le soutien financier direct aux familles ayant des enfants à charge et il a institué des stimulants financiers pour les parents qui ont un emploi. Le Sure Start Childcare Program permet d offrir des programmes gratuits d éducation préscolaire et de services de garde aux jeunes enfants qui vivent dans des quartiers défavorisés, ainsi que des mesures de soutien à la famille et à la santé; ce programme sera enrichi pour inclure tous les enfants de trois et quatre ans en mars Le marché au Royaume-Uni continue de jouer un rôle dominant pour assurer la protection sociale et, avec l employabilité comme étant le mot d ordre de la nouvelle économie et du nouvel État providence, son rôle devient de plus en plus important. Mais, l État est clairement disposé à jouer un rôle significatif pour assurer le bien-être par l intermédiaire de programmes tant universels que ciblés. De plus, les collectivités jouent un rôle majeur en appuyant le développement économique, principalement par le biais de la participation d employeurs et d organismes du secteur bénévole aux programmes d emploi et de formation du New Deal. Une 4
5 insistance accrue sur la responsabilité personnelle signifie que les familles sont encouragées à épargner et à investir dans leur propre avenir et dans celui de leurs enfants. Toutefois, les individus sont maintenant appelés à jouer un rôle de plus en plus important, puisqu on s attend à ce que ceux qui sont en âge de travailler et physiquement aptes à le faire se trouvent un emploi ou acquièrent une formation pour devenir apte au travail en échange du versement de prestations et d autres mesures d appui accessoires. Au Royaume-Uni, la sécurité découle d un emploi, de prestations liées à l exercice d une activité, d un vaste éventail de programmes d aide sociale offerts par l État et de mesures visant à inciter les individus et les familles à épargner. Les mesures de lutte contre la pauvreté, qu elles soient explicites (comme elles le sont pour les enfants) ou discrètes (comme elles sont pour les personnes âgées), contribuent à favoriser l insertion sociale. L insertion dans la collectivité est aussi favorisée par l intermédiaire de possibilités de travailler dans le secteur bénévole en échange de rétributions. Enfin, la promotion de la cohésion sociale est assurée par des initiatives de développement économique communautaire à l échelle locale partout au Royaume-Uni, dans le contexte desquelles des partenaires des secteurs privé, public et bénévole travaillent ensemble pour améliorer l emploi local et répondre aux besoins économiques locaux. Australie Contrairement aux États-Unis et au Royaume-Uni, l Australie a mis un accent moins prononcé sur la politique sociale en faveur de l utilisation d autres instruments. La réglementation des salaires a principalement été utilisée comme une forme de protection sociale et elle est désignée sous l expression d «État providence des salariés». L héritage de 80 ans de fixation des salaires en Australie continue de comprimer les écarts salariaux encore aujourd hui. Cet instrument fut combiné à un système de soutien du revenu à taux uniforme et fondé sur un critère de revenu, auquel se sont greffés des paiements pour les personnes à charge. Donc, l Australie s est donnée un modèle d aide sociale qui est fondé sur les besoins. La plupart des programmes sont financés à l aide des recettes fiscales générales et non pas au moyen de cotisations des employés à la sécurité sociale ou de prélèvements salariaux. En dépit d une décennie de croissance économique en Australie, le nombre de personnes en âge de travailler qui bénéficient de mesures de soutien du revenu s est accru. Il est exact que l inégalité des revenus et les taux de pauvreté infantile sont moins élevés en Australie qu aux États-Unis ou au Royaume-Uni, mais les problèmes de dépendance de l aide sociale et de pièges de la pauvreté continuent de préoccuper le gouvernement fédéral australien. Le train de mesures de réforme instauré récemment dans le contexte de l initiative Australians Working Together vise à établir un juste équilibre entre les incitations, les obligations et les mesures d aide afin de moderniser le système actuel de soutien du revenu. Il prend en considération les conditions individuelles de façon à aider les gens à atteindre l autonomie, en ajoutant à l accent traditionnel mis sur la participation économique une notion plus vaste de participation sociale. L objectif de la réforme sociale australienne est à long terme et ses instigateurs estiment qu il faudra environ 10 ans pour mettre en application toutes les stratégies projetées. Dans le contexte de sa stratégie globale de réforme sociale, l Australie s est lancée dans une initiative innovatrice et unique en vue de bâtir une coalition sociale constituée d individus, de 5
6 familles, d entreprises, de collectivités et de gouvernement qui travaillent en partenariat. L accent est mis sur le renforcement des capacités individuelles par le biais de partenariats sociaux, mais la participation au marché du travail par ceux qui sont immédiatement aptes à le faire est aussi encouragée. Dans le cadre de sa stratégie d employabilité, le gouvernement a institué plusieurs stimulants financiers et accessoires, y compris un programme de garderie et d avantages fiscaux pour les familles. Les parents, dont le cadet des enfants est âgé de 13 à 15 ans, sont maintenant tenus de faire 150 d heures d activité à temps partiel au cours d une période de six mois. Toutefois, un accent est encore mis sur le rôle parental, un relent peut-être de l héritage laissé par le modèle traditionnel de l homme en tant que gagne-pain du foyer, qui a caractérisé les débuts l État providence des salariés. En Australie, le marché est dominant, même si son rôle dans l agencement de la protection sociale a été limité par la réglementation des salaires et l influence de puissants syndicats. Mais, son rôle est en voie de s étendre, puisqu on s attend maintenant à ce que le marché crée des possibilités d emploi en vue de répondre aux besoins de la collectivité, de faciliter l emploi des défavorisés et de soutenir la philanthropie. Fidèle à son héritage d État providence des salariés, l État continue d être un intervenant et un protecteur. En conséquence, l Australie a encore un salaire minimum élevé, ainsi qu un faible degré d inégalité des revenus, lorsqu on la compare aux autres pays de l OCDE. L État joue aussi un rôle primordial en offrant des prestations et il a désormais un rôle majeur à jouer dans la préparation des personnes au marché du travail. Même si le rôle des collectivités est plus limité, les réformes les plus récentes visent à lui donner une portée beaucoup plus vaste. En conséquence, la sécurité découle du travail à salaire réglementé, de prestations liées à l exercice d une activité, de l aide sociale sur une vaste échelle comme l indique le caractère universel de la plupart des programmes, de l assurance sociale dans une mesure limitée et, à l avenir espère-t-on, d actifs personnels et collectifs. Il existe un solide accent mis sur l insertion sociale par l intermédiaire de mesures actives de citoyenneté, qui comprennent une participation économique et une implication communautaire. On accorde aussi une attention de plus en plus importante à la cohésion sociale au moyen d une «coalition sociale» qui vise à susciter un développement économique et social par l intermédiaire de partenariats. Les avantages fiscaux accordés aux familles, de concert avec des suppléments offerts sous la forme de mesures de soutien du revenu offertes aux familles ayant des enfants à charge, contribuent à confirmer la notion selon laquelle la famille demeure une partie intégrante du losange du bien-être. Les réformes de l aide sociale comportent une insistance nouvelle et significative sur l individu en exigeant une mesure accrue de responsabilité de la part des personnes qui reçoivent des prestations. Ceci se conjugue à l appui donné au développement des aptitudes individuelles au fil du temps et à la possibilité de faire des choix individuels concernant la façon dont cette participation se produira et à quel moment. Un discours, trois dialectes Cette analyse comparative de la réforme de l aide sociale en Australie, au Royaume-Uni et aux États-Unis a permis d établir que, fidèles à leurs idéologies libérales, les trois régimes continuent de mettre solidement l accent sur le marché. Peu d attention a été accordée à la restructuration du marché mais, au lieu de cela, on a fortement insisté sur la conception de politiques sociales 6
7 orientées vers l emploi. Les trois régimes s emploient à réorienter les dollars de l aide sociale pour les transformer en stimulants financiers qui «rendent le travail attrayant», permettant ainsi à la participation au marché du travail de devenir l instrument pour parvenir au bien-être. L un des objectifs principaux est de placer l individu sur la voie de l autonomie, particulièrement en améliorant son employabilité. Il s agit du discours singulier partagé par les trois régimes. Dans le contexte de ce discours, toutefois, il se dégage trois dialectes distincts. Les États-Unis continuent de percevoir le marché comme la principale source de bien-être. Le Royaume-Uni tente d emprunter une «troisième voie» pour s attaquer aux problèmes qui découlent de son engagement assez récent sur la voie du néo-libéralisme. Le marché est encore une source dominante de bien-être mais l État maintient un vaste filet de sécurité sociale, tout en favorisant un rôle plus important pour la collectivité et la famille. L Australie est demeurée fidèle à ses racines en tant qu État providence des salariés, mais elle s emploie à bâtir une coalition afin d encourager l autonomie individuelle sur le plan social et économique. À l instar du Royaume- Uni, l Australie investit aussi dans les individus et, par l intermédiaire de partenariats, dans les collectivités. 7
August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailLES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL :
LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : UN PARTENARIAT POUR BÂTIR DES COLLECTIVITÉS PLUS FORTES, PLUS PROSPÈRES ET PLUS DYNAMIQUES Mémoire prébudgétaire présenté par Imagine
Plus en détailUne famille, deux pensions
famille, deux pensions Susan Poulin Au cours du dernier quart de siècle, la proportion de familles composées de deux conjoints mariés ayant tous deux un emploi a augmenté de façon phénoménale. En 1994,
Plus en détailArticle. Bien-être économique. par Cara Williams. Décembre 2010
Composante du produit no 89-503-X au catalogue de Statistique Canada Femmes au Canada : rapport statistique fondé sur le sexe Article Bien-être économique par Cara Williams Décembre 2010 Comment obtenir
Plus en détailCoup d œil sur les inégalités de revenus au
Coup d œil sur les inégalités de revenus au Québec L expression «nous les 99 %», qui avait servi de cri de ralliement des mouvements Occupy, résume les préoccupations que soulève la tendance mondiale à
Plus en détailRoyaume-Uni. Conditions d ouverture des droits. Indicateurs essentiels. Royaume-Uni : le système de retraite en 2012
Royaume-Uni Royaume-Uni : le système de retraite en 212 Le régime public comporte deux piliers (une pension de base forfaitaire et une retraite complémentaire liée à la rémunération), que complète un vaste
Plus en détailPersonne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.
Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailLa fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse
La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs En moyenne, chaque personne au Québec reçoit (de tous les paliers gouvernementaux) l équivalent de près
Plus en détailRégime d assurance-maladie, de soins dentaires et d assurance-vie pour les artistes professionnels. Proposition de partenariat public-privé
Régime d assurance-maladie, de soins dentaires et d assurance-vie pour les artistes professionnels Proposition de partenariat public-privé Résumé En règle générale, les artistes et les autres professionnels
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailwww.rbcassurances.com
Pour de plus amples renseignements, veuillez visiter le site www.rbcassurances.com CROISSANCE SOLIDITÉ INTÉGRATION APERÇU DE LA SOCIÉTÉ 2004 Marques déposées de la Banque Royale du Canada. Utilisées sous
Plus en détailBerne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale
1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailProjet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux
Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux Allocution de Darren Hannah Vice-président intérimaire, Politiques et opérations
Plus en détailLe ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité
Ministère des Finances Communiqué Le ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité Le Plan d action économique de 2015
Plus en détailProgramme «financement» - Partie I Données de cadrage
Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurance sociale des administrations de sécurité sociale
Plus en détailGENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006
1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des
Plus en détailLe Plan libéral pour les soins familiaux
Le Plan libéral pour les soins familiaux 1 Le Plan libéral pour les soins familiaux AUX CÔTÉS DES FAMILLES CANADIENNES Les membres d une famille s appuient entre eux. Les familles canadiennes veulent s
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailÉtapes suivantes du plan d action du Manitoba
Juillet 2005 Pour aller de l avant : L apprentissage et la garde des jeunes enfants Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Introduction En novembre 1999, le gouvernement du Manitoba a confirmé son
Plus en détailProgramme «financement» - Partie I Données de cadrage
Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurances sociales des administrations de sécurité sociale
Plus en détailAssociation canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015
Association canadienne de la construction Mémoire prébudgétaire 2015 Synopsis L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises de construction non résidentielle au Canada.
Plus en détailLes paiements de détail : enjeux stratégiques
Les paiements de détail : enjeux stratégiques Sean O Connor L e système de paiement des transactions de détail joue un rôle crucial dans l activité commerciale au Canada. Grosso modo, ce système regroupe
Plus en détailSoumission à la consultation pré-budgétaire du Nouveau-Brunswick janvier 2011
1 Soumission à la consultation pré-budgétaire du Nouveau-Brunswick janvier 2011 La Fédération des travailleurs et travailleuses du Nouveau-Brunswick apprécie cette occasion de présenter les priorités budgétaires
Plus en détailThème 2: L impact des technologies de l'information et de la communication (TIC) sur la structure et l organisation des régimes de sécurité sociale
Association internationale de la sécurité sociale Conférence internationale sur Les changements dans la structure et l organisation de l administration de la sécurité sociale Cracovie, Pologne, 3-4 juin
Plus en détaildouble fiscalité attention à la trappe
17 Par Kathy Noël double fiscalité attention à la trappe Le Québec est la seule province du Canada où les contribuables doivent produire deux déclarations d impôt. De nombreuses différences découlent de
Plus en détailCOMPTE DU RÉGIME DE PENSION DE LA GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Comptables agréés Toronto (Ontario) Le 29 avril 2005
Rapport des vérificateurs Au conseil d administration de l Office d investissement des régimes de pensions du secteur public Compte du régime de pension de la Gendarmerie royale du Canada Nous avons vérifié
Plus en détailDOCUMENT D INFORMATION. Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC
DOCUMENT D INFORMATION Septembre 2014 LA FISCALITÉ DES PARTICULIERS AU QUÉBEC document d information Septembre 2014 La fiscalité des particuliers au Québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte
Plus en détailDéfinitions. Définitions sur le logement
Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons
Plus en détailLES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF
LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF La présente publication est soutenue financièrement par le programme de l Union européenne pour l emploi et la solidarité sociale PROGRESS (2007-2013)
Plus en détailRéponse du parti Libéral au questionnaire du Syndicat canadien des communications, de l énergie et du papier
Réponse du parti Libéral au questionnaire du Syndicat canadien des communications, de l énergie et du papier INDUSTRIE FORESTIÈRE Près de 300 000 Canadiens et Canadiennes gagnent leur vie grâce à notre
Plus en détail«La stratégie de lutte contre la pauvreté : comparaison France-Québec»
«La stratégie de lutte contre la pauvreté : comparaison France-Québec» Lionel-Henri Groulx Nouvelles pratiques sociales, vol. 16, n 2, 2003, p. 211-217. Pour citer ce document, utiliser l'information suivante
Plus en détailComparaisons internationales de la dette
Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement
Plus en détailUne nouvelle vision de l épargne-retraite collective ÉPARGNE-RETRAITE COLLECTIVE. Produits d épargne-retraite collective
Une nouvelle vision de l épargne-retraite collective ÉPARGNE-RETRAITE COLLECTIVE Produits d épargne-retraite collective Comment choisir votre régime d épargne-retraite collective? Si vous êtes à l étape
Plus en détailTrousse des nouveaux arrivants. Impôt sur le revenu. Feuilles de travail
Trousse des nouveaux arrivants Impôt sur le revenu Feuilles de travail Ottawa Community Loan Fund Fonds d emprunt Communautaire d Ottawa 22 O Meara St., Causeway Work Centre, Ottawa, ON K1Y 4N6 Tel: 613-594-3535
Plus en détailNotre société prend-t-elle soin de ses enfants?
Notre société prend-t-elle soin de ses enfants? Nos mesures fiscales et sociales aident-elles réellement leurs parents? Octobre 2000 Réalisé par la Fédération des associations de familles monoparentales
Plus en détailUne rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in») vise à transférer
Solutions PD Parez au risque Rente sans rachat des engagements (Assurente MC ) Transfert des risques pour régimes sous-provisionnés Une rente sans rachat des engagements (aussi connue sous le nom «buy-in»)
Plus en détailPrésentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014
Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Ingénieurs Canada 1100-180, rue Elgin Ottawa (Ontario) K2P 2K3 Au sujet d Ingénieurs
Plus en détaildevant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable
VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre
Plus en détailUne augmentation du taux d imposition sur les dividendes non admissibles 2,3 milliards de dollars.
BUDGET FÉDÉRAL 2015 Par Jerry S. Rubin, B.E.S., B.Comm.(Hons), CMA, TEP, CFP Points saillants fiscaux du budget fédéral 2015 Le ministre des Finances, Joe Oliver, a déposé le budget fédéral 2015, le 21
Plus en détailFrais bancaires Troisième rapport annuel. 20 février 2001 http://carrefourdesconsommateurs.ic.gc.ca
Frais bancaires Troisième rapport annuel 20 février 2001 http://carrefourdesconsommateurs.ic.gc.ca Aperçu Cette année, le rapport annuel porte sur : 1. L attitude des Canadiens à l égard des frais bancaires
Plus en détailL interchange. Ce que c est. Comment ça fonctionne. Et pourquoi c est fondamental pour le système des paiements Visa.
L interchange Ce que c est. Comment ça fonctionne. Et pourquoi c est fondamental pour le système des paiements Visa. Il n y a pas si longtemps, les consommateurs n avaient d autre choix que d utiliser
Plus en détailRégime enregistré d épargne-études (REEE) Le REEE, un jeu d enfant
Régime enregistré d épargne-études (REEE) Le REEE, un jeu d enfant Pour un avenir de classe Conçu pour vous aider à financer des études postsecondaires à temps plein ou à temps partiel, le REEE vous donne
Plus en détailObjet: Traitement fiscal des sociétés exerçant des transactions de financement intra-groupe
Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 164/2 du 28 janvier 2011 L.I.R. n 164/2 Objet: Traitement fiscal des sociétés exerçant des transactions de financement intra-groupe 1. Définitions Par
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailPOUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs
POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient
Plus en détailrésumé un développement riche en emplois
ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE
Plus en détailIntroduction FISCALITÉ
Introduction 51 Impôt sur le revenu 53 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une filiale 54 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une succursale 56 Mesures de contrôle des
Plus en détailMesures évaluées 46 68 % 35 324 %
Niches fiscales et sociales Un inventaire à la Prévert Il a fallu un an au comité d évaluation (une douzaine de hauts fonctionnaires), au ministère du budget, pour sortir un très gros rapport qui inventorie
Plus en détailQuelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage?
Etudes Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Table des matières Introduction...7 Objectif, méthodologie
Plus en détailPour les Canadiens atteints d un handicap
BMO Fonds d investissement Régime enregistré d épargne-invalidité (REEI) Pour les Canadiens atteints d un handicap Le REEI met à la disposition des personnes handicapées un instrument d épargne et de placement
Plus en détailMémoire de la Corporation des associations de détaillants d automobiles présenté dans le cadre du processus prébudgétaire 2014
Mémoire de la Corporation des associations de détaillants d automobiles présenté dans le cadre du processus prébudgétaire 2014 Présenté au : Comité permanent des finances de la Chambre des communes Présenté
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailSources de revenu et autonomie des immigrants âgés au Canada SOMMAIRE
Sources de revenu et autonomie des immigrants âgés au Canada SOMMAIRE Préparé pour la Conférence économique 2005, Ottawa 10 mai 2005 Colleen Dempsey Recherche et statistiques stratégiques Citoyenneté et
Plus en détailFace au constat de la pauvreté croissante des
CONDITIONS DE VIE Le Working Families Tax Credit, un nouveau crédit d impôt pour les familles de travailleurs à bas revenus au Royaume-Uni Véronique Delarue* Le Working Families Tax Credit (WFTC) est un
Plus en détailCanadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires
Canadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires MÉMOIRE DE L INSTITUT CANADIEN DES ACTUAIRES DESTINÉ AU SURINTENDANT DES INSTITUTIONS FINANCIÈRES DE L ALBERTA, MINISTÈRE DES FINANCES DE
Plus en détailTC12 : Protection sociale et solidarités collectives
TC12 : Protection sociale et solidarités collectives 1 Etat providence et protection sociale 11 L apparition de l Etat providence DOC 1 Q1 Qu est-ce que la société libérale? C est une société dans laquelle
Plus en détailLes régimes d avantages sociaux au Canada
Les régimes d avantages sociaux au Canada Les Canadiens vivent de plus en plus longtemps et doivent plus que jamais faire face à leur responsabilité d épargner pour la retraite. Leur espérance de vie étant
Plus en détailLigne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées
Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise
Plus en détailRéformes socio-économiques
Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme
Plus en détailLE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU
LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU RÉSUMÉ Une étude de Tristat Resources commandée par l Institut Broadbent démontre que la majorité des
Plus en détailDocument de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER?
Document de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER? Version janvier 2015 Ce document est destiné aux personnes participantes du Régime et vise à les aider à déterminer si le rachat d une rente pour service
Plus en détailRevendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être!
Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Cela fait bien longtemps que les pensions et les allocations
Plus en détailÉnoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada
POLITIQUE DE L AMC Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada Les pénuries de plus en plus graves de médicaments d ordonnance des dernières années et les ruptures de stocks
Plus en détailPlateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010. Axe Emploi et Solidarité. PME - Indépendants
Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010 Axe Emploi et Solidarité PME - Indépendants Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010 PME - Indépendants Etat des lieux
Plus en détailENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET
1 ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET Introduction L Internet a révolutionné notre façon d échanger des idées, des informations et des marchandises. Tout naturellement, cette technique
Plus en détailDocument d information n o 4 sur les pensions
Document d information n o 4 sur les pensions Épargnes privées de retraite Partie 4 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition,
Plus en détail41/128 Déclaration sur le droit au développement
41/128 Déclaration sur le droit au développement L'Assemblée générale, Ayant à l'esprit les buts et principes de la Charte des Nations Unies relatifs à la réalisation de la coopération internationale en
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailMéfiez-vous du modèle d austérité canadien
Méfiez-vous du modèle d austérité canadien Andrew Jackson Le présent essai a été rédigé à la suite d articles des médias selon lesquels l ex-ministre des Finances et ex-premier ministre canadien Paul Martin
Plus en détailDéclaration sur le droit au développement
Déclaration sur le droit au développement Adoptée par l'assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution 41/128 du 4 décembre 1986 L'Assemblée générale, Ayant à l'esprit les buts et principes de
Plus en détailLe Pacte de responsabilité et de solidarité
Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage
Plus en détailLes personnes handicapées ont les mêmes droits
Les personnes handicapées ont les mêmes droits La stratégie européenne 2010-2020 en faveur des personnes handicapées Commission européenne Égalité des droits, égalité des chances La valeur ajoutée européenne
Plus en détailLe Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada
Le Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada Rôle clé dans la structuration de l industrie du CR Modèle de création d emplois de qualité et
Plus en détailReThink:Tax. Mobiliser l épargne pour l investissement productif. ReThink:Tax
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle Bruxelles, 18 juin 2014 2 Une cellule de réflexion composée d experts
Plus en détailDocument de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER?
Document de réflexion - RACHETER OU NE PAS RACHETER? Version fin mai 2012 Ce document est destiné aux personnes participantes du Régime et vise à les aider à déterminer si le rachat d une rente pour service
Plus en détailDexia Employee Benefits Une politique de rémunération efficace et sur mesure pour votre entreprise
Dexia Employee Benefits Une politique de rémunération efficace et sur mesure pour votre entreprise CORPORATE BANKING 2 3 L importance d une politique de rémunération efficace Le succès de votre entreprise
Plus en détailRésumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO
Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Novembre 2013 Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO 1 Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Le présent document est un résumé
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailLa finance carbone pour les villes
1 La finance carbone pour les villes Source de revenus et levier d action pour des villes plus propres A travers la présentation de trois mécanismes de finance carbone mobilisables par les villes, cette
Plus en détailLa Régie des rentes du Québec
La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec est chargée d appliquer la Loi sur le régime de rentes du Québec et la Loi sur les régimes complémentaires de retraite. De plus, elle administre
Plus en détailBienvenue au Canada. Bureau international des services fiscaux. Étudiants étrangers
Bienvenue au Canada Bureau international des services fiscaux Étudiants étrangers Objectif de la séance Vous renseigner sur la façon de remplir une déclaration de revenus à titre de nouvel arrivant au
Plus en détailExposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012
Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Introduction Le Groupe Co-operators limitée est détenu et dirigé par 45 membres-propriétaires de tout le Canada, issus
Plus en détailétude sur l incidence économique et sur la croissance d un secteur à forte valeur au Nouveau-Brunswick : les assurances
RAPPORT SOMMAIRE étude sur l incidence économique et sur la croissance d un secteur à forte valeur au Nouveau-Brunswick : les assurances plus de 340 compagnies croissance de l emploi de 49 % au cours des
Plus en détailCaisse de retraite du Régime de retraite du personnel des CPE et des garderies privées conventionnées du Québec
Caisse de retraite du Régime de retraite du personnel des CPE et des garderies privées conventionnées du Québec États financiers Accompagnés du rapport des vérificateurs Certification Fiscalité Services-conseils
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailInégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité
Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé
Plus en détailRapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite
Le 19 avril 2013 Rapport du comité d experts du Québec sur les moyens de pérenniser le système de retraite Le comité d experts a été formé vers la fin de 2011, et on lui a donné le mandat de formuler des
Plus en détailIntroduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.
le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une
Plus en détailSUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION
DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs
Plus en détailStratégie nationale en matière de cyber sécurité
Stratégie nationale en matière de cyber sécurité 1 INTRODUCTION Le fonctionnement de notre société est aujourd hui étroitement lié aux infrastructures et systèmes de communication et de traitement de l
Plus en détailsolutions Investir dans des Plan stratégique 2015-2020
International Development Research Centre Centre de recherches pour le développement international Investir dans des solutions Plan stratégique 2015-2020 LE MOT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL Je suis très fier
Plus en détailAVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS :
AVIS N 68 DU BUREAU DU CONSEIL DE L EGALITE DES CHANCES ENTRE HOMMES ET FEMMES DU 14 FEVRIER 2003, RELATIF AU TRAVAIL AUTORISÉ POUR LES PENSIONNÉS : ÉLÉVATION DES PLAFONDS À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2002
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014
Pacte de responsabilité et de solidarité Observatoire de l économie de Seine-et-Marne Melun, le 16 juin 2014 1 2 Le Pacte : quels bénéficiaires? Les entreprises Toutes les entreprises, quelle que soit
Plus en détail