RESEAU BECASSINES LETTRE D INFORMATION N 5 - OCTOBRE 2008

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "RESEAU BECASSINES LETTRE D INFORMATION N 5 - OCTOBRE 2008"

Transcription

1 RESEAU BECASSINES LETTRE D INFORMATION N 5 - OCTOBRE 2008 EDITORIAL Dès sa deuxième année d existence, le Réseau Bécassines ONCFS/FNC/FDC affiche un rythme de croisière soutenu. En effet, le nombre de captures dépasse à nouveau les objectifs fixés puisque 1281 bécassines (1174 bécassines des marais, 116 bécassines sourdes et une bécassine double) ont été marquées en Ce très bon résultat témoigne bien sûr de la forte motivation des équipes mais aussi des progrès constants de leur savoir-faire. La ténacité et l expérience, ça paie. Ce dynamisme est bien entendu un sérieux atout pour l avenir du Réseau et nous vous félicitons tous pour cet excellent travail. Même si le Réseau ne compte qu une centaine de bagueurs, il nécessite une animation permanente. Baguer des bécassines n est pas un «métier» facile et les échanges s avèrent souvent fructueux. Les réunions régionales qui ont réuni nombre d entre vous au cours des derniers mois répondent à cette exigence. Certaines, couplées à des opérations de captures, ont permis d affiner les pratiques de terrain. Ces rencontres régionales ont également souligné la nécessité de maintenir en permanence le niveau de compétences des bagueurs du Réseau. Pour différentes raisons, les occasions d exercer et donc de manipuler des oiseaux peuvent être réduites une année ou l autre. C est pourquoi, à partir de 2009, nous proposons d alterner le stage annuel de formation avec un stage de perfectionnement axé sur les techniques de captures, pour ceux qui le souhaitent. Notre partenariat avec le CICB, au dynamisme remarquable, se poursuit dans la plus parfaite entente avec une reconnaissance réciproque et sincère. La collecte de plumages et le suivi des prélèvements sur une trentaine de sites témoins viennent compléter fort utilement notre dispositif. A ce titre nous avons proposé, et obtenu, que le CICB rejoigne officiellement le Réseau Bécassines. Les formalités administratives ne sont pas totalement achevées mais, d ores et déjà, il est clair que les travaux conduits par le CICB font partie intégrante des outils de monitoring en place sur les bécassines migratrices et hivernantes dans notre pays. Les résultats de ces travaux, auxquels nous sommes totalement associés, sont joints à la suite de cette lettre d information. La saison 2008/2009 a vraiment bien démarré, notamment en baie de Somme où 46 oiseaux ont été capturés au cours de la même soirée fin juillet. Le secret d une telle réussite? La repasse! Alors, n hésitez plus, mettez toutes les «armes» de votre côté. Bonne saison à toutes et à tous! Gilles Leray & Yves Ferrand Direction des études et de la recherche - CNERA Avifaune migratrice Réseau «Bécassines» - 39 Bd Albert Einstein CS Nantes Cedex 3 tél : fax : e.mail : gilles.leray@oncfs.gouv.fr

2 RESEAU BECASSINES ONCFS/FNC/FDC : ETAT DES LIEUX Le Réseau Bécassines ONCFS/FNC/FDC a dépassé la centaine de collaborateurs! En octobre 2008, il compte 110 bagueurs répartis dans 43 départements. Après le stage de fin d année, 125 bagueurs devraient être opérationnels dans 46 départements. L expansion géographique du Réseau se ralentit un peu dans la mesure où les régions les plus propices au baguage des bécassines en France sont désormais «équipées». Notre objectif désormais est plutôt de renforcer les équipes là où les potentialités sont fortes comme dans l Ain, le Calvados, la Charente, la Creuse, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, la Seine- Maritime et la Somme. Départements impliqués dans le Réseau Bécassines ONCFS/FNC/FDC Situation Octobre 2008 Prévisions fin 2008 BILAN DU BAGUAGE Avec bécassines baguées en 2007 (1 174 bécassines des marais, 116 bécassines sourdes et 1 bécassine double) le Réseau a maintenu ses efforts et largement dépassé l objectif annuel. Avec 90 oiseaux supplémentaires par rapport à l an passé, le nombre de bécassines des marais capturées est encore en progression sensible, et les captures de bécassines sourdes retrouvent leur niveau de B. des marais B. sourde n Bécassine double capturée le 11/08/2006 dans le Doubs (Photo : S. Regazzoni/ONCFS)

3 PREMIERES ANALYSES DES REPRISES ET CONTROLES Avec une progression constante du nombre de bécassines baguées et des captures qui dépassent désormais le millier chaque année, le «stock» de reprises et contrôles commence à devenir conséquent. Aussi, nous vous proposons une première analyse des 218 reprises et 207 contrôles de Bécassine des marais disponibles dans la base du Réseau auxquelles s ajoutent 6 reprises et 12 contrôles de Bécassine sourde. Deux variables nous intéressent plus particulièrement : le délai et la distance de reprise ou de contrôle. Dans le tableau ci-dessous, vous trouverez un récapitulatif des informations disponibles et, pour chaque variable, la médiane (valeur qui partage l ensemble des données en deux échantillons égaux ) quand n > 20, la valeur minimale et la valeur maximale. Nous n avons pas présenté la distance de contrôle dans la mesure où elle est toujours égale à 0 sauf dans 4 cas (< 10 km). département de baguage nombre de contrôles (simples + multiples) (pour un délai 1 jour) délai de contrôle (en jours) médiane (pour n>20) (min max) nombre de reprises délai de reprise (en jours) médiane (pour n>20) (min max) distance de reprise (en km) médiane (pour n>20) (min max) Bécassines des marais 1 10 (6-334) 2 ( ) (0) 14 1 (25) 15 3 (7-22) 8 (4-209) (0-130) 16 2 (3-32) 17 4 (4-365) (1-681) 2,5 (0-500) 22 1 (1) (0) (1-778) ,5 (8-740) 2 (0-700) (3-1175) 5 (3-554) (0-115) ,5 (1-1529) ,5 (1-1460) 0 (0-200) (6-438) 5 (12-668) (0-8) 36 1 (6) 40 3 ( ) (0) 44 1 (4) (0) 45 1 (232) 48 2 (6-30) (0) 50 3 ( ) (0-9) (1-741) 9 (24-738) (0-557) 59 1 (1) 1 (9) (0) 62 2 (28-255) 71 6 (7-1130) (5-389) 3 (11-328) (0-4,5) (0-169) 0 (0-18) 89 3 (5-718) (0) Total Bécassine sourde 1 2 (3-4) 15 1 (227) ( ) (3,5-17) 27 8 (1-719) 56 1 (15) (0) 71 1 (378) 79 1 (16) 80 1 (188) (0) Total 12 6 Aussi curieux que cela puisse paraître, les bécassines baguées dans le cadre du Réseau n ont fait l objet d aucune reprise à l étranger, ce qui traduit à l évidence une faible pression de chasse sur ces espèces en Europe.

4 Les informations concernant la Bécassine sourde reste très fragmentaires. Malgré tout, il faut noter que 5 reprises (sur 6) et 5 contrôles (sur 12) ont eu lieu plusieurs mois après le baguage aux environs du site de capture. Aucune reprise et aucun contrôle n ont été enregistrés à plus de 20 km du site de baguage. Ceci traduit à l évidence une forte fidélité intra et inter-annuelle au site d escale migratoire ou d hivernage chez cette espèce. Les informations collectées pour la Bécassine des marais sont plus abondantes et méritent d être analysées plus précisément.. De ce fait, une représentation classique (mais peut-être un peu ardue!) peut être proposée pour le jeu de données national et pour les départements où la taille de l échantillon est suffisamment grande (n 20, par exemple). Il s agit de la «boite à moustaches» (Box Plot, pour les anglophones). Cette méthode permet de présenter sur un seule diagramme plusieurs paramètres de distribution du jeu de données : la médiane, la moyenne, la valeur en dessous de laquelle se situent 25% (1 er quartile) et 75% (3 ème quartile) des données, des valeurs «frontières» au dessous et en dessous desquelles on considère que les données sont atypiques, et enfin ces valeurs atypiques. Cette représentation synthétique aide ensuite à une analyse plus détaillée des résultats. Nous avons bien conscience que tout ceci nécessite un petit effort de concentration de votre part mais nous avons confiance dans vos capacités et dans votre curiosité pour tout ce qui touche aux bécassines. Et puis, après tout, ce n est pas beaucoup plus compliqué que la résolution d un Sudoku! Une «boite à moustaches» et sa lecture se réalisent de la façon suivante : 1 er quartile (25% des données en dessous de cette valeur) médiane moyenne 3 ème quartile(75% des données en dessous de cette valeur) Valeur frontière Valeurs atypiques valeur frontière Passons maintenant aux données «Bécassines des marais». La distribution des données pour l ensemble des reprises et contrôles est présentée dans les figures ci-dessous. délai de reprise délai de contrôle jours Délai de reprise et délai de contrôle pour l ensemble des données de Bécassine des marais.

5 distance de reprise kilomètres Distance de reprise pour l ensemble des données de Bécassine des marais. L ensemble du jeu de données montre que pour la moitié des oiseaux les délais de reprise et de contrôle se situent dans les quelques jours suivant le baguage. Pour une majorité de reprises et de contrôles, le délai est inférieur à une année Le fait que la moyenne soit placée à droite, et par conséquent soit supérieure à la médiane, indique la distribution est plus allongée vers les fortes valeurs. Le nombre important de valeurs atypiques vers ces fortes valeurs traduit également ce phénomène. Ainsi, plusieurs oiseaux ont été repris ou contrôlés 2 ans et plus après le baguage. Lorsqu on complète l analyse des délais de reprise avec celle des distances, les choses sont particulièrement claires. La quasi-totalité des bécassines des marais sont prélevées aux alentours du lieu de baguage, ce qui traduit une forte fidélité pour les sites d escale migratoire ou d hivernage. Quelques individus, malgré tout, ont été repris loin du lieu de marquage comme le montre la carte ci-dessous. Cela correspond en majorité à des oiseaux marqués en migration et repris la même saison ou les saisons suivantes sur leur parcours migratoire Détail des reprises > 20 km Sites de baguage : 1-Sainte-Opportune-la-Mare (27) 2-Montlebon, Bouverans, Bannans, Pierrefontaine-les-Varans (25) 3-Cussac (15) 4-Drugeac (15) 5-Braud-et-Saint-Louis (33) 6-Breuil-Magné (17) 7-Guidel (56)

6 Dans le détail, la distribution des données n est pas identique d un département à l autre. Les figures ci-dessous présentent l analyse pour les départements où le nombre de reprises et/ou de contrôles est > 20. délai de contrôle Morbihan Gironde Doubs jours délai délai de de reprise G ironde D oubs C harente-m aritim e Som m e jours distance de reprise Gironde Doubs Charente-Maritim e Somm e kilom ètres

7 La disparité d un site de baguage à l autre est manifeste. Deux sites sont clairement placés dans des zones peu ou pas chassés : le Morbihan où le nombre de reprises est très faible et où la majorité des contrôles a lieu dans un laps de temps assez long, et le Doubs où les reprises et les contrôles sont assez nombreuses mais relativement étalés dans le temps. A l opposé, on trouve la Charente-Maritime avec peu de contrôles et une majorité de reprises directes locales, et surtout la Somme, où aucun contrôle n a été enregistré, où le délai de reprise ne dépasse guère quelques jours pour la quasi-totalité des individus, et où la distance de reprise est égale à 0 (ou presque) pour tous les oiseaux marqués! La Gironde est dans une situation intermédiaire : les contrôles ont lieu majoritairement la saison même du baguage alors que les reprises sont obtenus généralement la saison ou les saisons suivantes aux alentours du lieu de capture. Sans doute cela s explique-t-il par le fait que les oiseaux sont marqués dans une réserve de chasse à laquelle ils sont fidèles pendant l hivernage et que leur retour doit se faire par approches successives au cours desquelles le risque de prélèvement est fort. En résumé, cette première analyse laisse apparaître une fidélité assez forte des bécassines des marais et des bécassines sourdes à leurs sites d hivernage. Elle montre aussi l impact que peuvent avoir les diverses pressions de chasse locales sur le retour des oiseaux d une saison à l autre. DETERMINATION DE L AGE CHEZ LA BECASSINE SOURDE L article scientifique annoncé dans la lettre d information précédente concernant le critère de détermination de l âge chez la Bécassine sourde a été rédigé et soumis à une revue. Reste à obtenir son acceptation! Nous vous tiendrons bien entendu au courant des avancées dans ce domaine. NOUVELLES DE L ETE Démarrage sur les chapeaux de roue pour les captures avec 102 bécassines des marais baguées en 2 mois par l équipe de la baie de Somme, animée par Laurent Wieckiewicz. Belle réalisation avec l appui de la repasse qui marche fort sur les jeunes (plus de 98% des captures). En revanche, très peu de bécassines ont été observées sur la réserve de la Grand Mare, dans l estuaire de la Seine. A noter aussi le baguage de deux poussins volants (âge : environ un mois) le 13 Août,dans le Cantal, grâce à l observation méticuleuse de Guy Michaud qui suit chaque jour l évolution de la narse de Lascols, site de nidification et excellente halte migratoire pour les bécassines. Jeune bécassine des marais capturée le 13/08/2007 dans le Cantal (Photo :???????) PROJET D ENQUETE NIDIFICATION Nous avions prévu une enquête sur la nidification des bécassines des marais en France au printemps Or il se trouve que la LPO réalise déjà ce type d enquête tous les deux ans, les années paires. Aussi nous nous rapprocherons de Dominique Michelat, qui coordonne cette enquête, pour lui proposer d unir nos efforts, en particulier dans les secteurs peu explorés comme l Auvergne, pour l enquête de 2010.

8 NOUVELLES DE RUSSIE Depuis le printemps 2003, l ONCFS soutient financièrement des travaux de recherches sur les effectifs nicheurs de Bécassine des marais en Russie. L objectif est d avoir une estimation la plus précise possible de ces effectifs à partir de mesures de densités de mâles chanteurs dans des sites-échantillons regroupant tous les milieux occupés par l espèce en Russie. Une extrapolation sera ensuite tentée sur la base des surfaces connues de ces différents habitats. Environ 150 sites sont visités chaque année, ce qui permet aussi d avoir une idée du succès de reproduction. En 2008, notre collègue Yuri Blokhin et son équipe ont prospectés151 sites pour une superficie globale de ha. Les recensements ont eu lieu en toundra du Sud, en forêt-toundra, en taïga (du Nord, moyenne et du Sud), en forêt mixte et jusqu à la limite de la forêt de feuillus. L essentiel des prospections s est déroulé dans des zones inondables. Le succès de reproduction est considéré faible dans la plupart des régions. Les conditions météorologiques en sont la principale cause. En zone centrale, deux cas de figures ont été observés. Dans la région de Smolensk, le mois de mai a été caractérisé par des températures froides et de fortes pluies qui ont fait monter le niveau des rivières avec pour conséquence la noyade des nids. Là où la montée des eaux a pu être contrôlée (zone inondable de Vinogradovskaya le long de la rivière Moskva), les densités de bécassines des marais sont restées élevées. Dans les autres régions de Russie centrale, au contraire, c est la sécheresse qui a prédominé. En zone nordique (Arkhangelsk, Komi), le début mai s est avéré plutôt chaud et les parades des bécassines des marais ont commencé assez tôt. Malheureusement la neige est apparue à la mi-mai pour ne fondre que pendant la 3 ème décade de mai dans la région d Arkhangelsk, et seulement début juin dans la république de Komi avec des températures encore très froides. Les densités de bécassines des marais sont toutefois restées à un bon niveau. Au total, 3 nids ont été découverts lors de ces recensements au printemps A partir de ces observations, il n y a pas lieu d être particulièrement optimiste sur les effectifs migrateurs et hivernant qui visiteront notre pays! Rencontre avec les chercheurs polonais Début octobre, le Wader Study Group a tenu sa Conférence annuelle près de Gdansk, en Pologne. Nous y avons assisté et présenté notre technique de capture nocturne des bécasses des bois (mais aussi de bécassines, en particulier des bécassines sourdes) lors d un atelier spécial consacré à ce thème. Ce fut aussi l occasion de rencontrer les chercheurs polonais (en particulier Radoslaw Wlodarczyk, de l Université de Lodz)qui comptent parmi les plus actifs sur les bécassines en Europe. Les discussions sur nos travaux en cours respectifs ont permis de tisser des liens précieux avec nos collègues étrangers.

9 CONSEILS POUR LES CAPTURES AVEC DES NASSES Les captures avec des nasses posent plusieurs problèmes :les blessures liées à des attaques de prédateurs, le stress dû à la contention et la difficulté d extraire de la nasse l oiseau capturé. Un peu de bibliographie ( et beaucoup d imagination!) nous conduit à vous proposer une amélioration du dispositif actuel. L idée principale est de maintenir les oiseaux captifs à l intérieur d une double enceinte. Ces nasses sont rondes ou carrées, d un mètre de côté ou de rayon, avec deux entrées. Des grillages de cheminement doivent arriver jusqu à ces deux entrées. L innovation, inspirée de nasses utilisées par les danois, vient de «l ascenseur», à partir duquel les bécassines sautent dans l espace de contention, et dont elles ne peuvent plus remonter faute de pouvoir ouvrir les ailes. Les photographies ci-dessous exposent plus précisément ce nouveau dispositif. Légendes des photos avec flèches? Modèle identique, de forme carrée Réseau Bécassines ONCFS/FNC/FDC Lettre d information n 5 Octobre 2008

10 A signaler. Trois articles scientifiques [disponibles sur demande auprès d Y. Ferrand (yves.ferrand@oncfs.gouv.fr)] Kölzsch A., Sæther S.A., Gustafsson H., Fiske P., Höglund J. & J.A. Kålås Population fluctuations and regulation in great snipe. Journal of Animal Ecology, 76: L aire de distribution de la Bécassine double s est considérablement réduite en Europe au cours du siècle dernier. Les raisons de ce déclin peuvent être diverses : pertes d habitats, changements de conditions environnementales, problèmes démographiques. Cet article aborde ce thème en cherchant à identifier les causes des fluctuations d effectifs chez cette espèce sur une période assez réduite ( ). Les résultats indiquent que ce sont les conditions climatiques en période de reproduction et la survie des poussins qui affectent le plus la dynamique des populations de Bécassine double. Contrairement à ce que l on observe chez les oiseaux nidicoles transsahariens, les conditions environnementales rencontrées dans les territoires d hivernage en Afrique ont peu d impact.. Ekblom R., Sæther S.A., Jacobsson P., Fiske F., Sahlman T., Grahn M., Kålås J.A. & Höglund J Spatial pattern of MHC class II variation in the great snipe (Gallinago media). Molecular Ecology, 16: Les gènes MHC interviennent dans le système de défense immunitaire des individus et sont, de ce fait, vraisemblablement soumis à une forme de sélection en fonction des espèces de parasites présentes dans le milieu. Les résultats obtenus dans cette étude montrent que des variations importantes dans la structure des gènes MHC class II B apparaissent entre les bécassines doubles scandinaves et celles des plaines esteuropéennes. Pour les auteurs, il s agit d une preuve d adaptation locale à des environnements différents qui soutient l hypothèse que des variations spatiales dans les systèmes de sélection contribuent à un fort polymorphisme. Sæther S.A, Fiske P., Kålås J.A., Kuresoo A., Luigujõe L., Piertney S.B., Sahlman T. & Höglund J Inferring local adaptation from Q ST-F ST comparisons: neutral genetic and quantitative trait variation in European populations of great snipe. Journal Compilation-European Society for Evolutionary Biology, 20: doi: /j x L objectif de ce travail est d étudier la variation spatiale en termes de sélection entre deux populations de Bécassine double du Nord de l Europe. L approche phénotypique utilisée a permis de mettre en évidence de fortes divergences morphologiques entre les deux populations malgré de faibles différences dans les marqueurs génétiques. Les auteurs en concluent que l effet homogénéisant du flux génétique a ainsi été contrebalancé par la sélection naturelle. Et aussi...validation de la première observation d une Bécassine de Wilson (Gallinago delicata) en France. Cet oiseau a été observé sur l île d Ouessant (Finistère) en octobre L observation a été validée par le Comité d homologation nationale d où l inscription de cette espèce en catégorie A (présent à l état sauvage en France et dont l origine naturelle ne fait pas de doute) de la liste des oiseaux de France. Rappelons que longtemps considérée comme une sous-espèce de la Bécassine des marais, la Bécassine de Wilson a été élevée au rang d espèce en 2003 sur la base de différences morphologiques et bio-acoustiques. (Réf. Legrand V Première observation de la Bécassine de Wilson Gallinago delicata en France. Ornithos, 15(2) : )

11 RAPPELS.RAPPELS.RAPPELS Informatique (à revoir) A la fin de l année dernière, vous avez reçu un fichier Excel pour la saisie de vos données. Ce fichier contient un masque qui doit vous faciliter ce travail. Quelques rappels nous paraissent indispensables. Tout d abord, vous devez conserver les colonnes telles qu elles vous sont proposées. Dans le détail : - en colonne «bague», ne pas mettre d espace entre la lettre et les chiffres, - en colonne «date», rentrez vos données sous la forme 00/00/0000, - en colonne «heure», rentrez vos données sous la forme 00:00. - pour «l espèce», indiquez GALAGO, LYMMIN ou GALMED, sans espaces entre les lettres - pour les «sexes», indiquez F, M, F?, M? ou?, - pour les «âges», reportez vous au tableau suivant (complété par rapport à l an passé) : Date de capture Juvénile adulte Indéterminé 1 juillet/31 décembre 1A +1A VOL* 1 janvier /31 mars 2A +2A VOL 31 mars/1 juillet +1A +1A VOL * VOL= Volant - en colonne «département», indiquez seulement le numéro du département et non le code postal de la commune, - la commune doit figurer en toutes lettres sous la forme suivante (cas extrême) : CHAPELLE- SAINT-ANDRE-(LA), pour La Chapelle-St André. - indiquez un seul code bagueur, même si vous baguez à plusieurs. (Pour les «gros» bagueurs, c est facile, il suffit de les partager! Pour les «petits» bagueurs, une seule solution,en poser plus! ) - notez l adiposité de 1 à 4. - les mensurations doivent être faites au maximum au dixième de millimètre. Qualité des données L objectif des 1000 bécassines baguées dépassé dès la première année du Réseau est bien sûr un excellent résultat. La «quantité» y est et nous permettra sans doute d avoir des résultats fiables plus rapidement que prévu. Mais n oublions pas la «qualité» : sexe et âge déterminés de façon certaine, mesures (bec, ailes, poids) réalisées avec soin, et surtout manipulation des oiseaux tout en douceur pour que leur survie ne soit pas compromise. Une bécassine bien tenue! Pages suivantes : l intégralité du rapport technique CICB/ONCFS/FNC sur l analyse des plumages de bécassines des marais et de bécassines sourdes récoltés au cours de la saison 2007/2008

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Contexte Les communes littorales métropolitaines hébergent plus de 6 millions d habitants et ont

Plus en détail

Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares: directives pour une collaboration efficace

Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares: directives pour une collaboration efficace Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares: directives pour une collaboration efficace Description du projet Le programme de «Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares» (appelé aussi «SI»

Plus en détail

Demande d autorisation de faire du commerce d animaux

Demande d autorisation de faire du commerce d animaux Demande d autorisation de faire du commerce d animaux 1 Autorité et auteur de la demande 1.1 Adresse du service cantonal de la protection des animaux (adresse d envoi): 1.2 Nom et adresse de la personne

Plus en détail

EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation

EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire. 15 Novembre 2012. Instance de Suivi et de Concertation EOLIEN EN MER : Projet de Saint Nazaire 15 Novembre 2012 Instance de Suivi et de Concertation AGENDA A/ Les acteurs du consortium A/ Les acteurs du consortium B/ Le projet C/ Les études environnementales

Plus en détail

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

Etat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe

Etat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe Etat des lieux de l immobilier d entreprises en Guadeloupe La conjoncture immobilière en Guadeloupe est au vert depuis les 6 dernières années. Ce boom immobilier concerne aussi l immobilier d entreprises

Plus en détail

Où sont les Hommes sur la Terre

Où sont les Hommes sur la Terre Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

VILLAGES DE CARACTERE EN LOIRE

VILLAGES DE CARACTERE EN LOIRE VILLAGES DE CARACTERE EN LOIRE ORDRE DU JOUR BILAN ANNEE 2014 POINTS INFORMATIONS TOURISITIQUES :FREQUENTATION PERIODE ESTIVALE 1 er Juillet au 31 Août 2014 OPERATIONS DE COMMUNICATION APPELS A PROJETS

Plus en détail

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.

Plus en détail

La gestion «en deux temps» des prélèvements de lièvres

La gestion «en deux temps» des prélèvements de lièvres Connaissance & gestion des espèces La gestion «en deux temps» des prélèvements de lièvres Bernard Mauvy 1 Régis Péroux 1 Jean-Sébastien Guitton 2 ONCFS, CNERA Petite faune sédentaire de plaine Clermont-Ferrand

Plus en détail

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de

Plus en détail

Les oiseaux migrateurs en recherche

Les oiseaux migrateurs en recherche Les oiseaux migrateurs en recherche Formation des utilisateurs d animaux Dernière mise à jour : Avril 2008 Objectifs du module Fournir une introduction aux considérations juridiques, éthiques et de sécurité

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

ouvrir les frontières de l entreprise

ouvrir les frontières de l entreprise ouvrir les frontières de l entreprise développement de compétences sécurisation des parcours professionnels employabilité et adaptabilité opportunités de carrière mobilités inter-entreprises réseau professionnel

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2013, dans le cadre du monitoring actif, 3.181 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

Birdline internet Manuel de l utilisateur

Birdline internet Manuel de l utilisateur Birdline internet Manuel de l utilisateur Consultation des données Photographies Galerie photos Situation géographique Informations sur l observateur Partenaires et Observateurs [? ] Effectuer une recherche

Plus en détail

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre

Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1a Wasmannia auropunctata (Ouvrière), morphologie. 1 millimètre Figure 1b Wasmannia auropunctata Taille relative et diversité morphologique (Reine et ouvrière) Figure 2 Wasmannia auropunctata (mâle

Plus en détail

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009 ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN 7 avril 2009 Objectifs de l enquête Définir les caractéristiques des clientèles touristiques du Limousin : motivations, profils et comportements Mesurer leur

Plus en détail

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL

Plus en détail

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes Table des Annexes Annexe I : Procédure de désignation des sites Natura 2000 (ZPS et SIC). Annexe II : Composition du comité de pilotage. Annexe III : Exemple de cahier de pâturage tournant Manade. Annexe

Plus en détail

Rappel sur les bases de données

Rappel sur les bases de données Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant

Plus en détail

OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS ÉVALUATION DES STAGIAIRES. Objectif des organisateurs et formateurs. Évaluation des stagiaires. Évaluation initiale

OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS ÉVALUATION DES STAGIAIRES. Objectif des organisateurs et formateurs. Évaluation des stagiaires. Évaluation initiale OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS L enseignement doit viser à ce que tous les stagiaires réussissent à acquérir de nouvelles connaissances et de nouvelles compétences. La réussite des stagiaires dépend en

Plus en détail

EN FRANÇAIS FACILE! #18. - page 2 - - page 4 - - page 6 - «ouvrir l espace par des actes» wax, bazin et cours de français. septembre / octobre 2013

EN FRANÇAIS FACILE! #18. - page 2 - - page 4 - - page 6 - «ouvrir l espace par des actes» wax, bazin et cours de français. septembre / octobre 2013 EN FRANÇAIS FACILE! - page 2 - fréquence ftm - page 4 - L autogestion : un horizon? - page 6 - «ouvrir l espace par des actes» - PAGE 8 - wax, bazin et cours de français septembre / octobre 2013 #18 supplément

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

Burkina Faso Profil pays EPT 2014

Burkina Faso Profil pays EPT 2014 Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine

Plus en détail

Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)

Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Bureau D Accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE) Février 2008 SOMMAIRE Communiqué de presse de synthèse... 3 1. Le Bureau d accueil des Artistes et Professionnels Etrangers (BAAPE)........

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014

CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014 CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014 PREMIERE PARTIE : HISTOIRE (13 POINTS) 1. Questions (6 points) 1. A quels siècles correspond l «âge des églises gothiques»? (1 point) L «âge des églises gothiques» va

Plus en détail

Démographie des masseurs-kinésithérapeutes

Démographie des masseurs-kinésithérapeutes Démographie des masseurs-kinésithérapeutes AQUITAINE 24 33 47 40 64 24 33 40 47 64 - Conseil national de l Ordre des masseurs-kinésithérapeutes Dordogne Gironde Landes Lot-et-Garonne Pyrénées-Atlantiques

Plus en détail

Les principaux thèmes liés à cette cause sont :

Les principaux thèmes liés à cette cause sont : S engager pour l environnement Les hommes sont dépendants de leur environnement : c est leur lieu de vie. C est pourquoi lutter contre la pollution et le gaspillage est important. La défense de l environnement,

Plus en détail

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr Siège France Cadeaux 84 rue de Courbiac 17100 Sainte 00 33 (0)5 46 74 66 00 RC.424 290 211 00012 Cadeaux d affaire, cadeaux d entreprie, objet publicitaire www.france-cadeaux.fr - ervice@france-cadeaux.fr

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2014, dans le cadre du monitoring actif, 3.036 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

«La famille, c est la première des sociétés humaines.»

«La famille, c est la première des sociétés humaines.» «La famille, c est la première des sociétés humaines.» La famille sera toujours la base des sociétés. Honoré de Balzac La famille est-elle la première des sociétés humaines? C est l hypothèse la plus souvent

Plus en détail

Baguage au marais de Kervijen, Baie de Douarnenez : Etude de la migration postnuptiale des passereaux paludicoles du 29 août au 01 septembre 2007

Baguage au marais de Kervijen, Baie de Douarnenez : Etude de la migration postnuptiale des passereaux paludicoles du 29 août au 01 septembre 2007 Baguage au marais de Kervijen, Baie de Douarnenez : Etude de la migration postnuptiale des passereaux paludicoles du 29 août au 01 septembre 2007 David HEMERY & Christine BLAIZE Grumpy Nature Novembre

Plus en détail

La rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006

La rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006 La rémunération des concepteurs en théâtre au Québec de 2004 à 2006 Conseil québécois du théâtre - novembre 2007 Dans le cadre des travaux préparatoires des SECONDS ÉTATS GÉNÉRAUX DU THÉÂTRE PROFESSIONNEL

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

Bilan électrique français ÉDITION 2014

Bilan électrique français ÉDITION 2014 Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions

Plus en détail

Activités Bureau des Guides

Activités Bureau des Guides Activités Bureau des Guides au départ du CENTRE DE DEPAYSEMENT ET DE PLEIN AIR DE MARBEHAN 1 Table des Matières Introduction I. Faune II. Habitats III. Wildcraft & Orientation IV. Coin des Artistes V.

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions Prop. 11.33 EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II Autres propositions A. Proposition Transférer Eunymphicus cornutus cornutus de l'annexe II à l'annexe I. La perruche de la chaîne a

Plus en détail

Ressources pour l école élémentaire

Ressources pour l école élémentaire Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement

Plus en détail

Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood

Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)

Plus en détail

DANSE, CHANT ET SPECTACLE LE SEJOUR INFOS PRATIQUES. Adresse du séjour

DANSE, CHANT ET SPECTACLE LE SEJOUR INFOS PRATIQUES. Adresse du séjour LE SEJOUR Référence > SPECTCR2014 Agrément > JEUNESSE ET SPORTS Dates > Du 19/10/2013 au 02/11/2013 Ages > de 12 à 17 ans A partir de > 420,00 Frais de dossier > 19,00 /personne Chanteurs, musiciens ou

Plus en détail

Loisirs nau*ques et accueil de la plaisance dans la métropole : quel développement possible sur la Loire?

Loisirs nau*ques et accueil de la plaisance dans la métropole : quel développement possible sur la Loire? Loisirs nau*ques et accueil de la plaisance dans la métropole : quel développement possible sur la Loire? Table ronde Conseil de développement 14 janvier 2014 Dans le cadre du Grand Débat Nantes, la Loire

Plus en détail

Cahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite

Cahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite Cahier d enquête Suspect N 5 Reproduction interdite 1ère étape : dé découvrez votre suspect Le Gypaè Gypaète barbu À l aide du plan, trouvez le Gypaète barbu dans les expositions. Le Gypaète barbu est

Plus en détail

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de

Plus en détail

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193

Plus en détail

«1er site internet touristique dédié exclusivement à Malte» Dossier de Presse

«1er site internet touristique dédié exclusivement à Malte» Dossier de Presse «1er site internet touristique dédié exclusivement à Malte» Dossier de Presse Présentation de la destination Malte Malte, une destination en plein développement touristique Lancement du site maltaneo.com

Plus en détail

Retrouver l état signalétique ou le passé militaire d un combattant des armées françaises nés en France

Retrouver l état signalétique ou le passé militaire d un combattant des armées françaises nés en France Retrouver l état signalétique ou le passé militaire d un combattant des armées françaises nés en France Origine, composition des fonds d archives C est la loi Jourdan du 15 septembre 1798 qui substitue

Plus en détail

Les bases de données en ligne

Les bases de données en ligne Les bases de données en ligne Information-documentation, 1 ère Bac pro et BTSA La liste des bases de données présentées ici n est pas exhaustive. A vous de développer votre connaissance des sites Internet

Plus en détail

Les bases de données Les systèmes d informations

Les bases de données Les systèmes d informations 2 Les bases de données Les systèmes d informations Surface annuelle moyenne brûlée (en ha) 250 000 200 000 150 000 100 000 50 000 0 Part de la surface forestière brûlée (en %) 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5

Plus en détail

Association pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration

Association pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration Association pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration 1 1/ Qu est ce qu un accord de branche? Un accord de branche est un acte juridique issu d'une négociation

Plus en détail

DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE

DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE DES FORÊTS POUR LE GRAND TÉTRAS GUIDE DE SYLVICULTURE 2 ÉDITO C R C - M C Daniel BEGUIN Jean-Marie HARAUX Jean-Pierre RENAUD Henri PLAUCHE GILLON 3 SOMMAIRE PRÉAMBULE 5 PARTIE 1 : DESCRIPTION DE L ESPÈCE

Plus en détail

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Première tournée / premier spectacle Nouvelle tournée / nouveau spectacle Entrée en Suisse de l étranger

Plus en détail

Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 I T. mon Département, Ain

Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 I T. mon Département, Ain Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 O N I T A R RESTAU E V I T C COLLE FORMATIONS Ain mon Département, Introduction La réglementation européenne impose à tout personnel travaillant

Plus en détail

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée.

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée. La Présidente Lyon, le 22 Juillet 2013 N Recommandée avec A.R. REF : ma lettre n 508 du 20 juin 2013 P.J. : 1 Madame la Maire, Par lettre citée en référence, je vous ai communiqué le rapport d observations

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

Mission d Observation de la Biomasse

Mission d Observation de la Biomasse Les synthèses de l AREC Mission d Observation de la Biomasse ENQUETE REGIONALE SUR LES CHAUFFERIES COLLECTIVES A BOIS DECHIQUETE (Saison de chauffe 2008-2009) 2009) Chiffres clés 114 chaufferies collectives

Plus en détail

Le déploiement de la fibre optique

Le déploiement de la fibre optique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Edité par l Autorité de régulation des communications électroniques et des postes JUILLET 2012 Le déploiement de la fibre optique jusqu à l abonné Devenez acteur de la révolution numérique

Plus en détail

Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau

Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives

Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les... 1 sur 2 2008-09-18 13:54 Sujet : Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives De : Guy Guilbert

Plus en détail

REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE

REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,

Plus en détail

La récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience

La récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience La récupération et utilisation de l eau de pluie en France : Panorama et retours d expérience Bernard de Gouvello CEREVE-ENPC/CSTB Séminaire Fac Eco Bruxelles 1 er Octobre 2009 1 Structuration de la présentation

Plus en détail

Morcellement du paysage

Morcellement du paysage Morcellement du paysage L indicateur «Morcellement du paysage» montre comment le paysage en dessous de 100 mètres est morcelé par des barrières artificielles telles que des routes ou des zones d habitation.

Plus en détail

Mobilité du trait de côte et cartographie historique

Mobilité du trait de côte et cartographie historique Mobilité du trait de côte et cartographie historique 1 Frédéric POUGET Université de La Rochelle UMR 6250 LIENSS (Littoral Environnement et SociétéS) Colloque Les littoraux à l heure du changement climatique

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014

Assurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014 Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.

Plus en détail

5. Matériaux en contact avec l eau

5. Matériaux en contact avec l eau Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S P r é a m b u l e Proximité Singularité de la personne Universalité du service De nombreux territoires ruraux et urbains se situent en

Plus en détail

Les Français et les moyens de paiement. Mai 2015. Présentation synthétique

Les Français et les moyens de paiement. Mai 2015. Présentation synthétique MINISTERE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS MINISTERE DE L ÉCONOMIE, DE L INDUSTRIE ET DU NUMÉRIQUE Les Français et les moyens de paiement Etude de l Institut CSA pour le Ministère des Finances et des

Plus en détail

CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE

CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans

Plus en détail

Sarcelle d été. Anas querquedula

Sarcelle d été. Anas querquedula Sarcelle d été Anas querquedula Neil Fifer Sarcelles d été Hong Kong. R.P de Chine Principaux caractères spécifiques La sarcelle d été est un canard de petite taille, un peu plus massif que la sarcelle

Plus en détail

PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE DES RÉSULTATS QUESTIONNAIRE LAP Campagne 2013/2014

PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE DES RÉSULTATS QUESTIONNAIRE LAP Campagne 2013/2014 PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE DES RÉSULTATS QUESTIONNAIRE LAP Campagne 2013/2014 La troisième édition lancée fin 2013 de la vaste enquête engagée par le Laboratoire d Analyse de la Profession du SNPCE tous

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits

Plus en détail

Le processus du développement économique

Le processus du développement économique DOUGLASS C. NORTH Prix Nobel d économie Le processus du développement économique Présentation de Claude Ménard Traduit de l anglais par Michel Le Séac h, 2005 ISBN : 2-7081-3397-7 13 Où allons-nous? Le

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014

BILAN DE LA CAMPAGNE 2014 BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du

Plus en détail

METIERS DE L EDITION : Spécialité conception graphique et multimédia 2004

METIERS DE L EDITION : Spécialité conception graphique et multimédia 2004 UNIVERSITE RENNES HAUTE BRETAGNE METIERS DE L EDITION : Spécialité conception graphique et multimédia 004 ETUDE DE L''INSERTION PROFESSIONNELLE DIPLOMES 004 Observatoire des Parcours Etudiants et de l'insertion

Plus en détail

Les communes de la Montagne et de Bouguenais

Les communes de la Montagne et de Bouguenais Contribution d'un groupe de citoyens et d'élus réunis le mercredi 1er avril 2015 Les communes de la Montagne et de Bouguenais Envoyé le 08/04/2015 Deux communes de l agglomération nantaise : LES AUTEURS

Plus en détail

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation

Plus en détail

TOUT SAVOIR SUR LA REFORME DES RETRAITES DANS LA FONCTION PUBLIQUE

TOUT SAVOIR SUR LA REFORME DES RETRAITES DANS LA FONCTION PUBLIQUE TOUT SAVOIR SUR LA REFORME DES RETRAITES DANS LA FONCTION PUBLIQUE Réussissons une réforme juste SOMMAIRE I. CE QUI NE CHANGE PAS, CE QUI CHANGE 3 II. QUESTIONS/RÉPONSES 7 1 - J APPARTIENS À UN CORPS DE

Plus en détail

Qui mange quoi? Filtrer avec des fanons

Qui mange quoi? Filtrer avec des fanons Filtrer avec des fanons Malgré leur taille gigantesque, les baleines se nourrissent de petites proies : du krill ou des petits poissons qu elles piègent à travers leurs fanons. Ces «peignes» peuvent faire

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/

LA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché

B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé JAMPI Dossier 1 L entreprise et son marché B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché Première partie : Analyse du marché à partir des annexes 1

Plus en détail

Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012

Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Des tendances d évolution différenciées pour les femmes

Plus en détail

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014 CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02

Plus en détail

CORRIGES Plan de la séance

CORRIGES Plan de la séance CORRIGES Plan de la séance 1. Corriges Compréhension écrite 2. Corriges Compréhension orale 3. Corriges Syntaxe 4. Corriges Vocabulaire 5. Corriges Conjugaison 6. Corriges Lecture d'élargissement 7. Corriges

Plus en détail

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre

Plus en détail

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière? L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée

Plus en détail

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs

Plus en détail

Logement Logement provisoire et logement en ville (cf. la Rubrique Informations pratiques)

Logement Logement provisoire et logement en ville (cf. la Rubrique Informations pratiques) FORMALITES POUR LE SEJOUR EN FRANCE Sécurité sociale Dans le cadre de l application de l Article 4 de l Arrêté du 29 juin 1999 (parution au Journal Officiel), nous vous informons que tous les étudiants

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis d environnement pour l aménagement et l exploitation d un terrain d entraînement de sport moteur à ROCHEFORT

AVIS. Objet : Demande de permis d environnement pour l aménagement et l exploitation d un terrain d entraînement de sport moteur à ROCHEFORT AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.378 Liège, le 13 mars 2006 Objet : Demande de permis d environnement pour l aménagement et l exploitation d un terrain d entraînement de sport moteur à ROCHEFORT Avis du CWEDD portant

Plus en détail