Rapport de PFE Guillaume HEMMERTER

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1 Résumé J ai été missionné par l entreprise TUNZINI Antilles pour travailler sur la mise en place du contrat de maintenance du le site hospitalier de Mangot-Vulcin situé au Lamentin, en Martinique. L objectif de ce projet était de mettre en place une Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur (GMAO) sur le logiciel de gestion de maintenance CORIM. J ai dans un premier temps passé en revue l ensemble des équipements de l installation consommateurs de maintenance afin d établir des procédures formalisées de maintenance avec le client, en se conformant aux prescriptions des constructeurs et aux normes en vigueur. Les bases établies, j ai commencé à créer la GMAO : création des équipements et du parc de localisation, définition des opérations de maintenance préventives, gestion des interventions et création du planning sont les fonctions principales que j ai utilisées. Aujourd hui la GMAO fonctionne pour ce contrat. L entreprise d accueil va étendre son parc et appliquer les méthodes de base que j ai mises en place à l ensemble de ses contrats de maintenance. Abstract I was commissioned by the company TUNZINI Antilles to work on the development of the maintenance contract on the hospital site Mangot-Vulcin located in Martinique. The purpose of this project was to develop a Computerized Managed Maintenance System (CMMS) in the software for maintenance application CORIM. I initially reviewed all of the installation equipments that need maintenance in order to establish formal procedures of maintenance with the client and based on the manufacturer requirements and standards. Basics laid, I started to create the CMMS: creation of both the equipments and locations parks, definition of preventive maintenance operations, interventions management and creation of the planning are the main functions I used. Today the CMMS works for this contract. The company will expand its park and apply the basics I set up on all of its maintenance contract. 1

2 Sommaire 1. DEFINITION DU PROJET Définition de la maintenance et de ses enjeux La nouvelle cité hospitalière de Mangot-Vulcin en Martinique La Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur Objectifs du projet ETABLISSEMENT DES PROCEDURES FORMALISEES DE MAINTENANCE Introduction Les gammes de maintenance Les fiches opératoires DEVELOPPEMENT DE LA GMAO SUR CORIM Introduction ère étape : Les parcs ème étape : Les équipements ème étape : Les Opérations de Maintenance préventives ème étape : Les interventions préventives ème étape : Les intervenants et calendrier de disponibilités ème étape : Le planning préventif Maintenance curative : les demandes d intervention (DI) Organisation et exploitation de la GMAO Evolution de la GMAO CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE CONTENU DES ANNEXES

3 1. DEFINITION DU PROJET 1.1 Définition de la maintenance et de ses enjeux Définition de la maintenance Les maîtres d ouvrage ou propriétaires de patrimoine immobilier qui s engagent dans la construction ou la rénovation d installations climatiques veulent avoir la certitude d obtenir le résultat escompté ou proposé dans la réponse au cahier des charges de consultation, tant au niveau de la consommation énergétique de leur installation, qu au niveau de son utilisation et ce pour toute sa durée de vie. C est ainsi qu apparaît la nécessité et l importance de la prise en compte de la maintenance ou de l exploitation d équipements thermiques récemment installés, dès le premier jour de fonctionnement. [1] La notion de maintenance est définie par la norme NF : «C est l ensemble des actions permettant de maintenir ou de rétablir un bien dans un état spécifié ou en mesure d assurer un service déterminé.» Les enjeux de la maintenance Coûts des énergies Coûts des études Coûts de réalisation Coûts de maintenance Figure 1 - Les éléments du coût d un bâtiment le long de sa durée de vie [2] Comme le montre la Figure 1 ci-dessus, la masse financière déployée pour la maintenance et la consommation des énergies représente 3 à 4 fois le coût d investissement. Il demeure vrai que 80% de ces dépenses de gros entretien résultent des choix faits au moment du programme et des études, mais on comprend rapidement que ces coûts doivent être limités par l organisation sans faille d une maintenance efficace. 3

4 COUTS ANNUELS Rapport de PFE Guillaume HEMMERTER ANNEES Investissement initial, réalisation Maintenance Améliorations, (re)mise aux normes Energies Gros entretien Réhabilitation, restructuration Figure 2 - Les dépenses au cours de la vie d un bâtiment (selon IOSIS ing.) [2] Ce graphique détaille la figure précédente. Il rend compte du coût d exploitation d un bâtiment au cours de sa vie pour maintenir ses performances et sa qualité d occupation. L hypothèse est faite d un coût croissant de l énergie. Le coût de la maintenance à proprement parlé est constant du début à la fin. Se rajoute à cela, le coût des opérations de gros entretien, nécessaires lorsque le bâtiment a atteint un certain âge d exploitation. Enfin des remises aux normes sont ponctuellement obligatoires afin de conformer l utilisation du bâtiment aux normes en constante évolution. La maintenance des équipements est donc une nécessité. Durant les deux premières années, il est important de distinguer les interventions qui font partie des prestations de garantie dues par l entreprise titulaire du marché d exécution (Garanti de Parfait achèvement et de Bon Fonctionnement), des interventions incombant au contrat de maintenance. Il va de soi que l entreprise qui a réalisé les travaux possède une connaissance approfondie de l installation. Elle est d autant mieux capable d en assurer la maintenance qu elle l a conçue en vue de mener cette maintenance efficacement. Toutefois certaines entreprises se spécialisent dans ce secteur et sont à même de proposer des prestations de qualité. Il appartient au maitre d ouvrage de faire son choix en tenant compte des avantages et inconvénients des deux possibilités.» 4

5 Si la maintenance ne peut pas être assurée pour maintenir les performances de l installation, on risque d entrer dans ce que l on appelle la dérive des dégradations cumulatives (cf. Figure 3 ci-dessous) : - Une augmentation des coûts de la consommation d énergies, de réparations et le temps perdus qu elles engendrent amène à une réduction des crédits consacrés aux services de maintenance préventive et d exploitation. Le niveau de performance n est plus maintenu. - Il y a une augmentation des vieillissements : dégradations, pertes d énergie et diminution des rendements énergétiques. - D où une baisse des qualités d usage : des défaillances apparaissent, les moyens sont utilisés pour mener des interventions curatives et non plus préventives, les durées d indisponibilité augmentent. - Et ainsi de suite, les équipements comme la qualité du service se dégradent. Ce qui peut conduire à la rénovation prématurée de l installation. Augmentation des coûts : - consommations d énergies - réparations - temps perdus Réduction des crédits consacrés aux services : - maintenance préventive - exploitation Baisse des qualités d usage : - défaillances - indisponibilités - inconfort - préoccupation des gestionnaires Augmentation des vieillissements : - dégradations - dérives - pertes d énergie - réduction de l efficacité énergétique Figure 3 - La dérive des dégradations cumulatives [2] Objectifs d une maintenance efficace : - Repousser la rénovation de plusieurs années - Réduire les coûts globaux - Maintenir une qualité de service - Assurer les performances de l installation durant toute sa durée de vie 5

6 1.2 La nouvelle cité hospitalière de Mangot-Vulcin en Martinique Description du projet Après plus de cinq ans de construction, la nouvelle cité hospitalière de Mangot-Vulcin commence à accueillir ses services. Le procès verbal de réception de l ouvrage a été signé le 31 mars Sa construction a notamment été ralentie par les dégâts causés lors du passage du cyclone Dean en 2007 sur la Martinique. Ce projet a pour finalité de pallier les lacunes des deux hôpitaux existants : le centre hospitalier du Lamentin, et l hôpital psychiatrique de Colson. L hôpital actuel du Lamentin n est plus propice à la fourniture de soins de qualité. Ses difficultés d accès, son exigüité, ainsi que son insalubrité, sont autant d arguments en faveur de la construction d une nouvelle cité hospitalière. Figure 4 - Localisation de la nouvelle cité hospitalière de Mangot Vulcin L hôpital psychiatrique de Colson n est quant à lui pas mieux loti. En effet, situé au cœur de la forêt tropicale, les bâtiments ne sont pas épargnés par l humidité latente du milieu, qui rend laborieuses les conditions de travail et d internement. En outre, l établissement, construit pour accueillir 275 patients, reçoit aujourd hui 350 malades. Figure 5 - Vue aérienne de la nouvelle cité hospitalière de Mangot-Vulcin 6

7 1.2.2 Fiche d identité de la cité hospitalière de Mangot-Vulcin En chiffres : lits m locaux - 6 blocs opératoires La cité hospitalière se décompose en 32 zones. Les 3 entités principales sont : - Un établissement de santé mentale - Un centre hospitalier MCO (Médecine Chirurgie Obstétrique) - Un pôle de gestion commun Figure 6 - Plan des zones de la cité hospitalière de Mangot-Vulcin MCO (Médecine, Chirurgie, Obstétrique) Urgence Lits de porte Réanimation Bloc opératoire Imagerie Bloc d accouchement Obstétrique Gynécologie Néonatologie Pédiatrie Pédopsychiatrie Hébergement Orthogénie Chirurgie Drépanocytose Stomatologie Médecine Hémodialyse Chirurgie tête et cou Urologie Néphrologie EPDSM (Etablissement Psychiatrique De Santé Mentale) EPDSM UPSI (Unité Psychiatrique de Soins Intensifs) Tableau 1 - Tableau des services présents par zones 7

8 Production Technologies présentes - 3 groupes frigorifiques à condensation à air : 1 groupe positif de puissance kw de régime d eau glacée 7/12 C et 2 groupes négatifs de puissance kw de régime -9/-4 C. - 2 chaudières équipées de brûleurs fioul de puissance 1 x 440 kw et 1 x 985 kw - 1 ensemble de stockage de frigories par nodules : capacité kwh composé de 4 cuves de 52 m échangeurs à plaques eau/eau glycolée de puissance kw. - 9 pompes de circulation pour les parties primaires EC et EG Equipements climatisation m3/h traités par 47 centrales de traitement d air dont 14 de type santé et ventilateur d extraction associés - 5 armoires de ventilation - 17 caissons de VMC - 24 ventilateurs d extraction pour locaux techniques - 8 caissons de ventilation pour traitement des locaux en ventilation mécanique renforcée - Traitements terminaux composés de : cassettes 2 tubes EG buses Varilair avec diffusion associée ventilo-convecteurs 2 tubes EG Désenfumage caissons de désenfumage - 97 ventilateurs d extraction désenfumage - 62 ventilateurs d introduction d air désenfumage m2 de gaine calorifugée de désenfumage Plomberie Sanitaire appareils sanitaires - 5 centrales d adoucissement - Ensemble de production d eau déminéralisée - Ensemble de neutralisation d effluents dialyse - Ensemble de neutralisation d effluents laboratoire - Installation de protection RIA ml de tube PVC pression pour la distribution d eau froide sanitaire ml de tube PVC pression HTA pour la distribution d eau chaude sanitaire ml de tube polyéthylène PER pour l alimentation des points d eau ml de calorifuge type Armaflex ml de tube PVC évacuation pour les réseaux EU, EV et EP ml de calorifuge anti condensation pour les réseaux EU, EV et EP 8

9 1.3 La Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur Qu est-ce qu une Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur? «Système informatique de management de la maintenance est un progiciel organisé autour d une base de données pour le suivi technique, budgétaire et organisationnel de toutes les activités d un service de maintenance» Un tel logiciel permet de garantir une meilleure gestion des équipements dans leur phase de maintenance. L objectif est de gagner du temps et de réduire les coûts en optimisant les ressources maintenance, en diminuant les temps d'immobilisation des équipements, en augmentant la productivité, en renforçant l'efficacité de la gestion des stocks et achats. C est un outil aux résultats performants à condition que la GMAO soit correctement renseignée, utilisée et régulièrement actualisée. Les problématiques - Gestion du patrimoine et parc matériel décomposé - Gestion des fichiers et données (stocks, fournisseurs) - Nombre d interventions et de transactions effectuées chaque jour - Soucis de traçabilité, de qualité et de certification - Besoin de contrôle économique - Problème de communication (planification) - Interface avec les autres systèmes de gestion - Réduction des coûts de la maintenance et des approvisionnements - Optimisation de la productivité des techniciens de maintenance Les fonctionnalités - Equipements et structures - Caractéristiques techniques des équipements - Travaux et interventions - Diagnostic technique - Maintenance préventive, maintenance curative - Historiques techniques et financiers - Stock - Editeur de diagrammes - Editeur de ressources CORIM Il existe une multitude de logiciels de gestion de maintenance. Celui que j ai à ma disposition et avec lequel travaille l entreprise qui m accueille est CORIM. Il propose les fonctions de base énoncées ci-dessus. 9

10 1.4 Objectifs du projet L entreprise TUNZINI Antilles dispose d un outil de Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur, dont elle se sert sur ses contrats de maintenance, pour traiter la maintenance curative. L idée de ce projet et d apporter et de développer des méthodes de gestion de la maintenance préventive sur l hôpital de Mangot-Vulcin. Les premières semaines de mon projet furent consacrées à la lecture attentive du contrat de maintenance établi, sur lequel j ai travaillé afin de modifier et d améliorer notre offre. Cette étape fut très importante car elle m a permis de comprendre les clauses du contrat et ainsi de mieux appréhender la suite de l étude. Dans un premier temps, j ai listé et localisé l ensemble des matériels consommateurs de maintenance, pour lesquels il m a fallu mettre en place des procédures de maintenance formalisées. Définition des tâches de maintenance et création de gammes de maintenance, conformément aux prescriptions des constructeurs, aux normes et aux dossiers de fin de chantier remis après la réception. Des fiches opératoires de maintenance pour chaque opération de maintenance ont été créées. Ensuite, et c était l objectif essentiel de ce projet, j ai mis en place la Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur (GMAO), avec le logiciel de gestion de maintenance numérique CORIM, dédié à la gestion de contrat. Création du parc des équipements en relation avec le parc des localisations, définition des Opérations de Maintenance préventives et génération des interventions préventives, pour aboutir à la génération automatique du planning et à une gestion rapide et efficace des ressources humaines. Enfin, j ai formé le technicien d affaires responsable de la maintenance de ce site sur la GMAO. Je lui ai transmis l ensemble des connaissances que j ai pu acquérir au cours de l exécution de ce projet. Le but de mon travail était de permettre à l entreprise d accueil d utiliser pleinement le potentiel du logiciel CORIM et de repenser la maintenance, afin qu elle puisse appréhender son plus gros contrat : la maintenance de la cité hospitalière de Mangot-Vulcin. Le travail que j ai accompli sera utilisé dans le cadre de l exécution de ce contrat de maintenance et servira de base pour une extension future à ses autres contrats. 10

11 2. ETABLISSEMENT DES PROCEDURES FORMALISEES DE MAINTENANCE 2.1 Introduction Les spécifications pour la maintenance préventive des équipements techniques sont de différente nature : les prestations obligées sont celles qui portent sur des opérations de maintenance imposées par des règlements ou des textes référencés et sont complétées par des normes. Les prestations conseillées sont les opérations d entretien, recommandées par les constructeurs et qui visent à maintenir des conditions d hygiène et de confort, à maîtriser les consommations, à prolonger la durée de vie des équipements. Le chantier de la nouvelle cité hospitalière de Mangot-Vulcin devait être réceptionné et la phase de maintenance débuter au moment du démarrage de mon projet. Malheureusement la réception fut repoussée et de ce fait, la phase maintenance n a pu démarrer que le 1 er juillet. Cela m a permis de participer à la révision de notre offre (technique, financière et commerciale), en phase de négociation. Un échange, dans lequel j ai eu un rôle intéressant, s est instauré entre le client et l entreprise. J ai eu l opportunité de rencontrer le responsable technique du site, lors d une réunion au cours de laquelle j ai exposé mon travail sur les procédures de maintenance, ainsi que sur le fonctionnement de la GMAO, notamment sur le formalisme de présentation du suivi des interventions et la façon dont sont consignés les résultats. Le client a exprimé le souhait de suivre intégralement les opérations réalisées en imposant un rapprochement entre les techniciens de l entreprise et les employés du service technique du site. Le client a en outre la particularité d être un client historique. L entreprise TUNZINI Antilles possède des contrats de maintenance sur quelques autres sites dont le client est responsable. Cette partie de mon rapport présente dans un premier temps la façon dont j ai procédé pour établir des gammes de maintenance, point de départ essentiel de mon étude. Ensuite, est explicité le principe des fiches opératoires, méthode proposée par les ingénieurs du COSTIC (Centre d Etudes et de Formation Génie Climatique Equipement Technique du Bâtiment). Les fiches opératoires sont basées sur les normes, les règlementations et les notices techniques des constructeurs. Ces procédures répondent alors à la fois aux exigences des prestations obligées et à celles des prestations conseillées. L ensemble des fiches opératoires mises au point pour le site en particulier sont ensuite attachées à la GMAO. 11

12 2.2 Les gammes de maintenance La maintenance doit être adaptée à chaque installation et dépend des temps de fonctionnement et de l usage, dont l examen va permettre de définir les gammes de maintenance, matériel par matériel. Il s agit là d opérations préventives. Les opérations correctives sont traitées sur demande du maitre d ouvrage et ne font pas l objet d une planification particulière Définition Une gamme de maintenance est un document décrivant la procédure de gestion d un objet de maintenance. Dans ces gammes apparaissent toutes les tâches de maintenance affectées à un équipement, on parle aussi de gamme d équipement. Pour chaque tâche est définie une périodicité, c'est-à-dire une fréquence d intervention. Les gammes de maintenance permettent de gérer de façon centralisée les interventions sur les équipements. Elles constituent la base de gestion d un contrat de maintenance Création des gammes de maintenance L établissement de ces gammes est conforme aux prescriptions des constructeurs, aux normes et aux dossiers de fin de chantier remis après la réception de l ouvrage. Elles comportent des tâches de faible niveau technique, de la simple vérification visuelle répétée quotidiennement, à l intervention de spécialistes lors d opérations de gros entretien, prévues annuellement par exemple. Sur les gammes que j ai réalisées, j ai également fait apparaitre un temps d opération pour chaque tâche de maintenance. J ai ainsi obtenu des charges d occupation par métier : - chauffage - plomberie - eau - climatisation - ventilation - désenfumage - électricité Ce découpage correspond à celui qui est fait par défaut lors de l importation du parc d équipements de base du génie climatique du logiciel de GMAO CORIM. L objectif était de créer des documents dans une logique commune, assurant une continuité dans le projet. La réalisation des gammes de maintenance m a demandé un travail minutieux, afin qu elles soient les plus proches possible de la réalité, en termes de temps d intervention. Discussions avec les techniciens du site, recherche d informations chez les constructeurs, les documents existants et utilisés par l entreprise n étant pas adaptés aux contraintes d un site hospitalier. 12

13 2.2.3 Exemples de gamme de maintenance Affaire : Désignation du matériel : SIH MANGOT-VULCIN POMPES A AXE HORIZONTAL (sur socle) DESIGNATIONS CARACTERISTIQUES OPERATIONS DE MAINTENANCE PREVENTIVE PERIODICITE J H M BM T S A SB VERIFICATIONS ET CONTRÔLES Contrôle de l'état de fonctionnement 0,10 Contrôle des pressions amont aval 0,10 Contrôle des presse-étoupe 0,10 RELEVES Relevé d'intensité 0,20 ENTRETIENS Graissage 0,30 Permutation des pompes 0,30 Resserrage des contacts sur les bornes 0,30 Remplacement des garnitures 0,30 Révision générale avec lignage moteur / pompe 0,30 Retouche peinture si nécessaire, sur demande du MO X Total par intervention 0 0 0, ,5 Total annuel ,5 TOTAL 7,5 h/an Tableau 2 - Gamme de maintenance des pompes à axe horizontal Tableau récapitulatif des temps de maintenance par métier Affaire : SIH MANGOT-VULCIN RECAPITULATIF TEMPS DE MAINTENANCE PAR METIER PAR INTERVENTION FAMILLE METIER PERIODICITE J H M BM T S A TOTAL CVC CHAUFFAGE ,2 5, h/an PLOMBERIE 0 0 5, h/an EAU 1, , ,2 h/an CLIMATISATION ,3 17,57 596,4 74,6 343, h/an VENTILATION ,5 1520,5 h/an DESENFUMAGE h/an ELECTRICITE h/an PAR ANNEE FAMILLE METIER TOTAL 1, ,67 667,8 671, ,7 h/an PERIODICITE TOTAL J H M BM T S A CVC CHAUFFAGE ,4 30, h/an PLOMBERIE h/an EAU 431, , ,2 h/an CLIMATISATION ,6 105, ,2 343, h/an VENTILATION ,5 1520,5 h/an DESENFUMAGE h/an ELECTRICITE h/an TOTAL 431, ,7 h/an Tableau 3 - Tableau de synthèse des temps de maintenance par métier NOTA : les valeurs dans les tableaux sont exprimées en heures. 13

14 2.2.5 La problématique des gammes de maintenance Sur certains matériels, l estimation des temps d intervention est primordiale. C est d autant plus vrai que la fréquence de l intervention est élevée. C est le cas par exemple des opérations journalières, réalisées 260 fois par an, pour lesquelles une mauvaise estimation des charges d occupation peut avoir de lourdes conséquences. Pour illustrer les enjeux des gammes de maintenance, prenons l exemple des cassettes de climatisation. Il y en a 531 réparties sur tout l hôpital. Une première estimation donne un temps de maintenance de 45 min par cassette, à répéter tous les 3 mois. Au total, il en résulte un temps de maintenance d à peu près 1600h/an, mobilisant 1 personne à temps plein. Selon différentes personnes, il semblerait plus approprié de prévoir 1h d intervention tous les 2 mois, au vu de la sensibilité du site notamment. Cette nouvelle estimation aboutit à un temps total de maintenance de près de 3200h/an, soit le double, mobilisant 2 personnes. Ainsi, les gammes de maintenance doivent être réalisées avec soin et être les plus proches possible de la réalité, car toute la suite de l étude en dépend. La maintenance est loin d être une science exacte : dans cette phase du projet, les décisions ont été difficiles à prendre. 2.3 Les fiches opératoires Le but des fiches opératoires Au titre de la préparation des procédures de maintenance, j ai commandé des recueils de fiches opératoires de maintenance, élaborées et proposées par le COSTIC. Les fiches opératoires sont destinées à aider les professionnels qui assurent des tâches de maintenance préventive sur les sites. Elles ont pour but de guider le technicien sur le terrain lors de ses interventions, mais aussi d assurer la traçabilité des opérations. Elles contribuent ainsi à la qualité organisationnelle. Elles servent notamment de lien entre le technicien travaillant pour l entreprise et les services techniques des sites. 14

15 2.3.2 Création des fiches opératoires Contenu des fiches opératoires Ces fiches opératoires décrivent en séquence les opérations élémentaires à réaliser. L opérateur coche chaque tâche qu il effectue, renseigne les valeurs qu il a relevées (suivi de température, pression), note les commentaires (remplacement de telle ou telle pièce par exemple) et fait signer ce document par les services techniques du site. Métier, équipement Logo TUNZINI Périodicité de l intervention Précautions Observations Nom du site Matériel spécifique Descriptif pas à pas des opérations en incluant les relevés et les contrôles Validation des TUNZINI nom, date, signature Validation des Services techniques nom, qualité, signature Figure 7 - Informations contenues sur les fiches opératoires Le client a clairement exprimé sa volonté de pouvoir suivre les opérations de maintenance. Il veut que chacune des fiches opératoires soit contrôlée et signée par le personnel du service technique sur le site. D où la partie validation des TUNZINI et des services techniques. Adaptation des fiches opératoires Les fiches opératoires diffusées par le COSTIC doivent être adaptées aux règles de maintenance de l entreprise et à l installation particulière à traiter. Des éléments ont été pris dans les ouvrages dédiés à la ventilation, aux centrales de traitement d air et aux réseaux d eau chaude et d eau froide sanitaire. Dans les autre cas, les fiches ont totalement été créées (cf. Figure 8 p. 16). L adaptation d une fiche consiste essentiellement à supprimer des opérations listées, surabondantes dans la plupart des cas. Mais il s agit également de se conformer aux normes et de respecter les prescriptions des constructeurs. Dons mon cas, le travail sur les fiches opératoires a largement été réduit par la fine analyse qui avait déjà été faite pour l établissement des gammes de maintenance. Finalement, les fiches opératoires reprennent les gammes de maintenance, avec, pour quelques équipements sensibles (tels que les sondes de chlore, les brûleurs etc.), des descriptions pas à pas de la procédure d entretien. 15

16 2.3.3 Exemple de fiche opératoire Figure 8 - Fiche opératoire remplie par l utilisateur au cours d une intervention pour les brûleurs 16

17 3. DEVELOPPEMENT DE LA GMAO SUR CORIM 3.1 Introduction CORIM, développé sous Visual Fox Pro, est un outil puissant de Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur (GMAO), adapté à tous les secteurs de l industrie, du bâtiment et du tertiaire. Il permet de trier l ensemble des informations recueillies quotidiennement lors d interventions de maintenance ou lors de la gestion d un parc machine (ou parc des équipements). La prise en main du logiciel est assez difficile si on n a pas suivi de formation. Une fois les principes d utilisation assimilés, cet outil devient un logiciel puissant pour saisir, rechercher, gérer et exploiter l ensemble des données nécessaires à l optimisation de la fonction maintenance au sein de l entreprise. Renseigner CORIM de façon exhaustive, dès l initialisation, représente en général un investissement important en temps et en argent. La mission que l on m a confiée, à savoir le développement d une GMAO pouvant traiter la maintenance préventive de façon précise représente une première pour l entreprise qui, jusqu à présent, utilisait ce logiciel uniquement pour gérer le parc de contrat de maintenance et les interventions correctives. A l issue de ce projet, elle souhaite étendre mon travail et les méthodes développées à l ensemble de ses contrats. La quasi-totalité des informations dont j ai eu besoin pour développer la GMAO m ont été données par Mme Anne NGUYEN, Administrateur SI Métier, Siège VINCI Facilities et formatrice CORIM du groupe VINCI Energies. Les connaissances en matière de gestion du préventif grâce au logiciel CORIM étant nouvelles pour l entreprise qui m accueille, j ai consacré trois jours de formation aux personnes qui vont reprendre mon travail après mon départ. Le chapitre qui suit constitue le cœur du projet. Il présentera l ensemble des opérations élémentaires pour la gestion des interventions préventives, depuis la création du parc des équipements jusqu à la gestion du planning et l exploitation de la GMAO dans son ensemble. Voici la démarche de développement du préventif : - 1 ère étape : Les parcs - 2 ème étape : Les équipements - 3 ème étape : Les Opérations de Maintenance (OM) préventives - 4 ème étape : Les interventions préventives - 5 ème étape : Les intervenants et le calendrier de disponibilité - 6 ème étape : Le planning préventif 17

18 COMMUNICATION PARC INTERVENTION STOCK ACHATS INDICATEURS COURRIER CONTRAT VENTES Figure 9 - Fenêtre d accueil CORIM et ses fonctions Les fonctions utilisées sont essentiellement les fonctions «PARC» et «INTERVENTION». Dans «PARC» on trouve l explorateur, qui comprend l ensemble des contrats de maintenance de l entreprise et où figurent les équipements faisant l objet de maintenance. On y définit les opérations de maintenance associées à chaque équipement. Figure 11 - Onglet «INTERVENTION» Dans l onglet «INTERVENTION» on trouve toutes les fonctions de gestion des interventions préventives. La fonction Figure 10 - Onglet «PARC» «préventif» permet de générer des interventions à partir des opérations de maintenance préventives citées ci-dessus. Enfin un onglet planning (classique et graphique) permet de visualiser et de modifier rapidement et intuitivement les interventions planifiées. 18

19 3.2 1 ère étape : Les parcs Les parcs correspondent aux fondations du système CORIM. De leur bonne description dépendent à la fois la facilité d utilisation (recherche progressive d une machine) et la qualité des analyses Qu est-ce que le parc de localisations? Un parc de localisation au sens de CORIM est une arborescence géographique. Celle-ci permet à l utilisateur de retrouver aisément les éléments de l autre parc, parc des équipements, comportant tous les matériels nécessitant de la maintenance. L arborescence géographique est composée d un ensemble de localisations. Le principe de création d une localisation s effectue en cascade : la localisation «mère» (niveau N) doit être créée avant la localisation «fille» (niveau N-1) Saisie de l arborescence géographique Même si l arborescence géographique est facultative, elle s avérera souvent intéressante pour la gestion des interventions au quotidien. Dans le cas d un élément du parc commun à plusieurs branches de l arborescence fonctionnelle (parc des équipements), par exemple une vanne du réseau de distribution, elle pourra clairement être isolée en renseignant sa localisation. La Figure 12 (p. 20) présente le choix de développement de l arborescence géographique pour l hôpital de Mangot-Vulcin. - Le site est composé de plusieurs bâtiments distincts physiquement les uns les autres (Cuisines, Hébergements, etc.). - Chaque bâtiment fait l objet d un découpage plus fin : ils ont été repérés selon un quadrillage (Zone 01, Zone 02, etc.) - Vient ensuite la précision de l étage (RDJB, RDJH, etc.) - Et enfin le local. Le choix de cette arborescence nous permet d atteindre un bon niveau de précision, allant jusqu au niveau du local contenant l appareil concerné. Une phase importante est de définir préalablement le niveau de précision que l on veut atteindre avec la GMAO, sachant que plus on est précis, plus la création du parc est longue et fastidieuse. Une grande précision suppose également que les personnes utilisatrices de la GMAO aient connaissance de la géographie du site. Dans le cadre de mon projet, j ai décidé d être le plus précis possible, en définissant des locaux à l échelle de la pièce lorsque cela était faisable. 19

20 1) Plan du site 2) Synoptique de décomposition Hébergements Zone 11 SIH MCO Carbet Zone 12 Zone 13 RDJH ET2 POSTE HT MCO Site Bâtiment Zone Etage Local 3) Arborescence sur CORIM Figure 12 - Mode de création du parc de localisation pour l hôpital de Mangot-Vulcin 20

21 3.2.3 Qu est-ce que le parc des équipements? Le parc des équipements (ou parc machines) n est rien d autre que la liste des éléments physiques que CORIM aura à gérer. Ces listes regroupent tous les matériels consommateurs de maintenance. Il faut bien comprendre que ces deux arborescences sont générées de façon totalement indépendante. L arborescence géographique n a pour rôle que d optimiser le temps de recherche de l équipement (cf. Figure 14 p. 22) Saisie de l arborescence fonctionnelle Ce parc est à découper de façon arborescente suivant les niveaux hiérarchiques suivants : Niveau 1 : l entreprise Niveau 2 : le client Niveau 3 : le site physique Niveau 4 : la famille Niveau : 5 : le métier Niveau 6 : l équipement type Niveau 7 : l équipement Figure 13 - Aperçu du parc machines (décomposition par famille de matériel) 21

22 J ai importé la bibliothèque CORIM des équipements du génie climatique et développé mon étude en respectant le partage en métiers qui est proposé. C est la raison du choix de la séparation en métiers lors de l établissement des gammes de maintenance. Le parc respecte l arborescence suivante : La famille : CVC Les métiers : Chauffage Plomberie Eau Climatisation Ventilation Désenfumage Electricité Viennent ensuite les équipements types regroupant les équipements. C est le cas par exemple sur la Figure 13 (p. 21) des pompes (équipement type), constitué de l ensemble des pompes destinées à la climatisation (PEG01, PEG02, etc.) Lien entre les deux parcs Arborescence fonctionnelle Arborescence géographique Plomberie Zone 1 Surpresseurs ET 1 RDJH Surpresseurs RIA Local technique 3 Figure 14 - Mise en place de l arborescence géographique en complément de l arborescence fonctionnelle 22

23 3.3 2 ème étape : Les équipements Création des équipements Les équipements sont les éléments qui composent le parc des équipements (dernier niveau de l arborescence fonctionnelle). Figure 15 - Exemple de fenêtre équipement : CTA 07 Voici les informations qui sont renseignées lors de la création des équipements : Code Equipement Le code équipement correspond à une codification informatique utilisée de façon interne, sa génération est donc automatique et non significative. Libellé Il permet d identifier précisément l équipement. Dans l onglet «Gestion» : Localisation C est là qu intervient l arborescence géographique, l équipement est ainsi attaché à une localisation. Famille Saisir le code famille associé à l équipement. Il s agit d une famille au sens large, cela peut être une famille de matériel. Ici l équipement est destiné au chauffage. Quantité installée On renseigne la quantité d équipement installée. Cette option est intéressante lorsque la GMAO est construite pour gérer les stocks et qu elle gère des équipements à des niveaux encore plus fins, par exemple des vannes d arrêt d un réseau 23

24 Dans l onglet «Note» : c est une zone de texte libre. On peut saisir des renseignements utiles sur l équipement. J ai utilisé cette fonction pour les CTA par exemple : je précisais le type de ventilateur et le moteur présent dans la CTA, ainsi que les zones et les étages traités, les services affectés. Dans l onglet «Achat» : on peut y saisir le nom du fabricant dans une liste, avec contact, adresse et numéro de téléphone du fournisseur. On y précise également la référence constructeur de l équipement, le numéro de série etc. J ai utilisé cette fonction pour les matériels tournants de type CTA et ventilateurs (VMC, désenfumage) Exemple des cassettes de climatisation Le bâtiment est équipé de 531 cassettes de climatisation, réparties géographiquement dans l ensemble des zones. Une des solutions aurait été de créer autant d équipements que de cassettes, en particulier pour gérer l installation à un niveau de précision le plus élevé possible. Le choix d un tel niveau de précision implique non seulement un temps de mise en place de la GMAO plus long, mais aussi une perte de temps lors de l utilisation de la GMAO en phase d exploitation. En effet, la fenêtre n est pas adaptée à un affichage d autant de lignes et l utilisateur risquerait de se perdre dans l arborescence. De plus, le parc des équipements est limité à 7 niveaux (niveau 6 : équipement type ; niveau 7 : équipement), contrairement au parc de localisation où le choix des dossiers et des sousdossiers est totalement libre. Aussi, la solution simplificatrice que j ai choisie consiste à regrouper des cassettes par paquet. L équipement n est alors plus une cassette mais un groupe de cassettes. L unique différence est le temps d intervention : il s agit simplement d affecter à l équipement une charge horaire égale au temps d intervention unitaire ramené au nombre de cassettes. Le regroupement des cassettes n est pas non plus laissé au hasard. La première approche que j ai choisie est de former des ensembles de cassettes par zone et par étage. J ai attribué à chaque cassette un code maintenance, différent de celui des travaux, qui n a aujourd hui plus de sens. Le nom de mon équipement est alors simplement : CASSETTES 1-7, rattaché par exemple à la ZONE 02 étage RDJH (rez-de-jardin haut). J ai appliqué ici la logique la plus simple de découpage. Bien entendu, ce découpage n est pas figé. A terme, il s agira de définir des paquets de cassettes en fonction des services et non des zones. Les zones ne sont que des entités travaux, aujourd hui il existe des services qui occupent plusieurs zones. La raison pour laquelle je n ai pas réalisé un découpage par service est que les services sont amenés à se métamorphoser (changer d endroit, se réduire en taille, s agrandir etc.). La réorganisation des cassettes se fera au cours du temps. Le fait de regrouper plusieurs cassettes dans un même équipement permet au technicien de bénéficier d une souplesse d intervention. Sur sa fiche d intervention sera affichée la durée prévue pour réaliser les opérations d entretien sur l ensemble des cassettes. Il peut alors moduler les charges à sa guise, en passant plus de temps que prévu sur une cassette endommagée, ou aller plus rapidement sur une autre dont le fonctionnement ne présente pas de problème. 24

25 Figure 16 - Exemple de fiche opératoire pour les cassettes 1 à 7 25

26 3.4 3 ème étape : Les Opérations de Maintenance préventives Qu est-ce qu une Opération de Maintenance préventive? Les Opérations de Maintenance préventives, appelées les OM préventives, correspondent à la retranscription des gammes de maintenance dans CORIM. C est une étape très importante dans la création de la GMAO. Il s agit de générer des OM pour tous les équipements. Au même titre que sa localisation par exemple, l OM n est qu un paramètre qui définit l équipement : on dit que l OM est attaché à l équipement. Ce sera plus tard, à partir des OM, que l on pourra créer des interventions (cf. p ème étape : Les interventions préventives). La mise en place d un plan de maintenance préventive commence donc par la création des Opérations de Maintenance préventives rattachées aux équipements. Le plan de maintenance préventive se décompose en cinq étapes : - Création des OM préventives - Visualisation du planning d OM - Décalage éventuel d OM - Validation du plan de maintenance préventive - Génération des OM en interventions préventives Création des OM préventives Voici les différentes informations qu il faut renseigner lors de cette étape, leur utilité et leur impact pour la suite de l étude. Figure 17 - Fenêtre de création des OM préventives 26

27 *OMXXX : C est le numéro de l opération de maintenance créée. Il est donné automatiquement par le système. C est un code qui pourra par la suite être utilisé pour retrouver les OM par exemple, ou pour rattacher la même OM à un autre équipement. Libellé : Le libellé est le nom de l OM. Il est dans les habitudes de faire figurer dans le libellé la périodicité de l opération ainsi que le nom de l équipement type. L OM donnera donc son nom à l intervention préventive. Intervenant : Ici on cherche l intervenant, si c est toujours le même, à qui l intervention doit être affectée. Ce n est pas une donnée obligatoire, si le champ reste vide l intervention est alors à affecter manuellement. Dans notre cas, l opération de maintenance est affectée au technicien de maintenance CAROUJEL Louis-Marie, figurant dans la liste des intervenants (cf. p ème étape : Les intervenants). Charge : C est la durée des opérations en heures. Les interventions générées à partir des OM seront planifiées selon cette charge d intervention. Période : C est ici que l on informe de la périodicité des opérations. Une OM ne peut avoir qu une seule fréquence. Si un équipement nécessite un passage mensuel pour des opérations légères et un passage semestriel pour un entretien plus conséquent, il faut alors créer deux OM : une OM mensuelle et une OM semestrielle. Les périodicités possibles sont infinies. Voici celles qui sont utilisées : Tolérance : Annuel Semestriel Trimestriel Bimestriel Mensuel Bimensuel Hebdomadaire Journalier 1 Année 6 Mois 3 Mois 2 Mois 1 Mois 2 Semaines 1 Semaine 1 Jour Tableau 4 - Périodicité utilisées dans la GMAO La tolérance au sens de CORIM est une notion importante dans la gestion de la maintenance. Elle permet une tolérance de date au niveau de la réalisation de l intervention. Par exemple, si la tolérance est de 2J, alors mon intervention peut se faire deux jours avant ou deux jours après la date prévue. Autrement dit, l intervention est considérée en retard à J+2. Le logiciel ne permet pas une tolérance de déclenchement supérieure à la moitié de la périodicité calendaire, ainsi la tolérance d une intervention mensuelle ne peut pas excéder 15 jours. Ce paramètre autorise ainsi une souplesse dans la gestion du planning. 27

28 Dans le tableau ci-après figurent les tolérances admises en fonction de la périodicité des interventions : Recalage : Annuel Semestriel Trimestriel Bimestriel Mensuel Bimensuel Hebdomadaire Journalier 30 jours 30 jours 15 jours 10 jours 10 jours 5 jours 2 jours 0 jour Tableau 5 - Tolérances admises par périodicité Oui : Permet de décaler les prochaines interventions générées selon la date de réalisation de la dernière intervention préventive : les interventions se décalent. Non : les interventions sont générées selon la périodicité de l OM et non pas selon leur réalisation : le fait de décaler une intervention n influe pas sur la date de la prochaine visite. Le recalage est une notion délicate comme le montre l exemple suivant : Supposons que j autorise un recalage sur une opération mensuelle dont la tolérance est de 5 jours et que ma première intervention ne se fait pas le 1 er mais le 6 du mois : lorsque je génère ma prochaine intervention préventive, elle se créera au 6 du mois prochain. Il est préférable de ne pas mettre de recalage, car à force de décaler dans le temps, il peut arriver qu en fin d année, le nombre contractuel de visites ne soit pas atteint. Date de base : Permet de déterminer à quelle date la prochaine intervention doit être créée, elle se calcule comme suit : - pour une mensuelle : si on veut créer la prochaine intervention le 01/06, il faut mettre en date de base le 01/05 - pour une hebdomadaire : si on veut créer la prochaine intervention le mercredi 01/06, il faut mettre en date de base le mercredi 25/05 La date de base est «la date d intervention voulue la périodicité». Déclenchement : Oui : l OM est active, on peut générer des interventions sur ces équipements. Non : l OM est inactive, on ne peut pas générer des interventions sur ces équipements. Il est possible à notre guise de déclencher ou non des OM. Désactivée, une OM reste attachée à l équipement. Il est toujours possible par la suite de réactiver des OM en choisissant une nouvelle date de base etc. 28

29 Zone commentaire : Cette zone est consacrée à des commentaires. Il est possible de cocher où l on souhaite voir afficher le texte de la zone commentaire dans l intervention : Demande = dans la zone de texte «demande» dans l intervention ; C. Rendu = dans la zone de texte «compte rendu» dans l intervention. Fichier lié : Possibilité de lier un fichier qui sera dans les interventions préventives. Cette fonction m est très utile : à chaque OM est liée sa fiche opératoire précédemment créée (cf. p Les fiches opératoires). Gestion des exceptions : Si besoin, on peut gérer des exceptions pour le préventif. Ex : Une mensuelle sauf en Aout Autre ex : une mensuelle sauf quand l annuelle est prévue Dans notre cas, nous déclenchons toutes les interventions tous les jours sauf le samedi et le dimanche Visualisation du planning d OM et décalage éventuel des OM Cette étape permet d avoir un aperçu des OM déclenchées pour un équipement ou un ensemble d équipements. Elle est facultative mais très utile, notamment dans le cas où le déclenchement des OM se fait de façon massive. Sur le planning des OM, on peut visualiser les futures interventions qui en découleront, leurs dates et leurs charges. Ainsi une surcharge est facilement détectable. Il s agit alors de lisser la charge en décalant les OM. Ce décalage consiste simplement à modifier la date de base de quelques OM. Effectivement, si toutes les OM ont la même date de base, par exemple le 1 er juin, alors les interventions mensuelles seront toutes prévues le 1 er juillet, plus ou moins la tolérance, à savoir 5 jours (cas des OM mensuelles). Il faut donc étaler les OM (cf. Figure 18 p. 30) Validation du plan de maintenance préventive Cette étape de validation est en fait une étape de vérification. Elle peut être faite de façon unitaire en zoomant sur chaque OM puis en modifiant, ou bien en masse. En cochant le mode de déclenchement à «Oui» sur la mise à jour, on autorise au système le déclenchement de chacune des OM sélectionnées. Le plan de maintenance préventive est ainsi prêt à générer. 29

30 Figure 18 - Visualisation du planning d OM pour les OM trimestrielles sur les cassettes de climatisation Cette image met en évidence le décalage des OM. J ai filtré les OM et listé uniquement les équipements appartenant à l équipement type «cassettes» du métier «climatisation». Cette fenêtre propose donc une visualisation des charges des interventions qui seront générées à partir de la liste d OM. On remarque alors que la répartition des charges sur le trimestre est correcte : les semaines plutôt surchargées, comme par exemple les semaines du 11/7 et du 1/8, sont soit précédées, soit suivies d une semaine moins chargée. La répartition de charge en fonction des disponibilités des techniciens se fait lors de l étape suivante : la gestion des interventions. 30

31 3.5 4 ème étape : Les interventions préventives OM préventives et interventions préventives Une fois les OM préventives créées, une étape consiste à générer des interventions préventives à partir des OM déclenchées. Ce sont ensuite ces interventions qu il faudra renseigner de l état d avancement de l opération : en attente, en cours, ou terminée. Le logiciel ne traite que des interventions, qu elles soient préventives (issues des OM) ou curatives (générées à partir des demandes d intervention suite à une panne). Opération de Maintenance préventive et intervention préventive sont bien deux objets différents au sens de CORIM, il convient de ne pas les confondre. La génération des Opérations de Maintenance préventives va engendrer la création d interventions mises au statut «à faire» Transformation d une OM préventive en intervention Parc des équipements Lot d interventions relatif à l OM25 Plomberie 6 juillet 6 août Surpresseurs Int n 45 *OM25 Int n 56 *OM25 Surpresseurs RIA *OM25 Mensuelle 45 min Date de base : 6 juin Plan de préventif : lot d OM Figure 19 - Principe de transformation d une OM en intervention 31

32 Une fonction de génération automatique du préventif est proposée par le logiciel mais cette solution n est pas utilisée à ce jour. Cette génération peut se faire manuellement à tout moment et permet de mieux gérer et comprendre l origine des interventions. Pour une génération manuelle, il faut fixer une date de butée (date jusqu à laquelle on autorise le système à générer des interventions). Seules les OM déclenchées (déclenchement : oui) génèreront des interventions préventives. Une fonction très utile permet de mettre à jour massivement toutes les OM d un équipement type ou appartenant à une localisation précise et de les déclencher. On peut alors organiser la maintenance et gérer les interventions par bâtiment, par équipement, ou encore par intervenant. Figure 20 - Fenêtre de génération des Interventions Préventives On peut voir un code affiché dans le champ «Equipement», correspondant à l équipement chauffage. Le choix de l horizon de génération, ici 04/07/2012, est la date butoir jusqu à laquelle le système scrute notre plan de préventif et génère des interventions Liste d interventions L ensemble des interventions générées sont ensuite listées dans la liste d interventions. Celle-ci traduit le planning sous forme de liste. Grâce aux filtres et à la fonction de recherche multicritère, on peut afficher dans cette liste les interventions qui nous intéressent. Par exemple, celles affectées aux techniciens de maintenance du SIH de Mangot-Vulcin uniquement et/ou celles prévues dans les deux prochaines semaines et ainsi de suite. 32

33 3.6 5 ème étape : Les intervenants et calendrier de disponibilités Choix des intervenants Les acteurs permanant de la maintenance sur le site de l hôpital de Mangot-Vulcin sont au nombre de trois, désignés parmi les sept techniciens de maintenance susceptibles d intervenir sur le site. Les problèmes d indisponibilité et de surcharge de travail pourront alors être gérés grâce à une visualisation de l ensemble des techniciens à disposition. L affectation des tâches de maintenance aux techniciens peut se faire soit lors de la création des OM (cf. p Création des OM préventives), soit dans les interventions directement. La solution la moins contraignante est de choisir le technicien dans les OM. Cela permet de s affranchir de l étape du choix du technicien dans les interventions. Le planning se génère alors automatiquement Calendrier de disponibilité On précise la disponibilité pour le travail sur chaque journée. Les heures de travail sont les suivantes : - lundi, mardi, jeudi : 7h30-12h30 et 13h30-16h30 - mercredi : 7h30-13h30 - vendredi 7h30-12h30 La légende des couleurs : Ce paramètre permet de choisir les couleurs que l on souhaite voir apparaitre à l écran pour matérialiser les différentes actions réalisées par les intervenants : disponibilité, surcharge de travail, RTT, congés payés Figure 21 - Détail du calendrier SIH (calendrier spécial pour l hôpital de Mangot-Vulcin) 33

34 3.7 6 ème étape : Le planning préventif Mises au point Création des jours fériés : On crée les jours fériés à l aide de la création automatique. Celle-ci ne génère que les jours fériés de France métropolitaine, auxquels il faut ajouter les jours fériés de Martinique et ceux spécifiques à l entreprise. Affectation du calendrier de disponibilité aux intervenants : Le calendrier SIH (visible sur un des boutons de la barre d outils en haut) doit être appliqué à chacun des intervenants. Les jours où l intervenant est disponible apparaissent en vert. En gris, les jours fériés et en banc, les week-ends. Plage de visualisation du planning Dans les options, il est possible de choisir la plage de visualisation du planning. En choisissant 7h à 17h, on englobe les horaires de travail des techniciens. Définition des actions planning Les actions planning correspondent à des interventions (de type formation, congés payés etc.) qui définissent une indisponibilité du technicien, contrairement aux calendriers de disponibilité qui ne constituent pas un pointage d heures. (cf. Figure 21 p. 33 sur la fenêtre de droite «Sélection de la légende de couleur» ou apparaissent les actions planning) Lien entre liste d interventions et planning La liste d interventions est directement liée au planning : les interventions planifiées sont répertoriées dans cette liste. Une modification dans le planning entraine la modification dans la liste et réciproquement. 34

35 3.7.3 Planning (classique) Figure 22 - Fenêtre de visualisation du planning Le planning est un des résultats principaux de la GMAO. Il n est qu une représentation graphique des interventions prévues. Il permet de visualiser la répartition actuelle de la charge de travail déjà planifiée et la disponibilité des intervenants. Il existe deux fenêtres de visualisation du planning : le planning classique et le planning graphique. A gauche apparaissent les intervenants maintenance susceptibles d être affectés à une charge de travail. Sur la fenêtre ci-dessus, seule les techniciens SIH sont à l écran (application d un filtre). Les couleurs choisies dans la légende des couleurs sont les suivantes : - en vert, la disponibilité des intervenants ; - en rouge ressortent les jours où la charge dépasse le temps de présence de l intervenant. Dans l exemple ci-dessus, le technicien BRAY Jean Fred a une charge de travail planifiée de 6 heures le 25 juillet Il est alors possible de visualiser la ou les interventions correspondantes à ce chiffre. En plaçant le curseur sur la cellule, apparait la liste des interventions. Ce lundi, le ce technicien effectuera les opérations de maintenance bimestrielles sur les groupes de production d eau glacée, ainsi que l opération trimestrielle sur un groupe de cassettes de climatisation. 35

36 3.7.4 Planning graphique Figure 23 - Fenêtre de visualisation du planning graphique Le planning graphique est une visualisation détaillée du planning classique. Il propose des affichages par semaine ou même par jour, la précision maximale étant le quart d heure. Sur ce planning, il est possible de sélectionner les interventions et de les faire glisser sur un autre intervenant par exemple ou sur un autre jour. Cette interface sert à simplifier les modifications de planification. En passant la souris sur les interventions, on obtient un affichage détaillé : le site en question (Maintenance SIH) et le dernier niveau du parc des machines (ici l équipement VEN (Z06/ET3 (x10) pour désigner dix ventilateurs qui se trouvent en zone 06 à l étage 3). 36

37 3.7.5 Replanification Les jours pour lesquels les cellules sont en rouge sur le planning classique, nécessitent une replanification. En l occurrence, il s agit de lisser la charge sur plusieurs jours. Une grande déception fut de constater que cette replanification n est pas automatique. Dès lors qu un intervenant est surchargé, il faut répartir la charge manuellement. Les différentes manières d effectuer cette opération permettent de le faire plus ou moins facilement, mais c est là une étape qui, à mon sens, devrait s effectuer de façon automatique. Sur le planning classique : Figure 24 - Outil de replanification sur le planning classique L intervention, prévue par exemple ici en fin de journée, concerne les armoires de climatisation. On peut se poser la question de la pertinence du découpage d une telle intervention : le technicien n a pas intérêt à intervenir sur l équipement plusieurs fois (sous entendu, arrêt du système...). En fait, il ne s agit pas d une intervention de 4h30 sur une seule armoire mais de 45 min sur chacune des armoires. Ayant réalisé la GMAO, je connais la façon dont ont été créés et regroupés les équipements. C est pourquoi, à chaque fois qu un groupement d équipements à été fait, il est possible de voir, en commentaire, la liste des équipements unitaires qui le composent. La création du planning suppose donc une certaine vigilance, pour éviter des aberrations de planification qui rendront finalement l outil inexploitable. Il n est donc pas dénué de sens de replanifier cette intervention, par exemple en deux interventions, une de 1h30 et l autre de 3h00, pour des raisons de contraintes d exploitation de l installation. Sur le planning graphique Figure 25 - Outil de replanification sur le planning graphique Sur la ligne du technicien TOUSSAINT David, on voit une intervention qui s intitule Maintenance SIH / Trimestrielle cassettes sur un fond rouge : il y a surcharge. La règle de planification à durée automatique (cochée sur l image ci-dessus), permet de répartir la charge en fonction du temps disponible par jour et par intervenant. 37

38 3.8 Maintenance curative : les demandes d intervention (DI) Les éléments présentés jusqu à présent ne permettent de traiter que la maintenance préventive. Le module DI (Demande d Intervention) sert à planifier des interventions correctives, dans le cas de pannes ou de demande de travaux. Son rôle est d émettre et de stocker les demandes, avant de les injecter réellement dans CORIM pour traitement. Un dialogue informatique s installe entre le service maintenance de l entreprise et le client (cf. Figure 26 ci-dessous). Le client possède sa propre icône DI et peut alors s identifier en tant que demandeur, pour effectuer des demandes d intervention. Jusqu à aujourd hui, l entreprise TUNZINI Antilles utilise cette fonction partiellement. Les clients émettent leurs demandes par téléphone, en appelant l entreprise. C est la réceptionniste qui entre les DI dans CORIM. Les responsables du service maintenance traitent alors les DI directement sur le logiciel. Service «Client» Service Maintenance DI n 14 DI n 15 DI n 16 Module DI Corim I I I n 321 I n 378 n 349 n 352 Emission de la demande de travaux Validation des travaux Consultation du stade de réalisation Réception des travaux réalisés Réception de la demande Prise en charge / refus Affectation / planification des travaux Réalisation des travaux Compte rendu DI : Demande d Intervention client pour la maintenance I : Intervention maintenance Figure 26 - Concept du module DI 38

39 3.9 Organisation et exploitation de la GMAO Organisation Un chef de site est affilié à la gestion de ce contrat, pour un peu plus d un tiers de son temps de travail (600 h par an). L idée est que cette personne répartisse ce temps dans la semaine, de manière à gérer au mieux l organisation de la maintenance. Cela représente 2h30 par jour, ou bien 2 jours par semaine. La solution que je propose est la suivante (en accord avec l entreprise) : Une gestion de la maintenance par semaine me semble être une bonne première approche. Le technicien d affaires du site est présent sur site la journée du vendredi, afin de préparer l organisation de la maintenance de la semaine suivante et de faire le bilan de la semaine en cours. Grâce au logiciel CORIM, il visualise le planning de la semaine, ainsi que toutes les interventions de maintenance prévues. Mis à part les interventions de maintenance préventives générées à partir des OM préventives, la liste d interventions contient également les interventions planifiées manuellement, suite aux demandes d intervention. Une visualisation restreinte des interventions prévues durant la semaine uniquement est possible grâce au filtre proposé par le logiciel. Il s agit alors d imprimer chaque note d intervention et de la compléter par les différents fichiers liés aux OM (Fiches Opératoires, classeurs Excel de récapitulation du matériel ). Le lundi matin, le chef de site distribue ces documents aux techniciens de maintenance. Ils peuvent alors prévoir leur propre organisation, se distribuer les tâches etc. Le chef de site donne les consignes particulières. On peut imaginer que certaines opérations soient difficiles à réaliser seul, ce paramètre n est pas pris en compte dans la GMAO et la gestion des interventions. C est donc un aspect à gérer indépendamment de la GMAO. Une telle procédure permettrait par exemple à deux techniciens de prévoir ensemble une aide mutuelle sur les opérations délicates. A terme, il serait intéressant d ajouter ce paramètre à la GMAO, en précisant, en commentaire des OM, les tâches qui nécessitent d être à plusieurs. Le plan de maintenance préventive, à savoir l ensemble des OM des équipements, est amené à subir des modifications, surtout durant les premiers mois d utilisation de la GMAO. Des modifications de charge horaire par exemple, ou sur la fiche opératoire. Or les interventions déjà générées ne prennent pas en compte les modifications sur les OM. Dans un premier temps, j avais généré sur la durée totale du contrat (un an), mais cela rendait impossible toute amélioration. C est pourquoi il est judicieux de générer au fur et à mesure. J ai fixé une période de génération de un mois. 39

40 3.9.2 Fiche opératoire et note d intervention La fiche opératoire de l équipement : La fiche opératoire liée à l OM de l équipement peut être imprimée via la fenêtre de l intervention. Une fois l opération effectuée, c est ce document qui devra être signé par les services techniques du site. La note d intervention sur l équipement : La note d intervention contient les éléments de base de l intervention : la date, l horaire, la charge, le nom de l équipement, le nom de l OM, les commentaires des OM Elle est distribuée en complément de la fiche opératoire. Figure 27 - la fiche opératoire et la note d intervention dans la GMAO, imprimable depuis la fenêtre d intervention 40

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