UM1 3 questions rédactionnelles (3 enseignants ) de 20 minutes chacune 20 points par question (module sur 60 pts) - note éliminatoire 8/20 UM1

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "UM1 3 questions rédactionnelles (3 enseignants ) de 20 minutes chacune 20 points par question (module sur 60 pts) - note éliminatoire 8/20 UM1"

Transcription

1 2 cas cliniques - questions annales mt.piva@univ-monpt1.fr décembre mt-piva@chu-montpellier.fr 2010 PCEM2 MODULE DE PROPEDEUTIQUE : Corrections Travaux dirigés Séméiologie biologique : Le texte des questions est dans le document papier distribué en TD NOVEMBRE Dr MT Piva Fin du 1er quadrimestre ( 26 U janvier F R de Médecine sept. - Montpellier 2011) 3 questions rédactionnelles (3 enseignants ) de 20 minutes chacune 20 points par question (module sur 60 pts) - note éliminatoire 8/20 sémiologie biologique 1 - protéines sérique et méthodes d exploration V de sédimentation Protides totaux Electrophorèse Les principaux syndromes 2 - les enzymes sériques 3 - le métabolisme de la bilirubine et les ictères 4 - le métabolisme du fer et des protéines : trans. et ferritine l épreuve de S.biologique comportera une ou plusieurs questions 1. faire une question structurée en suivant un plan avec (introduction et conclusion) et en essayant de rédiger le texte (éviter les flèches, SMS..) 2. faire valoir vos connaissances sans sortir du cadre du sujet et en faisant apparaître les «mots clé» 3. décembre écrire le 2010 plus lisiblement possible avec texte aéré et marge Cas clinique n 1 : Cas cliniques Quelle orientation pathologique peut-on évoquer? ictère Hépatites aiguës TGO (ASAT) 700 U.I./l TGP (ALAT) = U.I./l PAL = 90 U.I./l (N = ) Il s'agit d'une hépatite virale aiguë et pourtant la bilirubinémie totale est de 10 µmol/l (N < 17 µmol/l). Indiquer les raisons pouvant expliquer l'absence d'ictère. incubation bilirubine Phase pré ictérique (1 à 2 semaines) Incubation des hépatites A: 16 à 40 jours B: 40 à 160 j C : 40 à 90j N semaines L ictère généralement suit, mais certaines hépatites sont anictèriques Seuls signes : l asthénie et arthralgies et le dégoût des produits gras avec l augmentation des transaminases Cas clinique n 2 : TP = 65% = facteurs de la coagulation N = 100% Insuffisance hépatique Alat = 640UI/l (N-5-55), Asat = 350 UI/l (N-5-40) ALAT >ASAT cytolyse hépatique hépatite aiguê Pal élevée 200 UI, BT = 156; BC = 120 BC/BT = 77% Hépatite aiguë avec cholestase et ictère à BC Vérifier GGt; 5 N; Marqueurs viraux Hep A, B, C, E. Hépatite aiguë, virale, médicamenteuse, toxique : solvants, champignons, médicaments,,, Lithiase biliaire, (K pancréas V.,) (Imagerie) Cas clinique n 3 : N : mm/l CS de la transferrine 10% et la N = % Ferritine < à 10 mol/l. 1- Quel diagnostic peut-on évoquer? N : mmol/l 2 -Quels autres examens auraient dû être faits? 1- Carence en fer : anémie carentielle qui conduit : anémie microcytaire et hypochrome = anémie sidéropénique 2 - NFS TRF: N : 2 4 g/l 1

2 Carence infraclinique Carence installée Anémie carentielle Ferritine N à TRF ou N à ± C.T.F Fer N N à sérique C.S. N ou ± Hb (NFS) N N à V.G.M. (NFS) N N microcytose TGMH (NFS) N Cas clinique n 4 : protéinurie + œdème = protéinurie du syndrome néphrotique - vérifier hypoalbuminémie et électrophorèse - explorer fonction rénale (et cardiaque!) Cas clinique n 5: VS et PT élevées Alb basse Gammapathies : Khaler ou waldenström ou autre Immunoélectrophorèse ou IFE -pr. De Bence Jones -Formule sanguine ( la lignée blanche) : plasmocytes ou lymphocytes Cas cliniques n 6 *CPK totales : 540 UI/l (Normale < 120) *LDH : 220 UI/l (Normale < 320) *ASAT : 25 UI/l (Normale < 40) Quelles conclusions en tirezvous? que faites- vous? CPK élevées. l effort physique du matin explique certainement cette valeur, mais douleurs thoraciques pourraient impliquer des pb cardiaques idm? Vous n êtes pas satisfaits, vous demandez au biologiste de rajouter les CKMB. Moins d 1 d heure plus tard, le laboratoire vous rend : *myoglobine : 336 µg/l) (Normale < 90µg/l *troponine Ic: < 0,1 ng/ml (Normale < 35µg/l) êtes vous rassuré? Conclusion : l effort physique explique la myoglobine élevée, la troponine Ic est normale. Le patient va mieux, vous lui refaites une prise de sang pour doser à nouveau la troponine, que votre laboratoire vous rend à nouveau < 0,1 ng/ml. Très rassuré Vous administrez un sédatif à votre patient et vous recommandez du repos. cas clinique n 7 : Après un examen clinique complet, les analyses sont les suivantes : *CPK totales : 180 UI/l(Normale < 120)? *myoglobine : 15 µg/l (N < 90µg/l) *troponine : < 0,1 ng/ml N< 35µg/l Élimination de l IDM Lipides = athérome? Angor et gène respiratoire Obstruction vasculaire? IDM? Douleur mollet Risque Phlébite et Embolie pulmonaire? Par mesure de prudence, vous demandez un D-Dimères sur le bilan : *D-Dimères : 250 ng/ml (N < 500µg/l) êtes vous rassuré? Justifiez votre réponse Conclusion : En moins de 2 heures, vous avez ainsi pu éliminer un IDM et une embolie pulmonaire sur phlébite du membre inférieur, pour rapporter les douleurs musculaires et les CPK élevées aux effets secondaires probables des statines D Dimères Produit de dégradation spécifique de la fibrine, qui est une protéine insoluble entrant dans la constitution de la majeure partie du caillot sanguin et provenant de la scission du fibrinogène sous l'action de la thrombine au cours de la coagulation sanguine. Sa recherche est demandée quand on soupçonne la constitution d'une thrombose.( Présence d un caillot) Un test négatif, < à 500 microgrammes par litre, permet d'éliminer formellement une embolie pulmonaire et/ou une phlébite. cas clinique n 8 : Suspicion d IDM cas clinique n 9 Sy. Néphrotique ou Insuffisance. rénale Mais 1 h avant! enzymes peu évoluées Surveillance dans les heures qui suivent de My et troponine pour mise en place d un traitement rapide Quel signe biologique peut confirmer votre diagnostic? Recherche de Prot. dans les urines : alb, trf, IgG électrophorèse urinaire Quelles sont les principales protéines en cause? Les petites protéines Alb, palb, oro, trf, a1- aat, IgG 2

3 cas clinique n 10 Rep B clinique n 11 ASAT = 950 ; ALat = 2600, ; BT= 55 mol/l BC? Pal = 420 UI/L ggt = 325 UI/L ; C et E sont des troubles de l excrétion biliaire Cytolyse aigüe cholestase Hépatite virale ou médicamenteuse ou toxique Recherche des marqueurs viraux d hépatite et interrogatoire Lithiase? -Cas clinique n 12 1) Quelle est la cause de l ictère? et quel est son mécanisme biochimique? C est un ictère à bilirubine libre L incompatibilité rhésus pour cette première grossesse doit être écarté au profit de l ictère physiologique du nouveau né en raison de : - l apparition tardive de l ictère (48h) - L absence d accouchement antérieur - Le test de coombs est négatif (pas d anticorps anti prot. D) Le mécanisme biochimique est l immaturité transitoire du foie avec déficit transitoire de glucuroconjugaison : formation intense de BL 2) - L incompatibilité rhésus foeto - maternelle - La bilirubinémie : BNC doit être surveillée et ne doit pas dépasser 3) l élévation de 20 mol/l toutes les 6 h. Il est utile qu elle reste < à 110 mol/l 4) - l ictère nucléaire du à l envahissement du système nerveux, des noyaux gris centraux, de l hyppocampe et du cervelet par la BL = BNC liposoluble très toxique. Risques de séquelles neurologiques permanentes sur le plan moteur, sensoriel et intellectuels. mort - Si bili > à 300 mol/l on peut prévoir l exanguino-transfusion (risques!!) cas clinique n 13 Un enfant de 8 ans présente les examens de laboratoire suivants : N Protides totaux : 40 G/L 75G/L Protéinogramme : Albumines : 48% 60% cas clinique n 14 Pal 890 UI/L douleurs osseuses Isoenzyme osseuse Métastases osseuses du K sein malgré la chimiothérapie a -1 globulines = 2 % a - 2 globulines = 19 % b - globulines = 20 % g - globulines = 11% 1)- Commentez ces résultats : noter les aug. ou dim. par rapport aux N! 2)- Quelle étiologie pouvez- vous envisager? 1.3-3% 7-11% 8-13% 9-16% La recherche de protéines dans les urines est positive = à 10 G/L/24 h Fuite des petites protéines au travers du glomérule rénal. Ces protéines se retrouvent dans les urines (dosage des PT et électrophorèse) décembre Insuffisance 2010rénale ou syndrome néphrotique pur : fréquent chez MTl enfant Piva cas clinique n 15 ggt peu augmentée à 110 UI/l. (5 80) Ne constitue pas un diagnostic d alcoolisme chronique mais peut résulter de la prise médicamenteuse traitant l épilepsie, «phénytoine et phénobarbital» Les Pal sont à 515 UI/l (N = ) Normal pour un jeune de 16 ans qui poursuit sa croissance Ne peut être considéré comme une maladie hépatique ou osseuse l abus d alcool et alcoolisme chronique peut s évaluer par le dosage combiné des 3 paramètres : CDT et VGM et ggt décembre Le traitement 2010 médicamenteux est à réévaluer Drogues?? cas clinique n 16 BC/BT =260/300 = 86% : ictère à BC Transa N ; pas de cytolyse Pal 820 = cholestase (ggt et 5 N??) Fibrinogène = N pas d insuffisance hépatique Ictère à BC par obstruction : calculs (douleurs) ou K de la tête du pancréas, imagerie (scan ou IRM!) cas cliniques n 18 Fortes augmentations de CK et LDH / aux transaminases tissus musculaires Vérifier la My et Troponine pour le tissu cardiaque car Asat = 155 UI/l Et l Haptoglobine pour hémolyse Chute probable avec atteinte musculaires (myosites.) Surveillance! cas clinique n 17 Les enz. Transa. témoignent d une légère cytolyse, la ggt et le VGM soulignent l intoxication alcoolique L augmentation des Ig et surtout de l IgA corroborent la cirrhose d origine alcool. L Oro et L HPT montrent un processus inflammatoire, confirmé par la baisse de l albumine et de la transferrine. Cependant la tranferrine est beaucoup plus abaissée que l albumine. Cette forte baisse de la transferrine / l alb. ainsi que le Sy. inflammatoire laissent supposer une surcharge en fer ou hémochromatose. Il faut demander la ferritine pour conforter le diagnostic et si elle est élevée Appliquer le traitement : saignées ou chélateurs du fer (déféroxamine) 3

4 1) ferritine Ne jamais oublier les méca. contradictoires! Cas sidérémie CTF : CS TRF D N : mm/l N : mmol/l N = % N : 2 4 g/l A % 3.44 B % 2.08 D % ) cas cliniques n 19 CTF= [TRF] x 25 = [TRF] /80000 x 2 x 10 6 =. Mol/L CS = [fer]/ctf x 100 N = % C % 1.6 D : trf basse, CTF basse, CS = N [TRF] = CTF/25 carence normal surcharge Insuffisance hépatique ou déficit génétique? anémie, Inflammation +??????? Cas clinique n 20 : 1) Quel diagnostic évoquez-vous en priorité? Il s agit d une pathologie biliaire de la vésicule : Terrain : femme de 62 ans Clinique : douleur de l hypochondre droit avec nausées puis et abdomen indolore ou aussi de la voie biliaire principale car : - cytolyse modérée - élévation modérée des phosphatases alcalines, gamma GT à 10 fois la normale Rétention biliaire en faveur d une lithiase de la voie biliaire principale Donc : colique hépatique avec migration lithiasique de la vésicule vers la voie biliaire principale explorations complémentaires à demander? En 1ère intention car non invasives: - échographie abdominale trans cutanée : recherche une dilatation de la VBP IRM qui explore la morphologie de la VBP, recherche un calcul, une tumeur Cas clinique n 21 : Question 1 Monsieur G. a été contaminé par le virus C. 1 Quels ont été chez lui les possibles facteurs de risque de contamination? 2 Quels sont les autres facteurs de risque de contamination? 1- Administration de produits sanguins - à la suite de l accident de moto (culots globulaires) - à la suite des brûlures (apport plasma) - risque nosocomial (2 séjours hospitaliers) 2- Autres facteurs de risque à rechercher - usage de drogues I.V. ou nasale - tatouages faits dans des conditions d hygiène douteuse - risque sexuel faible Question 2 - Evaluer sa consommation alcoolique quotidienne (fourchette basse et haute) et interprétez la selon la norme autorisée chez l homme. Que conseillez-vous sur ce point? Remarque: - 80 kg pour 1,60 m : IMC=P/T 2 = : obésité - fourchette basse 2 verres de vin par repas + 1 bière : 50 g d alcool par jour - fourchette haute : 3 verres de vin par repas + 2 bières + 1 apéritif : 90 g d alcool par jour -buveur excessif : dépasse dans tous cas les 30 g/jour «autorisés» - idéal pour lui niveau 0 du fait des facteurs associés (obésité et suspicion d hépatite C) Question 3 Comment interprétez-vous les anomalies biologiques? absence d anémie - VGM 101 et Gamma GT augmentées : éthylisme chronique Phosphatases alcalines augmentées et GammaGT augmentées : cholestase - - cytolyse prédominant sur les ALAT, n évoque pas une hépatopathie chronique d origine alcoolique, donc plutôt d origine virale - TP bas, protides et albuminémie basse : insuffisance hépatocellulaire - CRP un peu élevée : syndrome inflammatoire - l absence d anémie associée à la cholestase peuvent faire évoquer un carcinome hépatocellulaire. Question 4 Quelles sont vos hypothèses diagnostiques et sur quels arguments? - Cirrhose : - clinique : foie à bord inférieur dur et tranchant - - biologie : insuffisance hépatocellulaire - alcoolique s il n y a plus d activité virale - mixte : alcoolique et post-virale C, s il existe des signes de replication virale. La cytolyse évoque une hépathopatie chronique plutôt virale. Rôle délétère de l association alcool + virus hépatotoxique + obésité. - cholestase - discret syndrome inflammatoire 4

5 Question 5 A ce stade, quels sont les examens complémentaires qui semblent utiles? Biologiques : -rechercher des signes de replication virale C PCR qualitative et quantitative - rechercher d autres virus : Ag HBs, Ac anti HBc et si nécessaire DNA viral, -VIH (avec son consentement) - alpha foeto protéine (suspicion d hépatocarcinome) Morphologiques imagerie : Echographie en première intention, à compléter par tomodensitométrie et en cas de doute par une IRM. Question 1 Questions d'examen : - a) Intérêt séméiologique des transaminases? cf cours - b) Un enfant de 10 ans présente les examens de laboratoire suivants : Protides totaux 41 G/L (Normes G/L) Albumines 45% (Normes %) Alpha - 1 globulines 3% (Normes 1,4-2,9 %) Alpha - 2 globulines 21% (Normes 7-11 %) Béta - globulines 20% (Normes 8-13 %) Gamma - globulines 11% (Normes 9-16 %) La protéinurie est positive à 9 G/L. Commentez ces résultats. Quelle étiologie pouvez - envisager? Cf. cas clinique 13 Question 2 a) Origine et séméiologie biologique des ictères à déficit en glucuronyl transférase b) L'interrogatoire et l'examen clinique d'un malade vous fait suspecter un infarctus du myocarde, quels examens biologiques demanderez -vous pour confirmer ou infirmer votre diagnostic? En quelques mots justifiez votre réponse. a) Introduction, origine de la bilirubine normale Gilbert, déficit partiel Criegler Najjar, déficit total NN ic.physiologique. Déficit transitoire Détails cf cours b) Myoglobine et troponine Ic, ckmb, transa TGO (asat) et LDH1 Schema cinétique enzymatique, détails cf cours GR 120j BNC Filtration rénale 1% Urobilines décembre Coloration 2010 urine Métabolisme de la bilirubine VHs BNC Conjugaison 20% Cycle entéro-hépatique 5% Captation Excrétion Flore intestinale 80% BC (bile) Stercobilinogènes urobilinogènes E.Pré hépatique E. intra hépatique E.Post hépatique 75% Stercobilines (coloration selles) Transport de la bilirubine dans l hépatocyte sang hépatocyte Bile BNC CHO R CH 2 OH glucose RE Microsomes Glucuronyl transférase ligandine Canalicule biliaire CHO COOH BC Ac.glucuronique Question : 3 a) Intérêt séméiologique de la gamma - glutamyl - transpeptidase (ggt). b) Un sujet âgé de 75 ans anémié est hospitalisé avec atteinte de l'état général. Les premiers examens de laboratoire prescrits sont les suivants : VS : 60 à la première heure, Protides totaux 98 G/L (Normes G/L) Albumines 30 G/L (Normes 34-49G/L) Quels sont les diagnostics que l'on peut évoquer? a) cf cours ggt b) Cf cas clinique 5 Question : 4 Quelles sont les principales enzymes ou protéines ayant un intérêt séméiologique dans l'exploration cardiaque et cardio-vasculaire? cf cours : transaminases, LDH, créatine kinase Myoglobine, troponine, BNP, D-Dimères, haptoglobine 5

6 My : 6h Troponine Ic Myo Troponine Ic CK et CKMB, TGO LDH et a HBDH Question : 5 a) Quelles sont les principales enzymes et protéines ayant un intérêt séméiologique dans l'exploration hépatique? cf cours : Transaminases, pal, ggt, aldolase, LDH Alb, fibrinogène Ck MB LDH1 TRo. Ic Sp. cardiaques Question : 6 Quelles sont les principales enzymes ou protéines ayant un intérêt séméiologique dans l'exploration du métabolisme du fer? Représentation graphique de l évolution des enzymes au cours de l infarctus Myo, Trop. Ic, CK-MB sont importantes pour la précocité du diagnostic Les autres ez. permettent le suivi et la détermination de la guérison La diffusion plus ou moins rapide est fonction de leur masse moléculaire Les activités apparaissent, passent par un max et disparaissent dans décembre le même ordre 2010 Quelles sont es principales anomalies de ce métabolisme et les conséquences sur les variations de ces protéines? cf cours sur FER : trf, ferritine, hepcidine, haptoglobine Fer et protéines : Fe = 56 Le Fer est sous forme ionisée Fe ++, actif pour le transport d oxygène dans l hématopoïèse (Hb), dans la myoglobine et dans la chaîne respiratoire (Enzymes) Hb : 65% 2500 mg My : 3.5% 150 mg Fer héminique Enzy : 0.5% 20 mg Ferritine 20% 800 mg Hémosidérine 10% 400 mg 3 à 5 gr Transferrine 0.1% 4 mg Fer non héminique hepcidine Hémopexine mg Lactoferrine Transferrine (sérique c =3gr/l) L'hepcidine Agit comme un Ferritine H =300ug/L ; F = 150ug/L frein au transport de fer (tissulaire MO rate foie) 1M transporte 2 atomes de fer 1M stocke 4500 atomes de fer - carence en fer - surcharge en fer - imprégnation oestrogénique - inflammation naturelle ou induite - cancer, lyse cellulaire - surcharge en fer décembre - inflammation, 2010 Ins.hépatique - carence en fer - dénutrition, fuites rénales et digestives Question 7 a) Quelles sont les principales enzymes et protéines ayant un intérêt séméiologique dans l'exploration pancréatique? cf cours : lipase, amylase, bilirubine, alb Question 8 a) Quelles sont les principales enzymes et protéines ayant un intérêt séméiologique dans l insuffisance hépatique? cf cours : Transaminases, pal, ggt, aldolase, LDH Alb, fibrinogène Question 9 a) Quelles sont les principales enzymes et protéines, métabolites ayant un intérêt séméiologique dans l exploration musculaire? cf cours : transaminases, LDH, créatine kinase, aldolase Myoglobine, D-Dimères, haptoglobine 6

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

F.C.O.P. Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE. (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET

F.C.O.P. Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE. (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET Formation Continue des Ostéopathes Professionnels BILAN BIOLOGIQUE ET BIOCHIMIQUE (examens de laboratoire) Dr Rodrigue PIGNEL Alain BEDOUET Février 2008 Les examens de laboratoires sont multiples et souvent

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux

Plus en détail

LES HEPATITES VIRALES

LES HEPATITES VIRALES LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE

TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France

Plus en détail

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie

Plus en détail

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,

Plus en détail

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

Christian TREPO, MD, PhD

Christian TREPO, MD, PhD PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013 Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie

Plus en détail

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Anémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

Anémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Anémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. - Argumenter Introduction - Les anémies par carence martiale

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici

Bonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général

Plus en détail

E04a - Héparines de bas poids moléculaire

E04a - Héparines de bas poids moléculaire E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique

Plus en détail

Sysmex Educational Enhancement & Development

Sysmex Educational Enhancement & Development Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005)

Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Cirrhoses et étiologie des cirrhoses (228) Professeur Jean-Pierre ZARSKI Avril 2003 (Mise à jour Mars 2005) Clinique : o Diagnostic d'une ascite PCEM2 o Insuffisance hépatocellulaire PCEM2

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.

Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24. 1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Les hépatites virales chroniques B et C

Les hépatites virales chroniques B et C Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé

Plus en détail

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur

Plus en détail

Hépatite B. Risques, prévention et traitement. Prof. Dr méd. Stefan Zeuzem. European Liver Patients Association

Hépatite B. Risques, prévention et traitement. Prof. Dr méd. Stefan Zeuzem. European Liver Patients Association Prof. Dr méd. Stefan Zeuzem Hépatite B Risques, prévention et traitement European Liver Patients Association F. De Renesselaan, 57 B - 3800 Sint-Truiden, Belgium email: contact@elpa-info.org Chère patiente,

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

La maladie de Berger Néphropathie à IgA

La maladie de Berger Néphropathie à IgA Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

L hépatite C. 50 questions et réponses. Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny

L hépatite C. 50 questions et réponses. Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny L hépatite C 50 questions et réponses Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny A qui s adresse cette brochure? Cette brochure est destinée aux personnes souffrant

Plus en détail

Maternité et activités sportives

Maternité et activités sportives Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?

Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an

PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an

Plus en détail

Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.

Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

L investigation chez la personne infectée par le VIH

L investigation chez la personne infectée par le VIH P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Déclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.

Déclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

Cours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008

Cours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008 Pharmacologie de la pathologie VIH : Les anti-rétroviraux Rôle infirmier dans la prise en charge du patient sous ARTV : éducation, prévention et gestion des effets secondaires Cours de Mme Ollivier Le

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

ORDONNANCE COLLECTIVE

ORDONNANCE COLLECTIVE ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,

Plus en détail

Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD

Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD J Boursier, A Guillet, S Michalak, Y Gallois, F Oberti, I Fouchard-Hubert,

Plus en détail

L anémie hémolytique auto-immune

L anémie hémolytique auto-immune L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à

Plus en détail

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion

Plus en détail

Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang

Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages

Plus en détail

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE

LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Résumé des Caractéristiques du Produit 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT PARONAL 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

Résumé des Caractéristiques du Produit 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT PARONAL 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Résumé des Caractéristiques du Produit 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT PARONAL 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Par fiole: L - asparaginase 10.000 U.I. Pour les excipients, cfr section 6.1. 3.

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Hépatite. du dépistage au traitement. Questions et réponses. L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients

Hépatite. du dépistage au traitement. Questions et réponses. L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients DOCUMENT À L USAGE DES PATIENTS Également disponible : L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients (document à l usage des professionnels de santé) Document édité et diffusé

Plus en détail

Point d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:

Point d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes: Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant

Plus en détail

Ville : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année

Ville : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau

Plus en détail

Augmentations des transaminases 1. Circonstances d'un premier dosage

Augmentations des transaminases 1. Circonstances d'un premier dosage e n P a t h o l o g i e Di ge st iv e Augmentations des transaminases 1. Circonstances d'un premier dosage PARCOURS Cet homme de 50 ans consulte pour une fatigue (1) durable et sans explication qui, à

Plus en détail

Vers une approche managériale des tarifs T2A

Vers une approche managériale des tarifs T2A Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT

Plus en détail

Marchés des groupes à affinités

Marchés des groupes à affinités Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime

Plus en détail

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

prise en charge médicale dans une unité de soins

prise en charge médicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach

Hépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail