Dix priorités pour faire de la démocratie une idée neuve
|
|
- Armand Lecours
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dix priorités pour faire de la démocratie une idée neuve Au mois de novembre dernier, la 86e Semaine sociale de France avait pris pour thème : La démocratie, une idée neuve. Pour tenter de comprendre le discrédit de notre démocratie représentative, à l heure même où le monde arabe semblait y aspirer. Les organisateurs de la session avaient souhaité que, sur ce thème de la démocratie, l on ne s en tienne pas à de savantes réflexions, à l analyse des tenants et aboutissants d une crise dont nous vérifions l ampleur et les conséquences dans le quotidien de nos vies, mais que les participants puissent expérimenter, au cours de ces journées, l acte même, éminemment citoyen, de la délibération démocratique. Un acte qui suppose, de la part de chacun : participation, prise de parole, capacité d écoute, accueil de la contradiction, recherche du compromis qui, par la prise en compte de l opinion minoritaire, soit susceptible de constituer la base d une action durable en vue du bien commun. Même si, au passage, ce compromis doit être - naturellement - payé du renoncement des uns et des autres à une partie de leurs souhaits. Etant sauves, par ailleurs, les convictions personnelles de chacun. Des propositions issues d un exercice de démocratie participative. Plus de deux cents groupes, composés à chaque fois de huit à dix personnes, ont accepté de "jouer le jeu", de travailler, deux heures durant, sur l un ou l autre des quinze thèmes proposés à leur délibération. Et de faire connaître leurs propositions. De cette expérience de démocratie participative, les Semaines sociales de France ont souhaité faire leur contribution citoyenne au débat de l élection présidentielle. Sans prétendre commenter les programmes des candidats qui, à l époque, ne nous étaient pas connus. Le présent document reprend les principales conclusions des groupes comme celles de Jérôme Vignon, président des Semaines sociales de France, au terme de ces trois journées d échanges et de débats. Elles sont illustrées du verbatim le plus significatif relevé dans les différentes contributions et le discours de clôture. Relever le défi de la crise par un renforcement des solidarités européennes et une réactivation de la démocratie locale. Quelques convictions fortes surgissent à la lecture des propositions formulées par les uns et les autres que les Semaines sociales de France, adressent aujourd hui aux candidats. La première est liée au poids du contexte de crise profonde dans lequel nous vivons. Un contexte qui rend encore plus injuste et insupportable le poids de la dette. Or, réduire la dette dépend aussi de la bonne santé de nos économies qui, elle-même, suppose de replacer l homme et la femme, au cœur de l entreprise, tout en essayant d articuler harmonieusement parcours de vie et parcours professionnels. La réduction de la dette n est pas possible sans une autre répartition, plus juste, des efforts des uns et des autres et l adoption d un mode de vie nouveau, plus sobre, plus écologique, accessible au plus grand nombre. Il y a là un vaste chantier que les participants aux Semaines sociales de France n imaginent pas pouvoir être mis en œuvre de manière pertinente, autrement qu à un niveau Européen. Par contraste, la seconde conviction est l importance déterminante accordée à la re-dynamisation de la démocratie locale, à la réhabilitation du dialogue dans la vie civile et dans la Cité, pour apporter des réponses concrètes aux questions du logement, de l éducation, de la santé, de la sécurité ou de l intégration des migrants. Pour relever ces multiples défis, les chrétiens estiment avoir toute leur place à tenir dans le débat politique, éthique, social et culturel, avec l ensemble des citoyens de ce pays, hommes et femmes de toutes traditions spirituelles ou philosophiques, sans revendiquer un quelconque privilège ni se résigner 1
2 à quelque forme d ostracisme. Mais cela suppose que la presse, les médias et les nouveaux réseaux sociaux soient les partenaires loyaux de ce vouloir vivre ensemble. 1 Pour réduire la dette : maîtriser les dépenses publiques sans malthusianisme et dynamiser les entreprises par la confiance. Sur le poids de la dette, il y a bien consensus pour affirmer : "Nous considérons inacceptable de laisser en héritage à nos enfants un problème d une telle ampleur". Ce qui implique tout à la fois de développer une pédagogie honnête sur l origine et les causes successives de la dette, et de mettre en place une forme de "règle d or" qui contiendrait la dépense sans pour autant sacrifier ceux des services publics qui répondent à des exigences fortes de cohésion sociale. "Réduire l endettement public ne doit pas signifier réduire la dépense publique là où elle est légitime, compte tenu des choix collectifs de biens publics". Pour autant, rien ne se fera sans une reprise de la croissance - fut-elle durable - et donc sans garantir le dynamisme et la pérennité de nos entreprises "dont le sens même et la finalité doivent être repensés, pour dépasser la simple notion de capital". Cela suppose que soit réhabilitée ce qui reste sa première richesse : les hommes et les femmes de l entreprise, associés autour d un projet. Ce qui implique : une réactivation du dialogue social entre syndicats et chefs d entreprises, une réforme du fonctionnement des instances représentatives, "une négociation des partenaires sociaux pour une réduction des inégalités de rémunérations aujourd hui marquées par la déraison", voire un meilleur partage des richesses produites entre salariés et détenteurs du capital. Cela ne se fera pas, non plus, sans prendre en compte la difficile articulation entre les exigences de l entreprise et les aspirations des personnes à individualiser leurs parcours professionnels. 2 Pour susciter l adhésion à l effort nécessaire : refonder notre fiscalité dans la transparence et l équité. Réduire la dette, assurer l avenir de nos entreprises sous-tendent la mise en œuvre d une réforme fiscale de grande ampleur, que certains n hésitent pas à qualifier de systémique. Le système fiscal doit être réformé, non pas pour punir les riches, mais parce qu il y va d une exigence de justice et de cohésion sociale. Comment demander à notre pays de consentir un effort majeur de vérité de ses comptes publics si chacun n est pas conduit à contribuer à la mesure de ses possibilités, en vue d un bien commun? C est pourquoi deux principes doivent guider les choix d une telle réforme globale : Celui de la progressivité des prélèvements qui conduit à remettre en cause l évolution contraire que l on observe depuis deux décennies. Celui de l incitation à faire un usage des patrimoines utile pour l accès de tous aux biens essentiels, particulièrement l emploi, le logement, la durabilité du cadre de vie et le logement. Sans préjuger des modalités précises de ces réformes, le premier de ces principes invite à considérer, par exemple, la fusion IRPP et CSG, dans le but de simplifier et de mieux assurer la progressivité de l impôt sur le revenu, d abaisser le plafond de bénéfice des niches fiscales. Le second conduira, par exemple, à réduire la part des prélèvements basés sur les salaires pour les limiter au financement des dépenses d assurance, les financements qui relèvent de la solidarité nationale relevant d autres assiettes, incluant TVA et fiscalité écologique, rétablir une égalité fiscale entre PME et grandes entreprises en régulant et réduisant l optimisation fiscale de ces dernières, réformer la fiscalité locale afin que les ressources collectées soient cohérentes avec les responsabilités décentralisées, encourager, par l impôt sur les patrimoines, leur mobilité et leur valorisation. Un sujet particulièrement ardu concerne le financement de la politique familiale, à laquelle nous sommes attachés. Les réformes envisagées ne doivent pas dissocier le sort du quotient familial de celui de l ensemble des prestations destinées aux familles, le but étant d assurer au total, par priorité, une réduction de la pauvreté des familles les moins favorisées et de leurs enfants. Tout programme responsable de réforme devait enfin se fixer l ambition d une plus grande convergence économique et fiscale de l Union Européenne, de nature à enrayer le "moins disant fiscal" comme le "moins disant social". 2
3 3 Pour permettre à tous les peuples à surmonter la crise : choisir de " vivre autrement ". Contenir la dépense, dynamiser l économie, augmenter raisonnablement les recettes fiscales dans l équité ne dispenseront pas de l ardente obligation de "vivre autrement" pour un développement durable. Il y va, pour nous, de la survie de la planète, de l avenir de nos enfants, de la possibilité offerte aux peuples du Sud d accéder légitimement au développement. Il y va aussi d une certaine conception de la dignité de l homme et, pour nous chrétiens, du respect de la Création. Rien ne se fera sans une éducation au développement durable, à tous les âges de la vie, pour lesquelles la famille, l école et les médias ont un rôle à jouer irremplaçable. Il convient : "De soutenir, voire de créer des lieux d échange, d information, de partage d expérience dans le domaine de la consommation quotidienne et responsable. Devant tout achat de bien durable se poser les questions : est-ce nécessaire, le renouvellement est-il indispensable, d où vient l objet convoité, combien de temps va-t-il durer?" Nos modes de consommation doivent devenir moins énergivores, ce qui implique "la définition d une politique énergétique commune au niveau européen..." dont, aujourd hui, nous sommes loin! 4 Pour renforcer les solidarités européennes : ancrer plus fortement l Europe dans notre vie démocratique nationale. Ce désir d Europe, cette exigence de "plus d Europe" doivent être reçus, à la fois, comme dépassement de nos échecs nationaux et comme "échelon pertinent de subsidiarité dans un contexte de mondialisation. Il touche naturellement à tous les domaines de l emploi, de la formation, de la cohésion sociale, de la mise en œuvre d une règle d or en matière de dépenses publiques, de convergence économique, d harmonisation fiscale ou de recherche d une autre forme de croissance. Mais il exige aujourd hui "des transformations institutionnelles, un renforcement de la coopération avec nos partenaires, un ancrage plus fort dans notre démocratie nationale" Cela pourrait passer par la nomination d "un ministre d Etat chargé de coordonner l ensemble de l action européenne de notre pays" pour qu aux yeux de l opinion ces politiques ne soient pas perçues comme des "politiques étrangères". Voilà bien des perspectives auxquelles s associaient les européens présents aux Semaines sociales de novembre dernier, en appelant de leurs vœux une "Europe, espace de respect de la diversité et de la dignité de tous, pour mieux vivre ensemble." Avant que ne s exprime, par ailleurs et plus largement, cette autre aspiration : "Mettre en place un mode de gouvernance mondiale qui prenne en compte le long terme et donne une plus large place aux pays émergents ainsi qu aux acteurs non-étatiques, en complète solidarité avec les peuples en développement". 5 Pour fonder les consensus qu exige l avenir : revitaliser notre démocratie locale. Quels que soient les rôles respectifs et légitimes de l Etat, des institutions européennes ou d instances mondiales, rien ne se fera sans une revitalisation, en parallèle, de notre démocratie locale. Il est urgent de permettre aux jeunes - et aux moins jeunes - de faire l apprentissage de la vie démocratique. C est "Une question de lieux (famille, école, entreprise, vie associative), d actions parmi lesquelles la rencontre de l autre et la capacité offerte à chacun de s exprimer sur ce qui le concerne, d attitude enfin par la reconnaissance de l utilité de chacun". Cette reconquête d une pratique démocratique suppose : "de donner la parole aux exclus dans la définition et la mise en œuvre des politiques qui les concernent", pour des raisons d efficacité tout autant que de dignité. De même : "Une société civile forte exige que dès le plus jeunes âge les jeunes soient éduqués à la citoyenneté par l écoute réciproque, le dialogue, la participation effective à la vie de la cité". Pour autant "il faut aussi des institutions pour que s incarne cette démocratie réelle". Des institutions à même, sur des sujets d avenir "d organiser le temps de l appropriation des questions, de la délibération et de la négociation permanente." Peut-être également en adoptant pour chaque grand chantier législatif "une étude d impact social, destinée à mesurer les effets de ces réformes sur les inégalités sociales, en s appuyant sur un travail d écoute des citoyens, y compris les plus vulnérables". 3
4 6 Pour résoudre localement les conflits inhérents à toute vie collective : redonner la culture et le goût du dialogue. Le dialogue, est également perçu comme étant la réponse la plus pertinente à la question de la sécurité. "Nous constatons une multiplication des incivilités qui sont à l origine d un sentiment d insécurité. Nous pensons qu un manque de dialogue, que la construction de barrières entre les individus et les groupes sociaux participent de cette situation. Y répondre implique donc, d abord, de rétablir et favoriser le dialogue". Dialogue encore pour dépasser, localement, les tensions liées à la présence de migrants. S il y a place pour une harmonisation des politiques migratoires à l échelon européen, c est peut-être au niveau local, voire intercommunal, que peuvent être élaborées et mises en œuvre avec la plus grande efficacité les réponses concrètes aux questions que sont pour les migrants, comme pour l ensemble des citoyens : l accès à l emploi, à l éducation et à la santé, mais également l incitation à la mixité sociale à travers le logement et les transports. "Au niveau des moyens il parait important de travailler concrètement et collectivement sur le terrain, à des démarches d accueil et de partage, de réalisations multiculturelles, sans oublier de peser en même temps sur la sensibilisation du corps social et de nos représentants politiques, pour une véritable inflexion des décisions politiques". De même : "Dans les agglomérations où les situations de ségrégation sociale et culturelle sont très aiguës, particulièrement du fait des migrations, des contrats d intégration et de cohésion sociale devraient être mis en place à l échelle de la communauté d agglomération, pour assurer la solidarité entre les communes". 7 Pour offrir à chaque famille les moyens de son autonomie et de sa responsabilité : déclarer le logement "grande cause nationale". Quatre domaines semblent toucher, plus que d autres, à la vie quotidienne de chacun : le logement, la santé, l éducation, l emploi. La question du logement est aujourd hui centrale. C est de la possession d un "toit" que dépendent, en effet, la possibilité de subvenir pour soi-même et sa famille, aux autres besoins essentiels : emploi, santé, éducation, vie sociale. Or l accès au logement est un "droit" opposable. C est dire qu il justifie une "mobilisation démocratique continue" d autant plus urgente qu il s agit là d une question de dignité. "L absence de logement dégrade les personnes et représente un coût important pour la société. Il existe quantité de logements vacants. Il faut développer les formes de médiation avec les propriétaires pour les convaincre de mettre fin à ce scandale. C est au plan local qu il faut traiter ces questions. Mais il reste de la responsabilité de chaque citoyen d interpeller sur ce point tous les candidats qui sollicitent leurs votes. Ne serait-ce que pour obtenir, en préalable à toute réforme, une application sans faille de la loi SRU". Concernant la santé, priorité doit être donnée à la préservation du libre accès aux soins, notamment pour les plus modestes. Mais il faut être conscients que la préservation du système français, souvent perçu comme le meilleur au monde, suppose une "éducation à la santé, dès l enfance, à tous les âges de la vie..." et dans tous les lieux de travail ou de loisirs, de manière à ce que chacun se sente responsable de son capital santé et ne pèse pas indument sur la collectivité. 8 Pour permettre à la jeunesse de s insérer dans la société : faire de l éducation la grande ambition de la prochaine décennie. L éducation, exige que soit réaffirmé le rôle premier des familles et l importance d une communauté éducative élargie, autour de l enfant. "École et famille sont associés pour l éducation de l enfant. D où l importance de lieux d échange, de parole, de partage, de débats, de rencontres" où chacun puisse s exprimer sans avoir le sentiment d être mis en accusation. Où l on puisse réaffirmer que "l école n a pas pour seule finalité de produire des agents économiques mais de former des adultes autonomes, capables de réflexion et d adaptation aux mutations de nos sociétés". Une proposition qui va de pair avec l exigence d une meilleure formation pédagogique des enseignants, d une revalorisation de leur statut et d une plus large ouverture de l école à l expérimentation de manière à ce que "les jeunes actuellement en situation d échec dans le système scolaire" se voient offrir des perspectives d avenir. 4
5 L emploi, enfin, qui concrétise pour une part cet avenir, doit être compris non seulement comme moyen de "gagner sa vie" mais aussi comme participation à la vie sociale. "Toute activité qui sert au bien commun doit permettre à la personne de subvenir à ses besoins, de développer ses compétences, de s insérer socialement et de contribuer à la construction de la société." Cet objectif dépend, bien sûr, du dynamisme de notre économie et de la bonne santé des entreprises, déjà évoquée. Mais il suppose également de promouvoir, de manière volontariste "l emploi de ceux qui en sont aujourd hui éloignés, notamment les jeunes". A ce combat essentiel, il faut associer "les entreprises de l économie sociale, les services sociaux d intérêt général et tous les organismes pouvant concourir au maintien de l emploi". 9 Pour vivifier le débat démocratique : garantir la liberté, le pluralisme et l indépendance des médias. D autres aspects auraient mérité, sans doute, d être évoqués ici dans la perspective d un scrutin présidentiel et du renouvellement de l Assemblée nationale qui suivra. Mais il était important de s en tenir ici aux seuls thèmes évoqués et débattus dans les groupes de "délibération démocratique" déjà évoqués. Ce qui fonde la légitimité de leur publication. Deux dernières séries de réflexions ont été nourries qui viennent compléter ce paysage : l une relative à la presse et aux médias, l autre à la place des religions dans l espace public. Sans nier l apport des grands médias audiovisuels ni la légitimité des basculements en cours dans les pratiques médiatiques, il semble nécessaire de réaffirmer l enjeu que représente pour le débat démocratique, l existence d une presse écrite, libre, indépendante et pluraliste. Une presse qui doit néanmoins, dès lors qu elle bénéficie d aides publiques, apporter la preuve de son adaptation aux attentes de ses lecteurs. Parallèlement la montée en puissance d une culture du numérique et l explosion des réseaux sociaux, ne sont pas sans enjeu pour le débat démocratique et le renforcement des solidarités, notamment inter-générationnelles. Mais ces évolutions portent une double exigence : l éducation "critique" des jeunes à ce formidable outil et la nécessité d imposer, au niveau international, une "charte éthique numérique" susceptible de garantir les libertés individuelles. 10 Pour consolider et garantir un "vouloir vivre ensemble": reconnaître aux religions leur juste place dans l espace public. Enfin, l idée de faire vivre les religions dans l espace public ne pouvait que mobiliser les participants aux Semaines sociales de France. Moins pour formuler des préconisations de portée politique sur les conditions ou les modalités de cette présence - même si beaucoup regrettent une conception de la laïcité réductrice du fait religieux - que nourrir la réflexion sur ce que doit être le comportement des chrétiens dans la Cité. La laïcité de la société française et l aspect désormais minoritaire de la communauté catholique sont intégrés comme autant de réalités. Mais peut-être précisément à cause de cela, les chrétiens expriment leur désir d être présents dans le débat, d oser parler et cela de manière d autant plus légitime qu ils ne revendiquent aucun pouvoir sur la société, acceptent la différence de l autre et la richesse de sa propre appartenance religieuse. Et qu ils se veulent au service d un "vouloir vivre ensemble" dans la société française. "La Parole dont nous vivons peut être aussi, pour d autres, source de réflexion. Nous voulons être à l écoute des enjeux de nos sociétés, valoriser la tâche de l action politique dans sa recherche du bien commun. Nous voulons témoigner, avec les représentants d autres traditions religieuses, que la fraternité, la préférence pour les pauvres et les sans voix, l esprit de service et de don, sont des trésors offerts à tous pour résoudre les contradictions de nos sociétés entre aspirations individuelles et revendications collectives". 5
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailProjet éducatif vacances enfants et adolescents
Projet éducatif vacances enfants et adolescents SOMMAIRE 1- Présentation du mouvement 2- Valeurs et finalités 3- Nos objectifs 4- Nos orientations éducatives 5- L équipe d encadrement 6- Les activités
Plus en détaildes valeurs 2006 PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS
L arbre des valeurs 2006 le fondement philosophique de l éthique /// les valeurs clés de notre éthique /// les principes issus des valeurs clés PRINCIPES VALEURS FONDEMENTS L ARBRE des valeurs Au cœur
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détail25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE
25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE Fidèle aux exigences de Liberté, d Égalité et de Fraternité qui le fondent, le Grand Orient de France a pour principe essentiel la liberté absolue
Plus en détailJe m adresse à vous comme socialiste, comme parlementaire et comme Président du Conseil général de la Seine-Saint-Denis.
Audition Commission sur la réforme territoriale Intervention de M. Claude Bartolone Jeudi 15 janvier 2009 Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres de la Commission, Mesdames et Messieurs,
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailIntroduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?
Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration
Plus en détailManifeste. pour l éducation au développement. www.acodev.be. Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale
Manifeste pour l éducation au développement Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale Document réalisé par les ONG actives au sein du Groupe sectoriel Éducation au développement
Plus en détailNotre approche de développement local
Notre approche de développement local Renforcer le pouvoir d agir des personnes et des collectivités La grande marche de la démocratie La Déclaration universelle des droits de l homme adoptée en 1948 affirme
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailCharte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable
Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités
Plus en détailCHARTE DES PROGRAMMES
CHARTE DES PROGRAMMES Charte relative à l élaboration, à la mise en œuvre et au suivi des programmes d enseignement ainsi qu aux modalités d évaluation des élèves dans l enseignement scolaire CONSEIL SUPÉRIEUR
Plus en détailQuestions générales sur le Pacte
QUESTIONS-RÉPONSES Questions/réponses sur le pacte de responsabilité et de solidarité Questions générales sur le Pacte QUAND CES MESURES SERONT-ELLES TRADUITES DANS LA LOI? Certaines mesures entrent en
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailConseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017
Conseil régional Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Dans ce tableau, la numérotation est utilisée afin de faciliter le suivi de la présentation. Légende Palier N signifie national R signifie régional
Plus en détailLa loi sur l économie sociale et solidaire. Les principales dispositions et quelques angles de vue
La loi sur l économie sociale et solidaire Les principales dispositions et quelques angles de vue La loi ESS du 31 juillet 2014 les racines de l ESS Un peu d histoire: Des lois sur les coopératives, les
Plus en détailComité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée
Strasbourg, le 14 novembre 2014. Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Philippe Richert, Président du Conseil Régional d Alsace, Ancien Ministre, a ouvert
Plus en détailQuestionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes
Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailPROJET D ETABLISSEMENT
PROJET D ETABLISSEMENT «Amener chacun à une autonomie responsable» INTRODUCTION Dans l esprit du Projet Educatif défini par le Pouvoir Organisateur du Collège Notre-Dame et dans la volonté de respecter
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailCompte-rendu des ateliers
FORUM DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL LOCAL 2010 2 E rencontre citoyenneté Compte-rendu des ateliers La 2e rencontre du Forum a abordé le thème de la citoyenneté. Cette rencontre s'est déroulé en suivant en partie
Plus en détailSIMULATION ELECTORALE
SIMULATION ELECTORALE COMMUNICATION - PROGIS - JOURNALISME IEP Grenoble - Présidentielle 2012 SIMULATION ELECTORALE PRÉSIDENTIELLE 2012 A l initiative de l Association des Diplômés, cette simulation du
Plus en détailCharte du tourisme durable
Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme
Plus en détailUne réponse au défi Création de richesses collectives durables
29 Une réponse au défi Création de richesses collectives durables La question de la propriété est au centre des valeurs qui animent l économie sociale. L économie est devenue guerrière lorsqu elle a mis
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailL AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises
Communiqué de presse L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Objectif : Aider les managers à gérer la diversité religieuse au quotidien Alors que la question de l expression religieuse
Plus en détailSECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants
POLITIQUE POLITIQUE D ÉDUCATION INTERCULTURELLE DATE : 26 mars 2014 SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants DESTINATAIRES : À toute la communauté
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailAvenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»
Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailObservations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme
Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre
Plus en détail5 postures pour mobiliser le don
Confiance Sollicitude Réciprocité d engagement Tirer partie de son Relance expérience relationnelle constructive 5 postures pour mobiliser le don Attention à soi Alliance : Lier sans défier Donner Recevoir
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailMaréchal Ardans-Vilain. Denis. "Nos priorités : la jeunesse, la solidarité et le développement économique." Programme. Michel Petiot.
Canton Meudon - Chaville élections départementales Denis Cécile Maréchal Ardans-Vilain Alice Carton Michel Petiot Programme "Nos priorités : la jeunesse, la solidarité et le développement économique."
Plus en détailCadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités
Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session
Plus en détailUN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE
UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE Le regroupement du Palais de la découverte et de la Cité des sciences et de l industrie en un seul établissement apporte les atouts
Plus en détailDossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ»,
Partenaires fondateurs DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ» «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ», Construisons ensemble des voies nouvelles pour un sport utile à tous
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailIntroduction : pour une refonte générale de notre système de retraite
Introduction : pour une refonte générale de notre système de retraite Conséquence de l empilement des régimes et de modes de calculs complexes, nul ne sait exactement quels seront ses droits à la retraite.
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailRenforcer la mobilisation du droit commun
Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,
Plus en détailEtre societaire, pour vivre la banque autrement.
PREAMBULE Se fondant tout particulièrement sur la notion de valeurs, les coopératives ont montré qu elles constituaient un modèle commercial, robuste et viable, susceptible de prospérer même pendant les
Plus en détailMusées et paysages culturels
La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailContributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.
Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailUn contrat de respect mutuel au collège
Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en
Plus en détailDéclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones
Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones Nations Unies Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones Résolution adoptée par l Assemblée générale [sans
Plus en détailAbroger le bouclier fiscal
NOTE n 57 - Fondation Jean-Jaurès / Groupe socialiste à l Assemblée nationale - 10 juin 2010 - page 1 Pierre-Alain Muet* * Député, rapporteur de la proposition de loi visant à abroger Est-il légitime de
Plus en détailLA SOLIDARITE INTERNATIONALE ET LES ENTREPRISES.
LA SOLIDARITE INTERNATIONALE ET LES ENTREPRISES. Une approche commune et des engagements des Associations de solidarité internationale et des Syndicats. 2010 Sommaire Préambule, p.2 Le contexte, p.3 Pourquoi
Plus en détailRENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE
RENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE La CFTC demande l organisation d un marathon social. Il s agira d élaborer une liste lors de cette réunion du 18
Plus en détailIntervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***
Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention
Plus en détailTOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS
TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,
Plus en détailPROJET DE RÉSOLUTION Un nouveau modèle de développement porteur de progrès social pour tous. PROJET DE RÉSOLUTION Une vingtaine de débats au programme
48 E CONGRÈS CONFÉDÉRAL SOMMAIRE CONGRÈS CONFÉDÉRAL Une étape décisive pour la CFDT CONGRÈS CONFÉDÉRAL Mode d emploi RAPPORT D ACTIVITÉ Retour sur quatre ans d action PROJET DE RÉSOLUTION Un nouveau modèle
Plus en détailDÉCLARATION 2015 POUR RÉFORMER L ÉCONOMIE DE MARCHÉ : L ESPRIT D ENTREPRISE AU SERVICE DU DÉVELOPPEMENT HUMAIN
Fondation Centesimus Annus Pro Pontifice DÉCLARATION 2015 POUR RÉFORMER L ÉCONOMIE DE MARCHÉ : L ESPRIT D ENTREPRISE AU SERVICE DU DÉVELOPPEMENT HUMAIN Quand le Pape François affirme : Non à une économie
Plus en détailRéunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,
Plus en détailLe présent règlement intérieur complète et éclaire les statuts de Sud Chimie. Il s impose aux sections syndicales.
REGLEMENT INTERIEUR SUD CHIMIE Règlement INTERIEUR Le présent règlement intérieur complète et éclaire les statuts de Sud Chimie. Il s impose aux sections syndicales. Il a été adopté par le 5ème congrès
Plus en détailCONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,
Plus en détailCONSEIL DES MINISTRES
CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 2 SEPTEMBRE 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailNote d actualité : Analyse de la loi de finances 2013
Note d actualité : Analyse de la loi de finances 2013 Les premières mesures gouvernementales en matière d imposition des revenus (IR) et d impôt de solidarité sur la fortune (ISF) sont désormais connues.
Plus en détailProposition de Charte éthique de l élu-e pour un renouveau démocratique et la renaissance des pratiques politiques
Proposition de Charte éthique de l élu-e pour un renouveau démocratique et la renaissance des pratiques politiques Version du 23 février 2015, soumise à consultation publique jusqu au 15 avril 2015. N
Plus en détailGUIDE DU BENEVOLE. Mai 2011
Mai 2011 GUIDE DU BENEVOLE Le présent document précise les engagements de tout adhérent 1 à Electriciens sans frontières. Ces engagements déclinent de manière opérationnelle les valeurs et principes énoncées
Plus en détailLa protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille!
La protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille! La protection sociale est un terme générique qui recouvre, la Sécurité Sociale (régime général obligatoire solidaire, géré
Plus en détailJuillet 2011. Réponse de la MGEN et de la MS Consultation sur la gouvernance d entreprise 1
Contribution de la Mutuelle Générale de l Education Nationale - MGEN (France) et de la Mutualité Socialiste - MS (Belgique) au livre vert sur «Le cadre de gouvernance d entreprise dans l UE» Juillet 2011
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes
CAHIER DES CHARGES Thématique de l appel à projets 2014 Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes Fondation Alsace Personnes Agées 4 rue de la Houblonnière 68000 COLMAR
Plus en détailLES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg
LES DROITS CULTURELS Déclaration de Fribourg Les droits culturels, Déclaration de Fribourg, page 2 considérants 1 principes fondamentaux 2 définitions justifications principes et définitions 3 identité
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailConseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat
Conseil Municipal des Enfants à Thionville Livret de l électeur et du candidat Elections du vendredi 18 novembre 2011 Mot du Maire Le Conseil Municipal des Enfants fait sa rentrée. Il joue un rôle essentiel
Plus en détailLe projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement
Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement DOSSIER PRESSE Mars 2015 Contact : cab-fpa-presse@sante.gouv.fr www.social-sante.gouv.fr Introduction Le projet de loi relatif à
Plus en détailLA DÉMOCRATIE LOCALE. Vers une citoyenneté participative. Avec le soutien de la Wallonie
LA DÉMOCRATIE LOCALE Vers une citoyenneté participative Avec le soutien de la Wallonie Citoyenneté responsable Le citoyen responsable est «à la mode» politique médias monde éducatif monde associatif Citoyenneté
Plus en détailLe point de vue de l UNSA
Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise
Plus en détailLes Principes fondamentaux
Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du
Plus en détailPACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE
PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE Préambule PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE La réussite éducative se définit comme la recherche du développement harmonieux de l enfant et du jeune. Elle est plus large
Plus en détailPLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB
PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB En juin 2012, le conseil d administration de l AFANB a décidé d entreprendre une démarche de révision du plan stratégique qui mènera au dépôt d un plan stratégique
Plus en détailCommission des Affaires économiques. «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues
Commission des Affaires économiques «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues La protection des épargnants «Le Gouvernement ne protège pas les petits épargnants comme
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie
www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,
Plus en détailSéminaire «L éducation non formelle, un projet pour les habitants dans la cité»
Séminaire «L éducation non formelle, un projet pour les habitants dans la cité» Organisé dans le cadre du IX Congrès International des Villes Educatrices Le Mercredi 13 septembre 2006 A l Ecole Normale
Plus en détailCommentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel
Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la
Plus en détailCommentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Plus en détailEpargne : définitions, formes et finalités.
Epargne : définitions, formes et finalités. 1) Définitions de l épargne. Le dictionnaire Larousse définit l épargne comme une «fraction du revenu individuel ou national qui n est pas affectée à la consommation»,
Plus en détaille QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise
POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société
Plus en détailContributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions
Contributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions Contributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions Présentation Rassemblant les syndicats et associations
Plus en détailLES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF
LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF La présente publication est soutenue financièrement par le programme de l Union européenne pour l emploi et la solidarité sociale PROGRESS (2007-2013)
Plus en détailPlan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture
Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret
Plus en détailPréambule. L efficacité syndicale rend l unité syndicale nécessaire, sans a priori ni exclusive.
Préambule Le syndicalisme a une double fonction : la défense des salariés et de leurs revendications et la transformation sociale, c est-à-dire l émancipation de l homme et de la femme pour qu ils puissent
Plus en détailDOSSIER D ADHESION AU CADR
Membres : - Accueil Paysan - Action pour la promotion rurale en RCA - Afak Bethléem - Agir abcd - Aide au Volontariat en Inde - Apoyo urbano - Artisanat SEL - Artisans du Monde Lyon Ouest - Artisans du
Plus en détailAvant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi
Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction
Plus en détailCOMPTE-RENDU CAFE POLITIQUE DETTE ET FISCALITE
COMPTE-RENDU CAFE POLITIQUE DETTE ET FISCALITE Christiane Taubira, députée de Guyane, représentante particulière auprès de François Hollande Pascal de Lima, économiste en chef, enseignant à l I.E.P Paris
Plus en détailInviter au plus vite tous les acteurs de la création, de l'édition, de la diffusion et de la lecture à des «États généraux du livre et de la lecture».
Eléments pour une politique en faveur du livre et de la lecture Par Aurélie Filippetti, députée de Moselle, responsable du pôle Culture, audiovisuel, médias dans l équipe de campagne de François Hollande.
Plus en détailEtude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France)
Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Résumé du rapport réalisé par EUROPA pour la DATAR DATAR EUROPA Etude sur les maisons des services publics en Europe Résumé du rapport
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détailLISTE DES 11 CHANTIERS / 53 ATELIERS
LISTE DES 11 CHANTIERS / 53 ATELIERS Pour construire ensemble des propositions concrètes et pour faire avancer l EEDD. 11 chantiers Construits à partir des échanges avec les acteurs de l EEDD, des programmes
Plus en détailDiscours d Anne Hidalgo, Maire de Paris
Discours d Anne Hidalgo, Maire de Paris Seul le prononcé fait foi Mes cher(e)s collègues, Dimanche, les Parisiens m ont fait confiance pour être la première femme maire de Paris. Ce choix m'honore et m'oblige.
Plus en détail