Mat 805 : Compléments de mathématiques
|
|
- Jean-Baptiste Boisvert
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ma 85 : Complémens de mahémaiques Michel Beaudin michelbeaudin@esmlca Version du -9-7 Résumé Marices e ssèmes d équaions différenielles linéaires Sabilié, ssèmes linéaires e quasi-linéaires Inroducion Mahémaiquemen parlan, il es inéressan de se demander si l on peu généraliser aux ssèmes d équaions différenielles le résula selon lequel la soluion unique à l équaion différenielle scalaire d = a, bg = a es ( ) = eb g Soi donc A une marice carrée d ordre n consane, donc A = a ij où a ij R pour i, j n Soi ( ) = ( ) ( ) ( ) une marice n (veceurcolonne) différeniable Soi une marice n consane Si l on considère le ssème d équaions différenielles du premier ordre linéaire suivan () d = A n avec la condiion iniiale bg =, il faudrai donc savoir ce que signifie e A Remarque Comme dans Kreszig, nous emploierons, dans ce exe, des caracères gras (non en ialique) pour les marices (e les veceurs) Ainsi, I désignera la marice idenié (l ordre sera oujours clair), désignera la marice ideniquemen nulle (ou un veceur ideniquemen nul) Si M() es une marice de la variable réelle, alors on dérive M() simplemen en dérivan chacune des enrées de M Définiions Soi une marice carrée A = a ij d ordre n Elle es die diagonale si oues ses enrées, sauf possiblemen celles de sa diagonale principale, son nulles (la diagonale principale es consiuée des élémens de la forme a ii, i =,,, n) a ransposée de A, noée A, es la marice obenue de A en inerverissan lignes e colonnes (concep défini même si A n es pas carrée) Donc A = bij où bij = a ji, i, j n (n monre alors que babg = B A pour oues marices A e B don le produi AB es défini) 6
2 En pariculier, si A = A, on di que A es smérique e si A = A, on di que A es anismérique Dans le cas où A adme des enrées complexes, on défini A comme hermiienne si A = A 4 a marice A es die orhogonale si ses colonnes, considérées comme des veceurs de R n, son de norme (longueur) e deux à deux perpendiculaires Ainsi A es orhogonale si e seulemen si A = A Dans le cas complexe où A = A, on di que A es uniaire Exemples: es marices suivanes son orhogonales : cosθ sinθ R ( θ) = (θ réel) Il s agi d une marice de roaion dans le plan puisque sinθ cosθ a R( θ) b Q P = a cosθ bsinθ a sinθ + b cosθ ce qui a le même effe que le produi du nombre complexe e iθ avec a + bi :, A = bcosθ + i sinθgba + big = a cosθ bsinθ + iba sinθ + b cosθg es aussi orhogonale comme on peu le vérifier 4 Exemple a forme quadraique (courbe conique dans le plan) 5x 6xx + 5x 8 = peu se réprésener par le produi mariciel suivan : Posons x = N M x Q P 5 x x x 8 5 N M x Q P = 5 e A = Ainsi, on a x Ax = 8 Pour bien «voir» cee courbe, x 5 uilisons le changemen de variable suivan (don la provenance sera claire bienô) : soi = N M Q P = Q x où Q = n voi que Q es orhogonale (un el choix es oujours possible pour une marice smérique d après le héorème 8 à venir) Ainsi 6
3 x Ax = ( Q) A( Q) = Q AQ = + 8 = 8 e donc nore courbe es une ellipse de demi-axes e, cenrée à l origine e aan subi une roaion de 45 dans le sens direc : Valeurs propres e veceurs propres de marices : diagonalisaion Revenons à () e cherchons une soluion de la forme x( ) = e λ v où v es une marice n (veceur-colonne) non ideniquemen nul (on veu aure chose que la soluion die riviale!) Alors en poran dans (), on doi avoir = d où Av = λ v d où A λi v = λ λ e e λ v A v b g Puisque v es non-nul, cela signifie que la marice A λ I n es pas inversible, donc son déerminan qui es un polnôme de degré n di polnôme caracérisique de A doi êre nul Cela amène la définiion suivane 5 Définiions Soi A es une marice carrée d ordre n 5 es nombres (réels e/ou complexes, possiblemen répéés) λ els que A λi = son appelées les valeurs propres de A e les veceurs v non nuls correspondans son dis veceurs propres équaion A λi = es die équaion caracérisique n remarque que si v es un veceur propre associé à λ, alors cv (c ) es aussi un veceur-propre associé à λ ensemble des veceurs propres consiue un espace vecoriel appelé espace propre associé à la valeur propre 5 a marice A es die diagonalisable si l on peu rouver une marice inversible P elle que où D es diagonale P AP = D 5 a muliplicié algébrique d une valeur propre λ es l ordre du zéro λ dans l équaion caracérisique a dimension de l espace-propre associé à λ es di muliplicié géomérique de λ (donc n r, où r es le rang de la marice échelonnée-réduie A λi) Un résula di que la 6
4 dimension de l espace propre associé à une valeur propre de muliplicié (algébrique) k es au plus k 6 Remarque Une marice A es diagonalisable si (e seulemen si) l on peu rouver n veceurs propres de A qui son linéairemen indépendans En effe, soi P la marice don les colonnes son précisémen ces veceurs propres, disons P = x x x n où x i = xi x i x es le veceur propre associé à la valeur propre λ in i (i =,,, n) Alors P es inversible à cause de l indépendance linéaire de ses colonnes e puisque Ax = λ x, on a AP = b n i i i PD où D = diag λ, λ,, λg Une condiion suffisane (mais non nécessaire : voir exemple 7 plus loin) pour que A soi diagonalisable es qu elle admee n valeurs propres réelles, à disinces En effe, monrons qu à des valeurs propres disinces corresponden des veceurs propres indépendans Soien λ, λ,, λ k k valeurs propres réelles deux à deux disinces associées aux veceurs propres x, x,, x k respecivemen Supposons quand même que l ensemble lx, x,, x k q soi linéairemen dépendan Soi r le plus grand enier el que l ensemble lx, x,, x r q soi linéairemen indépendan Alors r < k e l ensemble lx, x,, x r+ qes linéairemen dépendan Cela signifie qu il exise des scalaires r+ c, c,, c r+ non ous nuls els que c i x i = r+ c i λ ixi = i= D où r+ i= r+ Alors, puisque Axi = λ ixi (i =,,, r), on a r b g l = λ x λ + x = λ λ r ci i ci i i ci i r+ xi i= i= i= ce qui implique que, à cause de l indépendance linéaire de x, x,, x r q e du fai que les valeurs propres son oues disinces, c = c = = c r = Mais alors c r+ x r+ =, d où c r+ = (car un veceur propre n es pas nul) e on a obenu une conradicion 7 Exemples 7 Soi la marice A = de( A λi) = ( λ 8) ( λ 4) n rouve facilemen que En appliquan l algorihme de Gauss-Jordan ( ) à la marice A 8I, on rouve (heureusemen) un rang de, donc variables libres : Ainsi, v =, v = son veceurs propres (lin ind) associés à la valeur propre 8 E pour 4, on obien un rang de, donc une variable libre 64
5 e v = on vérifie facilemen que 7 Soi la marice A = qu on peu diagonaliser A fai l affaire Alors si P Q P P =, P AP = D = n verra que les valeurs propres son,, e 5 e donc 7 Pour une marice, le polnôme caracérisique dépendra du discriminan e donc, si l on ne rouve qu une valeur propre réelle ou deux valeurs propres complexes conjuguées, la marice ne sera pas diagonalisable C es le cas avec les marices A = 7 e B = En effe, on a de(a λi) = ( λ 4) andis que de(b λi) = λ λ + 4 = ( λ 5) + 4 Dans ce dernier cas, si l on choisi la valeur propre don la parie imaginaire es posiive e si l on rédui la marice B (5 + 4i)I, on rouve B ( 5 + 4i) I = Donc, on peu choisir le veceur propre (complexe) x = 5 4 alors P BP = 4 5 Q P 4i 5 i 4 4i + i = N M Q P + N M Q P = + i, si P = N M Q P, + i x = i u v Remarquons que si 65
6 Revenons à A = 7 En réduisan A 4I, on rouve, donc on ne peu rouver qu un seul veceur propre associé à la valeur propre double 4, disons v = Cherchons ouefois un «veceur propre généralisé», ie un veceur v el que ( A 4I) v = v mais ( A 4I) v = En réduisan la marice augmenée, nous avons d où l on peu prendre v = Alors, si P =, on a 4 P AP = = I N Cee dernière marice n es pas diagonale mais «simple» dans le sens que N = N M Q P marice nilpoene d ordre ( N = ) es une Voici pourquoi les marices smériques occupen une place si pariculière : 8 héorème Dans le cas d une marice smérique A d ordre n, a) les valeurs propres son oues réelles, b) les veceurs propres associés à des valeurs propres disinces son orhogonaux, c) l espace propre associé à une valeur propre de muliplicié k es de dimension k Donc, «une marice smérique es orhogonalemen diagonalisable» Preuve : a) supposons que λ = a + bi soi une valeur propre de A e monrons que b = a marice A λi n es pas inversible e il en es de même de la marice B, définie par b gd i b g B = A λi A λi = A ai + b I, car de(mn) = de(m)de(n) n peu donc rouver un veceur colonne non rivial el que B = Mais alors, puisque A ai es aussi smérique, on a, posan z = ( A a I), ( ) ( ) ( ) = B = A ai + b = ( A ai) ( A ai) + b =z z + b e comme z z e >, on doi avoir b =, donc b = 66
7 b) Soien λ, λ deux valeurs propres disinces de A, associées respecivemen aux veceurs propres x, x Alors puisque A es smérique, on a b g c h b g λ λ x x = λ x x λ x x = λ x x x λ x = Ax x x Ax = x A x x Ax = c) Il fau démonrer le processus d orhogonalisaion de Gram-Schmi qui di que oue base d un sous-espace S de R n peu êre remplacée par une base orhonormée (ie don les veceurs son à perpendiculaires e de longueur ) Voici l idée de la preuve : soi m n e soi lx, x,, x m q es une base de S Ici les x i son des veceurs-colonnes e uilisons la noaion habiuelle pour désigner le produi scalaire n pose = x = x x x x x = KJ m = x m m I KJ I x m m m l I I KJ m KJ x n vérifie facilemen que les élémens,,, m qson orhogonaux (perpendiculaires) à e donc indépendans n obien une base orhonormée en normalisan les veceurs, donc on i remplace i par (i =,,, m) Mais alors, éan donnée une marice smérique A, on i rouve oues ses valeurs propres (qui son réelles), pour chaque valeur propre λ de A, on rouve une base orhonormée de l espace propre ; si λ es de muliplicié k, cee base coniendra k élémens e polnôme caracérisique de A éan de degré n, on obiendra de cee façon n veceurs-colonnes que l on placera côe-à-côe pour obenir la marice orhogonale Q 9 Exemple n pourra vérifier qu en appliquan Gram-Schmi à la base de R donnée par les colonnes de la marice A suivane A = on obien celle de l exemple a «facorisaion QR» du ssème smbolique porable I- Nspire CAS confirme cela (Q es uniaire, R es riangulaire supérieure e A = QR) : m I KJ 67
8 Soluion d un ssème d ÉD linéaires du premier ordre à coefficiens consans Marices fondamenales Nous coninuons avec un exemple provenan de problèmes de réservoirs Exemple Imaginons réservoirs,, forman un ssème fermé dans le sens que es relié à qui es relié à qui es relié à Soi donc un cerain ssème d équaions différenielles comme le suivan : ou bien d = A avec ( ) = ( ) ( ) ( ) d = + d = 4 d = 4 e A = 4 4 En résolvan le ssème ci-hau, nous rouverions la quanié de sel au emps dans chacun des réservoirs Mais l analse maricielle laisse déjà présager que les poins saionnaires du ssème, c es-à-dire les soluions x à Ax = son, oure la soluion riviale (ce qui signifie que ous les 68
9 réservoirs éaien vides dès le dépar), les veceurs du pe c, c, c En effe, A n es pas inversible (de(a) = comme on peu le vérifier) e donc λ = es une valeur propre de A, don un veceur propre associé es de la forme c, c, c n peu monrer que les aures valeurs propres son les nombres complexes conjugués 4 ± i e qu alors la soluion es donnée par ( ) ( ) (( ) ( ) ) 4 = + ( ) c e c cos( ) c sin( ) 4 = + + ( ) c e c sin( ) c cos( ) 4 = ( ) c e c c cos( ) c c sin( ) n remarque que ( ) + ( ) + ( ) 5c (la quanié oale de sel dans les réservoirs es consane dans le emps puisque c es un ssème fermé) e que lim ( ) = c, lim ( ) = c e lim ( ) = c Ainsi, la quanié de sel dans chaque réservoir end à se sabiliser Si nous choisissons l exemple où () = 5, () = () =, alors nous obenons c =, c = e c = e les graphiques suivans : 69
10 Définiions Soi A es une marice carrée d ordre n n n Posons A = a ij n peu vérifier que cela défini une norme sur l espace i= j= (vecoriel) des marices e qu alors AB posiif k, on a A k A k A B si B es aussi d ordre n Ainsi, pour ou enier e donc le crière de comparaison des séries perme de dire que la série A k converge absolumen k k! = C es ce qu on appelle l exponenielle de la marice A, noée e A : e A k A = k! k = Exemples Cee définiion n es commode que dans cerains cas! Voici cerains cas où il n a pas de problèmes pour rouver e A Si A es diagonale, disons A = diag λ, λ,, λ b n g, alors e A = diag ce λ, e λ,, e h λ n Si A es nilpoene, ie si, à parir d une ceraine puissance k, A k =, alors la série sera finie Si A es diagonalisable, alors le héorème a) suivan qui sui nous di que e A es facilemen calculable héorème Soien P, S e des marices carrées d ordre n Alors a) Si Q = PP Q, alors e = Pe P S+ S b) Si S = S, alors e = e e S c) e = e S c h d) Si n = e = a b b a, alors e e cosb sinb a = sinb cosb a b Donc : b a a cosb sin b e = e sin b cos b Preuve : si k es un enier posiif, l associaivié du produi mariciel perme d écrire que c hc h c h k k Q = PP PP PP = P P 7
11 e le résula a) sui Pour b), on doi uiliser le résula sur les séries qui di que si n= b n convergen absolumen, alors la série-produi (de Cauch) n= c n où c n = n i= a b i ni a n n= e converge aussi absolumen Mais alors, par la formule du binôme de Newon e le fai que les marices commuen, on a e e n n n S S ( S + ) = n! n! i!( n i)! n! i n i n S S+ = H G I K J H G I K J = n= n= n= i= n= En posan = S, c) s obien de b) inalemen, si z es le nombre complexe z = a + bi, alors la formule d Euler donne e a+ ib = e a e ib = e a (cosb + i sin b) e la correspondance (bijecion) suivane donne alors e a b = e b a a cosb sinb sinb cosb a + ib a b b a = e 4 Exemples 4 Soi A = elle que n a rouvé à l exemple 7 une marice inversible P = P AP = 8 8 Mais alors on obien que e + e e e e e A e e e + e e e e = ( R) e e e e e + e 4 4 M 4 7
12 4 Soi B = (voir l exemple 7) Alors cos4 sin 4 e A = Pe P sin 4 cos4 5 E si l on prend (oujours à l exemple 7) la marice A = A = PDP, où D n es pas «diagonale» mais D = 4 4 = I + N = N M P = e 4 4 7, on a rouvé que = 4I + N Puisque I e N commuen D e que N es nilpoene d indice, on a e e ( ) e Mais alors A 4 4 e = e P N M + 4 Soi A = ( ) Alors on rouve facilemen les valeurs propres, ± i puisque de( A λi) = λ λ + n calcule la marice réduie-échelonnée correspondan à la valeur propre : A I = v = n calcule la marice réduie-échelonnée correspondan à la valeur propre complexe i : + i i A i I + i w = i = u + iv Soi donc où P = Alors P AP = e e d) donnen, puisque e =, 7
13 e finalemen, A e = P cos sin sin cos ( ) ( ) ( ) ( ) A e = + cos( ) cos( ) + sin ( ) + sin ( ) cos( ) ( ) ( ) + ( ) ( ) + ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) cos sin cos cos sin cos sin cos sin + cos P n remarque que les dernières marices saisfon le problème dx = AX, X ( ) = I Ce n es pas un hasard 5 héorème a foncion e A es dérivable pour ou e d e = A e = e A A A A Preuve : d ( + h) A A ha e A e e A e I = lim = e lim puisque A e ha commuen En coninuan, h h h h on a k ( ha) d k k e A e A k k A h AI =! A A = lim = e A + lim = e A + = e A h h h k = k! KJ b g E A commuan avec chaque erme de la série, on a l aure égalié 6 héorème e ssème d équaions différenielles linéaires du premier ordre à coefficiens consans avec condiion iniiale d () = A, bg = adme la soluion unique A () ( ) = eb g e cee soluion es définie pour ou R Si g() es coninue sur R (ou sur un inervalle conenan le poin ), alors le problème (nonhomogène) 7
14 bg (4) d = A + g ( ), = adme la soluion unique z A A As (5) ( ) = e e + e g ( s) ds I KJ ou, si l on préfère uiliser une quelconque marice fondamenale M() : ( ) = M( ) M ( ) + M ( s) g ( s) ds Preuve : remarquons que (5) se rédui à () lorsque g Il suffi donc de prouver (5) (évidemmen, quelqu un qui aurai prouvé () obiendrai (5) par la méhode de variaion des paramères) Monrons que (5) es bien une soluion de (4) n a A A As A A bg = e e + e g s ds e ce h z KJ = ( ) + = e, en dérivan (5) e appliquan le deuxième héorème fondamenal du calcul inégral, on a d M N I P KJ Q z z d s s e A e A ( ) = + e A g ( s) ds Ae A e A e A g ( s) ds e A e A g( ) A( ) g( ) M P = + KJ + = + Il rese à démonrer l unicié Soi z() une aure soluion de (4) e soi () donnée par (5) A Posons w( ) = e z( ) n a d d w( ) = Ae A z( ) + e A z( ) = e A g( ) As A As d où w( ) wbg = e g ( s) ds e donc w( ) e e g ( s) ds z A Mais alors z( ) = e w( ) = ( ) I = + I 7 Définiion Une marice carrée M() es appelée une marice fondamenale ou une base du ssème () si ses colonnes formen un ensemble de n soluions linéairemen indépendanes de () Donc, en dénoan les colonnes de M() par x (), x (),, x n (), cela signifie deux choses : 74
15 dx i n = Ax i ( i =,,, n) e c i x i = c = c = = c n = i= e héorème suivan es uile pour vérifier si un ensemble de soluions de () forme une base n peu même le formuler pour des marices A non consanes : 8 héorème Soi P( ) = p ( ) une marice carrée coninue sur un cerain inervalle ouver I ij e soi ( ) = ( ) ( ) ( ) Considérons le ssème linéaire n (6) d = P( ) Soien x (), x (),, x n () n soluions de (6) sur I Ici, x i ( ) = xi( ) xi ( ) xin ( ) pour i =,,, n Posons le déerminan suivan (appelé wronskien des soluions x (), x (),, x n ()) : W = de N M x ( ) x ( ) x ( ) n x ( ) x ( ) x ( ) n x ( ) x ( ) x ( ) n n nn Alors : a) Si x, x,, x n son linéairemen dépendanes sur I, W = en ou poin de I ; b) Si x, x,, x n son linéairemen indépendanes sur I, alors W en ou poin de I Preuve : a) supposons que x, x,, x n son linéairemen dépendanes sur I Donc, il exise des n scalaires non ous nuls c, c,, c n els que cix i ( ) = e donc W es forcémen ideniquemen i= nul b) supposons que x, x,, x n son linéairemen indépendanes sur I mais qu il exise un poin de I el que W = en ce poin Alors il exise des consanes c, c,, c n non oues nulles elles que bg bg Avec ce choix de consanes, soi la foncion bg I Q P KJ c x + c x + + c x = n n f ( ) = cx ( ) + cx ( ) + + cnxn ( ) Cee foncion saisfai (6) puisque combinaison linéaire des x i e fbg = Par le héorème d exisence e d unicié (héorème 9, résumé ), on a f ( ) = pour ou Conradicion 75
16 9 Remarque Si nous nous resreignons au cas où P = A es consane (donc (6) es ()) e (au cas facile mais non oujours réalisé!) où les n soluions de () son de la forme x = v e, x = v e,, x = v e λ λ λ n n n avec v i n veceurs propres indépendans de A, alors on a GM H v e v e v e λ λ λ n n λ λ λ n ve ve vne n W = e M G P J = λ + + λ de de( P) λ λ λ n v e v e v e n n où P = v v v n E puisqu une exponenielle n es jamais nulle e que P es inversible (colonnes linéairemen indépendanes), le héorème 8b) es redémonré Exemple Revenons à l équaion linéaire d ordre, homogène (voir résumé, équaion (9)) n sai que la soluion de (*) + p( x) + q( x) = es ( x) = c ( x) + c ( x) lorsque, son soluions de (*) elles que nn I P J K ( x) ( x) W, ( x) = ( x) ( x) Cela peu êre reconfirmé en plongean (*) en un ssème du premier ordre en posan = z, d où = z Ainsi, (*) es équivalene au ssème du premier ordre = z q( x) p( x) N M Q P z héorème Commen calculer e A n peu procéder comme sui : e A = M( ) M ( ) où M es une quelconque marice fondamenale de () u encore, par ransformée de aplace inverse : b g A e = si A Preuve : remarquons que e A es aussi une marice fondamenale de (), par les héorèmes 5 e c) Soien M() e N() deux marices fondamenales de () Alors il exise une marice consane C elle que M() = N()C En pariculier, en prenan N() = e A, on a 76
17 e A = M( ) C A Mais, M( ) = e C = IC = C, d où le résula inalemen, appliquons la méhode des ransformées de aplace au ssème linéaire à coefficiens consans suivan, où X es une marice d ordre n, ssème don la soluion unique es évidemmen e A dx = AX, X() = I Soi X( s) X( ) Alors, on a sx( s) I = AX( s) puisque A es consane Donc, on a ( si A) X( s) = I, d où X( s) = si A Exemples Résolvons le ssème n a donc ici = + = N M x ( ) Ax( ) g ( ), x( ) Q P monre que M( ) = N M e e Q P b g b g e ainsi X( ) = s I A R S e x = x x +, x = + ( ) e x = x x +, x = + ( ), A =, g e ( ) = + N M Q P Un calcul simple es une marice fondamenale du ssème (en effe, les valeurs propres de A son e e des veceurs propres associés son e respecivemen) Mais alors le héorème 6 donne x( ) = M( ) M ( ) N M M ( s) g ( s) ds Q P + z I KJ Ce calcul peu êre effecué par une calcularice smbolique ou un quelconque logiciel de calcul smbolique e peu même êre auomaisé dans une procédure qu on peu facilemen programmer 77
18 a méhode des ransformées de aplace es for rapide pour calculer l exponenielle d une marice En effe, reprenons l exemple 4 où l on avai la marice A = Alors on a : e la ransformée de aplace inverse de chacune des enrées es rouvable immédiaemen ici : + cos( ) cos( ) + sin ( ) + sin ( ) cos( ) ( ) ( ) + ( ) ( ) + ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) cos sin cos cos sin cos sin cos sin + cos Exemple e définiion Commen faire pour rouver une marice fondamenale dans le cas de valeurs propres muliples? Un héorème d algèbre linéaire di qu une quelconque marice carrée d ordre n possède oujours n veceurs propres généralisés indépendans Si λ es une valeur propre d une marice A, alors un veceur propre généralisé de rang r associé à λ es un veceur v el que ( A λ I) r v = mais ( A λi) r v Si r =, cela signifie simplemen que v es un veceur propre ordinaire associé à λ Si λ es une valeur propre de muliplicié k > mais pour laquelle il es quand même possible de rouver k veceurs propres indépendans, on di que λ es complèe e lorsque ce n es pas le cas, disons que λ ne possède que p < k veceurs propres indépendans, alors le nombre d = k p représene le nombre de «veceurs propres manquans» Considérons le ssème () d = A où la marice A d ordre n possède une valeur propre réelle muliple λ e un seul veceur propre v, donc on a une seule soluion de (), = e λ v n pourrai, s inspiran de l équaion scalaire 78
19 d ordre dans le cas de racine double, penser que e λ v sera une seconde soluion indépendane mais cela ne foncionne pas car d λ e λ e λ c v v λe v h = + andis que A e λ v e λ Av e = λ = λv e il faudrai donc que e λ v =!!! Supposons que λ es une valeur propre double Essaons (Kreszig page 67), comme seconde soluion, λ λ = e v + e v c es-à-dire = e λ b v + v g où v es à déerminer d λ n doi avoir = A, d où e λ e λ e λ e λ v λ λ λ e + v + v = v + Av, e donc v + λ v = Av Ainsi, ( A λi) v = v (e donc, ( A λi ) v = ( A λi ) v = ) n peu monrer qu on peu oujours rouver un el veceur v Supposons que λ es une valeur propre riple n rouve alors encore une seconde soluion = e v + v λ b g où ( A I) v = v λ où ( A I) v = v λ e on rouve une roisième soluion indépendane λ = e v + v + v e où ( ) I K J Plus généralemen, si λ es une valeur propre de muliplicié algébrique k e de muliplicié géomérique, alors cela se généralise pour donner des soluions du pe k = e = e λ v = e + v v λ b g λ = e v + v + v k v v k v k + v ( k )!! λ I K J k I KJ où les veceurs v, v,, v k son les veceurs u, u,, u els que k k 79
20 ( A λ I) u = u ( A λ I) u = u ( A I) u = u λ k k e ( A λ I) uk = Ici, v es un veceur propre (ordinaire) de A correspondan à la valeur propre λ e les aures v,, v k son des «veceurs propres généralisés» 4 Supposons mainenan que A possède une valeur propre riple λ e qu on puisse rouver veceurs propres indépendans, disons v e v Donc, on a soluions indépendanes = e λ v e = e λ v n peu monrer qu une roisième soluion sera de la forme = e v + v λ b g où v es une combinaison linéaire de v e v e où ( A λi) v = v es résoluble pour v 4 Exemple Nous rouverons une marice fondamenale pour le ssème d = A où A = Nous verrons que A possède une valeur propre riple λ = e veceurs propres indépendans v = e v =, ce qui donnera déjà soluions = e v e = e v En cherchan une roisième soluion de la forme = e v + u b g où v es une combinaison linéaire de v e v e où u saisfai ( A λi) u = v, nous rouverons, par exemple, u = Nous obiendrons alors la marice fondamenale suivane : M( ) = e 5 8 A n aurai ensuie que e = M( ) M( ) n pourra aussi calculer e A en faisan un développemen en fracions parielles d une ransformée de aplace inverse, comme indiqué au héorème 8
Exemples de résolutions d équations différentielles
Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................
Plus en détailLes circuits électriques en régime transitoire
Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc
Plus en détail2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.
1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%
Plus en détailTexte Ruine d une compagnie d assurance
Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose
Plus en détailTD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)
TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel
Plus en détailCHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3
Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)
Plus en détailCHAPITRE I : Cinématique du point matériel
I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons
Plus en détailFonction dont la variable est borne d intégration
[hp://mp.cpgedpydelome.fr] édié le 1 jille 14 Enoncés 1 Foncion don la variable es borne d inégraion Eercice 1 [ 1987 ] [correcion] Soi f : R R ne foncion conine. Jsifier qe les foncions g : R R sivanes
Plus en détailFinance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET
Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple
Plus en détailCaractéristiques des signaux électriques
Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme
Plus en détailMATHEMATIQUES FINANCIERES
MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial
Plus en détailVA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1
Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)
Plus en détailLe mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»
Plus en détailLa rentabilité des investissements
La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles
Plus en détailF 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0
Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance
Plus en détailCARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME
CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure
Plus en détailRappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION
2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le
Plus en détailLes solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2
Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide
Plus en détailFiltrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)
Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un
Plus en détailOscillations forcées en régime sinusoïdal.
Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -
Plus en détailMathématiques financières. Peter Tankov
Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de
Plus en détailCalcul Stochastique 2 Annie Millet
M - Mahémaiques Appliquées à l Économie e à la Finance Universié Paris 1 Spécialié : Modélisaion e Méhodes Mahémaiques en Économie e Finance Calcul Sochasique Annie Mille 15 14 13 1 11 1 9 8 7 6 5 4 3
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailCours d électrocinétique :
Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS
Plus en détailRecueil d'exercices de logique séquentielle
Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d
Plus en détailTB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2
enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur
Plus en détailChapitre 2. Matrices
Département de mathématiques et informatique L1S1, module A ou B Chapitre 2 Matrices Emmanuel Royer emmanuelroyer@mathuniv-bpclermontfr Ce texte mis gratuitement à votre disposition a été rédigé grâce
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailTHÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques
Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris
Plus en détailNon-résonance entre les deux premières valeurs propres d un problème quasi-linéaire
Non-résonance enre les deux premières valeurs propres d un problème quasi-linéaire AREl Amrouss MMoussaoui Absrac We consider he quasilinear Dirichle boundary value problem (φ p (u )) = f(u)+h(x),u(a)=u(b)=0,
Plus en détailDocumentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1
Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailIntégration de Net2 avec un système d alarme intrusion
Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera
Plus en détailSciences Industrielles pour l Ingénieur
Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage
Plus en détailEstimation des matrices de trafics
Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailAMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE
AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE Dans e hapire l'amplifiaeur différeniel inégré sera oujours onsidéré omme parfai, mais la ension de sorie ne pourra prendre que deux valeurs : V sa e V
Plus en détail3 POLITIQUE D'ÉPARGNE
3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs
Plus en détailSommaire de la séquence 12
Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................
Plus en détailLE PRODUIT SCALAIRE ( En première S )
LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 4 Janvier 007 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble ( Année 006-007 ) 1 Table des matières 1 Grille d autoévaluation
Plus en détailThème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL
Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l
Plus en détailNOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 :
Exercice 1 : NOMBRES COMPLEXES On donne θ 0 un réel tel que : cos(θ 0 ) 5 et sin(θ 0 ) 1 5. Calculer le module et l'argument de chacun des nombres complexes suivants (en fonction de θ 0 ) : a i( )( )(1
Plus en détailFiles d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.
Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene
Plus en détailSYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE
SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice
Plus en détailRelation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.
Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailMIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.
/ VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre
Plus en détailCopules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie
Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE
Plus en détailNed s Expat L assurance des Néerlandais en France
[ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous
Plus en détailLe mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité
Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par
Plus en détailExo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détailSéquence 2. Pourcentages. Sommaire
Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis
Plus en détailCHAPITRE 10. Jacobien, changement de coordonnées.
CHAPITRE 10 Jacobien, changement de coordonnées ans ce chapitre, nous allons premièrement rappeler la définition du déterminant d une matrice Nous nous limiterons au cas des matrices d ordre 2 2et3 3,
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailLE PARADOXE DES DEUX TRAINS
LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux
Plus en détailQuelques contrôle de Première S
Quelques contrôle de Première S Gilles Auriol auriolg@free.fr http ://auriolg.free.fr Voici l énoncé de 7 devoirs de Première S, intégralement corrigés. Malgré tout les devoirs et 5 nécessitent l usage
Plus en détailCHELEM Commerce International
CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,
Plus en détailS euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement.
Choix d ives i s s eme e cer iude 1 Chapire 1 Choix d ivesissemes e ceriude. Défiiio L es décisios d ivesissemes fo parie des décisios sraégiques de l erepris e. Le choix ere différes projes d ivesisseme
Plus en détailDE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT
DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd
Plus en détailChapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement
Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée
Plus en détail2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE
009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or
Plus en détailFormes quadratiques. 1 Formes quadratiques et formes polaires associées. Imen BHOURI. 1.1 Définitions
Formes quadratiques Imen BHOURI 1 Ce cours s adresse aux étudiants de niveau deuxième année de Licence et à ceux qui préparent le capes. Il combine d une façon indissociable l étude des concepts bilinéaires
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailLe théorème de Perron-Frobenius, les chaines de Markov et un célèbre moteur de recherche
Le théorème de Perron-Frobenius, les chaines de Markov et un célèbre moteur de recherche Bachir Bekka Février 2007 Le théorème de Perron-Frobenius a d importantes applications en probabilités (chaines
Plus en détailReprésentation géométrique d un nombre complexe
CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailEcole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau
Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailCours d analyse numérique SMI-S4
ours d analyse numérique SMI-S4 Introduction L objet de l analyse numérique est de concevoir et d étudier des méthodes de résolution de certains problèmes mathématiques, en général issus de problèmes réels,
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailSurface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit
Modèles de Taux, Surface de Volailié e Inroducion au Risque de Crédi Alexis Fauh Universié Lille I Maser 2 Mahémaiques e Finance Spécialiés Mahémaiques du Risque & Finance Compuaionelle 214/215 spread
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailaux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale.
MODÉLISATION ET SIMULATION EQUATIONS AUX DIFFÉRENCES (I/II) 1. Rappels théoriques : résolution d équations aux différences 1.1. Équations aux différences. Définition. Soit x k = x(k) X l état scalaire
Plus en détailAnnuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t
Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détailRisque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE
Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailUn modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA
Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailLes deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement
Les deux déficis, budgéaire e du compe couran, sonils jumeaux? Une éude empirique dans le cas d une peie économie en développemen (Version préliminaire) Aueur: Wissem AJILI Docorane CREFED Universié Paris
Plus en détailCorrigé Problème. Partie I. I-A : Le sens direct et le cas n= 2
33 Corrigé Corrigé Problème Théorème de Motzkin-Taussky Partie I I-A : Le sens direct et le cas n= 2 1-a Stabilité des sous-espaces propres Soit λ une valeur propre de v et E λ (v) le sous-espace propre
Plus en détailUniversité Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD
LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la
Plus en détailExercices Corrigés Premières notions sur les espaces vectoriels
Exercices Corrigés Premières notions sur les espaces vectoriels Exercice 1 On considére le sous-espace vectoriel F de R formé des solutions du système suivant : x1 x 2 x 3 + 2x = 0 E 1 x 1 + 2x 2 + x 3
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détail1 Complément sur la projection du nuage des individus
TP 0 : Analyse en composantes principales (II) Le but de ce TP est d approfondir nos connaissances concernant l analyse en composantes principales (ACP). Pour cela, on reprend les notations du précédent
Plus en détailn 1 LES GRANDS THÈMES DE L ITB > 2009 Les intérêts simples et les intérêts composés ( ) C T D ( en mois)
LES GRANDS THÈMES DE L ITB Les iérês simples e les iérês composés RAPPELS THÉORIQUES Les iérês simples : l'iérê «I» es focio de la durée «D» (jour, quizaie, mois, rimesre, semesre, aée) de l'opéraio (placeme
Plus en détailDESSd ingéniérie mathématique Université d Evry Val d Essone Evaluations des produits nanciers
DESSd ingéniérie mahémaique Universié d Evry Val d Essone Evaluaions des produis nanciers Véronique Berger Cours Janvier-Mars 2003 version du 27 mars 2003 Conens I Présenaion du plan de cours 3 II Insrumens
Plus en détailCAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE
CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE Jean-Michel BOSCO N'GOMA CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailProblème 1 : applications du plan affine
Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A
UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX
Plus en détailAlgèbre binaire et Circuits logiques (2007-2008)
Université Mohammed V Faculté des Sciences Département de Mathématiques et Informatique Filière : SMI Algèbre binaire et Circuits logiques (27-28) Prof. Abdelhakim El Imrani Plan. Algèbre de Boole 2. Circuits
Plus en détailMATLAB : COMMANDES DE BASE. Note : lorsqu applicable, l équivalent en langage C est indiqué entre les délimiteurs /* */.
Page 1 de 9 MATLAB : COMMANDES DE BASE Note : lorsqu applicable, l équivalent en langage C est indiqué entre les délimiteurs /* */. Aide help, help nom_de_commande Fenêtre de travail (Command Window) Ligne
Plus en détailProgrammation linéaire et Optimisation. Didier Smets
Programmation linéaire et Optimisation Didier Smets Chapitre 1 Un problème d optimisation linéaire en dimension 2 On considère le cas d un fabricant d automobiles qui propose deux modèles à la vente, des
Plus en détailDérivation : cours. Dérivation dans R
TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition
Plus en détailMémoire présenté et soutenu en vue de l obtention
République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé
Plus en détail