ORDRE NATIONAL DES MÉDECINS Conseil National de l Ordre

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1 ORDRE NATIONAL DES MÉDECINS Conseil National de l Ordre L ATLAS DE LA DÉMOGRAPHIE MEDICALE EN France (GENERALITES) Situation au 1 er janvier 2007 Réalisée par : Gwénaëlle LE BRETON-LEROUVILLOIS Géographe de la Santé - CNOM Sous la direction de : Irène KAHN-BENSAUDE Présidente de la section santé publique - CNOM Juin 2007 Étude n 40

2 ORDRE NATIONAL DES MÉDECINS Conseil National de l Ordre L ATLAS DE LA DÉMOGRAPHIE MEDICALE EN FRANCE Situation au 1 er janvier 2007 Avec la participation de : Cécile BISSONNIER (Responsable section santé publique) Vincent MALAIZÉ 2

3 AVANT-PROPOS Depuis 1979, le Conseil National de l'ordre des Médecins étudie la démographie médicale en France à partir du tableau d inscription à l ordre et publie un fascicule qui de 47 pages au début s est étoffé pour en contenir presque 200 à l heure actuelle. Depuis des années le Conseil National de l'ordre des Médecins par l intermédiaire encore récemment du Professeur Langlois, insiste sur certains problèmes inhérents à la répartition des médecins sur le territoire aussi bien en France Métropolitaine qu en France d outre-mer :mauvaise répartition des médecins de premier recours,pyramide des ages élevée dans certaines spécialités,revue des différentes» spécialités en crise» Cette année, le Conseil National de l'ordre des Médecins présente une nouvelle version de son habituelle brochure : un atlas de démographie médicale Chaque spécialité (49 dont la médecine générale) est étudiée :le nombre de médecins, hommes ou femmes, département par département, l évolution des inscriptions de 2005 à 2006, la pyramide des ages,le mode d exercice ainsi que la moyenne d age qui permettent de se faire une idée sur les départs en retraite. La cartographie permet d avoir rapidement une photographie de la répartition des médecins par région en fonction de leurs spécialités et de voir quelle a été l évolution d une année sur l autre. Pour des raisons pratiques, il n a pas été possible de cartographier les éléments statistiques concernent les DOM-TOM.Toutefois, à la lecture des tableaux de chaque spécialité, nous pouvons émettre le même constat qu en France métropolitaine :vieillissement des médecins, féminisation et effectifs en diminution nous amènent à tirer la sonnette d alarme. Cet atlas permet de confirmer comme les années précédentes que la répartition des médecins est très inégalitaire et que s oppose une France du Sud très pourvue pour la quasi totalité des spécialités et une France du Nord en sous densité médicale et par ailleurs qu il existe dans presque toutes les spécialités un couloir partant de la Haute Normandie, passant par la Picardie, le Centre,l Auvergne,le Limousin qui, malgré certaines mesures incitatives à l installation, qui voit sa démographie médicale alarmante.. Plusieurs questions se posent :le numerus clausus : faut il l augmenter pour que les jeunes médecins continuent à bouder le libéral? Faut il continuer à proposer des incitations purement fiscales ou financières à des jeunes qui veulent privilégier la qualité de vie (étude BVA du Conseil National de l'ordre des Médecins ) à une rémunération qu ils veulent correcte mais ne mettent pas au premier rang de leur préoccupation?ne faut il pas avoir le courage de se lancer dans l aide à un nouveau mode d exercice libéral. Quant à l hôpital,pourquoi tant de postes non pourvus? Pourquoi ne pas casser cette barrière préhistorique entre la ville et l hôpital?les jeunes ont souvent deux métiers,pourquoi ne pas ouvrir les hôpitaux aux libéraux et permettre aux hospitaliers d aller exercer en ville (utilisation des plateaux techniques par exemple) Cet atlas va nous permettre d affiner département par département afin d étudier : le mode d exercice des nouveaux inscrits, le lieu de leur installation (pour les libéraux), l effet des incitations à l installation, et de nous permettre de faire des propositions précises aux Pouvoirs Publics dans le but d améliorer la répartition des médecins en fonction des besoins sur le territoire. Dr. Irène Kahn-Bensaude 3

4 SOMMAIRE MÉTHODOLOGIE I Les sources de données 6 6 II Les cartes de l atlas mode de lecture 7 III Les différentes cartes de l atlas 8 IV Les traitements statistiques 10 CHAPITRE I - LES GÉNÉRALITÉS 11 Les médecins en activité 12 La densité médicale 13 Le solde des entrées et sorties 16 La situation actuelle et les perspectives à moyen/long terme 21 Le profil démographique des médecins en activité 24 Le vieillissement 24 La féminisation 26 La répartition géographique 28 La région Nord-Pas-de-Calais 30 La région Rhône-Alpes 31 CHAPITRE II - L ATLAS DE LA DÉMOGRAPHIE MÉDICALE SPECIALITE PAR SPECIALITE Anatomie et cytologie-pathologiques Anesthésie-réanimation Réanimation médicale Biologie médicale Cardiologie et maladies vasculaires Chirurgie de la face et du cou Chirurgie générale Chirurgie infantile Chirurgie maxillo-faciale Chirurgie orthopédique et traumatologie Chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique Chirurgie thoracique et cardio-vasculaire Chirurgie urologique Chirurgie vasculaire Chirurgie viscérale et digestive Dermatologie et vénéréologie Endocrinologie et métabolisme Gastro-entérologie et hépatologie Génétique médicale Gériatrie Gynécologie médicale et obstétrique Gynécologie médicale Gynécologie-obstétrique Hématologie Médecine du travail Médecine générale Spécialité médecine générale Médecine interne Médecine nucléaire 86 4

5 30 - Médecine physiqu e et de réadaptation Néphrologie Neurochirurgie 33 - Neurologie Neuro-psychiatrie 35 - Onco-hématologie Oncologie médicale Ophtalmologie ORL et chirurgie cervico-faciale Pédiatrie Pneumologie Psychiatrie Psychiatrie de l enfant et de l adolescent Radiodiagnostic et imagerie médicale Radiodiagnostic et radiothérapie Radiothérapie et onco-radiothérapie Recherche médicale Rhumatologie Santé publique et médecine sociale Stomatologie 126 LES ANNEXES 128 5

6 MÉTHODOLOGIE Cet atlas sur la démographie médicale française, u nique en son genre, présente un état des lieux de la répartition des effectifs, des densités et de l évolution des effectifs des médecins spécialité par spécialité à l échelle départementale et régionale au 1 er janvier Il recense les médecins libéraux et salariés. L extrapolation des données a été effectuée, de façon préférentielle, sur l activité régulière des médecins permettant ainsi de restituer l offre effective des médecins sur le territoire national. I Les sources de données Les données utilisées, pour l élaboration de l atla s sur la démographie médicale française, proviennent exclusivement du fichier du Conseil National de l Ordre des Médecins (CNOM) à l exception des CHU/CHR dont la source est originaire de leur réseau ainsi que les effectifs de la population régionale française de 2006 provenant de l Institut National de la Statistique et des Études Économiques (INSEE). Soucieux des caractéristiques de la démographie médicale française et de ses problématiques, le Conseil National de l Ordre des Médecins (CNOM) réalise chaque année une mise à jour de son Tableau grâce à l implication et l investigation de chaque Conseil départemental de la France entière (Métropole + DOM/TOM). Ces derniers transmettent, au Conseil National de l Ordre des Médecins (CNOM), des informations très précises sur l état civil du médecin, son cursus universitaire et ses qualifications, son activité professionnelle, son mode d exercice À l échelon départemental, en cas de changement de lieu d exercice, le médecin est retiré du Tableau du département d origine et nouvellement inscrit dans le département destinataire. Ainsi, ces informations nous ont permis de dresser le bilan démographique de la population médicale française au 1 er janvier Tableau de l Ordre Fiche médecin/état civil 6

7 - Tableau de l Ordre Fiche médecin/inscription - Tableau de l Ordre Fiche médecin/adresses II Les cartes de l atlas mode de lecture Les cartes constituent «un outil privilégié pour voir et comprendre les disparités spatiales. Leurs constructions résultent d une succession de choix de traitements statistiques, graphiques et sémantiques. Ces choix orientent les formes de configurations spatiales contrastées et, par conséquent, la description et la répartition spatiale du phénomène étudié. Avant de s intéresser au contenu des cartes, de nombreux éléments viennent l habiller et compléter les informations nécessaires à leur lecture (G. Salem, L Atlas de la santé Volume 2).» 7

8 1. Habillage d une carte 1 Titre Légende Nombre de médecins par département Classes Maximum = 5798 Minimum = 112 Répartition des médecins généralistes par département Nom du département Calvados [ ] (32) [ [ (31) [ [ (33) Source Nombre Départements Moyenne = 977 Source : CNOM, 2007 Conception cartographique : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2007 Découpage départemental Les habits de la carte : 1 Le titre précise le type d indicateur étudié et l échelle spatiale 2 La légende présente, pour chaque plage de couleur, l intervalle des valeurs correspondantes. Le lecteur doit vérifier s il s agit de taux, d effectifs La moyenne départementale permet de situer chacune des unités spatiales par rapport à la moyenne nationale 3 La source précise l origine des informations (Source : Atlas de la santé, vol 2) 4 La couleur : une gamme allant du bleu foncé au blanc pour les effectifs, les densités et l évolution des effectifs entre 2005 et Le choix des couleurs correspond à la charte graphique du CNOM. III Les différentes cartes de l atlas III.1 Les cartes choroplètes Les cartes choroplètes (ou plages) sont des cartes dites thématiques. Elles permettent la représentation d une distribution statistique continue. À chaque plage de couleur est associé un intervalle de valeurs (G. Salem, L atlas de la santé, vol 2). Dans cet atlas, les plages de couleur sont classées en ordre décroissant. Exemple d une légende thématique Densité en anesthésie-réanimation pour habitants par région [15,4-20,5] Densité forte [13,1-15,4[ Densité moyenne [8,6-13,1[ Densité faible Les cartes thématiques de l atlas représentent : - La répartition des médecins (pour chaque spécialité) par département ; - La densité des médecins (pour chaque spécialité) pour habitants par région ; - L évolution des effectifs des médecins (pour chaque spécialité) entre 2005 et 2006 par région. 1 Exemple d une spécialité médicale 8

9 2. Exemple de cartes thématiques R épartition d e s m édecin s spécialistes e n c h irurgie g é nérale - p a r d é p a rte m e nt Densité des médecins spécialistes en chirurgie générale - par région Evolution des effectifs en chirurgie générale en tre e t p a r région B BRETAGN R E NORD-PAS DE-C ALA A IS HAU T E NORMA N DIE PIC P ICARDIE D IE CHAM C H A M PAGN NE E BAS SE ARD A RDEN N E NORMA N DIE D ILE -D E LO RRAIN INE E FRA N C E ALSA C E PAY S D E LA LOIR L E CENTRE T F FRA R A NCHE N C H B BOU OUR R GOGNE G N E E COM T E BRETAGNE BASSE PAYS DE LA LOIRE NORD-PAS DE-CALAIS HAUTE CENTRE PICARDIE ILE-DE FRANCE CHAMPAGNE ARDENNE BOURGOGNE LORRAINE FRANCHE COMTE ALSACE B BRETA R GN E BAS SE NORMA N D DIE PAY S D E LA L OIR E NORD-PAS DE-C ALA IS HAUTE T E NORMA N D DIE P PIC ICARDIE D IE CENTRE C E T C CHAM H A M PAG N NE E ILE -D E ARD A RDEN N E F FRA R A NCE N C E LO RRA INE ALSA C E BOU B R GOGNE G N E F FRA R A N CHE C H E COM T E POIT O U CHA R EN TE S LIM O U SIN A U VE RGNE RHONE-A R H O N E -ALPES POITOU CHARENTES LIMOUSIN AUVERGNE RHONE-ALPES POIT O U CHA A R REN TE S LIM O U SIN AUVE A U R RGNE G N E RHONE-A R H O N E-ALPES ES AQU I I TAIN E MID I I P YRENEE S PACA AQUITAINE MIDI PYRENEES PACA AQU I TAIN E MID I I PYR P YRENEE E N EES S PACA A LA L A NGUEDOC O C ROUSSILL ON LANGUEDOC ROUSSILLON LA NGUEDOC O C ROUSSILL ON CORSE CORSE CORSE Effectifs par classe [ ] (30 ) [29-47[ (34 ) [1-29[ (32 ) Max imum = 33 4 M oyenne = 37 Minimum = 1 Densité par région pour habitants [6,4-8,3] Densité forte (7) [5,3-6,4[ Densité moyenne (6) [4,4-5,3[ Densité faible (9) 1 CHRU Maximum = 8,3 Minimum = 4,4 E volution en pourc entage [1-5] A ugmenta tion(5) [0-1[ P a s d'évolution(1) [-1 0-0[ D im inution (16) 1 C H RU Max imum = +5 % M in imum = -1 S o urce : CN O M, C o nce ption c arto graphique : CN O M, G. L e Breton-L erouvillo is, Source : CNOM, 2007; réseau-chu 2007, INSEE 2006 Conception cartographique : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2007 S o urce : C N O M, 2007 ; rés eau-c hu C o nception c artograph ique : CN OM, G. Le Breton -L erou villois, 2007 À partir de tests statistiques (Chi² et calcul d intervalles de confiance), chaque carte thématique représente, avec une fiabilité >= à 95%, la démographie médicale française. Cette méthodologie permet de recenser les médecins se situant dans la moyenne (intervalle de confiance), supérieure à la moyenne et inférieure à la moyenne. III.2 La carte en points La carte en points a été utilisée dans cet atlas pour représenter les effectifs des médecins pour chacune des spécialités. Un point représente un médecin. 3. L exemple de la carte en points Répartition des médecins spécialistes en anatomie et cytologie-pathologiques - par département NORD-PAS DE-CALAIS Clé de lecture de la carte en points : BRETAGNE HAUTE PICARDIE CHAMPAGNE BASSE ILE-DE ARDENNE LORRAINE FRANCE ALSACE PAYS DE CENTRE FRANCHE LA LOIRE BOURGOGNE COMTE POITOU CHARENTES LIMOUSIN AUVERGNE RHONE-ALPES Par exemple, nous comptons 25 médecins spécialistes en anatomie et cytologie-pathologiques dans le département du Bas-Rhin. AQUITAINE MIDI PYRENEES LANGUEDOC ROUSSILLON PACA CORSE 25 points sont ainsi dispersés, de manière aléatoire, sur l ensemble du département. 1 Point = 1 médecin Maximum = 204 Minimum = 0 Source : CNOM, 2007 Conception cartographique : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2007 L objectif de cette carte n est pas de compter le nombre de points mais d identifier des regroupements. Ils peuvent fournir les premiers éléments d explication de la répartition spatiale des médecins pour chaque spécialité. 9

10 IV Les traitements statistiques Les données statistiques, une fois extraites du Tableau de l Ordre, ont été traitées sous les logiciels Access et Excel. Les cartes ont été réalisées à partir d un Système d Information Géographique (SIG). Les données ont été importées sous un format Excel, ensuite référencées dans une table à partir d une variable géographique (région, département). Chaque ligne d observation correspond à une variable spatiale. À partir des effectifs de médecins par spécialité, nous avons pu élaborer des cartes thématiques grâce à la fonction écart-type du SIG, en y incluant un Intervalle de Confiance à 95% 2. La méthode consiste en : la répartition de la classe médiane se fait à la moyenne des valeurs. Les classes au dessus et au dessous de cette classe sont à un écart type de la valeur. Il y a donc un nombre de classes optimal en fonction de vos données (Bruno Granger). Cette répartition nous a permis d établir une classification en trois strates : forte, moyenne et faible. Concernant les cartes d évolution du nombre de médecins par spécialité entre 2005 et 2006, nous avons créé trois classes permettant d identifier les territoires géographiques qui enregistrent une augmentation, une diminution ou pas d évolution. Pour certaines spécialités, nous avons défini une quatrième classe recensant les régions n ayant aucun médecin dans la spécialité étudiée. 2 Intervalle de Confiance : calculé à partir de la moyenne et de l écart type d un échantillon, l intervalle contient à 95% des cas, la moyenne inconnue ou le pourcentage d une certaine propriété de la population (F. Gilbert, «Les indicateurs en santé mentale», Fondation MGEN). 10

11 CHAPITRE I LES GÉNÉRALITÉS 11

12 Les médecins en activité Une croissance qui s essouffle Au 1 er janvier 2007, on compte médecins inscrits au tableau de l Ordre, soit presque 1% de plus qu en Parmi ces médecins, sont en activité et retraités. Pour la métropole, les médecins en activité sont au nombre de , soit une progression de 1% par rapport à Pour la France entière, l effectif de médecins s élève à médecins ; dont pour les DOM/TOM. Tableau 1 : Effectifs au 1 er Janvier 2007 Médecins inscrits au Effectifs au Effectifs au Variation Tableau de l Ordre 1 er janvier er janvier 2007 Actifs ,5% Retraités ,5% TOTAL ,9% Source : CNOM - Effectifs des médecins inscrits au Tableau de l Ordre de 1979 à R etraités A c tifs Source : CNOM au 1 er janvier 2007 En vingt-huit ans, le nombre de médecins en activité est passé de à soit une augmentation de 91% en un peu plus d un quart de siècle. Concernant les médecins retraités, les effectifs sont passés de en 1979 à , soit une augmentation de 472% en à peine trente ans. La population médicale vieillit d autant plus que seules les années 1980 ont connu les plus fortes croissances d effectifs avec en moyenne +3,2%/an ; tandis que les années quatre-vingt-dix ont vu un net ralentissement de la progression (environ +1%/an). Parallèlement la population des médecins retraités ne cessent de croître de façon exponentielle. 12

13 La densité médicale Selon les estimations de population régionale INSEE en , la population française métropolitaine compterait d habitants au 1 er janvier La densité 4 médicale métropolitaine a ainsi évolué de 206 médecins pour habitants en 1979 à 340,4 médecins pour habitants au 1 er janvier 2007 ; soit une croissance d environ 65%.La densité médicale se répartit de la manière suivante : médecins généralistes pour habitants - 169,4 médecins spécialistes pour habitants Densité régionale de médecins (généralistes + spécialistes) par rapport à la moyenne nationale M oyenne = 340/ habitants Picardie Centre Haute-Normandie Pays-de-la-Loire Basse-Normandie Champagne Ardenne Bourgogne Poitou-Charentes Franche Comté Auvergne Nord-Pas-de-Calais Lorraine Bretagne Rhône-Alpes Corse Limousin Alsace Aquitaine Midi-Pyrénées Languedoc-Roussillon PACA Ile-de-France Source : CNOM Pour l ensemble des médecins, sept régions sur vingt-deux sont au-dessus de la densité moyenne nationale (340/ habitants). La région Bretagne compte une densité égale à la moyenne nationale. Les régions Picardie, Centre et Haute-Normandie sont les trois régions dénombrant les plus faibles densités (<280 médecins pour habitants) ; tandis que les régions PACA et Ile-de-France ont une densité >410 médecins pour habitants. Pour les médecins en activité régulière, la densité médicale s établit à 315,5 médecins pour habitants au 1 er janvier Cette densité semble être au plus près de l offre réelle des médecins sur le territoire. Les cartes de la page suivante ont été élaborées à partir des effectifs réguliers. 3 «Les estimations de population régionale que l INSEE publie depuis trois ans tiennent compte des évaluations effectuées grâce aux collectes annuelles de recensement et des estimations basées sur le recensement de 1999 et mises à jour chaque année à partir des données d état civil et de plusieurs sources administratives. La date de référence est le 1 er janvier 2006» INSEE, En activité totale 13

14 4. Densités des médecins généralistes et spécialistes, en activité régulière, par région Densité des médecins généralistes et spécialistes en activité régulière par région NORD-PAS-DE-CALAIS HAUTE PICARDIE BASSE ILE-DE-FRANCE CHAMPAGNE ARDENNE LORRAINE BRETAGNE ALSACE PAYS DE LA LOIRE CENTRE BOURGOGNE FRANCHE-COMTE POITOU CHARENTES Densité médecins en activité régulière par région pour habitants LIMOUSIN AUVERGNE RHONE-ALPES [ ] Densité forte (8) [ [ Densité moyenne (3) [ [ Densité faible (11) Maximum = 417 Minimum = 260 Moyenne = 321 AQUITAINE MIDI PYRENEES LANGUEDOC ROUSSILLON PACA CORSE Source : CNOM 2007, INSEE 2006 Conception cartographique : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2007 Densité des médecins généralistes en activité régulière par région Densité des médecins spécialistes en activité régulière par région NORD-PAS-DE-CALAIS NORD-PAS-DE-CALAIS BRETAGNE HAUTE CHAMPAGNE BASSE ARDENNE ILE-DE-FRANCE ALSACE BRETAGNE HAUTE CHAMPAGNE BASSE ARDENNE ILE-DE-FRANCE ALSACE PAYS DE LA LOIRE CENTRE BOURGOGNE PAYS DE LA LOIRE CENTRE BOURGOGNE POITOU CHARENTES AUVERGNE RHONE-ALPES POITOU CHARENTES AUVERGNE RHONE-ALPES AQUITAINE MIDI PYRENEES LANGUEDOC ROUSSILLON PACA AQUITAINE MIDI PYRENEES LANGUEDOC ROUSSILLON PACA CORSE CORSE Densité des médecins généralistes par région pour habitants Densité des médecins spécialistes par région pour habitants [ ] Densité forte (7) [ [ Densité moyenne (8) [ [ Densité faible (7) Maximum = 201 Minimum = 140 Moyenne = 168 [ ] Densité forte (7) [ [ Densité moyenne (4) [ [ Densité faible (11) Maximum = 234 Minimum = 112 Moyenne = 153 Source : CNOM 2007, INSEE 2006 Conception cartographique : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2007 Source : CNOM 2007, INSEE 2006 Conception cartographique : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2007 «Deux phénomènes sont apparents : l héliotropisme et l attraction de la capitale. Il y a bien deux France de densité médicale : le Sud, l Ile-de-France et l Alsace avec une densité supérieure à 320 ; le reste de la France avec une densité inférieure à 300. Cependant, les disparités régionales sont nettement moins importantes pour les généralistes que pour les spécialistes» (ONDPS, 2005). 14

15 Les inégalités infra-régionales constituent un niveau d analyse indispensable pour s assurer que les besoins sont bien couverts. Or d importantes disparités existent au sein des régions. 5. Densités des médecins généralistes et spécialistes, en activité régulière, par département Densité des médecins généralistes et spécialistes en activité régulière par département NORD-PAS-DE-CALAIS HAUTE PICARDIE BASSE ILE-DE-FRANCE CHAMPAGNE ARDENNE LORRAINE BRETAGNE ALSACE PAYS DE LA LOIRE CENTRE BOURGOGNE FRANCHE COMTE POITOU CHARENTES LIMOUSIN AUVERGNE RHONE-ALPES Densité des médecins généralistes et spécialistes en activité régulière pour habitants [ ] Densité forte (30) [ [ Densité moyenne (18) [ [ Densité faible (48) AQUITAINE MIDI PYRENEES PACA Maximum = 781 Minimum = 183 Moyenne = 287 LANGUEDOC ROUSSILLON CORSE Source : CNOM 2007, INSEE 2005 Conception cartographique : CNOM, G.Le Breton-Lerouvillois, 2007 Densité des médecins généralistes en activité régulière par département Densité des médecins spécialistes en activité régulière par département NORD-PAS-DE-CALAIS NORD-PAS-DE-CALAIS BRETAGNE HAUTE CHAMPAGNE BASSE ARDENNE LORRAINE ILE-DE-FRANCE ALSACE PAYS DE CENTRE LA LOIRE FRANCHE COMTE BRETAGNE HAUTE CHAMPAGNE BASSE ARDENNE LORRAINE ILE-DE-FRANCE ALSACE PAYS DE LA LOIRE CENTRE FRANCHE BOURGOGNE COMTE POITOU CHARENTES AUVERGNE RHONE-ALPES POITOU CHARENTES AUVERGNE RHONE-ALPES AQUITAINE MIDI PYRENEES PACA AQUITAINE MIDI PYRENEES PACA LANGUEDOC ROUSSILLON LANGUEDOC ROUSSILLON CORSE CORSE Densité des médecins généralistes par département pour habitants Densité des médecins spécialistes par département pour habitants [ ] Densité forte (33) [ [ Densité moyenne (22) [ [ Densité faible (41) Maximum = 270 Minimum = 107 Moyenne = 150 [ ] Densité forte (31) [ [ Densité moyenne (19) [68-126[ Densité faible (46) Maximum = 512 Minimum = 69 Moyenne = 138 Source : CNOM 2007, INSEE 2005 Conception cartographique : CNOM, G.Le Breton-Lerouvillois, 2007 Source : CNOM 2007, INSEE 2005 Conception cartographique : CNOM, G.Le Breton-Lerouvillois,

16 Le solde des entrées et sorties Le solde des entrées et des sorties dans le Tableau de l Ordre détermine l évolution des effectifs des médecins en activité d une année sur l autre. En France entière, que l activité soit régulière ou totale, nous enregistrons 0,5% de médecins en plus qu au 31 décembre 2005 (cf. annexes).! Les entrées Au 31 décembre 2006, médecins en activité se sont inscrits à l Ordre ; dont 4187 en France métropolitaine et 114 dans les DOM/TOM (cf. annexes). Le solde des entrées en France entière enregistre une diminution de 7,4% des effectifs par rapport à l année précédente. Un quart des nouvelles inscriptions proviennent de la région Ile-de- France. - Nouvelles inscriptions au tableau par région, au 31 décembre 2006 ILE DE FRANCE RHONE ALPES PROVENCE ALPES COTES D'AZUR NORD P AS DE CALAIS AQUITAINE M IDI P YRENEES BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE LANGUEDOC ROUSSILLON ALSACE LORRAINE CENTRE HAUTE POITOU CHARENTES BASSE NORM ANDIE AUVERGNE FRANCHE COM TE PICARDIE BOURGOGNE CHAMPAGNE ARDENNES LIM OUSIN CORSE 7,4% 7,2% 5,2% 4,6% 4,5% 4,4% 4,2% 4, 3,9% 2,7% 2,3% 2,2% 2,1% 2,1% 1,8% 1,8% 1,8% 1,7% 1,1% 0,4% 10,8% 23,7% 6. Répartition des nouveaux inscrits par région au 31 décembre 2006 Part des nouveaux inscrits au 31 décembre 2006 par région NORD-PAS DE-CALAIS BRETAGNE HAUTE PICARDIE CHAMPAGNE BASSE ARDENNE ILE-DE-FRANCE LORRAINE ALSACE PAYS DE LA LOIRE CENTRE BOURGOGNE FRANCHE COMTE POITOU CHARENTES LIMOUSIN AUVERGNE RHONE-ALPES Part des nouveaux inscrits [7% - 24%] (4) [3% - 7%[ (8) [0-3%[ (10) AQUITAINE MIDI-PYRENEES PACA Maximum = 24% Minimum = 0,36% Moyenne = 4,5% CORSE Source : CNOM 2007 Conception cartographique : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois,

17 - Répartition par tranche d âge des nouveaux inscrits, en activité globale, selon l origine du diplôme (Proportion de femmes = 53,1) % % 35% 3 23% 1 15% 16% 12% 12% 7% 9% 2% 2% 2% <35 ans ans ans ans >=50 ans Diplômés en France Diplômés de l'union européenne Diplômés hors Union européenne Source : CNOM - Répartition par tranche d âge des nouveaux inscrits, en activité régulière, selon l origine du diplôme (Proportion de femmes = 51) % 41% 38% 29% 25% 11% 13% 7% 9% 11% 12% 1 2% 2% 2% <35 ans ans ans ans >=50 ans Diplômés en France Diplômés de l'union européenne Diplômés hors Union européenne Source : CNOM Pour la quatrième année consécutive, les femmes sont en effectif plus importants (53%) que les hommes à s inscrire à l Ordre des médecins. On peut noter une légère diminution (-0,2%) par rapport à l année précédente. - Répartition par tranche d âge des nouveaux inscrits au 31 décembre 2006 >= 50 ans ans Hommes 1957 Age moyen : 34 ans Femmes 2216 Age moyen : 32 ans ans ans ans < 30 ans

18 En France métropolitaine, les médecins qui s inscrivent sont en moyenne âgés de 33 ans ; les femmes étant plus jeunes que les hommes (32 ans contre 34 ans). Cet âge moyen est relativement élevé compte tenu de l âge théorique de fin d étude, entre 25 et 29 ans, ce qui s explique par le processus plus ou moins long de l installation et par le fait que l inscription des médecins étrangers se fait à un âge plus avancé. La pyramide des âges, ci-dessus, nous informe que les nouveaux inscrits âgés de 40 ans et plus sont peu nombreux. Il s agit habituellement de praticiens qui changent de nature d exercice et surtout de lieu de pratique puisque il est nécessaire de s inscrire à nouveau au tableau du Conseil départemental d installation. - Répartition des médecins nouveaux inscrits (pour les spécialités médicales et chirurgicales) Pédiatrie Chirurgie Générale Psychiatrie Anesthésie-Réanimation Gynécologie Médicale et Obstétrique Radiodiagnostic et Imagerie Médicale Cardiologie et maladies vasculaires Ophtalmologie Dermatologie et Vénéréologie Médecine du Travail Gastro-Entérologie et Hépathologie Médecine Interne Biologie Médicale Pneumologie Neurologie Endocrinologie Métabolisme Santé Publique et Médecine Sociale Nephrologie Spécialité Médecine Générale Rhumatologie ORL (et Chirurgie Cervico-Faciale) Médecine Nucléaire Chirurgie Orthopédique et Traumatologie Médecine Physique et de Réadaptation Anatomie et Cytologie-Pathologiques Hématologie Neurochirurgie Oncologie Médicale ORL Radiothérapie Chirurgie Viscérale et Digestive Gériatrie Gynécologie Médicale Génétique Médicale Chirurgie Vasculaire Chirurgie Infantile Psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent Chirurgie Plastique Reconstructrice et Chirurgie Thoracique et Cardio Vasculaire Gynécologie-Obstétrique Chirurgie Urologique Recherche Médicale Stomatologie Neuro-Psychiatrie Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie0 Chirurgie de la Face et du Cou0 Oncologie-Hémathologie0 Réanimation Médicale0 Radiodiagnostic et Radiothérapie

19 - Évolution, 2005/2006, des médecins nouvellement inscrits spécialité par spécialité Stomatologie Spécialité Médecine Générale Santé Publique et Médecine Sociale Rhumatologie Recherche Médicale Radiothérapie -19% -44% -63% Radiodiagnostic et Imagerie Médicale -35% Psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent 10 Psychiatrie -1% Pneumologie 28% Pédiatrie ORL (et Chirurgie Cervico-Faciale) Ophtalmologie Oncologie-Hémathologie Oncologie Médicale -34% -39% 14% 7% Neuro-Psychiatrie Neurologie Neurochirurgie Nephrologie % Médecine Physique et de Réadaptation Médecine Nucléaire Médecine Interne Médecine du Travail -28% -16% 13% 9% Hématologie Gynécologie-Obstétrique Gynécologie Médicale et Obstétrique Gynécologie Médicale -25% 15% 10 Gériatrie Génétique Médicale Gastro-Entérologie et Hépathologie Endocrinologie Métabolisme -5-15% 8% Dermatologie et Vénéréologie Chirurgie Viscérale et Digestive Chirurgie Vasculaire Chirurgie Urologique Chirurgie Thoracique et Cardio Vasculaire -6 15% 25% 33% Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique Chirurgie Orthopédique et Traumatologie Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie Chirurgie Infantile 125% 30 Chirurgie Générale Chirurgie de la Face et du Cou Cardiologie et maladies vasculaires Biologie Médicale -11% -4% -27% Anesthésie-Réanimation Anatomie et Cytologie-Pathologiques -36% -32%

20 ! Les sorties Au 1 er janvier 2007, on dénombre 4774 médecins qui sont sortis du Tableau de l Ordre pour causes de décès, radiation ou retraite ; soit une augmentation de près de 43% par rapport à l année précédente. Parmi ces sorties, 49% concernent les médecins généralistes et 51% les médecins spécialistes. Tableau 2 : Les sorties du Tableau de l ordre Hommes Femmes Ensemble Effectifs % Effectifs % Effectifs Généralistes % % 2362 Spécialistes % % 2412 Source : CNOM 6 des médecins sortis du tableaux sont âgés de 65 ans et plus tout en sachant que près de 17% d entre eux sont nés en 1926 et avant. L âge moyen de sortie du Tableau est actuellement de 66. Les femmes sortant du Tableau sont en moyenne âgées de 62 ans et les hommes 68 ans. - Répartition par tranche d âge des médecins sortants selon le sexe (Métropole) Pourcentage de médecins Hommes Femmes 7% 2% 2% 3% 4% 2% 3% 4% <=39 ans 40 à 44 ans 45 à 49 ans 50 à 54 ans Classes d'âge 6% 6% 55 à 59 ans 23% 60 à 64 ans 62% 38% 38% >=65 ans Les médecins retraités ne sont pas obligés de rester inscrits au Tableau, s ils restent, avec une cotisation minorée, ils peuvent prescrire pour eux ou leur famille. 20

21 La situation actuelle et les perspectives à moyen/long terme «Par arrêté de la ministre de l enseignement supérieur et de la recherche et de la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports en date du 28 juin 2007, les postes offerts aux épreuves classantes nationales en médecine au titre de l année universitaire sont ouverts par interrégion et discipline répartis dans chacune des subdivisions d internat» (JO 08/07/07 de la République Française). Tableau 3 : No mbre de postes offerts d ans les spécialités pour l année universitaire (Arrêté du 25 mai 2005 JO du 31 mai 2005) Ile de Nord Nord Rhône Ouest Sud Sud Antilles Total France Est Ouest Alpes Ouest Guyane Spécialités médicales Spécialités chirurgicales Médecine générale Anesthésie réanimation Biologie médicale Gynécologie médicale Gynécologie obstétrique Médecine du travail Pédiatrie Psychiatrie Santé Publique Total Source : JO Tableau 4 : Nombre de postes offerts dans les spécialités pour l année universitaire (Arrêté du 19 juin 2006 JO du 28 juin 2006) Ile de Nord Nord Rhône Ouest Sud Sud Antilles Total France Est Ouest Alpes Ouest Guyane Spécialités médicales Spécialités chirurgicales Médecine générale Anesthésie réanimation Biologie médicale Gynécologie médicale Gynécologie obstétrique Médecine du travail Pédiatrie Psychiatrie Santé Publique Total Source : JO Tableau 5 : Nombre de postes offerts dans les spécialités pour l année universitaire (Arrêté du 28 juin 2007 JO du 08 juillet 2007) Ile de Nord Nord Rhône Ouest Sud Sud Antilles Total France Est Ouest Alpes Ouest Guyane Spécialités médicales Spécialités chirurgicales Médecine générale Anesthésie réanimation Biologie médicale Gynécologie médicale Gynécologie obstétrique Médecine du travail Pédiatrie Psychiatrie Santé Publique Total Source : JO Le nombre de postes ouverts en 2007 a augmenté de 13% par rapport à l année Sur les 5366 postes ouverts, 2866, c est-à-dire 53%, sont des postes d internes en médecine générale. Selon une étude de la DREES les hommes et les femmes ne font pas 21

22 les mêmes arbitrages entre les disciplines. Toutefois la discipline «spécialités médicales» apparaît comme la plus prisée pour les hommes comme pour les femmes. Pour ces dernières, arrivent ensuite la pédiatrie, et juste après, en troisième position, la médecine générale. Après la médecine générale, les femmes privilégient les spécialités chirurgicales, l anesthésie-réanimation, la gynécologie-obstétrique, la psychiatrie et la biologie médicale. Les hommes mettent en deuxième position les spécialités chirurgicales et en troisième l anesthésie-réanimation. La médecine générale arrive juste après. Viennent ensuite la pédiatrie, la biologie médicale, la gynécologie-obstétrique et la psychiatrie. Pour les hommes et les femmes, les disciplines qui apparaissent comme les moins prisées selon le critère retenu sont, dans l ordre, la gynécologie médicale, la santé publique et la médecine du travail 5. Tableau 6 : Classement des disciplines dans l ordre des préférences des étudiants en 2006 Femmes Hommes Ensemble des étudiants 1 Spécialités médicales Spécialités médicales Spécialités médicales 2 Pédiatrie Spécialités chi rurgicales Spécialités chirurgicales 3 Médecine générale Anesthésie-réanimation Anesthésie-réanimation 4 Spécialités chirurgicales Médecine générale Pédiatrie 5 Anesthésie-réanimation Pédia trie Médecine générale 6 Gynécologie-obstétrique Biologie médicale Gynécologie-obstétrique 7 Psychiatrie Gynécologie-obstétrique Psychiatrie 8 Biologie médicale Psychiatrie Biologie médicale 9 Gynécologie médicale Gynécologie médicale Gynécologie médicale 10 Santé publique Santé publiq ue Santé publique 11 Médecine du travail Médecine du travail Médecine du travail Source : Fichiers de gestion automatisée des ECN de la DHOS, exploitation DREES Tableau 7 : Part des femmes dans chaque discipline de 2004 à 2006 Discipline Part des femmes dans les disciplines Gynécologie médicale 87, Pédiatrie 82,1 82,1 87,2 Gynécologie obstétrique 79,1 82,7 82 Spécialités médicales 58,2 64,5 62,9 Médecine générale 61,5 58,1 62,5 Psychiatrie 67, Ensemble des disciplines 57,9 58,6 59,8 Biologie médicale 51,7 58,6 56,9 Santé publique 47, ,7 Médecine du travail 67,9 62,5 47,2 Anesthésie-réanimation 42,4 46,1 46,5 Spécialités chirurgicales 29,5 Source : Fichiers de gestion automatisée des ECN de la DHOS, exploi tation DREES 35, 8 36,6 Les femmes représentent p lus des qua tre cinquièm es des étudiants affectés en gynécologie-obstétrique et en pédiat rie. Elles reste nt e n reva nche minoritaires en anesthésie-réanimation et en spécialités chirurgicale s, et le devien nent en médecine du travail. Elles ne sont que légèrem ent sur-représentées parmi les candidats affectés en médeci ne générale et en spécialités médica les, disciplines composées respectivement de 62,5% et de 62,9% de femmes, contre 59,8 % pour l ensemble des disciplines 6. 5 Etudes et résultats, Les affectations des étudiants en médecine à l issue des épreuves classantes nationales en 2006, n 571, DREES, avril DREES, n 571, avril

23 - Taux d affectation des postes ouverts en médecine générale aux ECN en 2006 (hors résidents) Pourcentage 30,8 32,534,737, ,451,5 54, ,6 77, , , ,590,891,892, ,8 98, Reims Tours Dijon Caen Limoges ane ncy Antilles-G uy Na Angers Rouen Amiens St rasbo urg Poitier s Br es t Paris/Ile-de-France Saint-Etienne Lille Clermont-Ferrand Toulouse Grenoble Lyon Nantes Besançon Nice Bordeaux Lieu d'affectation Aix-Mar seille Montpellier Océan-Indien Rennes Source : Fichiers de gestion automatisée des ECN de la DHOS, exploitation DREES D après l étude de la DREES, les villes où tous les postes ne sont pas pourvus pas en médecine générale (13 sur 28) correspondent principalement aux villes moyennes en périphérie du bassin parisien (Amiens, C aen, Rouen, Reims, D ijon, Angers, Tours). La plupart de ces subdivisions offrent un grand nombre de postes en médecine générale au regard du nombre d étudiants qui y sont formés 7. 7 Etudes et résultats, Les affectations des étudiants en médecine à l issue des épreuves classantes nationales en 2006, n 571, DREES, avril

24 Le profil démographique des médecins en activité Le vieillissement L âge moyen des médecins en activité est de 49 ans (respectivement 47 ans pour les femmes et 50 ans pour les hommes). Le rétrécissement à la base de la pyramide des âges des médecins traduit un vieillissement marqué de la population médicale (cf. graphique cidessous). L effectif des médecins de moins de 40 ans et inférieur à celui des plus de 50 ans. Ce vieillissement accru du corps médical amène, à plus ou moins court terme, à poser problèmes dans certaines spécialités (cf. pyramides des âges spécialité par spécialité Atlas) dont les caractéristiques de pénibilité et de disponibilité (gardes, urgences ) sont importantes. Nous présentons dans les graphiques suivants la pyramide des âges pour tous les médecins en activité globale, en activité régulière et enfin ceux qui sont «temporairement sans activité» et «remplaçants». - Pyramide des âges de l ensemble des médecins en activité globale (métropole) >=65 ans Hommes ( médecins) âge moyen : 50 ans Femmes ( médecins) âge moyen : 47 ans ans ans ans ans ans <=40 ans Pyramide des âges de l ensemble des médecins en activ ité régulière (métropole) >=65 ans Hommes ( médecins) âge moyen : 50 ans Femmes ( médecins) âge moyen : 47 ans ans ans ans ans ans <=40 ans

25 - Pyramide des âges de l ensemble des médecins remplaçants (métropole) >= 65 ans Hommes (3 905 médecins) âge moyen = 45 ans Femmes (5 266 médecins) âge moyen = 40 ans ans ans ans ans ans <=40 ans Pyramide des âges de l ensemble des médecins temporairemen t sans activité (métropole) Hommes (1 777 médecins) >= 65 ans âge moyen = 55 ans Femmes (2 119 médecins) âge moyen = 51 ans ans ans ans ans ans <= 40 ans Le profil démographique des médecins dont l activité n est pas régulière marque de fortes spécificités. La population féminine majoritaire y est particulièrement jeune. Le chapitre qui suit va permettre d analyser les caractéristiques de la population féminine au regard de la distinction généraliste/spécialiste. 25

26 La féminisation En France métropolitaine, les femmes représentent 39,6% des médecins en activité globale ; soit quatre fois plus qu au début des années Force est de constater que la médecine se féminise, le CNOM a réalisé en 2005 (sous la présidence de Mme le Dr Irène Kahn-Bensaude / Présidente de la section santé publique) une enquête auprès des jeunes et futurs médecins pour préciser les effets de la féminisation sur le corps médical. «La féminisation de la médecine est sans aucun doute le moteur du changement auquel on assiste depuis quelques années. C est en effet sous l impulsion des femmes que les médecins, dans leur globalité, revendiquent aujourd hui une meilleure qualité de vie» Dr Irène Kahn-Bensaude (cf. La féminisation : une chance à saisir, CNOM 2005). - Proportion de femmes, en activité globale, selon l âge et la répartition généraliste/spécialiste de chaque tranche d âge 7 Total en activité : femmes et hommes % 25% 22% 17% 2 32% 29% 27% 25% 18% <35 ans ans ans ans ans 18% 15% ans 14% 12% 9% 8% ans >=65 ans Spécialistes Généralistes À la lecture du graphique, nous constatons que la proportion de femmes est d autant plus élevée que les classes d âge sont jeunes ; 32% pour les généralistes et 27% chez les spécialistes pour les femmes âgées de moins de 35 ans. Jusqu aux tranches d âge ans les femmes sont proportionnellement plus importantes chez les généralistes que chez les spécialistes. À partir de la tranche d âge ans et au-delà, on constate une inversion des tendances. - Proportion de femmes, en activité régulière, selon l âge et la répartition généraliste/spécialiste de chaque tranche d âge 6 5 Total en activité : femmes et hommes Spécialistes Généralistes % 26% 22% 17% 2 18% 14% 25% 26% 25% 24% 12% 17% 14% 9% 7% <35 ans ans ans ans ans ans ans >=65 ans 26

27 Le graphique n 19 présente uniquement la population en activité régulière et permet de relativiser l augmentation de l activité féminine par un critère qualitatif. Ce graphique se distingue du premier par la structure de la population jeune. 56% des jeunes médecins en activité régulière sont des femmes contre 59% en activité globale ; âgées de moins de 35 ans. Proportion de femmes, remplaçantes, selon l âge et la répartition généraliste/spécialiste de chaque tranche d âge % Total remplaçants : femmes et hommes 12% 15% 15% Spécialistes Généralistes 4 18% 21% % 53% 47% 42% 31% 25% 17% 11% 13% 11% <35 ans ans ans ans ans ans ans >=65 ans Ce dernier graphique souligne l importante représentation des femmes dans les activités de remplacement, notamment lorsqu elles exercent en médecine générale. Les médecins dont l activité est irrégulière et ayant moins de 45 ans, sont à plus de 64% des femmes. Bien que la médecine se soit féminisée ces quarante dernières années, il semble que la précarité touche plus fortement les femmes en début de vie active. Par ailleurs, Mme le Dr Irène Kahn-Bensaude constate que «la féminisation de la médecine se fait encore sur un mode inégalitaire. Les femmes n accèdent encore que rarement à des postes dits de pouvoir. Il y a dans leurs rangs, peu de professeurs, par exemple. Par ailleurs, il existe un certain nombre de spécialités à plus grande pénibilité où elles sont quasi absentes la psychiatrie, la chi rurgie, l orthopédie, la neurochirurgie. D autres spécialités, en revanche, connaissent une concentration remarquable de femmes : c est le cas pour la dermatologie, la pédiatrie ou encore la gynécologie médicale» 8 (cf. Atlas sur la démographie médicale). Cette étude nous informe également que les femmes ne souhaitent pas exercer en milieu rural ; pas plus que les hommes. Hommes NSP 6% Rural 11% Les 2 5% Rural 8% Femmes Les 2 3% NSP 9% Ville 8 Ville 78% 8 Dans le bulletin de l Ordre, du mois de Avril

28 La répartition géographique Depuis une petite dizaine d années, de nombreuses études ont démontré que malgré une croissance continue du nombre de médecins en France et une densité médicale aujourd hui à son plus haut niveau historique, la répartition géographique et disciplinaire reste inégale sur l ensemble du territoire français. Dans le cadre de la réalisation de «l Atlas de la démographie médicale», la problématique de la répartition géographique a été abordée spécialité par spécialité sous la forme des effectifs et des densités (cf. deuxième partie de cette brochure). Face à ce constat, des mesures ont été adoptées en France pour améliorer la répartition géographique des médecins et inciter à l exercice dans les zones en difficultés, rurales ou urbaines. Au niveau national, l État et l Assurance maladie privilégient les aides financières à l installation ou au maintien en exercice et les outils d information. À l échelle régionale, les mesures portent principalement sur la formation et soutiennent les initiatives des professionnels de santé visant à s organiser autrement (médecine de groupe, délégation des tâches, télémédecine) 9. Le principe est de considérer une zone comme étant en difficulté lorsqu elle conjugue une faible densité et une forte activité des médecins généralistes en activité et un recours aux soins peu important. Mais l évaluation de ces trois éléments a été affinée grâce à l introduction de nouveaux critères. La définition de l offre de soins a ainsi fait appel aux éléments suivants : - La densité médicale corrigée des flux et de la structure par âge de la population, parce que celle-ci conditionne fortement les besoins ; - L activité moyenne des généralistes de la zone, ainsi que la proportion de médecins effectuant plus de 7500 consultations ou visites dans l année ; - La proportion de médecins de plus de 60 ans. Pour apprécier le recours aux soins, ont été intégrés : - Les consommations et visites de personnes de 75 ans et plus dont la consommation de soins est très sensible à l accessibilité ; - Des indicateurs mesurant les déplacements hors de la zone pour la population générale et pour les plus de 75 ans spécifiquement. Sur la base de scores établis grâce à ces différents indicateurs, des zones ont été identifiées comme en difficulté, fragiles ou sans problème 10. En 2006, les travaux des Missions Régionales de Santé apportent un autre éclairage s ur les zones déficitaires notamment en médecins généralistes. Sur la base de la densité médicale inférieure de 3 à la moyenne et du niveau d activité supérieur d au moins 3 à la moyenne ; mais complétés localement par des éléments de distance, ou d âge des professionnels ou des populations, les Missions Régionales de Santé ont retenu les zones prioritaires suivantes (cf. carte) IRDES, n 122, mai ONDPS, Tome 1, rapport ONDPS, Tome 1, rapport

29 7. Communes déficitaires en médecins généralistes Source : ONDPS, Ministère de la Santé Les résultats régionaux sont toutefois très contrastés puisque, dans trois régions Alsace, Corse, PACA -, aucune zone déficitaire n a été retenue, tandis que les zones déficitaires représentent plus de 1 de la population régionale dans quatre régions (Auvergne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Guadeloupe) 12. Comme nous le faisions remarquer précédemment de nombreuses études ont démontré la répartition inéquitable des médecins sur le territoire français ; face à ces inégalités des zones géographiques ont été définies comme étant sous-médicalisées, puis un certain nombre de mesures incitatives ont été mises en place. Si peu de mesures ont été évaluées à ce jour, le CNOM a souhaité à titre exploratoire réalisé un état des lieux des médecins nou vellement inscrits au Tableau de l ordre ; en se posant la question suivante : est-ce que les médecins nouvellement inscrits s installent dans les zones définies comme étant sous-médicalisées d après les Missions Régionales de Santé. À ce titre, nous avons sélectionné, comme cas d études, les régions Nord-Pas-de-Calais et Rhône-Alpes. 12 ONDPS, DHOS 29

30 La région Nord-Pas-de-Calais Au 1er janvier 2007, le CNOM recense 154 médecins généralistes nouvellement inscrits au Tableau de l ordre. Parmi les 157, 88 (soit 57%) ont une adresse professionnelle. Nous pouvons émettre l'hypothèse suivante que pour les 43% il s'agit de médecins remplaçants n'ayant pas d'adresse professionnelle fixe. Parmi les 88 médecins généralistes, 14 d'entre eux ont choisi la médecine générale libérale (exclusive). Tous ce sont installés dans une ville ou à une très forte proximité (périurbain). Mais aucun ne s'est installé dans une commune recensée en sous-médicalisation par la Mission Régionale de Santé. 8. Les zones sous-médicalisées et la répartition géographique des nouveaux inscrits région Nord-Pas-de- Calais Les zones sous-médicalisées d'après la Mission Régionale de Santé Nord-Pas-de-Calais Les zones sous-médicalisées (par commune) Communes sous-médicalisées Villes PAS-DE-CALAIS NORD Source : MRS Nord-Pas-de-Calais, 2007 Conception cartographique : CNOM, G. Le Breton-Lerouvillois, 2007 SOMME L'installation des médecins généralistes nouvellement inscrits au Tableau d'après le Conseil National de l'ordre des Médecins Les nouveaux inscrits (par commune) Nouvelles installations Villes PAS-DE-CALAIS NORD Source : CNOM, 2007 Conception cartographique : CNOM, G. Le SOMME Breton-Lerouvillois,

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