Apport de la Protéine S100 dans la prise en charge du TC Léger de l'adulte aux urgences
|
|
- Edgar Marceau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Apport de la Protéine S100 dans la prise en charge du TC Léger de l'adulte aux urgences Dr. Régis RIBEREAU-GAYON CHU de Bordeaux Equipe PPCT-INSERM U897
2 Le Traumatisme crânien léger Fréquent aux Urgences : 90-95% des TC sont légers (GCS 15 à 13) Une incidence élevée : cas / habitants / an en Europe Des complications aiguës HED, HSD, HSA, contusions variables selon le type : SG => 0,1% à 1% Ibanez J J Neurosurg 2004 SG 13 => 10%. Stein SC. J Trauma 2001 Une entité complexe : - la clinique est hétérogène, difficile à évaluer - le GCS initial n est pas prédicteur des complications hémorragiques : 24% des TC Graves ont un GCS initial entre (sur 497 TC graves) Masson F. J Trauma le risque d incapacité secondaire n est pas corrélé au GCS initial. Masson F. Brain Inj 1996
3 Traumatismes crâniens en France TC Graves 8000 à cas/an TC Légers cas/an complications aigues cas/an (6-7%) Décès /an Syndrome post commotionnel cas/an (20%?)
4 Le Traumatisme crânien léger Problème de santé de publique : TC grave : forte expression clinique, taux de complication élevé TC à GCS 15 : peu de signe clinique, complication rares mais potentiellement graves Systématisation de l examen TDM : => examen de référence Outil diagnostic détourné vers le tri 94% des examens TDM négatifs => justification d une imagerie lourde? Problème de rentabilité de l examen Problèmes de disponibilité et logistique selon les structures Justification de l irradiation (itérative?) 6% de TDM + => dans 10% des cas il y a indication chirurgicale Quels patients peuvent sortir sans risque de complication et sans TDM? (VPN)
5 Les Marqueurs biologiques Quelles qualités pour un biomarqueur aux urgences? précocité, fiabilité - Sensibilité et VPN élevées simplicité de mise en œuvre coût (matériel, logistique, humain), réduction durée de séjour Produits de la lyse tissulaire cérébrale? Le neurone : Neuro Specific Enolase (cytoplasmique) C-Tau protein (axonale) Astrocyte Les cellules gliales: MBP (Myéline Basic Protein) GFAP (Glial fibrillary Acidic Protein) Protéine S100 (isomèresab, B) Neurone
6 La Protéine S 100-B Production de PS-100B par les cellules astrocytaires vers les capillaires cérébraux S-100B
7 Etude PERICLES : cohorte de TCL aux Urgences adultes TCL = 2650 Zongo D., Ribereau-Gayon R. Annals of Emergency Medicine TCL + FR = 2128 TCL + PS100+TDM = 1560 TC < 6 heures Prise en charge aux Urgences Perte de connaissance initiale Amnésie Age > 65 ans Prise d anticoagulant Intoxication éthylique aiguë Vomissements répétés Choc à haute énergie Compl. graves n =12 (< 0,1%) TDM + n =111 (7,1%) DC (3); N. chir (3); AG (3), æ GCS (3) P.S100 + Double lecture TDM - n = 1449 (92,9%) Enquête Suivi 3 et 12 mois
8 Total N % Inclus 1560 Homme ,8% Femme ,2% Circonstances Accident ,2% Chute de sa hauteur ,1% Chute d'une hauteur 75 4,8% Aggression ,3% Autre et inderterminé ,6% Symptomes Perte de connaissance ,2% Amnésie ,4% Confusion ,7% Céphalées ,5% Vomissements 83 5,3% Convulsion 26 1,7% GCS admission ,5% ,5% ,0% Facteurs de risque Anticoagulant - AAP ,0% Intoxication alcoolique ,0% Age > 65 ans ,2% 43% Paramètres démographiques et cliniques
9 Total N % Inclus 1560 Homme ,8% Femme ,2% Circonstances Accident ,2% Chute de sa hauteur ,1% Chute d'une hauteur 75 4,8% Aggression ,3% Autre et inderterminé ,6% Symptomes Perte de connaissance ,2% Amnésie ,4% Confusion ,7% Céphalées ,5% Vomissements 83 5,3% Convulsion 26 1,7% GCS admission ,5% ,5% ,0% Facteurs de risque Anticoagulant - AAP ,0% Intoxication alcoolique ,0% Age > 65 ans ,2% TDM +* n % ,9% 39 35,1% 15 13,5% 41 36,9% 11 9,9% 5 4,5% 39 35,1% 62 55,9% 61 55,0% 23 20,7% 24 21,6% 10 9,0% 2 1,8% 7 6,3% 30 27,0% 74 66,7% 33 29,7% 28 25,2% 48 43,2% OR=2 1; 95% CI: [ ] OR=2.5; 95% CI: [ ] Facteurs associés au TDM + en analyse multivariée Chute d une hauteur OR=2 1; 95% CI: [ ] Amnésie OR=2.5; 95% CI: [ ] * TDM+ = présence de lésions en rapport avec le TC à l'imagerie TDM cérébrale
10 Taux de S-100B et résultats TDM (CT-scan) Délai moyen «Accident - Prélèvement P S100» = 2h 15 Le taux de PS100 est élevé chez tous les pa(ents TCL (valeur normale : 0,10) N Taux S100B (µg/l) Médiane écart interquartille Total ,23 0,14 0,38 CT-scan ,22 0,14 0,36 CT-scan ,47 0,28 0,72 complications graves 12 0,70 Tx S100 / CT + significa(vement > Tx S100 / CT - [0,47 vs. 0,22 µg/l], p=0,003
11 Taux de S-100B et lésions TDM [médiane et interquartile]. S100B µg/l Taux médian S100 élevé pour tous les types de lésions 1,2 1 0,8 0,6 0,4 Q1 median TCL TDM+ (0,47) Q3 0,2 0 TCL TDM - (0,22) Valeur normale (0,10) contusion subdural H, subarachnoiall H Epidural H skull cap F Skull base F Pneumencephalus CCT- CCT+
12 Paramètres de performance (selon le seuil de PS100) Seuil Proteine S100 (µg/l) 0,1 0,12 0,14 Sensibilité 99 1 [ ] 99 1 [ ] 97 3 [ ] Spécificité 12 2 [ ] 19 7 [ ] 26 8 [ ] VPN 99 4 [ ] 99 7 [ ] 99 2 [ ] VPP 8 [ ] 8 6 [ ] 9 2 [ ] Faux négatifs (FN) 1* 1* 2** FN avec complications TDM évitables (vrais négatifs TDM-/S100-) 12% 19% 25% Les Faux Négatifs : * H 28 ans, chute de sa hauteur, pétéchies, alcoolémie: 3,0 g/l. Aucune complication ** H 67, pétéchies. Aucune complication
13 P. S 100 (TCL) N cas Sensibilité VPN Biberthaler P ,0 [95% CI ] 99,6 [95% CI ] Unden J. Méta-analyse* ,0 [95% CI 91-99] 99,0 [95% CI ] Zongo, Ribéreau-Gayon ,1 [95% CI ] 99,7 [95% CI ] * dont Biberthaler
14 P. S 100 (TCL) N cas Sensibilité VPN Biberthaler P ,0 [95% CI ] 99,6 [95% CI ] Unden J. Méta-analyse ,0 [95% CI 91-99] 99,0 [95% CI ] Zongo, Ribéreau-Gayon ,1 [95% CI ] 99,7 [95% CI ] D. Dimères (TVP) N cas Sensibilité VPN Corvin Mt 2009 (Emb. Pulm) ,0 [95% CI 73-99] 99,0 [95% CI 96-99,9] Wells P Méta-analyse (phlébite,, forte proba. clinique ) ,0 [95% CI 95-96] 84,0 [95% CI 77-89] Troponine (SCA) N cas Sensibilité VPN Keller T Tropo I ,7 [95% CI 86-93] 96,4 [95% CI 95-97,5]
15 Les Faux Négatifs TDM + et P S100 - (seuil 0,1) Biberthaler P FN Fracture crâne non chir. Unden J FN 1 TC chirurgical (HSD non urgent) Zongo/Ribéreau-G 1 FN Pétéchies non chir.
16 Cinétique du taux de PS100 après TCL TDM - TDM + TDM + avec complication Le prélèvement de PS100 est recommandé dans les 3h suivant le TCL
17 Stratégie décisionnelle selon le risque de complication* GCS 15 sans commotion ni FR GCS 15 avec PC/ amnésie GCS 15 avec FR GCS 14 GCS 13 Risque faible < 0,01% Risque modéré 1 3 % Risque élevé 2 6 % Risque fort 10 % RAD sans imagerie TDM recommandé TDM recommandé TDM nécessaire * Risque de complication neurochirurgicale Servadei F. J Neurotrauma 2001 Stein SC. Minor head injury. J Trauma 2001 Ibanez J J Neurosurg 2004 NICE clinical guidelines, 2007
18 Stratégie décisionnelle selon le risque de complication GCS 15 sans commotion ni FR GCS 15 avec PC/ amnésie GCS 15 avec FR GCS 14 GCS 13 Risque faible < 0,01% Risque modéré 1 3 % Risque élevé 2 6 % Risque fort 10 % RAD sans imagerie P S100 (< 3 h) TDM nécessaire < 0,10-0,12 > 0,10-0,12 RAD TDM
19 Peut-on améliorer la performance du test P S100? (93 %) (6-7%) COMPL (< 0,1%) Valeur de référence: scanner cérébral (absence de lésion)
20 COMPL Valeur de référence: scanner cérébral (absence de lésion) Valeur de référence : complication intracérébrale significative
21 Le Syndrome post-commotionnel Une autre complication du TCL => céphalées, vertiges, fatigabilité, => troubles de l attention et de la mémoire 10 à 30% des Traumatisés crâniens légers ( cas / an) Wade et col à 1 mois : 47% de céphalées et 22% d asthénie Levin et col. J. Neurosurg 1987 à 1 an : 32% des patients présentent 1 symptôme, 16% en ont 2. Johansson E J. Rehabil Med. 1991
22 Le Syndrome post-commotionnel Etude retrospective sur 2886 TCL à 3 mois. Laurent X Thèse Médecine. Université Bordeaux Nombre de TCL 2886 Consult. Médecine Générale ,5% Consult. spécialisée Neuro / Psy ,4% TDM cérébrale (en ville) ,1% IRM cérébrale (en ville) 6 0,02% - Problèmes de réinsertion sociale et professionnelle - Prise en charge complexe en Médecine générale Þ Cout médical et social élevé Le suivi des patients permet de diminuer les symptômes post-commotionnels. Wade et col. 1998
23 Place de la P S100 dans la prédiction du SPC Cohorte Pericles - Suivi à 3 mois : 435 patients TCL avec TDM + PS100 Questionnaires validés pour le SPC : qualité de vie, incapacités, habiletés Echelles SPC Taux moyen de PS100 SPC négatif SPC positif n=309 n=126 p Rivermead n=365 n=70 DSM-IV n=295 n=140 ICD Le taux de PS100 n est prédic;f d aucune des composantes du SPC
24 SPC positif n (%) Taux de PS100 Seuil 0.10 <0.10 (n=44) >=0.10 (n=391) p Rivermead 20 (45%) 106 (27%) 0.01 DSM-IV 10 (23%) 60 (15%) 0.20 ICD (45%) 120 (31%) 0.06 SPC positif n (%) Taux de PS100 Seuil 0.40 <0.40 (n=325) >=0.40 (n=110) p Rivermead 94 (29%) 32 (29%) 0.9 DSM-IV 51 (16%) 19 (17%) 0.7 ICD (34%) 30 (27%) 0.2 La survenue du SPC est indépendante du Taux de PS100 Le SPC est- il lié à la gravité du TC?
25 Conclusion Performances diagnostiques de la S100B confirmées par les différentes études. L utilisation de la protéine S100 dans la prise en charge du TCL permet de réduire d environ 20% le nombre de scanner La P S100 n est pas prédictive de la survenue d un syndrome post-commotionnel Les résultats doivent être intégrés dans des recommandations et procédures médicales TCL < 3h, avec FR, sans signe neurologique, GCS = 15
26 Réunica
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailObjectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS
Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-
Plus en détailTraumatisme crânien ou traumatisme cranio-cérébral Trouble de santé neurologique Aide-mémoire
Définition La notion de traumatisme crânien ou traumatisme crânio-cérébral (TCC) couvre les traumatismes du neurocrâne (partie haute du crâne contenant le cerveau) et du cerveau. La Société de l'assurance
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailItem 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher.
Item 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher. I. INTRODUCTION II. MECANISME DES FRACTURES DU ROCHER III. TABLEAU CLINIQUE
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailTraumatisme crânien léger (TCL) et scolarité
Document destiné aux enseignants, aux médecins et aux infirmières scolaires H.Touré pour l'équipe du CSI (Centre de Suivi et d Insertion pour enfant et adolescent après atteinte cérébrale acquise), M.Chevignard,
Plus en détailNACO dans la FA non Valvulaire
NACO dans la FA non Valvulaire VII ème Rencontres chalonnaises Dr Buttard 29/11/2012 INTRODUCTION La consommation des anticoagulants a été multiplié par 2 en 10 ans Les indications de traitement anticoagulants
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailCibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.
Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailHémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants
Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP BHR, Boeringer, LFB, Fresenius-Kabi, Integra-Neurosciences Patient
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailAnalyse des incidents
Analyse des incidents Formation B-Quanum 26/06/2012 N. Jacques Coordinatrice Qualité CMSE Introduction Contexte Contrat SPF Coordinateur qualité Médecine nucléaire Hôpital = Entreprise à Haut Risque Efficacité
Plus en détailFarzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailLe cavernome cérébral
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le cavernome cérébral.
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailL'imputabilité et l'état antérieur dans le dommage corporel
L'imputabilité et l'état antérieur dans le dommage corporel Pr. Chadly Ali Service de Médecine Légale Hôpital Universitaire-Faculté de Médecine de Monastir Chadly.ali@rns.tn Introduction : L'imputabilité
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailLES DROITS DE L ENFANT
LES DROITS DE L ENFANT Maître Viviane SCHMITZBERGER HOFFER Avocat, Ancien Bâtonnier du Barreau de METZ Colloque du 11 octobre 2013 Syndrome du bébé secoué au Ministère de la Santé Mise en garde Article
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailÉtude exploratoire des besoins en services offerts à la clientèle traumatisée cranio-cérébrale au Québec
Étude exploratoire des besoins en services offerts à la clientèle traumatisée cranio-cérébrale au Québec - Rapport de recherche - Marie Gervais, Ph.D. Sylvie Dubé, M.A. Avec la collaboration de: Alain
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailTRAUMATISME CRANIENS BENINS CHEZ L'ENFANT PRIS EN CHARGE AUX URGENCES PEDIATRIQUES
TRAUMATISME CRANIENS BENINS CHEZ L'ENFANT PRIS EN CHARGE AUX URGENCES PEDIATRIQUES B. Llanas*, L. Pedespan*, P. Pillet*, J.-F. Chateil** (*) Service d'urgences Pédiatriques, Hôpital des Enfants, Pellegrin,
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détail«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»
2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailLES TROUBLES DE MÉMOIRE ET D ATTENTION DES TRAUMATISÉS CRÂNIENS
LES TROUBLES DE MÉMOIRE ET D ATTENTION DES TRAUMATISÉS CRÂNIENS TROUBLES D ATTENTION L attention, un concept hétérogène Attention spatiale Attention générale (non spatiale) Soutenue Réaction d alerte Attention
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailLES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43
LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailEvalua&on tests diagnos&ques. Arnaud Fontanet
Evalua&on tests diagnos&ques Arnaud Fontanet Résultats d un test diagnos&que Maladie «Gold standard» Test expérimental + a b a+b - c d c+d a+c b+d Evaluation tests diagnostiques. Arnaud Fontanet 2 Résultats
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailOrientations ministérielles pour le TRAUMATISME CRANIOCÉRÉBRAL LÉGER
2005 2010 Orientations ministérielles pour le TRAUMATISME CRANIOCÉRÉBRAL LÉGER 2005 2010 Orientations ministérielles pour le TRAUMATISME CRANIOCÉRÉBRAL LÉGER Le Collège des médecins du Québec entérine
Plus en détailDemande de règlement au titre de l assurance invalidité hypothécaire Assurance-crédit Contrat n o 51007
Demande de règlement au titre de l assurance invalidité hypothécaire Assurance-crédit Contrat n o 51007 Représentant de BMO Banque de Montréal Prénom Nom de famille Timbre de la succursale domiciliataire
Plus en détailIMMED Monitoring vidéo porté
IMMED Monitoring vidéo porté L indexation vidéo au service du soin des personnes Projet financé par PEPS S2TI CNRS et des bourses BQR de l Université Bordeaux 1 1 Contexte Maladies et dépendances liées
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailLIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES
Page 1 de 5 LIGNES DE CONDUITE POUR L IMAGERIE POUR LES CEPHALEES AIGUES ET CHRONIQUES NON TRAUMATIQUES INTRODUCTION Il faut être conscient qu environ 90% des céphalées rencontrées en pratique sont «primaires»,
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailBulletin de veille sanitaire octobre 2012
CELLULE DE L INVS EN RÉGION BRETAGNE Bulletin de veille sanitaire octobre 01 Les intoxications au monoxyde de carbone survenues en Bretagne en 011 Page 1 Introduction Page Matériel et méthode Le système
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailQu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA)
Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA) Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? La fibrillation auriculaire (FA) est le trouble du rythme le plus répandu. Certains signaux du cœur deviennent
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailJournal de la migraine
Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailPrise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale
Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Ould Ouali.A, Amari.A, Lyazidi.O, Benbetka.L, Lakrouf.F, Rachedi.M MPR-HMUS-Staoueli 3eme congrès de la
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLe prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon
Le prélèvement d organes anticipé/prémédité Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Déclaration des conflits d intérêt Médecin de la coordination
Plus en détail