Etude longitudinale ETUDIANT-E-S, vague 2013 (n= 1'693) : données spécifiques domaine UNI EMPLOI
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- Nicole Charbonneau
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1 Note d information confidentielle OVE novembre 2013 Etude longitudinale ETUDIANT-E-S, vague 2013 (n= 1'693) : données spécifiques domaine UNI EMPLOI OVE automne 2013 Données : vague 2013 (n=1 693) de l enquête longitudinale EtudiantEs de l OVE (enquête par questionnaire, adressée pour 2013 à un échantillon représentatif d étudiantes en études de base à l UNIGE). Les répondantes étaient dans le 2ème semestre de l année académique L enquête longitudinale -centrale pour la constitution d une base de données utile à la prise de décision- explore depuis 2006 un grand nombre de thèmes relatifs aux conditions de vie et d études de notre population estudiantine. page 1 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
2 Ont fait appel à Uni-emploi: Evaluation Q.46 : Avez-vous fait appel aux services suivants et qu en pensez-vous? Ateliers, entretiens, mentorat 16% 96% 93% participation acceuil agréable bonne prestation non oui Emplois et stage 26% 97% 93% participation acceuil agréable bonne prestation non oui 16% des étudiantes ont partiticipé aux ateliers, entretiens et mentorat et 26% aux prestations relatives à l emploi et stages. Après les Sports, Uni-emploi est le service Etudiants+ le plus utilisé par nos étudiantes. L évaluation en est (très) positive par ceux qui ont fait appel à Uni-emploi, aussi bien pour ce qui concerne la qualité de l accueil (96% versus 97%) que la qualité des prestations offertes (93% partout). page 2 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
3 Variations du recours aux services du bureau Uni Emploi selon l ancienneté dans le cursus 35% 3 25% 15% 1 5% BA1 BA2 BA3 MA1 MA2 ateliers, entretiens, mentorat emplois et stages Le recours aux services d Uni-emploi croit avec l ancienneté dans le cursus. Avec un palier entre BA1 et BA2 et entre BA3 et MA1 pour les ateliers, entretiens, mentorat et entre le MA1 et MA2 pour les emplois et stages. 5 selon la nationalité du diplôme secondaire 3 ateliers, entretiens, mentorat emplois et stages 1 Genève Confédérés France Etranger Ce sont les étudiantes qui ont obtenu leur diplôme secondaire à l étranger qui font proportionnellement plus souvent, appel à Uni-emploi, deux fois plus que les genevois. page 3 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
4 selon la faculté 5 45% 35% 3 25% 15% 1 5% ateliers, entretiens, mentorat emplois et stages Pour ce qui concerne les facultés, ce sont proportionnellement surtout les étudiantes de la FTI qui font appel aux services de Uni-emploi et ceux en Médecine qui les utilisent le moins. Les données ne montrent pas de différence significative en fonction du niveau socioculturel de l'étudiante. page 4 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
5 Exercice d une activité rémunérée durant les études E. Vie quotidienne et réalités matérielles Q.73 : Exercez-vous actuellement une activité professionnelle rémunérée (sans tenir compte des stages obligatoires, même s ils sont rémunérés)? 37% 31% 37% 43% 42% 52% 24% régulière épisodique aucune 23% 28% 24% 22% 18% régulière épisodique aucune 47% 35% 32% 36% 31% BA 1 BA 2 BA 3 MA 1 MA 2 63% des étudiantes, tous niveaux d études confondus, travaille à un moment où à un autre en parallèle aux études. Lorsqu elle est épisodique, l activité rémunérée est effectuée à 22% pendant les vacances scolaires, à 41% durant l année académique et à 37% indifféremment pendant l année académique ou les vacances. La proportion d étudiantes qui exercent une activité régulière varie de manière positive avec l ancienneté dans les études, alors que la part de ceux qui exercent une activité épisodique reste relativement stable. Un palier existe entre BA3 et MA1. page 5 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
6 Exercice d une activité rémunérée en fonction du lieu d obtention du diplôme secondaire 44% 39% 32% 34% 27% 23% 19% 14% régulière épisodique aucune 29% 38% 49% 53% Genève Confédérés France voisine Etranger L exercice ou non d une activité en parallèle aux études varie selon le lieu d obtention du diplôme secondaire. Les Génève sont ceux qui travaillent plus souvent (que ce soit de manière régulière ou épisodique), alors que les Etranger, France voisine inclue, travaillent relativement le moins souvent. Si on considère l origine socioculturelle de l étudiante au regard du niveau d instruction du père, les résultats ne montrent aucune différence statistique significative dans le fait d exercer ou non une activité rémunérée en parallèle aux études. Si, par contre, on considère le niveau d instruction de la mère, on constate que les étudiantes issus des milieux plus modestes (mère niveau école obligatoire) travaillent proportionnellement plus souvent que ceux issus des milieux favorisés (mères niveau universitaires). page 6 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
7 Exercice d une activité rémunérée en fonction de la faculté 32% 31% 33% 35% 36% 43% 45% 52% 52% 14% 54% 49% 47% 27% 27% 21% 24% 39% 37% 36% 32% 25% 23% 31% 17% régulière épisodique aucune Les étudiantes en Médecine, Sciences et Sciences économiques travaillent moins souvent que les autres. Ceux en Sciences de l éducation sont les plus actifs (s il est vrai qu ils ne comptent pas les stages rémunérés), suivis des étudiantes en Lettres. A remarquer le lien entre la proportion d étudiantes qui exercent une activité professionnelle et la proportion d étudiantes qui exercent cette activité de manière régulière. page 7 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
8 Lien entre activité rémunérée et études suivies E. Vie quotidienne et réalités matérielles Q.75 : Cette activité rémunérée est-elle en lien avec vos études? 59% 41% (plutôt) OUI (plutôt) NON 71% 66% 65% 42% 49% (plutôt) NON (plutôt) OUI 29% 34% 35% 58% 51% BA 1 BA 2 BA 3 MA 1 MA 2 De manière globale, 41% des étudiantes qui travaillent en parallèle aux études exercent une activité rémunérée en lien avec leur domaine d études. Cette proportion augmente avec l ancienneté aux études, et notamment entre les années bachelor et les années master. Les résultats ne montrent pas de lien statistique avec l origine sociale, avec l origine géographique, ou avec la nécessité d exercer une activité rémunérée. page 8 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
9 Lien entre activité rémunérée et études suivies en fonction de la faculté 87% 7 63% 56% 55% 53% 47% 34% (plutôt) NON 14% 3 37% 44% 45% 47% 53% 68% (plutôt) OUI Le lien entre activité rémunérée et domaine d étude varie de manière importante selon la faculté. Les étudiantes en Sciences de l éducation (68%) sont ceux dont l activité professionnelle est le plus souvent en lien avec les études, suivis par ceux en Médecine (53%). Ce sont au contraire les étudiantes en Sciences sociales et Sciences économiques qui exercent le plus souvent une activité rémunérée qu ils ne considèrent en relation avec les études. A noter enfin la forte proportion d étudiantes en Lettres et en Sciences qui travaillent dans un domaine proche de leur domaine d études. page 9 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
10 Nécessité de cette activité rémunérée (pour ceux qui en ont une) E. Vie quotidienne et réalités matérielles Q.74 : Vous estimez que cette activité rémunérée? (absolument, plus ou moins, pas vraiment nécessaire) 25% 12% 57% absolument nécessaire plus ou moins nécessaire pas du tout nécessaire Parmi le 63% des étudiantes qui travaillent en parallèle à leurs études de base à l UNIGE, 57% d entre eux (=36% de la population estudiantine) estiment que cette activité est «absolument» nécessaire. Seul 12% jugent qu elle ne l est pas vraiment. La notion de plus ou moins nécessaire recouvre souvent la prise en charge par l étudiante des frais relatifs aux vacances et loisirs en général. Variations en fonction du niveau socioculturel (niveau de formation du père) 16% 9% 8% 1 34% 28% 31% 29% 5 63% 61% 62% Tertiaire Maturité Apprentissage Obligatoire pas vraiment nécessaire plus ou moins nécessaire absolument nécessaire Pour 5 des étudiantes de niveau socioculturel élevé qui exercent une activité rémunérée, le travail reste une nécessité «absolue». page 10 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
11 Variations en fonction du lieu d obtention du diplôme secondaire et de l avancement dans les études du diplôme secondaire du niveau d études 12% 11% 12% 1 35% 33% 27% 53% 56% 61% Genève Confédérés France voisine 15% 74% Etranger pas vraiment nécessaire plus ou moins nécessaire absolument nécessaire 16% 12% 14% 29% 37% 41% 57% 47% 47% 7% 8% 29% 21% 64% 71% pas vraiment nécessaire plus ou moins nécessaire absolument nécessaire BA 1 BA 2 BA 3 MA1 MA2 Si les étudiantes étrangers travaillent moins souvent que les autres, cette activité est une nécessité «absolue» pour 74% d entre eux. Le degré de nécessité «absolue» de travailler croit de manière très importante après l obtention du bachelor. page 11 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
12 Variation de la nécessité de l exercice d une activité rémunérée en fonction de la faculté 15% 15% 17% 17% 9% 12% 15% 7% 5% 27% 25% 39% 33% 33% 37% 33% 3 pas vraiment nécessaire 45% 46% % 55% 55% 66% 7 plus ou moins nécessaire absolument nécessaire Travailler en parallèle aux études est une nécessité «absolue» notamment pour les étudiantes en Sciences de l éducation et en Lettres. page 12 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
13 Future intégration professionnelle Motivation à entreprendre des études universitaires A. Vos études actuelles Q. 7 : Pourquoi avez-vous décidé d aller à l université? (trois items parmi vingt proposés)? % des étudiantes ont coché la motivation Par choix professionnel pour expliquer leur choix d entreprendre des études universitaires. Sur les 20 propositions, seules 3 ont obtenu un score plus élevé, à savoir : 61% Parce que j étais très intéressé par le domaine 58% C était la suite logique de mon cursus scolaire 48% Parce que je souhaite obtenir un titre universitaire Choix professionnel Profession bien rémunérée Profession prestigieuse Par choix professionnel est la motivation qui prime pour les étudiantes de la plupart des facultés, à l exception des Sciences sociales et des Sciences économiques. Les étudiantes en Psychologie la citent à 82%, suivis de loin par ceux en Médecine et en Sciences de l éducation. Pour accéder à des professions bien rémunérées est la motivation citée par 52% des étudiantes en Sciences économiques, près de 44% en Droit et près de en FTI. A noter que cette motivation n est citée que par le 21% des étudiantes en Médecine (qui ont le score le plus bas sur cet item avec les Sciences de l éducation). Pour accéder à des professions prestigieuses est la motivation citée le plus souvent par les étudiantes en Sciences économiques, Sciences sociales, Droit et FTI. A noter que les étudiants qui la citent le moins souvent ce sont les étudiantes en Médecine (17%). page 13 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
14 Projet professionnel au moment de l entrée à l Université A. Vos études actuelles Q. 10 : Diriez-vous que vous avez choisi vos études. (pour réaliser un projet professionnel précis, pour réaliser un projet professionnel flou, sans avoir de projet professionnel, sans que mon projet professionnel soit lié à mes études)? 19% 41% 41% 17% 83% 4% 11% 8% 15% 19% 11% 31% 36% 47% 46% 54% 26% 63% 53% 45% 45% 35% 35% 34% 35% 53% 12% sans PP ou sans lien PP flou PP précis Ce sont les étudiantes en Sciences de l éducation, suivi par ceux en Médecine et Sciences, qui en majorité (>5) ont choisi leurs études pour réaliser un projet professionnel précis. Les étudiantes en psychologie, qui avaient à 82% cité (dans la Q.7) par choix professionnel, ne sont plus que 35% à avoir choisi ce domaine d études pour réaliser un projet professionnel précis, alors que les étudiantes en Médecine également relativement nombreux (64%) à citer par choix professionnel, cochent pour réaliser un projet professionnel précis à plus de. Les étudiantes en Sciences sociales -proportionnellement nombreux (47%) à avoir choisi d entreprendre des études universitaires pour accéder à des professions prestigieuses- sont aussi relativement nombreux (avec les étudiantes en Lettres), à ne pas avoir de projet professionnel ou à en avoir un qui n est pas en lien avec les études entrepris. Au final, seul 12% d entre eux dit vouloir réaliser un projet professionnel précis. On sait par ailleurs (étude longitudinale Etudiant-e-s ) qu entreprendre des études universitaires pour accéder à des professions prestigieuses ou pour accéder à des professions bien rémunérées n est pas un bon facteur prédictif de la réussite académique (contrairement à parce que très intéressé par le domaine). page 14 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
15 Satisfaction quant à l information reçue à propos de la carrière professionnelle après l Université C. Evaluation Q.38 : Quel est votre niveau de satisfaction par rapport à l UNIGE (en ce qui concerne l information reçue à propos (parmi 8 items) de la carrière professionnelle après l université)? 33% 34% 46% 47% 48% 21% 24% 27% 39% 41% 41% 49% 5 54% 41% 46% 38% 37% 67% 66% 54% 53% 52% 79% 76% 73% 61% 59% 59% 51% 5 46% 59% 54% 62% 64% (très) insatisfait 3 des étudiantes ont coché je ne peux pas juger (très) satisfait L ancienneté dans le cursus est liée à une insatisfaction quant à l information reçue à propos de la carrière professionnelle après l Université. Voir approcher l échéance de l entrée dans la vie professionnelle les rend vraisemblablement plus sensibles à cette problématique. La satisfaction pour l information reçue varie aussi selon la faculté : les étudiantes en Médecine sont les plus (très) satisfaits, suivis de près par ceux en Sciences de l éducation et en Sciences économiques. Les plus (très) insatisfaits sont les étudiantes en Lettres, Psychologie et Sciences sociales. Les étudiantes dont le père a suivi un apprentissage sont un peu moins satisfaits que les autres de l information reçue. Les résultats ne montrent pas de différences d appréciation selon l origine géographique du diplôme. Ils ne montrent pas non plus d effet en lien avec le fait d avoir ou non fait recours aux services d Uni-Emploi. page 15 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
16 Facilité projetée de la future insertion professionnelle G. Vos projets Q.117 : En sortant de l université, comment évaluez-vous vos chances de trouver un emploi? (Trouver un emploi, ce sera ) 13% 59% 52% 55% 56% 66% 67% 73% 74% 77% 59% 59% 69% 49% 87% (très) difficile 41% 48% 45% 44% 34% 33% 27% 26% 23% 41% 41% 31% 51% (très) facile 59% des étudiantes prévoient que trouver un emploi sera chose (très) difficile. Les variations facultaires sont importantes, avec trois niveaux de perception de la facilité de l insertion professionnelle future. 87% des étudiantes en Médecine imaginent que leur insertion professionnelle sera facile. Un groupe intermédiaire qui comprend les étudiantes en Lettres, Sciences, Sciences de l éducation et Sciences économiques- se partage entre optimistes et pessimistes presque à part égale. Le groupe de pessimistes, avec plus de deux étudiantes sur trois qui pensent que trouver un travail sera (très) difficile, regroupe les étudiantes en Sciences sociales, Psychologie, FTI et Droit. Genevois et Confédérés ont une même perception de la facilité à trouver un emploi, perception qui est identique celle de la population estudiantine dans son ensemble. Les diplômées de France voisine sont sensiblement plus optimistes (+ 1) et ceux qui ont obtenu leur diplôme secondaire ailleurs en France, ou dans d autres pays autres que la Suisse, sont sensiblement plus pessimistes (- 1). Les résultats ne montrent pas de variations en fonction de l avancement dans les études, ni en fonction de l origine socioculturelle. page 16 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
17 Caractéristiques de l emploi que les étudiantes semblent pourvoir espérer après la formation G. Vos projets Q.115 : Quel type d emploi pouvez-vous raisonnablement espérer après vos études? 3% 7% 6% 7% 11% 39% 39% 43% 52% 57% 54% 51% 41% épanouissant stable utile à la collectivité bien payé 5 39% à responsabilité 21% 56% 22% qui laisse du temps libre 47% 41% 12% à temps partiel certainement pas vraisemblablement certainement Même si 59% des étudiantes prévoit que trouver un emploi sera chose (très) difficile (graphique précédent), une grande majorité d entre eux pensent qu ils pourront raisonnablement espérer (certainement + vraisemblablement) trouver un travail épanouissant (97%), stable (93%) et utile à la collectivité (94%). Ces résultats sont à mettre en relation avec le bas taux de chômage en Suisse (voir lieu projeté de l insertion professionnelle, graphique suivant). Près de des étudiantes pensent aussi pouvoir certainement espérer un travail bien payé et un poste à responsabilité. Par contre, nombre d étudiantes pensent qu il ne sera certainement pas possible espérer trouver un emploi à temps partiel (47%), voire un emploi qui laisse du temps libre (21%). page 17 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
18 Lieux projetés de l insertion professionnelle G. Vos projets Q.118 : Où vous imaginez-vous travailler au terme de vos études universitaires? (plusieurs réponses possibles à Genève 63% en Suisse (autre que Genève) ailleurs dans le monde 18% dans les pays de l'ue (autre que France voisine) 15% en France voisine 6% % des étudiantes citent 1 seul lieu projeté de la future insertion professionnelle, 25% en citent 2, 15% en citent 3, 7% en citent 4 ou plus. Une majorité des étudiantes a pour projet de s installer à Genève une fois terminé les études et 6% en France voisine. La plus grande ouverture -par rapport au lieu où le diplôme de fin d études secondaires a été obtenu- se fait sur la Suisse (c est-à-dire dans d autres cantons que le canton de Genève) vu que le pourcentage d étudiantes confédérés parmi les répondantes (et la population de référence) est relativement bas. page 18 sur 18 ETUDIANT-E-S 2013 / échantillon représentatif étudiantes en études de base (n=1'693)
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