Infections en chirurgie prothétique. tique Particularités s du genou
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- Eric Labranche
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1 Infections en chirurgie prothétique tique Particularités s du genou Dr J.HUMMER Dr M. MELET AGREG GECO 19 Janvier 2009
2 Problématique Aucune étude comparative Notamment un temps versus deux temps Des expériences multiples Aucune validation clinique
3 Difficultés s diagnostiques: Deux règles r d Or: d * Devant une prothèse douloureuse: SUSPECTER l INFECTION l jusqu à preuve du contraire UNE FISTULE SUR PROTHESE = INFECTION Règle encore trop souvent méconnue m retard diagnostic
4 Diagnostic Arguments cliniques: Douleurs: élément le plus constant Augmentation de volume Élévation température : inconstant Biologie: NF, VS CRP ++++ Scintigraphie Tec+/- leucocytes marqués
5 Diagnostic différentiel Algodystrophie: : +++ Descellement mécaniquem Raideur Allergies (métaux, ciments) Douleurs inexpliquées es???
6 Pour affirmer le diagnostic Identification du germe : +++ Abord facile par ponction Arthroscopie prélèvements multiples cytobactériologiques et histologiques Anatomopathologie: parfois très s utile Cf mycobactérie BK
7 Difficultés s thérapeutiques 1: cutanées 2 : appareil extenseur 3: ablation de la prothèse 4: spacer 5: nouvelle prothèse 6: arthrodèse
8 1: Risques cutanés Abord chirurgical État multicicatriciel Reprise d une d précédente incision Risque de nécrosen Surveillance de la couverture cutanée Pas de matériel EXPOSE Lambeaux: Lambeau musculaire gastrocnémien médial Fascio-cutan cutané (alternative non musculaire)
9 2: Risques sur appareil extenseur Avulsion du tendon rotulien (2%) Difficile à réparer Expose aux complications fonctionnelles majeures ostéoclasie oclasie TTA? Position rotulienne peu favorable Fragilité du médaillon m rotulien
10 3: Ablation de la prothèse Retrait de tous les implants et ciment Multiplier les prélèvements bactério rio. Karchériser riser tous les tissus douteux Garder l os l sain au max Penser à la reconstruction
11 4: Spacer Conserver l espacel Système articulé Pas trop serré Mais assez stable Spacer aux antibiotiques (ATB): Délivre des concentrations locales importantes ATB
12 5: Nouvelle prothèse Tenir compte des défects osseux Respecter Axe mécaniquem Hauteur interligne stabilité Nouvel implant plutôt contraint, et souvent charnière re Eviter l escaladel Penser à la reprise ultérieure
13 6: Arthrodèse Indications: Destruction appareil extenseur Grande raideur Risque de réveil r septique Consolidation osseuse toujours difficile Alternative à amputation
14 A propos de notre expérience sur la Polyclinique Gentilly NANCY PTG uniquement. Période P patients (20 femmes/10 hommes) 13 acquises dans un autre établissement 41, 2 % 19 : pose initiale dans l él établissement : 8 d origines d secondaires Incidence estimée e 1, 2 %
15 Evolution de la prise en charge. 1. AVANT 2002: ATB thérapie gérée g e par chirurgiens +/- anesthésistes sistes Prélèvements peropératoires ratoires souvent effectués sous ATB Modalités s de la prise en charge postopératoire imprécise, aléatoire atoire
16 Evolution de la prise en charge. 2. APRES 2002: Fenêtre thérapeutique ATB avant prise en charge Pas d antibiothd antibiothérapie préop opératoire Prélèvements : minimum 3, idéal 5 Protocole ECRIT antibiothérapique précis per, et postopératoire, signé. Gestion de l ATB l thérapie par infectiologue,, en accord avec les anesthésistes sistes
17 Modalités s de la prise en charge chirurgicale. 1. Nettoyage lavage chirurgical 5 patients Echec 3 patients 63 % - un décèsd - dépose repose 1 T - dépose repose 2 T Dépose repose 1 T = 2 patients Évolution favorable
18 Modalités s de la prise en charge chirurgicale. 2. Dépose repose en 2 T : 25 patients Sur ces 25 patients: Un sepsis précoce (J10) sur foyer préop méconnu 3 sepsis secondaires dont un origine dentaire (1 mois post soins) 2 ont récidivr cidivé : arthrodèse 2 décès: d dont un en rapport indirect avec infection PTG
19 Evolution de la prise en charge ATB Avant 2004: durée e souvent à 6 mois postop. Après s 2004: Réduction des durées de traitement Instauration de la fenêtre thérapeutique un mois entre les 2 temps Depuis 2006: Utilisation large de la DALACINE Remplacement ofloxacine (OFLOCET) par levofloxacine (TAVANIC) Raccourcissement des durées de traitement
20 STRATEGIE ACTUELLE
21 Facteurs à prendre en compte Délai de contamination: Infection primaire ou secondaire Délai de prise en charge: Seule variable accessible à équipe médicalem Prothèse: Scellée e ou non Préservation de la fonction
22 Stratégies chirurgicales.1. INFECTION PRECOCE : Arthroscopie lavage Arthrotomie synovectomie Conservation possible de l implantl
23 Stratégies chirurgicales.2. INFECTIONS TARDIVES Impose le retrait de l implantl Reprise en un temps ou deux temps
24 Stratégies chirurgicales.3. En faveur du un temps: Premier épisode infectieux Peu de dégats osseux Germe connu et traitable État général g satisfaisant
25 Stratégies chirurgicales.4. En faveur du deux temps: Spacer préserve la fonction Prélèvements pour identifier germe Décision de reprise: Rapide Avec respect d une d fenêtre thérapeutique (reprise à 3mois) NOTRE PREFERENCE ACTUELLE
26 Stratégies chirurgicales.5. PAS DE CONSENSUS PAS DE CERTITUDES CHOIX SUBJECTIFS PAS D ETUDE D COMPARATIVE
27 Stratégies chirurgicales.6. TRAVAIL D EQUIPED Collaboration infectiologue,, chirurgien, anesthésiste, siste, bactériologiste, et radiologue Importance de l information l et du suivi Intégration dans les réseauxr
28 Les acteurs.
29 L infection ne survient pas par hasard! Analyse des décès d s et échecs de notre série: = Tous des histoires de vies NON «DIGEREES» viols, violence conjugale maltraitance du sujet âgé Multiples deuils, deuils non faits
30 PERSPECTIVES AVENIR Annonce du diagnostic : Traumatisme comme l annonce l du Kc Prendre en compte le VECU du patient. Importance de l él écoute. Prise en charge psychothérapique spécifique Projet de recherche clinique en cours
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