Couverture des sols en interculture Choisir et conduire un couvert adapté à ses besoins
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- Sylvaine Delorme
- il y a 8 ans
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1 Note technique n 25 Mai 2012 L opération de conseil Agr Eau Madon, co-financée par l Agence de l Eau Rhin Meuse et le CASDAR, est destinée à vous apporter des informations et des conseils en faveur de la protection de la ressource en eau. Couverture des sols en interculture Choisir et conduire un couvert adapté à ses besoins Lathématiquedelacouverturedu sol aétéabordéedanslanotetechniquen 20publiéeen Décembre 2011:«Mieux gérer l interculture des bénéfices agronomiques et environnementaux». Cette première publication sur les couverts nous aura permis de fixer les règles de base pour la conduite d une interculture, à l appui de plusieurs témoignages. Lesmoisdejuinetjuilletapprochentàgrandspas.Ilestaujourd huigrandtempsde se poser les bonnes questions. Je souhaite implanter une culture intermédiaire en interculture longue: Quels sont mes objectifs? Réglementation, agronomie, économie, environnement Quels types de couverts implanter? Quelles conduites tenir pour mon interculture? Quelles sont les techniques de destruction? Des couverts végétaux aux multiples facettes L implantation d un couvert en interculture longue aura des conséquence sur mon système de culture. Le tableau ci-dessous présente les avantages et les inconvénients des cultures intermédiaires sur l environnement, la protection des cultures, le sol, etc. - Réduction des possibilités de réalisation de faux semis Source: ARVALIS
2 SE POSER LES BONNES QUESTIONS Lechoixetlastratégiedeconduitedescouvertsvégétauxestà adapter à vos objectifs et aux diverses contraintes techniques et agronomiques de votre exploitation et de vos parcelles. Vos besoins Respecter la réglementation (zones vulnérables) Valoriser le couvert (fourrage, énergie) Bénéficier des atouts agronomiques du couvert Vos contraintes techniques & agronomiques Succession culturale Matériels disponibles Prix des semences Type de sol Implantation Destruction Quels sont mes objectifs Agronomie, environnement et économie. Plusieurs critères sont à prendre en compte pour atteindre ces objectifs de production. - La date d implantation: semer tôt - Le choix de l espèce ou des espèces à implanter: préférer des mélanges avec légumineuses - La densité de semis: adapter la densité aux objectifs de production - La qualité de l implantation: rester vigilant, certaines espèces sont plus ou moins sensibles à la qualité du lit de semences, le résultat en dépend - Le type de sol et le statut azoté de la parcelle: bien entendu, le type de sol impacte le rendement des couverts, avec des développements plus limités dans les sols superficiels ou filtrants. C est un effet conjugué d une moindre disponibilité en eau et en azote dans ces situations. Dans les situations à forts reliquats d azote (sols profonds, systèmes avec effluents d élevage, sur-fertilisation ), les niveaux de biomasse potentiels sont plus élevés. Prochainement, une note technique spécifique sur la valorisation des couverts en culture dérobée sera publiée
3 QUELQUES REGLES A SUIVRE Choisir une ou des espèces adaptées à mes besoins Le choix des espèces à implanter doit être fait suivant plusieurs critères: Ma rotation culturale Le matériel dont je dispose Montypedesol Le temps de travail Le coût des semences Les essais réalisés dans le cadre du «programme régional pour la qualité de l eau» nous ont conduit au conclusions suivantes Les meilleurs résultats sont obtenus avec des mélanges de 3 ou 4 espèces Les légumineuses Le pois (fourrager ou protéagineux), la féverole ou encore la lentille (alimentaire ou fourragère) sont des partenaires de choix dans un mélange: possibilité d être produit sur l exploitation et caractère gélif. Préférer le semis de mélanges avec légumineuses L association de plusieurs espèces (graminées, légumineuses et crucifères) optimise l espace disponible, tant d un point de vue aérien que racinaire. L intégration au mélange d une ou plusieurs légumineuses permet d augmenter les performances du couvert en termes de biomasse produite. Les différentes espèces sont présentées dans la fiche ci-jointe! Les partenaires des légumineuses La moutarde blanche valorise bien l azote disponible et produit une biomasse conséquente. L Avoine de printemps est la graminée à privilégier par son adaptation aux dates de semis etàsoncaractèregélif.laphacéliequantàellea l intérêt de n appartenir à aucune des familles présentes dans les rotations lorraines. Parmi les graminées conseillées, le Ray Grass d Italie, le moha graminée estivale- ou le seigle, en association à des légumineuses (trèfle violet ou trèfle d Alexandrie par exemple) peuvent être implantés à des fins de couvert fourrager(culture dérobée). Choisir des espèces peu ou pas présentes dans la rotation culturale L objectif est de limiter les risques parasitaires(maladies et ravageurs). Il est donc essentiel de raisonner le choix des espèces implantées en fonction de la rotation et de la succession des cultures. Exemple Eviter la moutarde (crucifère) dans des rotations courtes avec du colza Eviter l avoine (graminée) avant l implantation d orge de printemps Eviter le Niger (composée) avant implantation d un tournesol Il est important de bien raisonner la conduite du couvert et en particulier la date d implantation (suivant l espèce, favoriser le développement et limiter la montée à graines du couvert)
4 QUELQUES REGLES A SUIVRE Le semis d une culture intermédiaire. L objectif reste néanmoins de favoriser une bonne implantation du couvert pour que ce dernier joue pleinement son rôle de piège à nitrates et apporte un réel bénéfice agronomique. Quelle technique d implantation? Être simple et efficace Les exigences au semis varient suivant la ou les espèces implantées. On parle alors de niveau d exigence faible (semis à la volée germination en surface du sol) à forte(nécessité d enfouir la graine). Le semis à la volée avec ou sans déchaumage reste néanmoins à privilégier lorsqu il est possible et suivant l objectif fixé. Il est simple de mise en œuvre, rapide et moins cher. Pour les différents couverts, le mode d implantation est directement lié à la taille et à la forme de la graine Grosses graines, rondes et denses (vesce, pois): Epandage possible sur des largeurs importantes (centrifuge, semoir anti limaces = 24 m) Petites graines, PMG [3 10] grammes(radis, moutarde, navette) : Epandage possible sur des largeurs de 18 à 20 mètres Les graines de faible densité et de forme aplatie ou allongée(phacélie, RG ) sont peu ou pas adaptées ausemisàlavolée. Le schéma ci-contre reprend les niveaux d exigence à l implantation pour différents couverts. Latechnique de semis est à adapter aux exigences de la culture intermédiaire (caractéristiques des semences) et au matériel disponible sur l exploitation Semer tôt pour bénéficier de chaleur et pluie. Pour atteindre unobjectif de 1,5 à 2 Tonnes de matières sèche/ha avec un mélange, il faut bénéficier de C jour (semis au plus tard la première 15 aine d Août) Semis à la volée Semis à la volée + 1 Déchaumage Déchaumage + Semis classique Implantation facile TECHNIQUE DE SEMIS ESPECES Implantation délicate Moutarde blanche Radis Navette Avoine de printemps Avoine Strigosa Seigle Trèfle incarnat Tournesol Féverole RGI Sarrasin Phacélie Niger Vesce commune Lentille fourragère Trèfle d'alexandrie La densité de semis à adapter aux objectifs du couvert Les objectifs poursuivis peuvent être divers : CIPAN(Culture Intermédiaire Piège à Nitrate), engrais vert, couvert réglementaire, couvert agronomique, etc. Pour des couverts restitués au sol ou exportés (culture dérobée), les doses de semis évoquées dans l annexe doivent être respectées. Pour les mélanges, nous vous proposons de suivre la règle suivante : Dose de semis du mélange = (dose esp1/n + 20%) + (dose esp 2/n + 20%) + Avec n = nombre d espèces Dose esp1 = dose de semis en pure
5 Et les méthodes de destruction dans tout cela? QUELQUES REGLES A SUIVRE La destruction du couvert, une opération d importance La destruction du couvert est une étape fondamentale dans la conduite de l interculture. L objectif est de laisser croître le couvert afin qu il remplisse les différents objectifs fixés (fixation de l azote, protection du sol ) sans pour autant qu il ait un impact négatif sur la culture suivante. Privilégier la destruction mécanique à la destruction chimique Sensibilité des couverts végétaux à différents modes de destruction mécanique. Source : Arvalis-Institut du Végétal Le labour, le broyage, le roulage ou encore le déchaumage sont autant de techniques mécaniques permettant une destruction efficace. Combiner à ces outils, le choix de cultures gélives semble judicieux afin de limiter les interventions et d assurer une bonne destruction. Le tableau ci-dessus vous présente la sensibilité de différents couverts à différents modes de destruction. Disponibilité de l azote pour la culture suivante Privilégier les mélanges avec légumineuses L implantation de couverts en mélanges avec des légumineuses va permettre d augmenter le taux d azote dans la biomasse du couvert. Le rapport Carbone / Azote est alors réduit ce qui signifie que la dégradation et la minéralisation du couvert sera plus rapide. Source : CDA 54 Le rapport C/N influe directement la minéralisation de l azote du couvert et donc sa mise à disposition pour la culture suivante. Plus il est faible, plus le pourcentage d azote minéralisé sera important (exemple, 40 % d azote minéralisé pour un C/N comprisentre15et20). Le choix d un couvert présentant des intérêts agronomiques à plus ou moins long terme, s avère en général payant : lorsque l objectif de 1.5-2TMS/ha est obtenu avec un couvert avec légumineuses, le rendement de la culture suivante s en voit amélioré. C est donc un double bénéfice, bénéfice agronomique et bénéfice rendement qui compense le coût d implantation. A contrario, un couvert de 0.5TMS/ha aura peu ou pas d effet.
6 COUVERTURE DE SOL ET PRESERVATION DE LA QUALITE DE L EAU Un pas de plus vers la préservation de la qualité de l eau! Quels que soient le ou les objectifs que vous visez, le couvert implanté jouera le rôle de CIPAN : Culture Intermédiaire Piège à Nitrates. Au cours de son cycle de développement, ce dernier va prélever l azote résiduel présent dans le sol, (Reliquats azotés) ainsi que la part d azote minéralisée en été et à l automne. La fixation de ce reliquat d azote dans la matière verte du couvert va permettre de limiter les transferts de nitrates vers les eaux de surfaces et les eaux souterraines. En sol riche en azote (à gauche), la moutarde produit beaucoup de végétation, alors qu en sol pauvre (à droite), elle se lignifie très rapidement Source CDA 54 C est autant d azote piégé dans le système, mis à disposition de la ou des cultures suivantes! Le graphique ci-dessous illustre 14 essais lorrains sur lesquels ont été mesurés des reliquats azotés à la destruction du couvert, la réduction du pool de nitrates potentiellement lessivable dans le couvert le plus développé par rapport au sol nu : en moyenne on le réduit de 46kgN/ha. Autant d azote qui ne se retrouvera pas dans l eau et qui reste disponible pour les cultures suivantes! Source : Chambre Régionale d Agriculture de Lorraine Cette efficacité reste cependant liée au développement du couvert comme on peut l observer sur le graphique ci-contre, un couvert développé capte plus d azote et joue d autant mieux son rôle de CIPAN. Source : Chambre Régionale d Agriculture de Lorraine Pour plus d informations ou un conseil personnalisé, n hésitez pas à contacter le conseiller agr eau madon de votre département. Contacts Laetitia Schaff, Chambre d Agriculture de Meurthe et Moselle, Thomas Lacroix, Chambre d Agriculture des Vosges, Source CDA 54
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