Fiche complémentaire sur les Chiffres clés 2014

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Fiche complémentaire sur les Chiffres clés 2014"

Transcription

1 Fiche complémentaire sur les Chiffres clés 2014 CC du Pays de Niederbronn-Les-Bains Information préalable Les fiches complémentaires sur les Chiffres clés 2014 ont été établies sur la base des données issues de Invent Air V2016 V2. Dans cette version, les données de consommations énergétiques pour l année 2005 ont été estimées à partir des données régionales disponibles (anciennes régions) et d une extrapolation des données mises à disposition dans le cadre de l article 179 de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte. Celles-ci feront l objet d une consolidation lors de l Invent Air V2017 (disponible en avril 2018). Ce document a été produit de façon partiellement automatisé sur la base d un traitement numérique, ceci explique le caractère stéréotypé des analyses. 1. Consommation énergétique finale En 2014, les secteurs les plus énergivores sont les secteurs Industrie manufacturière (41%), Résidentiel (31%) et Transport routier (18%). Entre 2005 et 2014, la consommation énergétique diminue de 18%. Ceci s'explique principalement par une baisse de la consommation des secteurs Industrie manufacturière (-25%), Résidentiel (-19%) et Tertiaire (-9%). En 2014, la consommation énergétique du secteur Industrie est principalement composée de Electricité (54%), Gaz naturel (37%) et Produits Pétroliers (5%). Entre 2005 et 2014, la consommation énergétique est en baisse de 25%. On observe notamment une baisse de la consommation de Produits Pétroliers (-77%) et Gaz naturel (-22%). Cette évolution de la consommation peut s'expliquer par une baisse d'activités et/ou la mise-en-place de mesures d'efficacité énergétique. En 2014, l'électricité représente 35% de la consommation énergétique du secteur Résidentiel, le gaz 12%, les produits pétroliers 24% et le bois-énergie 30%. Entre 2005 et 2014, la consommation est en baisse de 19%. Dans le détail, la consommation augmente entre 2005 et 2010 (+2%), ainsi que la consommation par habitant (+1%). Ceci peut s'expliquer par une augmentation de la rigueur climatique entre 2005 et 2010 (+9%) : 2010 a été une année particulièrement froide et l'année 2005 une année avec des températures dans les normales de ces dernières années. Entre 2010 et 2012, la consommation diminue (-5%), ainsi que la consommation par habitant (-5%). Ceci peut en partie s'expliquer par le fait que l'année 2012 a été une année avec des températures dans les normales de ces dernières années (diminution de la rigueur climatique de -13% entre 2010 et 2012). Entre 2012 et 2014, la consommation diminue (-16%), ainsi que la consommation par habitant (-16%). Ceci peut en partie s'expliquer par le fait que l'année 2014 a été une année particulièrement chaude (diminution de la rigueur climatique de -19% entre 2012 et 2014). Entre 2005 et 2012, la consommation par habitant a diminué de 3% et la rigueur climatique de 5%. En 2014, l'électricité représente 66% de la consommation énergétique du secteur Tertiaire, le gaz naturel 7%, les produits pétroliers 23% et le bois-énergie 5%. Entre 2005 et 2014, la consommation est en baisse de 9%. Dans le détail, la consommation augmente entre 2005 et 2010 (+11%). Ceci peut en partie s'expliquer par l'augmentation de la rigueur climatique entre 2005 et 2010 (+9%) : 2010 a été une année particulièrement froide et l'année 2005 une année avec des températures dans les normales de ces dernières années. Entre 2010 et 2012, la consommation diminue (-3%). Ceci peut en partie s'expliquer par le fait que l'année 2012 a été une année avec des températures dans les normales de ces dernières années (diminution de la rigueur climatique de -13% entre 2010 et 2012). Entre 2012 et 2014, la consommation diminue (-16%). Ceci peut en partie s'expliquer par le fait que l'année 2014 a été une année particulièrement chaude (diminution de la rigueur climatique de -19% entre 2012 et 2014). Page 1/6

2 Zoom sur l'éclairage public : La consommation énergétique de l'éclairage public sur ce territoire est estimée à MWh en 2005, MWh en 2010, MWh en 2012 et MWh en 2014, ce qui représente 0.4% de la consommation énergétique finale du territoire en Ces données sont estimées à partir d'une consommation régionale provenant d'enedis et RTE et des populations communales. Retrouvez la note sur l'éclairage public sur le lien suivant : Note éclairage public. 2. Emissions directes de GES En 2014, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Transport routier (30%), Industrie manufacturière (29%) et Résidentiel (20%). Entre 2005 et 2014, les émissions de GES diminuent de 27%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Industrie manufacturière (-38%), Résidentiel (-40%) et Tertiaire (-40%). En 2014, les émissions de GES du secteur Industrie sont principalement dues à la combustion de Gaz naturel (69%), à la combustion de Produits Pétroliers (13%) et à la combustion de Combustibles Minéraux Solides (12%). Entre 2005 et 2014, les émissions sont en baisse de 38%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions dues à la combustion de Produits Pétroliers (-78%) et à la combustion de Gaz naturel (-22%). La baisse des émissions de GES liées à la combustion de Produits Pétroliers est due à la baisse entre 2005 et 2014 de la consommation énergétique de ce combustible. La baisse des émissions de GES liées à la combustion de Gaz naturel est due à la baisse entre 2005 et 2014 de la consommation énergétique de ce combustible. En 2014, les produits pétroliers représentent 64% des émissions de GES du secteur Résidentiel et le gaz naturel 25%. Les émissions liées au bois-énergie représentent 8% du PRG de ce secteur. Pour rappel, les émissions de CO2 liées au bois-énergie (CO2 biomasse) ne sont pas comptabilisées dans ce total par convention. Entre 2005 et 2014, les émissions de GES sont en baisse de 40%, ce qui s'explique principalement par la diminution des émissions de GES liées à la combustion de produits pétroliers et de gaz naturel. Ceci est dû à l'évolution entre ces deux années de la consommation énergétique de ces combustibles, notamment pour les besoins de chauffage. En 2014, les produits pétroliers représentent 58% des émissions de GES du secteur Tertiaire, le gaz naturel 13% et les sources non liées à l'énergie (principalement l'utilisation de fluides frigorigènes pour la climatisation et la chaîne du froid alimentaire) 29%. Entre 2005 et 2014, les émissions de GES sont en baisse de 40%, ce qui s'explique principalement par la diminution des émissions de GES liées à la combustion de produits pétroliers et de gaz naturel. Ceci est dû à l'évolution entre ces deux années de la consommation énergétique de ces combustibles, notamment pour les besoins de chauffage. 3. Emissions de GES liées aux installations de production d électricité, de chaleur et de froid En 2014, les secteurs les plus émetteurs (de manière indirecte de par leurs consommations d'électricité et de chaleur) sont les secteurs Industrie manufacturière (45%), Résidentiel (38%) et Tertiaire (17%). Entre 2005 et 2014, les émissions indirectes de GES diminuent de 8%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Résidentiel (-13%) et Industrie manufacturière (-11%) en partie compensée par une hausse des émissions du secteur Tertiaire (+17%). En 2014, les émissions indirectes de GES du secteur Résidentiel sont exclusivement dues à la consommation d'électricité du secteur. Entre 2005 et 2014, ces émissions sont en baisse de 13%, ce qui s'explique principalement par une baisse de la consommation d'électricité (-6% entre 2005 et 2014) et une baisse du contenu carbone de l'électricité consommée (valeur moyenne nationale dépendante des usages de l'électricité) (-8% sur la même Page 2/6

3 période). En 2014, les émissions indirectes de GES du secteur Industrie sont entièrement liées à la consommation d'électricité. Entre 2005 et 2014, elles sont en baisse de 11%. Cette baisse est plus rapide que celle de la consommation électrique, ce qui s'explique par la baisse du contenu carbone de l'électricité (facteur d'émission national). En 2014, les émissions indirectes de GES du secteur Tertiaire sont exclusivement dues à la consommation d'électricité du secteur. Entre 2005 et 2014, ces émissions sont en hausse de 17%, ce qui s'explique principalement par une hausse de la consommation d'électricité (+27% entre 2005 et 2014) en partie compensée par une baisse du contenu carbone de l'électricité consommée (valeur moyenne nationale dépendante des usages de l'électricité) (-8% sur la même période). 4. Emissions de PM10 En 2014, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Résidentiel (60%), Industrie manufacturière (19%) et Agriculture (11%). Entre 2005 et 2014, les émissions de PM10 diminuent de 14%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Résidentiel (-10%), Industrie manufacturière (-22%) et Transport routier (-36%). En 2014, les émissions de PM10 du secteur Résidentiel sont principalement dues au bois-énergie (utilisé pour le chauffage) (95% du total des émissions). Entre 2005 et 2014, ces émissions sont en baisse de 10%, ce qui s'explique principalement par un renouvellement des installations de chauffage au bois qui sont de moins en moins émettrices (réduction du facteur d'émission de 21% entre 2005 et 2014), phénomène en partie compensé par la hausse de la consommation de bois (+15% sur la même période). En 2014, les émissions de PM10 du secteur Industrie sont principalement dues à des sources non liées à l'énergie (94%, par exemple les procédés des industries agroalimentaires et de la construction), à la combustion de Gaz naturel (3%) et à la combustion de Produits Pétroliers (3%). Entre 2005 et 2014, les émissions sont en baisse de 22%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions dues à la combustion de Produits Pétroliers (-91% entre 2005 et 2014). La baisse entre 2005 et 2014 des émissions de PM10 liées à la combustion de Produits Pétroliers est plus rapide que celle de la consommation énergétique de ce combustible, ce qui indique probablement la mise-en-place de techniques de réduction des émissions (dépoussiéreurs par exemple). En 2014, les émissions de PM10 du secteur Transport routier sont dues à 54% à l'usure des routes, des pneus et des plaquettes de freins et à 46% aux échappements des moteurs des véhicules (en détail 27% aux véhicules particuliers (VP) Diesel, 10% aux véhicules utilitaires légers (VUL) Diesel et 8% aux poids lourds (PL)). La part des véhicules diesel dans le parc roulant est passée de 66% en 2005 à 78% en Entre 2005 et 2014, les émissions de PM10 sont en baisse de 36%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions moteurs des VP (-47% entre 2005 et 2014), des VUL (-66% entre 2005 et 2014) et des PL (-58% entre 2005 et 2014). Ces évolutions peuvent s'expliquer pour les VP par la diminution des émissions par kilomètre (-53% pour les VP Diesel et -77% pour les VP Essence entre 2005 et 2014) et la baisse des distances parcourues (-5%), pour les VUL par la diminution des émissions par kilomètre (-67% pour les VUL Diesel et -90% pour les VUL Essence entre 2005 et 2014) en partie compensée par la hausse des distances parcourues (2%), pour les PL par la diminution des émissions par kilomètre (-66% entre 2005 et 2014) en partie compensée par la hausse des distances parcourues (23%). Les émissions dues à l'usure des routes, des pneus et des plaquettes de freins sont en hausse de +2% entre 2005 et La diminution des émissions par kilomètre parcouru des différentes catégories de véhicules est principalement due au renouvellement du parc routier et à l'amélioration des performances techniques (filtres à particules par exemple). L'évolution des distances parcourues pour chaque catégorie de véhicules peut dépendre de plusieurs facteurs (évolutions des infrastructures (aménagement de routes, ), de l'attractivité du territoire, des changements de comportements, etc.). Page 3/6

4 5. Emissions de PM2.5 En 2014, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Résidentiel (80%), Transport routier (9%) et Agriculture (5%). Entre 2005 et 2014, les émissions de PM2.5 diminuent de 19%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Résidentiel (-10%), Industrie manufacturière (-62%) et Transport routier (-43%). En 2014, les émissions de PM2.5 du secteur Résidentiel sont principalement dues au bois-énergie (utilisé pour le chauffage) (95% du total des émissions). Entre 2005 et 2014, ces émissions sont en baisse de 10%, ce qui s'explique principalement par un renouvellement des installations de chauffage au bois qui sont de moins en moins émettrices (réduction du facteur d'émission de 21% entre 2005 et 2014), phénomène en partie compensé par la hausse de la consommation de bois (+15% sur la même période). En 2014, les émissions de PM2.5 du secteur Industrie sont principalement dues à des sources non liées à l'énergie (64%, par exemple les procédés des industries de la construction), à la combustion de Gaz naturel (18%) et à la combustion de Produits Pétroliers (15%). Entre 2005 et 2014, les émissions sont en baisse de 62%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions dues à la combustion de Produits Pétroliers (-89%) et à des sources non liées à l'énergie (-40%). La baisse entre 2005 et 2014 des émissions de PM2.5 liées à la combustion de Produits Pétroliers est plus rapide que celle de la consommation énergétique de ce combustible, ce qui indique probablement la mise-en-place de techniques de réduction des émissions (dépoussiéreurs par exemple). En 2014, les émissions de PM2.5 du secteur Transport routier sont dues à 39% à l'usure des routes, des pneus et des plaquettes de freins et à 61% aux échappements des moteurs des véhicules (en détail 36% aux véhicules particuliers (VP) Diesel, 13% aux véhicules utilitaires légers (VUL) Diesel et 10% aux poids lourds (PL)). La part des véhicules diesel dans le parc roulant est passée de 66% en 2005 à 78% en Entre 2005 et 2014, les émissions de PM2.5 sont en baisse de 43%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions moteurs des VP (-47% entre 2005 et 2014), des VUL (-66% entre 2005 et 2014) et des PL (-58% entre 2005 et 2014). Ces évolutions peuvent s'expliquer pour les VP par la diminution des émissions par kilomètre (-53% pour les VP Diesel et -77% pour les VP Essence entre 2005 et 2014) et la baisse des distances parcourues (-5%), pour les VUL par la diminution des émissions par kilomètre (-67% pour les VUL Diesel et -90% pour les VUL Essence entre 2005 et 2014) en partie compensée par la hausse des distances parcourues (2%), pour les PL par la diminution des émissions par kilomètre (-66% entre 2005 et 2014) en partie compensée par la hausse des distances parcourues (23%). Les émissions dues à l'usure des routes, des pneus et des plaquettes de freins sont en hausse de +2% entre 2005 et La diminution des émissions par kilomètre parcouru des différentes catégories de véhicules est principalement due au renouvellement du parc routier et à l'amélioration des performances techniques (filtres à particules par exemple). L'évolution des distances parcourues pour chaque catégorie de véhicules peut dépendre de plusieurs facteurs (évolutions des infrastructures (aménagement de routes, ), de l'attractivité du territoire, des changements de comportements, etc.). 6. Emissions de NOx En 2014, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Transport routier (55%), Industrie manufacturière (20%) et Résidentiel (13%). Entre 2005 et 2014, les émissions de NOx diminuent de 37%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Transport routier (-33%), Industrie manufacturière (-53%) et Agriculture (-42%). En 2014, les véhicules particuliers (VP) représentent 45% des émissions de NOx du secteur Transport routier, les véhicules utilitaires légers (VUL) 15% et les poids lourds (PL) 39%. La part des véhicules diesel dans le parc roulant est passée de 66% en 2005 à 78% en Entre 2005 et 2014, les émissions de NOx sont en baisse de 33%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions des VP (-34% entre 2005 et 2014), des VUL (-31% entre 2005 et 2014) et des PL (-35% entre 2005 et 2014). Ces évolutions peuvent s'expliquer pour les VP par la diminution des émissions par kilomètre (-13% pour les VP Diesel et -77% pour les VP Essence entre 2005 et 2014) et la baisse des distances parcourues (-5%), pour les VUL par la diminution des émissions par kilomètre (-22% pour Page 4/6

5 les VUL Diesel et -81% pour les VUL Essence entre 2005 et 2014) en partie compensée par la hausse des distances parcourues (2%), pour les PL par la diminution des émissions par kilomètre (-47% entre 2005 et 2014) en partie compensée par la hausse des distances parcourues (23%). La diminution des émissions par kilomètre parcouru des différentes catégories de véhicules est principalement due au renouvellement du parc routier et à l'amélioration des performances techniques impulsée par la mise-en-place des normes Euro. L'évolution des distances parcourues pour chaque catégorie de véhicules peut dépendre de plusieurs facteurs (évolutions des infrastructures (aménagement de routes, ), de l'attractivité du territoire, des changements de comportements, etc.). En 2014, les émissions de NOx du secteur Industrie sont principalement dues à la combustion de Gaz naturel (71%), à la combustion de Produits Pétroliers (19%) et à la combustion de Combustibles Minéraux Solides (9%). Entre 2005 et 2014, les émissions sont en baisse de 53%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions dues à la combustion de Produits Pétroliers (-86% entre 2005 et 2014). La baisse entre 2005 et 2014 des émissions de NOx liées à la combustion de Produits Pétroliers est plus rapide que celle de la consommation énergétique de ce combustible, ce qui indique probablement la mise-en-place de techniques de réduction des émissions. En 2014, les émissions de NOx du secteur agricole sont principalement dues à la combustion de produits pétroliers et biocarburants par les engins agricoles et sylvicoles (99%). Entre 2005 et 2014, ces émissions sont en baisse de 42%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions liées à la combustion de carburant par les engins agricoles et sylvicoles (-43%). Le remplacement depuis 2011 du fioul domestique par du gazole non routier et des biocarburants explique cette baisse, malgré une hausse de la consommation énergétique des engins agricoles et sylvicoles (+7%). 7. Emissions de SO2 En 2014, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Résidentiel (56%), Industrie manufacturière (30%) et Tertiaire (13%). Entre 2005 et 2014, les émissions de SO2 diminuent de 88%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Industrie manufacturière (-95%), Résidentiel (-67%) et Tertiaire (-74%). En 2014, les émissions de SO2 du secteur Industrie sont principalement dues à la combustion de Produits Pétroliers (52%), à la combustion de Combustibles Minéraux Solides (44%) et à la combustion de Gaz naturel (4%). Entre 2005 et 2014, les émissions sont en baisse de 95%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions dues à la combustion de Produits Pétroliers (-97% entre 2005 et 2014). La baisse entre 2005 et 2014 des émissions de SO2 liées à la combustion de Produits Pétroliers est plus rapide que celle de la consommation énergétique de ce combustible, ce qui peut indiquer la mise-en-place de techniques de réduction des émissions ou une diminution de la teneur en soufre de ce combustible. En 2014, les émissions de SO2 du secteur Résidentiel sont principalement dues aux produits pétroliers (76% du total) et au bois-énergie (24%). Entre 2005 et 2014, les émissions de SO2 sont en baisse de 67%, ce qui s'explique principalement par la diminution des émissions liées à la combustion de produits pétroliers. Celle-ci est due à la baisse de la teneur en soufre des produits pétroliers, ainsi qu'à la diminution de la consommation de ce type de combustibles (-48% entre 2005 et 2014, notamment en lien avec les besoins de chauffage). En 2014, les émissions de SO2 du secteur Tertiaire sont très majoritairement dues à la combustion de produits pétroliers (95% du total). Entre 2005 et 2014, elles sont en baisse de 74%, ce qui s'explique principalement par la diminution des émissions liées à la combustion de produits pétroliers. Celle-ci est due à la baisse de la teneur en soufre des produits pétroliers, ainsi qu'à la diminution de la consommation de ce type de combustibles (-52% entre 2005 et 2014, notamment en lien avec les besoins de chauffage). 8. Emissions de COVNM Page 5/6

6 En 2014, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Résidentiel (56%), Industrie manufacturière (32%) et Transport routier (8%). Entre 2005 et 2014, les émissions de COVNM diminuent de 25%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Transport routier (-61%), Résidentiel (-14%) et Industrie manufacturière (-21%). En 2014, les émissions de COVNM du secteur Transport routier sont principalement dues à 57% à l'évaporation de lave-glaces et de dégivrants, à 24% aux échappements des moteurs des véhicules (en détail 16% aux véhicules particuliers (VP), 5% aux véhicules utilitaires légers (VUL) et 3% aux poids lourds (PL)) et à 8% à l'évaporation d'essence des réservoirs. Entre 2005 et 2014, les émissions de COVNM sont en baisse de 61%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions moteurs des VP (-81% entre 2005 et 2014), des VUL (-70% entre 2005 et 2014) et des PL (-66% entre 2005 et 2014), ainsi que la baisse des émissions liées à l'évaporation de carburant des réservoirs (-84% entre 2005 et 2014). Ces évolutions peuvent s'expliquer pour les VP par la diminution des émissions par kilomètre (-65% pour les VP Diesel et -71% pour les VP Essence entre 2005 et 2014) et la baisse des distances parcourues (-5%), pour les VUL par la diminution des émissions par kilomètre (-57% pour les VUL Diesel et -81% pour les VUL Essence entre 2005 et 2014) en partie compensée par la hausse des distances parcourues (2%), pour les PL par la diminution des émissions par kilomètre (-72% entre 2005 et 2014) en partie compensée par la hausse des distances parcourues (23%). La diminution des émissions par kilomètre parcouru des différentes catégories de véhicules est principalement due au renouvellement du parc routier et à l'amélioration des performances techniques impulsée par la mise-en-place des normes Euro. De même, la diminution des émissions liées à l'évaporation de carburant des réservoirs est due au renouvellement du parc (disparition des vieux véhicules). L'évolution des distances parcourues pour chaque catégorie de véhicules peut dépendre de plusieurs facteurs (évolutions des infrastructures (aménagement de routes, ), de l'attractivité du territoire, des changements de comportements, etc.). En 2014, les émissions de COVNM du secteur Résidentiel sont principalement dues au bois-énergie (73%) et à des sources non liées à l'énergie (25%), en particulier à l'utilisation domestique de peintures et de solvants. Entre 2005 et 2014, ces émissions sont en baisse de 14%, ce qui s'explique principalement par une amélioration des performances des installations de chauffage au bois qui sont de moins en moins émettrices (réduction du facteur d'émission de 27% entre 2005 et 2014), phénomène en partie compensé par la hausse de la consommation de bois (+15% sur la même période). En 2014, les émissions de COVNM du secteur Industrie sont principalement dues à des sources non liées à l'énergie (98%, par exemple l'utilisation de solvants et de peintures et les procédés de l'industrie agroalimentaire), à la combustion de Produits Pétroliers (1%) et à la combustion de Gaz naturel (1%). Entre 2005 et 2014, les émissions sont en baisse de 21%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions dues à des sources non liées à l'énergie (-19% entre 2005 et 2014), ce qui peut s'expliquer par la diminution de la teneur en solvant des produits utilisés, la réduction des quantités de peinture utilisées et des baisses d'activités. 9. Emissions de NH3 En 2014, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Agriculture (93.8%) et Industrie manufacturière (4.7%). Entre 2005 et 2014, les émissions de NH3 augmentent de 20%. Ceci s'explique principalement par une hausse des émissions du secteur Agriculture (+23%). En 2014, les émissions de NH3 du secteur agricole sont principalement dues à l'épandage d'engrais minéraux (38%), la gestion des déjections animales (hors pâturage) (47%) et l'épandage d'engrais organiques (9%). Entre 2005 et 2014, ces émissions sont en hausse de 23%. Cette évolution s'explique principalement par la hausse des émissions liées à l'utilisation d'engrais minéraux (+91% entre 2005 et 2014). Les émissions de NH3 liées à l'utilisation d'engrais minéraux augmentent sur le territoire car on observe une augmentation des quantités épandues d'engrais minéraux en Alsace entre 2005 et 2014 et notamment des engrais les plus émissifs. Ceci conduit à une augmentation de 65% des émissions par hectare de NH3 entre 2005 et Page 6/6 Powered by TCPDF (

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants

Plus en détail

Evolution de la fiscalité des carburants

Evolution de la fiscalité des carburants Evolution de la fiscalité des carburants Comité pour la fiscalité écologique 16 mai 2013 Scénarios étudiés Scénario 1 : alignement complet de la TICPE gazole sur le super (18 c /l) sur 9 ans (2 c /l/an),

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA

Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont

Plus en détail

la Contribution Climat Energie

la Contribution Climat Energie Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble

Plus en détail

Evaluation des émissions

Evaluation des émissions Evaluation des émissions de gaz à effet de serre générées par les activités de la Bourse de l Immobilier 28 Avenue thiers 33100 BORDEAUX Tél : 05 57 77 17 77 - Fax : 05 56 40 58 63 www.bourse-immobilier.fr

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre

Bilan des émissions de gaz à effet de serre Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de

Plus en détail

CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières

CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

Catégorie Sécurité Routière en Entreprise

Catégorie Sécurité Routière en Entreprise Dossier de candidature au Trophée du Gestionnaire de Parc Citoyen 2015 : Critères d éligibilité pour la Sécurité Routière en Entreprise : Est éligible tout gestionnaire de parc qui aura initié et mis en

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011 Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE

Plus en détail

Compétitivité des entreprises et maîtrise des consommations d énergie sont-elles conciliables?

Compétitivité des entreprises et maîtrise des consommations d énergie sont-elles conciliables? Fiches extraites du dossier du participant remis à l'occasion du Débat national sur les énergies lors de la rencontre de Nice, le 15 avril 2003. Le thème de cette rencontre était " Énergie, entreprises

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars

Plus en détail

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES)

Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) BEGES TABLE DES MATIÈRES 1- INTRODUCTION 2 1-1 - OBJET 2 1-2 - LE CADRE REGLEMENTAIRE 2 1-3 - CONTENU DU RAPPORT 3 1-4 - DEFINITIONS 3 2- BILAN DES EMISSIONS

Plus en détail

Bourbon Offshore Surf

Bourbon Offshore Surf Bourbon Offshore Surf 148, rue Sainte 13007 MARSEILLE Bilan réglementaire des Emissions de Gaz à Effet de Serre EKOS Ingénierie Le Myaris - 355, rue Albert Einstein 13852 Aix en Provence Cedex 3 Tél. 04.42.27.13.63

Plus en détail

STATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR

STATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR STATISTIQUE DU COMM- DU COMMERCE MERCE EXTERIEUR E X T E R I E U R Statistique du Commerce Extérieur S E R I E Statistiques du commerce extérieur I - Introduction Les statistiques des échanges commerciaux

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

Plan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions

Plan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Plan d actions Bilan Carbone Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Patrimoine et services communaux Territoire d Uccle 1) Energie 8 2) Déplacements de personnes 5 3) Transport de marchandise

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée

TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée COnCEnTRÉ DE TECHnOLOGiE Maîtrisez vos consommations grâce au concentré de technologie TOTAL EXCELLIUM DIESEL ) ) Une meilleure protection

Plus en détail

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante

Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

Stratégie Carbone et Energie de la STIB à l horizon 2030

Stratégie Carbone et Energie de la STIB à l horizon 2030 Stratégie Carbone et Energie de la STIB à l horizon 2030 Mai 2014 Introduction 03 Diagnostic pour l année 2010 04 Paramètres d influence 05 Actions visant à réduire les émissions 06 Modélisation 07 Scénarios

Plus en détail

ENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires

ENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies

Plus en détail

DIAGNOSTIC GAZ A EFFET DE SERRE DE TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL DES PYRENEES ARIEGEOISES

DIAGNOSTIC GAZ A EFFET DE SERRE DE TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL DES PYRENEES ARIEGEOISES DIAGNOSTIC GAZ A EFFET DE SERRE DE TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL DES PYRENEES ARIEGEOISES Sommaire INTRODUCTION...5 I. CONSOMMATIONS ENERGETIQUES...6 Industrie...6 Agricole...7 Transports...7 Résidentiel

Plus en détail

Pourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux?

Pourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux? Pourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux? Les faits nous interpellent! En 1950 il y avait 50 millions de véhicules sur terre En 2009 : il y a 800 millions de véhicules

Plus en détail

France Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012

France Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 France Telecom SA Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : France Telecom SA Code NAF : 6110Z / Télécommunications filaires

Plus en détail

Drôme Service Nettoyage (DSN)

Drôme Service Nettoyage (DSN) Drôme Service Nettoyage (DSN) Bilan des émissions des Gaz 1/25 à Effet de Serre Conformément à L article 75 de la loi n -788 du 12 juillet portant engagement national pour l environnement (ENE) *** 21/12/2012

Plus en détail

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que

Plus en détail

Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS)

Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS) Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS) 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : INRS, Association loi 1901 Code NAF : 7219Z Code SIREN

Plus en détail

Réduction de la pollution d un moteur diesel

Réduction de la pollution d un moteur diesel AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel

Plus en détail

OBSERVATION ET STATISTIQUES

OBSERVATION ET STATISTIQUES COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 411 Avril 13 Conjoncture énergétique Février 13 OBSERVATION ET STATISTIQUES TRANSPORT La production d énergie primaire du mois de février recule de 3,2 %

Plus en détail

APPEL À PROJETS POUR LA MISE EN PLACE DE PROGRAMMES D INFORMATION, DE FORMATION ET D INNOVATION EN FAVEUR DE LA MAÎTRISE DE LA DEMANDE ÉNERGÉTIQUE

APPEL À PROJETS POUR LA MISE EN PLACE DE PROGRAMMES D INFORMATION, DE FORMATION ET D INNOVATION EN FAVEUR DE LA MAÎTRISE DE LA DEMANDE ÉNERGÉTIQUE APPEL À PROJETS POUR LA MISE EN PLACE DE PROGRAMMES D INFORMATION, DE FORMATION ET D INNOVATION EN FAVEUR DE LA MAÎTRISE DE LA DEMANDE ÉNERGÉTIQUE PRÉVUS À L'ARTICLE L. 221-7 DU CODE DE L'ÉNERGIE 1/10

Plus en détail

Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique

Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Florent PERRIN Responsable région Rhône Alpes CleanTuesday Rhône-Alpes Juin 2010 CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL Le GIEC a confirmé que

Plus en détail

Émissions nationales de GES* : une part plus importante pour les transports et l'habitat 7 % 14 % 12 % 9 % 12 % 23 % 18 % 21 % 23 % 14 % 12 %

Émissions nationales de GES* : une part plus importante pour les transports et l'habitat 7 % 14 % 12 % 9 % 12 % 23 % 18 % 21 % 23 % 14 % 12 % Les ménages acteurs de gaz à effet de serre le 4 pages ifen Pressions Le mode de vie et la consommation des ménages influent sur les émissions de gaz à effet de serre. Une adaptation ou une modification

Plus en détail

L effacement diffus : cet inconnu bientôt dans votre foyer (1/3)

L effacement diffus : cet inconnu bientôt dans votre foyer (1/3) Accueil Acteurs & marchés Entreprises Habitants Politiques énergétiques Territoires & projets Energystream Le blog Energie des consultants Solucom Accueil» Éclairage» L effacement diffus : cet inconnu

Plus en détail

BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1

BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 2. PRESENTATION DE THALES SA... 3 2.1. Informations relatives à la personne morale... 3 2.2. Personne

Plus en détail

Rencontre des savoirs. L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?

Rencontre des savoirs. L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable? Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Rencontre des savoirs Bron 14 mai 2013 L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?

Plus en détail

Quelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports?

Quelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports? Quelles perspectives de développement pour le gaz naturel dans les transports? Le regard de Gazprom Marketing and Trading France 29 octobre 2014 Sommaire 1. Les atouts du GNV pour les transitions énergétiques

Plus en détail

UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT

UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.

Plus en détail

Dossier groupes électrogènes

Dossier groupes électrogènes Dossier groupes électrogènes Contexte et problématiques Table des matières Contexte 2 1. Modes d utilisation des GE 2 2. Définition et fonctionnement 5 Problématique 6 1. Ventilation 6 2. Préchauffage

Plus en détail

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires

Plus en détail

Se protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs

Se protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs 0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs

Plus en détail

Suivi des émissions de gaz à effet serre causées par l'achat d'électricité

Suivi des émissions de gaz à effet serre causées par l'achat d'électricité Suivi des émissions de gaz à effet serre causées par l'achat d'électricité Un résumé du Guide Scope 2 du Greenhouse Gas Protocol Rédigé par le Secrétariat EKOénergie, janvier 2015 Ce résumé existe en plusieurs

Plus en détail

Cofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014

Cofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Cofely Services Le choix de la condensation biomasse Fonctionnement

Plus en détail

Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière

Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement

Plus en détail

La filière bois énergie en Bretagne

La filière bois énergie en Bretagne La filière bois énergie en Bretagne 2012 En Bretagne, une ressource àla fois abondante et limitée Total : 3.8 millions de tep la ressource en bois couvre entre 5 et 10% des besoins actuels en énergie :

Plus en détail

Bilan d émissions de GES Banque Courtois 21/11/12 1

Bilan d émissions de GES Banque Courtois 21/11/12 1 Bilan d émissions de GES Banque Courtois 21/11/12 1 Bilan d émissions de gaz à effet de serre Banque Courtois A Description de la personne morale concernée : Raison sociale : BANQUE COURTOIS Sigle : BANQUE

Plus en détail

PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE EQUIPEMENT DE MONITORING

PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE EQUIPEMENT DE MONITORING PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE EQUIPEMENT DE MONITORING Formation Réseau De Chaleur - ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique

Plus en détail

Animation du Plan Bois Energie sur les Pyr. Animation du. Animation, Information. Conseils et accompagnement des projets.

Animation du Plan Bois Energie sur les Pyr. Animation du. Animation, Information. Conseils et accompagnement des projets. Le Bois Énergie Animation du Plan Bois Energie sur les Pyr Animation du sur les Pyrénées Orientales Animation, Information Conseils et accompagnement des projets Réalisation de pré-diagnostics tecnico-économiques

Plus en détail

BILAN DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE

BILAN DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE Bilan Carbone Agence de Services et de Paiement Auvergne Bureau Veritas Service Maîtrise des Risques HSE 21-23 rue des Ardennes 75 936 PARIS cedex 19 Dossier n 2355095/8 BILAN DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET

Plus en détail

«Commission énergie» SEMAINE DU DEVELOPPEMENT DURABLE. 01 avril 2011 SOREDE

«Commission énergie» SEMAINE DU DEVELOPPEMENT DURABLE. 01 avril 2011 SOREDE «Commission énergie» SEMAINE DU DEVELOPPEMENT DURABLE 01 avril 2011 SOREDE Le Pays Pyrénées-Méditerranée La commission énergie Pour RESTITUER, INFORMER et CONSULTER les habitants du territoire Octobre

Plus en détail

RÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT

RÉDUIRE LES EFFETS DU TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES SUR L ENVIRONNEMENT DIRCTION D LA COMMUNICATION CORPORAT D O S S I R D PRSS Lyon / Mars 2013 RÉDUIR LS FFTS DU TRANSPORT ROUTIR D MARCHANDISS SUR L NVIRONNMNT Pour réduire les effets sur l environnement tout au long du cycle

Plus en détail

Le bois, la première des énergies renouvelables

Le bois, la première des énergies renouvelables Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire

Plus en détail

LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE

LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE Gontran Bage Directeur- Développement durable et gestion des GES GES dans le secteur

Plus en détail

EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! WWW.ETIQUETTE-PNEUS.CH

EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! WWW.ETIQUETTE-PNEUS.CH EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! POUR DE MEILLEURS PNEUS SUR LES ROUTES SUISSES S exprimer lors du choix des pneus? Donner son

Plus en détail

LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE

LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE Bernard LAPONCHE 18 mai 2011 www.global-chance.org LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE UNE COMPARAISON

Plus en détail

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre. Année 2011

Bilan des émissions de gaz à effet de serre. Année 2011 Bilan des émissions de gaz à effet de serre Année 2011 P a g e 2 Sommaire 1. Description de la personne morale concernée... 3 2. Année de reporting et année de référence... 5 3. Résultats consolidés...

Plus en détail

Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton

Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation

Plus en détail

Quelle place pour le. bois énergie. dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec :

Quelle place pour le. bois énergie. dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec : Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec : Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? UN OUTIL pour la maîtrise des charges locatives

Plus en détail

Bulletin Officiel de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes

Bulletin Officiel de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes Bulletin Officiel de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 4 du 14 mars 2006 Décision n 05-D-31 du conseil de la concurrence du 22 juin 2005 relative à des pratiques mises

Plus en détail

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère

Plus en détail

BILAN CARBONE 2011. avril 13. Services Technologies Industries Pour l Environnement

BILAN CARBONE 2011. avril 13. Services Technologies Industries Pour l Environnement Services Technologies Industries Pour l Environnement BILAN CARBONE 2011 avril 13 STIPE SARL SIEGE SOCIAL : 842 RUE JEAN GIONO 83600 FREJUS TEL FAX 04 94 53 55 74 AGENCE IDF : 22 RUE SADI CARNOT 92000

Plus en détail

1. CONTEXTE...4 2. AVERTISSEMENT AU LECTEUR...5 3. DÉFINITIONS...7

1. CONTEXTE...4 2. AVERTISSEMENT AU LECTEUR...5 3. DÉFINITIONS...7 Septembre 2011 Méthode pour la réalisation des bilans d émissions de Gaz à effet de serre conformément à l article 75 de la loi n 2010788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l environnement

Plus en détail

Incitations financières véhicules 2014

Incitations financières véhicules 2014 Marque : Consommation de carburant C02 inférieures ou égales à 100 g/km de 101 à 120 g/km VOITURE Énergie : Essence Les déplacements Comprendre Incitations financières véhicules 2014 Pour des véhicules

Plus en détail

Prévention des intoxications Entretien des chaudières

Prévention des intoxications Entretien des chaudières Journée Information «Monoxyde de Carbone» 18 juin 2012 Clermont-Ferrand Prévention des intoxications Entretien des chaudières Textes réglementaires et pratiques des professionnels Ministère de l'écologie,

Plus en détail

DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes

DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

Contribution des industries chimiques

Contribution des industries chimiques Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,

Plus en détail

LE PRIX DE L ENERGIE

LE PRIX DE L ENERGIE LE PRIX DE L ENERGIE Atelier Changement Climatique (Tuteur : Philippe Quirion) Mohammed EL Farah Xavier Coll Carrera Pierre Schryve Plan : Rapport 1. INTRODUCTION DEFINITIONS...3 But de l étude :...3 Définition

Plus en détail

Bilan électrique français ÉDITION 2014

Bilan électrique français ÉDITION 2014 Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012

Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Depuis 2006, les CCI de Rhône-Alpes, en partenariat avec l ADEME et le Conseil Régional, s attachent à promouvoir la maîtrise

Plus en détail

Bilan des Emissions de Gaz à Effet de Serre 2011

Bilan des Emissions de Gaz à Effet de Serre 2011 Bilan s Emissions Gaz à Effet Serre 2011 Synthèse s actions envisagées visant à réduire les gaz à effet serre la la Provence-Alpes-Côte d Azur 1/5 Cadre général Conformément à la loi Grenelle II, les services

Plus en détail

Financement de la réhabilitation des logements

Financement de la réhabilitation des logements Financement de la réhabilitation des logements Quels instruments disponibles? La gamme des outils Aides directes de l Etat et des collectivités locales Subventions nationales et locales Défiscalisation

Plus en détail

Objectif. La capacité de l appareil de production à répondre à la demande. La demande client en matière d éco-rénovation.

Objectif. La capacité de l appareil de production à répondre à la demande. La demande client en matière d éco-rénovation. CERA Février 2011 Objectif Définir les stratégies les plus adéquates pour dynamiser rapidement le marché de l éco-rénovation au regard de : la demande client en matière d éco-rénovation l état du parc

Plus en détail

Épreuve collaborative

Épreuve collaborative Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?

Plus en détail

PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE. Pour la gestion durable de votre patrimoine immobilier

PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE. Pour la gestion durable de votre patrimoine immobilier PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE Pour la gestion durable de votre patrimoine immobilier Vos Enjeux Acteurs du marché de l immobilier, la performance énergétique est pour vous un enjeu économique, écologique et

Plus en détail

Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC

Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Retour d expérience : Exemples concrets de mises en oeuvre de solutions suite à des audits énergétiques dont celui d une Pompe A Chaleur Haute Température

Plus en détail

En route vers la troisième révolution industrielle!

En route vers la troisième révolution industrielle! En route vers la troisième révolution industrielle! Transition énergétique, Smart Home, Smart Buildings, Smart Cities Quelle place, quel positionnement, quel avenir pour votre entreprise?... Les Spécialistes

Plus en détail

Réalisation. Diffusion

Réalisation. Diffusion Édition 2004 Édition 2004 Réalisation Cette publication a été préparée par la Direction des politiques et des technologies de l énergie, Secteur de l énergie et des changements climatiques, ministère

Plus en détail

Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout!

Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout! Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout! «Nous n héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l empruntons à nos enfants» Antoine de Saint-Exupéry

Plus en détail

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015

Formulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015 MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

Électricité : le gaspillage menace le climat

Électricité : le gaspillage menace le climat Électricité : le gaspillage menace le climat www.greenpeace.fr Introduction Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat (Giec), Agence internationale de l énergie, Union européenne :

Plus en détail

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans les bâtiments

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans les bâtiments Audits énergétiques L efficacité énergétique dans les bâtiments Préambule Vos consommations énergétiques vous semblent trop élevées et vous souhaitez améliorer les performances énergétiques de votre bâtiment.

Plus en détail

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles.

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.

Plus en détail

BILAN DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE SELON LE DECRET DU 11 JUILLET 2011

BILAN DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE SELON LE DECRET DU 11 JUILLET 2011 BILAN DES EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE SELON LE DECRET DU 11 JUILLET 2011 POLYCLINIQUE BORDEAUX NORD AQUITAINE 15 RUE CLAUDE BOUCHER 33 000 BORDEAUX REVISION 0 1 DATE 11/12/12 15/12/2012 - Révision

Plus en détail

Intégrez les enjeux énergie-climat dans vos documents d'urbanisme

Intégrez les enjeux énergie-climat dans vos documents d'urbanisme Intégrez les enjeux énergie-climat dans vos documents d'urbanisme PCET, SRCAE, précarité énergétique, PLH, évaluation environnementale SCOT et PLU, étude pré-opérationnelle OPAH BGP280/122 1 L'énergie

Plus en détail

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans l industrie

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans l industrie Audits énergétiques L efficacité énergétique dans l industrie Préambule Vos consommations énergétiques vous semblent trop élevées et vous souhaitez améliorer l efficacité énergétique de vos installations

Plus en détail