L UDF, : histoire d un grand parti entre néolibéralisme et centrisme
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- Flavie Roux
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1 L UDF, : histoire d un grand parti entre néolibéralisme et centrisme Sylvie Guillaume et Jean-François Sirinelli Les actes du colloque organisé à Paris les 22 et 23 novembre 2011 par le Centre d histoire de Sciences Po (CHSP), en association avec le Centre de recherche sur l action politique en Europe (CRAPE) de Rennes et avec le soutien de l Institut universitaire de France, comblent une lacune. Il s agit du premier colloque sur l histoire de l Union pour la démocratie française, l UDF, envisagée sur toute la période de son existence, entre 1978 et 2007, même si, auparavant, les travaux en science politique d Alexis Massart, de Julien Fretel et de Nicolas Sauger ont été d un grand apport. Ce n est pas un hasard si l initiative du colloque revient à Gilles Richard, professeur à l IEP de Rennes et auteur d une thèse d État sur le Centre national des indépendants et paysans. On peut en effet considérer ce grand parti de la IV e République comme l ascendant direct de l UDF dans sa sensibilité libérale. Rappelons que Valéry Giscard d Estaing commença sa carrière dans les rangs du CNIP en 1955, sous le regard protecteur de son aîné Antoine Pinay. Les deux hommes ont pris ensuite, à partir de 1960, leurs distances. Antoine Pinay se retira de la vie politique nationale tandis que «VGE» lançait le groupe des Républicains indépendants devenu en 1966 un véritable parti, la Fédération nationale des républicains indépendants, parti associé à la majorité gaulliste. Il existe bien une filiation du CNIP à la FNRI d où est née ensuite l UDF. Mais à la composante libérale de l UDF s ajoute le double héritage démocrate-chrétien et radical, d où la complexité de l étude d un parti qui n a pas su ou pas voulu réaliser une fusion de ses diverses composantes. On peut s interroger d emblée sur les raisons de l absence, certes toute relative, de l intérêt des historiens pour l UDF alors que de très nombreuses publications portent sur les partis gaullistes (UNR, UDR, RPR), autre composante des droites sous la V e République. 7
2 Sylvie Guillaume et Jean-François Sirinelli Le caractère souvent lacunaire des archives est un premier élément d explication. Il n existe pas d Institut UDF comme il existe l Institut puis la Fondation Charles de Gaulle, l Association Georges Pompidou, l Institut François Mitterrand, l Institut Pierre Mendès France, la Fondation Jean Jaurès qui ont pour mission principale de rassembler des archives en un même lieu et de les mettre à la disposition des chercheurs. Si on connaît l existence de sources sur l UDF dans les archives publiques on citera les cartons d archives de la présidence de la République sur le mandat de Valéry Giscard d Estaing ou dans les archives privées, celles-ci souffrent en règle générale d une très grande dispersion. La deuxième hypothèse expliquant le petit nombre de synthèses tient paradoxalement à l importance de la personnalité de Valéry Giscard d Estaing, président de la République entre 1974 et 1981, qui a suscité l intérêt des historiens. Les cinq grands colloques organisés par le Centre d histoire de Sciences Po sur «Les années Giscard», qui ont fait l objet de riches publications, ont permis une première ouverture des archives présidentielles et ont enrichi la connaissance. Néanmoins et il ne pouvait pas en être autrement la focale s est fixée sur la personnalité et sur l action de Valéry Giscard d Estaing en laissant dans l ombre l étude de l UDF dont la naissance, rappelons-le, ne date que de 1978, c est-à-dire quatre années après l arrivée à l Élysée de Valéry Giscard d Estaing, et dont le nom «UDF» fait précisément référence à l ouvrage Démocratie française publié en Or, l histoire de l UDF qui peut se confondre au départ avec celle de Valéry Giscard d Estaing, se prolonge bien après son mandat présidentiel. Enfin, la complexité de la structure de l UDF, qui est originale en soi par rapport à ses concurrents, a pu freiner les historiens moins bien armés que les chercheurs en science politique pour aborder l aspect organisationnel. L UDF est une confédération qui regroupe du centre à la droite un courant radical, un courant démocrate-chrétien et un courant libéral, tous trois enracinés dans la culture politique française mais dont les sensibilités peuvent être éloignées sur bien des sujets. L UDF fut créée pour être le «parti du président» après l échec de la «giscardisation» du parti gaulliste et le peu de succès du Parti républicain créé en Elle devait concurrencer le RPR, créé par Jacques Chirac deux ans auparavant dans la perspective des élections législatives de mars L unité s est réalisée autour de Valéry Giscard d Estaing, s est prolongée pendant le mandat présidentiel et a résisté après l échec du président en Mais des divergences n ont cessé d opposer de plus en plus ouvertement entre elles les composantes de l UDF, notamment le Parti républicain et les Clubs Perspectives et Réalités, d inspiration néolibérale, au Centre des démocrates sociaux d inspiration démocrate-chrétienne, surtout à partir du moment où l UDF s est ralliée aux thèses du libéralisme conservateur défendues par le gouvernement de Jacques Chirac en L originalité de la structure de l UDF rend 8
3 ainsi plus difficile son étude car celle-ci doit tenir compte des différentes sensibilités qui ne sont pas figées et qui posent sans cesse des problèmes identitaires à ce parti composite. Dès lors, une synthèse s imposait pour tenter d organiser les éléments disparates de connaissance dont on dispose. D autant que l importance du rôle joué par l Union pour la démocratie française dans la vie politique de la V e République n est plus à démontrer. Sa longévité, près de trois décennies, si elle n est pas comparable à celle des partis gaullistes, s inscrit dans un moyen terme qui couvre ses moments essentiels du régime instauré en L UDF, née en 1978, mais dont la gestation remonte à 1976, fut en effet partie prenante de ces grands tournants qui modifièrent les pratiques politiques avec l arrivée de la gauche au pouvoir en 1981 puis la formation de gouvernements de cohabitation en 1986 et en 1993, rassemblant des ministres RPR et UDF ; elle dut gérer les crises économiques à partir du deuxième choc pétrolier de 1979 et les mutations sociales qui ont affecté une «France qui change». Par ses nombreux élus, l UDF était enfin très présente aux échelons municipal, départemental et régional, sans oublier son rôle à l échelle européenne grâce au poids de la sensibilité démocrate-chrétienne. On a considéré que la date butoir de 2007 a scellé le sort de l UDF après la création en 2002 de l UMP qui, pour la première fois, a rassemblé dans une structure commune les courants de droite et du centre droit ; un certain nombre d anciens UDF proches du centre ont revendiqué leur autonomie autour du MoDem de François Bayrou, créé en 2007, pendant que d autres, les plus nombreux, ont rallié la majorité dans le cadre du Nouveau centre derrière Hervé Morin. C est donc cette histoire complexe que cet ouvrage tente d analyser en distinguant plusieurs séquences chronologiques : le temps de la fondation, , qui correspond au «moment Giscard» avec Jean Lecanuet qui préside l UDF ; , qui marque le début des difficultés avec l échec de la candidature de Valéry Giscard d Estaing face à François Mitterrand, ce qui conduit à des alliances avec le RPR ; qui couvre la présidence de l UDF par Valéry Giscard d Estaing ; puis vient, de 1996 à 2002, le temps des crises internes et des scissions, dues à l affrontement entre François Léotard et Alain Madelin pour la conquête du leadership en 1996 et l élection de François Bayrou à la tête de l UDF en 1998 ; enfin, la chronique d une mort annoncée entre 2002 et À ces jeux d échelles chronologiques s ajoutent des analyses transversales sur les structures, les programmes et l idéologie de ce grand parti de la V e République. La mise en œuvre de ce colloque passait par des enjeux méthodologiques, voire épistémologiques, essentiels. Trois étaient au cœur de la rencontre et le demeurent dans ce livre qui en est tiré. D une part, l histoire, ici, commence en 1978, c est-à-dire à une distance chronologique à peine 9
4 Sylvie Guillaume et Jean-François Sirinelli plus que trentenaire : pour la discipline historique, il s agit donc de la pointe extrême du glacis sur lequel l historien est habilité à s aventurer. Sur ce glacis, d autre part, la discipline historique n est pas la seule science sociale qui puisse se saisir de l objet UDF : la science politique, notamment, est elle aussi propriétaire ou, en l occurrence, copropriétaire d un tel objet. Enfin, pour l une et l autre discipline, la proximité chronologique de l objet induit la possibilité d un recours au témoignage oral, dont le statut et le protocole scientifiques sont toujours difficiles à établir. Revenons tout à tour sur ces trois enjeux car ils déterminent un certain nombre de choix opérés dans ce livre. Le premier de ces choix est clair à formuler mais complexe à réaliser : ce colloque entendait mener la recherche ici déployée aussi loin ou aussi proche? qu il était possible tout en respectant les normes d administration de la preuve de la corporation des historiens. C est dire que, au fur et à mesure que ceux-ci investissent, dans le livre, la première décennie du xxi e siècle, les sources sont ils disposent se raréfient et le recul dont ils entendent se prévaloir s amenuise. De ce fait, la marge de manœuvre pour demeurer sur le registre de l activité historienne qui consiste, au bout du compte, quelle que soit la période étudiée, à créer un savoir documenté et référencé devient singulièrement étroite. C est au lecteur d apprécier si les règles de création de ce savoir ont été ici respectées, mais il fera crédit aux maîtres d œuvre du colloque et du livre de leur souci de demeurer en conformité avec de telles règles tout en testant la possibilité pour l historien d aborder aux rivages du temps très proche. Sur ce temps très proche, il côtoie forcément les politologues et, à cet égard, l entreprise intellectuelle et scientifique se veut ici au contact de deux champs disciplinaires. C est à dessein que les organisateurs, historiens, ont placé leur projet et sa réalisation sur une sorte de site de confluence : l UDF, dans ce livre, est étudiée à la croisée de deux démarches scientifiques convergentes, l étude, par les politologues, des forces politiques qui leur sont contemporaines et l arrivée, par sa cinétique propre, de l histoire politique du temps présent sur les mêmes territoires thématiques et chronologiques. Non pas qu il s agisse ici d une sorte de division des tâches implicite ni, encore moins, d un Yalta épistémologique entre deux disciplines qui se disputeraient de tels territoires : c est, au contraire, l idée que, sur ce site de confluence, même si l une et l autre discipline y parviennent au terme de deux parcours distincts, liés à des identités intellectuelles différentes, la copropriété doit produire, sinon l osmose, en tout cas la complémentarité et la capillarité. On verra, du reste, qu il est bien difficile, à la lecture, de réellement distinguer les auteurs par leurs attaches disciplinaires. Autant qu un laboratoire d histoire politique du temps présent, ce livre se veut donc un plaidoyer pour une collaboration fructueuse entre les sciences sociales concernées par l étude du ou de la politique du temps proche et du temps présent. 10
5 Encore faut-il, bien sûr, se doter des outils nécessaires à une telle mise en œuvre, et notamment s interroger sur le statut du témoignage oral. Le recours à une telle source est, depuis plusieurs décennies, pleinement reconnu. Même si des débats épistémologiques, au demeurant légitimes, se poursuivent au sein de la corporation des historiens à propos du statut à conférer à cette source, celle-ci est utilisée dans des colloques depuis plus de quarante ans : ainsi en a-t-il été, dès le début des années 1970, des rencontres scientifiques organisées à Sciences Po sur le gouvernement de Vichy ou l époque du Front populaire. En même temps, doit-on considérer que l usage du témoignage oral devient plus complexe encore quand la recherche porte sur une période proche, dont les témoins rassemblés pour l occasion sont encore, pour certains d entre eux, acteurs de l histoire-se-faisant? La question est essentielle et confère encore plus de teneur expérimentale à l entreprise. Pour autant, par-delà tous ces enjeux que l on vient d évoquer, le plus important est que les difficultés qu ils induisent ont été surmontées et qu il est donc possible de proposer, dans ce livre, une connaissance scientifiquement stabilisée et intellectuellement maîtrisée de l histoire de l UDF. 11
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