LES NOUVEAUX. Stage PRF Lycée La Bourdonnais Maurice 14, 15 et 16 octobre Laurence Comte EEMCP2

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES NOUVEAUX. Stage PRF 2013-2014 Lycée La Bourdonnais Maurice 14, 15 et 16 octobre 2013. Laurence Comte EEMCP2"

Transcription

1 LES NOUVEAUX PROGRAMMES DE SVT (TS) Stage PRF Lycée La Bourdonnais Maurice 14, 15 et 16 octobre 2013 Laurence Comte EEMCP2

2 Préoccupations Critères évaluation Découvrir le programme et les pratiques associées Se préparer à enseigner en lycée Améliorer l encadrement des élèves suivant le programme par le CNED Préparer les élèves aux épreuves écrites et à l ECE Confronter ses pratiques Préparer les élèves avant la TS

3 Proposition d organisation du travail J1 : programme de TS contenus et mise en œuvre Structuration des programmes et modalités didactiques communes aux trois niveaux du lycée Lecture et analyse des programmes de TS Travail sur les progressions. J2 : travail autour des activités pratiques Activités pratiques versus ECE La modélisation Quelques activités pratiques avec logiciels Conception de séances intégrant des activités pratiques

4 Proposition d organisation du travail J3 : première partie Epreuves écrites de SVT au baccalauréat et évaluation : Analyse de sujets et barèmes officiels session 2013 Correction de copies. J3 : deuxième partie Avant la Terminale? Cohérence verticale. Conséquences sur la construction des séances d apprentissage Progressivité de l évaluation.

5 Les nouveaux programmes de TS Mettre en œuvre un nouveau programme : - Qu enseigne-t-on? - Comment l enseigne-t-on?

6 6 Le programme de SVT en classe de Terminale scientifique Paru au BO spécial n 8 du 13 octobre 2011 Un préambule de 4 pages dont 3 pages communes aux trois niveaux du lycée. Une organisation en thèmes commune aux trois niveaux du lycée.

7 Les SVT au lycée : trois objectifs 7 Aider à la construction d une culture scientifique commune Qu est ce que la science? Participer à la formation de l esprit critique et à l éducation citoyenne Préparer les futures études supérieures Comment? acquisition de connaissances considérées comme valides (et non dogmatiques) acquisition des modes de raisonnement propres aux sciences prise de conscience du rôle des sciences dans la compréhension du monde développement de qualités intellectuelles générales acquis méthodologiques (spécifiques et généraux) et techniques.

8 Les SVT au lycée : une unité, trois thématiques La Terre dans l Univers, la vie et l évolution du vivant 50% Enjeux planétaires Contemporains 17% Corps humain et santé 33% 17% 33% Construction d une explication cohérente de l état du monde, de son fonctionnement, de son histoire Participation à l appréhension des grands problèmes auxquels est confronté l humanité Comprendre le fonctionnement de son organisme, ses capacités et ses limites

9 9 Les SVT au lycée : une unité, trois motivations des élèves La Terre dans l Univers, la vie et l évolution du vivant Enjeux planétaires contemporains Corps humain et santé Perspective culturelle Envie de comprendre Préoccupation citoyenne Perspective de développement durable Comprendre son corps. Se préparer à exercer ses responsabilités en matière de santé

10 10 Les SVT au lycée : 3 thématiques 3 univers métiers La Terre dans l Univers, la vie et l évolution du vivant Enjeux planétaires contemporains Corps humain et santé Univers métiers de la science fondamentale Univers métiers de l aménagement,de la gestion, du DD, de l environnement Univers métiers des professions de la santé

11 Les conditions d enseignement Préambule quasi-identique à celui des programmes de 2 nde et de 1 ère forte cohérence du parcours de l élève au lycée Liberté pédagogique réaffirmée prise en compte de la diversité des élèves Mais selon des principes didactiques généraux incontournables Logique scientifique plus marquée. Ancrage plus affirmé dans la science fondamentale pour tous les thèmes tout en restant en phase avec des préoccupations sociétales. Contenus plus précis dans la perspective du bac : Concepts à acquérir Capacités à développer Choix des exemples

12 Une large liberté pédagogique 12 Choix de l ordre dans lequel sont étudiés les thèmes Choix de l ordre des notions à construire dans un thème Choix des exemples mais toujours localisés et pour certains pris dans un contexte proche. Choix de l ampleur de l argumentation pour telle ou telle notion Choix des étapes de la démarche d investigation développées dans une séance mais toutes sont pratiquées sur l année. Temps consacré à chacun des thèmes mais selon la pondération indiquée par les pourcentages des horaires proposés. Diversification des activités mais toutes les capacités indiquées doivent être exercées dans le cadre de l item décrit.

13 Des objectifs de formation commun 13 rappelés par des principes didactiques généraux.

14 Assurer aux élèves une maîtrise des compétences Qu est ce qu une compétence? Ressources propres à l individu (connaissances, capacités, attitudes) Situation Ressources externes à l individu (autres personnes, documents, outils ) Une compétence repose sur la mobilisation d un certain nombre de ressources, pour agir avec succès dans une situation donnée, complexe et authentique.

15 Assurer aux élèves une maîtrise des compétences Maîtriser une compétence, c est pouvoir mobiliser et réinvestir des connaissances, des capacités et des attitudes afin d agir avec succès dans une situation donnée CONNAISSANCES Savoirs à acquérir dans le cadre des enseignements disciplinaires CAPACITES Savoir-faire à acquérir dans le cadre des enseignements disciplinaires, certaines sont transdisciplinaires ATTITUDES Ouverture aux autres, goût de la recherche de la vérité, respect de soi et d autrui, curiosité, autonomie, persévérance, esprit critique 3 objectifs de formation de statut également respectables

16 Assurer aux élèves une maîtrise des compétences Être compétent suppose bien plus que la maîtrise de connaissances et de savoir-faire de base (les skills) : cela suppose de pouvoir les mobiliser de façon pertinente dans des situations problèmes à résoudre ou dans des tâches complexes à effectuer. de Ketele J.M. «La notion émergente de compétence dans la construction des apprentissages» in Recherche sur l évaluation en éducation, G. Figari et Lucie Mottier Lopez (eds), Paris : L Harmattan, 2006 COMPETENCE = articuler des ressources adaptées reproduire un mécanisme

17 17 Connaissances, capacités et attitudes Des connaissances précisées dans le chapeau de chaque thème et la colonne gauche du programme Des capacités et attitudes attendues spécifiquement par item précisées dans la colonne de droite du programme. Des capacités et des attitudes communes à la plupart des items indiquées dans le préambule Ne pas les oublier Organiser leur développement sur l ensemble de l année

18 18 Capacités et attitudes développées tout au long des programmes Pratiquer une démarche scientifique (observer, questionner, formuler une hypothèse, expérimenter, raisonner avec rigueur, modéliser). Recenser, extraire et organiser des informations. Comprendre le lien entre les phénomènes naturels et le langage mathématique. Manipuler et expérimenter. Comprendre qu un effet peut avoir plusieurs causes. Exprimer et exploiter des résultats, à l écrit, à l oral, en utilisant les technologies de l information et de Communiquer dans un langage scientifiquement approprié : oral, écrit, graphique, numérique. Percevoir le lien entre sciences et techniques. Manifester sens de l observation, curiosité, esprit critique. Montrer de l intérêt pour les progrès scientifiques et techniques. Être conscient de sa responsabilité face à l environnement, la santé, le monde vivant. Avoir une bonne maîtrise de son corps. Être conscient de l existence d implications éthiques de la science. Respecter les règles de sécurité. Comprendre la nature provisoire, en devenir, du savoir scientifique. Être capable d attitude critique face aux ressources documentaires. Manifester de l intérêt pour la vie publique et les grands enjeux de la société. Savoir choisir un parcours de formation.

19 Les compétences dans le livret scolaire Série S 1 ère et T ale TPE Arrêté du 22 février 2012

20 Une démarche à privilégier 20 La démarche d investigation déjà pratiquée à l école primaire et au collège Cadre intellectuel approprié pour la mise en œuvre des activités indispensables à la construction des savoirs.

21 Une démarche non exclusive 21 Tous les objets d étude ne se prêtent pas à sa mise en œuvre. Il est nécessaire de diversifier les pratiques pédagogiques. La couverture complète et équilibrée du programme ne permet pas de traiter toutes les notions en l appliquant. Une démarche «outil de formation» Ne pas caricaturer, ne pas figer le déroulement Ne pas généraliser de façon abusive. Privilégier le qualitatif au quantitatif : argumenter bien et lentement! La décliner sous forme de tâches complexes

22 22 Démarche d investigation le canevas conceptuel une situation motivante suscitant la curiosité, la formulation d un problème précis, l énoncé d hypothèses explicatives, la conception d une stratégie pour éprouver ces hypothèses, la mise en œuvre du projet ainsi élaboré, la confrontation des résultats obtenus et des hypothèses, l élaboration d un savoir mémorisable, éventuellement...un nouveau problème

23 La motivation : d où part-on? 23 Un bilan des connaissances acquises antérieurement Ce qui reste à expliquer Un bilan des idées «reçues», «préconçues», «initiales» les représentations des élèves Une référence à l actualité La présentation «brutale» d un fait Un travail de bibliographie et/ou de documentation Une situation concrète qui fait question Une œuvre d art Un document ou une activité dont le résultat interroge Un dessin humoristique

24 24 La problématisation : que chercheton? L énoncé d un problème à résoudre L énoncé d un phénomène dont on cherche à comprendre le mécanisme L énoncé d un inconnu que l on veut explorer L énoncé d une opinion dont on veut faire un savoir De la curiosité à l objet d investigation rigoureuse

25 La conception de la stratégie de recherche : comment va-t-on faire pour chercher? 25 L énoncé d une hypothèse et de ses conséquences vérifiables (si le sujet s y prête) L énoncé d un projet d observation (dans la nature, en laboratoire, etc.) L énoncé d un projet d exploration de bases de données ou de bibliographie L énoncé d un projet d expérimentation, de modélisation De l objet d investigation au projet d investigation

26 La mise en œuvre du projet : cherchons! 26 Durée principale Variété infinie Une ou plusieurs activités tâche complexe Priorité au concret : les activités pratiques sont mises en œuvre le plus souvent possible. L investigation sensu stricto

27 27 La confrontation : a-t-on trouvé ce qu on cherchait? Echanges, débats Faits recherchés / faits découverts Résultats prévus / résultats obtenus Idées initiales / épreuve des faits Divergence éventuelle des résultats, erreurs et incomplétude Construction de la correction Le bilan de l investigation

28 La terminaison 28 L énoncé du savoir construit : le bilan Généralisation et/ou compléments éventuels L énoncé de ce qui reste à comprendre un nouveau problème?!

29 Autres principes didactiques 29 Utilisation banalisée des TIC (technologie de l information et de la communication) : Outils généralistes : Internet, logiciels, caméras en utilisation conjointe avec des techniques de laboratoire classiques. Technologies spécialisées EXAO Logiciels spécialisés Jeux intelligents Les activités pratiques : des méthodes et des outils diversifiés Dissections Observation (oeil nu, loupe binoculaire, microscope) Expérimentation AO ou pas Modélisation Utilisation de logiciels de banque de données, de simulation

30 Autres principes didactiques 30 Le travail de terrain : o Sortie géologique (contexte de formation des chaînes de montagne, disparition des reliefs) o Visites de musées, laboratoires (la plante domestiquée), exploitations (géothermie et propriétés géothermiques de la Terre) Pratiques de démarches historiques : exemples possibles La plante domestiquée Les débuts de la vaccination Les phases photochimique et chimique de la photosynthèse La fonction glycogénique du foie Le rôle du pancréas endocrine dans la régulation de la glycémie

31 Autre principe didactique Développer l autonomie de pensée et d organisation des élèves : Laisser l élève disposer d une certaine marge de manoeuvre dans la construction de sa démarche Organiser le travail de la classe en ateliers en différenciant les exemples Favoriser le travail collaboratif

32 Enseigner dans la perspective du baccalauréat Les textes définissant les épreuves de SVT au baccalauréat : BO spécial n 7 du 6 octobre 2011 note de service n du

33 Les nouvelles modalités de l épreuve écrite du baccalauréat CE QUI N A PAS CHANGE Les coefficients 6 (commun) et 8 (SPE) La durée de l épreuve 3h30 La structure de l épreuve écrite Partie 1 : évaluer la maîtrise des connaissances écrites Partie 2 : évaluer le raisonnement scientifique Exercice 1 : commun à tous Exercice 2 : un exercice sur le programme d enseignement commun pour les non spécialistes/ sur le programme de spécialité Ensemble de documents La répartition des points Partie 1 : 8 points Partie 2 : 8 points dont 3 points pour l exercice 1 et 5 points pour l exercice 2 ECE : 4 points CE QUI A CHANGE L esprit de l épreuve La maîtrise des compétences acquises investies sur les notions de Terminale S Les modalités de chaque partie Partie 1 : Question de synthèse OU/ET QCM. Des documents peuvent servir de points d appuis. Exercice 1 : Raisonner dans le cadre d un problème scientifique nombre réduit de documents Consignes ouvertes ou QCM Exercice 2 : Pratiquer une démarche scientifique : choisir et exposer une démarche de résolution personnelle + argumenter + conclure Les modalités de l évaluation Des barèmes sous forme de curseurs évaluant des compétences et non des connaissances seules. L'ensemble de l'épreuve écrite s'appuie sur la totalité du programme

34 Des exemples de sujets de l épreuve écrite Partie 1 Exemple 1 : un QCM (sujet zéro) Exemple 2 : une question ouverte (Liban session 2013) Exemple 3 : Question et QCM (Am. N. session 2013) Partie 2 Exercice 1 Exemple 1 : des questions (Asie session 2013) Exemple 2 : une consigne globale (O.I. session 2013) Exemple 3 : Un QCM (Am. N. session 2013) Partie 2 Exercice 2 Exemple : enseignement commun et enseignement de spécialité (Polynésie session 2013)

35 L ECE Exemples de sujets (session 2013) : Histoire de la croûte bretonne Les venins de vipère Il est donc nécessaire de développer la réflexion des élèves sur les modalités d investigation à mettre en place et d augmenter leur autonomie.

36 Les nouvelles modalités de l épreuve de SVT au baccalauréat L esprit des épreuves du baccalauréat cherche à valoriser non pas la restitution simple de connaissances mais la capacité à transférer des compétences pour répondre à des consignes globales. Elles ne disqualifient pas la nécessité d avoir des connaissances solides mais elle ancrent ces connaissances dans un contexte fonctionnel. Ce qui change plus encore est l esprit de l évaluation qui avec la conception de nouveaux barèmes obligent les correcteurs à valoriser les compétences des élèves et non pas une série de connaissances juxtaposées. POUR FORMER LES ELEVES : - IL EST NECESSAIRE DE CONSTRUIRE LES ENSEIGNEMENTS DE MANIÈRE A FACILITER LA MISE EN RELATION DES NOTIONS ENTRE ELLES AU SEIN DES THEMES ET ENTRE CERTAINS THEMES. - IL FAUT AUSSI METTRE LES ELEVES EN SITUATION DE REALISER DES TACHES COMPLEXES A PARTIR DE CONSIGNES GLOBALES.

37 Programmation brute Nouveau programme de SVT - Exemple de programmation (les durées et l ordre choisis sont indicatifs et non prescriptifs) La Terre dans l univers, la vie et l évolution du vivant Enjeux planétaires Thème I A : Génétique et évolution (9 semaines) contemporains Thème 1-A-1 Le brassage génétique et sa contribution à la diversité génétique Thème 1-A-2 Diversification génétique et diversification des êtres vivants Thème 1-A-3 De la diversification des êtres vivants à l évolution de la biodiversité Thème 1-A-4 Un regard sur l évolution de l Homme Thème 1-A-5 Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l évolution : l exemple de la vie fixée chez les plantes Thème 2 B : La plante domestiquée 3 semaines 1 semaine 1 semaine 2 semaines 2 semaines 2 semaines Thème 1-B-1 La caractérisation du domaine continental: lithosphère continentale, reliefs et épaisseur crustale La Terre dans l univers, la vie et l évolution du vivant Thème I b : Le domaine continental et sa dynamique (5 semaines) Thème 1-B-2 Thème 1-B-3 La convergence Le magmatisme en lithosphérique: zone de subduction : contexte de la une production de formation des nouveaux matériaux chaînes de montagne continentaux Thème 1-B-4 La disparition des reliefs Enjeux planétaires contemporains Thème 2-A : Géothermie et propriétés géothermiques de la Terre 2 semaines 1 semaine 1 semaine 1 semaine 2 semaines Thème 3-A : Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Corps humain et santé (9 semaines) Thème 3-B : Neurone et fibre musculaire : la communication nerveuse 4 semaines 5 semaines

38 Atelier : approcher l esprit et les contenus du programme de TS Prendre connaissance du programme Pour chaque thème ou sous-thème, préciser l idée essentielle et identifier les éléments importants. Répartition du travail : G1 : Thème 1A + Thème 2B G2 : Thème 1b + Thème 2A G3 : Thème 3 G4 : Enseignement de spécialité (non traité)

39 Echanges autour du programme BO spécial n 8 du 13 octobre 2011

40 Thème 1A1 Le brassage génétique et sa contribution à la diversité génétique MECANISMES EVOLUTIFS Brassages : méiose Fécondation Mutations des gènes Duplications Diversification du vivant avec modifications du génome Diversification du vivant Biodiversité

41 Thème 1-A-2 : Diversification génétique et diversification des êtres vivants MECANISMES EVOLUTIFS Symbiose Développement de comportements nouveaux chez les vertébrés Brassages : méiose Fécondation Diversification du vivant sans modifications du génome Mutations des gènes Duplications Diversification du vivant Biodiversité Diversification du vivant avec modifications du génome Variations au niveau des gènes du développement : territoires, chronologie et intensité d expression Hybridation Polyploïdisation Transfert horizontal de gènes entre espèces

42 MECANISMES EVOLUTIFS Symbiose Thème 1A3 : De la diversification des êtres vivants à l évolution de la biodiversité Brassages : méiose Fécondation Mutations des gènes Duplications Diversification du vivant avec modifications du génome Variations au niveau des gènes du développement : territoires, chronologie et intensité d expression Développement de comportements nouveaux chez les vertébrés Diversification du vivant sans modifications du génome Population initiale : Individus différents Diversification du vivant Biodiversité Sélection naturelle Dérive génétique Hybridation Polyploïdisation Transfert horizontal de gènes entre espèces Population transformée : Descendants sélectionnés

43 Les limites à la définition typologique Les espèces jumelles Mésange boréale Poecile montanus Mésange nonette Poecile palustris Le polymorphisme et le dimorphisme sexuel Eider à tête grise mâle et femelle

44 Les limites à la définition typologique Les espèces jumelles Les grenouilles léopard de l est des Etats-Unis forment un groupe d espèces similaires, que l on a cru longtemps ne former qu une seule espèce. Cependant, des expériences d hybridation réalisées en laboratoire ont montré que malgré leur ressemblance, les croisements de ces différentes grenouilles étaient très rarement féconds en raison de difficultés qui surviennent au cours du développement de l œuf fécondé. Source : Biologie, Raven et al., éd. De Boeck, 2011

45 Les limites à la définition d interfécondité

46 Les limites à la définition d interfécondité Lactuca graminifolia Michx. Lactuca canadensis L. Lactuca graminifolia et Lactuca canadensis, deux espèces de laitues sauvages, poussent ensemble le long des routes dans tout le sud-est des Etats-Unis. Expérimentalement, à partir de ces deux espèces, on produit facilement des hybrides parfaitement fertiles, mais dans la nature de tels hybrides sont rares parce que L. graminifolia fleurit tôt au printemps alors que L. canadensis fleurit en été. Images

47 Spéciation en anneau? Ronds verts : interfécondité possible Ronds rouge à croix blanche : interfécondité impossible Sources : Guide critique de l évolution, G. Lecointre et al., éd. Belin 2009

48 Source : Guide critique de l évolution, G. Lecointre et al., éd. Belin 2009

49 Thème 1A3 : De la diversification des êtres vivants à l évolution de la biodiversité DIVERGENCE DIVERGENCE GENETIQUE GENETIQUE 49 Facteurs favorisant la reproduction séparément dans deux groupes de la population Espèce X population initiale Espèce X Population 1 Espèce X Population 1 Dérive génétique avec ou sans sélection naturelle + Apparition de nouvelles différences génétiques Espèce X Population 2 Espèce X Population 1 Nouvelle espèce Isolement reproducteur Nouvelle espèce

50 Thème 1A3 : De la diversification des êtres vivants à l évolution de la biodiversité

51 Point de vigilance vocabulaire Population = ensemble d individus qui se reproduisent davantage entre eux qu avec d autres. Une population se caractérise donc par son pool d allèles et les fréquences de ses allèles. Espèce = population d individus suffisamment isolés génétiquement des autres populations. Evolution = transformation des populations qui résulte de la survie et de la reproduction différentielle des individus (génétiquement différents) sous l action de la sélection naturelle et de la dérive génétique

52 Canis lycaon Canis lupus? Canis lycaon? Extinction d espèce «Soupe» d ADN de Canis Canis lupus Loup Canis latrans Coyote

53 Schéma-bilan : Les mécanismes de l évolution de la biodiversité Source : SVT TS spécifique, éd. Belin, 2012 géographique / génétique / écologique/ comportemental

54 Thème 1A4 : un regard sur l évolution de l homme Inscription dans l histoire des Primates Primates Grands primates Notion de DAC Pas d étude de la lignée humaine Genre Homo Pas d exhaustivité pour les fossiles Homo sapiens Contreverse sur la phylogénie du genre Homo Traiter le phénotype au niveau Homme/Chimpanzé Interaction environnemental et social Application de la sélection naturelle

55 Thème 1A5 Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l évolution : l exemple de la vie fixée chez les plantes

56 Thème 2B : La plante domestiquée Culture des plantes = enjeu majeur pour l humanité Montrer que l Homme agit sur le génome des plantes cultivées et qu il a donc une action sur la biodiversité. Montrer que cette action est très ancienne, de l empirisme au génie génétique actuel. Comparaison plante cultivée ancêtre naturel

57 Thème 2B : La plante domestiquée Les différentes techniques La domestication depuis environ ans. Sélection de plantes domestiquées génétiquement mal adaptées à la vie sauvage La sélection paysanne. Sélection empirique basée sur des critères directement perceptibles au niveau du phénotype (sélection variétale) Création d une grande diversité variétale. Hybride F1 Pyros La sélection scientifique dès le début du XXème siècle Sélection variétale (obtention de souches pures), croisements dirigés (hybrides F1, rétrocroisements) sélection des souches par marqueurs, obtention d hybrides par fusion de protoplastes, transgénèse et OGM.

58 Thème 1B : le domaine continental et sa dynamique Équilibre de la lithosphère sur l asthénosphère : isostasie Caractéristiques de la croûte continentale Première S Epaississement et raccourcissement = Formation des chaînes de montagnes (métamorphisme) Contexte : convergence des marges, succession océan/continent, subduction continent Production de matériaux continentaux dans les zones de subduction (cycle interne) Altération Érosion Recyclage des reliefs (cycle externe) 58

59 Point de vigilance vocabulaire Érosion = ensemble des phénomènes qui altèrent, enlèvent les débris et particules issus de l altération et modifient ainsi le relief Altération = modification chimique et physique d une roche sous l action d un agent naturel de surface comme l eau.

60 climat Roches volcaniques Roche-mère Mise à l affleurement (réajustements isostatiques et contraintes tectoniques) atmosphère lithosphère altération érosion transport sédimentation consolidation Roche sédimentaire Roches plutoniques Enfouissement (orogénèse) Enfouissement (orogénèse) Roche métamorphique Enfouissement (orogénèse) Fusion partielle Magmatisme mantellique (Zone de subduction) Subduction Recyclage de la croûte continentale

61 Thème 2A : Géothermie et propriétés thermiques de la Terre Compréhension du fonctionnement global de la planète Ressource énergétique possible bassins sédimentaires rift subduction point chaud

62 Point vigilance vocabulaire Gradient géothermique : rapport entre la variation de température entre deux points et la distance entre ceux-ci. Flux géothermique : quantité de chaleur qui traversant une unité de surface terrestre par unité de temps(en W.m-2 ou J.s-1.m-2). Il résulte du transfert de l énergie géothermique des profondeurs vers la surface de la Terre. Chaleur = transfert thermique

63 Thème 3A : le maintien de l intégrité de l organisme Objectif : la réflexion sur la santé ne peut être conduite sans des connaissances scientifiques solides Privilégier une approche concrète, varier les situations : blessure, cancer, grippe, VIH, rubéole Le système immunitaire est constitué de deux grands mécanismes : immunité innée et immunité adaptative, qui coopèrent et permettent au maintien en bonne santé d un individu. Perspective évolutive : Tous les Métazoaires ont l immunité innée, seuls les vertébrés possèdent l immunité adaptative. Immunité innée : mécanismes conservés au cours de l évolution. L'immunité innée est présente, dès la naissance, sans apprentissage et intervient rapidement. Elle prépare l immunité adaptative. Vigilance : on ne parle plus d immunité spécifique et non spécifique depuis la découverte des récepteurs de l immunité innée (PRR) et de leurs spécificités vis-à-vis des molécules des pathogènes (motifs pathogéniques PAMP) Le terme d adaptatif prend en compte l adaptation de notre système immunitaire à notre environnement infectieux. Education citoyenne et vaccinations: protection individuelle et collective, éradication du pathogène, problèmes de santé publique. Différents types de vaccins (sans description exhaustive) et rôle des adjuvants qui fournissent les signaux de danger nécessaires à l activation de la réaction innée.

64 Schéma général du thème Immunité innée Individu dans son environnement bonne santé vaccination Immunité adaptative Antigènes mémoire immunitaire de l individu phénotype immunitaire au cours de la vie protection de la population

65 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée Ag contamination cellules sentinelles ou dendritiques (mastocytes, macrophages) ont des récepteurs de l immunité innée (PRR) reconnaissance des Ag (motifs PAMP) libération de médiateurs chimiques de l inflammation ( TNF, histamine, prostaglandines) migration granulocytes et monocytes ( macrophages), afflux de sang (rougeur, chaleur, gonflement) et douleur phagocytose Les anti inflammatoires (non stéroïdiens) comme l aspirine ou l ibuprofène, bloquent la sécrétion ou l action de certains médiateurs de l inflammation (utilisés quand la réaction inflammatoire se prolonge de façon anormale ou peut léser les tissus inflammation chronique) Si l infection persiste : déclenchement de l immunité adaptative.

66 L immunité adaptative, prolongement de l immunité innée Coopération entre 3 populations cellulaires Les cellules présentatrices d antigènes : reconnaissent le pathogène, l internalisent et en expriment des fragments associés au CMH (pas de description exhaustive). Les lymphocytes B : reconnaissent les antigènes sous leur forme native, grâce à leurs récepteurs Les lymphocytes T : reconnaissent les antigènes associés au CMH, grâce à leurs récepteurs (pas de détails sur la présentation de l antigène aux LT)

67

68 Maturation du système immunitaire Présentée de façon globale organes lymphoïdes Production des cellules B et T (Mécanismes génétiques complexes à l origine de la diversité des récepteurs) éducation des cellules B et T primaires Répression ou élimination des cellules autoréactives organes lymphoïdes secondaires cellules conservées : «naïves» Rencontre aléatoire des cellules naïves avec des antigènes Mise en mémoire des rencontres

69 Thème 3B : neurone et fibres musculaires : la communication nerveuse Le réflexe myotatique sert d'outil diagnostique pour apprécier l'intégrité du système neuromusculaire ANCRAGE CONCRET MEDICAL Le réflexe myotatique n'est pas suffisant car certaines anomalies peuvent résulter d'anomalies touchant le système nerveux central et se traduire aussi par des dysfonctionnements musculaires. Le système nerveux central peut récupérer ses fonctions après une lésion limitée. La plasticité des zones motrices explique cette propriété. Cellules nerveuses = capital à préserver et entretenir.

70 70 Le programme de spécialité

71 Un enseignement 71 Délibérément concret. Objectifs : acquisition de connaissances acquisition de démarches spécifiques Des objectifs de connaissance modestes, mais acquis grâce à la mise en œuvre de démarches d'investigation qui offrent une place prépondérante à l'initiative de l'élève, au développement de son autonomie et de ses compétences.

72 Une évaluation terminale en cohérence avec le projet 72 Des compétences évalués Tout au long de l année (figurant sur le livret scolaire) : «mettre en œuvre la démarche de résolution de problème» «analyser, exploiter et synthétiser des informations» «présenter un travail personnel» Ponctuellement, lors des épreuves du baccalauréat : «pratiquer une démarche scientifique à partir de l exploitation d un ensemble de documents et en mobilisant ses connaissances «utiliser des techniques et gérer son poste de travail» «à choisir et exposer sa démarche personnelle, à élaborer son argumentation et à proposer une conclusion»

73 La mise en œuvre 73 La liberté pédagogique de l'enseignant s'exerce dans le respect des programmes et des instructions du ministre chargé de l'éducation nationale et dans le cadre du projet d'école ou d'établissement avec le conseil et sous le contrôle des membres des corps d'inspection. Réaliste sous conditions de : Reconnaître le peu des contenus notionnels des thèmes traités A chaque thème une idée générale Repérer les limites Effectuer des choix pédagogiques pertinents Connaître tous les possibles envisageables Trier parmi ces possibles en fonction de critères adaptés (conditions matérielles, temps, compétences à faire acquérir aux élèves ) Articuler problématique, idée globale et notions abordées

74 Thème 1 - Énergie et cellule vivante Idée générale : Tout système vivant est le siège de couplages énergétiques. L unité fonctionnelle de ces couplages est la cellule. L ATP y joue un rôle majeur. 74 Photosynthèse centrée sur la cellule chlorophyllienne des végétaux verts. Seuls les bilans sont à mémoriser! Mécanismes moléculaires de la chaîne photosynthétique et conversion chimioosmotique hors programme! Respiration des cellules eucaryotes Certaines cellules eucaryotes réalisent une fermentation. (alcoolique et lactique) Mêmes limites que dans les anciens programmes La fibre musculaire utilise l'atp fourni, selon les circonstances, par la fermentation lactique ou la respiration. Autres aspects énergétiques exclus! Rôle majeur de l'atp dans les couplages énergétiques nécessaires au fonctionnement des cellules.

75 Thème 2 : Atmosphère, hydrosphère, climats : du passé à l avenir. Idée générale : Le climat est le résultat d une dynamique (liée à l énergie solaire) entre les enveloppes fluides en interaction avec la bio et géosphère Compréhension de la dynamique des enveloppes fluides, de leur interaction avec la biosphère et la géosphère et de leur relation avec le climat nécessaire pour envisager une gestion raisonnée de l influence de l Homme. Objectif : Aborder quelques aspects de la relation entre histoire des enveloppes fluides de la Terre et histoire du climat. 75 Passage de l atmosphère primitive à l atmosphère oxydante à partir d un petit nombre d'arguments pétrographiques. Composition de l'air depuis ans, y compris les polluants, établie à partir des bulles d air contenues dans les glaces. Composition isotopique des glaces, autre indices (palynologie mais autres possibles par exemple dendroclimatologie ) et détermination des évolutions climatiques Effet de serre, modélisation de son effet, hypothèses d évolution possible du climat de la planète Enregistrement des variations climatiques dans les roches sédimentaires sur les grandes durées.

76 Thème 3 : glycémie et diabète Idée générale : Le maintien de la glycémie est un indicateur et une condition de bonne santé. Transformation des grosses molécules de glucides grâce à l'action d'enzymes digestives. Pas d étude de la digestion! Les enzymes sont des protéines qui catalysent des transformations chimiques spécifiques La régulation de la glycémie : hormones pancréatiques Pas d autres mécanismes! Origines des diabètes de type 1 et de type 2 Aucune étude des tissus adipeux ou du métabolisme lipidique! 76

77 Mise en oeuvre 77 Un exemple de préparation pédagogique Des ressources officielles: -Thème 1 -Thème 2 -Thème 3

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.

La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu

Plus en détail

Thème Le domaine continental et sa dynamique

Thème Le domaine continental et sa dynamique Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses) L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction

Plus en détail

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S

JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S JOURNÉE D ANIMATION TERMINALE S 16 /01/2013 PROGRAMME DE LA JOURNEE Matinée à l ISTO : 9h-12 h, Accueil par Gaëlle Prouteau Maître de conférences et les IA- IPR, Michel Khairallah et Guy Lévêque Conférence

Plus en détail

ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?

ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont

Plus en détail

S3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles

S3CP. Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles S3CP Socle commun de connaissances et de compétences professionnelles Référentiel Le présent socle décrit un ensemble de connaissances et compétences devant être apprécié dans un contexte professionnel.

Plus en détail

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES

Spécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser

Plus en détail

LIVRET DU CANDIDAT LES DEUX OPTIONS FACULTATIVES DANSE AU BACCALAURÉAT

LIVRET DU CANDIDAT LES DEUX OPTIONS FACULTATIVES DANSE AU BACCALAURÉAT LIVRET DU CANDIDAT LES DEUX OPTIONS FACULTATIVES DANSE AU BACCALAURÉAT EPS / DANSE ART / DANSE Elèves du lycée Bréquigny à Rennes, Avril 2014 1 Les deux options facultatives danse au BAC Ce livret a été

Plus en détail

Baccalauréat technologique

Baccalauréat technologique Baccalauréat technologique Épreuve relative aux enseignements technologiques transversaux, épreuve de projet en enseignement spécifique à la spécialité et épreuve d'enseignement technologique en langue

Plus en détail

PROGRAMME DE CRÉATION ET INNOVATION TECHNOLOGIQUES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Enseignement d exploration

PROGRAMME DE CRÉATION ET INNOVATION TECHNOLOGIQUES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Enseignement d exploration PROGRAMME DE CRÉATION ET INNOVATION TECHNOLOGIQUES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Enseignement d exploration Préambule La société doit faire face à de nouveaux défis pour satisfaire les

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Sciences de la vie et de la Terre

Sciences de la vie et de la Terre Sciences de la vie et de la Terre Thème 2 B Enjeux planétaires contemporains - La plante domestiquée Table des matières 1 : La plante cultivée : le Maïs...Erreur! Signet non défini. 2 : Les variétés de

Plus en détail

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2

NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /

Plus en détail

BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n 35 du 30 Septembre 2010

BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n 35 du 30 Septembre 2010 Marie-Pascale Schammé Inspectrice de L Éducation Nationale Sciences Biologiques et Sciences Sociales Appliquées Académie de ROUEN Document de référence académique BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Compétences documentaires et numériques (basées sur le PACIFI) à acquérir de la 6 à la terminale

Compétences documentaires et numériques (basées sur le PACIFI) à acquérir de la 6 à la terminale Compétences documentaires et numériques (basées sur le PACIFI) à acquérir de la 6 à la terminale En 6 : On attend d'un élève de 6 qu'il sache se repérer dans le CDI, trouver une fiction et un documentaire,

Plus en détail

L ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE AU LYCEE PICASSO DE PERPIGNAN (Document de travail)

L ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE AU LYCEE PICASSO DE PERPIGNAN (Document de travail) L ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE AU LYCEE PICASSO DE PERPIGNAN (Document de travail) 1. Définition L'accompagnement personnalisé, qui s'adresse à tous les élèves, est un espace de liberté pédagogique permettant

Plus en détail

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment. Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/

Plus en détail

TITRE : On est tous séropositif!

TITRE : On est tous séropositif! PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.

Plus en détail

A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti

A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti A quels élèves profite l approche par les compétences de base? Etude de cas à Djibouti Hamid Mohamed Aden, Directeur du CRIPEN, Djibouti Xavier Roegiers, Professeur à l Université de Louvain, Directeur

Plus en détail

6 ème FONCTIONS. Pratiquer une démarche scientifique et technologique. Capacités

6 ème FONCTIONS. Pratiquer une démarche scientifique et technologique. Capacités 6 ème FONCTIONS Les exercices de ce chapitre permettent de travailler des compétences scientifiques du socle commun. Pratiquer une démarche scientifique et technologique Capacités Rechercher, extraire

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail

Sommaire. Textes officiels... 5. Horaires... 7. Enseignement de détermination... 9. Présentation... 9. Programme... 10

Sommaire. Textes officiels... 5. Horaires... 7. Enseignement de détermination... 9. Présentation... 9. Programme... 10 Sommaire Textes officiels... 5 Horaires... 7 Enseignement de détermination... 9 Présentation... 9 Programme... 10 Indications complémentaires... 11 collection Lycée voie générale et technologique série

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

MASTER Mention MEEF. «Métiers de l Enseignement, l Education et la Formation Second Degré». Spécialité : HISTOIRE-GEOGRAPHIE

MASTER Mention MEEF. «Métiers de l Enseignement, l Education et la Formation Second Degré». Spécialité : HISTOIRE-GEOGRAPHIE MASTER Mention MEEF «Métiers de l Enseignement, l Education et la Formation Second Degré». Spécialité : HISTOIRE-GEOGRAPHIE Nouveau master mis en place à compter de septembre 2013 pour les M1. Pour le

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

LIVRET PERSONNEL DE COMPÉTENCES

LIVRET PERSONNEL DE COMPÉTENCES Nom... Prénom... Date de naissance... Note aux parents Le livret personnel de compétences vous permet de suivre la progression des apprentissages de votre enfant à l école et au collège. C est un outil

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE (Préparation : 5 heures -- Exposé et Questions : 1 heure) Rapport établi par : P.J. BARRE, E. JEAY, D. MARQUIS, P. RAY, A. THIMJO 1. PRESENTATION DE L EPREUVE 1.1.

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

Culture scientifique et technologique

Culture scientifique et technologique Socle commun de connaissances et de compétences Collège Culture scientifique et technologique - Banque de situations d apprentissage et d évaluation - Ce document peut être utilisé librement dans le cadre

Plus en détail

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL BACCALAURÉAT GÉNÉRAL Session 2013 SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 coefficient : 8 ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ L usage de la calculatrice n est pas autorisé. Dès

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année

Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année Attestation de maîtrise des connaissances et compétences au cours moyen deuxième année PALIER 2 CM2 La maîtrise de la langue française DIRE S'exprimer à l'oral comme à l'écrit dans un vocabulaire approprié

Plus en détail

Enseignement secondaire

Enseignement secondaire Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie

Plus en détail

AP 2nde G.T : «Organiser l information de manière visuelle et créative»

AP 2nde G.T : «Organiser l information de manière visuelle et créative» AP 2nde G.T : «Organiser l information de manière visuelle et créative» Les TICE, un mode d accès à mon autonomie bien sûr! «L'autonomie n'est pas un don! Elle ne survient pas par une sorte de miracle!

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)

FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) 87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

Présentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012

Présentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012 Présentation du programme de physique-chimie de Terminale S applicable en septembre 2012 Nicolas Coppens nicolas.coppens@iufm.unistra.fr Comme en Seconde et en Première, le programme mélange la physique

Plus en détail

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES

Plus en détail

COMPETENCE DE NIVEAU N1

COMPETENCE DE NIVEAU N1 GROUPE DES ACTIVITES ATHLETIQUES DEMI FOND Réaliser une performance motrice maximale mesure à une échéance donnée COMPETENCE DE NIVEAU N1 Compétences attendues dans l APSA Réaliser la meilleure performance

Plus en détail

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2

Université de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2 Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions?

Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Il est clair que la finalité principale d une démarche d investigation est de faire acquérir des connaissances aux élèves.

Plus en détail

Projet d école 2014-2018. Guide méthodologique

Projet d école 2014-2018. Guide méthodologique Projet d école 2014-2018 Guide méthodologique 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 LES TEXTES DE REFERENCES... 4 LES ETAPES D ELABORATION DU PROJET D ECOLE... 4 ETAPE 1 : BILAN DU PROJET, DIAGNOSTIC... 5 1. LE

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système

Plus en détail

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points)

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :

Plus en détail

Liste des matières enseignées

Liste des matières enseignées Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13

Plus en détail

«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris

«Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie. Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris «Dire et écrire» pour réaliser une composition en travail collaboratif en géographie Agnès Dullin, lycée J. Racine 20 rue du Rocher, 75008 Paris OBJECTIFS 1- Niveau et insertion dans la programmation 2-

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

Synthèse «Le Plus Grand Produit»

Synthèse «Le Plus Grand Produit» Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique

Plus en détail

Tout au long de l année

Tout au long de l année Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations

Plus en détail

Tâche complexe produite par l académie de Clermont-Ferrand. Mai 2012 LE TIR A L ARC. (d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs)

Tâche complexe produite par l académie de Clermont-Ferrand. Mai 2012 LE TIR A L ARC. (d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs) (d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs) Table des matières Fiche professeur... 2 Fiche élève... 5 1 Fiche professeur Niveaux et objectifs pédagogiques 5 e : introduction ou utilisation

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

Vendredi 6 mars 2015

Vendredi 6 mars 2015 Vendredi 6 mars 2015 Les rêves Le point d équilibre pour réfléchir à l orientation Les résultats Les capacités Les parcours ne sont pas forcément en ligne droite, Un projet se monte, se défait, se reconstruit

Plus en détail

Programme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE

Programme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE Programme de la formation Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE o 36 h pour la préparation à l'épreuve écrite de français Cette préparation comprend : - un travail sur la discipline

Plus en détail

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues

Plus en détail

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs

Plus en détail

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de

Plus en détail

Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage

Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage «La façon de nous voyons les choses est la source de la façon dont nous pensons et de la façon dont nous agissons Jamais nous

Plus en détail

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel

eduscol Ressources pour la voie professionnelle Français Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel eduscol Ressources pour la voie professionnelle Ressources pour les classes préparatoires au baccalauréat professionnel Français Présentation des programmes 2009 du baccalauréat professionnel Ces documents

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE , chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy

Plus en détail

Le nouveau programme en quelques mots :

Le nouveau programme en quelques mots : Le nouveau programme en quelques mots : Généralités Le programme est constituéde trois thèmes qui doivent tous être traités. L ordre de traitement des trois thèmes est libre, tout en respectant une introduction

Plus en détail

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude

Plus en détail

La Commission des Titres d ingénieur a adopté le présent avis

La Commission des Titres d ingénieur a adopté le présent avis Avis n 2010/05-10 relatif à l habilitation de l École polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse) à délivrer des titres d ingénieur diplômé admis par l état Objet : G : accréditation et admission par l'état

Plus en détail

Faculté des Sciences d ORSAY

Faculté des Sciences d ORSAY Université Paris-Sud 11 Faculté des Sciences d ORSAY Personnes ressources des disciplines représentées : Département de Biologie Vice-Président : Hervé DANIEL Secrétaire : Malika DERRAS Université Paris-Sud

Plus en détail

LA TABLETTE TACTILE, UN OUTIL AU SERVICE DES SCIENCES

LA TABLETTE TACTILE, UN OUTIL AU SERVICE DES SCIENCES PASI NANCY-METZ LA TABLETTE TACTILE, UN OUTIL AU SERVICE DES SCIENCES Académie de Nancy-Metz PASI- CARDIE http://www4.ac-nancy-metz.fr/pasi/ ACTION CANDIDATE AU PRIX ACADEMIQUE DE L INNOVATION 2014 FICHE

Plus en détail

Offrez un avenir international à vos enfants

Offrez un avenir international à vos enfants E I B : UNE ECOLE INTERNATIONALE BILINGUE MATERNELLE PRIMAIRE u COLLÈGE Dans la lignée de l Ecole Internationale Bilingue d Angers, le Collège accueille vos enfants dès la 6ème dans un environnement sain

Plus en détail

1 les caractères des êtres humains.

1 les caractères des êtres humains. Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une

Plus en détail

Mastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché»

Mastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» Mastère spécialisé «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» I- Présentation détaillée du programme d enseignement Répartition par modules et crédits ECTS : Intitulé

Plus en détail

RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle

RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le

Plus en détail

Sommaire de la séquence 8

Sommaire de la séquence 8 Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos

Plus en détail

Banque d outils d aide à l évaluation diagnostique

Banque d outils d aide à l évaluation diagnostique Banque d outils d aide à l évaluation diagnostique Url : http://www.banqoutils.education.gouv.fr/index.php Niveau : GS au Lycée Conditions d'utilisation : Pas d'inscription nécessaire. Format des ressources

Plus en détail

Ressources pour l école élémentaire

Ressources pour l école élémentaire Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement

Plus en détail

PROGRAMMES EN EPS A L ECOLE PRIMAIRE

PROGRAMMES EN EPS A L ECOLE PRIMAIRE PROGRAMMES EN EPS A L ECOLE PRIMAIRE B.O. n 3 du 19 juin 2008 HORS SERIE Maternelle : AGIR ET S EXPRIMER AVEC SON CORPS Compétences visées (Cv) Se repérer et se déplacer dans l espace. Adapter ses actions

Plus en détail

Cohésion d Equipe - Team Building

Cohésion d Equipe - Team Building Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.

Plus en détail

BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR

BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du

Plus en détail

LIVRET DE FORMATION DES ENSEIGNANTS DE LA CONDUITE AUTOMOBILEET DE LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE

LIVRET DE FORMATION DES ENSEIGNANTS DE LA CONDUITE AUTOMOBILEET DE LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE Brevet pour l exercice de la profession d enseignant de la conduite automobile et de la sécurité routière (B.E.P.E.C.A.S.E.R.) LIVRET DE FORMATION DES ENSEIGNANTS DE LA CONDUITE AUTOMOBILEET DE LA SÉCURITÉ

Plus en détail

LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr

LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr Dans un parc de 17 ha 2160 élèves 560 internes 9 sections post-bac 21 classes de terminale

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE

Plus en détail

Lecture critique et pratique de la médecine

Lecture critique et pratique de la médecine 1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne

Plus en détail