Première partie : Historique, état des connaissances des ensembles funéraires provençaux et perspectives (G. S.).
|
|
- Denis Lafontaine
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Sommaire Avant propos Préface de Jean Guilaine Remerciements Introduction Première partie : Historique, état des connaissances des ensembles funéraires provençaux et perspectives (G. S.). 1.1 La période pionnière 1.2 Nouvelles méthodes de fouille Les années 1950 : début des relevés et des données radiocarbones Relevés tridimensionnels des vestiges dans les ensembles funéraires Première application en Sépultures ne comportant qu une seule période d utilisation Séparation chronologique du mobilier dans les sépultures comportant plusieurs périodes d utilisation 1.3 Approches récentes et perspectives de recherches Les approches chronoculturelles par la céramique en milieu funéraire Les approches chronoculturelles par le mobilier sépulcral non céramique De nouvelles finalités dans les études anthropologiques Approches récentes sur le caractère spécifique de certaines pratiques funéraires Evolution du concept de sépulture collective au Néolithique final II-Bronze ancien 1.4 Le passage à un contexte collectif généralisé 1.5 Les types d architecture : quelques précisions sur les dolmens à longue chambre et à chambre carrée Fonctionnements afférents Quelques caractéristiques des deux grands groupes de dolmens provençaux Deuxième partie : le site de l Ubac 2 Origine de la découverte (G. S.) 3 Cadre géographique (G. S.)
2 4 Le contexte de l Ubac : la préhistoire récente entre Monts de Vaucluse et Luberon (G. S.) 5 Questionnements, déroulement des recherches, nouvelles orientations et méthodes 5.1 Questionnements (B. B.) 5.2 Les opérations de 1996 à 2001 et 2009 (G. S.) 5.3 Méthodes (B. B.) Fouille et gestion des données Etude du matériel anthropologique Inventaire Conservation osseuse Nombre minimum d'individus (NMI) Représentation des os et fonctionnement de la sépulture Sexe et âge 6 Approche diachronique des contextes archéologiques et environnementaux en rapport avec le site (J. B.-C. et B. B.) 6.1 Eléments sur la stratigraphie Coupe nord-sud à l emplacement du dolmen Stratigraphie Occupations et datations Coupe est-ouest La grande coupe longeant le Calavon et les séquences d occupation holocène 6.2 Apports sédimentaires et anthropisation du milieu Etudes sédimentologiques (J. É. B.) L analyse malacologique de la séquence holocène (S.M.- F.M.) Matériel et méthodes Stratégie d échantillonnage et description des séquences prélevées Protocole de l analyse malacologique Résultats de l'analyse malacologique Analyse Factorielle des Correspondances Courbe d'anthropisation en fonction de la chronologie Comparaison avec le paysage actuel L évolution de l anthropisation au cours de l Holocène dans la séquence de l Ubac Conclusion Les dépôts de l Ubac, témoins des processus d anthropisation à l échelle du bassin Coulon- Calavon (J. É.B.)
3 7 Un état antérieur à la sépulture (G. S.) 7.1 L industrie lithique 7.2 Les dépôts céramiques situés contre et à l ouest du tertre et les stèles Les dépôts céramiques Les stèles 8 Le dolmen (G. S., B. B. et J.-B. F.) 8.1 Le tertre (G. S.) Description La chape Les deux couronnes de dalles Les objets situés dans le tertre Origine et nature des vestiges présents dans le tertre Objets issus d un dépôt intentionnel Possible dépôts intentionnels Datations et commentaires Les restes osseux humains. 8.2 Le couloir (G. S.) L architecture Le remplissage Le matériel. 8.3 La chambre sépulcrale Architecture (G. S.) Les parois latérales Les piédroits de l'entrée La dalle de seuil La couverture Le dallage du sol La partie effondrée de la chambre Le talus d effondrement Les différentes composantes Les vestiges osseux humains Le mobilier Généralités Les pièces lithiques La parure 8.4 Approche des fonctions funéraires (BB) Comblements et dépôts funéraires Phase 1 (couche 3) Vestiges anthropologiques en connexion Relations interosseuses Artefacts et faune Eléments d'interprétation Phase 2 (couche 2) Séquence 1
4 Séquence Séquence Eléments d'interprétation Phase 3 (couche 1) Séquence Séquence Séquence Eléments d'interprétation Phase 4 (couche 1) Ensembles anatomiques et connexions Eléments d'interprétation Eléments pour une restitution des fonctions funéraires Dynamiques de comblement et mobilisation des vestiges Architecture et sédimentation Mobilisation des vestiges anthropologiques Fragmentation Datation des occupations funéraires Restes humains et fonctions funéraires Recrutement Estimation du nombre minimum d individus (NMI) Détermination du sexe Estimation de l'âge au décès Représentation du matériel anthropologique Variations de la représentation du matériel anthropologique Comparaisons à quatre contextes archéologiques Bilan Etat initial et évolution des restes humains Ensembles anatomiques, articulations et décomposition Dislocation et manipulation des corps 8.5 Eléments sur la morphologie et la paléopathologie Analyse préliminaire des modèles d activités par les propriétés biomécaniques (A.L.) Paléopathologie (Y.A.) Répartition anatomique des lésions Répartition étiologique des lésions Résultats et observations 8.6 Taphonomie de la faune vertébrée (J-B F) Fragmentation et fracturation des restes osseux Altérations taphonomiques : analyse des traces Les traces d origine abiotique L impact anthropique Les bioturbations L action des carnivores L impact des lagomorphes et autres micromammifères Le lapin (Oryctolagus cunniculus)
5 L influence de la microfaune Association de traces : une logique de succession des évènements Conclusion 9 Les états postérieurs à l utilisation de la tombe 9.1 Bronze ancien et Bronze final (G.S.) La zone foyère F1 et les empilements de dalles Le foyer F Les empilements de dalles Les objets lithiques Nucleus et déchets de taille Technotypologie (J. B.-C) La céramique (G. S. et J. B.-C.) Les restes de faune Le mobilier métallique (J. B.-C et G. S.) 9.2 Les occupations de l'ubac au cours de l'antiquité, une statio? (G. S., I. D. et B. B.) Troisième partie : l Ubac, entre singularité et appartenance 10 L architecture : interprétations et comparaisons (G. S.) 10.1 Le tertre : faits observés, interprétations et comparaisons 10.2 Le dolmen Les parois latérales : dissymétrie et dégradations La couverture : dégradations et déplacement Restitution du chevet et longueur estimée de la chambre Le dallage de la chambre 10.3 Conclusion 11 Le mobilier : interprétations et comparaisons (G. S.) 11.1 Nature et fonctions présumées des objets en périphérie et à l intérieur du tertre Le dépôt des trois écuelles carénées et les stèles Les dépôts collectifs dans le tertre Dépôts préliminaires à l élévation du tertre Dépôts effectués pendant l élévation du tertre? 11.2 Le mobilier sépulcral 12 L Ubac et la chronologie des contextes funéraires du Néolithique final ancien. (G. S. et B. B.) 13 Fonctions funéraires 13.1 Communauté, défunts et sépulture, des liens difficiles à établir (B. B.)
6 13.2 Entre gestes funéraires et gestion de la sépulture (B. B.) 13.3 Remarques sur la symbolique afférente aux composantes des sépultures collectives et du dolmen de l Ubac en particulier (G. S.) L architecture Autour de la notion de passage dans les tombes mégalithiques : couloirs, seuils et dalles de séparation Fonctions rituelles du tumulus Objets et nourriture : viatiques ou exclusion des biens du mort? Interprétations des pratiques concernant le mort lui-même La position latérale fléchie ou contractée dite fœtale Les déplacements topographiques du cadavre ou de ses restes 13.4 La fin de l'occupation du dolmen : de nouvelles pratiques? (B. B.) Conclusions générales (G. S. et B. B.) Annexes Annexe 1 : Inventaire des prélèvements pour étude malacologique. Annexe 2 : Datations radiocarbones. Annexe 3 : Relations de second ordre par phase et séquence. Annexe 4 : Fragmentation osseuse. Annexe 5 : Nombre minimum d'individus. Annexe 5-1 : NMI sur os des adultes. Annexe 5-2 : NMI sur os des immatures. Annexe 5-3 : NMI dentira des adultes. Annexe 5-4 : Approche d un NMI dentaire global. Annexe 5-5 : NMI dentaire des adultes par phase. Annexe 6 : Représentation des os par phases tabl 1 et 2. Annexe 7 : Représentation des os des sites de la Majors et des amérindiens. Annexe 7-1 : Représentation des os humains des caveaux de la Major. Annexe 7-2 : Représentation des os humains des ossuaires amérindiens. Annexe 8 : Segments anatomiques en connexion par phase. Annexe 9 : Segments articulaires observés en fonction de la nature du dépôt. Annexe 10 : Âges des immatures de dix sépultures provençales. Restitution du nombre minimum de décédés par classe d âge en fonction de différentes espérances de vie à la naissance. Bibliographie Abstract Adresses des auteurs
Inrap / Les étapes de l archéologie préventive
Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant
Plus en détailANNEXE 1 RÈGLEMENTS GÉNÉRAUX 1 ASSOCIATION DES ARCHÉOLOGUES PROFESSIONNELS DU QUÉBEC (AAQ) CODE D ÉTHIQUE ET DES NORMES PROFESSIONNELLES
ANNEXE 1 RÈGLEMENTS GÉNÉRAUX 1 ASSOCIATION DES ARCHÉOLOGUES PROFESSIONNELS DU QUÉBEC (AAQ) CODE D ÉTHIQUE ET DES NORMES PROFESSIONNELLES Ce code fait partie intégrante du règlement de l'association des
Plus en détailun très vieux parent!
Le parcours des objets,... de la fouille au musée! Dessin : Sonia Souvenir CEDARC Tous les objets présentés dans le musée ont été découverts lors de fouilles archéologiques. Ils ont été dégagés de la terre,
Plus en détailDiplômes. Expériences professionnelles en Archéologie Préventive
COUSIN Colin 30, rue Burdeau 69001 LYON 0673185568 cousin.colin@icloud.com Diplômes 2012 : Master 2 Professionnel - «Archéologie de l objet, du site et du bâti», Université Lumière Lyon (69) 2011: Master
Plus en détailBEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n 35 du 30 Septembre 2010
Marie-Pascale Schammé Inspectrice de L Éducation Nationale Sciences Biologiques et Sciences Sociales Appliquées Académie de ROUEN Document de référence académique BEP Auxiliaire Prothèse Dentaire BO n
Plus en détailRapport au Parlement NORD-PAS-DE-CALAIS. 295 sur 448
Rapport au Parlement NORD-PAS-DE-CALAIS 295 sur 448 Rapport au Parlement NORD-PAS-DE-CALAIS LE PALEOLITHIQUE Durant ces quatre années, dans le département du Nord, les acquis concernant le Paléolithique
Plus en détailRecherche alphabétique : A-B-C-D-E-F-G-I-M-O-P-R-S-T
lexiquedentaire Recherche alphabétique : A-B-C-D-E-F-G-I-M-O-P-R-S-T A Adjointe Prothèse adjointe : Prothèse amovible, totale ou partielle, caractérisée par la présence d une plaquebase ; Amovible Prothèse
Plus en détailLe Bronze moyen et l'origine du Bronze final
COLLOQUE INTERNATIONAL «BRONZE 2014» du 17 au 20 juin 2014 à Strasbourg, Hôtel du Département Le Bronze moyen et l'origine du Bronze final en Europe occidentale, de la Méditerranée aux pays nordiques (XVII
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailGuide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale
V E R S I O N A V R I L 2 0 1 2 C E N T R E D E R E C H E R C H E C L I N I Q U E É T I E N N E - L E B E L D U C H U S Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à l intention des chercheurs
Plus en détailFranck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET, Erwan ROUSSEL, Marlène FAURE, Mohamed ABADI, Marta FLOREZ, Bertrand DOUSTEYSSIER
Utilisation d images dérivées d un jeu de données LIDAR pour la détection automatisée de vestiges archéologiques (programme de recherche méthodologique LiDARCHEO) Franck VAUTIER, Jean-Pierre TOUMAZET,
Plus en détailVieu X. à Vieux. Il y a bien longtemps... Il y a bien long. Il y a bien longtemps... Il y a bien longtemps... bien longtem.
Il y a bien longtemps... bien longtem. Il y a bien long Il y a bien longtemps... Il y a bien longtemps... Il y a bien longtemps... a bien longte Il y a bien lon longtemps... Il y a bien longtemps... Il
Plus en détailUn nouvel exemplaire de cuillère en os de type «Han-sur-Lesse», en provenance du site éponyme Contexte et chronologie (B)
Un nouvel exemplaire de cuillère en os de type «Han-sur-Lesse» Un nouvel exemplaire de cuillère en os de type «Han-sur-Lesse», en provenance du site éponyme Contexte et chronologie (B) 1. Une nouvelle
Plus en détailBACCALAUREAT PROFESSIONNEL PROTHESE DENTAIRE
BACCALAUREAT PROFESSIONNEL PROTHESE DENTAIRE Session 2014 EPREUVE E2 EPREUVE TECHNOLOGIQUE SOUS-EPREUVE E21 TECHNOLOGIE PROFESSIONNELLE ET DESSIN MORPHOLOGIQUE Durée : 5 heures Coefficient : 4 Le sujet
Plus en détailCeinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)
Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home
Plus en détailQu est-ce que l Inventaire?
Qu est-ce que l Inventaire? L I.P.I.C. (ou Inventaire du Patrimoine Immobilier Culturel) est la dénomination désignant l Inventaire du patrimoine architectural de Wallonie. Depuis 2011, il fait suite à
Plus en détailTable des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv
Remerciements...v Préface... vii Avant-propos... xi Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Nomenclature française traditionnelle et terminologie anatomique officielle...xvii Table des matières...
Plus en détailDécouverte d un village rubané au Fond de Momalle (comm. de Remicourt) (TGV oriental)
Notae Praehistoricae 17-1997 : 111-115 111 Découverte d un village rubané au Fond de Momalle (comm. de Remicourt) (TGV oriental) Dominique BOSQUET, Heike FOCK & Dimitri PREUD HOMME Introduction Le site
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailANALYSE SPATIALE, MODELISATION DES DYNAMIQUES DE PEUPLEMENT ET DE GESTION DE L ESPACE DU PLATEAU DE SACLAY DE LA PROTOHISTOIRE A L EPOQUE MEDIEVALE.
Résumé : ANALYSE SPATIALE, MODELISATION DES DYNAMIQUES DE PEUPLEMENT ET DE GESTION DE L ESPACE DU PLATEAU DE SACLAY DE LA PROTOHISTOIRE A L EPOQUE MEDIEVALE. Doctorante à Paris I - UMR 4586 Laboratoire
Plus en détailLE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE
LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailDéfi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK
Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»
Plus en détailEtude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine
Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Contexte de la mission Connaissance, compréhension et anticipation des phénomènes d érosion et de submersion
Plus en détailMarche normale et marche pathologique
Marche normale et marche pathologique Pr. JM Viton, Dr. L. Bensoussan, Dr. V. de Bovis Milhe, Dr. H. Collado, Pr. A. Delarque Faculté de Médecine, Université de la Méditerranée, Fédération de Médecine
Plus en détaille guide DON D ORGANES : DONNEUR OU PAS, je sais pour mes proches, ils savent pour moi L Agence de la biomédecine
le guide L Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine est un établissement public national de l État créé par la loi de bioéthique de 2004. Elle exerce ses missions dans les domaines du prélèvement
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailPays Rhin-Vignoble -Grand Ballon
Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailTraumatologie en odontostomatologie du sport
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2002, 45-4 95 Traumatologie en odontostomatologie du sport Alain GARUET * Au XX e siècle le sport a été àla fois un facteur de paix, de distraction et de divertissement.
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. Bruxelles, De Boeck, 2011, 736 p.
STATISTIQUE THÉORIQUE ET APPLIQUÉE Tome 2 Inférence statistique à une et à deux dimensions Pierre Dagnelie TABLE DES MATIÈRES Bruxelles, De Boeck, 2011, 736 p. ISBN 978-2-8041-6336-5 De Boeck Services,
Plus en détailUn don durable pour la science médicale Soyez informé
Un don durable pour la science médicale Soyez informé Renseignements et processus à l intention des personnes intéressées à faire don de leur corps pour la recherche et l avancement de l enseignement médical
Plus en détailNous devons faire face au décès d'un proche
Nous devons faire face au décès d'un proche Mise à jour le 07.11.2012 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) Devoirs et obligations : Lors du décès d'un proche, des démarches
Plus en détailVOTRE PROCHE A FAIT DON DE SON CORPS. Ecole de Chirurgie ou Faculté de Médecine
VOTRE PROCHE A FAIT DON DE SON CORPS Ecole de Chirurgie ou Faculté de Médecine Que devient son corps? Quelle cérémonie envisager? Quel lieu de mémoire? Comment vivre ce deuil? Quels accompagnements sont
Plus en détailQuel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailNouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT
COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailSe sentir soi-même. Comment la restauration de vos dents peut changer votre vie.
Se sentir soi-même. Comment la restauration de vos dents peut changer votre vie. Évitez-vous de sourire parce qu'il vous manque une ou plusieurs dents? À quand remonte la dernière fois où vous avez croqué
Plus en détailI. Dispositions générales. Article premier : Le cimetière de Cotterd est le lieu officiel d inhumation de la commune de Bellerive.
I. Dispositions générales Article premier : Le cimetière de Cotterd est le lieu officiel d inhumation de la commune de Bellerive. Art. 2. Le service des inhumations et des incinérations, ainsi que la police
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailJE DOIS FAIRE FACE AU DÉCÈS D'UN PROCHE
JE DOIS FAIRE FACE AU DÉCÈS D'UN PROCHE Mise à jour le 07.11.2012 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) Lors du décès d'un proche, des démarches sont rapidement nécessaires
Plus en détailLe guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé
DON D ORGANES, IL SUFFIT DE LE DIRE. MAINTENANT. Le guide pour tout comprendre Agence relevant du ministère de la santé La greffe D organes comment s y prendre? des vies La greffe d organes est un acte
Plus en détailSpécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES
ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser
Plus en détailEric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle
Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle 7ème Journée de restitution des résultats de l Observatoire du Patrimoine Naturel Marais poitevin jeudi
Plus en détailSTENTS ET FLOW-DIVERTERS : la porosité finale peut différer de la porosité théorique
STENTS ET FLOW-DIVERTERS : la porosité finale peut différer de la porosité théorique Bing Fabrice, Darsaut Tim, Tieu Tai, Salazkin Igor, Guylaine Gevry, Guilbert François, Roy Daniel, Weill Alain, Raymond
Plus en détailInventaire des foyers d érosion
Inventaire des foyers d érosion Lacs Supérieur et Équerre Municipalité de Lac-Supérieur Automne 2010 Une collaboration entre : Mise en contexte Dans le cadre de l Opération Bleu-Vertpour poser des actions
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailSystème LCP à angulation variable 2.4/2.7 pour avant-pied/médio-pied. Plaques spécifiques pour ostéotomies, arthrodèses et fractures du pied.
Système LCP à angulation variable 2.4/2.7 pour avant-pied/médio-pied. Plaques spécifiques pour ostéotomies, arthrodèses et fractures du pied. Technologie à compression Technologie de verrouillage à angle
Plus en détailObservatoire de la Démographie
- INSTITUT MONÉGASQUE DE LA STATISTIQUE ET DES ÉTUDES ÉCONOMIQUES Observatoire de la Démographie Données 2013 Publication 2014 - 2 - 1 INTRODUCTION...5 1.1 CONTEXTE DE REALISATION ET SPECIFICITES...5 1.2
Plus en détail«Cimetières de France en ligne»
AIDE UTILISATEURS Logiciel de gestion de cimetière sur internet «Cimetières de France en ligne» INFORMATIONS ET MISES A JOUR DU DOCUMENT : www.cimetieres-de-france.fr ASSISTANCE TECHNIQUE - HOTLINE : 03.80.50.81.95
Plus en détailpour se rassembler, se recueillir et se souvenir. votre Registre familial
pour se rassembler, se recueillir et se souvenir. votre Registre familial votre Registre familial Nous vous proposons ce Registre familial pour vous permettre d établir avec précision l inventaire complet
Plus en détailProgramme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle
Profil des compétences professionnelles Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Organisation pratique, lieux d organisation,
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailLa visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment?
La visio-conférence holographique : Pourquoi? Comment? Francis Felix Labo LSIS / Arts & Métiers Paritech (ENSAM) 2 Cours des Arts et Métiers 13100 Aix-en-Provence Thierry Henocque AIP-Primeca Dauphiné
Plus en détailL ARCHÉOLOGIE EN QUESTIONS
L ARCHÉOLOGIE EN QUESTIONS Sommaire AVANT-PROPOS L ARCHEOLOGIE ET SES METHODES 1. Qu est-ce que l archéologie? 2. Comment procèdent les archéologues? 3. Comment connaître la richesse du sous-sol en vestiges
Plus en détailQue couvre la protection sociale obligatoire?
Que désigne le terme «Prévoyance»? Que couvre la protection sociale obligatoire? A savoir Les assurances de personnes couvrant les risques : De maladie et d accidents corporels ; De maternité ; D incapacité
Plus en détailLICENCE ARCHEOLOGIE. skin.:program_main_bloc_presentation_label. skin.:program_main_bloc_objectifs_label. Mention : Histoire de l'art et archéologie
LICENCE ARCHEOLOGIE Mention : Histoire de l'art et archéologie skin.:program_main_bloc_presentation_label L enseignement de la licence est fondé sur une spécialisation progressive au cours des trois années
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailLE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport
LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES
Plus en détailPATRIMOINE. DURABILITÉ DU PATRIMOINE Indice de développement d un cadre multidimensionnel pour la durabilité du patrimoine
Indicateur central Description DURABILITÉ DU Indice de développement d un cadre multidimensionnel pour la durabilité du patrimoine 132 INDICATEURS UNESCO DE LA CULTURE POUR LE DÉVELOPPEMENT I. PERTINENCE
Plus en détailLa reprise de la vie active
Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.
Plus en détailQu est-ce que le relevé de compte?
Qu est-ce que le relevé de compte? Le relevé de compte constitue la trace légale de toutes les opérations effectuées sur un compte bancaire. Ce document permet au titulaire d'un compte de connaître en
Plus en détailRessources pour l école élémentaire
Ressources pour l école élémentaire éduscol Découverte du monde Progressions pour le cours préparatoire et le cours élémentaire première année Ces documents peuvent être utilisés et modifiés librement
Plus en détaill implantologie basale
Plaquette n 17 6/11/08 11:04 Page 1 Apport de l implantologie basale dans les reconstructions implantaires fixes : une alternative aux greffes osseuses? Denis DOUGNAC-GALANT L omnipraticien est, dans son
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailRapport préliminaire de la campagne de fouille 2003 à Qasr al-hayr al-sharqi et al-bakhra (Syrie)
Rapport préliminaire de la campagne de fouille 2003 à Qasr al-hayr al-sharqi et al-bakhra (Syrie) Denis Genequand 1 1. Introduction Les travaux conjoints des missions syrienne et syro-suisse se sont déroulés
Plus en détailpour les plus petits
pour les plus petits U N D E R N I E R 5-6H = 3-4P VE Petit guide actif pour découvrir le monde du verre cycle 2 degrés avec RR Plexiglas E Salut! Plexiglas, c est moi. Daniel Stevan 2015 U N D E R N I
Plus en détailEtat de conservation : établissement industriel désaffecté ; restauré
Département : IA000251 Aire d'étude : Limoges Adresse : Emile-Zola (rue) 2, 12 Dénomination : usine de chaussures Destinations : immeuble de bureaux ; immeuble à successives et actuelles Appellation et
Plus en détailFormation en Implantologie
COURS EN IMPLANTOLOGIE Saint - Domingue (République Dominicaine) Pratique clinique sur patients dr.lebbar@lapostre.net +212(0) 5 37 68 32 03 COURS PRATIQUE EN IMPLANTOLOGIE À SAINT - DOMINGUE Pratiques
Plus en détailÉtude de la carte de Vézelise. Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique
Étude de la carte de Vézelise Initiation à la lecture du relief sur une carte topographique Double objectif de la séance Étude d un paysage lorrain de côte Apprentissage de la lecture du relief sur une
Plus en détailFICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles
FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailConception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale
Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale A. El Ghorfi *, M. Boulanouar *, M. Cheggour*, N. Zahid ** * Département de biologie, ENS Marrakech ** Département d informatique,
Plus en détailConseil économique et social
NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CES/GE.20/2008/3 12 février 2008 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE CONFÉRENCE DES STATISTICIENS EUROPÉENS Réunion
Plus en détailUTILISATION D'UN RADIOCHRONOMETRE POUR DATER DES GRANITES
Fiche sujet-candidat Les géologues s interrogent sur la chronologie de mise en place de deux granites du Massif Central. On cherche à savoir si une méthode de radiochronologie permettrait de déterminer
Plus en détailLe prélèvement de moelle. osseuse. Agence relevant du ministère de la santé
Le prélèvement de moelle osseuse Agence relevant du ministère de la santé Vous êtes compatible avec un patient qui a besoin d une greffe 1 Avant le prélèvement La date du prélèvement La date du prélèvement
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailDiplôme Universitaire d Implantologie Franco-Canadien (DUIFC) Niveau avancé REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES
Diplôme Universitaire d Implantologie Franco-Canadien (DUIFC) Niveau avancé REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES Vu la loi 84-52 du 26 janvier 1984 sur l enseignement supérieur ; Vu le décret n 84-573
Plus en détailDans ce chapitre : Sommaire 93
Dans ce chapitre : Les différents types de contractions musculaires 78 Contraction statique 78 Contraction dynamique 80 Contraction isométrique 80 Contraction auxotonique 80 Contraction isotonique 82 Contraction
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailDécouverte de sites du Paléolithique moyen sur le tracé d un gazoduc en Picardie (France)
Découverte Notae Praehistoricae de sites 17-1997 du Paléolithique : 25-38moyen sur le tracé d un gazoduc en Picardie (France) 25 Découverte de sites du Paléolithique moyen sur le tracé d un gazoduc en
Plus en détailCONTRAT OBSEQUES ET TUTELLE : UN ARRET* PRECISE LES MODALITES D APPLICATION
JURISPRUDENCE JURISPRUDENCE JURISPRUDENCE JURISPRUDENCE JURISPRUDENCE JURISPRUDENCE CONTRAT OBSEQUES ET TUTELLE : UN ARRET* PRECISE LES MODALITES D APPLICATION La Cour d appel de Douai a rendu le 16 Juin
Plus en détail900 ISO 1 CERTIFIE D BCCA FI VITA INVEST.2
IS 1 O 900 CA CE RT IFI BC ED FIRM 51.30.259 07/14 VITA INVEST.2 VITA INVEST.2 CONDITIONS GENERALES DEFINITIONS A. Preneur d assurance La personne qui conclut le contrat avec l entreprise d assurances.
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches
LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches Denise Hébert, chargée de projet UCCSPU Février 2006 Le langage et
Plus en détailBACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1
TP A.1 Page 1/5 BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 Ce document comprend : - une fiche descriptive du sujet destinée à l examinateur : Page 2/5 - une
Plus en détailUne brique dans le cartable. Du Plan à l Ouvrage
Une brique dans le cartable Du Plan à l Ouvrage Une brique dans le cartable Du plan à l ouvrage Visites et rencontres possibles - Rencontre avec un architecte o Voir la création des plans (orientation
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailDonneur ou pas... Pourquoi et comment je le dis à mes proches.
L Agence de la biomédecine DON D ORGANES le guide L Agence de la biomédecine, qui a repris les missions de l Etablissement français des Greffes, est un établissement public national de l Etat créé par
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailDOSSIER PEDAGOGIQUE DESTINE AUX ENSEIGNANTS
DOSSIER PEDAGOGIQUE DESTINE AUX ENSEIGNANTS Ce document est réalisé à l intention des enseignants de manière à faciliter leur visite du Centre d interprétation du Roc-aux-Sorciers. Ce document comprend
Plus en détail1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T
1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 2. RECHERCHE DE SITES 2.1 Les objectifs 2.2 Les contraintes environnementales liés à l aménagement du territoire liées au transport liés aux documents d urbanisme 3.
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailHOSPITALISATION HOSPITALISATION DENTAIRE
HOSPITALISATION HOSPITALISATION DENTAIRE FORFAITS HOSPITALIERS La CPAM peut participer aux forfaits hospitaliers de moins d un an facture originale procuration si facture non acquittée FRAIS D ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats. Pierre Dagnelie
PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats Pierre Dagnelie TABLE DES MATIÈRES 2012 Presses agronomiques de Gembloux pressesagro.gembloux@ulg.ac.be www.pressesagro.be
Plus en détailSOMMAIRE DES QUESTIONS
Cher Docteur, Vous trouverez dans cette Foire Aux Questions, les questions les plus courantes que vous vous posez. Nous restons à votre disposition pour toute autre question liée à votre spécificité. SOMMAIRE
Plus en détail