LES SOUTIENS À LA PRODUCTION CINÉMATOGRAPHIQUE ET AUDIOVISUELLE Des changements nécessaires

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES SOUTIENS À LA PRODUCTION CINÉMATOGRAPHIQUE ET AUDIOVISUELLE Des changements nécessaires"

Transcription

1 1 Cour des comptes - Rappel du titre de avril la présentation 1, 2014 LES SOUTIENS À LA PRODUCTION CINÉMATOGRAPHIQUE ET AUDIOVISUELLE Des changements nécessaires Rapport public thématique Avril 2014

2 Cour des comptes - Rappel avril 1, du titre de la présentation LE CONTEXTE Un environnement technologique et international qui appelle des adaptations

3 LA NUMÉRISATION DES CONTENUS ET DES MODES DE CONSOMMATION Le développement du numérique a profondément modifié les modalités de diffusion et de production des œuvres cinématographiques et audiovisuelles Le paysage audiovisuel s est fortement diversifié au cours des dix dernières années (de 22 chaînes dans les années 1990 à 237 aujourd hui) La consommation d images animées est désormais possible sur de nombreux supports : salle de cinéma, télévision, mais aussi vidéo en ligne sur des tablettes, ou tout autre objet connecté à internet Les modes de consommation des films et des œuvres audiovisuelles ont évolué en conséquence ; la diffusion d un film est moins clairement séquencée dans le temps après la sortie en salle, elle peut même être instantanée en cas de consommation illicite de contenus sur internet 3

4 LES BOULEVERSEMENTS DE L ÉCONOMIE DE LA PRODUCTION Les modes de financement de la production cinématographique et audiovisuelle peinent à s adapter à ce nouveau contexte Ce nouveau modèle économique met en concurrence des diffuseurs traditionnels (chaînes de télévision) et de nouveaux diffuseurs, pour partie installés à l étranger, qui ne constituent pas aujourd hui des relais susceptibles de financer la production française au même niveau La concurrence internationale accrue à la localisation des tournages et des industries techniques pèse sur le système de soutien La principale réponse à ce nouveau contexte a été l octroi d un surcroît de crédits publics, sans adapter le modèle 4

5 DES CRÉDITS PUBLICS EN FORTE HAUSSE Les aides directes à la production cinématographique et audiovisuelle en 2002 et 2012 (en M ) CNC Dépense fiscale Fonds de garantie Aides locales Total des aides publiques Source : Cour des comptes 5

6 LES OBJECTIFS DE LA POLITIQUE DE SOUTIEN Les objectifs de la politique de soutien conduite par le CNC sont : d assurer une présence forte des œuvres cinématographiques et audiovisuelles françaises et européennes sur notre territoire et à l étranger, et pour cela apporter un soutien économique à la filière concernée ; de contribuer à la diversité et au renouvellement de la création et de la diffusion. Par ailleurs, l intervention publique, via les chaînes de l audiovisuel public, se fixe notamment pour objectif d assurer la diffusion de la création auprès du public le plus large possible. 6

7 DES RECETTES AFFECTÉES TOUJOURS PLUS ABONDANTES Évolution du produit des taxes affectées au CNC entre 2002 et 2014 (données prévisionnelles), en millions d euros Taxe sur les services de télévision (distributeurs) Taxe sur les services de télévision (éditeurs) Taxe vidéo Taxe spéciale additionnelle (salles) Source : Cour des comptes d après CNC 7

8 RECOMMANDATIONS Concernant l économie générale du système de soutien, la Cour recommande de : Maîtriser l évolution des taxes affectées au CNC, par l élaboration d une trajectoire de dépenses pluriannuelle fondée sur une évaluation des besoins Réduire les redondances entre dispositifs d aides 8

9 Cour des comptes - Rappel avril 1, du titre de la présentation LA PRODUCTION CINÉMATOGRAPHIQUE Un modèle de financement fragilisé

10 UNE PRODUCTION DYNAMIQUE ET UNE FRÉQUENTATION ÉLEVÉE Le système de soutien a accompagné la croissance importante, au cours de la dernière décennie, du nombre de films produits et de la fréquentation des salles de cinéma 270 films français produits en 2013, dont 209 films français et coproductions internationales dans lesquelles la part française est majoritaire 193 millions d entrées en salles en 2013, la part de marché du cinéma français étant stable (entre 30 et 40 %) 10

11 MAIS UNE FRÉQUENTATION CONCENTRÉE SUR QUELQUES SUCCÈS Films français inédits : total des sorties et polarisation du nombre d entrées Films français sortis Films rassemblant moins de entrées Films rassemblant plus d'un million d'entrées Source : Cour des comptes d après CNC 11

12 L INFLATION DES COÛTS DE PRODUCTION L évolution à la hausse des coûts de production, principalement due aux films aux budgets les plus élevés, est alimentée par le système de soutien Les chaînes de télévision privées ont tendance à s acquitter de leurs obligations en concentrant leurs investissements sur un petit nombre de films à budget élevé Certaines pratiques nuisent à la transparence des conditions de financement (rémunérations mises en participation, modalités de rémunération des artistesinterprètes) 12

13 DES CONCOURS ACCRUS DES CHAÎNES DE TÉLÉVISION AU CINÉMA, DES AUDIENCES DU CINÉMA À LA TÉLÉVISION EN BAISSE Investissements des diffuseurs et poids des films français parmi les meilleures audiences de la télévision Investissements des diffuseurs dans la production cinématographique (en millions d'euros, échelle de droite) Nombre de films français parmi les 50 meilleures audiences (échelle de gauche) Source : Cour des comptes d après CNC et Médiamétrie 13

14 RECOMMANDATIONS La Cour recommande de renouer clairement avec les objectifs du système de soutien : le renouvellement de la création culturelle et la consolidation du secteur économique Augmenter la sélectivité et le montant unitaire des aides accordées aux œuvres, pour améliorer leur financement et leur exposition en salles Assouplir le régime des jours pendant lesquels les films sont interdits de diffusion à la télévision Maîtriser l inflation des coûts de production des films aux budgets élevés, en limitant la contribution des aides publiques à cette augmentation 14

15 Cour des comptes - Rappel avril 1, 15 du 2014 titre de la présentation LA PRODUCTION AUDIOVISUELLE Des performances sans rapport avec les montants investis

16 LE SOUTIEN À LA PRODUCTION AUDIOVISUELLE Les résultats d audiences et de ventes, aussi bien en France qu à l international, ne sont pas à la hauteur des volumes financiers investis par l État 63 % des aides à la production audiovisuelle dans l Union européenne sont versées en France Une filière de production insuffisamment structurée Des records d audiences pour la fiction américaine 16

17 UN SECTEUR DE PRODUCTION AUDIOVISUELLE TRÈS DISPERSÉ Nombre de sociétés de production audiovisuelle Sociétés de production audiovisuelle actives (CNC) Total des sociétés de production audiovisuelle (INSEE) Source : Cour des comptes d après CNC et INSEE 17

18 UNE AUGMENTATION GLOBALE DE LA PRODUCTION, UNE STAGNATION DE LA FICTION Volume de programmes audiovisuels aidés entre 1992 et 2012 (en heures produites) documentaire magazine spectacle vivant animation fiction Source : Cour des comptes d après CNC 18

19 FICTION FRANÇAISE À LA TÉLÉVISION : DES RÉSULTATS D AUDIENCE EN FORT DÉCLIN Nombre de fictions françaises et étrangères parmi les 50 meilleures audiences de l année Fiction étrangère Fiction française Source : Cour des comptes d après CNC Cour des comptes La politique de soutien à la production cinématographique et audiovisuelle 19

20 RECOMMANDATIONS La Cour recommande de recentrer le système de soutien vers l aide à la création et la consolidation de l industrie de programmes Renforcer les aides à la phase d écriture et de développement Encourager le renouvellement de la création audiovisuelle en ligne Favoriser la structuration du secteur de la production audiovisuelle Garantir la rigueur et l indépendance des procédures de commande des œuvres par les chaînes de l audiovisuel public Améliorer la transparence dans la rémunération des producteurs 20

21 Cour des comptes - Rappel avril 1, 21 du 2014 titre de la présentation LA CONCURRENCE INTERNATIONALE Des défis insuffisamment anticipés

22 ADAPTER LES SOUTIENS AU CONTEXTE INTERNATIONAL La politique de soutien à la production cinématographique et audiovisuelle ne peut s affranchir d une prise en compte des résultats de son action à l échelle européenne et internationale Des acteurs nouveaux apparaissent (Netflix, Amazon) Le territoire français présente des atouts à mettre en avant pour renforcer son attractivité Le système de soutien est insuffisamment orienté vers l adaptation à ce nouvel environnement 22

23 UNE SURENCHÈRE FISCALE SANS EFFET Coût du crédit d impôt cinéma et délocalisation des tournages de films 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 35% 0 30% % Taux de délocalisation des jours de tournage (en pourcentage, échelle de gauche) Coût du crédit d'impôt cinéma (en millions d'euros, échelle de droite) Source : Cour des comptes d après CNC et documents budgétaires 23

24 RECOMMANDATIONS La Cour recommande de sortir de la posture défensive aujourd hui adoptée à l égard des bouleversements du contexte international, afin de mieux les anticiper Prendre les devants pour freiner la surenchère fiscale en Europe Réorienter les aides à l exportation vers un soutien sélectif plus concentré, dédié à l innovation et à la prospection Réévaluer le régime des obligations d investissement des diffuseurs afin d y inclure à terme les nouveaux entrants du secteur de l image Faire leur place à de nouveaux éditeurs de services de vidéo à la demande 24

La Réunion, terre d images et de tournages

La Réunion, terre d images et de tournages TOP RÉSA 2011 / 20-23 SEPTEMBRE 2011 À PARIS www.regionreunion.com La Réunion, terre d images et de tournages LA RÉUNION AU PATRIMOINE MONDIAL DE L HUMANITÉ cirques, pitons, remparts Terre d images Terre

Plus en détail

COMMENT FINANCER. Cinema et television PIXIT

COMMENT FINANCER. Cinema et television PIXIT ISABELLE TERREL CHRISTOPHE VIDAL COMMENT FINANCER Cinema et television PIXIT SOMMAIRE INTRODUCTION 11 LE MONTAGE FINANCIER OU COMMENT BÄTIR SON PLAN DE FINANCEMENT 13 I L'enjeu du plan de financement 15

Plus en détail

Encaissement moyen du distributeur sur une entrée en salle de cinéma (1998-2007)

Encaissement moyen du distributeur sur une entrée en salle de cinéma (1998-2007) Encaissement moyen du distributeur sur une entrée en salle de cinéma (1998-2007) Avril 2009 Centre national de la cinématographie Direction des études, des statistiques et de la prospective 12, rue de

Plus en détail

Discours SEUL LE PRONONCE FAIT FOI

Discours SEUL LE PRONONCE FAIT FOI Discours SEUL LE PRONONCE FAIT FOI Discours de Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication, prononcé à l occasion de la table ronde sur la fiction en présence des principaux présidents

Plus en détail

Réduisez votre ISF en 2014

Réduisez votre ISF en 2014 Réduisez votre ISF en 2014 et profitez du dynamisme de l industrie du cinéma Investissement au capital d'une PME qui permet de réduire son ISF jusqu à 45.000 euros à hauteur de 47,62 % des sommes investies

Plus en détail

Convention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012

Convention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012 AFPF APC APFP SPI UPF Convention collective de la production cinématographique : Etude d'impact sur le texte signé le 19 janvier 2012 Notre étude d impact a été réalisée à partir de données objectives

Plus en détail

CONTENUS NUMÉRIQUES ÉTUDE NOV. 2014

CONTENUS NUMÉRIQUES ÉTUDE NOV. 2014 CONTENUS Le partenariat entre Industries Culturelles et opérateurs télécoms doit être redynamisé afin de faire face aux enjeux posés par la numérisation et le développement des usages. L accès aux œuvres,

Plus en détail

Recommandations. pour développer la filière du numérique

Recommandations. pour développer la filière du numérique L es é d i t eurs d e c o n t enus e t ser v i c e s en l i g n e Recommandations du GESTE pour développer la filière du numérique Qui est le GESTE? Fondé en 1987, le GESTE est aujourd hui le seul endroit

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Collège d autorisation et de contrôle. Avis n 02/2011

Collège d autorisation et de contrôle. Avis n 02/2011 Collège d autorisation et de contrôle Avis n 02/2011 Première évaluation de la Recommandation du 24 juin 2010 relative à la mise en valeur des œuvres européennes et de la Communauté française dans les

Plus en détail

Les Ateliers NPA. S appuyant sur cette expertise, Les Ateliers NPA

Les Ateliers NPA. S appuyant sur cette expertise, Les Ateliers NPA Formations Les Ateliers NPA R Référence en matière d étude et de conseil dans le secteur des médias et des services numériques, NPA Conseil met à disposition son expertise au service de son département

Plus en détail

Réduisez votre ISF en 2015

Réduisez votre ISF en 2015 Réduisez votre ISF en 2015 et profitez du dynamisme de l industrie du cinéma Investissement au capital d'une PME qui permet de réduire son ISF jusqu à 45.000 euros à hauteur de 47,62 % des sommes investies

Plus en détail

Réduisez votre ISF en 2015 Et profitez du dynamisme de l industrie du cinéma

Réduisez votre ISF en 2015 Et profitez du dynamisme de l industrie du cinéma Réduisez votre ISF en 2015 Et profitez du dynamisme de l industrie du cinéma Investissement au capital d'une PME qui permet de réduire son ISF jusqu à 45.000 euros à hauteur de 47,62 % des sommes investies

Plus en détail

APPALOOSA Films NOTICE D INFORMATION

APPALOOSA Films NOTICE D INFORMATION APPALOOSA Films NOTICE D INFORMATION Société Anonyme au capital de 37 Y 512 426 52 RCS PARIS 4 rue Marivaux, 752 Paris Tél. : + 33 ()1 47 3 98 97 Email : contact@appaloosa-films.com Site : www.appaloosa-films.com

Plus en détail

OVH.com Neo Telecoms Ikoula Euclyde Datacenters

OVH.com Neo Telecoms Ikoula Euclyde Datacenters Réponse à l appel à contributions émis par le Conseil National du Numérique en vue d éclairer et de proposer au gouvernement une vision globale de la «fiscalité du numérique» OVH.com Neo Telecoms Ikoula

Plus en détail

MASTER2 PRO EXPERT MEDIA. Institut de la communication et des Médias Sorbonne Nouvelle

MASTER2 PRO EXPERT MEDIA. Institut de la communication et des Médias Sorbonne Nouvelle MASTER2 PRO EXPERT MEDIA Institut de la communication et des Médias Sorbonne Nouvelle PRÉSENTATION DU DIPLÔME 1Le Master 2 Pro 'Expert Media' constitue une nouvelle référence dans un secteur des médias

Plus en détail

LA PRODUCTION AUDIOVISUELLE FRANCAISE ET SON FINANCEMENT

LA PRODUCTION AUDIOVISUELLE FRANCAISE ET SON FINANCEMENT LA PRODUCTION AUDIOVISUELLE FRANCAISE ET SON FINANCEMENT Rapport établi à la demande du ministre de la culture et de la communication par Antoine Schwarz Décembre 2003 2 Cette mission a bénéficié de l

Plus en détail

Communiqué de presse

Communiqué de presse Communiqué de presse Nouveau record pour la télévision en ligne Le 07 novembre 2013 Résultats du baromètre de la TV en ligne, septembre 2013 Suresnes, le 07 novembre 2013 Canal+ Régie, France Télévisions

Plus en détail

DISPOSITIF RÉGIONAL D AIDES AUX ENTREPRISES CULTURELLES

DISPOSITIF RÉGIONAL D AIDES AUX ENTREPRISES CULTURELLES Page 1 Axe Service instructeur Dates délibération Une nouvelle dynamique économique Conseil Régional Direction des Affaires Culturelles et Sportives I. Objectifs et descriptif de la mesure a) Objectifs

Plus en détail

LE CONTRAT DE COPRODUCTION

LE CONTRAT DE COPRODUCTION LE CONTRAT DE COPRODUCTION 1. Parties 2. Objet 3. Durée 4. Responsabilité de la production 5. Budget et financement de la production 6. Répartition des recettes d exploitation 7. Livraison des masters

Plus en détail

Garantie de crédit aux entreprises de jeu vidéo

Garantie de crédit aux entreprises de jeu vidéo Producteurs, éditeurs de jeu vidéos Informations générales Nom de la mesure Acronyme Code Mesure nationale/mesure communautaire 7.6.76 Nationale Filière concernée Stade de la filière concernée Catégorie

Plus en détail

Bulletin de déclaration d une œuvre audiovisuelle

Bulletin de déclaration d une œuvre audiovisuelle Bulletin de déclaration d une œuvre audiovisuelle (1) Ne rien inscrire dans ce cadre n d œuvre Je déclare (ou nous déclarons) au répertoire de la Scam (2) titre de l œuvre durée de l œuvre N épisode saison

Plus en détail

Le marché publicitaire télévisuel français en 2009 : (r)évolution? Commission prospective

Le marché publicitaire télévisuel français en 2009 : (r)évolution? Commission prospective Le marché publicitaire télévisuel français en 2009 : (r)évolution? Commission prospective Février 2009 Synthèse L annonce par le Président de la République, le 8 janvier 2008, d engager une réflexion sur

Plus en détail

MASTER RECHERCHE CINEMA : APPROCHES INTERCULTURELLES

MASTER RECHERCHE CINEMA : APPROCHES INTERCULTURELLES MASTER RECHERCHE CINEMA : APPROCHES INTERCULTURELLES Mention : Arts Spécialité : Cinéma et audiovisuel, approches interculturelles du cinéma Contacts Composante : UFR Humanités Contact(s) administratif(s)

Plus en détail

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015 Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en

Plus en détail

POITOU-CHARENTES - RÈGLEMENTS 2015

POITOU-CHARENTES - RÈGLEMENTS 2015 POITOU-CHARENTES - RÈGLEMENTS 2015 Fonds d'aide à la création et à la production Cinématographique, Audiovisuelle et aux Nouveaux médias en Poitou-Charentes La Région Poitou-Charentes et les Départements

Plus en détail

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Séance de Conseil Municipal du 26 février 2015 DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Le contexte De beaux équipements (médiathèque, CLSH, espace culturel Armorica, espace loisirs sportifs) MAIS

Plus en détail

Fonds de soutien territorial à l'économie du livre en Alsace page 1/6

Fonds de soutien territorial à l'économie du livre en Alsace page 1/6 Fonds de soutien territorial à l'économie du livre en Alsace Protocole d'accord État-Région sur le soutien et le développement de la chaîne du livre en Alsace Entre l État, représenté par Monsieur Stéphane

Plus en détail

BAREMES DE REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE APPLICABLES AU 1er JANVIER 2014 (MONTANTS HORS TAXES)

BAREMES DE REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE APPLICABLES AU 1er JANVIER 2014 (MONTANTS HORS TAXES) BAREMES DE REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE APPLICABLES AU 1er JANVIER 2014 (MONTANTS HORS TAXES) Supports d'enregistrement analogiques Support Durée d'enregistrement Rémunération pour copie privée Cassette

Plus en détail

Section des Formations et des diplômes

Section des Formations et des diplômes Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence Arts du spectacle - Cinéma de l Université Paris 8 - Vincennes Saint-Denis Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section

Plus en détail

LES NOUVEAUX DISPOSITIFS POUR LE SPECTACLE VIVANT. Votés en avril 2015, en vigueur à partir de septembre 2015

LES NOUVEAUX DISPOSITIFS POUR LE SPECTACLE VIVANT. Votés en avril 2015, en vigueur à partir de septembre 2015 LES NOUVEAUX DISPOSITIFS POUR LE SPECTACLE VIVANT Votés en avril 2015, en vigueur à partir de septembre 2015 Les grands principes de la révision Renforcer les échanges avec le public sur les territoires

Plus en détail

ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE

ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE Madrid, le 14 janvier 1985 ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT

Plus en détail

0.443.917.2. Accord entre la Confédération suisse et le Royaume de Belgique sur les relations cinématographiques

0.443.917.2. Accord entre la Confédération suisse et le Royaume de Belgique sur les relations cinématographiques Texte original 0.443.917.2 Accord entre la Confédération suisse et le Royaume de Belgique sur les relations cinématographiques (Accord de coproduction entre la Suisse et la Belgique) Conclu le 9 janvier

Plus en détail

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales 1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction

Plus en détail

MASTER DE PRODUCTION ET GESTION DE PROJETS EUROPÉENS EN ARTS DE L ECRAN

MASTER DE PRODUCTION ET GESTION DE PROJETS EUROPÉENS EN ARTS DE L ECRAN MASTER DE PRODUCTION ET GESTION DE PROJETS EUROPÉENS EN ARTS DE L ECRAN Porteur de Projet : Francis GAST, Directeur de la Faculté des Arts Université de Strasbourg OBJECTIFS Le MASTER DE PRODUCTION ET

Plus en détail

ESTIM. Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia

ESTIM. Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia ESTIM Égalité d accès aux Sciences, aux Technologies, à l Innovation et au Multimédia GOUVERNANCE DE LA CSTI FORMATION NUMÉRIQUE /ARTS SCIENCES TECHNOLOGIES Face à une crise économique mondiale et aux

Plus en détail

Le Réseau intercommunal des bibliothèques

Le Réseau intercommunal des bibliothèques Réseau intercommunal des bibliothèques APPEL A CANDIDATURE POUR UNE RESIDENCE D AUTEUR Dans la période d octobre 2010 à janvier 2011, la Communauté de communes Vallée de l Hérault accueille un auteur en

Plus en détail

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010 Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement

Plus en détail

Les mesures en faveur de

Les mesures en faveur de Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises

Plus en détail

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du

Plus en détail

Synthèse. du Rapport public thématique. Octobre 2009. France Télévisions et la nouvelle télévision publique

Synthèse. du Rapport public thématique. Octobre 2009. France Télévisions et la nouvelle télévision publique COUR DES COMPTES Synthèse du Rapport public thématique Octobre 2009 France Télévisions et la nouvelle télévision publique Avertissement La présente synthèse est destinée à faciliter la lecture et le commentaire

Plus en détail

LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014

LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE. N 3 juillet 2014 LA LETTRE DE L EPARGNE ET DE LA RETRAITE DU CERCLE DE L EPARGNE N 3 juillet 2014 L Edito de Philippe Crevel L épargnant des temps nouveaux frappe à la porte En 2017, les «digital natives» auront pris le

Plus en détail

Etude du modèle économique de sites ou services de streaming et de téléchargement direct de contenus illicites

Etude du modèle économique de sites ou services de streaming et de téléchargement direct de contenus illicites Etude du modèle économique de sites ou services de streaming et de téléchargement direct de contenus illicites Note de synthèse avril 2012 A l'attention de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres

Plus en détail

Master 2 Concepteur audiovisuel : représentations plurimédia de l histoire, de la société et de la science. Syllabus 2015-2016

Master 2 Concepteur audiovisuel : représentations plurimédia de l histoire, de la société et de la science. Syllabus 2015-2016 Master 2 Concepteur audiovisuel : représentations plurimédia de l histoire, de la société et de la science Syllabus 2015-2016 Intitulés des UE de l'ue Heures encadrées Formes du remploi dans le cinéma

Plus en détail

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements

Plus en détail

12 ème Baromètre. de la Création TV. En partenariat avec

12 ème Baromètre. de la Création TV. En partenariat avec 12 ème Baromètre de la Création TV 2015 En partenariat avec Le Baromètre de la Création TV est réalisé chaque année dans le cadre des Journées de la Création TV organisées par l APA (Association pour la

Plus en détail

écrans mobiles Mobilité, écritures, transmédia JEU 21 ven 22 NOVEMBRE 2013

écrans mobiles Mobilité, écritures, transmédia JEU 21 ven 22 NOVEMBRE 2013 écrans mobiles JEU 21 ven 22 NOVEMBRE 2013 Mobilité, écritures, transmédia Le transmédia, déploiement d un contenu sur plusieurs médias (internet, TV, cinéma, téléphones mobiles, tablettes, etc.) est devenu

Plus en détail

Culture Sector. United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization

Culture Sector. United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization Culture Sector 10 Contrats pour la musique écrit par JEAN VINCENT en collaboration avec GERARD LOUISE Maquette et design : Christine Hengen

Plus en détail

QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES?

QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES? QUELS ÉCRANS UTILISENT LES 13-24 ANS ET POUR QUELS USAGES? Colloque «Les écrans et les jeunes : quelle place, quelle offre, quelles évolutions?» 9 décembre 2014 Direction des études et de la prospective

Plus en détail

Dans un premier temps, le travail qui a été mené consiste à partir de l existant afin d être en mesure de comparer ce qui est comparable.

Dans un premier temps, le travail qui a été mené consiste à partir de l existant afin d être en mesure de comparer ce qui est comparable. Réunion du 12 mai 2011 1 Premiers éléments de caractérisation financière du territoire Dans un premier temps, le travail qui a été mené consiste à partir de l existant afin d être en mesure de comparer

Plus en détail

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section J Division 60

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section J Division 60 Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section J Division 60 60 PROGRAMMATION ET DIFFUSION Cette division comprend les activités d édition de chaines

Plus en détail

Développement du numérique LA REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE POSITION DE LA FIEEC

Développement du numérique LA REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE POSITION DE LA FIEEC Développement du numérique LA REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE POSITION DE LA FIEEC Novembre 2012 La FIEEC est une Fédération de l'industrie qui rassemble 29 syndicats professionnels dans les secteurs de

Plus en détail

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012 MISSION «ECONOMIE» COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS PRETS ET AVANCES A DES PARTICULIERS OU A DES ORGANISMES PRIVES

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012 MISSION «ECONOMIE» COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS PRETS ET AVANCES A DES PARTICULIERS OU A DES ORGANISMES PRIVES 1 24 novembre 2011 PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012 - MISSION «ECONOMIE» ET COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS PRETS ET AVANCES A DES PARTICULIERS OU A DES ORGANISMES PRIVES Examen en séance publique : lundi

Plus en détail

Déclaration d accord pour archivage et exploitation. Informations sur le contenu COMPAGNIE / CHORÉGRAPHE : PRESTATION : CHORÉGRAPHE : Nom :

Déclaration d accord pour archivage et exploitation. Informations sur le contenu COMPAGNIE / CHORÉGRAPHE : PRESTATION : CHORÉGRAPHE : Nom : COMPAGNIE / CHORÉGRAPHE : Nom : Personne de contact : Pays : Informations sur le contenu PRESTATION : Titre de l œuvre : Date et lieu de la représentation (enregistrée sur le support) : Date et lieu de

Plus en détail

Dossier d inscription

Dossier d inscription Dossier d inscription (A rendre au plus tard le 15 mai 2015) Le dossier comprend les pièces suivantes : Fiche d inscription Autorisation parentale pour les mineurs Fiche descriptive du court métrage Autorisations

Plus en détail

17/04/2014 LE PARTAGE DES REVENUS DE LA MUSIQUE ENREGISTREE VRAIS CHIFFRES ET CONTREVERITES

17/04/2014 LE PARTAGE DES REVENUS DE LA MUSIQUE ENREGISTREE VRAIS CHIFFRES ET CONTREVERITES 17/04/2014 LE PARTAGE DES REVENUS DE LA MUSIQUE ENREGISTREE VRAIS CHIFFRES ET CONTREVERITES Partage des revenus de la musique enregistrée : Les vrais chiffres Pour définir exactement la réalité du partage

Plus en détail

Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export

Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export ACTION : - Nature (nationale/régionale) ; - Descriptif du contenu (éventuelles sous-actions ou phases

Plus en détail

NOTICE D INFORMATION AVERTISSEMENT : CARACTéRISTIQUES DE LA SOCIéTé ET DE L émission DE BSA

NOTICE D INFORMATION AVERTISSEMENT : CARACTéRISTIQUES DE LA SOCIéTé ET DE L émission DE BSA ISF Cinéma 2009 Société Anonyme au capital de 37.200 Y Siège social : 49 rue de Ponthieu, 75008 Paris 510 913 940 RCS PARIS Tél. : + 33 (0)1 42 25 33 40 Email : contact@isfcinema.com Site : www.isfcinema.com

Plus en détail

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière

Plus en détail

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre

Plus en détail

Bilan de la société Canal+

Bilan de la société Canal+ Bilan de la société Canal+ Année 2009 les bilans du CSA décembre 2010 CONSEIL SUPERIEUR DE L AUDIOVISUEL Direction des programmes Service de l information et de la documentation Bilan de la société Canal+

Plus en détail

Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile

Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile Résumé du rapport Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile Numéro de contrat : 90030-121581/001/CY Contrat attribué le : 2013-01-18 Préparé pour : Office national

Plus en détail

LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal

LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal Orlando G. Cerocchi LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal :: INTRODUCTION :: OBJECTIF DU PROGRAMME :: FESTIVALS ET ÉVÉNEMENTS TOURISTIQUES ADMISSIBLES :: CHAMPS

Plus en détail

Marseille. Entre Europe et Méditerranée le futur est à Marseille. Marseille-euroméditerranée

Marseille. Entre Europe et Méditerranée le futur est à Marseille. Marseille-euroméditerranée Marseille Entre Europe et Méditerranée le futur est à Marseille Marseille-euroméditerranée investissements 2 > euroméditerranée Née d une initiative de l Etat et des collectivités territoriales en 1995,

Plus en détail

4 CHIFFRES À RETENIR

4 CHIFFRES À RETENIR Une baisse continue mais atténuée 4 CHIFFRES À RETENIR Recettes publicitaires totales (médias historiques + Internet + mobile + courrier publicitaire et ISA) 1 ER SEMESTRE 2014-2,6% S1 2014 vs S1 2013

Plus en détail

Baromètre de l innovation Janvier 2015

Baromètre de l innovation Janvier 2015 Baromètre de l innovation Janvier 2015 Les pratiques culturelles des français et leurs usage s numériques Un baromètre BVA Syntec numérique Sondage réalisé par pour le Méthodologie Recueil Enquête réalisée

Plus en détail

Fonds de garantie. Objet : faciliter aux petites entreprises l accès au crédit d exploitation octroyés par les banques.

Fonds de garantie. Objet : faciliter aux petites entreprises l accès au crédit d exploitation octroyés par les banques. Fonds de garantie Fond Oxygen : Objet : faciliter aux petites entreprises l accès au crédit d exploitation octroyés par les banques. - PME existantes ayant au moins 6 mois d activité et des relations avec

Plus en détail

Trébeurden Synthèse financière

Trébeurden Synthèse financière Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,

Plus en détail

FICHE METIER. «Documentaliste» Documentaliste en radiodiffusion APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER

FICHE METIER. «Documentaliste» Documentaliste en radiodiffusion APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER Documentaliste radio «Documentaliste» APPELLATION(S) DU METIER Documentaliste en radiodiffusion DEFINITION DU METIER Le documentaliste radio exerce trois missions principales : > Il gère le fonds documentaire

Plus en détail

Focus : Des bibliothèques dans l'économie du livre (droit de prêt, copie privée, acquisitions papier et numérique) au prêt de livres numériques

Focus : Des bibliothèques dans l'économie du livre (droit de prêt, copie privée, acquisitions papier et numérique) au prêt de livres numériques Focus : Des bibliothèques dans l'économie du livre (droit de prêt, copie privée, acquisitions papier et numérique) au prêt de livres numériques Limoges, 1 décembre 2014 Les bibliothèques dans l économie

Plus en détail

MARCHE DE LA MUSIQUE ENREGISTREE 9 PREMIERS MOIS 2010 millions d'euros 2009 2010 évolution

MARCHE DE LA MUSIQUE ENREGISTREE 9 PREMIERS MOIS 2010 millions d'euros 2009 2010 évolution LE MARCHE DE GROS DE LA MUSIQUE ENREGISTREE 9 PREMIERS MOIS 2010 (Valeur gros H.T. nette de remises et retours) 340.2 millions d euros : -2.2 % par rapport aux 9 premiers mois 2009 Au cours des 9 premier

Plus en détail

Fiamp.2014. Festival International de l Audiovisuel et du Multimédia sur le Patrimoine. Dossier d'inscription à la compétition

Fiamp.2014. Festival International de l Audiovisuel et du Multimédia sur le Patrimoine. Dossier d'inscription à la compétition ICOM Conseil International des Musées Comité pour l'audiovisuel et les nouvelles technologies de l'image et du son Fiamp.2014 Festival International de l Audiovisuel et du Multimédia sur le Patrimoine

Plus en détail

Samedi 24 octobre 2009

Samedi 24 octobre 2009 Samedi 24 octobre 2009 Plan : Qu est-ce que la comptabilité? Pourquoi une comptabilité? Obligations comptables? Le Plan Comptable Associatif Le budget prévisionnel Utilisation du budget prévisionnel Comment

Plus en détail

Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique

Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Ministère de la Culture et de la Communication Direction générale des médias et des industries culturelles Service du livre et de

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Création, production, images

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Création, production, images www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Création, production, images Une formation à la direction de projets audiovisuels Le master Création, Production, Images. Cinéma interactif et transmédia de l Institut

Plus en détail

ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE

ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL DU 22 MARS 2014 RELATIF A L INDEMNISATION DU CHOMAGE Préambule Considérant la situation économique et, notamment, l impact de celle ci sur le marché de l emploi et le

Plus en détail

Agence du patrimoine immatériel de l État

Agence du patrimoine immatériel de l État Agence du patrimoine immatériel de l État Les richesses de l immatériel sont les clés de la croissance future Rapport de la commission de l économie de l immatériel 2006 Le mot du directeur général L APIE

Plus en détail

Convergence de A à Z 10000

Convergence de A à Z 10000 Convergence de A à Z 10000 second screen : la convergence entre en jeu, atouts, questions l 21,4 millions de mobinautes au 2 ème trimestre 2012 (Médiamétrie) l 45% des équipés mobiles ont un smartphone

Plus en détail

Communiqué de presse

Communiqué de presse Paris, le 7 Septembre 2007 Communiqué de presse A quelques heures du coup d envoi de la Coupe du Monde de Rugby 2007, Yahoo! et Isobar font le point sur Internet et le sport. Quelle place occupe aujourd

Plus en détail

Règlement : Compétition du Film d Entreprise du Festival des Étoiles & des Ailes.

Règlement : Compétition du Film d Entreprise du Festival des Étoiles & des Ailes. Des Étoiles et des Ailes 2015 1 Table des matières Article 1 Nature du Festival 2 Article 2 Catégories de film en compétition 2 Article 3 Qui peut participer? 3 Article 4 Modalite s d inscription a la

Plus en détail

Remarques introductives, décentralisation fiscale

Remarques introductives, décentralisation fiscale Remarques introductives, décentralisation fiscale Forum Régional sur la Décentralisation Marseille, 23 juin 2007 Hélène Grandvoinnet Plan Variété des CL RESSOURCES Trois grands types de ressources Ressources

Plus en détail

L économie de la télévision de rattrapage

L économie de la télévision de rattrapage L économie de la télévision de rattrapage Medianalyses Scholè Marketing Sommaire I. SYNTHESE... 4 A. Le succès d audience de la télévision de rattrapage... 5 1. Environ un tiers de la population concernée...

Plus en détail

CONSEIL SUPERIEUR DE LA PROPRIETE LITTERAIRE ET ARTISTIQUE

CONSEIL SUPERIEUR DE LA PROPRIETE LITTERAIRE ET ARTISTIQUE CONSEIL SUPERIEUR DE LA PROPRIETE LITTERAIRE ET ARTISTIQUE Rapport de la mission sur la révision de la directive 2001/29/CE sur l harmonisation de certains aspects du droit d auteur et des droits voisins

Plus en détail

La télévision de rattrapage - Une pratique installée, une économie en devenir

La télévision de rattrapage - Une pratique installée, une économie en devenir DEP Pierre PETILLAULT, Didier GUILLOUX, Bernard CELLI Décembre 20/10/2006 2008 La télévision de rattrapage - Une pratique installée, une économie en devenir Synthèse de l étude Février 2015 Sommaire L

Plus en détail

Le dispositif de financement des jeunes entreprises de création

Le dispositif de financement des jeunes entreprises de création Le dispositif de financement des jeunes entreprises de création Pour la première fois en association avec le ministère du Redressement productif, des établissements bancaires associés, le DEFI (comité

Plus en détail

Pour un renouveau des politiques publiques de la culture

Pour un renouveau des politiques publiques de la culture LES AVIS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE, SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL Pour un renouveau des politiques publiques de la culture Claude Michel Avril 2014 Les éditions des JOURNAUX OFFICIELS 2014-11 NOR : CESL1100011X

Plus en détail

Droits d auteurs : quelles opportunités fiscales?

Droits d auteurs : quelles opportunités fiscales? Droits d auteurs : quelles opportunités fiscales? Vincent Lamberts et Jean-Luc Wuidard Avocats au Barreau de Liège 26 novembre 2010 Petit déjeuner conférence Etudes et Expansion ASBL Plan des exposés -1.

Plus en détail

Les application Collaboratifs dans les entreprises

Les application Collaboratifs dans les entreprises Les application Collaboratifs dans les entreprises Atouts et outils Typologie Limites Pourquoi les outils de collaborations? Définition Introduction : définitions Quelques définitions du travail collaboratif

Plus en détail

GESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675

GESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 GESTION DE PROJET www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 Introduction à la Gestion de Projet... 3 Management de Projet... 4 Gestion de Projet informatique...

Plus en détail

BAREMES INDICATIFS DES DROITS D'AUTEUR

BAREMES INDICATIFS DES DROITS D'AUTEUR BAREMES INDICATIFS DES DROITS D'AUTEUR Droits d'auteur pour les œuvres préexistantes Les droits d auteurs sont régis par le Code de la Propriété Intellectuelle (CPI). Dans les cas de prises de vues commandées,

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT

I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT I. S. F. ET DELOCALISATIONS FISCALES UN IMPACT DIFFICILE A MESURER FAUTE D UN TABLEAU DE BORD SATISFAISANT Communication de M. Philippe Marini Rapporteur général I. LES DERNIERES DONNEES SUR LES DELOCALISATIONS

Plus en détail

L économie de la VoD en France

L économie de la VoD en France L économie de la VoD en France Mars 2008 Cette étude a été réalisée par : Media Consulting Group Alain Modot, Jerome Chung, François Catala 15 rue Cognacq-Jay 75007 Paris Tél : +33 1 49 55 02 18 Fax :

Plus en détail

DIAGNOSTIC IMMOBILIER

DIAGNOSTIC IMMOBILIER DIAGNOSTIC IMMOBILIER SOMMAIRE LE MARCHÉ DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 2 LA RÉGLEMENTATION DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 5 L'ACTIVITÉ DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DU DIAGNOSTIC IMMOBILIER...

Plus en détail

LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014

LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014 LE BUDGET DE L ÉTAT VOTÉ POUR 2014 en quelques chiffres (Loi de finances initiale) Évaluation des recettes perçues par l État en 2014 (art. 60 de la loi de finances initiale pour 2014) RECETTES FISCALES

Plus en détail

LES MUSEES & LES APPLICATIONS CULTURELLES SUR SMARTPHONES ETUDE DE MARCHE

LES MUSEES & LES APPLICATIONS CULTURELLES SUR SMARTPHONES ETUDE DE MARCHE LES MUSEES & LES APPLICATIONS CULTURELLES SUR SMARTPHONES ETUDE DE MARCHE SOMMAIRE 1) L étude en quelques mots....p 3 Qui? Quoi? Quand? Comment? Pourquoi? 2) Quid des applications mobiles & des musées..p

Plus en détail

I IDENTIFICATION DE LA STRUCTURE :

I IDENTIFICATION DE LA STRUCTURE : EPCC ANJOU-THEATRE 49 Bd du Roi René BP 22155 49021 ANGERS cedex 2 Tél : 02.41.81.41.57 ou 02.41.81.46.38 Tél : 02-41-25-62-60 ou 02-41-25-62-68 www.cg49.fr ou www.culture.cg49.fr FORMULAIRE DE DEMANDE

Plus en détail

La télévision numérique par votre ligne téléphonique. Guide d utilisation. Les services MaLigne TV. http://abonnes.malignetv.fr

La télévision numérique par votre ligne téléphonique. Guide d utilisation. Les services MaLigne TV. http://abonnes.malignetv.fr La télévision numérique par votre ligne téléphonique Guide d utilisation Les services MaLigne TV http://abonnesmalignetvfr Bienvenue sur MaLigne TV Sommaire Page 4 Pages 5-9 Pages 10-17 Page 18 Page 19

Plus en détail