2 ÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE DE L ATAF SUR LA FISCALITÉ EN AFRIQUE
|
|
- Marie-Josèphe Bellefleur
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 2 ÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE DE L ATAF SUR LA FISCALITÉ EN AFRIQUE THEME: RÉDUIRE LES FLUX FINANCIERS ILLICITES EN AFRIQUE PAR LE BIAIS DE LA COOPÉRATION INTELLIGENTE. PAR DR IBRAHIMA AIDARA MANAGER PROGRAMME GOUVERNANCE ÉCONOMIQUE A OSIWA Octobre 2015, Hôtel Eda Oba, Lomé / Togo OPEN SOCIETY INITIATIVE FOR WEST AFRICA
2 «L Afrique a atteint un stade critique de son développement. Des décisions importantes doivent être prises afin de réduire la dépendance vis-à-vis de l aide étrangère, accroitre les investissements publics dans les initiatives de développement et réduire l extrême pauvreté». Abdul Tejan-Cole Directeur Exécutif Open Society Initiative for West Africa (OSIWA)
3 Pourquoi? Un des obstacles majeurs pour le développement de l Afrique réside dans les pertes massives de revenus a travers la fuite des capitaux, en particulier, les FFI. Dans le cadre précis des FFI, la tarification frauduleuse des transferts et les incitations fiscales constituent de réels goulots d étranglement et représentent de réelles occasions manquées pour générer des ressources domestiques indispensables pour financer le développement endogène. A elle seule, la tarification frauduleuse des transferts en AO (~60 a 65% du total des FFI) (Rapport OSIWA 2015) Selon GFI, en Guinée, au Mali et au Togo, les pertes annuelles moyennes causées par la manipulation de la facturation des transferts étaient estimées à respectivement 16%, 25% et 13% des recettes de l'état entre 2002 et 2006.
4 En SLone, les sociétés internationales ont bénéficié d'exonérations d'impôt s'élevant à US$ 224 millions en 2012, soit l'équivalent de 55% des recettes de l'état, huit fois le budget de la santé et sept fois le budget de l'éducation. Au Ghana, ces dépenses fiscales représentaient 42% des recettes fiscales de l'état en 2011, soit l'équivalent de 6% du PIB. Au Sénégal, les exonérations d'impôt étaient évaluées à 20% du total des recettes fiscales en 2009, ce qui représentait 3% du PIB du pays. Le Nigeria a perdu plus de 425 millions de dollars US en 2006 en incitations fiscales. En CIV les pertes fiscales engendrées par les préférences fiscales ont atteint 160 millions de dollars in 2013.
5 Ampleur des flux financiers illicites en Afrique de l'ouest Source : GFI, Données FFI par pays : ; GFI, Illicit Financial Flows from Africa: Hidden Resource for Development, 2010 ; Banque mondiale, WDI Net official development assistance received (current US dollars), 2011 ; Analyse de Dalberg
6 Total des FFI hors des états membres de la CEDEAO entre 2002 et 2011 (en millions de dollars US) Source : GFI, Données FFI par pays : ; Analyse de Dalberg
7 H1: les mesures régionales de lutte contre la tarification frauduleuse des transferts et les incitations fiscales seront plus efficaces comparées aux efforts nationaux uniquement, nécessitant que la CEDEAO joue un rôle de tutelle. Affirmons qu'un resserrement de l'intégration régionale entraînera: (i) une réduction de la concurrence fiscale entre les états membres pour attirer des investissements ; (ii) un développement de l'échange automatique de données fiscales entre les états ; (iii) le renforcement des systèmes nationaux des états membres afin de faciliter la coopération ; (iv) la facilitation de l'harmonisation de l'assiette de l'impôt sur les sociétés afin de réduire la complexité fiscale pour les groupes multinationaux en activité dans la région, tout en réduisant le potentiel d'évasion en procédant à un arbitrage entre les différents systèmes fiscaux nationaux ; et (v) une coopération des états dans l'utilisation des données douanières pour déterminer et identifier les tarifications anormales.
8 Il y a tarification frauduleuse des transferts de produit lorsque les sociétés multinationales tirent parti de leur structure organisationnelle pour délocaliser leurs profits hors d'une juridiction à forte fiscalité vers des juridictions à fiscalité plus faible, par le biais notamment de la sous-facturation et de la surfacturation. Le risque de tarification frauduleuse des transferts est susceptible d'augmenter au vu de la hausse des activités des multinationales dans la région, particulièrement par le biais de filiales.
9 Importance de l'activité des multinationales en Afrique de l'ouest Source : CNUCED, base de données des IED/STN, Profils des pays, 2004 ; BAD, Données ouvertes pour une base de données africaine, 2004 ; analyse de Dalberg
10 Tendances des IED en Afrique de l'ouest (en milliards de dollars US) Source : CNUCED, UNCTADstat, Stock of Inward and Outward Foreign Direct Investment, ; Analyse de Dalberg
11 Les flux d'ied vers l'afrique de l'ouest devraient continuer à croître, notamment sous l'impulsion de la hausse prévue des investissements étrangers au Nigeria, au Ghana et en Côte d Ivoire, qui ont contribué respectivement à 77%, 7% et 5% du PIB de la CEDEAO en Les états membres de la CEDEAO autorisent des niveaux très élevés de contrôle étranger dans des secteurs clés, contribuant ainsi, entre autres raisons, à l'arrivée d'ied et de filiales étrangères dans la région.
12 Niveau moyen de participation étrangère autorisée dans les différents secteurs et régions Source : Base de données Invest Across Borders de la Banque Mondiale, Analyse de Dalberg (2010)
13 Puisque 100% des bénéfices nets peuvent être rapatriés, la pleine propriété étrangère dans des secteurs clés (exploitation minière, télécommunications, etc.) peut faciliter la fuite des ressources de la région. Par exemple, entre 2000 et 2008, le Nigeria a reçu 40,7 milliards de dollars d IED, tandis qu au cours de la même période, les profits transférés ont atteint un montant total de 51,9 milliards de dollars US. La pleine propriété étrangère peut accroître le risque de manipulation des prix de transfert puisqu elle permet aux multinationales de contrôler leurs filiales au même titre que leur part d actions (contrôle total), comparé aux cas où, par exemple, le gouvernement est un actionnaire principal de l entreprise.
14 Risque de sous-facturation Valeur globale des exportations de la CEDEAO entre 2005 et 2014 (en milliards de dollars US) Source : BAD, Données libres pour base de données africaine, 2014; analyse Dalberg
15 Valeur globale des importations de la CEDEAO entre 2005 et 2014 (en milliards de dollars US) Risque de surfacturation BAD, Données libres pour la base de données africaine, 2014; analyse Dalberg
16 Principaux facteurs de la falsification des prix de transfert en Afrique de l Ouest? 1. des régimes de prix de transfert inexistants/faibles et inefficaces Plusieurs pays de la CEDAO disposent d un cadre légal pour surveiller les transactions transfrontalières entre parties liées, mais le niveau de sophistication de ces cadres varie selon les pays. Le Manuel Pratique des Nations Unies sur les prix de transfert à l intention des pays en développement a dressé une liste de neuf Etats membres de la CEDEAO sur les 15 sous le titre «Pays avec des Régimes émergents» : Burkina Faso, Côte d Ivoire, Ghana, Liberia, Mali, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone et Gambie.
17 Aperçu des régimes de tarification de transferts dans l espace CEDEAO
18 PROFIL DE LA LEGISLATION SUR LES PRIX DE TRANSFERT DANS LES PAYS SELECTIONNES DE LA CEDEAO Principaux critères d evaluation Nom de la politique Politiques de prix de transfert indépendantes Si non, quelle est la principale politique qui englobe les PT Responsable Description de la réglementation sur les PT COTE D IVOIRE NIGERIA SENEGAL GHANA CGI et loi de finances 2006 (prix de transfert) PROFIL DE LA LE Règle n de l impot sur les revenu (prix de transfert) Loi n de Décembre 2012 portant CGI Non Oui Non Oui Article 38 du CGI et loi de finance 2006 Direction des enquêtes et vérifications fiscales S applique a toutes les transactions internationales effectuées par les sociétés N/A Article 17 CGI N/A Division des prix de transfert S applique a toutes les transactions entre les contribuables et les entreprises qui leur sont légalement associées Brigade financière spécialisée dans le contrôle des opérations internationales Les profits indirectement transférés aux sociétés nonrésidentes sont ajoutes a la base Règles des prix de transfert Commissioner General S applique a toutes les transactions commerciales entre partenaires, quelque soit leur statut de résidence
19 2. Faible capacité des autorités fiscales Selon le Forum des Administrations Fiscales Africaines (ATAF 2012), les taxes transfrontalières sont une préoccupation majeure dans huit pays de la CEDEAO : Bénin, Côte d Ivoire, Ghana, Liberia, Niger, Sénégal, Sierra Leone et Gambie. Cette étude souligne également que la plupart des pays en Afrique de l Ouest ne comprennent pas la notion de prix de transfert et que l absence de ressources humaines spécialisées en tarification des transferts est un problème majeur. Les administrateurs fiscaux qui ont une certaine expertise n ont pas reçu de formation spécialisée sur les prix de transfert dans des secteurs comme l exploitation minière, le pétrole et le gaz, la technologie de l information et des communications, le traitement des actifs, le secteur de la propriété intellectuelle, la stratégie de marque et les ventes des sociétés.
20 3. Absence d harmonisation de la politique portant sur les prix de transfert. Dans ce contexte, la coopération internationale, tant au niveau régional que mondial, dans des domaines tels que les fausses factures commerciales, la contrebande et les flux financiers illicites, pourrait apporter des améliorations considérables en termes de mobilisation des ressources intérieures. 4. Concurrence entre les pays de la CEDEAO, conduisant à une perte nette au niveau régional. Davantage peut être fait pour harmoniser les politiques d'incitation fiscale dans la région. La CEDEAO et l'uemoa ont entrepris des tentatives d harmonisation des politiques fiscales. Ces initiatives comprennent l'adoption d'un Tarif extérieur commun (TEC) au sein de la CEDEAO.
21 Malgré leur coût élevé, les avantages fiscaux ne sont pas nécessairement un facteur principal d attraction de l IED. Selon l étude de Stefan Van Parys et Sebastian James, les modifications de la fiscalité dans la zone Franc CFA n ont pas eu d impact significatif sur les flux d IED ou la formation d un capital fixe. L étude montre que d autres aspects comme le renforcement par l élargissement des garanties légales et la simplification du système fiscal ont cependant réussi à attirer des investissements étrangers supplémentaires. Une comparaison entre les pays de la CEDEAO et entre la CEDEAO et d autres pays montre qu un taux d imposition des sociétés plus élevé ne signifie pas nécessairement moins d IED.
22 Comparaison des flux d investissement et des taux d imposition des sociétés entre les pays de la CEDEAO et des pays sélectionnés non-membres de la CEDEAO Source : Heritage Foundation Index 2014 data; OCDE Imposition et Développement, Transparence, et Principes de Gouvernance; L efficacité des incitations fiscales pour attirer l investissement: données de panel de la zone franc CFA. James Sebastian et Stefan Van Parys.
23 . Choix d un régime de tarification approprié pour la région: La CEDEAO doit prendre une décision stratégique, soit d adapter la Norme sur le Principe de Pleine Concurrence (PPC) de l OCDE ou de développer des méthodes alternatives, comme la formule de répartition. La CEDEAO pourrait mettre en place par exemple un organe consultatif sur les PT a l image du FCPT de l UE; harmoniser le régime des PT éventuellement en adaptant le modèle crée par ATAF; renforcer les capacités des administrations fiscales en matière de PT Améliorer l échange d informations: - (i) La Commission de la CEDEAO devrait s associer avec d'autres unions économiques africaines pour développer une base de données pour l'échange automatique d'informations à des fins fiscales, avec l'aide de l'ataf et du Comité fiscal des Nations Unies
24 - (ii) En outre, le gouvernement devrait rendre la divulgation de renseignements sur les ayants droits obligatoire au moins pour les secteurs présentant un risque élevé de prix de transfert abusifs. La Commission de la CEDEAO et la société civile doivent s assurer que les intérêts de la région sont pris en compte dans la formulation des politiques internationales sur les prix de transfert. Formulation des lignes directrices pour les exonérations fiscales: La Commission de la CEDEAO devrait s efforcer de rationaliser et de coordonner les incitations fiscales en travaillant en étroite collaboration avec la Commission de l'uemoa.
25 MERCI POUR VOTRE ATTENTION Website:
INCITATIONS FISCALES EN AFRIQUE DE L'OUEST
4 INCITATIONS FISCALES EN AFRIQUE DE L'OUEST Cette partie du rapport procède à une brève analyse d'une autre opportunité manquée d'accroître la base fiscale dans l'espace CEDEAO : les avantages fiscaux.
Plus en détailMOBILISATION DES RESSOURCES DOMESTIQUES EN AFRIQUE DE L'OUEST: OPPORTUNITES MANQUÉES FÉVRIER 2015
MOBILISATION DES RESSOURCES DOMESTIQUES EN AFRIQUE DE L'OUEST: OPPORTUNITES MANQUÉES FÉVRIER 2015 UNE ETUDE PRODUITE PAR DALBERG ET COMMANDITEE PAR OSIWA REMERCIEMENTS Ce rapport n'aurait pu être rédigé
Plus en détailProfils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE. Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014
Profils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014 Objectifs et Enjeux Objectifs Décrire et analyser les fondements, la pratique
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES
TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES Avril 2014 TDR pour le renforcement du Service Juridique de la BIDC Page - 1 - I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION La BIDC,
Plus en détailHarmonisation fiscale dans les pays de la Zone Franc
Commission juridique et fiscale Harmonisation fiscale dans les pays de la Zone Franc Réunion du 3 février 2010 au Cabinet CMS Bureau Francis Lefebvre CEMAC = 40,11 millions habitants UEMOA = 92,087 millions
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailC est quoi le District Health Information Software 2?
Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue
Plus en détailProgramme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO
COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS DE L=AFRIQUE DE L=OUEST ECONOMIC COMMUNITY OF WEST AFRICAN STATES Réunion de lancement du programme de comparaison Internationale pour l Afrique Addis Abéba, 2-4 décembre
Plus en détailÉthique des Affaires. Responsabilisation Minerais du Conflit. Droits de l'homme Environnement Physique Environnement Social.
EXTRACTIVE SERVICE DES RESSOURCES Responsabilisation Minerais du Conflit Éthique des Affaires Bonne Gouvernance Droits de l'homme Environnement Physique Environnement Social FORDFOUNDATION Ethiques Des
Plus en détailFiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA
Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Dr Amadou Moctar MBAYE & Gérard FOULON Direction santé - Département du Développement Social 2ème Colloque
Plus en détailOffice National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD APPROVISIONNEMENT ET DISTRIBUTION DES PRODUITS PETROLIERS AU MALI
Email : onapmali@afribone.net.ml Site Web : www.onapmali.co napmali.com Ministère de l Economie, de l Industrie et du Commerce ******** Office National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL
Plus en détailLE COMMERCE ELECTRONIQUE OPPORTUNITES ECONOMIQUES ET SOCIALES
LE COMMERCE ELECTRONIQUE OPPORTUNITES ECONOMIQUES ET SOCIALES François Ossama Prix RFI NET AFRIQUE 2006 du Meilleur site Internet Africain Chef de la Cellule Informatique du MINDUH Président du Réseau
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailRapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé
Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Résumé 1 Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Au cours de la dernière décennie,
Plus en détailQU'EST-CE QUE LA ZONE FRANC?
QU'EST-CE QUE LA ZONE FRANC? BURKINA FASO MALI NIGER TCHAD SENEGAL GUINEE-BISSAU RCA COTE-D'IVOIRE TOGO BENIN CAMEROUN GUINEE EQUAT. GABON CONGO Comores Les pays de la Zone Franc UEMOA CEMAC Comores France
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailDU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO
COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A
Plus en détailLes aspects prix de transfert des biens incorporels. Frédéric Lubczinski Avocat à la Cour Département Taxes
Les aspects prix de transfert des biens incorporels Frédéric Lubczinski Avocat à la Cour Département Taxes Sommaire I- Le concept de prix de transfert II- Les biens incorporels III- Les réflexions actuelles
Plus en détailNos banques et l Afrique. Les banques occidentales et l'évasion fiscale en Afrique subsaharienne
Nos banques et l Afrique Les banques occidentales et l'évasion fiscale en Afrique subsaharienne Pertes de capitaux Afrique sub-saharienne (33 pays) Total 1970-2010: $814 mld ( 637,5 mld) Ndikumana & Boyce,
Plus en détailConnaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailLe PROGRAMME ENVIRONEMENT D INTERPOL
Le PROGRAMME ENVIRONEMENT D INTERPOL INTERPOL Organisation International de Police Criminelle crée en 1923 siège a Lyon ( France).190 pays membres, 6 BR( Bureau Régional), 1 Bureau de liaison a Bangkok
Plus en détailEtude de faisabilité sur la création d une Agence CEDEAO de garantie des investissements/de réassurance
Etude de faisabilité sur la création d une Agence CEDEAO de garantie des investissements/de réassurance Agence de garantie des investissements/de réassurance de la CEDEAO Etude de faisabilité Juin 2012
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailRésumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil?
Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Résumé de recherche : Affectation de crédit pour l'investissement, la stabilité et la croissance : Leçons tirées
Plus en détailTABLEAU SYNOPTIQUE DES INCITATIONS FISCALES
TABLEAU SYNOPTIQUE DES INCITATIONS FISCALES Réforme globale du Code Général des Impôts Fiche technique thématique Mesures Modalités pratiques Objectif poursuivi 1 Crédit d impôt pour investissement (Impôt
Plus en détailBOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution
Plus en détailETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L AFRIQUE DE L OUEST (BCEAO) Avenue Abdoulaye FADIGA BP 3108 Dakar - Sénégal ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR LES SYSTÈMES FINANCIERS DÉCENTRALISÉS DE L UEMOA RAPPORT DE
Plus en détailAmeth Saloum NDIAYE. Colloque régional UEMOA-CRDI 2009 1
Ameth Saloum NDIAYE CEPOD, Ministère de l Economie et des Finances, Sénégal Colloque régional UEMOA-CRDI, Ouagadougou, Burkina Faso, 8-10 décembre 2009 1 Problématique et justification Objectifs du papier
Plus en détailLes Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009
Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009 Rapport Conjoint Banque Africaine de Développement ET Global Financial Integrity Mai
Plus en détailLA FISCALITE, MAL AIMEE DE L EUROPE?
LA FISCALITE, MAL AIMEE DE L EUROPE? Prof. Dr. Isabelle Richelle Co-Présidente Tax Institute de l Université de Liège Isabelle.Richelle@Ulg.ac.be Collège Belgique Bruxelles, 5 décembre 2013 SOUVERAINETE
Plus en détailEdy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL
PRESENTATION DU PROJET/PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT PAR L'OCAL Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL Tunis, 22 24 Avril 2014 SOMMAIRE Introduction ti OCAL Expériences Description du projet Cadre de mise
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailméthodologiquem Quelques précautions
Atelier régional r méthodologiquem «Les prix de parité à l importation du riz et du maïs s en Afrique de l Ouestl» Quelques précautions Calculer des prix de parité en se basant sur les prix et les coûts
Plus en détailPROJET DE LOI. NOR : MAEJ1123829L/Bleue-1 ------ ÉTUDE D IMPACT
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère des affaires étrangères et européennes PROJET DE LOI autorisant l approbation de l avenant à la convention entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailPlans d Expansion des Capacités de Génération Hydroélectrique & de Transmission en Zone B du Pool d Energie de l Afrique de l Ouest, WAPP
1 Plans d Expansion des Capacités de Génération ydroélectrique & de Transmission en Zone B du Pool d Energie de l Afrique de l Ouest, WAPP Un Projet de la Communauté Economique des Etats de l Afrique de
Plus en détailEcobank annonce un résultat avant impôt de 520 millions $EU et un produit net bancaire de 2,3 milliards $EU pour l exercice 2014
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Ecobank annonce un résultat avant impôt de 520 millions $EU et un produit net bancaire de 2,3 milliards $EU pour l exercice 2014 Lomé, le 20 avril 2015 Ecobank Transnational Inc. («Ecobank»
Plus en détailAtelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie
Atelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie René AZOKLY/ Président du Fonds International de Garantie Les Fonds de Garantie en Afrique de l'ouest: Particularités,
Plus en détailINTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------
INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,
Plus en détailÀ la recherche des milliards perdus
eurodad À la recherche des milliards perdus Ou comment la transparence financière des entreprises peut contribuer au développement european network on debt and development Sommaire 03 Résumé Partie 1 :
Plus en détailLocalisez-les! Neutralisez-les! Recouvrez-les!
Le Groupe de Haut Niveau chargé de la question des Localisez-les! Neutralisez-les! Recouvrez-les! en provenance d Afrique Pourquoi l Afrique doit localiser et éliminer les flux financiers illicites, et
Plus en détailNOVEMBRE 2013. Dossier de presse. Société Générale, 1 er réseau de banque universelle. en Afrique au service des Entreprises
NOVEMBRE 2013 Dossier de presse Société Générale, COMMUNIQUÉ DE PRESSE Casablanca, le 21 novembre 2013 Présent dans 16 pays africains, le groupe Société Générale présente un positionnement unique, qui
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailPopulation : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013)
Disclaimer : Cette fiche pays ne constitue qu un outil de base destiné à présenter aux lecteurs une synthèse globale des régimes juridiques et fiscaux des entreprises d investissement à capital fixe. Elle
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME DU SECTEUR PRIVÉ
C O N F É R E N C E D E S N AT I O N S U N I E S S U R L E C O M M E R C E E T L E D É V E L O P P E M E N T LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME
Plus en détailDévelopper les échanges dans les services bancaires et d assurance au sein de la Zone monétaire de l Afrique de l Ouest
Développer les échanges dans les services bancaires et d assurance au sein de la Zone monétaire de l Afrique de l Ouest Afrique Notes de politique commerciale Note 24 Thilasoni Benjamin Musuku, Patrick
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN
CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT EMBARGO Le présent document ne doit pas être cité ou résumé par la presse, la radio, la télévision ou des médias électroniques avant le
Plus en détailFiscalité et financement du développement
SO M O Fiscalité et financement du développement Document d information de SOMO Octobre 2008 Les recettes fiscales nationales représentent une source indispensable pour le financement du développement.
Plus en détailLes incitants à l'épargne sont-ils équitables en Belgique?
Les incitants à l'épargne sont-ils équitables en Belgique? Fiscalité de l'épargne (1/2) Le Belge est, d'après les statistiques disponibles, un des meilleurs épargnants d'europe. Pourtant, plus d'un quart
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon
Plus en détailDéveloppement d une Norme de données ITIE
RÉUNION DE LA REVUE DE LA STRATÉGIE DE L ITIE, HENLEY, 11-12 AVRIL 2012 Développement d une Norme de données ITIE Document de fond Secrétariat international de l ITIE Oslo, 2 avril 2012 Sommaire 1. Résumé...
Plus en détailClimat des investissement et développement des entreprises pour l Emergence
Climat des investissement et développement des entreprises pour l Emergence Mamadou Lamine BA, Directeur Environnement des Affaires APIX Promoteur African Investment Academy 3 ème Salon international des
Plus en détailTROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE
ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE
Plus en détailUK Trade & Investment
UK Trade & Investment Présentation avril 2011 Le Royaume-Uni et l Irlande à votre portée Un excellent dossier pour attirer les investissements directs à l'étranger Le «stock» cumulatif des IDE du R.-U.
Plus en détailLa situation générale des opérations de transport sur les corridors de la Communauté Economique Des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO).
La situation générale des opérations de transport sur les corridors de la Communauté Economique Des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO). La CEDEAO La CEDEAO est un sous groupement qui avait en son sein
Plus en détailDOCUMENT DE STRATÉGIE D INTÉGRATION RÉGIONALE POUR L AFRIQUE DE L OUEST 2011-2015
BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT FONDS AFRICAIN DE DÉVELOPPEMENT DOCUMENT DE STRATÉGIE D INTÉGRATION RÉGIONALE POUR L AFRIQUE DE L OUEST 2011-2015 DÉPARTEMENTS RÉGIONAUX OUEST (ORWA/ORWB) DÉPARTEMENT
Plus en détailPOOL ÉNERGÉTIQUE. L OUEST : Planification et perspectives pour les énergies renouvelables
POOL ÉNERGÉTIQUE D AFRIQUE DE L OUEST : Planification et perspectives pour les énergies renouvelables Copyright IRENA 2013 Sauf indication contraire, le contenu du présent document peut être utilisé, partagé
Plus en détailDeuxième Examen global de l Aide pour le commerce
Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Activités de la Banque africaine de développement 2008-2009 Groupe de la Banque Africaine de Développement GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailL affacturage en Afrique : Opportunités et défis
L affacturage en Afrique : Opportunités et défis Par B.O. Oramah Vice président (développement commercial et financement de projet d'entreprise) Banque Africaine d'import-export Présenté au séminaire 2014
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailPAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE
Note Conceptuelle PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE La Tunisie renouvelle son engagement pour le développement et la prospérité de l'afrique et des pays arabes, par l'organisation de la 8ème édition de
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailMobilisation des ressources intérieures
Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Mobilisation des ressources intérieures Document de travail Neuvième Forum pour le développement de l'afrique Des finan cements innovants pour l a transformation
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT / INFORMATICIEN EN CONCEPTION DE BASE DE DONNEES.
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT / INFORMATICIEN EN CONCEPTION DE BASE DE DONNEES. Recruté par la Banque de Développement Autrichienne (OeEB) mai 2014 CONTEXTE / JUSTIFICATION La
Plus en détailIMPACT DE LA CRISE FINANCIÈRE ET ÉCONOMIQUE MONDIALE SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS
IMPACT DE LA CRISE FINANCIÈRE ET ÉCONOMIQUE MONDIALE SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS 2009 Bureau du Haut-Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral et les petits
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailSELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailSITUATION DES SERVICES FINANCIERS VIA LA TELEPHONIE MOBILE DANS L UEMOA
SITUATION DES SERVICES FINANCIERS VIA LA TELEPHONIE MOBILE DANS L UEMOA Année 2014 DIRECTION GENERALE DES OPERATIONS ET DES ACTIVITES FIDUCIAIRES Direction des Systèmes et Moyens de Paiement SITUATION
Plus en détailPlateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité
Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations
Plus en détailFRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat
UNITED NATIONS NATIONS UNIES FRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat Atelier de formation à la mise en oeuvre des programmes
Plus en détailIntroduction. Le Canada est un pays qui donne son plein rendement.
le 23 mars 2004 «tout au long de notre histoire, les Canadiens ont été animés par une idée bien simple : que nous avons la responsabilité de faire en sorte que nos enfants et nos petits-enfants aient une
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détailTHESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES
THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailréforme fiscalité indirecte de la Avant-projet Avril 06 1/14
réforme La fiscalité de la indirecte Avant-projet Avril 06 1/14 LA RÉFORME DE LA FISCALITÉ INDIRECTE I. UNE FISCALITÉ INDIRECTE A BOUT DE SOUFFLE 1.1. Le constat : une fiscalité archaïque et inadaptée
Plus en détailLA BEI EN AFRIQUE DE L OUEST
LA BEI EN AFRIQUE DE L OUEST APPUI AU DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE BEI Bureau Régional Afrique de l Ouest Cotonou, 16 décembre 2014 1 1 La BEI Instruments et Conditions 2 Activité et portefeuille 3 Stratégie
Plus en détailPerspectives sur le Besoin non satisfait en planification familiale en Afrique de l Ouest : le Togo
Perspectives sur le Besoin non satisfait en planification en Afrique de l Ouest : le Togo Conférence sur le Repositionnement de la Planification Familiale en Afrique de l Ouest le 15 au 18 février 25 Accra,
Plus en détailGHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le
Les relations commerciales de la Belgique avec le GHANA Cette note est également disponible sur le site internet de l Agence pour le Commerce extérieur : www.abh-ace.be P a g e 1 TABLE DES MATIÈRES 1 La
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE: BILAN, PERSPECTIVES ET CHOIX DES POLITIQUES ÉCONOMIQUES
UNCTAD/GDS/AFRICA/1 TD/B/48/12 CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE: BILAN, PERSPECTIVES ET CHOIX DES POLITIQUES ÉCONOMIQUES NATIONS UNIES
Plus en détailAppels à Investissement:
Africa Label Group S.A Faire mieux. Donner plus. Appels à Investissement: ALG Academy (E-learning): $ 150,000 ImaginAfrica (Solutions TIC): $ 50, 000 Investir dans un groupe en pleine expansion. Des secteurs
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailLOI N 023-2013/AN BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- PORTANT LOI D ORIENTATION DE L INVESTISSEMENT AU BURKINA FASO
BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- UNITE-PROGRES-JUSTICE CINQUIEME LEGISLATURE ----------- ASSEMBLEE NATIONALE LOI N 023-2013/AN PORTANT LOI D ORIENTATION DE L INVESTISSEMENT AU BURKINA
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur
AFRISTAT PROGRAMME DE COMPARAISON INTERNATIONALE-AFRIQUE Termes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur Contexte Au cours de l année 2004, AFRISTAT
Plus en détailDECISION N 2013-062 PORTANT AUTORISATION DE L'EMISSION DE L'EMPRUNT OBLIGATAIRE PAR PLACEMENT PRIVE "PETRO IVOIRE 7% 2013-2020"
Union Monétaire Ouest Africaine CL Conseil Régional de l'epargne Publique et des Marchés Financiers DECISION N 2013-062 PORTANT AUTORISATION DE L'EMISSION DE L'EMPRUNT OBLIGATAIRE PAR PLACEMENT PRIVE "PETRO
Plus en détailVers un durcissement des conditions d application de la Directive mère-filiale?
Vers un durcissement des conditions d application de la Directive mère-filiale? La commission européenne a publié le 25 novembre 2013 une proposition de modification de la directive n 2011/96/UE, autrement
Plus en détailGénération des forces de police Standards et Procédures
Génération des forces de police Standards et Procédures Forum régional de Yaoundé 8-10 novembre 2009 Participation aux OMP: pratiques et paramètres par Mody BERETHE Divison Police des Nations Unies/DOMP
Plus en détailLa fiscalité des revenus de l épargne
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Réunion plénière du 12 septembre 2002 «Retraite par répartition et compléments de retraite» Document n 9 La fiscalité des revenus de l épargne Conclusion du rapport
Plus en détailL éditorial. Le secrétariat de CGLU Afrique lance ce premier numéro «L Etat des
L éditorial Jean-Pierre ELONG-MBASSI Le secrétariat de CGLU Afrique lance ce premier numéro «L Etat des Finances Locales en Afrique» afin de comparer, pour la première fois, les principaux chiffres et
Plus en détailLa version 3.0 de Corman S
La version 3.0 de Corman S 0. Généralités Versions précédentes : Version 1.0, développée sur plate-forme MS-DOS, et exploitée de 1996 à 1999 sur un réseau local Novell NetWare Version 2.0, développée sur
Plus en détailTERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES Avril 2015 «GIM-UEMOA» GIE au capital de 9 528 790 000 F CFA RCCM : SN-DKR-2004-B-8649 NINEA : 24209832
Plus en détailPROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER
PROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER PREFACE Dans le cadre de la mise en œuvre et du renforcement de la politique d'intégration sous-regionale, le Conseil des Ministres
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------ La Commission ------------ Mars 2014 Table des matières Sigles et abréviations...3 Avant-propos...6 1. INTRODUCTION...9 2. METHODOLOGIE... 10
Plus en détailINTEGRATION ECONOMIQUE DES PAYS D AFRIQUE DE L OUEST. 29 mai 2008
INTEGRATION ECONOMIQUE DES PAYS D AFRIQUE DE L OUEST 29 mai 2008 Contrat 2007/147095 Pays bénéficiaire : Afrique de l Ouest Elaboré par Tiphaine Leurent Présenté par Les opinions exprimées dans ce rapport
Plus en détailLE MÉCANISME DE DÉVELOPPEMENT PROPRE LE MDP EN AFRIQUE FINANCEMENT ET SOUTIEN
LE MÉCANISME DE DÉVELOPPEMENT PROPRE LE MDP EN AFRIQUE FINANCEMENT ET SOUTIEN INTRODUCTION Dès 2006, les parties au protocole de Kyoto ont reconnu l'importance d'une répartition équilibrée des projets
Plus en détailBIENVENUE AU PARADIS DES ENTREPRENEURS
BIENVENUE AU PARADIS DES ENTREPRENEURS Les Emirats bénéficient d'une des économies les plus dynamiques au monde. Réputé pour sa beauté naturelle et son "art de vivre", Dubaï a également acquis la réputation
Plus en détail