- Contrôle des connaissances : - Examen de fin d'année : QR courtes (problème transversal), 30 minutes, note sur 14; - Note ED sur 6

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "- Contrôle des connaissances : - Examen de fin d'année : QR courtes (problème transversal), 30 minutes, note sur 14; - Note ED sur 6"

Transcription

1 10/02/2015 BUJON Solène L2 CR : CHABERT Julie BMCP Pr Autillo-Touati 12 pages Le cycle cellulaire Plan A. Le cycle cellulaire I. Le rôle du cycle cellulaire II. Contrôle du cycle cellulaire III. Rappel sur le cycle cellulaire B. Les points majeurs de contrôle du cycle cellulaire I. Le point de restriction R en G1 II. Mise en évidence expérimentale III. Méthode d'étude du cycle cellulaire C. Système de contrôle du cycle cellulaire I. Partenaires moléculaire II. Les cyclines III. Les CDK IV. Mode de fonctionnement des complexes CDK/cycline V. Régulation de l'activité des complexes Deuxième semestre : - 20 h de cours magistraux - 6 h de TP/ED : présence obligatoire - 3 ECTS 5 Système Européen de Transfert et Cumul des crédits) - Contrôle des connaissances : - Examen de fin d'année : QR courtes (problème transversal), 30 minutes, note sur 14; - Note ED sur 6 - ENT : plan et schémas du cours Problèmes résolus (annales, épreuves de 45 minutes) 1/12

2 A. Le cycle cellulaire I. Les rôles du cycle cellulaire - - Chez les Eucaryotes, il régule la croissance des cellules et leur nombre. Pour les organismes unicellulaires (levures), il régule les échanges et l'adaptation à l environnement. En revanche, pour les organismes pluricellulaires, il régule l équilibre entre les différentes populations cellulaires, ce qui permet de maintenir l'intégrité de l'organisme vivant, et cet équilibre est permis pas des facteurs intra et extra cellulaires. Le cycle cellulaire est donc fortement et finement régulé, et ceci est important pour la morphogenèse, le renouvellement des tissus (lié au vieillissement), la croissance physiologique et la réparation cellulaire (en cas de lésions). II. Contrôle du cycle cellulaire Le cycle cellulaire est finement régulé par l environnement cellulaire, grâce à des signaux prolifératifs (positifs) ou des signaux anti-prolifératifs (négatifs). Le système de contrôle, à différents niveaux, joue un rôle dans l avancée du cycle et dans l arrêt de celui-ci en cas d anomalie, notamment génétique, afin de ne pas la transmettre à la descendance (apoptose). Cela évite une prolifération anarchique des cellules, comme dans le cancer, qui correspond à une dysfonction du cycle au niveau de la croissance, de la différenciation et de la prolifération mais aussi de l'apoptose et de la sénescence. La cellule cancéreuse prolifère indéfiniment et est incapable de rentrer en apoptose ou en sénescence : elle acquiert en quelque sorte l'immortalité. - Leland HartWell est récompensé pour avoir la découverte d'une catégorie de gènes qui commandent le cycle cellulaire. L'un de ces gènes joue un rôle central dans le démarrage de chaque nouveau cycle, d'où son nom «start». Hartwell introduit également la notion de «points de contrôle» (checkpoints), conduisant à une approche novatrice du cycle cellulaire. - Paul Nurse a montré par des méthodes de gnétique et de biologie moléculaire l'un des facteurs clés de la régulation du cycle cellulaire, les kinases dépendantes des cyclines (CDK). Il a montré que la fonction des CDK s'est conservée tout au long de l'évolution. Les CDK activent le cycle cellulaire via des réactions de phosphorylation avec d'autres protéines. - Tim Hunt est récompensé pour la découverte des cyclines, les protéines qui régulent l'action des CDK. Il a mis en évidence leur dégradation au moment de la division cellulaire, mécanisme qui s'est avéré essentiel pour la régulation du cycle cellulaire. 2/12

3 III. Rappel sur la notion de cycle cellulaire En phase G1 : - La quantité d ADN est fixe. - La transcription et la traduction sont importantes. - Elle est obligatoire et de durée variable selon le type cellulaire (dont elle est caractéristique). - Elle peut conduire en phase G0. En Phase S : - La réplication de l ADN s effectue, sa quantité est doublée. - Il y a transcription et traduction des protéines nécessaires à la mitose. En phase G2 : - La quantité d ADN reste fixe. - Il existe une certaine transcription et traduction. En phase M : - Il s'agit de la phase de la division cellulaire. - La traduction des protéines est faible. En phase G0 : - C est un arrêt temporaire (cellule hépatique) ou définitif (neurone) du cycle. La cellule perd sa capacité à avancer dans le cycle, à se diviser. NB : Les cellules peuvent sortir de G0 et repasser en G1 grâce aux facteurs de croissance. Une phase G1 raccourcie permet des divisions plus rapides : c'est le cas des cellules cancéreuses. 3/12

4 B. Les points majeurs de contrôle du cycle cellulaire D'après cette figure, il peut exister un point d'arrêt au milieu de la phase G1, la séparant en deux parties à peu près identiques. Il s'agit du point R, et on parle de phase G1 pré- ou post-r. Il existe également des points de contrôle avant les phases S (G1/S) et M (G2/M). I. Le point de restriction R en G1 Pourquoi ce point R est-il important? Pour sortir de G0 ou avancer dans G1, les cellules filles doivent passer ce point, grâce à des facteurs de croissance (facteurs de l'environnement, extrinsèques). Ces signaux de prolifération qui interviennent par des voies de signalisation sont indispensables pour l'avancée du cycle à ce point R. La cellule a besoin d un signal positif de prolifération ; une fois ce point R dépassé la cellule n a plus besoin de facteurs de croissance pour évoluer, elle devient autonome. CR : Il est à noter que des facteurs de croissance peuvent être tout de même présents par la suite, mais ils ne sont plus indispensables pour l'avancée du cycle. Une cellule cancéreuse n a pas besoin de signal positif de prolifération, elle s en affranchit, elle peut produire ses propres signaux de croissance et se les adresser. Il faut bien faire la distinction entre le système de contrôle pour contrôler l avancée dans le cycle et la machinerie cellulaire (réplication, division cellulaire, ségrégation des chromosomes...). Le système de contrôle comporte un dispositif biochimique qui agit de façon cyclique formé d un ensemble de protéines interactives, et contrôlé par des freins qui peuvent arrêter le cycle au niveau des points de contrôle. Ces complexes sont les complexes cycline/cdk. 4/12

5 Le contrôle du cycle cellulaire est effectué par : les cyclines et les CDK: de la phase G1 ; de la transition G1/S et S ; de la phase M. mais également par l Anaphase-Promoting Complex (APC) qui est une ubiquitine-ligase intervenant au cours de la mitose. Le contrôle de qualité est représenté par deux formes différentes : Tout d'abord il existe des points de contrôle des dommages de l'adn, présents avant l'entrée en phase S (en G1), puis au cours de S et enfin après la réplication de l ADN (donc en G2). Par ailleurs, un point de contrôle du fuseau intervient au cours de la métaphase. La cellule possède des outils permettant de détecter les anomalies de l ADN et interrompre le cycle : la protéine p53, des kinases, que sont l'atm et l'atr (Ataxia Telangiectasia Mutated ou Related) et Chk1 et 2 (Checkpoint protein Kinase) et enfin le troisième outil est la protéine MAD (Mitose Arrest Deficient). La surveillance des dommages de l ADN se fait pendant tout le cycle cellulaire alors que la réplication de l ADN se fait au cours de la phase S. II. Mise en évidence expérimentale L'étude des œufs de crapaud Xénope a permis de comprendre le déroulement du cycle cellulaire et les points de contrôle. En effet, dans les premières phases on peut rapidement observer des divisions : les cellules ont un apport en énergie important (nutriments). Ces divisions ont ensuite été montrées chez l Homme. La mise en évidence du contrôle du cycle cellulaire consiste ici en des expériences de fusion entre deux cellules à des stades différents de leur cycle. Dans la première condition, on a fusionné une cellule en phase S (réplication de l'adn) avec une cellule en phase G1, ce qui forme un hétérocaryon. On observe alors que le noyau G1 entre en phase S : la cellule en S produit donc des facteurs induisant l'avancée en phase S. Dans la deuxième condition, l'hétérocaryon est formé de la fusion d'une cellule en S avec une cellule en G2 (ADN déjà répliqué). Dans ce cas, le noyau en G2 ne change pas de phase et le noyau en S poursuit son programme. Le facteur agissant en S n'a pas d'action sur les cellules en G2. Dans la troisième condition, on a fusionné une cellule en G1 avec une cellule en G2. Le noyau G2 est resté en G2 et le noyau en G1 a poursuivi son programme. 5/12

6 La conclusion de cette expérience est qu'il existe un facteur inducteur de la phase S qui est produit pendant celle-ci. Les cellules sont capables de contrôler l'enchaînement des réplications : il ne peut pas y avoir deux réplications ; la cellule doit être en G1 pour avancer en phase S. Ce facteur inducteur est le facteur SPF ; il permet de déclencher l entrée en phase S d'une cellule en G1 et disparaît en fin de phase S. Il n est pas présent en phase G2. Il n'existe pas d'inhibiteur en phase G2. SPF est en réalité une kinase qui, pour être active, doit être complexée à une cycline, produite de façon temporaire. Mais le SPF ne peut induire la réplication que dans des cellule compétente Les cellules en phase S sont capables d'induire in vitro la réplication à l'aide d'une kinase : CDC2. De plus, il existe un contrôle de l'achèvement de la réplication (check-point) : la mitose ne sera activée que lorsque l'adn sera entièrement répliqué. En résumé, il n' y a qu'une réplication par cycle cellulaire. La réplication est obligatoire pour l'entrée en mitose. Le SPF ne peut induire la réplication que dans les cellules compétentes (G1). Les cellules doivent passer par la mitose pour devenir compétentes. 6/12

7 On identifie un autre facteur : le facteur promoteur de la phase M MPF. La fusion d'une cellule en M et d'une autre en G1 accélère l'avancée du cycle du noyau G1. On observe une condensation des chromosomes et l'entrée en mitose des cellules, qu'elles soient en phase G1, S ou G2. MPF a été purifié à partir d'ovocytes de Xénope. Il est présent dans les cellules en phase M. Il s'agit là aussi d' un complexe CDK/cycline. Ce facteur est inactif en interphase et actif en mitose. Par approche biochimique, on a pu détecter l activité de ces facteurs (MPF et cycline) et l'on peut voir que leur activité se chevauche : les cyclines sont produites de façon cyclique, selon leur phase d'appartenance, et sont totalement dégradées après utilisation. Les cyclines A et B sont très présentes en mitose et diminuent dans l'interphase. La cycline du facteur promoteur S est bien différente de celle du facteur promoteur M. Les CDK ne sont pas produites de façon séquentielle comme leurs cyclines. Il faut bien retenir que ce qui est actif, c'est le complexe cycline/cdk. III. Méthode d'étude du cycle cellulaire Le BrdU (bromodéoxyuridine, analogue de l'uridine) est un marqueur des cellules en division. Celles-ci incorporent le BrdU fluorescent après injection : on peut ainsi visualiser ces cellules en mitose par fluorescence. Ceci permet notamment de déterminer le pourcentage de cellules en division. On utilise pour cela des souris wild-kind et des souris KO pour un gène induisant l'apoptose, sur lesquelles on fait un marquage au BrdU. La cytométrie de flux permet de "trier les cellules en fonction de leur contenu en ADN", c'est-à-dire déterminer le pourcentage de cellules dans les différentes phases du cycle cellulaire. On peut donc pa exemple évaluer les capacités de prolifération d'un tissu tumoral. Dans l'exemple on a : 5 à 10 % des cellules en phase S 10 à 20% en phase G2 70% en G1 Dans un tissu cancéreux, les pourcentages sont modifiés : il y a plus de cellules en M et en S, et moins en G1. 7/12

8 C. Système de contrôle du cycle cellulaire I. Les partenaires moléculaires Les partenaires moléculaires du contrôle du cycle cellulaire sont : Les cyclines Les Cdk : kinases dépendantes des cyclines Ces deux partenaires fonctionnent en complexe et sont régulés par d'autres protéines : CAK (Cdk-activatng kinase) et KAP (kinase interacting phosphatase) Wee 1 (kinase) et Cdc25 (phosphatase) II. Les cyclines Les cyclines sont produites de façon cyclique à différents moments du cycle. Elles sont synthétisées puis sont complexées aux CDK correspondantes pour ensuite être dégradées. Cette famille de molécule est souvent mutée dans les cancers. Les inhibiteurs du cycle cellulaire agissent sur les cyclines. Il existe des cyclines de la phase G1, de la transition G1/S, de la phase S et de la phase M. On distingue les cyclines mitotiques A ou B et les cyclines Start de la transition G1/S. Cependant toutes les cyclines possèdent un domaine «cycline box» conservé dans l'évolution. Les cyclines start ont en plus une séquence PEST qui permet une dégradation plus rapide. La régulation des cyclines se fait au niveau de leur synthèse, de leur dégradation et de leur localisation (nucléaire ou cytoplasmique). Par exemple : la cycline B est localisée dans le cytoplasme en hase G2 et passe dans le noyau juste avant la mitose pour devenir active. La cycline A quant à elle augmente progressivement en fin d'interphase et subit une dégradation brutale à la fin de la mitose. La synthèse de cycline B régule le cycle cellulaire. En effet, si l'on traite expérimentalement des cellules avec une ARNase (enzyme de dégradation des ARN), les ARNm des cyclines sont dégradés : il n'y a pas de production de cyclines mitotiques (notamment la cycline B) et les cellules sont arrêtées en interphase. Si l'on ajoute l'arn de la cycline B dans ces cellules, il y a reprise du cycle. De plus, si l'on traite des cellules normales avec des oligonucléotides ou par des ARN antisens sélectifs des ARNm des cyclines B, il y a arrêt du cycle en interphase. 8/12

9 Pour sortir de la mitose la cycline B doit être dégradée. On le démontre dans une expérience où les cellules sont exposées à la cycloheximide, inhibiteur de la synthèse protéique : en ajoutant de l'arnm de la cycline B, on observe une reprise du cycle cellulaire, la mitose, un pic de cycline B et une augmentation de l'activité du facteur MPF (CDK/cycline). Si l'on met un ARNm de cycline B mutée non hydrolysable, on voit que la cycline s'accumule et la cellule est bloquée en mitose. La dégradation de la cycline mitotique B est donc bien indispensable à la sortie de mitose. III. Les CDK Les CDK, pour être actives, doivent être complexées à leur cycline correspondante. Elle vont pouvoir alors exercer leur fonction de phosphorylation sur d'autres substrats. Régulation de l'entrée en mitose : Cdk1 La CDK1 (CDC2) va phosphoryler les lamines, protéines intermédiaires nucléaires qui sont propres à toutes les cellules possédant un noyau et qui permettent l'assemblage de l'enveloppe nucléaire. Leur phosphorylation permet le désassemblage. Le complexe CDK/cycline va également phosphoryler les protéines Rab 1 et Rab 4 qui sont impliquées dans la fusion vésiculaire des saccules du Golgi. En inhibant ces protéines il va y avoir des bourgeonnements du Golgi qui s'accumulent sous forme de vésicules ; cela donne l'aspect complètement fractionné de l'appareil de Golgi durant la mitose. Le complexe CDK/cycline va également jouer un rôle dans la dynamique des microtubules en modifiant leur longueur (très longs et dispersés en interphase, courts et dynamiques avec la cycline A/CDC2 en prophase, très courts et très dynamiques avec la cycline B/CDC2 en métaphase) afin d'organiser le fuseau mitotique indispensable à la division. Le complexe CDK/cycline va aussi phosphoryler certains facteurs d'amorce de la réplication et donc de l'entrée en phase S. Ségrégation des cellules filles : cytodiérèse Plus tardivement, les complexes CDK/cycline mitotiques phosphorylent les chaînes légères des myosines, induisant la formation et le resserrement d'un anneau contractile d'actine pour séparer le cytosol des cellules filles. Franchissement du point R Plus précocement, le complexe permet le franchissement du point R en phosphorylant une protéine frein du cycle cellulaire :PRB. Il s'agit d'une protéine à l'origine de rétinoblastomes chez l'enfant. Quand PRB est active, elle séquestre un facteur de régulation de la transcription (E2F) qui induit l'entrée en phase S. Le complexe CDK/cycline de la phase G1 précoce entraîne une phosphorylation de PRB, qui libère E2F et celui-ci va agir sur des transgènes nécessaires à l'entrée en phase S. Le franchissement du point R est donc bloqué par PRB. La détection de PRB est possible par Western blot avec un anticorps qui détecte la forme phosphorylée de PRB. On observe une augmentation de PRB phosphorylé dans les rétinoblastomes. 9/12

10 IV. Mode de fonctionnement des complexes CDK/cycline Le complexe CDK/cycline agit en phosphorylant des protéines cibles (substrats) par transfert d'un groupement phosphate de l'atp sur une thréonine ou une sérine du substrat. Toutes les CDK sont caractérisées par deux poches de fixation : l'une pour la protéine cible, l'autre pour l'atp. C'est la liaison à la cycline qui rend ces deux poches accessibles à l'atp et au substrat. Ex : cdk1/ cycline B Sur Cdk1 il existe 3 sites de phosphorylation importants à l'activation : thréonine 160, thréonine 14 et tyrosine 15. La liaison à la cycline B permet la phosphorylation de ces 3 sites.mais le complexe n'est pas encore actif. Pour l'activer il faut que des phosphatases déphosphorylent deux sites (thréonine 14 et tyrosine 15). Le complexe est donc actif seulement quand il est monophosphorylé (sur la thréonine 160) et la déphosphorylation de ce site permet la dissociation de la cycline, qui est alors rapidement dégradée. Il est important de retenir que ce qui active le complexe CDK1/cycline B est commun à tous les complexe CDK/Cycline et correspond à une déphosphorylation par CDC25 qui représente une famille ed phosphatases (qui interviennent à différents moments du cycle). Pendant les phases G1 et S il se constitue un pool de cyclines liées à CDK1, phosphorylée sur trois acides aminés (donc inactive) par deux kinases : la protéine Wee 1 (sur deux sites) et CAK (sur la thréonine 160). CAK est également un complexe CDK/cycline. Cdc 25 vient ensuite déphosphoryler les acides aminés précédemment phosphorylés par Wee1, ce qui active le complexe cycline B/CDK1. Cd25 active la progression du cycle cellulaire et est donc surexprimée dans certains cancers (lymphome, cancer du sein, poumon). 10/12

11 Rôle de cdc25 et Wee1 : CAK est une kinase activatrice du facteur MPF, et Wee1 est considérée comme une kinase inhibitrice de MPF. Cdc25 entraîne au contraire une déphosphorylation activatrice. Expérimentalement on peut obtenir des levures mutées où cdc25 est inhibée, les levures ne se divisent plus et la conséquence est une augmentation importante de leur taille. Quand on mute Wee1 la levure se divise de plus en plus, il en résulte donc une diminution de sa taille. Étapes de la régulation des CDK Liaison de la cycline (régulée par sa synthèse et dégradation) Phosphorylation activatrice de CAK pour la liaison au substrat Phosphorylation inhibitrice par Wee1 Déphosphorylation activatrice par les phosphatases CDC25 pour activer le complexe Déphosphorylation inhibitrice par la phosphatase KAP pour désactiver le complexe Inhibition par des protéines inhibitrices A chacune de ces étapes la qualité de l'adn est contrôlée et le déroulement du cycle est stoppé en cas d'anomalie. V. Régulation de l'activité des complexes Il existe des protéines inhibitrices des CDK appartenant à deux grandes familles Famille CIP/KIP Famille INK4 Les différents inhibiteurs sont sous la dépendance de p53 pour p21, mais aussi, pour p16 et p27, du TGF β (facter de croissance) qui active la production d'un inhibiteur du cycle. NB : Les facteurs de croissance n'ont donc pas toujours des actions positives, comme on l'a longtemps cru. Le TGF β est ici négatif, c'est donc une protéine "à double visage"... La famille INK4 (inhibitor of kinase 4) Elle agit sur les CDK4 qui interviennent en phase G1 exclusivement. Donc les facteurs de la famille INK4 sont inhibiteurs de la phase G1. ex : Les plus communs sont p16 et p15 qui empêchent la formation du complexe cycline D1/CDK 4 en se fixant à CDK4. Ce sont des inhibiteurs spécifiques de la phase G1. A partir du locus de p16, p19 ARF peut être produite : elle joue un rôle dans le processus de sénescence en agissant sur PRB. La famille CIP/KIP p21 et p27 agissent tout au long du cycle.elles inhibent mais ne dissocient pas le complexe cdk/cycline au contraire de p16 et p15. P21 et p 27 peuvent se lier à n'importe quel complexe. P21 peut également se lier au pcna ce qui déstabilise la réplication et arrête le cycle. En effet le pcna est un stabilisateur de l'adn polymérase dans la réplication. Il existe donc différents niveaux de régulation du cycle cellulaire. 11/12

12 Dédicace à Mathilde par ce que tu es juste au top! Je te dévoue à toi et ta douche toute ma gratitude et mon adoration!!!!! cœur cœur papillon à tout le monde et spéciale pensée toute particulière pour tous ces fous du BrCa! <3 CR : Vive le retour de la BMCP. Youpitralalapouêtpouêt. 12/12

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Séquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN

Séquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une

Plus en détail

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps

Plus en détail

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente

Plus en détail

Vieillissement moléculaire et cellulaire

Vieillissement moléculaire et cellulaire Vieillissement moléculaire et cellulaire Yves Courtois Lorsque, en 1961, Léonard HAYFLICK, aux USA, re - mit en cause le concept général de l'immortalité des cellules, il apportait à la recherche en gérontologie

Plus en détail

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

Le cycle de division cellulaire et sa régulation

Le cycle de division cellulaire et sa régulation Oncologie (2003) 5: 311-326 pringer-verlag 2003 311 Le cycle de division cellulaire et sa régulation L. eijer Équipe Cycle Cellulaire, CNR, tation Biologique, F-29680 Roscoff, France ORIGINAL Résumé :

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Tableau 1. Liste (non exhaustive) des protéines se localisant dans les P-Bodies

Tableau 1. Liste (non exhaustive) des protéines se localisant dans les P-Bodies NOM FONCTION EFFET DE L ABSENCE OU DE REFERENCES LA SUREXPRESSION SUR LES P- BODIES XRN1 exonucléase 5 3 Absence : augmente la taille et le Bashkirov et al. 1997 Shet et Parker 2003 Cougot nombre des P-bodies

Plus en détail

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne

Plus en détail

THESE. présentée DEVANT L UNIVERSITE DE RENNES I. Pour obtenir. Le grade de : DOCTEUR DE L UNIVERSITE DE RENNES I. Mention : Biologie PAR

THESE. présentée DEVANT L UNIVERSITE DE RENNES I. Pour obtenir. Le grade de : DOCTEUR DE L UNIVERSITE DE RENNES I. Mention : Biologie PAR Avertissement Au vu de la législation sur les droits d'auteur, ce travail de thèse demeure la propriété de son auteur, et toute reproduction de cette oeuvre doit faire l'objet d'une autorisation de l'auteur.

Plus en détail

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le

Plus en détail

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du

Plus en détail

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr

Plus en détail

Biochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst

Biochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire

Plus en détail

ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES. Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83

ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES. Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83 ORIGINE ET DIFFERENTS TYPES DE RYTHMES BIOLOGIQUES Carine Bécamel carine.becamel@igf.cnrs.fr 04 67 14 29 83 INTRODUCTION Rythmes biologiques: définition Tout être vivant (humain, animal, végétal) est soumis

Plus en détail

University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et. Kanagawa Academy of Science and Technology

University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et. Kanagawa Academy of Science and Technology COMMUNIQUÉ DE PRESSE le 25 mars 2014 Une étude conjointe menée par University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et Kanagawa Academy of Science and Technology suggère que le sirop

Plus en détail

Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre

Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence

Plus en détail

PROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES

PROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES Leçon 11 PROBLEMES D'ORDONNANCEMENT AVEC RESSOURCES Dans cette leçon, nous retrouvons le problème d ordonnancement déjà vu mais en ajoutant la prise en compte de contraintes portant sur les ressources.

Plus en détail

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006 La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et

Plus en détail

I. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie

I. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)

Plus en détail

voies de signalisation

voies de signalisation Olivier Lascols Faculté de Médecine ierre et Marie Curie Généralités s sur les voies de signalisation 1 I. Caractérisation risation d une d voie de transduction d un d signal Exemple du Signal Mitogénique

Plus en détail

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail

Cordarone et Thyroïde par François Boustani

Cordarone et Thyroïde par François Boustani Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Cytokines & Chimiokines

Cytokines & Chimiokines Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur

Plus en détail

Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant

Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Parcours: Master 1 : Bioinformatique et biologie des Systèmes dans le Master

Plus en détail

Thérapies ciblées en Onco-Hématologie

Thérapies ciblées en Onco-Hématologie Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe

Plus en détail

Guide de fonctions du téléphone du système SCI Norstar

Guide de fonctions du téléphone du système SCI Norstar Guide de fonctions du téléphone du système SCI Norstar Renseignements généraux Cette fiche sert de référence rapide pour accéder aux fonctions de votre poste. Votre coordinateur de système vous avisera

Plus en détail

DECODER LES GRAFCET ET REPERER LES DIFFERENTS POINTS DE VUE

DECODER LES GRAFCET ET REPERER LES DIFFERENTS POINTS DE VUE MI V B DECODER LES GRAFCET ET REPERER LES DIFFERENTS POINTS DE VUE Maintenance industrielle Niveau V CAFOC - GIP de l académie de Lyon - 9, rue Pierre Baizet - CP - 696 Lyon cedex 9 7 9 8-78 7 7 - gipal-cafoc@ac-lyon.fr

Plus en détail

http://www.neur-one.fr/ Cerveau & Psycho - N 28

http://www.neur-one.fr/ Cerveau & Psycho - N 28 1 Cerveau & Psycho - N 28 Les souvenirs sont gravés dans la mémoire sous forme de combinaisons particulières de modifications de synapses, les jonctions entre neurones. Ces modifications doivent être consolidées,

Plus en détail

Tutoriel - flux de facturation

Tutoriel - flux de facturation 1 of 12 17.01.2007 01:41 Tutoriel - flux de facturation Le schéma ci-dessous illustre le flux de facturation classique : Lors de la création d'une facture, elle possède l'état de brouillon, ce qui veut

Plus en détail

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection

Plus en détail

Enseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours

Enseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2004-2005 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie

Plus en détail

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/

Plus en détail

Utilisation des substrats énergétiques

Utilisation des substrats énergétiques Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...

Plus en détail

ANTIVIRAUX ET INTERFERONS LES ANTIVIRAUX

ANTIVIRAUX ET INTERFERONS LES ANTIVIRAUX ANTIVIRAUX ET INTERFERONS LES ANTIVIRAUX La thérapeutique antivirale progresse avec lenteur car elle s'attaque à des micro-organismes ne se multipliant qu'à l'intérieur des cellules vivantes dont ils détournent

Plus en détail

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie

Plus en détail

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions

Plus en détail

TRANSFORMEZ VOTRE IMPÔT EN DON

TRANSFORMEZ VOTRE IMPÔT EN DON TRANSFORMEZ VOTRE IMPÔT EN DON Transformez votre impôt en don! Particuliers, au titre de l ISF, vous bénéficiez d une réduction d impôts de 75% du montant du don, dans la limite de 50 000. Vous avez 1000

Plus en détail

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.

Plus en détail

Enseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours

Enseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2009-2010 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie

Plus en détail

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition 09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation

Plus en détail

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Glossaire La terminologie propre au projet, ainsi que les abréviations et sigles utilisés sont définis dans le Glossaire. Approbation Décision formelle, donnée

Plus en détail

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système

Plus en détail

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

Effets électroniques-acidité/basicité

Effets électroniques-acidité/basicité Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Hiver 2013. Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes

Hiver 2013. Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes Hiver 2013 Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les

Plus en détail

Physiopathologie : de la Molécule à l'homme

Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Mention Sciences du Vivant Spécialité de Master : Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Pourquoi, comment, combien, contourner, greffer, restaurer, inhiber, suppléer Responsables : Dr Gilles Prévost

Plus en détail

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES

Plus en détail

Séquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire

Séquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences

Plus en détail

Introduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes.

Introduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes. Introduction L'objectif de mon TIPE est la reconnaissance de sons ou de notes de musique à l'aide d'un réseau de neurones. Ce réseau doit être capable d'apprendre à distinguer les exemples présentés puis

Plus en détail

Contrôle de l'expression génétique :

Contrôle de l'expression génétique : Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et les protéines? gène protéine L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et

Plus en détail

Univers Vivant Révision. Notions STE

Univers Vivant Révision. Notions STE Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,

Plus en détail

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

Qu est-ce que la PACES?

Qu est-ce que la PACES? Qu est-ce que la PACES? Depuis la rentrée 2010, et selon l arrêté du 28 octobre 2009 publié au journal offi ciel du 17 novembre 2009, les premières années de médecine et de pharmacie, ainsi que celles

Plus en détail

Gènes du développement et structuration de l organisme

Gènes du développement et structuration de l organisme 03-Gènes du développement_00/maquette imports 19/01/10 10:45 Page99 Revue des Questions scientifiques, 2010, 181 (1) : 99-110 Gènes du développement et structuration de l organisme René Rezsohazy Unité

Plus en détail

VI- Expression du génome

VI- Expression du génome VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de

Plus en détail

Observation des modalités et performances d'accès à Internet

Observation des modalités et performances d'accès à Internet Observation des modalités et performances d'accès à Internet Avant-propos La base de cette étude est constituée par les informations collectées par l'outil Cloud Observer d'iplabel (chargement des différents

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) 3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.

Plus en détail

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us? Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris

Plus en détail

Formavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...

Formavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB... Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

Les tests génétiques à des fins médicales

Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l

Plus en détail

Vue d'ensemble OBJECTIFS

Vue d'ensemble OBJECTIFS Vue d'ensemble Créez des plans de projet plus aboutis en apprenant à utiliser les interdépendances (ou liens) des tâches, les retards et les avances dans Microsoft Office Project 2007. OBJECTIFS À la fin

Plus en détail

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire

Plus en détail

Les réseaux cellulaires vers la 3G

Les réseaux cellulaires vers la 3G Les réseaux cellulaires vers la 3G Introduction Master 2 Professionnel STIC-Informatique Module RMHD 1 Introduction Les premiers réseaux téléphoniques cellulaires, connus sous le terme de système de 1ère

Plus en détail

Conditions Générales Assurance Auto Top Circulation et Top Occupants

Conditions Générales Assurance Auto Top Circulation et Top Occupants Conditions Générales Assurance Auto Top Circulation et Top Occupants Table des matières 1. Qu'entend-on par? 2 Page 2. Qui est assuré? 2 3. Quand est-on assuré? 3.1. Formules 2 3.2. Extensions de garantie

Plus en détail

UNIVERSITÉ DE NANTES FACULTÉ DE PHARMACIE ÉCOLE DOCTORALE CHIMIE-BIOLOGIE

UNIVERSITÉ DE NANTES FACULTÉ DE PHARMACIE ÉCOLE DOCTORALE CHIMIE-BIOLOGIE UNIVERSITÉ DE NANTES FACULTÉ DE PHARMACIE ÉCOLE DOCTORALE CHIMIE-BIOLOGIE Année 2006 N attribué par la bibliothèque Étude de nouvelles cibles moléculaires de cancer bronchopulmonaire non à petites cellules

Plus en détail

Conception d'applications de base de données ios plus rapides Guide Pratique FileMaker

Conception d'applications de base de données ios plus rapides Guide Pratique FileMaker Conception d'applications de base de données ios plus rapides Guide Pratique FileMaker Table des Matières Introduction... 3 Conception de modèles... 3 Conception de bases de données... 5 Conception pour

Plus en détail