1. Résoudre les systèmes différentiels. 2. Résoudre le système différentiel. 3. Soit l équation différentielle (E) : x (3) 5 x + 7 x 3 x = 0.
|
|
- Martial Bossé
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 08/09 Feuille 4 { x = 4 x y { x = 4 x y + t. Résoudre les systèmes différentiels. Résoudre le système différentiel y = x + y x = x y y = x + y + z z = x + y et y = x + y, t étant la variable. 3. Soit l équation différentielle (E : x (3 5 x + 7 x 3 x = 0. (a Montrer qu il existe A M 3 (R telle que A x x x = x. x x (3 (b Montrer que A est semblable à T = (c Résoudre l équation différentielle. 4. Soit l équation différentielle (E : ( x ln x y y x ln x + x = 0. Montrer que la fonction x x est solution de (E sur R +. Déterminer toutes les solutions de (E sur R Résoudre sur R l équation différentielle (E : y + 4 y = 3 x sin x. 6. Résoudre sur R l équation différentielle (E : y y + y = e x. 7. Soit l équation différentielle (E : x (x y + 3 x y + y = 0. (a Déterminer les solutions de (E développables en série entière à l origine. Déterminer la somme des séries entières obtenues ci-dessus. (b Est-ce que toutes les solutions de (E sur ]0, [ sont les restrictions d une fonction développable en série entière en l origine? 8. Soit l équation différentielle (E : x y (x x y (x + (x + y(x = 0. Déterminer une solution y de (E développable en série entière au voisinage de 0. Résoudre (E sur R Soit l équation différentielle (E : x y + ( x y y = 0. (a Déterminer des solutions de (E développables en série entière au voisinage de 0. (b Résoudre (E sur R Soit l équation différentielle (E : ( + x y y = 0. (a Déterminer une solution de (E sur R sous forme de polynôme. (b Résoudre (E sur R.. Soit l équation différentielle y + y + y e x = 0. Trouver un changement de variable qui transforme cette équation en une équation à coefficients constants. La résoudre.
2 08/09 Feuille 4. Soit E = C (R, R, P le sous-espace de E des fonctions paires et I le sous-espace de E des fonctions impaires. (a Montrer que P et I sont supplémentaires dans E. (b Soit p P. Que dire de p? Existe-t-il une réciproque? (c Déterminer les f E telles que : x R, f (x + f( x = + sin(x.
3 08/09 Feuille 4 3 Indications.. Premier système. Méthode matricielle en diagonalisant. Second système. Écrire le système X = A X +B, puis P X = D P X +P B. Dans ce cas on a besoin de connaître P. Pour résoudre les deux équations différentielles, on cherche une solution particulière sous la forme d une fonction polynômiale de degré.. Méthode matricielle en diagonalisant. 3. (a Sans difficulté. (b Pour obtenir les colonnes et 3 de T, on peut prendre comme vecteurs propres ε = (,, et ε 3 = (, 3, 9. Puis pour la colonne, on cherche un troisième vecteur ε = (a, b, c tel que f(ε = ε + ε. (c On a P A P = T. On pose Y = P X. Le système différentiel devient Y = T Y. 4. Résoudre l équation sur ]0, [ et sur ], + [. Supposer ensuite que y est solution de l équation différentielle sur ]0, + [. Utiliser la continuité et la dérivabilité en. 5. Pour chercher une solution particulière de (E, on peut écrire y + 4 y = 6 x 6 x cos(x. Puis on utilise le théorème de superposition. Pour y + 4 y = 6 x cos(x, on utilise l équation y + 4 y = 6 x e i x. 6. Résolution d abord sur R et sur R +. On cherche ensuite les solutions sur R par recollement. La fonction doit être continue en 0, dérivable en 0 et deux fois dérivable en (a On considère une fonction y développable en série entière : y(x = a n x n avec un rayon R > 0. Par équivalence, on montre que y est solution de (E sur ] R, R[ si, et seulement si, la suite (a n vérifie une relation entre a n+ et a n. Déterminer a 0 puis a n en fonction de a. (b Que peut-on dire de l ensemble des solutions de (E sur ]0, [? Raisonner par l absurde. 8. On considère une fonction y développable en série entière : y(x = a n x n avec un rayon R > 0. Par équivalence, on montre que y est solution de (E sur ] R, R[ si, et seulement si, a 0 = 0 et a n et a n+ vérifient une relation de récurrence. Déterminer a k en fonction de a et a k+ en fonction de a. On en déduit les fonctions développables en série entière en vérifiant bien que le rayon de convergence n est pas nul. Reconnaitre le développement de fonctions usuelles. Que peut-on dire de l ensemble des solutions sur R +? Comme on a deux degrés de liberté (a et a, on peut en déduire deux solutions distinctes y et y. Montrer que (y, y est une base de l ensemble des solutions sur R On considère une fonction y développable en série entière : y(x = a n x n avec un rayon R > 0. Par équivalence, on montre que y est solution de (E sur ] R, R[ si, et seulement si, a = a 0, et pour n, a n+ =... en fonction de a n. Pour n, exprimer a n en fonction de a. En déduire les fonctions développables en série
4 08/09 Feuille 4 4 entière. Que peut-on dire de l ensemble des solutions sur R +? Comme on a deux degrés de liberté (a 0 et a, on peut en déduire deux solutions distinctes y et y. Montrer que (y, y est une base de l ensemble des solutions sur R (a Considérer une fonction polynômiale y(x = les séries entières. a k x k, avec a p 0. Utiliser la même méthode que pour (b Connaissant une solution qui ne s annule pas, on peut utiliser la méthode de la variation de la constante. On a une primitive à déterminer : ( + x dx = + x ( + x dx x ( + x dx = intégrale se calculant par une méthode usuelle de calcul intégral. + x dx x ( + x x dx, la dernière. Soit y une fonction de classe C sur R. Poser z(t = y ( ϕ(t, où ϕ est une fonction bijective et de classe C. En notant ψ sa bijection réciproque, on a y(x = z ( ψ(x. Remplacer dans l équation différentielle. En déduire une fonction ψ qui convienne. Résoudre en utilisant ce changement de variable.. (a Déterminer P I, puis, pour tout f, chercher g paire et h impaire telles que f = g + h. (b Dériver p( x = p(x. Pour la réciproque, si g est impaire, utiliser G : x x a g(t dt. (c Supposer que f appartient à C (R, R, et soit solution de l équation différentielle. Utiliser la décomposition f = g + h trouvée à la première question, puis déterminer deux équations différentielles vérifiées par g et h. Les résoudre.
5 On a { ε = e + e 08/09 Feuille 4 5 Solutions.. Premier système. On introduit la matrice A = ( 4. On a χ A (X = (X (X 3 Le sous espace propre associé à la valeur propre est la droite vectorielle dont une base est ( (,. Le sous espace propre associé à la valeur propre 3 est la droite vectorielle dont une base est ( (,. ( x On pose X =. On a y X = A X ( ( 0 D autre part, en posant P =, on a P A P = D =. 0 3 Donc X = P D P X, soit P X = D P X ( { u u = u Si on pose Y = = P v X, on a Y = D Y. On en déduit v = 3 v On en déduit que { α R, t R, u(t = α e t Comme X = P Y, on en déduit que : β R, t R, v(t = β e 3t (α, β R, t R, { x(t = α e t + β e 3t y(t = α e t + β e 3t La solution générale est : R R, t α e t ( + β e 3t ( On a un espace vectoriel de dimension engendré par les deux fonctions : R R, t e t (, R R, t e 3t ( Second système. On utilise à nouveau la matrice A, et on pose X = On a ( x. On introduit B = y X = A X + B Avec la matrice P comme ci-dessus, on a X = P D P X + B, soit P X = D P X + P B Pour la résolution de cet second système, on a besoin de connaître P. ( t. 0 Interprétons P comme une matrice de passage d une base (e, e à une base (ε, ε. ε = e + e
6 On obtient sans difficulté { e = ε + ε 08/09 Feuille 4 6 D où ( u Si on pose Y = = P v X, on a On en déduit e = ε ε P = Y = D Y + ( ( t t { u = u t v = 3 v + t Pour résoudre ces deux équations différentielles, on cherche une solution particulière sous la forme d une fonction polynômiale de degré : t a t + b. On obtient α R, t R, u(t = α e t + t + 4 β R, t R, v(t = β e 3t 3 t 9 Comme X = P Y, on en déduit que : (α, β R, t R, La solution générale est : ( ( R R, t α e t + β e 3t x(t = α e t + β e 3t 6 t + 36 y(t = α e t + β e 3t + 6 t ( 6 t + 36 On a un espace affine de dimension, et de direction l espace vectoriel des solutions du premier système 0. On introduit la matrice A =. On a 0 χ A (X = X ( X ( X A M 3 (R et A admet trois valeurs propres ditinctes deux à deux, donc A est diagonalisable dans M 3 (R. La recherche des sous-espaces propres donne : Ker(A = Vec ( (,, 3, Ker(A I 3 = Vec ( (, 0, et Ker(A I 3 = Vec ( (,,. x On pose X = y. On a X = A X. z D autre part, en posant P = 0, on a P A P = D = ( 5
7 08/09 Feuille 4 7 Donc X = P D P X, soit P X = D P X. u Si on pose Y = v = P X, on a w Y = D Y On en déduit On en déduit que u = 0 v = v w = w α R, t R, u(t = α β R, t R, v(t = β e t γ R, t R, w(t = γ e t Comme X = P Y, on en déduit que : x(t = α + β e t + γ e t (α, β, γ R 3, t R, y(t = α γ e t z(t = 3 α β e t γ e t La solution générale est : R R 3, t α + β e t 0 + γ e t 3 On a un espace vectoriel de dimension 3 engendré par les trois fonctions : R R 3, t, R R 3, t e t 0 et R R 3, t e t 3 x x 3. (a Posons X = x On a X = x. x x (3 Soit On a bien A X = X. 0 0 A = (b On calcule le polynôme caractéristique de A (penser à faire C C + C + C 3. On a χ A (X = (X (X 3 La recherche des sous-espaces propres donne : E (A = Ker(A I 3 = R (,, et E 3 (A = Ker(A 3 I 3 = R (, 3, 9 Notons f l endomorphisme canonique associé à la matrice A. Posons ε = (,, et ε 3 = (, 3, 9.
8 08/09 Feuille 4 8 Compte-tenu de la forme de la matrice T, on cherche un vecteur ε = (a, b, c tel que f(ε = ε + ε. À l aide de la matrice A, on a f(ε = (b, c, 3 a 7 b + 5 c. On a cherche donc a, b et c tels que b = + a c = + b 3 a 7 b + 5 c = + c On peut choisir a = 0, d où ε = (0,,. { b = + a c = + a La famille C = (ε, ε, ε 3 est une base de R 3 (on peut le vérifier avec le déterminant, et la matrice de f dans C est la matrice T. Donc A et T sont semblables. Remarque. On peut aussi utiliser la méthode qui suit qu on trouve dans certains livres mais qui n est pas au programme Si on calcule (T I 3, on obtient (T I 3 = Ceci montre que les vecteurs ε et ε sont dans Ker(f Id qui est de dimension. On peut donc chercher d abord Ker(f Id à l aide de la matrice A. On obtient le plan vectoriel d équation x y + z = 0 dans la base canonique de R 3. On peut alors procéder de la manière suivante : On choisit un vecteur de ce plan : ε = (,, 0 par exemple. On pose ε = f(ε ε, que l on calcule à l aide de A. On a alors f(ε = f (ε f(ε = f (ε f(ε + ε + f(ε ε = (f Id (ε + f(ε ε = f(ε ε = ε On vérifie que C = (ε, ε, ε 3 est une base de R 3, et cette base convient. 0 (c Soit la matrice P = 3. 9 On a P A P = T Comme X = A X, on en déduit que X = P T P X, soit P X = T P X Posons Y = P X, on a Y = T Y
9 08/09 Feuille 4 9 y En posant Y = y, on a y 3 Soit On en déduit qu il existe λ et λ 3 dans R tels que y 0 y y = 0 0 y y y 3 y = y + y y = y y 3 = 3 y 3 t R, y (t = λ e t et y 3 (t = λ 3 e 3 t La première équation devient y = y + λ e t. On considère d abord l équation homogène y = y qui donne comme solutions y = k e t. La méthode de la variation de la constante donne comme solution particulière y(t = λ t e t. Donc l ensemble des solutions de la première équation est : y (t = λ e t + λ t e t. Finalement Comme (λ, λ, λ 3 R 3, t R, Y (t = λ e t + λ t e t λ e t λ 3 e 3 t x(t 0 λ e t + λ t e t X(t = x (t = P Y (t = 3 λ e t, x (t 9 λ 3 e 3 t on obtient comme ensemble des solutions de l équation différentielle : { } R R t λ e t + λ t e t + λ 3 e 3 t (λ, λ, λ 3 R 3 4. On vérifie par calcul que la fonction x x est une solution particulière de l équation différentielle sur ]0, + [. Comme x ln x s annule en, résolvons l équation sur ]0, [ et sur ], + [. Sur ]0, [ et sur ], + [ l équation homogène associée équivaut à y = x ln x y Une primitive de x x ln x sur ]0, [ et sur ], + [ est x ln ( ln x. On en déduit l ensemble des solutions sur ]0, [ et sur ], + [ : { } { ]0, [ R ], + [ R x k ln x k R et x l ln x } l R Comme x x est solution particulière, les solutions de (E sur ]0, [ et sur ], + [ sont : { } { } ]0, [ R ], + [ R x x k ln x k R et x x + l ln x l R
10 08/09 Feuille 4 0 Supposons que y soit une solution de l équation différentielle sur ]0, + [. Alors les restrictions de y à ]0, [ et à ], + [ sont solutions de l équation différentielle sur les deux intervalles. Donc, il existe deux constantes k et l telles que : x ]0, [, y(x = x k ln x, et x ], + [, y(x = x + l ln x La fonction y étant solution sur ]0, + [, elle est continue en. Par calcul de la limite à droite et à gauche en, on a y( =. La fonction y étant solution sur ]0, + [, elle est dérivable en. Le nombre dérivé à gauche en de y est k et le nombre dérivé à droite en de y est + l. Donc nécessairement on a k = + l, soit k = l. Ainsi, pour tout x de ]0, + [, on a y(x = x + l ln x. Réciproquement, pour tout l R, la fonction x x + l ln x est dérivable sur ]0, + [ et vérifie l équation différentielle. 5. On a une équation différentielle linéaire d ordre. Comme x, x 0, x 4 et x 3 x sin x sont continues sur R, et que le coefficient de y ne s annule pas sur R, l ensemble des solutions de (E est la somme d une solution particulière de (E et de l ensemble des solutions de l équation homogène associée, qui est un sous-espace vectoriel de C (R, R de dimension. L équation homogène associée est une équation linéaire du second ordre à coefficients constants, dont l équation caractéristique est r + 4 = 0, de solutions i et i. L ensemble des solutions de l équation homogène associée est : { R R x λ cos(x + µ sin(x } (λ, µ R Cherchons une solution particulière de (E. Écrivons l équation : (E : y + 4 y = 3 x cos(x, soit (E : y + 4 y = 6 x 6 x cos(x D après le théorème de superposition, une solution particulière de (E peut être obtenue comme la somme de solutions particulières des deux équations : (E : y + 4 y = 6 x et (E : y + 4 y = 6 x cos(x Pour la première, on cherche une solution particulière sous la forme d une fonction polynômiale du type x a x, et on obtient Pour la seconde, on utilise l équation : y : x 4 x (E : y + 4 y = 6 x e i x Comme x 6 x est un polynôme de degré et que i est solution simple de l équation caractéristique de l équation homogène associée, on cherche une solution particulière sous la forme d une fonction du type
11 08/09 Feuille 4 x x (a x + b e i x, et on obtient : z : x x ( i x e i x La partie réelle de z donne une solution particulière de (E : y : x x cos(x x sin(x. Finalement l ensemble des solutions de (E est : { R R x 4 x x cos(x x sin(x + λ cos(x + µ sin(x } (λ, µ R 6. On a une équation différentielle linéaire d ordre. Comme x, x 0, x 4 et x e x sont continues sur R, et que le coefficient de y ne s annule pas sur R, l ensemble des solutions de (E est la somme d une solution particulière de (E et de l ensemble des solutions de l équation homogène associée, qui est un sousespace vectoriel de C (R, R de dimension. Commençons par résoudre cette équation sur R + et sur R. Sur R. L équation s écrit : y y + y = e x. On a une équation différentielle linéaire d ordre. Comme x, x, x et x e x sont continues sur R, et que le coefficient de y ne s annule pas sur R, l ensemble des solutions est la somme d une solution particulière et de l ensemble des solutions de l équation homogène associée, qui est un sousespace vectoriel de C (R, R de dimension. L équation homogène associée est une équation linéaire du second ordre à coefficients constants, dont l équation caractéristique est r r + = 0, qui admet une unique solution, le réel. L ensemble des solutions de l équation homogène associée est : { } R R x (λ x + µ e x (λ, µ R Cherchons une solution particulière. Comme n est pas solution de l équation caractéristique, on cherche une solution particulière du type y 0 (x = a e x, et on obtient : x 4 e x. L ensemble des solutions de l équation sur R est : { R R Sur R +. L équation s écrit : y y + y = e x. x 4 e x + (λ x + µ e x } (λ, µ R De même que ci-dessus, l ensemble des solutions de l équation homogène associée est : { } R + R x (α x + β e x (λ, µ R Cherchons une solution particulière. Comme est solution double de l équation caractéristique, on cherche une solution particulière du type y 0 (x = x a e x, et on obtient : x x e x. L ensemble des solutions de l équation sur R est : { R + R x x e x + (α x + β e x } (λ, µ R
12 08/09 Feuille 4 Sur R. Soit une solution y sur R. Les restrictions de y à R et R + sont solutions de l équation sur R et R +. Donc, il existe (λ, µ, α, β R 4 tel que y(x = 4 e x + (λ x + µ e x si x < 0 y(x = x e x + (α x + β e x si x > 0 Toute solution de l équation différentielle sur R doit être dérivable deux fois sur R, et en particulier en 0. Cela implique d abord que y est continue en 0. On a donc 4 + µ = β ( lim x 0 y(x = lim x 0 + y(x. Ce qui implique que On a de plus y(0 = lim y(x = lim y(x = β. x 0 x 0 + La fonction y doit aussi être dérivable en 0. On a y (x = 4 e x + λ e x + (λ x + µ e x si x < 0 y (x = x e x + x e x + α e x + (α x + β e x si x > 0 On a donc lim y (x = lim y (x. Ce qui implique que x 0 x λ + µ = α + β ( La fonction y doit aussi être dérivable deux fois en 0. On a y (x = 4 e x + λ e x + (λ x + µ e x si x < 0 y (x = e x + x e x + x e x + α e x + (α x + β e x si x > 0 On a donc lim y (x = lim y (x. Ce qui implique que x 0 x 0 + De (, ( et (3, on déduit que : 4 + λ + µ = + α + β (3 µ = β 4, λ = α + Finalement les solutions de l équation sur R sont : y(x = ( x ex + (α x + β e x si x < 0 y(0 = β y(x = x e x + (α x + β e x si x > 0 7. (a Soit a n x n une série entière de rayon de convergence R > 0 et de somme S. Cette somme est de classe C + sur ] R, R[. Pour tout x ] R, R[, S(x = a n x n
13 08/09 Feuille 4 3 Donc, après calcul, S (x = S (x = n= n(n a n x n = n a n x n n= n= (n + n a n+ x n x(x S (x + 3xS (x + S(x = ( (n + a n n(n + a n+ x n Par unicité des coefficients d un développement en série entière, la fonction S est solution sur ] R, R[ de l équation étudiée si, et seulement si, n N, n a n+ = (n + a n Ce qui revient à : a 0 = 0 et n N, a n = n a Le rayon de convergence de la série entière nx n étant égal à, on peut affirmer que les fonctions développables en série entière solutions de l équation sont les fonctions : définies sur ], [, avec a R. x a + (b Notons (E l équation x(x y + 3xy + y = 0. nx n = a x d ( = a x dx x ( x Prouvons que les solutions de (E sur ]0; [ ne sont pas toutes développables en série entière à l origine. Raisonnons par l absurde. Si toutes les solutions de (E sur ]0; [ étaient développables en série entière à l origine alors, d après., l ensemble des solutions de (E sur ]0; [ serait égal à la droite vectorielle Vect(f où f est la fonction définie x par x ]0; [, f(x = ( x. Or, d après le cours, comme les fonctions x x(x, x 3x et x sont continues sur ]0; [ et que la fonction x x(x ne s annule pas sur ]0; [, l ensemble des solutions de (E sur ]0; [ est un plan vectoriel. D où l absurdité. 8. On considère une fonction y développable en série entière : y(x = La fonction y est de classe C sur ] R, R[. On a y (x = n= La fonction y est solution de (E sur ] R, R[ si, et seulement si, x ] R, R[, Soit si, et seulement si, x ] R, R[, + x n (n a n x n x n= n= n (n a n x n n= a n x n avec un rayon R > 0. n a n x n et y (x = n= n a n x n + n a n x n + (x + a n x n + n= n (n a n x n. a n x n = 0 a n x n+ = 0
14 08/09 Feuille 4 4 Donc si, et seulement si, x ] R, R[, Soit si, et seulement si, n (n a n x n n a n x n + a n x n + n= a n x n = 0 D où si, et seulement si, x ] R, R[, ( n 3 n + + a n x n + a n x n = 0 n= Donc si, et seulement si, x ] R, R[, x ] R, R[, a 0 + (n (n a n x n + n= n= a n x n = 0 [(n (n a n + a n ] x n = 0 Par unicité du développement en série entière, on a y est solution de (E sur ] R, R[ si, et seulement si, Soit si, et seulement si, On a donc a et a quelconques. a 0 = 0, et n, a n = a 0 = 0, et n N, a n+ = (n (n a n n (n + a n En utilisant une récurrence, on obtient y est solution de (E sur ] R, R[ si, et seulement si, a 0 = 0, et k N, a k+ = ( k (k! Considérons la série entière définie par : a k 0 ( k (k! a, et k N, a k = ( k (k! a x k+ + a k ( k (k! xk. Cette série entière a son rayon de convergence R =. D après les calculs précédents, sa somme est solution de (E sur R. Sa somme peut s écrire a x ( k (k! x k + a x ( k+ (k +! xk+ = a x cos x + a x sin x Donc les fonctions x a x cos x + a x sin x, avec a et a quelconques sont solutions de (E sur R. L équation différentielle est une équation linéaire du second ordre. Sur R +, le coefficient de y ne s annule pas, donc l ensemble des solutions sur R + est un plan vectoriel. D après les calculs précédents, les deux fonctions y : x x cos x et y : x x sin x sont solutions de (E sur R +. Montrons que ces deux fonctions forment une famille libre. Soit (α, β R. Supposons que α y + β y = 0, la fonction nulle. Donc x R, α x cos x + β x sin x = 0
15 08/09 Feuille 4 5 En prenant x = π puis x = π, on obtient β = 0 et α = 0. Donc les deux solutions forment une famille libre. ( Donc l ensemble des solutions de (E sur R + est Vect x x cos x, x x sin x. 9. (a On considère une fonction y développable en série entière : y(x = R > 0. y est de classe C sur ] R, R[. On a y (x = n= n a n x n et y (x = La fonction y est solution de (E sur ] R, R[ si, et seulement si, pour tout x de R, x n= n (n a n x n + ( x Soit si, et seulement si, pour tout x de R, n= n (n a n x n + Donc si, et seulement si, pour tout x de R, n= (n + n a n+ x n + Puis si, et seulement si, pour tout x de R, (n + n a n+ x n + Enfin si, et seulement si, pour tout x de R, n= n= n= n a n x n n a n x n n a n x n n= a n x n avec un rayon de convergence n= n a n x n n= n a n x n n (n a n x n. (n + a n+ x n (n + a n+ x n [(n (n + a n+ + (n a n ] x n = 0 a n x n = 0 a n x n = 0 a n x n = 0 a n x n = 0 Par unicité du développement en série entière, on a y solution de (E sur ] R, R[ si, et seulement si, n N, (n ((n + a n+ + a n = 0 Comme n s annule pour n =, on obtient y solution de (E sur ] R, R[ si, et seulement si, a = a 0, et n, a n+ = n + a n En utilisant une récurrence, on a On a donc n, a n = ( n n! a y solution de (E sur ] R, R[ a = a 0, et n, a n = ( n n! a Prenons d abord a 0 =, a =, et, pour tout n, a n = 0. Soit la fonction polynômiale y définie par y (x = x. Elle est solution de (E et développable en série
16 08/09 Feuille 4 6 entière au voisinage de 0 avec un rayon de convergence +. Prenons ensuite a 0 =, a =, a = (! n de N, a n = ( n n!. On reconnait x R, y (x = e x. et, pour tout n, a n = ( n, autrement-dit, pour tout n! Elle est solution de (E et développable en série entière au voisinage de 0 avec un rayon de convergence +. On a donc ainsi deux solutions de (E développables en série entière au voisinage de 0 avec un rayon de convergence +. (b L équation différentielle est une équation linéaire du second ordre. Les fonctions x x, x x et x sont continues sur R +. Le coefficient x de y ne s annule pas pas sur R +, donc l ensemble des solutions sur R + est un plan vectoriel. D après les calculs précédents, les deux fonctions y : x x et y : x e x sont solutions de (E sur R +. Montrons que ces deux fonctions forment une famille libre. Soit (α, β R. Supposons que α y + β y = 0, la fonction nulle. Donc x R, α ( x + β e x = 0 En prenant x = puis x = 0, on obtient β = 0 et α = 0. Donc les deux solutions forment une famille libre. Donc l ensemble des solutions de (E sur R + est Vect (x x, x e x. Soit { R R x λ ( x + µ e x } (λ, µ R 0. (a Soit une fonction polynômiale y(x = a k x k, avec a p 0. On a y (x = Soit l assertion (p : y solution de (E sur R. On a : (p x R, ( + x y (x y(x = 0 x R, ( + x k (k a k x k x R, k= k (k a k x k + k= a k x k = 0 k (k a k x k k= p x R, (k + (k + a k+ x k + p x R, (k + (k + a k+ x k + p x R, (k + (k + a k+ x k + a k x k = 0 k (k a k x k k= k (k a k x k k (k a k x k. k= a k x k = 0 a k x k = 0 ( k k a k x k = 0
17 08/09 Feuille 4 7 x R, x R, p (k + (k + a k+ x k + (k + (k a k x k = 0 p [ ] (k + (k + ak+ + (k + (k a k x k + p(p 3 a p x p +(p + (p a p x p = 0 Comme a p 0, il faut que (p + (p = 0. Comme p N, on a p =. En reprenant la dernière équivalence ci-dessus, on a y solution de (E sur R x R, a a 0 a x = 0. Soit y solution de (E sur R a = a 0 et a = 0. Donc la fonction y : x + x est solution de (E sur R. (b Utilisons la méthode de la variation de la constante. Posons y 0 : x + x. La fonction y 0 ne s annule pas sur R. Pour toute fonction y de classe C sur R, considérons la fonction z = y y 0, soit y = z y 0. On a y = z y 0 + z y 0 + z y 0. On a : y solution de (E sur R x R, ( + x y (x y(x = 0 x R, ( + x (z y 0 + z y 0 + z y 0 z y 0 = 0 x R, ( + x y 0 z + ( + x y 0 z + ( ( + x y 0 y 0 z = 0 x R, ( + x y 0 z + ( + x y 0 z = 0, car y 0 solution de (E x R, z = y 0 y 0 z k R, x R, z ln y0 = k e k R, x R, z = k y 0 k R, x R, z k = ( + x On cherche une primitive : ( + x dx. On peut écrire ( + x dx = + x ( + x dx x ( + x dx = + x dx x ( + x x dx La seconde primitive se calcule en intégrant par parties. On obtient : ( + x dx = Arctan x + x + x. ( Donc y solution de (E sur R (k, l R, z(x = k Arctan x + x + x + l. ( Finalement : y solution de (E sur R (k, l R, y(x = k ( + x Arctan x + x + l ( + x.. Notons (E l équation différentielle y + y + y e x = 0.
18 08/09 Feuille 4 8 Recherche. Soit y une fonction de classe C sur R. Il s agit donc de remplacer x par φ(t, soit écrire y(x = y ( ϕ(t. Posons z(t = y ( ϕ(t, où ϕ est une fonction que l on cherche sous la forme d un C difféomorphisme sur R. On notant ψ sa bijection réciproque, on aura y(x = z ( ψ(x. On a donc y (x = z ( ψ(x ψ (x et y (x = z ( ψ(x (ψ (x + z ( ψ(x ψ (x On remplace dans l équation différentielle, et on obtient : z ( ψ(x (ψ (x + z ( ψ(x [ ψ (x + ψ (x ] + z ( ψ(x e x = 0 On cherche donc à écrire (ψ (x = a e x et ψ (x + ψ (x = b e x On peut donc choisir ψ(x = e x. Soit x = ln t. Résolution. Pour toute fonction y de classe C sur R, posons, pour tout t de R +, z(t = y ( ln t. On a, pour tout x de R, y(x = z ( e x On reproduit les calculs précédents, et on a : y solution de (E sur R x R, z (e x + z(e x = 0 Soit y solution de (E sur R t R +, z (t + z(t = 0 D où les solutions de l équation (E sur R : {x λ cos ( e x + µ sin ( e x (λ, µ R }. (a Soit f P I. On a, pour tout x de R, f( x = f(x et f( x = f(x. On en déduit que, pour tout x de R, f(x = 0. Donc f est la fonction nulle. Ainsi P I = {0}. Pour toute fonction f de E, définissons : g(x = f(x + f( x et h(x = f(x f( x La fonction g est paire et la fonction h est impaire. Et on f = g + h. On a donc E P I. Comme P et I sont, par définition de l énoncé, inclus dans E, on a E = P I
19 08/09 Feuille 4 9 (b Soit p P. On a, pour tout x de R, p( x = p(x. Donc p ( x = p(x. La fonction p est impaire. Et elle appartient à C (R, R,. Réciproquement, soit g une fonction impaire de C (R, R,. Comme g est continue, toute primitive de g sur R peut sécrire : G : x On a x R, G( x = x Posons u = t. On obtient, en tenant compte que g est impaire, G( x = x g( u ( du = x a g(t dt ( g(u ( du = x a a a x a g(t dt. g(u du = G(x Donc G est paire. De plus comme G appartient à C (R, R,, G appartient à C (R, R,. Donc G appartient P. Ainsi la réciproque est vraie. (c Supposons que f appartienne à C (R, R, et soit solution de l équation différentielle. Posons On a Or, par hypothèse, on a g(x = f(x + f( x g (x = f (x + f ( x et h(x = f(x f( x. et h (x = f (x f ( x. f (x + f( x = + sin(x et f ( x + f(x = sin(x. On en déduit par addition et soustraction que g (x + g(x = et h (x h(x = sin(x. La solution générale de l équation y + y = 0 est {x λ cos x + µ sin x (λ, µ R }. Une solution particulière de l équation y + y = est immédiatement la fonction y 0 : x. Donc (λ, µ R, x R, g(x = λ cos x + µ sin x + La solution générale de l équation y y = 0 est {x α sh x + β ch x (α, β R }. Pour obtenir une solution particulière de l équation y y = sin(x, on peut d abord chercher une solution particulière de l équation y y = e i x sous la forme y 0 : x λ e i x, et on obtient : y 0 : x 3 ei x. D où une solution particulière : y 0 = x 3 sin(x. Donc (α, β R, x R, h(x = α sh x + β ch x 3 sin(x Donc, comme f = g + h, (λ, µ, α, β R 4, x R, f(x = λ cos x + µ sin x + α sh x + β ch x + 3 sin(x Réciproquement, on considère une fonction f définie comme ci-dessus, on calcule f (x + f( x, et on obtient f solution de l équation si, et seulement si, x R, µ sin x + β ch x = 0
20 08/09 Feuille 4 0 En prenant x = 0, on a β = 0. Puis µ = 0. Conclusion : f solution (λ, α R, x R, f(x = λ cos x + α sh x + 3 sin(x.
3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailExo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailCHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE. EQUATIONS DIFFERENTIELLES.
CHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE EQUATIONS DIFFERENTIELLES Le but de ce chapitre est la résolution des deux types de systèmes différentiels linéaires
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailUn K-espace vectoriel est un ensemble non vide E muni : d une loi de composition interne, c est-à-dire d une application de E E dans E : E E E
Exo7 Espaces vectoriels Vidéo partie 1. Espace vectoriel (début Vidéo partie 2. Espace vectoriel (fin Vidéo partie 3. Sous-espace vectoriel (début Vidéo partie 4. Sous-espace vectoriel (milieu Vidéo partie
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailExercices Corrigés Premières notions sur les espaces vectoriels
Exercices Corrigés Premières notions sur les espaces vectoriels Exercice 1 On considére le sous-espace vectoriel F de R formé des solutions du système suivant : x1 x 2 x 3 + 2x = 0 E 1 x 1 + 2x 2 + x 3
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailCalcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach
Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte
Plus en détailChapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque
Universités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Analyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque 1 Fonctions intégrables Définition 1 Soit I R un intervalle et soit f : I R + une fonction
Plus en détailFormes quadratiques. 1 Formes quadratiques et formes polaires associées. Imen BHOURI. 1.1 Définitions
Formes quadratiques Imen BHOURI 1 Ce cours s adresse aux étudiants de niveau deuxième année de Licence et à ceux qui préparent le capes. Il combine d une façon indissociable l étude des concepts bilinéaires
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailLogique. Plan du chapitre
Logique Ce chapitre est assez abstrait en première lecture, mais est (avec le chapitre suivant «Ensembles») probablement le plus important de l année car il est à la base de tous les raisonnements usuels
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailEquations différentielles linéaires à coefficients constants
Equations différentielles linéaires à coefficients constants Cas des équations d ordre 1 et 2 Cours de : Martine Arrou-Vignod Médiatisation : Johan Millaud Département RT de l IUT de Vélizy Mai 2007 I
Plus en détailFonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur
Service Commun de Formation Continue Année Universitaire 2006-2007 Fonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur Polycopié de cours Rédigé par Yannick Privat Bureau 321 - Institut Élie
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détailChapitre 2. Matrices
Département de mathématiques et informatique L1S1, module A ou B Chapitre 2 Matrices Emmanuel Royer emmanuelroyer@mathuniv-bpclermontfr Ce texte mis gratuitement à votre disposition a été rédigé grâce
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailProblème 1 : applications du plan affine
Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées
Plus en détailChapitre VI Fonctions de plusieurs variables
Chapitre VI Fonctions de plusieurs variables 6. 1 Fonctions différentiables de R 2 dans R. 6. 1. 1 Définition de la différentiabilité Nous introduisons la différentiabilité sous l angle des développements
Plus en détailIV- Equations, inéquations dans R, Systèmes d équations
IV- Equations, inéquations dans R, Systèmes d équations 1- Equation à une inconnue Une équation est une égalité contenant un nombre inconnu noté en général x et qui est appelé l inconnue. Résoudre l équation
Plus en détail3. Conditionnement P (B)
Conditionnement 16 3. Conditionnement Dans cette section, nous allons rappeler un certain nombre de définitions et de propriétés liées au problème du conditionnement, c est à dire à la prise en compte
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détail[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 30 avril 2015 Enoncés 1
[http://mpcpgedupuydelomefr] édité le 3 avril 215 Enoncés 1 Exercice 1 [ 265 ] [correction] On note V l ensemble des matrices à coefficients entiers du type a b c d d a b c c d a b b c d a et G l ensemble
Plus en détailaux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale.
MODÉLISATION ET SIMULATION EQUATIONS AUX DIFFÉRENCES (I/II) 1. Rappels théoriques : résolution d équations aux différences 1.1. Équations aux différences. Définition. Soit x k = x(k) X l état scalaire
Plus en détailBaccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue
Plus en détailSur certaines séries entières particulières
ACTA ARITHMETICA XCII. 2) Sur certaines séries entières particulières par Hubert Delange Orsay). Introduction. Dans un exposé à la Conférence Internationale de Théorie des Nombres organisée à Zakopane
Plus en détailCalcul Différentiel. I Fonctions différentiables 3
Université de la Méditerranée Faculté des Sciences de Luminy Licence de Mathématiques, Semestre 5, année 2008-2009 Calcul Différentiel Support du cours de Glenn Merlet 1, version du 6 octobre 2008. Remarques
Plus en détailFonctions de plusieurs variables. Sébastien Tordeux
Fonctions de plusieurs variables Sébastien Tordeux 22 février 2009 Table des matières 1 Fonctions de plusieurs variables 3 1.1 Définition............................. 3 1.2 Limite et continuité.......................
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailDérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema.
Chapitre 5 Dérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema. On s intéresse dans ce chapitre aux dérivées d ordre ou plus d une fonction de plusieurs variables. Comme pour une fonction d une
Plus en détailLa fonction exponentielle
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction
Plus en détailLes travaux doivent être remis sous forme papier.
Physique mathématique II Calendrier: Date Pondération/note nale Matériel couvert ExercicesSérie 1 : 25 septembre 2014 5% RH&B: Ch. 3 ExercicesSérie 2 : 23 octobre 2014 5% RH&B: Ch. 12-13 Examen 1 : 24
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détailPour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailCorrection du baccalauréat S Liban juin 2007
Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau
Plus en détailDéveloppements limités
Université Joseph Fourier, Grenoble Maths en Ligne Développements limités Bernard Ycart Les développements limités sont l outil principal d approximation locale des fonctions. L objectif de ce chapitre
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailMATHEMATIQUES APPLIQUEES Equations aux dérivées partielles Cours et exercices corrigés
MATHEMATIQUES APPLIQUEES Equations aux dérivées partielles Cours et exercices corrigés Département GPI 1ère année Avril 2005 INPT-ENSIACET 118 route de Narbonne 31077 Toulouse cedex 4 Mail : Xuan.Meyer@ensiacet.fr
Plus en détailExo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs
Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours.
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailCorrection du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007
Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n
Plus en détailCours d Analyse I et II
ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE DE LAUSANNE Cours d Analyse I et II Sections Microtechnique & Science et génie des matériaux Dr. Philippe Chabloz avril 23 Table des matières Sur les nombres. Les nombres
Plus en détailNOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 :
Exercice 1 : NOMBRES COMPLEXES On donne θ 0 un réel tel que : cos(θ 0 ) 5 et sin(θ 0 ) 1 5. Calculer le module et l'argument de chacun des nombres complexes suivants (en fonction de θ 0 ) : a i( )( )(1
Plus en détailMESURE ET INTÉGRATION EN UNE DIMENSION. Notes de cours
MSUR T INTÉGRATION N UN DIMNSION Notes de cours André Giroux Département de Mathématiques et Statistique Université de Montréal Mai 2004 Table des matières 1 INTRODUCTION 2 1.1 xercices.............................
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailDéveloppements limités usuels en 0
Développements limités usuels en 0 e x sh x ch x sin x cos x = + x! + x! + + xn n! + O ( x n+) = x + x3 3! + + xn+ (n + )! + O ( x n+3) = + x! + x4 4! + + xn (n)! + O ( x n+) = x x3 3! + + ( )n xn+ (n
Plus en détailExtrait du poly de Stage de Grésillon 1, août 2010
MINI-COURS SUR LES POLYNÔMES À UNE VARIABLE Extrait du poly de Stage de Grésillon 1, août 2010 Table des matières I Opérations sur les polynômes 3 II Division euclidienne et racines 5 1 Division euclidienne
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailSimulation de variables aléatoires
Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo
Plus en détailAmphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues
Amphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues Département de Mathématiques École polytechnique Remise en forme mathématique 2013 Suite de Cauchy Soit (X, d) un espace métrique. Une suite
Plus en détailChapitre 7. Statistique des échantillons gaussiens. 7.1 Projection de vecteurs gaussiens
Chapitre 7 Statistique des échantillons gaussiens Le théorème central limite met en évidence le rôle majeur tenu par la loi gaussienne en modélisation stochastique. De ce fait, les modèles statistiques
Plus en détailItems étudiés dans le CHAPITRE N5. 7 et 9 p 129 D14 Déterminer par le calcul l'antécédent d'un nombre par une fonction linéaire
CHAPITRE N5 FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION Code item D0 D2 N30[S] Items étudiés dans le CHAPITRE N5 Déterminer l'image
Plus en détailExercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques.
14-3- 214 J.F.C. p. 1 I Exercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques. Exercice 1 Densité de probabilité. F { ln x si x ], 1] UN OVNI... On pose x R,
Plus en détailNotes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Fausto Errico Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2012 Table des matières
Plus en détailUne forme générale de la conjecture abc
Une forme générale de la conjecture abc Nicolas Billerey avec l aide de Manuel Pégourié-Gonnard 6 août 2009 Dans [Lan99a], M Langevin montre que la conjecture abc est équivalente à la conjecture suivante
Plus en détailDéfinition 0,752 = 0,7 + 0,05 + 0,002 SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS = 7 10 1 + 5 10 2 + 2 10 3
8 Systèmes de numération INTRODUCTION SYSTÈMES DE NUMÉRATION POSITIONNELS Dans un système positionnel, le nombre de symboles est fixe On représente par un symbole chaque chiffre inférieur à la base, incluant
Plus en détailAOT 13. et Application au Contrôle Géométrique
AOT 13 Géométrie Différentielle et Application au Contrôle Géométrique Frédéric Jean Notes de cours Édition 2011/2012 ii Table des matières 1 Variétés différentiables 1 1.1 Variétés différentiables............................
Plus en détailSuites numériques 4. 1 Autres recettes pour calculer les limites
Suites numériques 4 1 Autres recettes pour calculer les limites La propriété suivante permet de calculer certaines limites comme on verra dans les exemples qui suivent. Propriété 1. Si u n l et fx) est
Plus en détailRappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie
Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie 1 Définition des nombres complexes On définit sur les couples de réels une loi d addition comme suit : (x; y)
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Biologie, chimie, physique et sciences de la Terre (BCPST) Discipline : Mathématiques Seconde année Préambule Programme
Plus en détailEspérance conditionnelle
Espérance conditionnelle Samy Tindel Nancy-Université Master 1 - Nancy Samy T. (IECN) M1 - Espérance conditionnelle Nancy-Université 1 / 58 Plan 1 Définition 2 Exemples 3 Propriétés de l espérance conditionnelle
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailFonctions de plusieurs variables et changements de variables
Notes du cours d'équations aux Dérivées Partielles de l'isima, première année http://wwwisimafr/leborgne Fonctions de plusieurs variables et changements de variables Gilles Leborgne juin 006 Table des
Plus en détailMoments des variables aléatoires réelles
Chapter 6 Moments des variables aléatoires réelles Sommaire 6.1 Espérance des variables aléatoires réelles................................ 46 6.1.1 Définition et calcul........................................
Plus en détailEteindre. les. lumières MATH EN JEAN 2013-2014. Mme BACHOC. Elèves de seconde, première et terminale scientifiques :
MTH EN JEN 2013-2014 Elèves de seconde, première et terminale scientifiques : Lycée Michel Montaigne : HERITEL ôme T S POLLOZE Hélène 1 S SOK Sophie 1 S Eteindre Lycée Sud Médoc : ROSIO Gauthier 2 nd PELGE
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailCours3. Applications continues et homéomorphismes. 1 Rappel sur les images réciproques
Université de Provence Topologie 2 Cours3. Applications continues et homéomorphismes 1 Rappel sur les images réciproques Soit une application f d un ensemble X vers un ensemble Y et soit une partie P de
Plus en détail