N o XIF au catalogue. Techniques d'enquête. Décembre 2004

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "N o 12-001-XIF au catalogue. Techniques d'enquête. Décembre 2004"

Transcription

1 N o XIF au caalogue Techniques d'enquêe Décembre 2004

2 Commen obenir d aures renseignemens Toue demande de renseignemens au suje du résen rodui ou au suje de saisiques ou de services connees doi êre adressée à : Division des méhodes d enquêes aurès des enrerises, Saisique Canada, Oaa, Onario, K1A 0T6 (éléhone : Pour obenir des renseignemens sur l ensemble des données de Saisique Canada qui son disonibles, veuillez comoser l un des numéros sans frais suivans. Vous ouvez égalemen communiquer avec nous ar courriel ou visier nore sie Web. Service naional de renseignemens Service naional d aareils de élécommunicaions our les malenendans Renseignemens concernan le Programme des services de déô Télécoieur our le Programme des services de déô Renseignemens ar courriel infosas@sacan.ca Sie Web.sacan.ca Renseignemens our accéder au rodui Le rodui n o XIF au caalogue es disonible grauiemen. Pour obenir un eemlaire, il suffi de visier nore sie Web à.sacan.ca e de choisir la rubrique Nos roduis e services. Normes de service à la clienèle Saisique Canada s engage à fournir à ses cliens des services raides, fiables e courois, e ce, dans la langue officielle de leur choi. À ce égard, nore organisme s es doé de normes de service à la clienèle qui doiven êre observées ar les emloés lorsqu ils offren des services à la clienèle. Pour obenir une coie de ces normes de service, veuillez communiquer avec Saisique Canada au numéro sans frais Les normes de service son aussi ubliées dans le sie.sacan.ca sous À roos de Saisique Canada > Offrir des services au Canadiens.

3 Saisique Canada Division des méhodes d enquêes aurès des enrerises Techniques d'enquêe Juin 2004 Publicaion auorisée ar le minisre resonsable de Saisique Canada inisre de l Indusrie, 2006 Tous drois réservés. Le conenu de la résene ublicaion élecronique eu êre rerodui en ou ou en arie, e ar quelque moen que ce soi, sans aure ermission de Saisique Canada, sous réserve que la reroducion soi effecuée uniquemen à des fins d éude rivée, de recherche, de criique, de come rendu ou en vue d en réarer un résumé desiné au journau e/ou à des fins non commerciales. Saisique Canada doi êre cié comme sui : Source (ou «Adaé de», s il a lieu : Saisique Canada, année de ublicaion, nom du rodui, numéro au caalogue, volume e numéro, ériode de référence e age(s. Auremen, il es inerdi de reroduire le conenu de la résene ublicaion, ou de l emmagasiner dans un ssème d eracion, ou de le ransmere sous quelque forme ou ar quelque moen que ce soi, reroducion élecronique, mécanique, hoograhique, our quelque fin que ce soi, sans l auorisaion écrie réalable des Services d ocroi de licences, Division des services à la clienèle, Saisique Canada, Oaa, Onario, Canada K1A 0T6. Avril 2006 N o XIF au caalogue ISSN Périodicié : semesriel Oaa This ublicaion is available in English uon reques (caalogue no XIE Noe de reconnaissance Le succès du ssème saisique du Canada reose sur un arenaria bien éabli enre Saisique Canada e la oulaion, les enrerises, les adminisraions canadiennes e les aures organismes. Sans cee collaboraion e cee bonne voloné, il serai imossible de roduire des saisiques récises e acuelles.

4 4 eaumon e Alavi : Esimaion robuse ar la régression généralisée Vol. 30, N o 2, Saisique Canada, N o au caalogue Esimaion robuse ar la régression généralisée Jean-François eaumon e Asma Alavi 1 Résumé Le meilleur esimaeur (ou rédiceur linéaire sans biais (LU d un oal de oulaion es fondé sur les deu hohèses suivanes : i le modèle d esimaion qui sous-end l esimaeur LU es sécifié correcemen e ii le lan de sondage es ignorable en ce qui concerne le modèle d esimaion. Dans ce conee, un esimaeur es robuse si sa disribuion demeure roche de celle de l esimaeur LU lorsque les deu hohèses iennen e s il reien de bonnes roriéés lorsque l une des hohèses ou les deu ne son as enièremen saisfaies. La robusesse au écars ar raor à l hohèse (i es aelée robusesse au modèle, andis que la robusesse au écars ar raor à l hohèse (ii es aelée robusesse au lan de sondage. On considère souven que l esimaeur ar la régression généralisée (RE es robuse, uisque sa roriéé d êre asmoiquemen sans biais ar raor au lan (ASP ne déend ni de l hohèse (i ni de l hohèse (ii. Touefois, si ces deu hohèses iennen, l esimaeur RE es arfois neemen moins efficace que l esimaeur LU e, en ce sens, n es as robuse. L inefficacié relaive de l esimaeur RE comaraivemen à l esimaeur LU es due à la grande disersion des oids de sondage. Afin d obenir un esimaeur robuse au lan de sondage, nous roosons donc un comromis enre ces deu esimaeurs. Cee aroche offre aussi une ceraine roecion conre les écars ar raor à l hohèse (i. Touefois, elle ne roège as conre les données aberranes, qui euven êre considérées comme la conséquence d une erreur de sécificaion du modèle. Pour raier les données aberranes, nous uilisons la echnique de l esimaion généralisée ondérée our réduire l influence des uniés our lesquelles les résidus ondérés de oulaion son imorans. Nous roosons deu moens raiques de mere en œuvre les esimaeurs dans le cas d enquêes olvalenes; soi nous modifions le oids des uniés influenes e adoons une aroche ar calage our obenir un ensemble unique de oids d esimaion robuses soi nous modifions les valeurs des uniés influenes. Nous évaluons ceraines roriéés de l aroche roosée au moen d une éude en simulaion oran sur une oulaion finie asmérique créée à arir de données d enquêe réelles. os clés : Robusesse au lan; robusesse au modèle; esimaeur ; données aberranes; oids rérécis; meilleur rédiceur linéaire sans biais. 1. Inroducion En héorie classique, on eu considérer que les données d échanillon son irées aléaoiremen d une oulaion infinie e émere des hohèses au suje de la loi de disribuion inconnue de la oulaion infinie. Auremen di, on osule un modèle e on cherche à en esimer les aramères. Dans ce conee, un esimaeur θˆ d un aramère du modèle θ es robuse si sa disribuion demeure roche de celle de l esimaeur du maimum de vraisemblance de θ quand les hohèses du modèle iennen e s il reien de bonnes roriéés lorsque les hohèses du modèle ne son as enièremen saisfaies. On suose souven que la loi de disribuion inconnue de la oulaion infinie es la loi normale e, ar conséquen, l esimaeur du maimum de vraisemblance se rédui à l esimaeur ar les moindres carrés habiuel. L eisence de données aberranes dans l échanillon eu êre considérée comme la conséquence d un écar ar raor à une hohèse du modèle. On ourrai suoser que la majorié de l échanillon rovien du modèle choisi, mais que ceraines données, aelées données aberranes, roviennen d un modèle différen. Par conséquen, l eisence de ce genre de données aberranes dans l échanillon ourrai inroduire un biais e augmener la variance de l esimaeur ar les moindres carrés des aramères du modèle sélecionné. Les valeurs aberranes ourraien aussi êre le résula d une disribuion foremen asmérique. Le cas échéan, l esimaeur ar les moindres carrés es sans biais, mais eu êre rès inefficace à cause d un écar ar raor à l hohèse habiuelle de normalié. L eisence de données aberranes dans l échanillon ourrai aussi êre le résula d erreurs de mesure. Ceendan, nous suosons dans le rese de l aricle que les données on éé vérifiées e corrigées, au besoin, e qu aucune erreur de mesure ne ersise. L esimaion robuse au données aberranes our les oulaions infinies a éé éudiée en déail (our une revue, voir Huber 1981, ou Hamel, Ronchei, Rousseeu e Sahel En héorie de l échanillonnage, on cherche habiuellemen à esimer des aramères de oulaion finie, els que le oal, = U, d une variable d inérê our une oulaion finie U de aille N. Comme il n es habiuellemen as ossible d observer la variable our oues les 1. Jean-François eaumon e Asma Alavi, Division des méhodes d enquêes aurès des ménages, Saisique Canada, 16 e éage, immeuble R.-H.-Coas, Oaa, (Onario, Canada, K1A 0T6. Courriel : Jean-Francois.eaumon@sacan.ca e Asma.Alavi@sacan.ca.

5 Techniques d enquêe, décembre uniés de la oulaion, la raique consise à sélecionner à arir de la oulaion finie un échanillon aléaoire s de aille n conformémen à un lan d échanillonnage robabilise ( s Z. La marice d informaion sur le lan Z conien N lignes don la e es égale à z, e z es un veceur de variables auiliaires disonible à l éae de l éablissemen du lan de sondage. Ceci n emêche as de suoser que la oulaion finie roremen die rovien d un modèle, comme cela es eliciemen le cas lorsqu elle es choisie afin de faire des inférences fondées sur un modèle. Sous ce e d inférences, Roall (1976 a éabli le meilleur esimaeur (ou rédiceur linéaire sans biais (LU our es Linear Unbiased ˆ de (voir aussi Vallian, Dorfman e Roall 2000, chaire 2. Ce esimaeur es fondé sur les deu hohèses suivanes : i le modèle d esimaion sous-jacen à l esimaeur LU ˆ es sécifié correcemen e ii le lan de sondage es ignorable en ce qui a rai au modèle d esimaion. Dans ce conee, un esimaeur ˆ du oal de oulaion finie es robuse si sa disribuion rese roche de celle de l esimaeur LU ˆ quand les deu hohèses iennen e qu il reien de bonnes roriéés quand l une des hohèses ou les deu ne son as enièremen saisfaies. La robusesse au écars ar raor à l hohèse (i es aelée robusesse au modèle, andis que la robusesse au écars ar raor à l hohèse (ii es aelée robusesse au lan de sondage. ien que nous considérions des esimaeurs robuses consruis dans la ersecive d une esimaion fondée sur un modèle, nous référons, dans la mesure du ossible, évaluer leurs roriéés ar raor au lan de sondage. Ceci nous erme de choisir les consanes don déenden les esimaeurs robuses e d évaluer leur qualié sans devoir nous auer sur un modèle e, lus récisémen, sans devoir nous auer sur un modèle our les données aberranes. Cela nous fourni aussi un cadre objecif our comarer les esimaeurs dérivés sous divers modèles. Nous arageons cee référence our l évaluaion ar raor au lan de sondage des roriéés des esimaeurs fondés sur un modèle avec Lile (1983 qui fai remarquer que les roriéés asmoiques fondées sur le lan de sondage ourraien êre lus uiles our évaluer les esimaeurs que les roriéés asmoiques fondées sur un modèle, ariculièremen si l ensemble de données es grand. L esimaeur ar la régression généralisée (RE de es souven considéré comme un esimaeur robuse, uisque sa roriéé d absence asmoique de biais ar raor au lan (ASP ne déend ni de l hohèse (i ni de l hohèse (ii; auremen di, l esimaeur RE es robuse au biais, même si l on eu jusifier sa forme au moen d un modèle d esimaion. Ceendan, si les deu hohèses iennen, l esimaeur RE es arfois neemen moins efficace que l esimaeur LU e, en ce sens, il n es as robuse. L inefficacié relaive de l esimaeur RE comaraivemen à l esimaeur LU es due à une fore disersion des oids de sondage. Le fai que la variabilié des oids de sondage uisse accroîre la variance d un esimaeur es bien connu (voir, ar eemle, Rao 1966; Duouchel e Duncan 1983; Kish 1992; Pfeffermann 1993; Korn e raubard 1999, chaire 4; Ellio e Lile 2000; Kalon e Flores-Cervanes 2003 e n es as rare dans le cas des enquêes aurès des ménages, à cause des nombreu redressemens des oids avan le calage (Kish 1992; Kalon e Flores-Cervanes Ce roblème es souven raié ar roncaion des oids de sondage les lus élevés (Poer 1988, 1990, 1993; Soes Pour obenir un esimaeur robuse au lan de sondage quand la variabilié des oids de sondage es fore, nous roosons un comromis enre les esimaeurs RE e LU qui reose sur la echnique des moindres carrés ( our Leas Squares ondérés. Ce esimaeur de comromis résene un biais ar raor au lan de sondage lus faible que celui de l esimaeur LU quand l hohèse de lan ignorable n es as saisfaie e, simulanémen, es lus efficace que l esimaeur RE quand cee hohèse es vérifiée. Il offre aussi une ceraine roecion conre les écars ar raor au hohèses du modèle. L échanillonnage équilibré (Roall e Herson 1973 e le calage non aramérique (Chambers, Dorfman e Wehrl 1993 son d aures méhodes qui roègen conre ceraines formes d erreur de sécificaion du modèle (voir aussi Vallian, Dorfman e Roall 2000, chaires 3, 4 e 11. Touefois, aucune de ces méhodes ne roège conre les données aberranes, qui euven êre considérées comme la conséquence d une erreur de sécificaion du modèle. Dans le cas de l esimaion fondée sur un modèle, l idée qui sous-end la echnique d esimaion a éé avancée our élaborer des esimaeurs robuses au données aberranes our remlacer l esimaeur LU (Chambers 1986; Lee 1991; Welsh e Ronchei Dans le cas de l esimaion fondée sur le lan de sondage, la echnique d esimaion a aussi éé uilisée our élaborer des esimaeurs robuses au données aberranes our remlacer l esimaeur RE (e e Rives 1992; Hulliger 1995, 1999; Duchesne 1999; Zaslavs, Schener e elin L esimaion es égalemen discuée dans l aricle bibliograhique de Lee (1995 e une comaraison emirique de lusieurs esimaeurs robuses au données aberranes figure dans e e Lee (2000. Les aramères de oulaion finie son souven for sensibles à la résence de données aberranes dans la oulaion, conrairemen au aramères de modèle (oulaion infinie, qui ne déenden habiuellemen as de ces données. Par conséquen, le roblème de la robusesse au données aberranes n es as le même our les oulaions Saisique Canada, N o au caalogue

6 6 eaumon e Alavi : Esimaion robuse ar la régression généralisée finies que our les oulaions infinies. Comme le fai remarquer Chambers (1986, dans le cas des oulaions finies, c es l erreur d échanillonnage d un esimaeur (ou l erreur de rédicion dans un cadre fondé sur un modèle, e non as nécessairemen l esimaeur roremen di, qui doi êre insensible au données aberranes. Par eemle, lorsqu on uilise un lan d échanillonnage aléaoire simle, la médiane d échanillon es robuse au sens classique. Par conséquen, la résence d une valeur aberrane dans la oulaion finie n a our ainsi dire aucun effe sur sa variance ar raor au lan de sondage, aussi grande que soi la valeur aberrane. Par conre, l erreur d échanillonnage e le biais ar raor au lan de sondage de la médiane d échanillon, quand on uilise celle-ci comme esimaeur de la moenne de oulaion finie, rennen une valeur arbirairemen grande lorsqu une ou lusieurs uniés de la oulaion rennen une valeur arbirairemen grande. Cee siuaion es due au fai que la moenne de oulaion finie rend, elle-même, une valeur arbirairemen grande dans de elles condiions. Conrairemen à la médiane d échanillon, la moenne d échanillon es sans biais ar raor au lan de sondage, mais elle n es as robuse au sens classique. La résence d une donnée aberrane dans la oulaion finie eu donc avoir un effe imoran sur l erreur d échanillonnage e la variance ar raor au lan de sondage de la moenne d échanillon. Cela elique ourquoi, dans le cas de oulaions finies, on considère souven la robusesse au données aberranes comme éan un comromis enre le biais e la variance e ourquoi les données aberranes doiven habiuellemen avoir une influence, du moins dans une ceraine mesure, sur les esimaeurs. L erreur quadraique moenne (EQ es ar conséquen un crière uile our évaluer la qualié des esimaeurs des aramères de oulaion finie robuses au données aberranes. L objecif réel du résen aricle es de rouver un esimaeur robuse our remlacer l esimaeur RE habiuellemen uilisé de. Ceendan, quand on discue de quesions de robusesse, il es lus naurel de commencer ar inroduire l esimaeur oimal (LU. Donc, à la secion 2, nous discuons des hohèses qui sous-enden ce esimaeur. Nous donnons aussi les condiions sulémenaires sous lesquelles le biais asmoique ar raor au lan de sondage de l esimaeur LU es négligeable. À la secion 3, nous raions de la robusesse au lan de sondage e inroduisons l esimaeur des moindres carrés ( ondéré. À la secion 4, nous discuons de la robusesse au modèle (lus récisémen, de la robusesse au données aberranes e nous roosons la echnique d esimaion généralisée ondérée our réduire l influence des uniés don le résidu ondéré de oulaion es grand. L esimaeur roosé es convergen dans le cas d un recensemen en ce sens qu il es égal au oal de oulaion finie lorsqu on réalise un recensemen. Nous roosons deu moens raiques d aliquer les esimaeurs au enquêes olvalenes; soi nous modifions les oids des uniés influenes e nous uilisons une méhode de calage our obenir un ensemble unique de oids d esimaion robuses soi nous modifions les valeurs des uniés influenes. À la secion 5, nous discuons de l esimaion de l erreur quadraique moenne (EQ. À la secion 6, nous évaluons ceraines roriéés de la méhode roosée au moen d une éude en simulaion oran sur une oulaion finie asmérique créée à arir de données d enquêe réelles. Enfin, à la dernière secion, nous irons ceraines conclusions. 2. eilleur esimaeur linéaire sans biais Soi un veceur de variables auiliaires disonible our oues les uniés de l échanillon s e our lequel on connaî les oau de oulaion = U. Soi, en oure, X la marice conenan N lignes don la e es égale à. Le veceur eu ou non conenir ceraines variables du veceur z de variables de lan de sondage. Avan de arler de la robusesse, nous décrivons les deu hohèses (voir A1 e A2 ci-arès au suje desquelles la robusesse es souhaiée. Puis, nous eliquons brièvemen commen nous les validons. A1 Le modèle d esimaion m qui sui ien : les sachan X, our U, suiven des lois indéendanes de moenne E ( X = m β e de variance V ( 2 m X = σ v, où β e σ 2 son des aramères inconnus du modèle, v = λ e λ es un veceur de consanes connues. L indice inférieur «m» indique que les esérances e les variances son évaluées ar raor au modèle m. A2 Le lan de sondage es indéendan de sachan X; auremen di, ( s, X = ( s X, où es un veceur conenan N élémens don le e es égal à. L hohèse (A1 décri le modèle d esimaion m, qui sécifie la loi de sachan X. Nous ouvons uiliser des echniques sandard our valider ce modèle (voir, ar eemle, Draer e Smih 1980, chaire 3. L hohèse de linéarié E ( X = m β es une imorane hohèse sous-jacene au modèle d esimaion m. Il eise lusieurs moens d en évaluer la validié. On roose souven, our cela, d uiliser un grahique des résidus e βˆ en = foncion de βˆ our un cerain esimaeur sans biais ar raor à m βˆ de β. Toue endance qui se dégage de ce grahique es une indicaion que la relaion enre e n es as linéaire. Pour obenir la robusesse au écars ar Saisique Canada, N o au caalogue

7 Techniques d enquêe, décembre raor à l hohèse de linéarié, nous ouvons uiliser un modèle ossraifié quand il es ossible de ariionner la oulaion en groues homogènes e muuellemen eclusifs. Hedlin, Falve, Chambers e Koic (2001 illusren l imorance d une modélisaion minuieuse dans le cas des enquêes ar sondage. L hohèse (A2 es une condiion suffisane our que l on uisse ignorer (Rubin 1976 le lan de sondage en ce qui concerne la loi de sachan X. Auremen di, la loi de es indéendane de s arès le condiionnemen sur X. En uilisan l hohèse (A1, nous ouvons subdiviser en un erme fie Xβ e un erme d erreur aléaoire ε = Xβ. Par conséquen, si le lan de sondage es indéendan de ε sachan X, c es-à-dire si ( s ε, X = ( s X, alors l hohèse (A2 es saisfaie e le lan de sondage es ignorable. Puisque nous considérons uniquemen les lans de sondage de la forme ( s Z, un moen éviden de rendre le lan de sondage ignorable consise à inclure oues les variables de lan de sondage z dans le modèle d esimaion. Les variables uilisées our former les sraes, celles uilisées comme mesure de aille en cas d échanillonnage avec robabilié roorionnelle à la aille, e ainsi de suie, son des eemles de variables de lan de sondage. Les oids de sondage euven aussi résumer uilemen l informaion sur le lan de sondage. Noons qu il ne fau as nécessairemen inclure oues les variables de lan de sondage dans le modèle d esimaion (voir Sugden e Smih Les variables de lan qui son indéendanes de (ou ε sachan X ne devraien as êre incluses dans le modèle. Pour évaluer la validié de l hohèse (A2, l uilisaion d un grahique des résidus e βˆ en foncion des = oids de sondage (ou de oue variable de lan ourrai êre uile (voir Pfeffermann Toue endance se dégagean de ce grahique laisse enendre que les oids de sondage son corrélés à l erreur aléaoire ε e que le lan de sondage n es as ignorable en ce qui concerne le modèle d esimaion. On eu aussi recourir à des ess lus formels our évaluer la validié de cee hohèse (voir, ar eemle, Duouchel e Duncan 1983; raubard e Korn 1993; e, our d aures références bibliograhiques à ce suje, Pfeffermann Sous le modèle d esimaion m e l hohèse de lan ignorable (A2, il es facile de monrer que l esimaeur LU (Roall 1976 ˆ de rend la forme de rojecion simle ˆ = ˆ, où ˆ es défini imliciemen ar l équaion s ( ˆ = 0. (2.1 v L esimaeur LU eu aussi s écrire sous la forme ˆ = s, où les oids d esimaion LU son donnés ar 1 = v s v. (2.2 La variance ar raor au modèle Vm{(ˆ s, X} de ˆ es celle qui es la lus eie our chaque échanillon ossible armi ous les esimaeurs linéaires sans biais ar raor à m de. Une conséquence direce de ce résula es que la variance aniciée E {E (ˆ 2 m X} de ˆ es égalemen la lus eie armi ous les esimaeurs linéaires sans biais ar raor à m de, où l indice inférieur indique que l esérance es évaluée ar raor au lan de sondage. Sous l hohèse sulémenaire que la loi de, sachan X, es normale, ˆ es aussi l esimaeur du maimum de vraisemblance du veceur de aramères du modèle β. En général, l esimaeur LU ˆ n es as asmoiquemen sans biais ar raor au lan (ASP. Ceendan, sous le modèle d esimaion m, l hohèse de lan ignorable (A2 e l hohèse sulémenaire (A3 énoncée lus loin, l esimaeur LU a la roriéé d êre asmoiquemen sans biais ar raor au lan en robabilié (ASPP en ce sens que son biais relaif ar raor au lan E (ˆ / converge en robabilié vers 0 quand n e N augmenen sans borne. 2 2 A3 U E {( I}σ = O( N, U β = O ( N e σ 2 U = O( N, où σ 2 = σ 2 v e I es une variable aléaoire ficive indiquan si l unié es sélecionnée dans l échanillon ( I = 1 ou ne l es as ( I = 0. L hohèse (A3 décri le comoremen asmoique de rois quaniés de oulaion. Plus récisémen, eiger 2 2 que U E {( I } σ = O( N signifie esseniellemen qu aucun oids d esimaion LU ne devienne ro grand à mesure que la aille d échanillon e la aille de oulaion augmenen. Par eemle, si = v = 1 e que nous uilisons un lan d échanillonnage de aille fie n, alors la 2 2 condiion U E {( I}σ = O( N équivau à suoser que les oids = N / n resen bornés quand n e N augmenen l un e l aure. La reuve que ˆ es ASPP es donnée en annee e n eige as que v = λ. Par conséquen, l esimaeur LU es ASPP, même si la variance ar raor au modèle Vm ( X es sécifiée incorrecemen. Comme nous l avons fai remarquer lus hau, l esimaeur LU es efficace si le modèle d esimaion m e l hohèse de normalié iennen, de même que l hohèse de lan ignorable (A2. Sous ces hohèses e l hohèse sulémenaire (A3, l esimaeur LU es égalemen ASPP. Donc, une remière éae vers la robusesse consise à sélecionner e à valider un modèle d esimaion el que ces hohèses soien saisfaies dans la mesure du ossible. alheureusemen, en raique, il es rare qu elles Saisique Canada, N o au caalogue

8 8 eaumon e Alavi : Esimaion robuse ar la régression généralisée soien saisfaies enièremen. Par eemle, nous ourrions hésier à inclure ous les idenifians de srae dans le modèle d esimaion si le nombre de sraes es rès grand. Le cas échéan, l hohèse de lan ignorable ourrai ne as êre enièremen vérifiée. En oure, le modèle d esimaion, comris l hohèse de normalié, ourrai ne as êre vérifié our chaque variable d inérê. Conséquemmen, il n es as oujours arorié d uiliser aveuglemen l esimaeur LU ˆ de e il fau arfois recourir à des esimaeurs robuses. 3. Robusesse au lan de sondage Paran du fai que v = λ, il es facile de monrer (voir Särndal, Sensson e Wreman, 1992 age 231 que eu s erimer sous la forme =, où es défini imliciemen ar l équaion ( = 0. (3.1 v U Le veceur serai l esimaeur de β, sous le modèle d esimaion m, si l on ouvai réaliser un recensemen. Puisque es connu, rechercher un esimaeur du oal de oulaion équivau à rechercher un esimaeur de. Selon la héorie de l esimaion fondée sur le lan de sondage, un esimaeur naurel ˆ de es défini imliciemen ar l équaion ( ˆ = 0, (3.2 v s où, le oids de sondage de l unié, es égal à l inverse de la robabilié de sélecion π. L uilisaion de ˆ mène à l esimaeur RE ˆ = ˆ de. L esimaeur RE ˆ rend une forme de rojecion simle arce que v = λ (voir Särndal e coll. 1992, age 231. Nous ouvons aussi l écrire sous la forme ˆ = s, où les oids d esimaion RE son donnés ar 1. (3.3 v s v Comme nous le soulignons dans l inroducion, l esimaeur RE es robuse au biais uisque sa roriéé d êre ASP ne déend as de la validié du modèle d esimaion m ni de l hohèse de lan ignorable. Ceendan, l esimaeur RE n es as robuse à la variance, uisqu il es arfois neemen moins efficace que l esimaeur LU lorsque les deu hohèses son vérifiées. L inefficacié de l esimaeur RE es due à la fore disersion des oids de sondage. Dans le cas des enquêes aurès des ménages, cee siuaion n es as rare, à cause des nombreu redressemens de la ondéraion avan le calage. En oure, les considéraions raiques quan au choi du lan de sondage, conjuguées à l informaion limiée don on disose à l éae de la conceion du lan de sondage, roduisen fréquemmen des lans de sondage aroimaivemen ignorables. Ainsi, dans le cas des enquêes aurès des ménages, l informaion géograhique es souven la rinciale informaion auiliaire don on disose our consruire les sraes. À moins que le nombre de sraes soi rès grand, cee informaion es, en général, faiblemen corrélée au variables quaniaives d inérê, elles que les déenses ou le revenu, e à leur variable d erreur résiduelle de oulaion corresondane E =. Par conséquen, la variable de oids de sondage es, elle aussi, faiblemen corrélée à E, ce qui donne à enser que l hohèse de lan ignorable ourrai enir aroimaivemen. Cela fai aussi enser que les oids de sondage agissen lus ou moins comme un brui aléaoire lors de l esimaion de au moen de (3.2 e que leur influence ourrai êre significaivemen réduie. Par conséquen, our obenir un esimaeur robuse au lan de sondage lorsque la variabilié des oids de sondage es fore, nous roosons de rérécir (shrin les oids de sondage de façon qu ils se rarochen de la moenne e d uiliser l esimaeur ˆ ˆ =, où ˆ es défini imliciemen ar ( ˆ = 0 (3.4 s v e où es le oids «réréci» de l unié donné ar s = g( ; α. (3.5 g( ; α s Dans le deuième membre de (3.5, le rôle du raio es simlemen d assurer que s = s e celui de la foncion g ( ;α, d obenir les oids rérécis qui son moins variables que les oids de sondage. Nous suosons que cee foncion es monoone en la consane α, avec 1 g( ; α. Les esimaeurs LU e RE son ar conséquen des cas séciau erêmes de l esimaeur obenus quand α es el que g ( ;α = 1 e g ( ;α, resecivemen. Pour obenir un simle comromis enre ces deu esimaeurs erêmes, nous α roosons d uiliser g ( ; α, avec 0 α 1. Le choi α = 0 mène à l esimaeur LU, andis que le choi α = 1 mène à l esimaeur RE. En fai, l aueur de cee roosiion es Kish (1992, age 198. D aures foncions g ( ;α e d aures moens de réduire la variabilié des oids de sondage son décris dans la liéraure (voir, ar eemle, Ellio e Lile La roncaion des oids de sondage de valeur élevée ( g ( ;α = min(,α, avec α > 0 es une aroche fréquemmen uilisée our résoudre ce roblème. Elle eu êre uile lorsque les hohèses (A1 e (A2 ne son as enièremen saisfaies e qu il eise des oids de sondage anormalemen grands. Saisique Canada, N o au caalogue

9 Techniques d enquêe, décembre Une meilleure aroche ourrai consiser à ronquer les résidus ondérés don la valeur es grande. Nous ouvons our cela uiliser la echnique de l esimaion généralisée ondérée décrie à la secion suivane. L esimaeur ˆ ˆ donnés ar s eu aussi s écrire sous la forme, où les oids d esimaion son 1. (3.6 v s v Noons que les oids d esimaion, comris e en an que cas ariculiers, son calés sur les oau connus de oulaion en ce sens qu ils saisfon l équaion de calage s = (voir Deville e Särndal Robusesse au modèle (au données aberranes Comme nous le menionnons dans l inroducion, l esimaeur ˆ roège dans une ceraine mesure conre les écars ar raor à l hohèse de lan ignorable, ainsi que conre les écars ar raor au hohèses qui sous-enden le modèle. Ceendan, il n offre aucune roecion conre les données aberranes, qui euven êre considérées comme la conséquence d une erreur de sécificaion du modèle, comris un écar ar raor à l hohèse de normalié. Ainsi, l esimaeur RE es ASP quelle que soi la validié du modèle d esimaion. Touefois, sa variance ar raor au lan eu êre rès grande en résence de données aberranes dans la oulaion finie, arce qu elles euven influer foremen sur son erreur d échanillonnage lorsqu elles son sélecionnées dans l échanillon. Ce roblème risque d êre amlifié lorsque les oids de sondage son rès disersés. Dans le cas de l esimaeur d Horviz-Thomson, cee siuaion a éé bien illusrée ar l eemle du cirque de asu (1971. Naurellemen, l uilisaion de variables auiliaires efficaces au sade de l esimaion eu ermere de neuraliser l effe des valeurs aberranes sur les esimaions. alheureusemen, rès souven, ce genre de variables auiliaires ne son as disonibles, si bien que l uilisaion d esimaeurs robuses au données aberranes eu donner des résulas significaivemen meilleurs que l esimaeur. En uilisan la echnique de linéarisaion ar série de Talor (voir, ar eemle, Särndal e coll. 1992, age 235 e sachan que =, il es bien connu, e facile de monrer, qu on eu aroimer l erreur d échanillonnage de l esimaeur RE comme sui : ˆ s E, où E = es le résidu de oulaion our l unié. Par conséquen, un oids de sondage élevé associé à un résidu de oulaion (ou valeur aberrane imoran eu avoir un effe considérable sur la qualié de l esimaeur RE. De surcroî, il es facile de monrer que l erreur d échanillonnage de l esimaeur eu s erimer sous la forme ˆ = s E. Donc, un oids d esimaion élevé associé à un résidu de oulaion imoran eu influencer foremen l erreur d échanillonnage e la qualié de l esimaeur. Pour résoudre ce roblème, nous uilisons la version de Schee (Hamel e coll. 1986, ages de la echnique d esimaion généralisée ondérée our réduire l influence des uniés don le résidu ondéré de oulaion es grand. Nous obenons ainsi l esimaeur ˆ de, qui es défini imliciemen ar s 1 h h E ( ˆ ψ Q v = 0, (4.1 où E ˆ ( = ( ˆ / v, Q es un aramère d échelle de oulaion osiif e h es un oids qui eu déendre non seulemen de, mais aussi de z. Le rôle de la foncion ψ (. consise à réduire l influence des uniés our lesquelles h E ( es grand. Come enu des considéraions qui récèden, h v ou h = v es un choi naurel. Dans le remier cas, c es l influence d une grande valeur de E qui es réduie e dans le second, celle d une grande valeur de E. On ourrai choisir h v de référence à h v s il eise des valeurs aberranes dans les variables auiliaires ou que la valeur de α n es as roche de 1 (en α suosan que g ( ;α. Le oin imoran ici es que h devrai déendre des oids de sondage ou e que les choi roosés lus hau devraien ous deu donner de meilleurs résulas que les choi lus simles qui ne iennen as come des variables auiliaires z, els que h = v ou h = 1, qui réduisen l influence des grands résidus non ondérés. En oure, il convien de souligner de nouveau que nous recherchons un esimaeur robuse du veceur des aramères de oulaion e non du veceur des aramères du modèle β. En fai, lui-même n es as robuse (au sens classique our β, uisqu il eu êre foremen influencé ar la résence de données aberranes dans la oulaion finie. Par conséquen, les données aberranes doiven eercer une ceraine influence sur ˆ. L équaion (4.1 eu s écrire sous la forme d une régression linéaire ondérée : où s * ˆ (, ( ˆ Q = 0, (4.2 v ( ˆ *, Q ( r ψ r Saisique Canada, N o au caalogue

10 10 eaumon e Alavi : Esimaion robuse ar la régression généralisée e h E ( ˆ r =. Q Nous roosons de modifier comme sui la foncion bien connue ψ (. de Huber (1964 de sore que les oids * corrigés ˆ (, Q soien oujours égau ou suérieurs à 1 : ψ( r = r, si r φ, e ψ( r = sign( r ma( r /, φ, auremen, où φ es une consane osiive. Ce qui nous mène au oids corrigés, si r φ, * ( ˆ, Q = φ ma 1,, auremen. r (4.3 L algorihme des moindres carrés reondérés iéraivemen (IR our Ieraivel Reeighed Leas- Squares (eaon e Tue 1974 es souven uilisé our résoudre (4.2 e (4.3. Lors d une iéraion donnée i, on calcule d abord les oids corrigés * ( i 1 ( i 1 (, Q au (i moen de (4.3, uis on obien en résolvan (4.2 avec * ˆ (, Q e ˆ remlacés ar * ( i 1 ( i 1 (, (i Q e, (i resecivemen. Pour obenir, on calcule habiuellemen une esimaion de Q à chaque iéraion de l algorihme IR. Dans l éude en simulaion de la secion 6, nous avons uilisé Q ( i 1 = 1,483 médiane d' échanillon ondérée de ( i 1 ( h E ( ; s, (4.4 où la médiane ondérée d échanillon es calculée en uilisan les oids / h. L équaion (4.4 se rédui à la roosiion de Hulliger (1999 quand h = 1 e g ( ;α =. Nous roosons d uiliser (0 = ˆ comme veceur des valeurs de déar, uisque ˆ es facile à obenir. On réèe normalemen la rocédure iéraive jusqu à ce qu on aeigne la convergence. Pour réduire le ems machine, ariculièremen si l on uilise une méhode de rééchanillonnage our esimer l EQ, on eu se limier à une seule iéraion de l algorihme IR. À la secion 6, nous monrons emiriquemen que l eécuion d une seule iéraion donne un esimaeur du oal de oulaion don les roriéés son semblables à celles de l esimaeur enièremen iéré. Cee observaion a égalemen éé faie ar Lee (1991. L esimaeur de es donné ar ˆ = ˆ. Sous la conraine que * ˆ (, Qˆ 1, où Qˆ es un esimaeur de Q, les esimaeurs ˆ e ˆ son convergens dans le cas d un recensemen en ce sens qu ils son eacemen égau à e, resecivemen, quelle que soi la valeur de φ e de α, quand on réalise un recensemen ( π = 1, our U. Cee conraine ourrai êre uile our conrôler le biais ar raor au lan de sondage de ˆ lorsqu il eise des oids rérécis don la valeur es roche de 1. Noons que les esimaeurs ˆ e ˆ se réduisen à ˆ e ˆ, resecivemen, quand φ = ( ψ ( r = r. L esimaeur ˆ eu aussi êre erimé sous la forme ˆ = s, où les oids d esimaion son donnés ar 1 * * ˆ ˆ (, ( ˆ, ˆ Q Q. (4.5 v s v Les oids d esimaion son encore calés sur les oau connus de oulaion ( s =. Afin de déerminer les valeurs aroriées de α e φ, nous ouvons esimer l EQ de l esimaeur ˆ our diverses valeurs de α e φ au moen de données d échanillon assées ou couranes. Nous ouvons alors choisir les valeurs de α e φ qui donnen l esimaion la lus eie de l EQ. Nous discuons de l esimaion de l EQ à la secion 5. Comme le souligne Hulliger (1995, choisir adaaivemen α e φ en minimisan l EQ esimée au moen de données couranes d échanillon donne un esimaeur ˆ qui ne nécessie as l esimaion du aramère d échelle Q. En oure, cee rocédure erme de conrôler l ordre de grandeur du biais ar raor au lan de sondage de ˆ sans devoir uiliser de consanes sulémenaires. Ceendan, elle es robablemen moins efficace que l uilisaion des valeurs oimales (quoique inconnues de α e φ. Dans le cas des enquêes olvalenes, il es robable que l on obienne des valeurs différenes de α e φ our diverses variables d inérê. Si l on veu évier d uiliser lusieurs ensembles de oids, un comromis es nécessaire. En guise de remière éae vers ce comromis, nous ouvons déerminer une valeur commune de α, saisfaisane our la luar des variables d inérê. Puis, nous roosons deu moens raiques d aliquer l esimaeur ˆ sans devoir rouver de valeur de comromis our φ ; ou bien nous modifions les oids des uniés influenes e nous uilisons une aroche de calage our obenir un ensemble unique de oids d esimaion robuses, ou bien nous modifions les valeurs des uniés influenes. Nous discuons de la remière oion à la secion 4.1 e de la seconde à la secion odificaion des oids des uniés influenes Suosons mainenan que nous voulions esimer les oau de oulaion d un veceur de q variables d inérê = ( 1, 2,..., q. Nous ouvons obenir un veceur de q esimaeurs ˆ = ˆ (ˆ,,..., ˆ 1 2 de q = U, avec des valeurs oeniellemen différenes de φ our des Saisique Canada, N o au caalogue

11 Techniques d enquêe, décembre variables différenes. Pour simlifier la noaion, nous rerésenons les oids corrigés associés à la variable i ar * ( i, our i = 1, 2,..., q. Puisque les oids corrigés * ( i déenden de la variable d inérê i, nous obenons q ensembles de oids, même si nous choisissons une valeur commune de φ. e e Rives (1992, Duchesne (1999 e Hulliger (1999 on roosé d uiliser les oids corrigés * ( = * * min( (, (,..., * 1 2 ( q our obenir un ensemble unique de oids. Alors, les oids d esimaion ( son calculés en remlaçan * ˆ (, Qˆ ar * ( dans (4.5 e es esimé ar s (. ien que les oids d esimaion ( soien calés sur les oau connus de oulaion, ils ne son as calés sur le veceur des esimaions ˆ, que nous considérons comme nos meilleures esimaions au sens de la minimisaion de l EQ esimée. De surcroî, l uilisaion de s ( rodui vraisemblablemen un biais ar raor au lan de sondage lus imoran que ˆ, même si elle erme de conrôler la variance ar raor au lan de sondage. Pour résoudre ces roblèmes, nous roosons de calculer les oids d esimaion, A ( en remlaçan * ˆ (, Qˆ ar les oids corrigés * ( dans (4.5 e en augmenan le veceur de variables auiliaires e les oau connus de oulaion au moen de e ˆ, resecivemen. Par conséquen,, A les oids d esimaion ( son calés sur e ˆ, e es esimé au moen de ˆ, A = s (. Naurellemen, on ourrai vouloir limier le nombre de variables de calage, ce qui resreindrai dans une ceraine mesure l alicabilié de cee méhode lorsque la valeur de q es rès grande. 4.2 odificaion des valeurs des uniés influenes Un aure moen d aliquer l esimaeur, ˆ, en raique consise à modifier les valeurs des variables d inérê e à uiliser les oids d esimaion,, our oues les variables. Nous ouvons faire cela séarémen our chaque variable d inérê, si bien que nous revenons à la résene secion au cas d une variable d inérê unique. Commençons ar rerésener ar s o l ensemble aléaoire de oues les uniés échanillonnées our lesquelles * ˆ (, Qˆ. Auremen di, s o es l ensemble aléaoire d uniés qui on éé reconnues comme éan influenes. Posons aussi que ˆ * es défini imliciemen ar l équaion s * ( ˆ v = 0, (4.6 * où =, si s so, e =, auremen. La * quanié es une valeur modifiée de l unié influene que nous uilisons our remlacer. Noons que ˆ * = ˆ si =, our s. Nous ouvons alors * esimer le oal de oulaion ar ˆ =. Il es égalemen facile de monrer que ˆ* = s. L idée ici consise à rouver des valeurs modifiées *, our so, aussi roches que ossible des valeurs originales e saisfaisan à la conraine ˆ * = ˆ. Sous cee conraine, il es éviden que ˆ * = ˆ. Nous obenons une alicaion de cee idée en minimisan la foncion de disance s * ( 2 / v o sous la conraine ˆ * = ˆ. Cela nous mène au valeurs modifiées * = * ˆ 1 + s v o ( ˆ ˆ. s v (4.7 Cee idée es esseniellemen équivalene au calage inverse roosé ar Ren e Chambers (2002, eceé que ces aueurs on uilisé la conraine ˆ * = ˆ au lieu de ˆ * = ˆ. Nous référons cee dernière, uisqu elle rodui des valeurs modifiées qui réserven mieu la relaion enre la variable d inérê e les variables auiliaires. Il es ossible de rouver d aures moens de déerminer des valeurs modifiées qui saisfon à la conraine ˆ * = ˆ. Par eemle, il es facile de monrer que cee conraine es saisfaie quand on uilise les valeurs modifiées suivanes : ˆ, (4.8 * = a + (1 a où a * ( ˆ, Qˆ /. Les valeurs modifiées de l équaion (4.8 on une inerréaion simle : il s agi de la moenne ondérée de la rédicion robuse ˆ e de la valeur observée. oins de oids es accordé à la valeur observée quand la valeur de a es lus faible e que, ar conséquen, cee valeur observée es foremen influene. 5. Esimaion de l erreur quadraique moenne L esimaion de l EQ de ˆ eu avoir rois objecifs : i rouver des valeurs aroriées de α e φ au moen de données d échanillon anciennes ou couranes, ii évaluer la qualié des esimaions e iii faire des inférences au suje de quaniés de oulaion inconnues. Paran du fai que E (ˆ, il es facile de monrer que l EQ de ˆ eu êre aroimée ar EQ ( ˆ V ( ˆ 2 ˆ ˆ ˆ ˆ + E ( V (. (5.1 Saisique Canada, N o au caalogue

12 12 eaumon e Alavi : Esimaion robuse ar la régression généralisée Les deu derniers ermes de (5.1 son égau à ˆ 2 [E (ˆ ]. Ils rerésenen le carré du biais ar raor au lan de ˆ. Comme l on suggéré e e Rives (1992, un esimaeur évenuel de EQ ( ˆ es donné ar eqm ( ˆ V ˆ = ( ˆ ( ˆ ˆ 2 ˆ ˆ ˆ + ma 0, ( V (, (5.2 où Vˆ (ˆ e Vˆ (ˆ ˆ son les esimaeurs de V (ˆ e V (ˆ ˆ, resecivemen. Puisque la srucure de l esimaeur ˆ es comlee, les méhodes d esimaion de la variance ar rééchanillonnage offren un moen commode d esimer V (ˆ e V (ˆ ˆ. Les méhodes du jacnife, du boosra e des réliques rééées équilibrées (RR on éé décries e évaluées dans Rao, Wu e Yue (1992 our les lans d échanillonnage sraifiés à lusieurs degrés, où il es suosé que les uniés rimaires d échanillonnage son sélecionnées avec remise. Ces aueurs on monré dans une éude emirique que l esimaeur de la variance ar le jacnife eu résener un biais imoran lors de l esimaion de la variance d un esimaeur non lisse, comme la médiane d échanillon. Par conséquen, our l esimaion de la variance de l esimaeur, l esimaeur ar le jacnife ourrai êre lus biaisé que les esimaeurs ar les réliques rééées équilibrées ou ar le boosra si, à chaque iéraion de l algorihme IR, on esime Q au moen d un esimaeur non lisse el que (4.4. e e Lee (2000 on éudié emiriquemen les roriéés des méhodes du jacnife e du boosra our cerains esimaeurs robuses. Dans l ensemble, leurs résulas son encourageans. Il imore de souligner que l esimaeur ˆ doi êre recalculé our chaque rééchanillonnage. Ce eercice inclu la rééiion de la rocédure uilisée our esimer α e φ si l on esime ces valeurs au moen de données d échanillon couranes. Quand l esimaion de l EQ a our seul bu de rouver des valeurs aroriées de α e φ, il ourrai êre lus commode de considérer des esimaeurs simlifiés de l EQ afin de réduire le ems machine. Aussi roosonsnous quare moens de simlifier l esimaion de l EQ. i Nous ourrions nous limier à une seule iéraion de l algorihme IR our chaque rééchanillonnage, même si nous uilisons un esimaeur enièremen iéré. Nous ourrions roduire ainsi des esimaions de la variance raisonnables, uisque les esimaeurs iérés une seule fois e ceu iérés enièremen semblen avoir des roriéés comarables (voir la secion 6.4. ii Nous ourrions suoser que ceraines quaniés son fies (non aléaoires our l esimaion de l EQ. Cee hohèse enraînerai vraisemblablemen une sousesimaion de l EQ, mais l aroche ourrai êre uile si l esimaion de l EQ a uniquemen our bu de rouver des valeurs aroriées de α e φ. Nous ourrions, ar eemle, suoser que les oids corrigés * ˆ (, Qˆ son fies. En fai, cee aroimaion a éé roosée ar Hulliger (1999. Auremen, si nous aliquions l esimaeur en uilisan la méhode décrie à la secion 4.2, nous ourrions raier les valeurs modifiées dans (4.7 ou (4.8 comme des valeurs réelles our l esimaion de l EQ. iii Nous ourrions omere le erme Vˆ (ˆ ˆ dans (5.2, ce qui donnerai l esimaeur de l EQ suivan : eqm ( ˆ 2 = Vˆ (ˆ (ˆ ˆ +. Noons que cee aroche donne lieu à une suresimaion de l EQ. iv Nous ourrions envisager une combinaison de deu des roosiions susmenionnées. Par eemle, nous ourrions suoser que les oids corrigés * ˆ (, Qˆ son fies e omere le erme Vˆ (ˆ ˆ dans (5.2. Dans ces condiions, nous ourrions obenir un esimaeur de V (ˆ en noan que V (ˆ = V ( ˆ e en uilisan la echnique bien connue de linéarisaion ar série de Talor roosée ar inder (1983 our esimer ˆ V (. Arès des calculs algébriques simles, nous obenons l esimaeur de l EQ eqm s l s (ˆ (π l = π π l ( π l (ˆ ˆ + 2 ˆ, l ( l ˆ l (5.3 où π l es la robabilié conjoine de sélecion des uniés e l. 6. Éude en simulaion Nous avons réalisé une éude en simulaion our évaluer ceraines roriéés de l esimaeur e de l esimaeur our une oulaion finie asmérique. Plus récisémen, nous avons comaré une version de l esimaeur qui rédui l influence des résidus ondérés de oulaion don la valeur es grande à une aure qui rédui l influence des grands résidus non ondérés de oulaion. Nous avons égalemen comaré les roriéés des esimaeurs iérés une seule fois e iérés enièremen. La secion 6.1 décri la oulaion e le lan de sondage, e les secions 6.2 à 6.4, les résulas de la simulaion. 6.1 Poulaion e lan de sondage Nous avons uilisé comme oulaion les données rovenan de l Enquêe sur les déenses des ménages (ED de 1998 réalisée ar Saisique Canada. Cee Saisique Canada, N o au caalogue

13 Techniques d enquêe, décembre enquêe, qui es fondée sur un lan de sondage sraifié à lusieurs degrés, fourni des renseignemens sur lusieurs variables recueillis aurès de ménages. Nous avons choisi la variable rénovaions/réaraions comme variable d inérê, arce qu elle es lus susceible que d aures de résener des valeurs rès grandes. Nous avons créé un veceur de rois variables auiliaires binaires en subdivisan la variable revenu en rois caégories (revenu , < revenu e revenu > e nous avons choisi v = 1, our ou U. Auremen di, nous avons considéré un modèle d esimaion avec ossraificaion qui devrai êre robuse au écars ar raor à l hohèse de linéarié. Le coefficien de 2 déerminaion de oulaion ( R es égal à 0,13 our ce modèle d esimaion. Cee valeur de les enquêes aurès des ménages. À arir de cee oulaion, nous avons sélecionné échanillons don l effecif révu éai de 300 ar échanillonnage de Poisson. Nous voulions donner au ménages des robabiliés de sélecion assez disersées afin d obenir des oids de sondage variables. Nous avons donc aribué les robabiliés de sélecion de façon elle qu elles soien roorionnelles à l inverse des oids de sondage de l ED (oids qui incluen un faceur de correcion our la non-réonse. Les robabiliés de sélecion son donc 2 R es ique our * * * données ar π = ( 300 / U π π, où π, our U, es la réciroque du oids de sondage ( comris un faceur de correcion our la non-réonse rovenan des données de l ED. Le ableau 6.1 donne ceraines saisiques sommaires our cee oulaion. Nous noons que les disribuions des résidus de oulaion son rès asmériques e que l asmérie s accenue lorsque les résidus son muliliés ar les oids de sondage. La figure 6.1 monre un grahique des résidus de oulaion en foncion des oids de sondage. Premièremen, nous consaons qu il eise manifesemen une donnée aberrane avec une erreur résiduelle suérieure à e un oids de sondage ne s arochan as de 1. Heureusemen, les oids de sondage les lus erêmes ne son as associés à des résidus de oulaion imorans. En oure, bien que le grahique uisse êre romeur à cause du nombre énorme de oins qui se chevauchen, il ne semble eiser aucune relaion évidene enre les résidus de oulaion e les oids de sondage. En fai, le coefficien de corrélaion enre les oids de sondage e les résidus de oulaion es de 0,0049. Un coefficien de corrélaion aussi faible n es as aique dans le cas des enquêes aurès des ménages, our les raisons eosées à la secion 3 e donne à enser que l hohèse du lan ignorable ourrai enir aroimaivemen. Tableau 6.1 Saisiques sommaires au suje de la oulaion Variable oenne Écare Asmérie Rénovaions/réaraions ,6 Résidu de oulaion ,8 Poids de sondage ,8 Résidu ondéré de oulaion ,0 Résidu de oulaion Poids de sondage Figure 6.1. rahique des résidus de oulaion en foncion des oids de sondage. Pour chacun des échanillons, nous avons calculé les esimaions du oal de oulaion our la variable rénovaions/réaraions our l esimaeur, ainsi que our les deu versions de l esimaeur, l une qui rédui l influence des résidus de oulaion ondérés imorans ( h e l aure qui rédui l influence des résidus de oulaion non ondérés imorans ( h = 1. Pour le i e échanillon, l erreur relaive, en ourcenage, de oue esimaion ˆ i de es définie comme éan Δ i = 100 % (ˆ i /. Le biais relaif (R e la racine relaive de l erreur quadraique moenne (RREQ de ou esimaeur ˆ, erimés en ourcenage du oal de oulaion, euven donc êre esimés ar R = i = 1 Δ i /5000 e RREQ = i = 1 Δ i / 5000, resecivemen. Une aure mesure d inérê es la valeur absolue maimale de l erreur relaive, ou erreur relaive absolue maimale (ERA, erimée en ourcenage, donnée ar ERA = ma( Δ i ; i = 1, 2,..., Cee mesure eu êre uile our évaluer la sensibilié d un esimaeur à la résence d uniés influenes dans l échanillon. 6.2 Esimaeur : robusesse au lan de sondage À la résene secion, nous évaluons les roriéés de l esimaeur. La figure 6.2 illusre le R, la RREQ e l ERA de l esimaeur our 11 valeurs de α (α = 0, 0,1, 0,2, 0,3, 0,4, 0,5, 0,6, 0,7, 0,8, 0,9, 1 quand α g ( ;α. D une ar, l esimaeur LU ( α = 0 a une RREQ roche du minimum e l ERA la lus faible armi les 11 valeurs de α, mais, comme révu, donne lieu au R le lus imoran (en valeur absolue. Ce R es égal à 13,05 %, valeur qui n es as négligeable. Comme nous Saisique Canada, N o au caalogue

14 14 eaumon e Alavi : Esimaion robuse ar la régression généralisée uilisons un modèle ossraifié, ce résula donne à enser que l hohèse du lan ignorable n es as enièremen saisfaie, même si la corrélaion enre les oids de sondage e les résidus de oulaion es faible. D aure ar, l esimaeur RE ( α = 1 a un rès ei R, mais les RREQ e ERA les lus grandes, à cause de la variabilié des oids de sondage. Quand α = 0, 2, l esimaeur es biaisé, avec un R de 9,11 %, mais la valeur de son ERA es assez roche de la valeur la lus faible, e sa RREQ es la lus faible (17,94 % armi les valeurs de α considérées. Il s agi d une réducion imorane comaraivemen à la RREQ de l esimaeur RE (34,77 %. En général, les valeurs de α comrises enre 0,2 e 0,5 donnen un esimaeur de comromis raisonnable en ce qui concerne le R, la RREQ e l ERA. Noons que, our des effecifs d échanillon révus lus grands, nous nous aendons à ce que l EQ minimale soi aeine our les valeurs lus grandes de α, arce que le biais de l esimaeur eu dominer sa variance. R RREQ ERA Figure ,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1 Valeurs de alha 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1 Valeurs de alha 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1 Valeurs de alha R, RREQ e ERA de l esimaeur. Nous avons égalemen considéré l esimaeur obenu en choisissan adaaivemen, our chaque échanillon sélecionné, la valeur de α qui donne l EQ esimée la lus eie armi l ensemble des 11 valeurs de α considérées lus hau. Nous avons esimé l EQ au moen de l équaion (5.3. La valeur moenne de α sur les échanillons sélecionnés es de 0,43, c es-à-dire une valeur un eu lus grande que celle de α (0,2 donnan l EQ la lus eie (voir la figure 6.2. Cee siuaion ourrai êre due à la simlificaion faie our obenir (5.3, c es-à-dire l omission d une comosane du carré du biais ar raor au lan de sondage lors de l esimaion de l EQ. Néanmoins, ce esimaeur rerésene une amélioraion significaive ar raor à l esimaeur RE en ce qui a rai à la RREQ (26,05 % e à l ERA (217,99 %. Ce esimaeur donne aussi une amélioraion significaive ar raor à l esimaeur LU en ce qui concerne le R ( 6,24 %. Par conséquen, choisir adaaivemen la valeur de α semble mener à un comromis uile enre les esimaeurs RE e LU. Ceendan, esimer α au lieu d uiliser la valeur oimale (quoique inconnue de α enraîne une énalié en ce qui concerne la RREQ. 6.3 Esimaeur : robusesse au données aberranes Nous avons comaré deu versions de l esimaeur, l une qui rédui l influence des résidus de oulaion ondérés imorans ( h e l aure qui rédui l influence des résidus de oulaion non ondérés imorans ( h = 1. Pour la version ondérée, nous avons choisi se valeurs de φ ( φ = 10, 25, 50, 100, 150, 200, e our la version non ondérée, nous en avons choisi neuf ( φ = 2, 5, 8, 11, 14, 17, 20, 30,. Nous avons considéré uniquemen le cas α = 1, afin de ne as confondre l effe du changemen de la valeur de la consane α e celui du changemen de la valeur de la consane φ. Naurellemen, nous ourrions rouver un esimaeur lus efficace en choisissan la valeur aroriée de chacune des deu consanes. Il convien de souligner que les résulas son fondés sur une iéraion unique de l algorihme IR en (0 uilisan = ˆ comme veceur des valeurs de déar. Les figures 6.3 e 6.4 monren que la version ondérée ( h offre de meilleures ossibiliés de réduire la RREQ e l ERA des esimaeurs que la version non ondérée ( h = 1. Les deu grahiques de la RREQ résenen une courbe en forme de U. La courbe de la RREQ our h monre qu une valeur de φ comrise enre 50 e 150 aboui à une RREQ comrise enre 25 % e environ 27 %, andis que la RREQ de l esimaeur RE (dernier oin sur les grahiques es égale à 34,77 %. La courbe de la RREQ our h = 1 monre que la RREQ es d environ 30 % our les valeurs Saisique Canada, N o au caalogue

15 Techniques d enquêe, décembre de φ comrises enre 8 e 20. Dans la région où la RREQ s aroche de sa valeur minimale, l ERA es lus faible si h. Il semble donc que h ourrai mieu conrôler l effe des uniés influenes que h = 1. Comme révu, dans les deu figures, le R diminue quand φ augmene. Nous avons égalemen considéré les versions ondérées e non ondérées de l esimaeur obenues en choisissan adaaivemen, our chaque échanillon sélecionné, la valeur de φ qui donne lieu à l EQ esimée la lus faible (en uilisan l équaion 5.3 armi les ensembles de valeurs de φ considérés lus hau. La valeur moenne de φ sur les échanillons sélecionnés es de 72,34 our la version ondérée e de 10,58 our la version non ondérée. Ces moennes son calculées en ecluan les échanillons our lesquels φ = (13 échanillons our h e un échanillon our h = 1. Les deu moennes son roches des valeurs oimales de φ observées sur les figures 6.3 e 6.4 (100 our h e 11 our h = 1. La version ondérée de l esimaeur a un R de 10,24 %, une RREQ de 28,07 % e une ERA de 197,86 %. La version non ondérée de l esimaeur a un R de 8,26 %, une RREQ de 28,18 % e une ERA de 232,57 %. Par conséquen, les deu versions de l esimaeur donnen lieu à une amélioraion significaive ar raor à l esimaeur RE en ce qui concerne la RREQ e l ERA au ri d une augmenaion du R (environ 10 %. L ERA es lus faible our la version ondérée, ce qui, de nouveau, indique que cee dernière conrôle mieu l effe des uniés influenes que la version non ondérée. Ceendan, l écar enre les RREQ des deu esimaeurs es rès faible. Curieusemen, il semble que le fai d esimer φ au lieu d uiliser la valeur oimale ne fai as augmener l EQ lorsqu on uilise la version non ondérée. Cee observaion es assez difficile à eliquer R Infini Valeurs de hi R Infini Valeurs de hi RREQ RREQ Infini Valeurs de hi Infini Valeurs de hi ERA Infini Valeurs de hi ERA Infini Valeurs de hi Figure 6.3. R, RREQ e ERA de l esimaeur quand h = 1. Figure 6.4. R, RREQ e ERA de l esimaeur quand h. Saisique Canada, N o au caalogue

16 16 eaumon e Alavi : Esimaion robuse ar la régression généralisée Esimaeur Tableau 6.2 Comaraison des esimaeurs iérés une seule fois e iérés comlèemen Iéré une seule fois Iéré comlèemen R RREQ ERA R RREQ ERA Esimaeur ( h = 1, φ = 11 6,94 % 29,28 % 235,07 % 7,93 % 29,27 % 235,07 % Esimaeur ( h, φ = 100 8,14 % 25,36 % 197,86 % 8,27 % 25,33 % 196,73 % 6.4 Comaraison des esimaeurs iérés une seule fois e iérés comlèemen Comarons mainenan les esimaeurs iérés une seule fois e iérés comlèemen quand α = 1. Nous considérons uniquemen les deu cas suivans : i h = 1 e φ = 11; ii h e φ = 100. En général, l algorihme IR a convergé raidemen dans le cas de l iéraion comlèe (le nombre moen d iéraions our obenir la convergence es de 7,53 our h = 1 e de 7,29 our h, mais n a as convergé our cerains des échanillons (64 our h = 1 e 75 our h. Quand cela s es rodui, nous avons gardé l esimaion rovenan de la dernière iéraion de l algorihme IR. Il es éviden, si l on eamine le ableau 6.2, que le R, la RREQ e l ERA des esimaeurs iérés une seule fois e iérés comlèemen on des valeurs avoisinanes. Un oin qui mérie d êre souligné es que le R es un eu lus faible our les esimaeurs iérés une seule fois, observaion qui a éé faie ar Lee (1991 égalemen e qui es vraisemblablemen (0 due au fai que nous avons uilisé = ˆ comme veceur des valeurs de déar our l algorihme IR, qui es ASP our. 7. Conclusion Nous considérons, dans le résen aricle, des esimaeurs robuses our remlacer l esimaeur oimal (LU. Nous commençons ar rooser un comromis enre les esimaeurs RE e LU, c es-à-dire l esimaeur des moindres carrés (, our résoudre le roblème des écars ar raor à l hohèse du lan ignorable. Nous obenons l esimaeur ar rérécissemen des oids de sondage vers la moenne. En rincie, ce esimaeur devrai êre lus sable que l esimaeur RE lorsque l hohèse du lan ignorable ien aroimaivemen e êre moins biaisé que l esimaeur LU lorsque cee hohèse n es as enièremen saisfaie. Ces suosiions son confirmées ar une éude en simulaion oran sur une oulaion créée à arir de données d enquêe réelles. L esimaeur offre aussi une ceraine roecion conre les écars ar raor au hohèses qui sous-enden le modèle. Pour résoudre le roblème des données aberranes, nous roosons d uiliser la echnique d esimaion généralisée ondérée afin de réduire l influence des uniés our lesquelles le résidu de oulaion ondéré es imoran. Nous avons consaé, lors d une éude en simulaion, que cee méhode donne lieu à une amélioraion significaive de l EQ. Nous avons égalemen observé qu un esimaeur obenu ar iéraion unique de l algorihme IR a des roriéés semblables à l esimaeur obenu ar iéraion jusqu à la convergence. Enfin, nous roosons d aliquer les esimaeurs au enquêes olvalenes en modifian les oids des uniés influenes ou leurs valeurs. Nous esimons que les deu aroches son uiles e aiden à combler une eie faille enre la héorie e la raique. Remerciemens Les aueurs remercien sincèremen le rédaceur associé e les rois eaminaeurs de leurs remarques e suggesions consrucives. Ils remercien égalemen Cnhia occi e Wesle Yung de leurs commenaires qui on ermis de rendre l aricle lus clair. Annee Dans cee reuve, nous éliminons le condiionnemen sur X lorsque nous raions les esérances e les variances ar raor au modèle m, afin de simlifier la noaion. En uilisan le héorème de Slus, our monrer que E (ˆ / converge en robabilié vers 0 à mesure que la aille de l échanillon n e la aille de la oulaion N enden vers l infini, sous les hohèses (A1, (A2 e (A3, il suffi de démonrer que : a E β = ( / / β converge en robabilié vers 1; b E (ˆ / β converge en robabilié vers 1. Pour démonrer (a, noons que E m =1 β e 1 V m = β N 1 ( β N 2 σ 2 U N. Saisique Canada, N o au caalogue

17 Techniques d enquêe, décembre En veru de l inégalié de Chebchev, / β converge en robabilié vers 1 sous le modèle m, quand N augmene, si β = O(N e σ 2 U = O( N (hohèse A3. Pour démonrer (b, nous commençons ar noer que E m E (. = E E m (. s à condiion que l ensemble de ous les échanillons ossibles ne déende as de la oulaion qui a éé générée ar le modèle m. Conséquemmen, si l hohèse (A2 ien, il es simle de monrer que E me (ˆ / β = 1. Alors, nous noons que ˆ ˆ ˆ = + V m VmE E mv. (A.1 β β β Par conséquen, VmE (ˆ / β Vm (ˆ / β, uisque les deu ermes du deuième membre de (A.1 son égau ou suérieurs à 0. En veru de l inégalié qui récède e de l inégalié de Chebchev, E (ˆ / β converge en robabilié vers 1 sous le modèle m, quand n e N augmenen, si lim n, N Vm (ˆ / β = 0. Paran de l hohèse (A2, il es simle de monrer que V m ˆ 1 = β N 1 ( β N 2 2 {( I } N E σ 2 U Conséquemmen, lim n, N Vm (ˆ / β = 0 si β = 2 2 O (N e U E {( I } σ = O( N (hohèse A3. Ce qui achève la reuve. ibliograhie eaon, A.E., e Tue, J.W. (1974. The fiing of oer series, meaning olnomials, illusraed on band-secroscoic daa. Technomerics, 16, asu, D. (1971. An essa on he logical foundaions of surve samling, ar 1. Dans Foundaions of saisical inference, (Éds. V.P. odambe e D.A. Sro, Torono: Hol, Rinehar, e Winson, inder, D.A. (1983. On he variances of asmoicall normal esimaors from comle surves. Revue Inernaionale de Saisique, 51, Chambers, R.L. (1986. Oulier robus finie oulaion esimaion. Journal of he American Saisical Associaion, 81, Chambers, R.L., Dorfman, A.H. e Wehrl, T.E. (1993. ias robus esimaion in finie oulaions using nonarameric calibraion. Journal of he American Saisical Associaion, 88, Deville, J.-C., e Särndal, C.-E. (1992. Calibraion esimaors in surve samling. Journal of he American Saisical Associaion, 87, Draer, N., e Smih, H. (1980. Alied regression analsis, second ediion. Ne-Yor, John Wile & Sons, Inc. Duchesne, P. (1999. Esimaeurs de calage robuses. Techniques d enquêe, 25, Dumouchel, W.H., e Duncan,.J. (1983. Using samle surve eighs in mulile regression analses of sraified samles. Journal of he American Saisical Associaion, 78, Ellio,.R., e Lile, R.J.A. (2000. odel-based alernaives o rimming surve eighs. Journal of Official Saisics, 16, raubard,.i., e Korn, E.L. (1993. Hohesis esing ih comle surve daa: he use of classical quadraic es saisics ih aricular reference o regression roblems. Journal of he American Saisical Associaion, 88, e, J.-P., e Lee, H. (2000. An evaluaion of oulier-resisan rocedures in esablishmen surves. Dans The Second Inernaional Conference on Esablishmen Surves, American Saisical Associaion, Aleandria, Virginia, e, J.-P., e Rives, L.-P. (1992. Oulier resisan alernaives o he raio esimaor. Journal of he American Saisical Associaion, 87, Hamel, F.R., Ronchei, E.., Rousseeu, P.J. e Sahel, W.A. (1986. Robus Saisics: he Aroach ased on Influence Funcions. Ne-Yor, John Wile & Sons, Inc. Hedlin, D., Falve, H., Chambers, R. e Koic, P. (2001. Does he model maer for RE esimaion? A business surve eamle. Journal of Official Saisics, 17, Huber, P.J. (1964. Robus esimaion of a locaion arameer. Annals of ahemaical Saisics, 35, Huber, P.J. (1981. Robus Saisics. Ne-Yor, John Wile & Sons, Inc. Hulliger,. (1995. Esimaeurs Horviz-Thomson à l éreuve des valeurs aberranes. Techniques d enquêe, 21, Hulliger,. (1999. Simle and robus esimaors for samling. Dans Proceedings of he Secion on Surve Research ehods, American Saisical Associaion, Kalon,., e Flores-Cervanes, I. (2003. Weighing mehods. Journal of Official Saisics, 19, Kish, L. (1992. Weighing for unequal P i. Journal of Official Saisics, 8, Korn, E.L., e raubard,.i. (1999. Analsis of Healh Surves. Ne-Yor, John Wile & Sons, Inc. Lee, H. (1991. odel-based esimaors ha are robus o ouliers. Dans Proceedings of he Annual Research Conference, Washingon, DC, U.S. ureau of he Census, Lee, H. (1995. Ouliers in business surves. Dans usiness Surve ehods, (Éds... Co, D.A. inder,.n. Chinnaa, A. Chrisianson,.J. Colledge e P.S. Ko. Chaire 26, Ne-Yor, John Wile & Sons, Inc. Lile, R.J.A. (1983. Esimaing a finie oulaion mean from unequal robabili samling. Journal of he American Saisical Associaion, 78, Pfeffermann, D. (1993. The role of samling eighs hen modeling surve daa. Revue Inernaionale de Saisique, 61, Poer, F. (1988. Surve of rocedures o conrol ereme samling eighs. Dans Proceedings of he Secion on Surve Research ehods, American Saisical Associaion, Saisique Canada, N o au caalogue

18 18 eaumon e Alavi : Esimaion robuse ar la régression généralisée Poer, F. (1990. A sud of rocedures o idenif and rim ereme samling eighs. Dans Proceedings of he Secion on Surve Research ehods, American Saisical Associaion, Poer, F. (1993. The effec of eigh rimming on nonlinear surve esimaes. Dans Proceedings of he Secion on Surve Research ehods, American Saisical Associaion, Rao, J.N.K. (1966. Alernaive esimaors in PPS samling for mulile characerisics. Sanhā, Séries A, 28, Rao, J.N.K., Wu, C.F.J. e Yue, K. (1992. Quelques ravau récens sur les méhodes de rééchanillonnage alicables au enquêes comlees. Techniques d enquêe, 18, Ren, R., e Chambers, R.L. (2002. Oulier robus imuaion of surve daa via reverse calibraion. Souhamon Saisical Sciences Research Insiue ehodolog, documen de ravail 03/19, Universié de Souhamon. Roall, R.. (1976. The linear leas-squares redicion aroach o o-sage samling. Journal of he American Saisical Associaion, 71, Roall, R.., e Herson, J. (1973. Robus esimaion in finie oulaions I. Journal of he American Saisical Associaion, 68, Rubin, D.. (1976. Inference and missing daa. iomeria, 63, Särndal, C.-E., Sensson,. e Wreman, J.H. (1992. odel Assised Surve Samling. Ne-Yor, Sringer-Verlag. Soes, L. (1990. A comarison of runcaion and shrining of samling eighs. Dans Proceedings of he 1990 Annual Research Conference, Washingon, DC: ureau of he Census, Sugden, R.A., e Smih, T..F. (1984. Ignorable and informaive designs in surve samling inference. iomeria, 71, Vallian, R., Dorfman, A. e Roall, R.. (2000. Finie oulaion samling: a redicion aroach. Ne-Yor, John Wile & Sons, Inc. Welsh, A.H., e Ronchei, E. (1998. ias-calibraed esimaion from samle surves conaining ouliers. Journal of he Roal Saisical Socie, Séries, 60, Zaslavs, A.., Schener, N. e elin, T.R. (2001. Doneighing influenial clusers in surves: alicaion o he 1990 os enumeraion surve. Journal of he American Saisical Associaion, 96, Saisique Canada, N o au caalogue

Texte Ruine d une compagnie d assurance

Texte Ruine d une compagnie d assurance Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose

Plus en détail

Estimation des matrices de trafics

Estimation des matrices de trafics Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex

Plus en détail

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1 Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)

Plus en détail

Les circuits électriques en régime transitoire

Les circuits électriques en régime transitoire Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc

Plus en détail

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre. 1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%

Plus en détail

MATHEMATIQUES FINANCIERES

MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial

Plus en détail

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton) TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel

Plus en détail

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»

Plus en détail

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce

Plus en détail

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée. Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron

Plus en détail

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons

Plus en détail

Exemples de résolutions d équations différentielles

Exemples de résolutions d équations différentielles Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................

Plus en détail

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple

Plus en détail

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3 Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)

Plus en détail

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0 Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance

Plus en détail

Sommaire de la séquence 12

Sommaire de la séquence 12 Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................

Plus en détail

La rentabilité des investissements

La rentabilité des investissements La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles

Plus en détail

Caractéristiques des signaux électriques

Caractéristiques des signaux électriques Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme

Plus en détail

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement Les deux déficis, budgéaire e du compe couran, sonils jumeaux? Une éude empirique dans le cas d une peie économie en développemen (Version préliminaire) Aueur: Wissem AJILI Docorane CREFED Universié Paris

Plus en détail

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris

Plus en détail

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis

Plus en détail

Le mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité

Le mécanisme du multiplicateur (dit multiplicateur keynésien) revisité Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par

Plus en détail

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003 GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires

Plus en détail

GUIDE DES INDICES BOURSIERS

GUIDE DES INDICES BOURSIERS GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION

Plus en détail

Mathématiques financières. Peter Tankov

Mathématiques financières. Peter Tankov Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de

Plus en détail

Oscillations forcées en régime sinusoïdal.

Oscillations forcées en régime sinusoïdal. Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -

Plus en détail

Recueil d'exercices de logique séquentielle

Recueil d'exercices de logique séquentielle Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d

Plus en détail

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB) Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un

Plus en détail

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable Evaluaion des Opions avec Prime de Risque Variable Lahouel NOUREDDINE Correspondance : LEGI-Ecole Polyechnique de Tunisie, BP : 743,078 La Marsa, Tunisie, Insiu Supérieur de Finance e de Fiscalié de Sousse.

Plus en détail

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE

Plus en détail

CHELEM Commerce International

CHELEM Commerce International CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,

Plus en détail

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera

Plus en détail

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée

Plus en détail

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels. L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios

Plus en détail

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim

Plus en détail

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION 2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le

Plus en détail

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance

Plus en détail

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE 009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or

Plus en détail

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1 ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié

Plus en détail

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure

Plus en détail

Fonction dont la variable est borne d intégration

Fonction dont la variable est borne d intégration [hp://mp.cpgedpydelome.fr] édié le 1 jille 14 Enoncés 1 Foncion don la variable es borne d inégraion Eercice 1 [ 1987 ] [correcion] Soi f : R R ne foncion conine. Jsifier qe les foncions g : R R sivanes

Plus en détail

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03 CUX DE TRSISSIO RUITES CORRECTIO TRVUX DIRIGES. oyer Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03. RUIT DE FOD Calculer le niveau absolu de brui hermique obenu pour une

Plus en détail

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous

Plus en détail

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice

Plus en détail

dénombrement, loi binomiale

dénombrement, loi binomiale dénombrement, loi binomiale Table des matières I) Introduction au dénombrement 1 1. Problème ouvert....................................... 2 2. Jeux et dénombrements...................................

Plus en détail

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Ankara Üniversiesi SBF Dergisi, Cil 66, No. 4, 2011, s. 125-152 SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Dr. Akın Usupbeyli

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des

Plus en détail

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE Jean-Michel BOSCO N'GOMA CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS

Plus en détail

Séminaire d Économie Publique

Séminaire d Économie Publique Séminaire d Économie Publique Les niveaux de dépenses d'infrasrucure son-ils opimaux dans les pays en développemen? Sonia Bassi, LAEP Discuan : Evans Salies, MATISSE & ADIS, U. Paris 11 Mardi 8 février

Plus en détail

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie. / VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre

Plus en détail

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd

Plus en détail

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans

Plus en détail

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME

Plus en détail

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX

Plus en détail

Sciences Industrielles pour l Ingénieur

Sciences Industrielles pour l Ingénieur Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage

Plus en détail

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir

Plus en détail

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse

Plus en détail

Les Comptes Nationaux Trimestriels

Les Comptes Nationaux Trimestriels REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006) N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du

Plus en détail

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés

Plus en détail

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1 Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre

Plus en détail

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion

Plus en détail

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d

Plus en détail

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé

Plus en détail

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain Global Journal of Managemen and Business Research : c Finance Volume 14 Issue 1 Version 1.0 Year 2014 Type: Double Blind Peer Reviewed Inernaional Research Journal Publisher: Global Journals Inc. (USA)

Plus en détail

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION , Chapire rminale S NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION I TRANSMISSION DE L'INFORMATION ) Signal e informaion ) Chaîne de ransmission de l informaion La chaîne de ransmission d informaions es

Plus en détail

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer, En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique

Plus en détail

Estimation d une fonction de demande de monnaie pour la zone euro : une synthèse des résultats

Estimation d une fonction de demande de monnaie pour la zone euro : une synthèse des résultats Esimaion d une foncion de demande de monnaie pour la zone euro : une synhèse des résulas Ce aricle propose une synhèse des résulas des esimaions d une foncion de demande de monnaie de la zone euro dans

Plus en détail

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique ARTICLES ARTICLES PROFESSIONNELS ACADÉMIQUES PROFESSIONAL ACADEMIC ARTICLES ARTICLES Assurances e gesion des risques, vol. 79(1-2), avril-juille 2011, 1-30 Insurance and Risk Managemen, vol. 79(1-2), April-July

Plus en détail

Calcul Stochastique 2 Annie Millet

Calcul Stochastique 2 Annie Millet M - Mahémaiques Appliquées à l Économie e à la Finance Universié Paris 1 Spécialié : Modélisaion e Méhodes Mahémaiques en Économie e Finance Calcul Sochasique Annie Mille 15 14 13 1 11 1 9 8 7 6 5 4 3

Plus en détail

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little. Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene

Plus en détail

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone

Plus en détail

Des familles de deux enfants

Des familles de deux enfants Des familles de deux enfants Claudine Schwartz, IREM de Grenoble Professeur, Université Joseh Fourier Les questions et sont osées dans le dernier numéro de «Pour la Science» (n 336, octobre 2005, article

Plus en détail

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM Documen de ravail 2015 17 FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN Mahilde Le Moigne OFCE e ENS ULM Xavier Rago Présiden OFCE e chercheur CNRS Juin 2015 France e Allemagne : Une hisoire

Plus en détail

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane

Plus en détail

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,

Plus en détail

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation Impac des fuures normes IFRS sur la arificaion e le provisionnemen des conras d assurance vie : mise en oeuvre de méhodes par simulaion Pierre-Emmanuel Thérond To cie his version: Pierre-Emmanuel Thérond.

Plus en détail

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Froid indusriel : producion e applicaion (Ref : 3494) Procédés hermodynamiques, sysèmes e applicaions SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Appréhender les différens procédés hermodynamiques de producion

Plus en détail

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l

Plus en détail

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/

Plus en détail

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2 enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur

Plus en détail

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha

Plus en détail

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9

Plus en détail

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1)

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1) Parenaria Sociéé Générale Execuive relocaions Vous vous insallez en france? Sociéé Générale vous accompagne (1) offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au

Plus en détail

Cours d électrocinétique :

Cours d électrocinétique : Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS

Plus en détail

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux

Plus en détail

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes Groupe Inernaional Fiduciaire pour l Experise compable e le Commissaria aux compes L imporan es de ne jamais arrêer de se poser des quesions Alber EINSTEIN QUI SOMMES-NOUS? DES HOMMES > Une ÉQUIPE solidaire

Plus en détail

NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES

NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES BRUSSELS EONOMI REVIEW - AHIERS EONOMIQUES DE BRUXELLES VOL 5 N 3 AUTUMN 7 NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES D EXTRATION DU YLE EONOMIQUE ANNA SESS ET MIHEL GRUN-REHOMME (UNIVERSITE PARIS, ERMES- NRS- UMR78)

Plus en détail

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la

Plus en détail

Exercices de révision

Exercices de révision Exercices de révisio Exercice U ivesisseur souscri à l émissio d u bille de résorerie do les caracérisiques so les suivaes : - Nomial : 5 M - Taux facial : 3,2% - Durée de vie : 9 mois L ivesisseur doi

Plus en détail

Module : réponse d un système linéaire

Module : réponse d un système linéaire BSEL - Physique aliquée Module : réonse d un système linéaire Diaoramas () : diagrammes de Bode, réonse Résumé de cours - Caractérisation d un système hysique - Calcul de la réonse our une entrée donnée

Plus en détail

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE Erwan Le Saou - Novembre 2000. 13 La microsrucure des marchés financiers ne serai cerainemen pas au cenre d une liéraure abondane si le concep de liquidié n

Plus en détail

Investment Flows and Capital Stocks

Investment Flows and Capital Stocks Saisics Canada Invesmen and Capial Sock Division Naional Wealh and Capial Sock Secion Invesmen Flows and Capial Socks Saisique Canada Division de l invesissemen e du sock de capial Secion de la richesse

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un Bu Une Foi MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Documen d Eude N 08 ENJEUX ECONOMIQUES ET COMMERCIAUX DE L ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE

Plus en détail

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL REPUBLIQUE DU SENEGAL ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE Direcion des Saisiques Economiques e de la Compabilié

Plus en détail

prix par consommateur identiques différents prix par identiques classique 3 unité différents 2 1

prix par consommateur identiques différents prix par identiques classique 3 unité différents 2 1 3- LE MONOOLE DISCRIMINANT Le monoole eut vendre ertaines unités de roduit à des rix différents. On arle de disrimination ar les rix. Selon une terminologie due à igou (The Eonomis of Welfare, 1920), on

Plus en détail

TESTS DE RACINES UNITAIRES ET PERFORMANCE PREVISIONNELLE DES MODELES AR: APPLICATION SUR LES VARIABLES DU TRANSPORT EN FRANCE

TESTS DE RACINES UNITAIRES ET PERFORMANCE PREVISIONNELLE DES MODELES AR: APPLICATION SUR LES VARIABLES DU TRANSPORT EN FRANCE Lebanee Science Journal, Vol. 7, No., 2006 3 TESTS DE RACINES UNITAIRES ET PERFORMANCE PREVISIONNELLE DES MODELES AR: APPLICATION SUR LES VARIABLES DU TRANSPORT EN FRANCE Mahmoud Mourad Faculé de Science

Plus en détail

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION

Plus en détail