: DU JOURNALISME EVENEMENTIEL AU JOURNALISME SITUATIONNEL, LE CAS DES CORRESPONDANTS ETRANGERS DE L AGENCE FRANCE PRESSE

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1 Camille LAVILLE : DU JOURNALISME EVENEMENTIEL AU JOURNALISME SITUATIONNEL, LE CAS DES CORRESPONDANTS ETRANGERS DE L AGENCE FRANCE PRESSE Depuis 1945, le journalisme a connu des transformations conséquentes. Ces transformations s inscrivent dans un changement plus global de l environnement médiatique mondial. Nous faisons l hypothèse que l environnement médiatique, l entreprise de presse et les pratiques journalistiques ont connu un changement de configuration entre 1945 et Dans cet article, nous verrons que la période de l après-guerre se caractérise par un journalisme événementiel, le regard du journaliste étant centré sur l événement. La dépêche privilégie alors le récit et la description des événements par le biais du «factuel», modèle dominant de la dépêche. Par la suite, la multiplication des médias conjuguée à l amélioration technique des modes de transmission va inciter l agence à adopter une approche plus commerciale, notamment en ajoutant un élément de distinction à ses dépêches. Le journaliste ne se contente plus de relater l événement ; il en fournit une analyse, une interprétation qu il souhaite unique, originale et propre à susciter l attention. Le regard du journaliste va s élargir au contexte de l événement ; le journalisme situationnel devient le modèle journalistique dominant de la seconde période. Le journalisme qui prédomine dans les vingt premières années de l agence est un journalisme que l on peut qualifier d événementiel, c est-à-dire une forme du journalisme qui privilégie l événement à la description du contexte et à l explication de l événement. Dans les années cinquante, les dépêches d agence sont centrées sur l événement, les textes journalistiques sont essentiellement d ordre narratif et descriptif. La légitimité du correspondant à l étranger réside dans le fait qu il assiste à l événement, c est dans sa présence physique sur le terrain que le

2 journaliste trouve sa raison d être. Sa compétence repose alors sur sa capacité à narrer l événement et à en donner une description la plus précise possible. À cette époque, l AFP dispose d un système de genre plutôt rudimentaire qui distingue deux grandes catégories de dépêches, les factuels et les features ou papiers magazines. Le factuel n est pas nécessairement synonyme d une dépêche courte annonçant un événement qui vient de survenir, l appellation fait référence à toutes les dépêches qui traitent de l actualité «chaude» et qui la contextualisent. Les journalistes désignent donc par «factuels» aussi bien des papiers courts comme des bulletins, des flash ou des urgents que des papiers plus longs pouvant atteindre 1500 mots. De plus, le factuel est inscrit dans le temps, sa durée de validité est limitée, il est envoyé en urgence au siège via les réseaux de transmission tels le télex ou le télégraphe. Les features sont essentiellement constitués de reportages, de témoignages et de récits. Les longs papiers, les commentaires sont considérés comme des dépêches de second ordre par l agence. Les features sont essentiellement constitués de reportages, de témoignages et de récits dont le degré d urgence est relativement faible en comparaison des factuels, parviennent au siège via les services postaux. Le primat des factuels sur les autres types de dépêches s explique notamment par le coût élevé des transmissions et leur fragilité dans les années cinquante. Les correspondants étrangers, qui disposent d un budget limité pour transmettre leurs dépêches, ont une conscience aiguë du prix des transmissions. Cela les conduit à condenser leurs dépêches, à effectuer une sélection étroite de l information qu ils souhaitent voir diffuser et donc à privilégier l événement. Le journalisme événementiel coïncide avec le modèle de la dépêche factuelle. «Le factuel, c'était notre raison d'être», c est ainsi qu un ancien journaliste de l agence qualifie son activité dans les années cinquante. Sous le règne du journalisme événementiel, il n y a pas de dépêche consacrée à l analyse proprement dite, l énoncé des faits et l analyse constituent une seule et même dépêche. Si le journaliste peut effectuer des analyses et des commentaires de l événement, il ne produit que peu de dépêches

3 portant sur une situation sans qu un événement soit prétexte à la dépêche. Toutefois, la priorité accordée au factuel par la direction de l agence et donc par les journalistes eux-mêmes va être bousculée par les transformations de l environnement médiatique. Le développement des techniques de distribution des informations, l apparition de nouveaux supports (Internet, téléphone portable, canaux d information en continu, etc.), l intensification de la concurrence et la diversification des intérêts de la clientèle ont conduit l AFP à accroître sa production et à diversifier les formats des dépêches et les angles de traitement des événements. Par ailleurs, la multiplication conjointe des canaux de diffusion de l information et des acteurs médiatiques va conduire à une situation de surabondance de l offre d information. L agence évolue dans un environnement qui se caractérise notamment par un contexte de surinformation des individus. En effet, le début des années quatre-vingt a été marqué par l avènement des chaînes d information en continu qui ont permis la diffusion simultanée et mondiale d événement en direct. La chaîne CNN 1 en a été l initiatrice et s est notamment illustrée lors de la couverture de la première guerre du Golfe 2. En 1995, Internet participe a l élargissement de la sphère informationnelle. L agence est aujourd hui concurrencée intensément sur la production de factuels. Les faits étant déjà connus par les lecteurs grâce à la télévision, la radio et Internet. Les agences de presse doivent se repositionner sur le marché de l information. L agence doit réagir toujours plus vite face à la concurrence et chercher à s en distinguer en proposant des angles inédits de couverture de l événement et des formats les mieux adaptés aux besoins de ses clients. Au factuel, qui 1 Ted Turner a lancé la première chaîne télévisée d information en continu, CNN, Cable News Network le 1 er juin 1980, puis CNN International en 1985, mais c est la couverture de la première guerre du Golfe en 1991 qui signe l essor des chaînes d information en continu. 2 Nous renvoyons le lecteur aux travaux de Jocelyne Arcquembourg, «L événement en direct et en continu», Réseaux n 76, 1996, Paris, pp

4 a longtemps constitué le modèle de référence de la dépêche, s ajoutent les «papiers à attribut» qui ont connu une forte expansion ces quinze dernières années. Cette diversification des formats entraîne un accroissement de l activité de mise en forme de l information et sollicite des compétences nouvelles chez les journalistes. Elle propose donc à ses clients un large éventail de dépêches, dont quarante-deux papiers à attribut qui proposent un traitement différent de l'événement (en 1982, on compte seulement 12 papiers à attributs). Les papiers à attribut désignent tous les papiers qui n appartiennent pas au factuel et qui traitent de l événement en fonction d un choix rédactionnel (l attribut). On va trouver parmi ces papiers à attribut : différentes dépêches d analyse, le portrait, la biographie Une grande part des papiers à attribut sont des papiers d analyse. Le développement de ce type de papiers s inscrit dans le mouvement qui a vu le journalisme événementiel céder progressivement sa place au journalisme situationnel. Les dépêches ne se limitent plus à la seule description de l événement comme dans les années cinquante, mais comprennent également une mise en contexte de l événement. La compétence du journaliste repose désormais sur sa capacité à synthétiser un événement, à le contextualiser, à en donner une analyse. Dans le cadre du journalisme situationnel, les journalistes «mettre en valeur les groupes plutôt que les individus et dépendent des sources expertes extérieures. Ils expliquent une époque en se rapportant à d'autres époques. Ils se concentrent sur de grandes régions plutôt que sur des lieux particuliers, et se penchent davantage sur le comment et le pourquoi de l événement plutôt que sur l'événement lui-même.» 3 Le journaliste s apparente à un décrypteur de l information. Le journaliste rapporte les faits et les replace dans leur contexte géographique, historique, économique et culturel. Il effectue des 3 Barnhurst, Kevin G., Mutz Diana C., «American Journalism and the Decline in Event-Centered Reporting», Journal of Communication, 47.4, 1997, pp 27-53, p.44 : «emphasize groups rather than individuals and depend on outside expert sources. They explain a period by referring to other time periods. They focus on larger regions rather than particular addresses, and they emphasize the how and why rather than on the event itself.» (traduction réalisée par l auteur).

5 observations, relève des constantes, des évolutions, des contradictions qui lui permettent d en tirer des conclusions et de provoquer ainsi la réflexion chez son lecteur. Il cherche également les antécédents et les causes des événements ainsi que leurs conséquences réelles ou possibles. Mais la demande d analyse auprès des médias est telle que les journalistes sont amenés à faire appel aux experts pour parvenir à satisfaire leurs publics. Le recours aux experts répond à plusieurs fonctions. En premier lieu, le recours aux experts fournit une caution au texte journalistique et lui confère une valeur ajoutée. En second lieu, le recours aux experts est également un moyen pour les journalistes de répondre aux exigences des clients et de leur direction puisqu il permet de produire, en grande quantité et en temps record, des analyses de l événement, c est-à-dire des dépêches d analyse qui, autrement, nécessiteraient un temps de rédaction plus long que celui d un factuel. Un correspondant étranger de l AFP confirme : «On se retrouve à devoir pondre une analyse en une demi-heure. Je n ai jamais vu aucun autre journaliste à part le journaliste d'agence faire ça» 4. Le recours à l expert permet donc au journaliste de conjuguer la logique commerciale, qui exige que l on produise le plus rapidement possible des dépêches d analyse, et l exigence d expertise critique. Comme nous l avons vu précédemment les transformations de l environnement médiatique mondial survenues au cours des années quatre-vingt, ont conduit au développement des chaînes d information en continu qui sont venues concurrencer les journalistes dans la course à l événement. Ces chaînes d information en continu constituent aujourd hui non seulement un outil de veille de l information pour les journalistes mais également une source d information. Si les médias ont toujours constitué une source d information pour les journalistes («personne n écrit l actualité du jour sur une page blanche. Chacun, en somme, retouche une page en partie déjà écrite par d autres» 5 ), les modalités de la veille 4 Entretien réalisé dans le cadre de notre thèse : «Les transformations de la pratique journalistique : le cas des correspondants étrangers de l Agence France Presse de 1945 à 2005», université Laval (Québec, Canada) et université Paris VIII, Cornu, Daniel, Journalisme et vérité, Pour une éthique de l information, Genève, Labor et fides, 1994, page 309.

6 concurrentielle qui s établit désormais en temps réel, encouragent autant le mimétisme que la distinction. Non seulement les journalistes doivent s assurer qu ils traitent tous les événements couverts par leurs concurrents, mais ils doivent également produire de l innovation afin de retenir le client. Le contexte hyper concurrentiel ainsi que la rapidité avec laquelle les journalistes tendent à reproduire les choix rédactionnels et les stratégies de leurs concurrents, conduisent l agence et ses journalistes à se renouveler toujours davantage.

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