COTE D IVOIRE. FICHE TECHNIQUE Ouest Côte d Ivoire. Monitoring d un projet cash : étapes, enjeux. Introduction. Les fondamentaux du monitoring
|
|
- Fernande Delorme
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FICHE TECHNIQUE Ouest Côte d Ivoire Monitoring d un projet cash : étapes, enjeux Cadre de travail Avec le soutien d ECHO, ACF a publié au second semestre 2012 une série de fiches techniques pour aider les acteurs humanitaires de l Ouest de la Côte d Ivoire dans leurs différentes interventions. Ces fiches ont pour ambition d être concises, accessibles et tournées vers l opérationnel. Objectif Cette fiche a pour objectif de montrer les différentes étapes du monitoring et ses enjeux sur un projet de transfert d argent/de cash. Introduction Il existe différents types de transferts d argent Les populations peuvent recevoir de l argent ou des coupons Espèces. Cela peut prendre la forme d un transfert direct non conditionnel ou une rémunération contre du travail. Des conditions peuvent également être exigées avec l octroi de transferts. Ces différents types de transferts peuvent être combinés. Un projet de transfert d argent peut avoir de multiples objectifs liés aux dépenses des ménages Amélioration de la situation alimentaire et/ou nutritionnelle Amélioration de l accès à la santé et à l éducation Reconstruction de maisons Rétablissement des moyens d existence (relance d une activité commerciale, reconstitution de capital productif) Création de moyens d existence (lancement d une activité génératrice de revenus ou AGR) Soutien social sur le long-terme («filet de Etc. sécurité» avec des pensions de retraites, allocations familiales, etc.) => Cette diversité de modalités et d objectifs fait du transfert d argent un projet souvent complexe à suivre. Cette fiche donne des indications pour assurer un monitoring complet et à la fois relativement simple. Les fondamentaux du monitoring 4 niveaux de monitoring 1. Processus de distribution 2. au niveau des ménages 3. sur le marché et l économie 4. plus large sur la situation de la sécurité alimentaire et des moyens d existence Un système de monitoring solide => Une situation de référence pour point de comparaison (Etude de référence ou baseline) => Une collecte auprès des bénéficiaires et d un groupe témoin d un même niveau de vulnérabilité => Une collecte de données quantitatives et qualitatives => Des outils de collecte et d enquête diversifiés => Une multiplicité de sources : communautés, ménages ciblés, autorités, équipe terrain, autres ONG => Un système de remontée des plaintes Important : Le système de monitoring doit être planifié en début de projet, comme toute autre activité. 1
2 . Une composante de suivi marché (prix, disponibilité, dynamique globale). Souvent négligée, cette composante n en reste pas moins fondamentale. Pour plus de détails sur le suivi de la dynamique marché, se référer à la note «Evaluation et suivi de la dynamique marché, ACF, 2012». Identification des besoins et définition du projet Des thématiques spécifiques à considérer pour un projet de transfert d argent : la question de la sécurité, les dynamiques communautaires ou intra-ménages ou l utilisation de l argent. Monitoring dans le cycle d un projet cash Exemple de suivi sur un projet de 3 distributions simultanées de cash Identification des indicateurs M&E => Production d un plan de monitoring Etude d impact Endline => ménage => Evaluation du projet Analyse de l évolution des données Activités de préparation pour la mise en place du projet Etude de référence => ménage => Tous les indicateurs du cadre logique doivent être présents pour avoir un point de comparaison préprojet. En continu : Suivi marché + Suivi plaintes Tous les indicateurs du cadre logique doivent être pris en compte pour avoir un point de comparaison pré-projet. Monitoring post-distribution () N 2 => ménage => Mise en oeuvre: Distribution cash 3 Particulièrement important si le N 1 a mis en avant des problèmes. Si aucune difficulté particulière n a été notée dans le N 1, le N 2 peut-être plus léger : quelques groupes de discussions peuvent être suffisants. Mise en oeuvre: Distribution cash 2 Mise en oeuvre: Distribution cash 1 Monitoring post-distribution () N 1 => ménage => Monitoring de l activité de distribution => Monitoring sur site : par ex. vérification identité et quantités => Rapport de distribution => Système de remontée de plaintes Axé sur l utilisation de l argent mais surtout sur les modalités de distribution : sont-elles adaptées? Difficultés rencontrées? Permet de faire des ajustements pour les prochaines distributions. 2
3 Une base commune pour le monitoring mais avec des spécificités selon l objectif du programme, le type de transfert d argent choisi, la conditionnalité. Il n existe donc pas de système de monitoring standard. Niveau de monitoring Processus de distribution Niveau 1 ménage Niveau 2 Thème Suivi du processus de distribution (ciblage, réception et utilisation de l argent, pertinence des modalités, analyse des plaintes, etc.) Suivi de la conditionnalité (contre travail, contre la participation à une formation, etc.) Degré d atteinte de l objectif du projet Evaluation de l impact sur les dépenses et revenus du ménage Suivi com mun Suivi spéci fique Commentaire Tous les thèmes communs. Uniquement la partie modalités à adapter au processus choisi : retrait bancaire ou transfert par téléphone ou distribution directe, etc. Suivre par exemple le taux de présence / taux de participation aux formations/aux travaux. Dépend de l objectif. Un objectif d amélioration de la sécurité alimentaire n impliquera pas le même monitoring (indicateurs, outils de collecte) qu un objectif de reconstruction d abris. A considérer systématiquement, indépendamment de l objectif du programme. Evaluation de l impact sur la communauté (cohésion, développement) A considérer systématiquement, indépendamment de l objectif du programme. marché Niveau 3 Evaluation de l impact sur le marché : prix, disponibilité, dynamique globale des marchés Suivi marché standard (prix des denrées de base, situation des marchés dans la zone : fréquentation, disponibilité des produits) systématique En fonction de l objectif du programme, approfondir l analyse sur tel ou tel aspect et adapter la liste des denrées suivies ; argentcontre travail => détails sur les coûts de la main d œuvre ; argent pour construction abri => disponibilité et coûts des matériaux, etc. contexte sécurité alimentaire Niveau 4 Evaluation de l impact plus large sur le contexte sécurité alimentaire et moyens d existence / effets indirects A considérer systématiquement, indépendamment de l objectif du programme. Se référer à l annexe pour un contenu de monitoring plus détaillé pour les 3 premiers niveaux : suivi du processus de distribution, impact à l échelle du ménage et impact marché. 3
4 Indicateurs suivis De même qu il n existe pas de système de monitoring standard, il est difficile de donner une liste d indicateurs à suivre de manière systématique; cependant, certains sont communément suivis. Dans cette perspective peuvent être dissociés les indicateurs à inclure sur tous types de projets (quel que soit son objectif, le projet a une influence sur les revenus, la structure des dépenses, les stratégies d adaptation utilisées, et souvent également sur l alimentation) et ceux qui sont liés à un objectif sectoriel spécifique. Indicateurs d impact Tout objectif : impact sur les moyens de subsistance (revenus, alimentation, stratégies d adaptation) Niveau de revenus Indicateurs processus de distribution Tous types de projets Réception de l argent Montant de l enveloppe distribuée Nombre de bénéficiaires ayant reçu l argent Organisation de la distribution Temps de transport jusqu au site de distribution et coût Temps d attente sur le site avant de recevoir l argent Sécurité Nb de cas de vols recensés Nb de problèmes de sécurités recensés (autre que vol) : intimidation, bagarre, etc. Structure des dépenses : montant alloué à chaque dépense ; place du remboursement des dettes Consommation alimentaire => Score de consommation alimentaire (SCA WFP, FCS Technical Guidance Sheet, 2008 => Score de diversité des ménages (SDM ou «HDDS») FANTA, HDDS Indicator Guide, 2006 (pour HDDS et IDDS => Score de diversité des enfants (SDE ou «IDDS») FANTA, HDDS Indicator Guide, 2006 (pour HDDS et IDDS Utilisation des stratégies d adaptation négatives Index de stratégie d adaptation (ISA ou «CSI») WFP, The coping strategies Index, Field Method Manuals, 2008 Objectifs sectoriels AGR : revenus générés par les investissements Reconstitution de cheptel : nb de têtes achetées Reconstruction d abris : nombre d habitations construites ; proportion des subventions consacrées à la construction d abris Education : nb d enfants scolarisés Indicateurs pour le projet Argent contre Travail Indicateurs d impact Effets sur le marché du travail local : rémunérations, opportunités d emploi, concurrence, etc. Utilité et durabilité des travaux réalisés Effets sur les autres activités agricoles (agricoles par ex.) et/ou sur les obligations sociales/familiales Indicateurs de résultats Nombre de personnes qui ont travaillé, ventilé par genre Nombre total de jours travaillés dans le cadre du projet Nombre de journées travaillées en moyenne par ménage 4
5 Un système tourné vers la remontée des problèmes Conseils Contrôler, vérifier et re-contrôler : A chaque étape de la distribution de multiples contrôles doivent être effectués, et cela par différentes personnes : cohérence des listes, concordance des montants de paiements entre partenaires, etc. Utiliser différents outils de monitoring afin de favoriser la triangulation des données. «Donner de la voix» aux communautés : Les problèmes sont souvent remontés par la communauté elle-même. Plusieurs systèmes peuvent être mis en place pour favoriser la remontée d informations : groupes de discussions, boîte ou cahier de doléances, visites régulières des moniteurs, etc. Exemples de difficultés pouvant être rencontrées : Difficultés ou problèmes Enregistrement des bénéficiaires : absence de cartes d identité, «éclatement artificiel» des familles, données communiquées erronées pour accentuer la vulnérabilité ; Fraude : usurpation d identité, tentative de détournement des cartes de bénéficiaires non distribuées (cartes de personnes non identifiées après recensement) ; Tensions intra ou intercommunautaires : par jalousie, il est fréquent que des informations erronées circulent sur le projet (favorisation d une communauté par ex.). Comment les problèmes sont-ils remontés? par le contrôle des personnes en charge du projet (Responsable Programme, Coordinateur, partenaire financier) ; par le système de monitoring en place (enquêtes, groupes de discussion, etc) ; par les communautés elles-mêmes qui comprennent les enjeux ; par les équipes de terrain qui ont pu observer des problèmes pendant leurs activités de terrain ; par les autres ONGs qui ont transmis des informations entendues sur le terrain. Conclusions Même si tout système de monitoring d un projet cash a une base commune, il intègre des spécificités (thèmes abordés, indicateurs) liées à l objectif de l activité, au type de transfert choisi, et à la conditionnalité ; Le marché, en tant que composante fondamentale d un projet cash, doit être suivi de près ; Le système de monitoring doit être solide et utilisé des outils de collecte et d enquête diversifiés; Il doit permettre une identification rapide des problèmes; Les communautés sont une source importante de remontée d informations tout au long du projet ; il ne faut pas les négliger. Action contre la Faim est une organisation non-gouvernementale, apolitique et à but non lucrative 5
6 ANNEE : CONTENU DU MONITORING Monitoring du processus de distribution Monitoring de l impact marché Monitoring de l impact ménage Aspect suivi Enquête Outils de collecte Aspect suivi Enquête Outils de collecte Aspect suivi Enquête Outils de collecte 1. Ciblage : transparence, efficacité 2. Réception de l argent : temps d attente, suivi des taxations, montants reçus 3. Modalités de distribution (téléphone, retrait banque, directe) : efficacité, pertinence 4. Problèmes de sécurité, taxations Informations du recensement Rapports de distribution internes 1. Dépenses des ménages au marché 2. Accessibilité des marchés 3. Disponibilité des denrées 4. Evolution des prix des denrées Groupe de discussion Groupe de discussion Suivi des prix 1 : communautés + commerçants 1. Utilisation de l argent 2. Evolution de la structure des dépenses du ménage 3. Endettement et accès au crédit 4. Utilisation des stratégies d adaptation Groupes de discussion 5. Système de remontée de plaintes : niveau d utilisation par la communauté, efficacité du système 5. Niveau d endettement des commerçants, accès au crédit et Informateurs clés commerçants 5. Evolution de la consommation alimentaire : en quantité et en qualité 6. Comptage des plaintes et actions de résolution Analyse de l outil de suivi des plaintes 6. Evolution de l activité commerciale / des opportunités d emploi sur les marchés et Informateurs clés commerçants 6. Statut nutritionnel suivi MUAC Mesure 7. Evolution des moyens d existence 8. Harmonie intraménage et intracommunautaire Groupes de discussion
Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN)
1 TERMS OF REFERENCE Pour l Evaluations Externe d ACF Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) Programme Financé par PAM Référence du Contrat CI D4C 20 septembre
Plus en détailINTERVENTIONS D AIDE ALIMENTAIRE (IAAs)
INTERVENTIONS D AIDE ALIMENTAIRE (IAAs) I. PRESENTATION GENERALE I.1. Définition Les interventions d aide alimentaire (IAAs) apportent les denrées alimentaires nécessaires aux gens affectés par une crise
Plus en détailEvaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire
Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Date : L évaluation multisectorielle s est déroulée du 26 au 28/08/2015. Zone d évaluation : Localité
Plus en détailDOCUMENT DE REFERENCE SUR LES PROGRAMMES DE TRANSFERT MONETAIRE EN MAURITANIE
DOCUMENT DE REFERENCE SUR LES PROGRAMMES DE TRANSFERT MONETAIRE EN MAURITANIE Rapport final ********** BELEMVIRE Adama 01 BP 5385 Ouagadougou 01 Tél : +226 70254553 E-mail : belemvireadama@yahoo.fr Février
Plus en détailBilan de Santé financière Mango. La gestion financière de votre ONG est-elle saine?
Bilan de Santé financière Mango La gestion financière de votre ONG est-elle saine? Version 3 2009 Mango Management Accounting for Non-Governmental Organisations / Gestion Comptable pour les Organisations
Plus en détailAPPEL A COMMUNICATIONS
APPEL A COMMUNICATIONS Colloque régional UEMOA-CRDI sur Intégration régionale et stratégies régionales de réduction de la pauvreté 8-10 décembre 2009, Ouagadougou, Burkina Faso Délai de soumission de résumé
Plus en détailBETTERTHANCASH. La mise en œuvre d une aide alimentaire sous forme de paiements électroniques au Kenya : Étude de cas : le Kenya HIGHLIGHTS
BETTERTHANCASH A L L I A N C E Empowering People Through Electronic Payments Étude de cas : le Kenya HIGHLIGHTS Mars 2014 La mise en œuvre d une aide alimentaire sous forme de paiements électroniques au
Plus en détailINTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------
INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailLES MINI-GUIDES BANCAIRES. Repère n 14. Le droit au compte FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE
LES MINI-GUIDES BANCAIRES Repère n 14 Le droit au compte FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE octobre 2004 Ce mini-guide vous est offert Tous droits réservés. La reproduction totale ou partielle des textes de
Plus en détailTRANSFERTS MONÉTAIRES PAR LE BIAIS DE CARTES
TRANSFERTS MONÉTAIRES PAR LE BIAIS DE CARTES GUIDE PRATIQUE DES PROGRAMMES DE TRANSFERTS MONÉTAIRES EN SITUATIONS D URGENCE THE CASH LEARNING PARTNERSHIP www.cashlearning.org AU SOMMAIRE DE CE GUIDE :
Plus en détailTRAVAILLER AVEC LES BANQUES
TRAVAILLER AVEC LES BANQUES GUIDE PRATIQUE DE NÉGOCIATION AVEC LES BANQUES DANS LE CADRE DE PROGRAMMES DE TRANSFERTS MONÉTAIRES THE CASH LEARNING PARTNERSHIP www.cashlearning.org AU SOMMAIRE DE CE GUIDE
Plus en détailFACTSHEET HAITI DEUX ANS APRES
HAITI DEUX ANS APRES Les actions de la Commission européenne pour reconstruire le pays Janvier 2012 Table of contents 1 L aide de l UE en bref 3 2 L aide humanitaire de la Commission européenne à Haïti.
Plus en détailmon compte- LE 1 ER COMPTE sans banque utile économique fiable
mon compte- LE 1 ER COMPTE sans banque utile économique fiable 01 SOMMAIRE 100% UTILE p 4 Le 1 er compte sans banque 0% TOXIQUE p 6 Ce que Compte-Nickel vous épargne MAÎTRISEZ À 100% p 8 Les tarifs des
Plus en détailFORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION
FORMATION PRO BONO GÉRER LA COMPTABILITÉ D UNE PETITE ASSOCIATION Pour plus d informations, visitez www.marathonprobono.fr/campus-hec-2012 Préambule Ce contenu pédagogique est destiné aux responsables
Plus en détailAnalyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré
Analyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré Considérations générales Ce rapport synthétique est issu de l étude d une organisation
Plus en détailVOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE
VOUS ÊTES TUTEUR D UNE PERSONNE MAJEURE LES PREMIÈRES DÉMARCHES Devenir tuteur familial Une gestion prudente et avisée Vous venez d être nommé tuteur d un majeur à protéger La tutelle est un régime de
Plus en détailLa crise n'a pas entamé la générosité des belges
INSTITUT POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE Institut pour un Développement Durable Chaussée de Chastre, 113 B-5140 Sombreffe Tél : 0484.109.764 E-mail : idd@iddweb.be La crise n'a pas entamé la générosité des
Plus en détailSCHEMA POUR LE RAPPORT FINAL DU (CO-)FINANCEMENT
SCHEMA POUR LE RAPPORT FINAL DU (CO-)FINANCEMENT (s appliquant aux projets d aide d urgence, de réhabilitation/ reconstruction et de prévention/ réduction des risques et de résilience) Le rapport final
Plus en détailRégime enregistré d épargne-études (REEE) Le REEE, un jeu d enfant
Régime enregistré d épargne-études (REEE) Le REEE, un jeu d enfant Pour un avenir de classe Conçu pour vous aider à financer des études postsecondaires à temps plein ou à temps partiel, le REEE vous donne
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailCaLP ARGENT CONTRE TRAVAIL. Travailler avec les banques Guide pratique de négociation dans le cadre des transferts monétaires en situations d urgence
CaLP ARGENT CONTRE TRAVAIL Travailler avec les banques Guide pratique de négociation dans le cadre des transferts monétaires en situations d urgence 4 CaLP ARGENT TRAVAILLER CONTRE AVEC TRAVAIL LES BANQUES
Plus en détailGuide de demande de subvention pour la création d une équipe de santé familiale
Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Guide de demande de subvention pour la création d une équipe de santé familiale Mise à jour : mai 2010 Version 3.1 Table des matières À
Plus en détailCONDITIONS PARTICULIÈRES FINANCEMENT DU PROJET ARTICLE
MAIRI-SOLIES Mutuelle des Associations d'immigrés Résidents en Italie Membre du Réseau SOLILES Via Angera 3, 20125 Milano Tel: 0039 0287394827/5130 Fax: 0039-0287398408 Cell: 0039 3272413948 CF. 97523800155
Plus en détailL ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Plus en détailFCPE AG2R LA MONDIALE ES CARMIGNAC INVESTISSEMENT. Notice d Information
FCPE AG2R LA MONDIALE ES CARMIGNAC INVESTISSEMENT Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000097549 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun
Plus en détailEssentIA. REER collectif. Rencontre d adhésion
EssentIA REER collectif Rencontre d adhésion Ordre du jour Introduction Caractéristiques de votre régime Planifiez votre retraite en deux temps, trois mouvements! Étape 1 : Fixez-vous un objectif de retraite
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailUn Guide Pratique Pour La Mise En Oeuvre Des Interventions Monétaires
Un Guide Pratique Pour La Mise En Oeuvre Des Interventions Monétaires Cette publication est rendue possible grâce au soutien généreux du peuple américain à travers de l Agence des Etats-Unis pour le développement
Plus en détailMobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite
Plus en détailL importance de l épargne et des investissements hors ferme pour favoriser le transfert des entreprises agricoles
Colloque gestion et établissement Succombez à la tentation de gérer! 2 et 3 novembre 2009 L importance de l épargne et des investissements hors ferme pour favoriser le transfert des entreprises agricoles
Plus en détailIntegrating Nutrition and food security programming. Sharing Good practices Tchad / 2014
Integrating Nutrition and food security programming Sharing Good practices Tchad / 2014 SECTION 1: OVERVIEW. Title of project/programme/initiative Implementing/responsible organisations(s) Geographical
Plus en détailEtude des effets des transferts monétaires Projet TES. Commune de Tikwobra - Moughataa de M bout - Wilaya du Gorgol République Islamique de Mauritanie
Etude des effets des transferts monétaires Projet TES Commune de Tikwobra - Moughataa de M bout - Wilaya du Gorgol République Islamique de Mauritanie Version finale - Septembre 2013 1 Avant-propos Ce document
Plus en détail5.11 Programme de subventions aux entreprises adaptées
5.11 Programme de subventions aux entreprises adaptées 5.11 PROGRAMME DE SUBVENTIONS AUX ENTREPRISES ADAPTÉES 2014-02-17 Table des matières Page 2 sur 16 Table des matières RÉFÉRENCE 1. INTRODUCTION...
Plus en détailPlan comptable des associations et fondations
Plan comptable des associations et fondations Classe 1 - Comptes de capitaux Classe 2 Comptes d immobilisations Classe 3 Comptes de stocks Classe 4 Comptes de tiers Classe 5 Comptes financiers Classe 6
Plus en détailACCÉDER. aux services. Brochure d information sur les services, les offres du Groupe La Poste et leurs accès aux gens du voyage
ACCÉDER aux services Brochure d information sur les services, les offres du Groupe La Poste et leurs accès aux gens du voyage 1 Souhaitant faciliter la relation avec tous ses clients, le Groupe La Poste
Plus en détailLe PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé
Loi1901.com présente : Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé (Prenant en compte les nouvelles dispositions du règlement N 99-01 du 16 février 1999 relatif aux modalités d établissement des comptes
Plus en détailPrévoir sur mesure et profiter outre mesure
ÉPARGNE 3 PORTFOLIO 3 Prévoir sur mesure et profiter outre mesure Avec des solutions de prévoyance 3 e pilier. Des réponses concrètes à vos interrogations Un 3 e pilier à votre mesure Pour un présent serein
Plus en détailMouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge. Lignes directrices sur les programmes de transferts monétaires
Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge Lignes directrices sur les programmes de transferts monétaires CICR et Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge
Plus en détailRÉGIME ENREGISTRÉ D ÉPARGNE-INVALIDITÉ
EXPERTISE ACCOMPAGNEMENT SOLIDITÉ RÉGIME ENREGISTRÉ D ÉPARGNE-INVALIDITÉ EXPERTISE ACCOMPAGNEMENT SOLIDITÉ QUELS SONT LES AVANTAGES DU REEI? En cotisant à un REEI ouvert pour vous-même ou pour un proche
Plus en détailPréparation des programmes européens 2007-2013
Préparation des programmes européens 2007-2013 Présentation AGILE 9h30-10h30 8 Préparation des programmes européens 2007-2013 Le contexte La méthode de travail État d avancement des travaux : bilan, diagnostic
Plus en détailPerformance 2010. Eléments clés de l étude
Advisory, le conseil durable Consulting / Operations Performance 2010 Eléments clés de l étude Ces entreprises qui réalisent deux fois plus de croissance. Une enquête sur les fonctions ventes et marketing.
Plus en détailLes placements des organismes d assurance à fin 2012
Les placements des organismes d assurance à fin 212 Gaël HAUTON Secrétariat général de l Autorité de contrôle prudentiel et de résolution Direction des Études Omar BIROUK et Alain Nicolas BOULOUX Direction
Plus en détailInformations aux athlètes en matière de fiscalité et de finances
Table des matières 1. Introduction 2. Revenus 3. Dépenses 4. Impôts 5. Budget 6. Planification financière 7. Assurances 8. Épargne-retraite 9. Autres responsabilités 10. Remarques finales 1 1. Introduction
Plus en détailPROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012 MISSION «ECONOMIE» COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS PRETS ET AVANCES A DES PARTICULIERS OU A DES ORGANISMES PRIVES
1 24 novembre 2011 PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012 - MISSION «ECONOMIE» ET COMPTE DE CONCOURS FINANCIERS PRETS ET AVANCES A DES PARTICULIERS OU A DES ORGANISMES PRIVES Examen en séance publique : lundi
Plus en détailDECRET DE CREATION DE AGENCE NATIONALE DE L ENVIRONNEMENT (ANDE)
DECRET DE CREATION DE AGENCE NATIONALE DE L ENVIRONNEMENT (ANDE) Décret n 97-393 du 9 juillet 1997 portant création et organisation d un établissement public à caractère administratif dénomme Agence Nationale
Plus en détailExpériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure urbaine
v Renforcement des compétences opérationnelles dans le développement mené par la communauté 15 au 19 avril 2002 Washington, D.C. Expériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure
Plus en détailADOPTER UNE STRATÉGIE PATRIMONIALE SUR MESURE AVEC PIERRE DE SOLEIL
PIERRE DE SOLEIL ADOPTER UNE STRATÉGIE PATRIMONIALE SUR MESURE AVEC PIERRE DE SOLEIL PARCE QUE VOUS SOUHAITEZ Accéder à une gestion financière sur mesure Optimiser la fiscalité de votre patrimoine Préparer
Plus en détailL essentiel sur. Tenir ses comptes et faire son budget
L essentiel sur Tenir ses comptes et faire son budget Les enjeux Suivre ses comptes Tenir ses comptes et faire son budget, c est avoir une meilleure vision de ses ressources et de ses dépenses. Vous savez
Plus en détailPôle emploi international Service juridique Expaconseil. La protection sociale du salarié en poste à l étranger
La protection sociale du salarié en poste à l étranger La sécurité sociale française distingue deux statuts : le détachement et l expatriation. Pour résumer il est possible de dire que le détacher reste
Plus en détailN o t e m é t h o d o l o g i q u e. Art. 60 du règlement n 1083/2006 et art. 13 du règlement n 1828/2006 - voir annexe n 1.
Modalités de réalisation du contrôle de service fait des opérations cofinancées au titre des programmes du Fonds social européen, pour la période 2007-2013 N o t e m é t h o d o l o g i q u e Sources règlementaires
Plus en détailFlash News. Mesures de politique sociale et nouvel impôt pour les personnes physiques en 2015
www.pwc.lu/hrs Flash News Mesures de politique sociale et nouvel impôt pour les personnes physiques en 2015 24 mars 2015 Le 19 décembre dernier a été voté le premier volet des mesures retenues dans le
Plus en détailRecommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin
Comité des Parties de la Convention du Conseil de l'europe sur la lutte contre la traite des êtres humains Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la
Plus en détailLes Fiches de projet et leur canevas
Les Fiches de projet et leur canevas République du Burundi Ministère de la Sécurité Publique Agence nationale d exécution : Fiche de Projet1 Titre du Projet : Renforcement des capacités de planification
Plus en détailLa réforme des pensions expliquée
La réforme des pensions expliquée TABLE DES MATIÈRES 1. LA PENSION ANTICIPÉE... 2 1.1. SITUATION AVANT LA RÉFORME... 2 1.2. SITUATION À PARTIR DU 1 ER JANVIER 2013... 2 1.3. LES MESURES DE TRANSITION...
Plus en détailLe financement de l apprentissage informel
Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailREFERENCES SUR LES INDICATEURS
L i s t e b i b l i o g r a p h i q u e REFERENCES SUR LES INDICATEURS E t u d e G C P Nathalie Wilbeaux Actualisée en Juillet 2007 Bibliographie sélective sur les «indicateurs» - Etude GCP 2003-2007-
Plus en détailCDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France
CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans
Plus en détailÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE
ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent
Plus en détailINDICES DE PRIX EXPÉRIMENTAUX DES SERVICES FINANCIERS
Distr. GÉNÉRALE CES/AC.49/2003/9 29 septembre 2003 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE (CEE-ONU) ORGANISATION INTERNATIONALE DU TRAVAIL (OIT) CONFÉRENCE
Plus en détailaction sociale en faveur des personnels de l académie de Paris et des retraités résidant à Paris
action sociale en faveur des personnels de l académie de Paris et des retraités résidant à Paris 2014 2015 Sommaire - Les bénéficiaires de l action sociale 3 - Les différentes allocations proposées aux
Plus en détailLa comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets.
La comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets. STAND 114 SOMMAIRE 1. Rôles et objectifs de la comptabilité analytique a) Rôle b) Objectifs 2. Organisation
Plus en détailStratégies relatives au compte d épargne libre d impôt
Stratégies relatives au compte d épargne libre d impôt Le gouvernement du Canada a annoncé la création du compte d épargne libre d impôt (CELI) à l occasion de son budget de 2008, puis a procédé à son
Plus en détailChiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M
Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars
Plus en détailPRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP
DOSSIER N :. PRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP Emprunteur Co-emprunteur Mr Mme Mr Mme Nom d usage (en majuscules) :..... Nom de famille (nom de jeune fille) :.. Prénoms :.. Nom d usage (en majuscules)
Plus en détailTableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents
Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins
Plus en détailManuel de l utilisateur du système en ligne pour les demandes de subvention ainsi que pour les rapports sur leur utilisation
Manuel de l utilisateur du système en ligne pour les demandes de subvention ainsi que pour les rapports sur leur utilisation Fonds de contributions volontaires des Nations Unies contre les formes contemporaines
Plus en détailProgramme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel
Programme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel Décembre 2008 TABLE DES MATIÈRES MESSAGE AUX INTERVENANTS... 3 PROGRAMME CANADIEN POUR L ÉPARGNE-ÉTUDES (PCEE)... 4 MÉTHODOLOGIE DU RAPPORT...
Plus en détailPartie II Données, indicateurs et sources d information
Partie II Données, indicateurs et sources d information WFP / Name and Surname Table des matières de la Partie II 1 Introduction 45 2 Plan d analyse 46 3 Besoins d information 49 4 Informations contextuelles
Plus en détailGestion des finances personnelles. Planifier stratégiquement mes finances personnelles. 30 heures
Gestion des finances personnelles Planifier stratégiquement mes finances personnelles 30 heures Automne2015 Thématique générale du cours Ce cours traite les trois grands objectifs de la planification financière
Plus en détailI. Les entreprises concernées et l opération
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 14-DCC-20 du 17 février 2014 relative à l affiliation de la Mutuelle Nationale des Personnels Air France à la Société de Groupe d Assurance Mutuelle Macif L Autorité de
Plus en détailCommentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Plus en détailAlliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest
Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Guide Méthodologique de Conduite du Dialogue Inclusif Pays «Formulation des Priorités Résilience Pays (PRP-AGIR)» Version Finale (Septembre
Plus en détailCommission. départementale d action sociale
Commission départementale d action sociale BILAN 2014 Crédits alloués, consommation, type de secours Evolution comparative, Fonctionnement de la CDAS,. En résumé Le commentaire des chiffres présentés a
Plus en détailControle prudentiel des régimes de pension publics et privés: le cas de la Belgique
Controle prudentiel des régimes de pension publics et privés: le cas de la Belgique FANAF Symposium sur la protection sociale en Afrique Abidjan 24 juin 2015 Stephan Neetens conseiller de la Ministre des
Plus en détailPourquoi et comment investir dans les unités de compte?
Pourquoi et comment investir dans les unités de compte? Direction de l Epargne Patrimoniale - Offre Financière Avril 2013 Préambule Quelques règles simples à retenir pour investir dans les unités de compte
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailFormation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence
Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l
Plus en détail1 Ce mémento fournit des informations sur les cotisations
2.09 Etat au 1 er janvier 2009 Statut des indépendants dans les assurances sociales suisses Généralités 1 Ce mémento fournit des informations sur les cotisations que doivent verser aux assurances sociales
Plus en détailFACTEURS AFFECTANT L OPTIMISATION DES COÛTS DES TRANSFERTS ÉLECTRONIQUES DANS LES PROGRAMMES HUMANITAIRES
FACTEURS AFFECTANT L OPTIMISATION DES COÛTS DES TRANSFERTS ÉLECTRONIQUES DANS LES PROGRAMMES HUMANITAIRES Photo: Oxfam The Cash Learning Partnership FACTEURS AFFECTANT L OPTIMISATION DES COÛTS DES TRANSFERTS
Plus en détailUne famille, deux pensions
famille, deux pensions Susan Poulin Au cours du dernier quart de siècle, la proportion de familles composées de deux conjoints mariés ayant tous deux un emploi a augmenté de façon phénoménale. En 1994,
Plus en détailCONCOURS NOUVEAU CENTRE DE SERVICES DE LA GAPPE DÉCOUVRIR NOTRE NOUVEAU CENTRE DE SERVICES DE LA GAPPE, UNE EXPÉRIENCE AGRÉABLE ET PAYANTE! À GAGNER!
Du 15 juin au 14 septembre 2015 CONCOURS NOUVEAU CENTRE DE SERVICES DE LA GAPPE DÉCOUVRIR NOTRE NOUVEAU CENTRE DE SERVICES DE LA GAPPE, UNE EXPÉRIENCE AGRÉABLE ET PAYANTE! À GAGNER! DEVENEZ MEMBRE DESJARDINS!
Plus en détailUne augmentation du taux d imposition sur les dividendes non admissibles 2,3 milliards de dollars.
BUDGET FÉDÉRAL 2015 Par Jerry S. Rubin, B.E.S., B.Comm.(Hons), CMA, TEP, CFP Points saillants fiscaux du budget fédéral 2015 Le ministre des Finances, Joe Oliver, a déposé le budget fédéral 2015, le 21
Plus en détailBUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015
BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 - Introduction - Tableaux de synthèse - Synthèse des grands équilibres du Budget Primitif 2015 1 INTRODUCTION Le Budget Primitif 2014,
Plus en détailAMMA vous épaule en toutes circonstances.
L allocation gratuite de l INAMI pour médecins, dentistes, pharmaciens et kinésithérapeutes Maladie, accident, pension, AMMA vous épaule en toutes circonstances. A L L O C A T I O N I N A M I Qu est-ce
Plus en détailM_CONTRAN Contrats nouveaux
M_CONTRAN Contrats nouveaux Présentation Le document M_CONTRAN recense, de manière exhaustive, les nouveaux contrats de crédit libellés en euros, conclus avec les particuliers, les sociétés non financières,
Plus en détailANALYSE GLOBALE DES PROGRAMMES DE LA SHQ. SQEP 18 novembre 2011
ANALYSE GLOBALE DES PROGRAMMES DE LA SHQ SQEP 18 novembre 2011 Contexte Problématiques Objectifs Cadre conceptuel Étude comparative des programmes - Modèle matriciel de comparaison (indice ICP) - Grille
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailSOLIDARITÉS. rsa, ce que je dois déclarer. pour éviter les trop-perçus LE DÉPARTEMENT, À VOS CÔTÉS, TOUS LES JOURS
SOLIDARITÉS pour éviter les trop-perçus LE DÉPARTEMENT, À VOS CÔTÉS, TOUS LES JOURS Le Conseil général d Eure-et-Loir soutient les Euréliens en diffi culté. Avec le revenu de Solidarité active (rsa), il
Plus en détailVotre guide 2015 Régime enregistré d épargne-retraite (REER)
Votre guide 2015 Régime enregistré d épargne-retraite (REER) en termes simples Présenté par ept notions simples pour mieux comprendre le REER : 1 2 3 4 5 6 7 Qu est-ce qu un REER? Combien pouvez-vous verser
Plus en détailRéformes socio-économiques
Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme
Plus en détailMa banque. Les prêts hypothécaires BCJ
Les prêts hypothécaires BCJ Ma banque Simple et avantageux, les prêts hypothécaires BCJ. Vous pensez qu il est plus avantageux d acheter son logement que de continuer à payer un loyer à fonds perdus?
Plus en détailBilan année 1 et 2 OPAH maîtrise de l énergie 2012-2016 Syndicat Mixte Arlysère. Comité de pilotage du 02/10/2014
Bilan année 1 et 2 OPAH maîtrise de l énergie 2012-2016 Syndicat Mixte Arlysère Comité de pilotage du 02/10/2014 423 logements doivent être améliorés durant les 4 années de l OPAH d Arlysère (objectif
Plus en détailUn profil singulier. écoute, performance et innovation, Des réponses adaptées. Un peu d histoire pour éclairer le présent
Profondément humain Un peu d histoire pour éclairer le présent Créée depuis 1999 en région Rhône-Alpes par des mutuelles interprofessionnelles partageant les mêmes valeurs mutualistes de solidarité, de
Plus en détailFICHE. La GMAO en quelques lignes OCTOBRE 2008 THÉMATIQUE. Vincent Drecq
FICHE OCTOBRE 2008 THÉMATIQUE Direction de projets et programmes La GMAO en quelques lignes La G.M.A.O. (Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur) est un logiciel spécialisé qui facilite la réalisation
Plus en détailENTENTE À INTERVENIR. entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. et d autre part :
ENTENTE À INTERVENIR entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC et d autre part : LE SECRÉTARIAT INTERSYNDICAL DES SERVICES PUBLICS (SISP) LA CONFÉDÉRATION DES SYNDICATS NATIONAUX (CSN) LA FÉDÉRATION
Plus en détailInvestissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»
Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives
Plus en détail