SUPPORTING THE GLOBAL MONITORING PLAN ON PERSISTENT ORGANIC POLLUTANTS SENEGAL WEST AFRICAN REGION PROJECT GFL 4A76

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1 SUPPORTING THE GLOBAL MONITORING PLAN ON PERSISTENT ORGANIC POLLUTANTS SENEGAL 2012 WEST AFRICAN REGION PROJECT GFL 4A76

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3 REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi Ministère de la Santé et de la Prévention Ministère de l Environnement et de la Protection de la Nature Ministère de l Agriculture Centre Antipoison/Direction des Etablissements de Santé Direction de l Environnement et des Etablissements Classés Centre de Recherche en Ecotoxiocologie et Sécurité Environnementale PROJET REGIONAL AFRIQUE DE L OUEST/AFRIQUE DE L EST/ MONITORING DES POP DANS L AIR AMBIANT ET LE LAIT MATERNEL Rapport national du Sénégal Août 2011 Direction de l Environnement et des Etablissements Classés 106, rue Carnot Dakar - BP 6557 Dakar Etoile Tél : (221) Fax : (221) denv@orange.sn

4 SUPPORTING THE GLOBAL MONITORING PLAN ON PERSISTENT ORGANIC POLLUTANTS SENEGAL 2012 WEST AFRICAN REGION PROJECT GFL 4A76

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6 REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi Ministère de la Santé et de la Prévention Ministère de l Environnement et de la Protection de la Nature Ministère de l Agriculture Centre Antipoison/Direction des Etablissements de Santé Direction de l Environnement et des Etablissements Classés Centre de Recherche en Ecotoxiocologie et Sécurité Environnementale PROJET REGIONAL AFRIQUE DE L OUEST/AFRIQUE DE L EST/ MONITORING DES POP DANS L AIR AMBIANT ET LE LAIT MATERNEL Rapport national du Sénégal Août 2011 Direction de l Environnement et des Etablissements Classés 106, rue Carnot Dakar - BP 6557 Dakar Etoile Tél : (221) Fax : (221) denv@orange.sn

7 Sommaire 1.1 Introduction Contexte national Arrangements organisationnels Activités nationales Prélèvement de Lait maternel Prélèvement passif d'air Laboratoire POP Formation, Analyses, Matrices Résultats et discussion Le lait humain: résultats des POPs L'air ambiant : résultats des POP Résultats de l étude d intercalibration et des échantillons miroirs Évaluation et conclusions, recommandations Conclusions et recommendations Références Annexes Protocole de l échantillonnage sur le lait maternel Protocole sur l air ambiant Liste des participants Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 2

8 1.1 Introduction Le présent rapport fait le point sur les activités nationales du projet régional Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des polluants organiques persistants (POP) dans l air ambiant et le lait maternel. Il résume les aspects méthodologiques et organisationnels liés à cette composante nationale, les activités réalisées, les résultats obtenus, commentaires et recommandations Contexte national Le Sénégal se situe à l avancée la plus occidentale du continent africain dans l Océan Atlantique. D une superficie de km 2, il est limité au nord par la Mauritanie, à l est par le Mali, au sud par la Guinée et la Guinée Bissau, à l ouest par la Gambie, et par l Océan Atlantique sur une façade de 500 km. Sa population estimée était estimée en 2009 à d habitants, avec un PIB par tête de l ordre FCFA (2008). Le Sénégal fait partie des pays les moins avancés (PMA) et ses principales recettes sont tirées de la pêche et du tourisme. Le secteur agricole qui emploie environ 70% de la population est en régression (sa part dans le PIB, moins de 20%, ne cesse de décroitre au profit du secteur tertiaire). Par ailleurs, on assiste à une urbanisation de plus en plus forte. Le pays a une expérience très limitée en matière de gestion rationnelle des substances chimiques toxiques à l instar des PMA. Soucieux de se joindre aux efforts de la Communauté internationale pour promouvoir la sécurité chimique conformément au Chapitre 19 de l Agenda 21, le pays a ratifié plusieurs Accords internationaux traitant des substances chimiques, dont la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants (POP). Dans ce cadre, le Sénégal a bénéficié de l assistance habilitante initiale du FEM pour élaborer et transmettre en 2005 au Secrétariat de la Convention, en application de l article 7 de ce traité, son plan national de mise en œuvre de la Convention (PNM). L analyse initiale de l état des lieux dans le cadre de ce PNM avait révélé, concernant les pesticides POP, qu il n y avait pas d utilisation, ni d exportation/d importation par le secteur formel. Cependant, certaines utilisations de la Dieldrine et d autres pesticides POP ont été notées au niveau du secteur du bâtiment et dans l arboriculture. Cependant, ces données mériteraient d être davantage confirmées eu égard aux difficultés de contrôle de l utilisation des pesticides au niveau du secteur informel, de la porosité des frontières et du manque de capacités des douanes dans ce domaine. Les activités habilitantes conduites par le pays ont apporté un certain niveau de connaissances et de savoir-faire sur les POP. Par ailleurs, elles ont permis une amélioration du cadre juridique avec notamment la prise de l arrêté primatorial n 9415 du 06 novembre 2008, portant interdiction d importation, de production et d utilisation des pesticides et produits chimiques visés par la Convention de Stockholm sur les Polluants Organiques Persistants (POP). Aussi, à l instar des pays du Comité Permanent Inter Etat de Lutte contre la Sécheresse dans Sahel (CILSS), l endosulfan est interdite de distribution (novembre 2007) et d utilisation (décembre 2008) au Sénégal. Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 3

9 Toutefois ces acquis et cette expérience restent encore insuffisants pour permettre aux différents acteurs d appliquer les mesures que le pays a retenus dans son PNM pour réduire/éliminer les sources et rejets des POP et satisfaire aux autres obligations de la Convention. Par ailleurs, il est tout aussi important de veiller au contrôle des mesures prises. Dans ce contexte, le suivi environnemental et toxicologique constitue des axes importants dans la mise en œuvre du PNM, tout comme devant être une contribution nationale dans la stratégie de surveillance régionale, voire mondiale, de surveillance des POP. Ainsi, parmi les objectifs visés par le Sénégal dans le cadre de ce projet, nous pouvons citer : une participation à la surveillance régionale et mondiale des POP ; une meilleure connaissance des niveaux de contamination des matrices prioritaires (air ambiant et lait maternel); une production de données à capitaliser dans sa stratégie de communication et de sensibilisation auprès des acteurs; un renforcement des capacités des centres d expertise dans le prélèvement et l analyse des POP dans l air ambiant et le lait maternel; un benchmark à l échelle de la sous région; etc Arrangements organisationnels Conformément aux conclusions de l atelier de Bamako, une organisation a été mise en place en désignant un coordinateur national par le biais du point focal de la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants et des Responsables techniques au sein des centres d expertise, en l occurrence la Fondation CERES LOCUSTOX en ce qui concerne le volet «air ambiant» et le Centre Antipoison pour le volet «lait maternel». Dans ce cadre, un protocole d accord a été signé entre la DEEC et CERES LOCUSTOX, déterminant les relations entre les deux structures dans le cadre de ce projet Activités nationales Une première réunion visant surtout à coordonner la mise en œuvre des recommandations de l atelier de Bamako (du 06 au 09 octobre 2009) s est tenue le 20 octobre Elle a ainsi permis de coordonner i) la mise en place de l équipe projet au niveau national grâce à des saisines officielles de la DEEC et demandant que les experts ayant participé à l atelier de Bamako soient impliqués dans cette équipe, ii) le transfert de 4 échantillonneurs en PUF (Polyuréthane form (3 déjà utilisés, 1 à l état neuf) et 11 échantillons déjà utilisés, de la DEEC vers CERES LOCUSTOX, iii) le transfert des échantillons de lait du Centre Antipoison à CERES LOCUSTOX. D autres réunion de coordination (au total de quatre) ont été organisées durant la mise en œuvre des activités afin de partager le niveau de réalisation, d identifier les problèmes et de proposer des solutions. Aussi, deux missions terrain ont été organisées pour rencontrer les autorités (Préfet de Bambey et Sous Préfet de Ngoye) au niveau du site, dans le but de préparer et de faciliter les campagnes de collecte d échantillons d air ambiant. Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 4

10 Au cours de ces missions, les services techniques déconcentrés de la DEEC ont été impliqués (Division Régionale de Diourbel). Un rapportage régulier des activités de terrain a été réalisé par CERES LOCUSTOX pour remonter l information au niveau de la coordination du projet. Aussi, le Centre Antipoison a produit un rapport national d activités de collecte de lait maternel pour l étude des polluants organiques persistants et un SOP pour l échantillonnage de lait maternel pour le dosage des Polluants Organiques Persistants (POP). Soulignons également, pour une bonne diffusion de l information autour du projet et une capitalisation de ses acquis, le point focal de la Convention de Stockholm et le Secrétariat de la Commission Nationale de Gestion des Produits Chimiques ont été régulièrement invités aux réunions de coordination et ont reçu les rapports y afférents. 1.2 Prélèvement de Lait maternel Méthodologie d intervention, arrangements administratifs et dissémination Cette activité a été réalisée par l équipe du Centre Antipoison (CAP) avec l implication des services et personnes ressources compétentes (médecins de région, médecins de district et personnel de santé) du Ministère chargé de la santé et la faculté de médecine de l Université Cheikh Anta DIOP de Dakar (UCAD). En effet, c est au niveau de la région médicale, du district sanitaire et dans l établissement de santé que les arrangements administratifs ont été tenus suite à la saisine du Ministère de la Santé et de la Prévention et que la présélection des donneuses a été effectuée. - - La sélection de ces donneuses de lait s est effectuée sur une durée de trois (03) mois: Juillet, Août et septembre Un atelier de restitution des résultats a été organisé par le CAP en août 2009 avec tous les acteurs qui ont participé ou facilité la collecte de la matrice, notamment le Ministère chargé de l environnement, le laboratoire de la fondation Ceres-Locustox, et d autres organismes. Pool d échantillonnage L échantillonnage a été réalisé, suivant les critères d inclusion et d exclusion et en respect du consentement préalable en connaissance de cause, sur toute l étendue du territoire et le choix des donneuses dans les régions s est fait comme suit: - région de Dakar: à l Institut d Hygiène Sociale (centre ville) et au centre de santé RoiBaudoin de Guédiawaye (banlieue); - Centre du Sénégal: les départements de Kaolack et Fatick; - Nord du Sénégal : dans les départements de Saint Louis, Richard Toll, Podor. Méthodologie d échantillonnage Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 5

11 - Prélèvement des échantillons: Une fois que la pratique de l allaitement est bien établie, l échantillonnage est effectué entre 3 et 8 semaines (21 jours à 2 mois) après la naissance. Au moment du prélèvement, des entretiens individuels sont effectués afin d obtenir les autres informations nécessaires de la Section 4 du questionnaire (voir 1.8.1) et de s assurer que le questionnaire est rempli dans son ensemble. Les procédures de l étude ont être bien expliquées, en particulier le droit de la donneuse de se retirer de l étude sans préjudice. En plus, les donneuses donnent obligatoirement leur consentement écrit sur un formulaire standard: Formulaire de Consentement en Connaissance de Cause (voir 1.8.1). L échantillon est ensuite prélevé. 50 ml de lait ont été collectés par extraction manuelle après un allaitement ou pendant que la mère se repose sur l autre sein, pour profiter du réflexe de décompression de la mère. Dans certains cas, suivant la préférence de la mère et les coutumes locales, une pompe à allaitement a été fournie pour faciliter l extraction du lait. L échantillon est ensuite recueilli directement dans le récipient fourni par l équipe du centre antipoison et les échantillons de lait ont été stockés dans un réfrigérateur à + 4 C pour un maximum de 72 heures, entre les déplacements à l intérieur des régions. Tous les questionnaires de toutes les participantes sont toujours conservés au centre antipoison et ceci afin de permettre une consultation éventuelle. La conservation de tous les dossiers respecte les exigences fixées au niveau national et aux normes internationales en ce qui concerne la confidentialité. Un document résumant les informations concernant les mères ayant fourni des échantillons pour cette étude a été dressé par Epi info et a été soumis au GEMS/Aliments mais toujours dans la plus grande confidentialité. Ce document a été envoyé avec les échantillons groupé à GEMS par DHL. Biosécurité L un des critères pour la sélection de femmes en tant que donneuses potentielles est que tant la mère, que son enfant, paraissent en bonne santé, et que la grossesse ait eu lieu normalement. Les raisons de ce critère sont d éviter de trop demander à une mère qui serait déjà en difficulté, et de réduire les effets qui pourraient être causés par des conditions médicales (par exemple, une perte de poids subite pourrait affecter l effet sur le corps d une exposition aux POP, et aussi leur taux dans le lait maternel). Au Sénégal, le dépistage de l infection à VIH étant inclus dans les bilans prénataux, le statut VIH de la donneuse est connu à partir de son dossier médical. Cependant, les donneuses dont les tests HIV sont positifs n ont pas été exclues de cette étude ; tout échantillon de lait reconnu comme étant contaminé, ou suspecté de l être par le HIV, devait être traité par chauffage à 62,5 C pendant 30 minutes. Cependant, aucune des donneuses n est VIH positif. - Transport des échantillons Après la collecte, les échantillons de 50 ml chacun, ont être envoyés au laboratoire de toxicologie - hydrologie (LTH) pour la préparation des aliquotes à envoyer. Le ramassage et Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 6

12 l envoi des échantillons a été assuré par le personnel du centre antipoison. Durant le transport, une glacière a permis de transporter les échantillons. Une fois au LTH, ils ont été immédiatement retirés des glacières et remis au congélateur à -20 C jusqu au moment du transfert au laboratoire de référence de dosage des POP à Freiburg. De petites tablettes de bichromate de potassium (K2Cr2O7) ont été ajoutées dans les flacons afin de stériliser le lait et de maintenir l intégrité des matières grasses durant le transport. Les échantillons ont été congelés à -20 C, emballés dans de la neige carbonique et expédiés vers le laboratoire destinataire en Allemagne par DHL. Chaque échantillon individuel et groupé a été étiqueté avec un code d identification unique. Les échantillons groupés ont été envoyés à la Bibliothèque de Référence de l OMS accompagnés d un résumé complet de l information (voir Annexe 1). Le laboratoire destinataire a été informé de la date d expédition ainsi que la date probable de son arrivée. Le laboratoire a ensuite confirmé l arrivée du colis. Le reste des échantillons individuels a été gardé au LTH afin d être transmis au laboratoire de la fondation Ceres-Locustox. - Préparation des échantillons individuels et groupés La manipulation des échantillons été effectué par un personnel qualifié afin de garantir leur intégrité; la Responsable du volet «lait maternel» au CAP s est chargée de tout ce qui est traitement préanalytique, aliquotage et préparation des échantillons individuels et groupés. Les échantillons individuels de lait ont être homogénéisés en les chauffant à 38 o C et en les agitant pendant 10 minutes. Ensuite, il a fallu préparer les échantillons individuels et groupés. Les échantillons individuels sont d un volume de 25 ml de lait maternel afin d être utilisés pour l analyse des POP dits «analytiquement simples», c'est-à-dire les POP pesticides et les marqueurs PCB par le laboratoire de la fondation Ceres-Locustox en fonction de la disponibilité des intrants nécessaires aux analyses. Pour les échantillons groupés, ils sont analysés à la fois pour les POP analytiquement simples et les POP analytiquement complexes, c'est-à-dire les PCDD, PCDF et les PCB apparenté aux dioxines. Ces échantillons groupés étaient au nombre de deux: - un flacon de 500 ml contenant 25 ml de lait de 16 donneuses, afin d obtenir 400 ml de lait; - un flacon de 1000 ml contenant 25 ml de lait des 34 autres donneuses, pour obtenir 850 ml de lait. Analyse des échantillons Les échantillons de lait groupés sont analysés pour les POP analytiquement simples et complexes, y compris les PCDD, PCDF et les PCB apparentés aux dioxines, par le CVUA à Freiburg, Allemagne qui est le Laboratoire de Référence de l OMS pour la quatrième étude. Les résultats sont présentés sur la base de la teneur en matière graisse des échantillons groupés. Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 7

13 1.3 Prélèvement passif d'air Mise en place, arrangements administratifs et période Dans le cadre de la mise en œuvre de cette activité, le site de Ngoye situé dans le département de Bambey a été identifié au cours d une mission de prospection (voir image google earth cidessous). Ses coordonnées géographiques sont les suivantes: N, O. Site de Ngoye Il a été retenu après concertation entre les principales parties prenantes (DEEC, CERES LOCUSTOX et Centre Antipoison), de cibler la région de Diourbel, en particulier le département le Bambey, pour s éloigner au mieux d une agglomération comme Dakar où on note des sources potentielles de POP. L existence d un service déconcentré de la Direction de l Environnement et des Etablissements Classés dans cette zone devant aussi faciliter la communication avec les autorités, le suivi et la capitalisation des résultats au niveau local. Les critères qui ont porté au choix du site sont liés à son isolement à d éventuelles sources d émissions de POP, à sa sécurité et son accessibilité. Les dispositions avaient été prises au préalable avec les autorités pour que les échantillonneurs soient préservés pendant toute la durée de la campagne d échantillonnage. Pose des échantillonneurs et période d exposition Le tableau suivant résume les échantillonneurs GEF qui ont été posés sur le site, en complément des échantillonneurs MONET préablement posés au 04 janvier Les travaux de pose ont été effectués sans difficulté. Soulignons CERES LOCUSTOX a émis la recommandation d une surveillance (gardiennage) des échantillonneurs eu égard à d un risque potentiel lié à sa proximité d une aire de jeu. Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 8

14 L incident relevé sur le terrain lors de la mission MONET 5 a justifié cette crainte, ce qui a conduit à la décision de prendre en charge le gardiennage des échantillonneurs. Echantillonneur Code futur Date de pose Date de retrait Destinataire GEF 1 SEN-1-I 04/05/ /06/2010 IVM GEF 2 SEN-2-I 04/05/ /06/2010 IVM GEF 3 SEN-3-I 04/05/ /06/2010 CERES GEF 4 SEN-4-I 04/05/ /06/2010 CERES GEF 5 SEN-5-I 04/05/ /06/2010 MTM Méthodologie d échantillonnage, conservation et analyse Chaque filtre a été déposé tout le long de la campagne conformément au protocole d échantillonnage d IVM. Un support a été conçu pour faciliter la pose des échantillonneurs. Par ailleurs des mesures ont été prises pour assurer la sécurité des échantillonneurs (gardiennage et protection contre la divagation des animaux sur le site). Les échantillons d air ont été stockés dans des glacières lors de leur transport à Dakar. Aussi toutes les fiches d échantillonnage ont été bien renseignées. Les activités d échantillonnage réalisées sont synthétisées dans le tableau ci-dessous: Date Mission Activités 30/12/2009 Prospection Concertation avec les autorités départementales et communales et préfet et localisation du site 04/01/2010 MONET 1 Fixation du support des échantillonneurs. Pose des échantillons SN_01_A_01, SN_01_B_01, SN_01_C_01 et SN_01_D_01 01/02/2010 MONET 2 Retrait de l échantillon SEN_01_A_01 et pose de l échantillon SEN_01_A_02 01/03/2010 MONET 3 Retrait de l échantillon SEN_01_A_02 et pose de l échantillon SEN_01_A_03 29/03/2010 MONET 4 Retrait des échantillons SEN_ 01_A_03, SEN_ 01_B_01, SEN_ 01_C_01, SEN_ 01_D_01 et pose des échantillons SEN_01_A_04, SEN_ 01_B_02, SEN_ 01_C_02 et SEN_ 01_D_02 26/04/2010 MONET 5 Retrait de l échantillon SEN_01_A_04 et pose de l échantillon SEN_01_A_05 05/05/2010 GEF 1 Pose des échantillons SEN-1-I, SEN-2-I, SEN-3-I, SEN-4-I et SEN-5-I 24/05/2010 MONET 6 Retrait de l échantillon SEN_ 01_A_05, Perte constatée de l échantillon SEN_ 01_B_02, Pose des échantillons SEN_ 01_A_06 et SEN_ 01_B_02 (pour remplacement) 21/06/2010 MONET 7 Retrait des échantillons SEN_ 01_A_06, SEN_ 01_B_02, SEN_ 01_C_02, SEN_ 01_D_02 Pose des échantillons SEN_ 01_A_07, SEN_ 01_B_03, SEN_ 01_C_03, SEN_ 01_D_03 30/06/2010 GEF 2 Retrait des échantillons SEN-1-I, SEN-2-I, SEN-3-I, SEN-4-I, SEN-5-I Pose des échantillons SEN-1-II, SEN-2-II, SEN-3-II, SEN-4-II, SEN-5-II 19/07/2010 MONET 8 Retrait de l échantillon SEN_ 01_A_07, Pose de l échantillon SEN_ 01_A_08 16/08/2010 MONET 9 Retrait de l échantillon SEN_ 01_A_08 Pose de l échantillon SEN_ 01_A_09 Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 9

15 13/09/2010 MONET 10 30/09/2010 GEF 3 11/10/2010 MONET 11 08/11/2010 MONET 12 06/12/2010 MONET 13 31/12/2010 GEF4 Retrait des échantillons SEN_ 01_A_09, SEN_ 01_B_03, SEN_ 01_C_03, SEN_ 01_D_03 Pose des échantillons SEN_ 01_A_10, SEN_ 01_B_04, SEN_ 01_C_04, SEN_ 01_D_04 Retrait des échantillons SEN-1-II, SEN-2-II, SEN-3-II, SEN-4-II, SEN-5-II Pose des échantillons SEN-1-III, SEN-2-III, SEN-3-III, SEN-4-III, SEN-5-III Retrait de l échantillon SEN_ 01_A_10 Pose de l échantillon SEN_ 01_A_11 Retrait de l échantillon SEN_ 01_A_11 Pose de l échantillon SEN_ 01_A_12 Retrait des échantillons SEN_ 01_A_12, SEN_ 01_B_04, SEN_ 01_C_04, SEN_ 01_D_04 Pose de l échantillon SEN_ 01_A_13 Retrait des échantillons SEN-1-III, SEN-2-III, SEN-3-III, SEN-4-III, SEN-5-III Pose des échantillons SEN-1-IV, SEN-2-IV, SEN-3-IV, SEN-4-IV, SEN-5-IV 03/01/2011 MONET 14 Retrait de l échantillon SEN_ 01_A_13 31/03/2011 GEF5 Retrait des échantillons SEN-1-IV, SEN-2-IV, SEN-3-IV, SEN-4-IV, SEN-5-IV 1.4 Laboratoire POP Historique Le Centre Régional de Recherche en Ecotoxicologie et de Sécurité Environnementale (CERES-Locustox) est né du "Projet-LOCUSTOX", mené sous l égide de la FAO de 1990 à 2003 avec le financement du Royaume des Pays-Bas et de l Etat du Sénégal et qui concernait "l Etude des effets de la lutte chimique antiacridienne sur l environnement". Dans la perspective de la pérennisation et de la consolidation des acquis scientifiques obtenus dans ce domaine, l Etat du Sénégal avait décidé la création de la Fondation CERES-Locustox, reconnue d utilité publique par Décret N du 31 décembre 1999, placée sous la tutelle du Ministère de l Agriculture. A côté de l Etat du Sénégal, on note comme membres cofondateurs: le Conseil des Organisations Non Gouvernementales d Appui au Développement (CONGAD) et ENDA-Tiers-Monde. C est un centre doté d une expertise avérée et travaillant dans un Environnement répondant aux exigences du référentiel des Principes de Bonnes Pratiques de Laboratoire de l OCDE et de la Norme ISO/CEI Mission de la Fondation La mission de la Fondation se décline globalement à "assurer des prestations et conseils sur les aspects scientifiques et techniques de maîtrise et de gestion des impacts négatifs des produits chimiques et biologiques (bio pesticides) dans les limites compatibles avec une bonne sécurité environnementale et sanitaire". Dans ce cadre, les activités de CERES- Locustox sont essentiellement orientées vers : l étude des impacts de l utilisation des pesticides sur l environnement, la santé animale et humaine (approches méthodologiques, monitoring environnemental) ; l analyse des résidus de pesticides, métaux lourds, PCB et autres polluants sur les produits agricoles et halieutiques destinés à l exportation, l eau, le sol et les sédiments ; le conseil des décideurs, distributeurs, producteurs et exportateurs sur l usage rationnel et sécurisée des pesticides ; la formation des producteurs sur les méthodes alternatives à la lutte chimique classique ; la promotion de la qualité sanitaire (Limites Maximales de Résidus de pesticides) des produits agricoles ; Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 10

16 la maîtrise des impacts négatifs des produits chimiques par la mise en œuvre de ses outils scientifiques d investigation en termes de contrôle : o de la qualité des traitements phytosanitaires et de suivi de leur nocivité éventuelle sur l environnement et la santé de la population; o des rejets industriels conformément au Code de l Environnement. Organisation La structuration actuelle de la Fondation se présente comme suit: la Direction Générale; l Unité Qualité et Réglementation; l Unité Chimie Environnementale avec son laboratoire d analyse de résidus Certifié BPL; l Unité Biologie : Laboratoire d entomologie et Laboratoire de vertébrés le Laboratoire d Hydrobiologie. l Unité Administration Finances et Logistique. Domaines de compétences Les domaines de compétence de la fondation sont les suivants: Recherches en Ecotoxicologie en général et sur les effets des traitements antiacridiens sur l environnement, la santé animale et humaine en particulier; Monitoring environnemental de l utilisation des pesticides; Analyse de résidus de pesticides sur les produits agricoles et halieutiques, les eaux pour les besoins d autocontrôle et de certification de la qualité; Suivi de la Qualité Environnementale des Traitements Antiacridiens (QUEST); Suivi Sanitaire des applicateurs de produits phytosanitaires et d agents en contact avec les pesticides; Formation des producteurs sur les alternatives à la lutte chimique; Encadrement de stagiaires et étudiants des écoles de formation pour les besoins de préparation de mémoires de fin d études; Conception d outils méthodologiques dans le cadre de la mise en place d un système de suivi environnemental. Outils méthodologiques Au regard de la mission de CERES Locustox, les outils méthodologiques capitalisés se présentent comme suit: l analyse cholinestérasique ; le guide de contrôle de la qualité des traitements antiacridiens; l Evaluation de la contamination environnementale avec des méthodes d analyse du degré de pollution des diverses composantes de l environnement et d outils de mesure des impacts sur la biodiversité et sur le cheptel; l évaluation de la contamination des denrées alimentaires y compris les produits agricoles et halieutiques et de leur niveau de conformité avec les normes d hygiène et de sécurité sanitaire; l évaluation de la qualité des eaux brutes et de consommation; la conduite d audit de laboratoires et d entreprises agricoles; Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 11

17 la gestion intégrée de la Production et des Déprédateurs (GIPD); Personnel du Laboratoire Le personnel du laboratoire est composé comme suit: PERSONNEL FONCTION 1 INGENIEUR EN GC Responsable de l Unité, coordonnateur des travaux 1 INGENIEUR EN GC Chimiste sénior, coordonnateur de projets 2 TECHNICIENNES SUPERIEURES EN GC Responsable de l extraction et de la purification 1 ASSISTANT Responsable de la documentation 2 STAGIAIRE Ingénieur en GC et Technicienne supérieure 1 INGENIEUR QUALITICIEN Responsable de l unité Qualité Réglementation, coordonnateur des audits 1 AUDITEUR INTERNE Responsables des essais biologiques Equipements du laboratoire Le laboratoire de Chimie environnementale de CERES-Locustox est actuellement équipé de: 1 CPG Agilent avec 2 µecd 1 CPG Varian avec un ECD 2 GC/MS dont l un vient d être réparé en juillet SPECTROPHOTOMETRE UV VISISBLE pour la détermination du CS2 dans les analyses de dithiocarbamates 1 Spectrophotomètre d Absorption Atomique (SAA) pour l analyse des métaux lourds. 2 HPLC AVEC UV+FLUOR/PCR A côté de ces équipements de détection, le laboratoire comprend des équipements de préparation des échantillons : 1 broyeur Ultra-Turrax pour l homogénéisation des échantillons. des systèmes au Soxhlet pour l extraction des filtres PUFs, des sols, sédiments et d autres matrices 1 système de filtration sous vide (pompes et fioles à vide) 1 centrifugeuse GM 5100 rpm et 1 centrifugeuse PM rpm pour suppléer le système de filtration 1 batterie d évaporateurs rotatifs 1 verrerie certifiee assez fournie Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 12

18 des balances de précisions 1 batterie de réfrigérateurs et de congélateurs pour la conservation séparée des échantillons, des extraits et des solutions étalons des paillasses métalliques et des fours grande capacité pour éradiquer la contamination des hottes dotées de puissant moteur pour conserver la santé des travailleurs. un groupe éléctrogène de 70 kva alimentant tout le centre en cas de coupures électriques qui sont très fréquentes de nos jours. un onduleur de 20 kva qui stabilise le courant de la salle de détection et lui assure une autonomie lors des coupures électriques. Méthodes d analyses Le laboratoire dispose de méthodes d analyse normées pour assurer prestations: l ensemble de ses Norme: NF EN , avril 1999 pour la recherche des résidus de pesticides dans les fruits et légumes NF EN 15662; La méthode QuEChERS pour toujours la recherche des pesticides dan les fruits et légumes Norme: NF EN , 2, 3 de janvier 1997des pesticides et des Polychlorobiphényles (PCB) dans les produits riches en matières grasses Norme: NF EN ISO 6468 pour les pesticides et des PCB dans l eau; Norme: ISO 10382: 2002 des organochlorés et Polychlorobiphényles (PCB) dans le sol et les sédiments. Le centre est engagé dans une politique Qualité pour accréditer son laboratoire en ISO et le certifier Bonnes Pratiques de Laboratoire d ici la fin de l année Il s est aussi lancé dans une politique de renforcement de capacité dont il attend un nouveau GCMS, de la formation de son personnel et de la remise en état de son matériel en panne Formation, Analyses, Matrices Le projet a contribué au renforcement des capacités du Laboratoire. En effet, le Responsable de l Unité Chimie Environnementale a participé, au 6 éme Summer School of Environmental Chemestry and Ecotoxicology en Tchécoslovaquie qui s est tenue du 28 juin et 03 juillet 2010 en République Tchèque. Cette formation très riche en enseignements théoriques et pratiques et en visites de sites a permis qu responsable de mener à bien la supervision des activités du Projet sur le site d échantillonnage et dans le laboratoire. Dans le même ordre d idées, CERES LOCUSTOX a accueilli du 4 au 12 octobre 2010 un expert international d IVM qui a assuré une formation les techniques d analyse des POPs dans l air et le lait maternel (voir manuel de formation en annexe). Les résultats obtenus dans le cadre de cette formation sont les suivantes: la formation du personnel du laboratoire (2 ingénieurs, une technicienne en génie chimique et un assistant) 2 stagiaires et 3 personne du Centre Anti Poison (2 doctorants et une technicienne). Le personnel du laboratoire a pu ensuite dérouler la méthode enseignée pour analyser les échantillons d intercalibration et les échantillons de filtres GEF récoltés à Ngoye. Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 13

19 1.5 Résultats et discussion Le lait humain: résultats des POPs Projet régional de l Afrique de l Ouest/Afrique de l Est sur le monitoring des POP Page 14

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