Projet d e tablissement du Centre d Accueil et d Accompagnement a la Re duction des risques pour Usagers de Drogues : La Boutique.
|
|
- Norbert Bellefleur
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Projet d e tablissement du Centre d Accueil et d Accompagnement a la Re duction des risques pour Usagers de Drogues : La Boutique. La démarche d évaluation interne menée pour les deux établissements de l association le Pélican a été réalisée sur trois années : en 2011, 2012 et Le comité de pilotage, réuni en décembre 2013, a validé l ensemble de la démarche et des documents présentés. Par souci de cohérence et pour unifier la communication, le comité de pilotage a recommandé d effectuer une synthèse du projet d établissement et du projet de service élaborés en Le présent document suit ces recommandations. Il est élaboré pour une durée de deux ans et fera l objet d une évaluation annuelle. Chambéry, juillet 2014.
2 L association LE PE LICAN Une dynamique associative 1. Les fondements Le Pélican est une association spécialisée en addictologie, créée en Ses buts sont (Article 2) : «Informer, prévenir, soigner et aider toute personne concernée par une conduite addictive». Comment? Principalement, par l activité de soins, de réduction des risques, d accompagnement et de prévention, menée en Savoie et dans l Ain, sur le territoire de Belley. Le Pélican gère deux établissements médico-sociaux : Un centre de soins, d accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA) Un centre d accueil, d accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues (CAARUD) «Participer de façon active aux débats, recherches et réflexions concernant le phénomène de consommations de produits toxiques» Comment? Dans un engagement au sein des associations suivantes : La Fédération Addiction La Mission Locale Jeunes du bassin chambérien L ARSAVI, association de réinsertion sociale et d aide aux victimes Le Grillon, association d insertion par le logement Le Granier, association d aide aux détenus et leurs familles Education Santé Savoie (IREPS) Dans un engagement au sein de groupes thématiques, comme le Groupe Action Prison (GAP) 1
3 Dans l élaboration de colloques régionaux comme : «Le cannabis dans tous ses états «(Novembre 2007) «En ligne! Les cyberaddictions» (juin 2009) «Jeux de hasard, jeux d argent» (Mai 2010) «Addictions et conduites à risque» (Octobre 2011) «Le temps des addictions» (octobre 2012) 2. Le manifeste des adhérents Les cinq bonnes raisons pour adhérer au Pélican! Je suis d accord avec les buts de l association. Je considère la personne ayant une conduite addictive comme un citoyen à part entière, avec ses droits et ses devoirs, sans discrimination à son égard ni à l égard de ses proches. Je participe aux différents débats sur les conduites addictives qui s inscrivent dans des contextes sociaux, culturels, économiques et idéologiques. Je soutiens l action au quotidien du Pélican en Savoie : o o Chaque année, près de mille cinq cents personnes, plus de quatre cents familles sont accompagnés par notre équipe, trois cents actions de prévention sont réalisées auprès de plus de huit mille personnes Je soutiens la dynamique de la vie associative et sa place primordiales dans notre société. Pour ces raisons : Je soutiens la démarche originale du Pélican : o o Une association gestionnaire de services, Une association qui agit bien au-delà de la mission de ses services. 2
4 Les fondamentaux de notre intervention en addictologie. Le projet d établissement fait sens pour tout un chacun au nom des valeurs et des principes éthiques en vigueur au sein de l association LE PELICAN. Valeurs et principes e thiques Le Pélican partage les valeurs et les principes suivants : Promouvoir une éthique de l intervention en addictologie (accessibilité aux traitements, libre choix, confidentialité, anonymat si la personne le souhaite, gratuité des soins). Participer à la reconnaissance des personnes présentant une conduite addictive en tant que personnes et citoyens. Défendre la conception selon laquelle les phénomènes d addiction ne peuvent être isolés du contexte social. Favoriser la confrontation et l échange entre les intervenants en addictologie de milieux différents (santé, justice, social), dans le respect de la confidentialité des données. Garantir l application des libertés fondamentales en respectant la dignité d autrui et la vie privée. L association LE PELICAN agit selon une éthique qui vise à placer l usager au centre du dispositif de soin et d insertion, en lui permettant d exercer ses droits tout en respectant ses devoirs. Le droit des usagers vise l accès au droit commun, pour chacun, dès cela est possible. Pour cela, il revient à l établissement d aménager des passerelles adaptées aux besoins de chacun. Dans cette démarche ce ne sont pas les manques et les difficultés de l usager qui sont mis en avant mais ce sont ses compétences, ses capacités, ses potentialités. Ses ressources vont guider l intervenant dans la mise en place du projet construit avec l usager, ainsi que dans les phases de suivi et de l évaluation de celui-ci. Cette dynamique partagée tout au long du parcours de soin et d insertion est basée sur l altérité, c'est-à-dire le respect de l autre. 3
5 Descriptif du projet Historique de la Boutique Dès 1999, le Pélican a ouvert un service : La Boutique, dédié à la réduction des risques. La Boutique s est inscrite en continuité de l activité du Pélican, rendue nécessaire par la dégradation sanitaire et sociale des usagers de drogues. En 1993, en préambule des bilans moral et d activité du Pélican, nous notions que : «Si le nombre de personnes suivies a augmenté, leur état sanitaire et social s est dégradé. L augmentation de l âge moyen, supérieur à 29 ans, le recours actuel ou antérieur à l héroïne pour les trois quarts, la paupérisation croissante, les problèmes somatiques et particulièrement infectieux, font de cette population un groupe dont les risques de morbidité et de mortalité se sont accrus de façon alarmiste (15 décès en 1993, à notre connaissance). Cette dégradation de l état des toxicomanes dans un département où le chômage progresse depuis deux ans, nous oblige à une mobilisation et un soutien relationnel encore plus importants. Il rend d autant plus indispensable une collaboration active avec les services sociaux d une part et les services hospitaliers d autre part, comme nous l avons connue en 1993». Face à la dégradation de l état de santé et la marginalisation croissante de usagers de drogues, de nouvelles réponses se sont mises en place : Ouverture d un programme méthadone / prescription de Subutex par le Pélican (CSST/ 1995), Implication du Centre Hospitalier de Chambéry (Services des Maladies Infectieuses) pour l accueil et la prise en charge des usagers de drogues, Ouverture d une Consultation d Information et de Dépistage Anonyme et Gratuit (CIDAG), au sein du Pélican (CSST), Implication des médecins généralistes et pharmaciens au sein du réseau Santé Toxicomanies Savoie. En 1999, le projet initial de la Boutique a été porté par 4 partenaires : - Centre Hospitalier de Chambéry - Association REVIH 73 - Association Santé Toxicomanies Savoie - Association Le Pélican (Porteur administratif du projet) Ce projet, financé et conventionné dès 1999, a été retenu comme prioritaire par le Comité Départemental de Lutte contre le Sida. En 2006, la Boutique est agréée comme établissement médico-social (CAARUD). 4
6 Les missions obligatoires L article R du code de la santé publique (CSP) prévoit que les CAARUD assurent : l accueil collectif et individuel, l information et le conseil personnalisé pour usagers de drogues, le soutien aux usagers dans l accès aux soins, le soutien aux usagers dans l accès aux droits, l accès au logement et à l insertion ou la réinsertion professionnelle, la mise à disposition de matériel de prévention des infections, l'intervention de proximité à l extérieur du centre, en vue d établir un contact avec les usagers, le développement d actions de médiation sociale. L article R du CSP précise qu ils ont également une mission de participation au dispositif de veille en matière de drogues et toxicomanie, à la recherche, à la prévention et à la formation sur l évolution des pratiques des usagers. Ces missions sont accomplies selon les modalités suivantes : Un accompagnement respectueux du consentement éclairé de la personne, une confidentialité sans faille des informations, reposant sur les principes du secret professionnel, et de l anonymat quand il est demandé par le patient, Une collecte des informations concernant l usager organisée au sein d un dossier patient protégé et qui lui est accessible, Un accès à l information de l usager concernant ses droits fondamentaux, les protections et les voies de recours qui sont mises à sa disposition pour le cas où il en aurait le besoin. L équipe de la Boutique, s engage «à ne pas faire à la place mais avec l usager» celui-ci étant acteur à part entière de son projet de vie. La Boutique inscrit son action en ambulatoire sur le champ du médico-social et donc propose aux usagers qui le souhaitent ou le demandent un accompagnement spécifique s inscrivant dans une démarche collective aux côtés des CSAPA, de la médecine et des pharmaciens de ville, de l hôpital, et des acteurs du social. La Boutique propose de promouvoir la notion d accompagnement en lieu et place de la notion de prise en charge et ceci quel que soit la forme d addiction pour laquelle le patient vient en consultation. Accompagner : c est aborder avec l usager l accompagnement comme une succession d étapes, c est se situer à ses côtés avec sollicitude et considérer qu il a des compétences comme la capacité à réaliser son projet avec l aide des professionnels, c est prendre en compte les composantes de sa personnalité physique, psychologique, relationnelle, Le professionnel est dans une position de dialogue avec l usager à partir de temps d écoutes, de propositions, de confrontations. 5
7 Les publics La Boutique s adresse à des personnes usagers actifs de substances psychoactives, licites ou illicites, le plus souvent dans la précarité, non engagées dans une démarche de soins et dont les modes de consommation les exposent à des risques majeurs. L accueil des personnes a lieu sans discrimination. Au regard de son implantation et des publics visés, La Boutique accueille aujourd hui principalement des publics résidant dans le bassin chambérien, mais aussi des personnes dans l errance ou de passage dans le département. Le droit des usagers Dans le cadre de la loi de 2002, La Boutique en tant qu établissement médico-social, s engage à garantir à toute personne prise en charge, les droits de libertés individuels énoncés par l article L du Code de l action sociale et des familles par la charte des droits et libertés de la personne accueillie figurant en annexe de l arrêté du 8 septembre Le livret d accueil et le règlement intérieur sont remis aux usagers afin de signifier les droite et devoirs de chacun. Forme de participation des usagers (Article L du CASF) Le public de la Boutique est constitué de personnes qui fréquentent le service de façon occasionnelle ou régulière, qui peuvent être rencontrés dans la rue, De ce fait, il est difficile de mettre en place une instance de concertation de type traditionnel. Cependant pour permettre que le droit d expression et de participation des usagers soit préservé et puisse s exprimer il a été mis en place une fiche d évaluation. Celle-ci est disponible à l entrée de la Boutique, tous les usagers qui le souhaitent peuvent donner leur avis. Cette fiche est déposée dans une boite aux lettres conçue à cet effet. De façon annuelle ce mode de consultation est proposé systématiquement à tous les usagers rencontrés. Les résultats de cette consultation font l objet d un affichage à la Boutique et sont annexés au bilan d évaluation annuel. Une boite à idées permet également de recueillir toute suggestion ou observation des usagers. 6
8 Objectifs de la Boutique Les trois objectifs principaux sont : Réduire les risques (notamment infectieux) auprès des usagers de substances psychoactives, dans la précarité, principalement. Accompagner les personnes dans une démarche de soins ou d insertion. Transmettre une culture commune de réduction des risques, intégrant des éléments de formation, auprès des professionnels et des bénévoles. Les objectifs principaux se déclinent en un ensemble de missions auprès des usagers : Accueil, confidentialité et anonymat, si les personnes le demandent. Distribution et promotion de matériel d hygiène et de prévention : kits, seringues, cupules stériles, tampons alcoolisés, flacons d eau stériles, stérifilt, roule ta paille, miroir, garrots, ainsi que préservatifs masculins et féminins, gel lubrifiant Récupération du matériel d injection. Conseils infirmiers sur la préparation de l injection, l injection et sur les soins post shoot. Sensibilisation aux risques liés aux produits, aux modes de consommation. Education à la santé sur certaines pathologies liées aux risques encourus (hépatites, VIH, infections ;..). Signalement à la personne des symptômes qui doivent l alerter (fatigue, fièvre, douleur, rougeur cutanée ). Soins infirmiers. Information sur les traitements disponibles (ex. : substitution) et sur les lieux spécialisés de prise en charge. Sensibilisation aux vaccinations, au dépistage des maladies infectieuses (VIH, VHB, VHC). Orientation et accompagnement vers les services de soins généraux ou spécialisés (Point Santé, CIDDIST, hôpitaux, CSAPA). Coopération avec les usagers désireux d être des personnes ressources et des personnes relais, organisation de l entraide et du soutien par les pairs. Education à la citoyenneté et la vie sociale. Travail de rue, de proximité. Médiation sociale entre les usagers et leurs environnements (quartiers, rue, pharmacies, ). Informations sur les droits sociaux des usagers. Accompagnement vers les services sociaux. Interface avec les travailleurs sociaux. Au-delà de l accès au matériel, des professionnels sont disponibles pour apporter des conseils de Réduction des Risques, favoriser l accès aux droits et aux soins, encourager les personnes à se faire dépister, offrir une écoute et un soutien La culture commune de réduction des risques Notre démarche s insère dans une dynamique visant à mettre en lien l usager et les institutions médicales ou sociales, dont il est souvent éloigné. L objectif est d arriver à une prise en charge globale allant vers une résolution progressive des problèmes. Des séances d information, de formation et d échanges sont organisées régulièrement. 7
9 Les publics visés sont notamment : les professionnels et bénévoles de l Espace Solidarité, les pharmaciens d officine, les professionnels et bénévoles des champs sanitaire et social (Formation initiale / continue.). Le travail partenarial est une composante essentielle de la mission de la Boutique car il permet de décloisonner les pratiques, de modifier les représentations sociales sur les usagers de drogues, de fluidifier le parcours de soin et d insertion. Le Pélican a fait le choix de positionner une partie de l activité de la Boutique au sein de l Espace Solidarité. Ce choix permet de remplir un objectif d aide de première nécessité: L Espace Solidarité propose des réponses de première intention, comme l hébergement d urgence, la restauration, la salle de repos, l accueil de jour, les consultations médicales, dentaires, sociales, la réduction des risques. Il vise la mise en place de projets de soins et d insertion, sur le moyen terme. Il appartient donc aux intervenants de La Boutique d appuyer leur action sur une mise en synergie des différents acteurs, dans un lieu unique accueillant différents types de publics en précarité. Les moyens mis en œuvre Moyens humains : A ce jour, l équipe de terrain est composée de quatre intervenants, Éducateur 1ETP Animateurs 1, 30 ETP Infirmière 0,80 ETP Soit 3,1 équivalent temps plein Cette équipe bénéficie, de deux heures par semaine, du soutien d un psychologue du Pélican qui n intervient pas auprès des usagers de la Boutique. La coordination de l activité aux plans, pédagogique et organisationnel, relève de la direction de l association. Moyens matériels : Plusieurs locaux sont à disposition de l équipe : un lieu de permanence auprès des usagers au sein de l Espace Solidarité. Un lieu de permanence auprès des usagers du CSAPA du Pélican. Un lieu de travail administratif au Pélican Préventions. Un véhicule de service permet les déplacements. Moyens financiers : L établissement bénéficie d une Dotation Globale de Fonctionnement. 8
10 Moyens organisationnels : L équipe se réunit une fois par semaine, un temps se déroule sous l égide de l attachée de direction et un autre avec l attachée de direction et le psychologue. L équipe bénéficie d une séance d analyse de la pratique par mois, avec les autres collègues du Pélican et de l ensemble des dispositifs de formation de l association. L équipe participe chaque semaine à la réunion des intervenants à l Espace Solidarité. Les domaines d intervention Pour réaliser ses missions, la Boutique a ciblé cinq domaines principaux d intervention : - auprès des personnes en fréquentant l Espace Solidarité, - auprès des usagers de drogues, au sein du CSAPA du Pélican, - auprès des publics fréquentant les soirées festives, - auprès des publics de la rue, - auprès des publics fréquentant les pharmacies d officine - auprès des publics les plus marginalisés Chaque intervenant est référent d un de ces domaines d intervention, sous couvert de l attachée de direction. L équipe peut également participer au dispositif de veille en matière de drogues et toxicomanie, à la recherche, à la prévention et à la formation sur l évolution des pratiques des usagers. Les interventions au sein de l Espace Solidarité Le Pélican a fait le choix de positionner une partie de l activité de la Boutique au sein de l Espace Solidarité qui accueille les publics en grande précarité et dans l errance, du centre- ville de Chambéry. Le lieu d accueil est un lieu de contact, de lien, qui permet un temps de rupture avec le quotidien, et la rencontre avec un public très spécifique. En plus d un accueil permanent et inconditionnel, il propose un dispositif d aide à l hygiène et aux soins de première nécessité, d accompagnement à l accès aux droits et aux soins, un programme d échange de matériel destiné à l usage de drogues, ainsi que différents ateliers visant à prévenir les risques et réduire les dommages liés à l usage de drogues, et à favoriser le bien-être et la réinsertion sociale. Afin de faciliter la lisibilité de l activité dans le lieu fixe, nous avons choisi de la présenter mission par mission: L accueil collectif et individuel, l information et le conseil personnalisé pour usagers de drogues; La mise à disposition de matériel de prévention des infections ; Le soutien aux usagers dans l accès aux soins; Le soutien aux usagers dans l accès aux droits, l accès au logement et à l insertion ou la réinsertion professionnelle Ces actions entreprises au sein de l accueil de l espace solidarité s élargissent au champ de la réduction des risques au sens premier du terme, à la lutte contre la précarité et différentes formes d exclusion, en passant par le soutien et l information dans les démarches sociales, jusqu à l aide à l hygiène et au maintien de la santé, au diagnostic et à l accompagnement dans le soin spécialisé. 9
11 L alternance entre temps d accueil collectifs et temps d accueil individuel sera sans doute la modification la plus significative de l année. Ce changement permet d augmenter la disponibilité des membres de l équipe pour répondre aux besoins individuels de chaque usager, et facilite la mise en œuvre d accompagnements et visites extérieures, tout en maintenant un accueil collectif quotidien. Une présence de la Boutique est assurée le matin durant le temps du petit-déjeuner à l Accueil de Jour. L après-midi, les usagers peuvent retrouver les professionnels de la Boutique, dans les locaux dédiés du premier étage. Dans ce lieu d accueil, les usagers bénéficient de l ensemble du matériel de réduction des risques, peuvent échanger avec des professionnels du Pélican et envisager des démarches de soin et d insertion, s ils le souhaitent. Les usagers viennent sans rendez-vous, sans condition préalable. Ils sont toujours accueillis au sein de l établissement par deux professionnels de formations différentes et complémentaires. L accueil est anonyme Tout usager peut bénéficier de l ensemble des services de la Boutique de façon totalement gratuite (collations, lessives et douches à l espace solidarité, échange de matériel stérile destiné à l usage de drogues, soins divers) La Boutique développe une mission de médiation sociale et de concertation avec les habitants, à proximité de l Espace Solidarité. La présence de personnes dans l errance et la précarité dans un lieu repéré du centre-ville génère des inquiétudes pour les personnes habitant à proximité. Les interventions au sein du Pélican Le CSAPA du Pélican occupe une position stratégique, en face des gares routières et ferroviaires de Chambéry. Il est ouvert du lundi au vendredi, journée, et accueille toute personne présentant une addiction. A ce titre, de nombreux usagers de drogues actifs viennent chercher du matériel stérile, pour leur usage personnel ou pour leurs pairs. Ils passent le plus souvent rapidement et sans prendre le temps de l échange avec les professionnels du CSAPA. Après concertation des deux équipes (CSAPA et CAARUD), et devant le nombre important de seringues distribuées, il a été décidé l ouverture d une permanence quotidienne de la Boutique, en fin d après-midi, au sein du CSAPA. Cette permanence, effective au 1 er septembre 2014, sera évaluée en fin d année, avant de décider sa pérennisation. L objectif est multiple : - Echanger du matériel stérile, - Développer le dialogue, les échanges et autres informations, - Favoriser le lien des usagers avec le CSAPA, dans le cadre d une démarche de soins. - Permettre un deuxième lieu de permanences de réduction des risques. - Favoriser l amplitude des permanences journalières. 10
12 Le Programme d Echange de Seringues Le Pélican a repris en 2012 la gestion du Programme d Echange de Seringues, auquel il participait depuis sa création en Le Programme d Echange de Seringues a plusieurs objectifs : - Contribuer à la réduction des risques, notamment infectieux, chez les usagers de drogues, - Valoriser le rôle du pharmacien d officine, comme acteur de santé de proximité, et favoriser ainsi une démarche de soins des usagers, - Faciliter l accessibilité dans le temps (Horaires) et sur l ensemble du territoire d intervention, au matériel de réduction des risques. 30 pharmacies volontaires sont partenaires en Savoie et sur le territoire de Belley, de ce programme pour lequel un protocole a été établi. La Boutique gère l ensemble du programme, avec le concours de la société ACCOD, responsable de la récupération des déchets sanitaires (80% des seringues souillées sont récupérées). Le Pélican Tarentaise gère la partie du programme portant sur la Vallée de la Tarentaise et de la Maurienne. L usager se présente dans une pharmacie participant à l action pourra échanger gratuitement un kit usagé contre un kit neuf (Stéribox). De la documentation sera également disponible dans les pharmacies participantes. L équipe officinale est formée et soutenue par notre équipe. L équipe de la Boutique assure toute la logistique du programme : approvisionnement des Stéribox et des conteneurs, ramassage et élimination du matériel usagé. En échange d une seringue, la personne obtient en échange un kit d injection neuf. En élargissant l'accès au matériel d'injection stérile tout en permettant la récupération du matériel usagé, l'objectif est de réduire les risques de contaminations VIH, VHC et VHB dans la population des usagers de drogues par voie intraveineuse. Un Comité de pilotage annuel réunit les intervenants du Pélican et des représentants des pharmacies. Aller vers L «Aller vers»: Objectifs et modalités d action Complémentairement aux permanences au sein de l Espace Solidarité et au Pélican, un travail de rue en centre-ville de Chambéry est effectué pour : Les actions de la Boutique regroupent l ensemble des actions menées par l équipe en dehors de l établissement. Au départ organisées de façon très formelle (permanences régulières chez un partenaire de terrain) les actions menées ont évolué, s adaptant aux besoins des usagers (accompagnements extérieurs, visites à domicile/en squat etc.). Indispensables à l accomplissement des missions du CAARUD les actions hors les murs nécessitent une capacité de réactivité et d adaptation au quotidien du public auquel elles s adressent. Actions de première ligne menées au plus près des usagers, elles nous permettent : D aller au-devant de notre public, de créer ou maintenir un lien avec les usagers de drogues; De faire connaître notre établissement aux usagers et aux partenaires locaux, de promouvoir la réduction des risques; D identifier les problématiques émergeantes et d évaluer les besoins de la population; 11
13 De comprendre les habitudes de vie des usagers pour y adapter l ensemble du dispositif de réduction des risques; De mieux connaître les pratiques des usagers et les produits circulants sur l espace urbain; De faciliter l acceptation des usagers de drogues dans l espace urbain, via des actions de médiation avec le grand public; De faciliter les orientations et l accès au structures partenaires pour les usagers, via des accompagnements physiques chez les partenaires et des actions de soutien dans les prises en charge; Quelques fois de désamorcer des situations problématiques (gestion de crises individuelles et collectives); Quelques fois d éviter un accident sanitaire ou psychiatrique Le travail «en extérieur» peut se scinder en trois axes : le travail direct auprès des usagers et partenaires, le travail de médiation (avec le voisinage et le maintien du lien avec les partenaires extérieurs) et la fonction d observation (repérage des lieux de consommation, des tendances émergentes, et recueil des besoins du public). Cette ouverture sur l extérieur nous permet de maintenir le lien avec les usagers les plus précaires ainsi que les structures qui les accueillent et d adapter continuellement notre dispositif en fonction des besoins, des réalités des personnes et du contexte local. Un partenariat avec les services spécialisés de l Amicale du Nid et de l association AIDES permet des contacts avec des personnes en situation de prostitution et susceptibles d avoir recours à des consommations de substances psychoactives. Les interventions ont lieu en binôme avec l Amicale du Nid. Le territoire concerné est celui du bassin chambérien, principalement. Interventions dans les soirées festives La Boutique s est mobilisée pour le développement des interventions en soirées festives, depuis 2008 pour permettre au cours de la fête, de délivrer un message et des outils de prévention et de réduction des risques. L objectif est de : - Permettre une prévention collective (information, communication) auprès de publics jeunes (adolescents et jeunes adultes), - Viser une réduction des risques liée aux consommations de substances, intégrant les risques sexuels, les dommages individuels et collectifs (sécurité routière, violence, ). - La tenue de stands d information. Nous mettons à disposition sur un stand des brochures de réduction des risques tant sur les produits que sur les pratiques de consommation, ainsi que le matériel adapté aux différentes pratiques : kits d injection + stérifilts, roule ta paille, plus bouchons d oreilles pour réduire le risque de désordres auditifs, ainsi que les préservatifs masculins/féminins et gels. Par ailleurs, nous envisageons de mettre également à disposition des éthylotests individuels. De plus, nous disposons d un kiosque de jardin démontable (structure métallique + toile imperméable) qui permet d abriter le stand. Dépistages d'alcoolémie au moyen d'éthylotest électroniques - Impliquer dans nos actions de prévention les dirigeants de manifestation festive ou les lieux de nuit. Les interventions ont lieu sous forme de stand, généralement, ou sous forme de maraude, en allant au contact des groupes avec du matériel à disposition dans des sacs à dos. 12
14 Devant le développement des soirées festives, le Pélican envisage de développer un dispositif associatif d interventions bénévoles et professionnelles, à partir d une charte et reprenant le modèle de pratiques développées par d autres équipes. Une première expérimentation a été réalisée durant l été EN PROJET : une réflexion avec les professionnels de la Boutique, sur les tests rapides d orientation et de diagnostic(trod) a été menée en 2013 et reprise en Assemblée Générale du Pélican, en juin 2014, avec l objectif de mettre en place en coopération avec l Espace de Santé Publique du Centre Hospitalier de Chambéry, cette réponse sur l ensemble des services du Pélican et sur les différents territoires d interventions. Le projet d établissement a été l objet d une élaboration collective : que chaque intervenant, du PELICAN, soit ici remercié de la qualité de son investissement et de sa contribution. En regard des contraintes imposées par un environnement en pleine évolution, le projet d établissement devra intégrer les changements rencontrés dans l activité. A ce titre, un comité de pilotage constitué de la direction, des cadres techniques et d autres professionnels, se réunira annuellement. Il sera chargé de veiller à la bonne exécution des axes de travail contenus dans le projet et de son évaluation. 13
15 ANNEXES Dispositions garantissant le droit des usagers Protocole du programme PES (Programme d Echange de Seringue) Coordonnées des services 14
16 Enoncé des dispositions propres à garantir les droits des usagers en application des articles L et L Le CAARUD fonctionne en tant qu établissement médico-social et l association a mis en place toutes les dispositions propres à garantir les droits des usagers. L établissement s engage à mettre en place les instruments listés ci-après : engagement écrit l établissement de respecter les principes éthiques et déontologiques fixés par la charte nationale de référence ; élaboration et diffusion d un règlement de fonctionnement conforme aux dispositions de l article L du code de l action sociale et des familles et au décret n du 14 novembre 2003, élaboration et remise à chaque personne accueillie ou à son représentant légal, d un livret d accueil, conforme aux dispositions de l article L du code de l action sociale et des familles et comportant un exemplaire de la charte des droits et libertés de la personne accueillie et un exemplaire du règlement de fonctionnement susvisé ; affichage dans les locaux de l établissement, de la charte des droits et libertés de la personne accueillie et du règlement de fonctionnement ; élaboration, en concertation avec la personne accueillie et sa famille, d un projet d accompagnement personnalisé mise à disposition des personnes accueillies de la liste départementale des personnes qualifiées susceptibles de les aider à faire valoir leurs droits mise en œuvre d enquêtes de satisfaction ; une fois par an elle portera sur un des axes d intervention. Tout au long de l année par le biais de fiches disponibles à l accueil mise en place de dossiers sécurisés sous la forme de logiciel PROGDIS et Médiwin pour le dossier médical mise en place d une commission interne spécialisée (commission de l évaluation) mise en œuvre de lieux d affichage ; mise en place d un registre de réclamations ; 15
17 PROGRAMME D ECHANGE DE SERINGUES Protocole relatif aux pharmacies d officine volontaires 1. Préambule L association Le Pélican a obtenu au 1 er janvier 2012, l autorisation de l Agence Régionale de Santé visant à mettre en place un Programme d Echange de Seringues en lien avec les pharmaciens du département de la Savoie et du sud de l Ain (Belley). 2. Objectifs du Programme d Echange de Seringues Réduire les risques de contaminations auprès des usagers de drogues par voie intraveineuse en favorisant l échange de seringues. Proposer des kits+ fournis par l association le Pélican au titre du Programme d Echange de Seringues. Favoriser l accès aux soins des usagers de drogues. 3. Qui participe? Des pharmaciens volontaires du département de la Savoie, du territoire de Belley dans l Ain, L association Le Pélican, gestionnaire de deux établissements médico-sociaux : le Centre de Soins d Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA) et le Centre d Accueil d Accompagnement et de Réduction des Risques pour Usagers de Drogues (CAARUD). 4. A quel moment? Aux heures d ouverture des pharmacies partenaires 5. Comment? Premier échange Donner le matériel demandé par l usager (si la personne souhaite plusieurs cartons, les lui donner). Expliquer le principe de l échange de seringues et les conditions de délivrance (retour de matériel usagé). Fonctionnement L usager doit avoir accès au récupérateur afin de déposer lui-même son matériel utilisé. Le pharmacien lui délivre en échange des Kits+ et peut lui donner un récupérateur. Réapprovisionnement et destruction Les kits+ sont à commander auprès de l association Le Pélican : - Programme d Echange de Seringues : tél. O et par mail : caarud@le-pelican.org - Pour la Tarentaise et la Maurienne tél et par mail : tarentaise@le-pelican.org L évacuation pour destruction est effectuée par la société ACODE (tel : ) partenaire du Programme d Echange de Seringues, selon les modalités et les délais légaux. 16
18 6. Recommandations les manipulations de matériel utilisé sont faîtes par l usager. Jamais de contact direct par le personnel de l officine avec le matériel à récupérer. Le récupérateur est dans un lieu sécurisé et confidentiel par rapport aux clients de la pharmacie et aux professionnels de l officine. Il est important de ne pas dépasser la limite de remplissage des récupérateurs. Bien clipper les couvercles des récupérateurs. Evacuer les déchets selon la procédure citée dans un délai de 3 mois même si les récupérateurs ne sont pas pleins. 7. Communication L association Le Pélican s engage à fournir à la pharmacie : - Un autocollant avec le logo représentant le Programme d Echange de Seringues. Cet autocollant sera apposé sur la vitrine de la pharmacie afin d identifier sa participation au Programme d Echange de Seringues. - Le présent document décrivant les modalités d échange de seringues en officine. 8. Organisation Le Programme d Echange de Seringues en pharmacies d officine est financé par l Agence Régionale de Santé (Achat des kits, récupération, destruction, matériels divers, accompagnement du programme, ). Un comité de pilotage se réunit au moins une fois par an, avec des représentants du Pélican et des représentants des pharmaciens. Les référents du Programme d Echange de Seringues s engagent à visiter l officine autant que nécessaire et au moins une fois par an afin de : - Fournir le matériel nécessaire au bon fonctionnement du programme : matériel d injection et documents (protocole et autocollant) - Soutenir, informer et former les professionnels des pharmacies volontaires. Les référents du Pélican sont disponibles auprès des pharmacies volontaires, pour toute question ayant trait au programme. 9. Assurance L assurance en responsabilité civile de l association Le Pélican couvre les professionnels qu elle emploie lors de leurs interventions. L assurance en responsabilité civile de la société ACODE, couvre les professionnels qu elle emploie lors de leurs interventions. L assurance en responsabilité civile de la pharmacie adhérente au protocole, couvre les professionnels qu elle emploie. 10. Volontariat L engagement des pharmaciens dans ce dispositif est un maillon indispensable de la politique de santé publique et de réduction des risques auprès des usagers de drogues. L engagement des pharmaciens dans la bonne marche de ce programme est entièrement bénévole et ne peut donner lieu à aucune rémunération. Le pharmacien peut mettre fin à sa participation par simple courrier adressé au directeur de l association Le Pélican. Une liste des pharmacies adhérant au Programme d Echange de Seringues est adressée annuellement à chaque pharmacie. 17
19 LE PE LICAN SIE GE DE L ASSOCIATION ET DES E TABLISSEMENTS 60 RUE DU COMMANDANT JOSEPH PERCEVAL CHAMBERY TEL. : / FAX. : MAIL : contact@le-pelican.org SITE : LE PE LICAN TARENTAISE 45 AVENUE JEAN JAURES ALBERTVILLE TEL. : FAX. : MAIL : tarentaise@le-pelican.org LE PE LICAN PRE VENTIONS 383 QUAI DES ALLOBROGES CHAMBERY TEL. : FAX. : MAIL : preventions@le-pelican.org LA BOUTIQUE 67 RUE SAINT FRANÇOIS DE SALES CHAMBERY TEL LES ANTENNES Aix-les-Bains 78 BOULEVARD WILSON AIX LES BAINS TEL Belley 14 BOULEVARD DU MAIL, 2EME ETAGE BELLEY TEL. : Saint-Genix sur Guiers CENTRE POLYVALENT D ACTION SOCIALE RUE DU STADE ST GENIX SUR GUIERS TEL. :
20 19
Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailAPPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES
APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) ont pour objet d offrir aux personnes adultes handicapées un
Plus en détailANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires
ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.cmu.fr www.ameli.fr www.securite-sociale.fr + 3646 MIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER ACS CMU Caisse Primaire d Assurance Maladie 5, avenue
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : MIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER www.cmu.fr www.ameli.fr www.securite-sociale.fr + 3646 ACS CMU Caisse Primaire d Assurance Maladie 657 boulevard
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailEtablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil -
Etablissement S.A.S. / ARPADE Services d Accueil et de Soins - Livret d accueil - Association Régionale de Prévention et d Aide face aux Dépendances et aux Exclusions Valeurs fondamentales de l Association
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailPrévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales
Colloque régional de prévention des addictions Mardi 31 mars 2015 Clermont-Ferrand Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Appels à communication Le Pôle de référence
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailContribution de Médecins du Monde
Contribution de Médecins du Monde Conférence nationale de lutte contre la pauvreté et les exclusions des 10 et 11/12/12 Thématique Hébergement / logement Cette contribution fait suite à la participation
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailActeur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS
Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Groupe sida Genève 9, rue du Grand-Pré CH-1202 Genève info@groupesida.ch
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailService Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire
Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire Pour adultes handicapés mentaux de la Meuse serésienne rue Hainchamps 77 siège social: a.s.b.l. Cesahm 4100 Seraing rue du Sewage 9 à 4100
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailLa santé des jeunes Rhônalpins en insertion
La santé des jeunes Rhônalpins en insertion Diagnostic commun et actions partenariales URML, URHAJ et MFRA CRDSU (centre de ressources et d'échanges pour le développement social urbain) 12 octobre 2012
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailPôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre. Salon des formations en promotion de la santé
Fédération Régionale des Acteurs FRAPS Pôle de compétence en promotion de la santé région Centre en Promotion de la Santé en Région Centre Salon des formations en promotion de la santé Mardi 20 janvier
Plus en détailLA JEUNESSE. l es sen LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE
LA JEUNESSE l es sen tiel LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE sommaire LA JEUNESSE PAGES 4 À6 PAGES 7 À9 PAGE 10 PAGE 11 Le BIJ, lieu ressources Pour s informer et se documenter -
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailLIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap
LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailPREAMBULE INSCRIPTION AUX SERVICES RESPONSABILITÉ - ASSURANCE HYGIENE ET SANTE
LES REGLEMENTS INTERIEURS RESTAURANT SCOLAIRE ACCUEIL PERISCOLAIRE ACTIVITES PERI-EDUCATIVES Délibéré en Conseil Municipal du 05 Juin 2014 PREAMBULE Les services périscolaires sont des prestations volontairement
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailCONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE
CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE ET RTE Entre L Association des Maires de France, sise 41 quai d Orsay, 75343 Paris cedex
Plus en détailDrug Misuse and Treatment in Morocco
Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailUn Pass santé contraception. pour les jeunes francilien-ne-s
Un Pass santé contraception pour les jeunes francilien-ne-s Mardi 26 avril 2011 Lycée Elisa Lemonnier Contacts Presse Emmanuel Georges-Picot 01.53.85.57.33 emmanuel.georges-picot@iledefrance.fr Véronique
Plus en détailLes accueils de jour du Nord
PRÉFET DU NORD Les accueils de jour du Nord Avril 2014 Direction départementale de la cohésion sociale Mission urgence sociale hébergement insertion Le dispositif d Accueil, d Hébergement et d Insertion»
Plus en détailTableau de bord sur les addictions en Bretagne
DU Addictologie 6 novembre 2014 Tableau de bord sur les addictions en Bretagne Les principaux chiffres clés Tableau de bord sur les addictions en Bretagne http://www.cirdd-bretagne.fr/ http://orsbretagne.typepad.fr/ors_bretagne/
Plus en détail2015-2016-2017. Entre,
Convention n Relative aux contributions respectives de l association «Jeunesse et Cultures», des Communes de Charmes, Thaon-les-Vosges et du Conseil général des Vosges à des actions dites de prévention
Plus en détailDépartement du Val-de-Marne. Charte départementale de partenariat sécurité routière. entre l État,
Département du Val-de-Marne Charte départementale de partenariat sécurité routière entre l État, la Caisse Régionale d Assurance Maladie d Ile-de-France (CRAMIF) et la profession du transport routier de
Plus en détailC H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S
C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S P r é a m b u l e Proximité Singularité de la personne Universalité du service De nombreux territoires ruraux et urbains se situent en
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailPour la création d une maison d assistants maternels
CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles
Plus en détailMAMI SENIORS Livret d accueil
MAMI SENIORS Livret d accueil Maison «Mami seniors» : Un espace d accueil de jour non médicalisé. C est un lieu de rencontres, d échanges et d animation au cœur de Toulon. Soucieux de cultiver le lien
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailDangers potentiels d Internet et des jeux en ligne
Le Conseil fédéral Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Rapport du Conseil fédéral en réponse aux postulats Forster-Vannini (09.3521) du 9.6.2009 et Schmid-Federer (09.3579) du 10.6.2009
Plus en détailMUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine
MUT @ctu.net La lettre d information électronique de la Mutualité Française Aquitaine N 13 : 30 mars 2011 Priorité Santé Mutualiste : un kit de communication pour permettre aux mutuelles de promouvoir
Plus en détailFiche Action 6.D.6. ACTIV G (Fédération des Centres sociaux de la Nièvre)
Fiche Action 6.D.6 ACTIV G (Fédération des Centres sociaux de la Nièvre) Axe Schéma Régional de Prévention 3.1. LES ADOLESCENTS ET JEUNES ADULTES : Développement dès l enfance des capacités des adolescents
Plus en détailSERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -
SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale
Plus en détailA.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex. Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.
A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.com Le mot de bienvenue du Président Vous avez choisi d
Plus en détailProtocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.
Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.
Plus en détaille Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs
LIVRET D ACCUEIL le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs 23, rue du docteur potain 75019 Paris 01 53 38 62 50 Portraits des membres du groupe d expression du SAVS par Catel
Plus en détailDép. 75 «Service d Accueil de Jour»
Dép. 75 «Service d Accueil de Jour» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Le Service d accueil de jour -SAJE- est implanté sur le 19 e arrondissement de Paris et accueille
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailAction sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie
Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailMINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation Bureau R4 Dossier suivi par Denise Bauer Tél. : 01 40 56 52 78 Mel. : denise.bauer@sante.gouv.fr
Plus en détailLa Mutualité. Française. Rhône. dans le. Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire
La Mutualité Française Rhône dans le Des services de soins et d accompagnement mutualistes pour une santé solidaire Des valeurs qui font la différence Edito La Mutualité Française Responsabilité CHACUN
Plus en détailACSI. Association Centre de santé Infirmier. 53 rue de la marine 29760 Penmarc h : 02.98.58.60.18 :02.98.58.71.17. cdspen29@wanadoo.
ACSI Association Centre de santé Infirmier Penmarc h Plomeur Le Guilvinec Tréffiagat-Léchiagat 53 rue de la marine 29760 Penmarc h : 02.98.58.60.18 :02.98.58.71.17 cdspen29@wanadoo.fr SOMMAIRE Introduction
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailrapport d activité 2010
rapport d activité 2010 Formation Orientation Santé Emploi Logement Mobilité 42/43 La Santé Dans le contexte d accompagnement global en Mission Locale, une prise en compte de tous les aspects de la vie
Plus en détailRéseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006
Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des
Plus en détailVade-mecum pour la présentation d un projet de club
Vade-mecum pour la présentation d un projet de club Ce document a pour objectif de donner quelques repères pour la présentation du projet de club : description, valorisation et priorisation des objectifs.
Plus en détailCHARTE DU SPORT DE HAUT NIVEAU
CHARTE DU SPORT DE HAUT NIVEAU Préambule Le sport de haut niveau joue un rôle social et culturel de première importance. Conformément aux valeurs de l Olympisme énoncées dans la Charte olympique et aux
Plus en détailPRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur
Plus en détailOffre santé 2015 FGMM-CFDT
SOMILOR - HARMONIE MUTUELLE Offre santé 2015 FGMM-CFDT Réservée aux adhérents régime général La FGMM-CFDT a négocié pour vous une complémentaire santé groupe SOMILOR-HARMONIE MUTUELLE. Bénéficiez de tous
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailLes recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA
Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Plan de la présentation Recommandations de recherche de l expertise INSERM Etat d avancement des
Plus en détailsociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)
Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailSynthèse des réflexions
Synthèse des réflexions 5ème Journée de Rencontres Inter-Professionnelles ADDICTION ET PRÉCARITÉ Le 2 février 2008 À l Auberge de Jeunesse DU PORT DU RHIN ------------------------------------ Organisée
Plus en détailLa politique marseillaise en faveur des Seniors
La politique marseillaise en faveur des Seniors Le Centre Communal d Action Sociale de la Ville de Marseille est un établissement public administratif communal. Il oriente ses actions en faveur des personnes
Plus en détailLogements Entraide Générations
Logements Entraide Générations Présentation Logements Entraide Générations développe une idée simple : loger des jeunes entre 18 et 30 ans, à la recherche d un logement chez un sénior disposant d une chambre
Plus en détailPropositions concernant les milieux festifs pour le prochain plan MILDT
s concernant les milieux festifs pour le prochain plan MILDT Les présentes propositions ont été élaborées par le Pôle Festif de l'association Française pour la Réduction des risques liés aux usages de
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détail"La santé des étudiants en 2013"
1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de
Plus en détailLIVRET D'ACCUEIL. EHPAD Valle Longa 0495532200 www.vallelonga.fr 20117 Cauro
LIVRET D'ACCUEIL EHPAD Valle Longa 0495532200 Sialare www.vallelonga.fr 20117 Cauro LE MOT D ACCUEIL Madame, Monsieur, Nous vous souhaitons la bienvenue à la résidence Valle Longa de Cauro. Valle Longa,
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL
SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailContribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours
Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailétudiants et jeunes en formation
TARIFS 2015 INCHANGÉS tarifs 2015 étudiants et jeunes en formation Mutuelle fondée en 1880 par les Compagnons du devoir étudiants et jeunes en formation tarifs 2015 1 le ralliement le sens du devoir pour
Plus en détailLa Mutualité en chiffres Édition 2011
La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 6 Sommaire Message du directeur général de la Mutualité Française
Plus en détailStratégie de déploiement
Messageries Sécurisées de Santé (MSSanté) Mars 2014 Page 1 La présente note vise à éclairer la démarche de mise en place d un système de messageries sécurisées de santé en concertation avec l ensemble
Plus en détailédito sommaire Le Conseil des étrangers Edito 1 Accès aux droits 2 Apprendre le français 5 Accès aux soins 6 Citoyenneté 9
avec le soutien de édito sommaire Edito 1 Accès aux droits 2 Apprendre le français 5 Accès aux soins 6 Citoyenneté 9 N Retrouvez au dos les lieux sur le plan Notre ville est riche de sa diversité, qui
Plus en détailCommission Statut et Juridique AH-HP. COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS
Commission Statut et Juridique AH-HP COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS Février 2010 1 Origine du code de déontologie Faisant
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détailPréparer la formation
Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailLivret du patient Livret du patient
Livret du patient Livret du patient ÉTABLISSEMENT PUBLIC DE SANTÉ BARTHÉLEMY DURAND Avenue du 8 mai 1945 - BP 69-91150 Etampes Cedex Tél. 01 69 92 52 52 - www.eps-etampes.fr Version 03/04/2014 ÉTABLISSEMENT
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détailSéquence 1 : La place du MSP et de l ISP
Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative
Plus en détailUn besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat)
Un besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat) «Si, globalement, les adolescents se disent en meilleure santé que les adultes, il convient, au regard des résultats qui suivent
Plus en détailLE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES
LE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Le SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Un dispositif de lutte contre l exclusion : 24h/24, 365j/an : 1) Une permanence téléphonique le N vert : 080099/340 2) Des équipes mobiles d aide
Plus en détail