Rapport Régional Afrique. Abou THIAM & Mamadou Bamba SAGNA Pesticide Action Network Africa Dakar, Sénégal

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1 MONITORING DES PESTICIDES AU NIVEAU DES COMMUNAUTES A LA BASE Rapport Régional Afrique Abou THIAM & Mamadou Bamba SAGNA Pesticide Action Network Africa Dakar, Sénégal Dakar, Décembre

2 SOMMAIRE INTRODUCTION 1. REVUE DE LA LITTERATURE 1.1Utilisation des pesticides chimiques 1.2Impacts sur la santä 1.3Impacts sur l environnement 1.4RÄglementation des pesticides 1.5Alternatives aux pesticides 2. OBJECTIFS ET METHODOLOGIE 3. RESULTATS ET DISCUSSIONS 3.1Mali Utilisation et gestion des pesticides Formation des vendeurs Vente et distribution des pesticides Licences de commercialisation Elimination des emballages vides Impacts des pesticides sur la santä PrÄcautions prises et connaissance sur les dangers Impacts des pesticides sur l environnement 3.2Sénégal Utilisation et gestion des pesticides Impacts des pesticides sur la santä PrÄcautions prises et connaissances sur les dangers Elimination des emballages vides Impacts des pesticides sur l environnement 3.3Tanzanie Utilisation et gestion des pesticides MÄthodes et techniques d application PrÄcautions prises et connaissance des dangers Elimination des emballages vides Impacts des pesticides sur la santä Impacts des pesticides sur l environnement 2

3 3.4Une étude de cas : Utilisation et gestion des pesticides par les maraichers en CÇte d Ivoire : Cas de la ville d Abidjan et deux de ses banlieues (Dabou et Anyama) (par M. Doumbia et K.E. Kwadjo) CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ANNEXES - TÄmoignage 1 : CÇte d Ivoire : des pesticides qui tuent leurs utilisateurs (Aly Ouattara, Inter Press Service, IPS) - TÄmoignage 2 : Nanguila empoisonnä aux pesticides (Didier Samson, RFI) - TÄmoignage 3 : SÄnÄgal : Intoxication alimentaire : 25 jeunes admis aux urgences É Saint-Louis (Gabriel BarbiÄ, Quotidien sänägalais WalFadjiri) 3

4 INTRODUCTION PrÑs de produits chimiques sont commercialisäs un peu partout dans le monde et malgrä cette trñs grande variätä, 1500 moläcules nouvelles sont mises sur le marchä chaque annäe. Il est estimä qu au moins substances n ont pas fait l objet d Ätudes poussäes sur leurs risques toxiques (Bertollini et Danzon, 2004). Parmi ces produits il y a un grand nombre de pesticides. La vente de pesticides rapporte É l industrie plus de 30 milliards de dollar par an et que 80 % de ces recettes sont räparties entre 8 grands groupes mondiaux. La part de l Afrique dans le commerce mondial des pesticides est estimä É 1 milliard d euro soit 4 %. Cette part est trñs loin de celle de l AmÄrique du Nord avec 5,9 milliard d euro soit (22,5 %), de l AmÄrique latine 4,8 milliards d euro soit (18,5 %) de l Europe 8,3 milliards d euro soit (31,7 %) et de l Asie 6,1 milliards d euro soit (23,3 %) (UIPP, 2007). Il est estimä qu il y aurait, chaque annäe, 1 É 5 millions de cas d empoisonnements aux pesticides, entraönant la mort de plusieurs milliers de travailleurs agricoles (dont les enfants) dans les pays du Sud. Bien que les pays africains importent moins de 10 % des pesticides utilisäs dans le monde, ils totalisent la moitiä des empoisonnements accidentels et plus de 75 % des cas mortels (OMS/PNE, 1990). Ces derniers chiffres ne prennent pas en compte les intoxications chroniques (empoisonnement lent et continu pendant plusieurs annäes) qui peuvent entraöner des problñmes de santä comme les cancers, des atteintes nerveuses, la stärilitä et les malformations, etc. Le contrçle insuffisant des importations, les mauvaises conditions d utilisation de stockage de certains pesticides qui deviennent par la suite obsolñtes causent Ägalement Üa et lé d importants dommages environnementaux et sanitaires notamment dans les rägions rurales. En se däcomposant, les pesticides forment des sous-produits qui peuvent s avärer encore plus toxiques que la substance originelle. Face É ces diffärents problñmes graves et afin d aider les communautäs É faire un suivi et É se prämunir des effets näfastes des pesticides, PAN Africa a mis en œuvre avec des partenaires dans quatre pays africains, une initiative transversale majeure 4

5 prise räcemment par PAN International, É savoir la surveillance par les communautäs des pesticides (Community Based Monitoring en anglais). Ce rapport präsente les premiers räsultats de ce monitoring. Il est structurä de la maniñre suivante : une revue bibliographique qui aborde les problñmes liäs É l utilisation des pesticides, les expositions humaines, les impacts sur la santä, sur l environnement, la räglementation des pesticides ainsi que les alternatives aux pesticides. une präsentation et discussion des räsultats obtenus par les organisations et les groupes partenaires qui ont fait le monitoring dans trois pays : le Mali, le SÄnÄgal et la Tanzanie. Une Ätude de cas räalisäe en CÇte d Ivoire est Ägalement exposäe Il a ÄtÄ annexä É l Ätude : quelques tämoignages rapportäs par la presse nationale et internationale sur des mauvaises pratiques et d accidents liäs aux pesticides dans quelques pays, Et une liste de quelques projets et programmes sur les alternatives aux pesticides menäs pour pallier autant que faire se peut aux problñmes liäs aux pesticides. 1. REVUE DE LA LITTERATURE 1.1Utilisation des pesticides chimiques L utilisation des pesticides aussi bien sur les cultures vivriñres que sur les cultures d exportation a toujours repräsentä un danger räel pour les agriculteurs et les populations en Afrique au Sud du Sahara. Les risques encourus par les paysans dans les traitements des cultures comme le coton qui peut exiger plusieurs Äpandages de pesticides avant la räcolte peuvent àtre un danger mortel. La convention de Rotterdam reconnaöt le danger potentiel des produits chimiques dont la gestion constitue un däfi pour de nombreux gouvernements des pays en däveloppement particuliñrement en Afrique. â Dans beaucoup de pays en däveloppement, les conditions ne permettent pas aux petits paysans d utiliser sans danger les pesticides Ç toxicitä ÄlevÄe. Il en räsulte des dägéts permanents aussi 5

6 bien sur la santä des agriculteurs que l environnement ä däclarait Mr Jacques Diouf, Directeur GÄnÄral de la FAO, au moment de l enträe en vigueur de la Convention de Rotterdam en Les pesticides sont souvent utilisäs sans discernement par des agriculteurs ne sachant lire ni les Ätiquettes ni les doses d utilisation präconisäes. Ce qui engendre souvent des accidents. Les conditions de stockage et la distribution des pesticides dans des contenants qui sont aprñs räutilisäs notamment É des fins alimentaires provoque Ägalement des accidents souvent graves parfois mortels au niveau des populations les plus vulnärables en particulier les enfants et les femmes. De nombreuses pratiques observäes dans la manipulation des produits chimiques toxiques exposent l agriculteur, sa famille, les consommateurs, les populations aux risques d intoxication directe ou chronique et Ägalement engendrent des problñmes de pollution de l environnement. Les intoxications par les pesticides constituent de nos jours un problñme räel de santä publique dans les grandes zones de cultures de nombreux pays africains. En l absence de systñmes de surveillance adäquats, de centres antipoison, il est quasiment impossible d avoir des chiffres officiels et de statistiques fiables sur le nombre d intoxications, d empoisonnement, d accidents et de däcñs dus aux pesticides. Cependant, quelques ÄlÄments peuvent àtre puisäs de la littärature et de l expärience pour illustrer la situation : entre Janvier 1992 et däcembre 2007 le Centre Anti Poison Marocain a enregisträ plus de 2609 cas d intoxication (Naima Rhalem et al 2009), au SÄnÄgal, PAN Africa a recensä 258 cas entre 2002 et 2005 (Thiam. M et Touni E. 2009), au BÄnin entre Mai 2007 et Juillet 2008, 105 cas dont 9 däcñs dus É l endosulfan (taux de lätalitä 9 %) ont ÄtÄ rapportäs (Badarou S. et Coppieters Y., 2009). Au Mali, les cas intoxications dues aux pesticides ont ÄtÄ estimäs annuellement É prñs de 329 avec 30 É 210 däcñs et de 1150 É 1980 intoxications chroniques (FAO/CILSS 2000),etc. Ainsi, bien qu Ätant le continent qui utilise le moins de pesticides en volume en raison notamment de la pauvretä, l Afrique est l une des rägions oã ces produits toxiques font plus de dägåts sur les populations et l environnement particuliñrement dans les rägions de grandes exploitation agricole, les pärimñtres irriguäs pärimñtres 6

7 päriurbains et les plantations de cultures de rente. Les populations de ces zones sont parfois victimes d intoxications par les pesticides. Par ailleurs, il est connu que des pesticides organochloräs tels que le DDT, le chlordane, et l heptachlore, qui ont ÄtÄ retiräs ou interdits en Europe et en AmÄrique du Nord en raison de leurs effets sur la santä et l environnement, continuent É àtre ÄcoulÄs dans les pays en däveloppement, en Afrique ou ailleurs, notamment lé oã les gouvernements ne disposent pas d informations suffisantes sur la toxicitä de ces produits et les moyens de s en protäger (FAO 1996). Le recours aux pesticides constitue le principal moyen de lutte en cultures maraöchñre. La däpendance croissante É ces produits et l usage excessif et abusif qui en est fait posent de särieux problñmes. La plupart des producteurs ne disposent pas de vàtements et accessoires de protection et ne respectent pas les dälais avant räcolte. Cela est É l origine d accidents fräquents d empoisonnement chez les agriculteurs, notamment les femmes et les enfants, de taux inacceptables de räsidus de pesticides sur les produits de consommation, et de contamination de l environnement. 1.2 Impacts des pesticides sur la santé DiffÄrentes enquàtes menäes dans les pays d Afrique ont recensä des intoxications dues É des pesticides variäs. L un de ces biocides est l endosulfan, un pesticide organochlorä largement utilisä sur le coton pour lutter contre Helicoverpa armigera. Le produit a provoquä de nombreux accidents É tel point que les pays membres du CILSS ont däcidä räcemment d interdire son utilisation (PAN/IPEN, 2008). Au BÄnin, 37 personnes (des agriculteurs et autres) sont mortes entre Mai et Septembre 1999, tandis que 36 autres ont souffert d intoxications sävñres É cause du Callisulfan (endosulfan 350g) dans le däpartement du Borgou (Ton & al, 2000). Ces intoxications sont directes (surviennent au cours des traitements avec le produit) ou indirectes (aprñs consommation de produits contaminäs, essentiellement des produits maraöchers sur lesquels le produit est utilisä alors qu il devrait àtre employä uniquement sur le coton). 7

8 Sur un Ächantillon de 100 producteurs chargäs des traitements phytosanitaires dans la zone cotonniñre de Gourma (Burkina Faso), des maux de tàtes sävñres sont les symptçmes les plus fräquents et affectent 92 % des enquàtäs, suivis des vertiges pour 83 %, des tremblements des mains pour 54 %, des nausäes ou vomissements pour 21 %, troubles de la vision 21 %, transpiration excessive pour 13 %, Ätourdissement pour 8 % et hypersalivation pour 8 %. La plupart de ces symptçmes (46 %) surviennent quelques heures ou quelques jours aprñs l utilisation des pesticides. Quelques cas cependant (13 %) sont arriväs pendant l utilisation des produits et Ätaient les incidents les plus särieux (Glin & al, 2006). Bien que le pesticide responsable n a pas ÄtÄ formellement identifiä mais tout porte É croire que le produit toxique n est autre que l endosulfan. Au Togo, plus de 500 cas d intoxication liäs É l utilisation de l endosulfan Ätaient enregisträs chaque annäe par la Division de Toxicologie de l HÇpital public de LomÄ- Tokoin (Kodjo 2007). Des accidents de cette nature arrivent dans de nombreux pays d Afrique. Malheureusement leur documentation n est pas facile car les statistiques ne sont pas disponibles dans les centres de santä et les structures sanitaires sont trñs peu outilläs et formäs pour faire un diagnostic präcis des intoxications par les pesticides. Par ailleurs les antidotes et les premiers soins d urgence ne sont pas non plus accessibles aux populations en particulier les ruraux. Peu de donnäes sont disponibles sur la toxicitä chronique des pesticides. Si les activitäs agricoles sont bien souvent la cause directe des intoxications et surviennent lors de la manipulation de ces toxiques, les suicides avec les pesticides sont Ägalement une des principales causes de däcñs (OMS 2004). 1.3 Impacts des pesticides sur l environnement La pollution par les pesticides constitue un problñme majeur dans beaucoup de rägions surtout les zones de cultures intensives oã d importantes quantitäs d intrants chimiques sont employäs. L'utilisation des pesticides est trñs räpandue et les quantitäs appliquäes sont quelquefois trñs ÄlevÄes, mais les donnäes concernant leur toxicitä pour les environnements africains en particulier sur les milieux 8

9 aquatiques, sur leur devenir dans l'environnement et leurs räsidus, sont peu nombreuses ou inexistantes. Certains ÄlÄments des ÄcosystÑmes sont particuliñrement sensibles aux pesticides chimiques. Les poissons sont trñs sensibles É l endosulfan et des traitements de type räsiduel É 100 g/ha ont entraönä sur des riviñres au Burkina Faso, aprñs 24 heures, des mortalitäs considärables de poissons (Dejoux 1985). Les poissons sont Ägalement en danger É chaque fois que le chlorpyriphos est utilisä prñs des eaux de surface (FAO/ Projet Locustox, 1997).Le FÄnitrothion et le Fenthion sont deux organophosphoräs Ägalement trñs dangereux pour les poissons. La deltamäthrine peut aussi entrainer une mortalitä ÄlevÄe des invertäbräs aquatiques. La forte toxicitä pour les organismes aquatiques est un facteur commun É la plus part des pyräthrinoides. L arsenal des pesticides utilisäs en agriculture est trñs vaste et les informations concernant leur impact sur les ÄcosystÑmes sont rares. Leur cinätique est souvent complexe et les quantitäs qui aprñs Äpandage sur les cultures atteignent un biotope particulier sont extràmement variables et däpendent de nombreux facteurs notamment mätäorologique ou physico-chimique (biodägradabilitä). Parfois ce sont des mätabolites qui atteignent le milieu aquatique et ces produits de dägradation peuvent selon le cas àtre plus ou moins toxiques que le composä d origine. L accumulation de ces produits se fait lentement dans les organismes par le biais des chaönes alimentaires ; ainsi il a ÄtÄ signalä la präsence de DDT, de DDE et de TDE dans les tissus des poissons de la rägion du Gezira au Soudan (El Zorgani 1976). De màmes des räsultats ont ÄtÄ trouväs dans le lac Victoria, les insecticides incriminäs provenant dans tous les cas des traitements effectuäs sur le coton. De màme la lutte contre la vägätation aquatique fait appel É des moläcules fortement toxiques. Le paraquat, un sel d ammonium, agit sur la faune autant par sa matiñre active que par les agents mouillants que comporte sa formulation (Dejoux 1985). Des analyses montrent la präsence de nombreux pesticides organochloräs dans plusieurs matrices ; du HCH, de l endosulfan, de l heptachlore, du DDT ont ÄtÄ trouväs dans le lait et le beurre en CÇte d Ivoire (Traore S.K., 2008). Des räsidus d heptachore, d endosulfan, de DDT, de dicofol ont ÄtÄ trouväs sur plusieurs variätäs 9

10 de lägumes dans la rägion des Niayes aux alentours de Dakar (Ceres Locustox, 2008). Les pesticides chimiques utilisäs en lutte antiacridienne peuvent avoir des effets nägatifs sur les ennemis naturels des acridiens, sur des oiseaux, sur des insectes utiles dans les agro-systñmes (Ceres Locustox, ). On retrouve des räsidus de pesticides partout : dans l eau, mais aussi dans l air, les brouillards et l eau de pluie (PAN Africa en 2008). Au Burkina Faso, au BÄnin et au SÄnÄgal ont prouvä que l endosulfan a ÄtÄ trouvä dans les sols (Sawadogo et al, 2006). Une Ätude menäe a Koutiala (Mali) sur la pollution des eaux de puits par les pesticides agricoles (TraorÄ S. & al, 2006) a rävälä que l endosulfan a ÄtÄ dätectä dans 85 % de l ensemble des puits contaminäs É des taux däpassant les normes ou les valeurs de räfärence recommandäes pour l eau potable, soit 0,1μg/L pour une matiñre active donnäe. Il se präsente sous ses deux formes isomñres : l α- endosulfan et le β-endosulfan. Les concentrations maximales mesuräes sont respectivement de 25,28 μg/l et de 13,74 μg/l. Les teneurs räsiduelles moyennes de l endosulfan dans les eaux de l ensemble des puits contaminäs sont respectivement de 3,21 μg/litre pour l'α-endosulfan et, 2,18 μg/litre pour le β- endosulfan. De l endosulfan a ÄtÄ trouvä dans 7 sur les 38 Ächantillons d eau präleväs dans la nappe phräatique de la zone des Niayes É Dakar, au SÄnÄgal. Les concentrations ont atteint plus de 100 êg/l. (CissÄ I. & al, 2006). Il y a eu Ägalement d autres incidents liäs É l endosulfan par exemple de fortes mortalitäs de poissons dans la valläe du fleuve SÄnÄgal. 1.4 Réglementation des pesticides Les Etats africains ont dans leur grande majoritä signä et ratifiä les principaux instruments juridiques internationaux relatifs É la gestion des produits chimiques ; É savoir le Code de Conduite de la FAO, la Convention de Rotterdam sur le Consentement PrÄalable en connaissance de cause (PIC), la Convention de Stockholm sur les Polluants Organiques Persistants (POPs), l Approche StratÄgique de la Gestion Internationale des Produits Chimiques (SAICM), la Convention de Båle, 10

11 la Convention de Bamako, la RÄglementation Commune du CILSS etc., et ont mis en place des organismes de coopäration en matiñre de gestion des produits phytosanitaires (CILSS, CEDEAO, CPAC etc.). Cependant, la mise en œuvre des ces instruments juridiques demeure un väritable problñme pour les Etats. En effet plusieurs pays n ont pas de lägislations nationales É jour dans le domaine de la gestion des pesticides. A cotä de ces instruments juridiques internationaux, le Mali, le SÄnÄgal et la Tanzanie ont tous trois des lois nationales. Il s agit respectivement de : la loi në du 3 juin 2002 instituant le contrçle de l homologation et le contrçle des pesticides en RÄpublique du Mali et son däcret d application në /P-PM du 31 däcembre 2003 fixant les modalitäs d application de la loi instituant l homologation et le contrçle des pesticides en RÄpublique du Mali, la loi në du 2 fävrier 1984 et son däcret d application në du 02 mai 1984 relatifs au contrçle des späcialitäs agro-pharmaceutiques et des späcialitäs assimiläes. Une loi tombäe en däsuätude et qui sera abrogä par une autre qui est en Älaboration enfin The Pesticides Control Regulations in Tanzanie. 1.5 Alternatives aux pesticides Un inventaire des pratiques de protection ne faisant pas appel aux pesticides montre que plusieurs alternatives existent dans les pays et peuvent àtre mis É profit. L idäe du recours É ces alternatives gagne du terrain. Ils sont, en effet, de plus en plus nombreux les producteurs et associations paysannes É promouvoir ces techniques culturales. La lutte intägräe fait une plus large place É l utilisation des bio-pesticides, de mäthodes culturales mieux adaptäes et de matäriels vägätaux räsistants aux maladies et devrait, en principe, aboutir É un usage plus modärä et mieux ciblä des produits chimiques. Des efforts sont däployäs par diffärents acteurs pour dävelopper des technologies de lutte alternatives dont un biopesticide ÄlaborÄ avec le Metarhizium qui provoque une maladie fongique des locustes et des sautäriaux (FAO, 2007). Les acteurs de cette politique sont autant les structures Ätatiques que celles de la sociätä civile (DoucourÄ 2008). 11

12 2. OBJECTIFS ET METHODOLOGIE Les objectifs du monitoring sont de mettre en Ävidence avec les communautäs les impacts des pesticides sur la santä et l environnement des communautäs, en observant de prñs les conditions d'utilisation, en analysant la faüon dont les pesticides sont distribuäs et vendus par rapport au normes Ätablies par le Code international de conduite pour la distribution et l'utilisation des pesticides ÄlaborÄ par la FAO (FAO,,???). Les räsultats obtenus devront contribuer É l atteinte de l objectif global de l'approche stratägique de la gestion des produits chimiques (SAICM), É savoir parvenir É une gestion Äcologiquement saine des produits chimiques tout le long de leur cycle de vie de telle sorte que d ici É l horizon 2020 ces produits soient fabriquäs et utilisäs de faüon É räduire et É terme Äliminer leurs mäfaits sur la santä humaine et sur l environnement (Weinberger, 2009). Pour atteindre ces objectifs, l approche Community Pesticide Action Monitoring (CPAM) est parue appropriäe. Le CPAM est un outil permettant de prendre conscience de l impact des pesticides sur la santä humaine et sur l environnement. Cette approche est basäe sur la Recherche et l Action Participative (RAP). Cela implique que les membres de la communautä entreprennent la recherche et encouragent l organisation et l action pour trouver des solutions É leurs problñmes. Le CPAM Ätudie les impacts des pesticides sur la santä humaine et aide É l Äveil des consciences sur les risques liäs É l usage des pesticides. Il a pour objectif principal de permettre aux communautäs de däcrire leurs situations räelles et d àtre impliquäes dans la recherche de solutions É leurs problñmes. Pour mieux apprendre l approche CPAM, deux ateliers rägionaux furent organisäs au SÄnÄgal et en Tanzanie. Celui du SÄnÄgal Ätait destinä aux pays francophones d Afrique. Elle a vu la participation de plusieurs organisations venant du BÄnin, du Cameroun, de la GuinÄe Bissau, du Mali, du Maroc, du SÄnÄgal, du Togo et de la Tunisie. L atelier organisä en Tanzanie a vu la participation de pays ayant l anglais comme langue commune É savoir la Tanzanie, l Afrique du Sud, l Ethiopie et le Nigeria. En plus de ces deux ateliers rägionaux, trois ateliers nationaux ont ÄtÄ organisäs, le premier É Dakar du 1 er au 5 octobre 2007 ; le second É Bamako au Mali du 26 au 28 Mai 2009 et le troisiñme É Tunis en Tunisie les 25 au 26 juin Ces formations Ätaient destinäes aux ONGs nationales de ces pays de màme que les autoritäs ayant en charge la gestion des produits chimiques en gänäral et des pesticides en particulier. 12

13 Au cours des ateliers, les participants ont ÄtÄ initiäs au CPAM et ont donnä leurs avis sur les modules et les autres documents produits pour la circonstance. En effet, la mise en pratique du suivi communautaire näcessite un certain nombre d outils, c est ainsi que des modules däveloppäs par PAN Asie-Pacific depuis quelques annäes ont ÄtÄ adaptäs au contexte africain par PAN Africa qui les a traduit en franüais. Au total 3 modules ont ÄtÄ präparäs : Module 1 : Attention!!! Les pesticides sont nuisibles É votre santä Module 2 : Les pesticides dätruisent notre terre Module 3 : Renoncer aux pesticides! Båtir un monde durable. En plus de ces modules d autres outils ont ÄtÄ produits. Il s agit du guide international sur le suivi communautaire et le plaidoyer qui a ÄtÄ finalisä puis traduit de l anglais au franüais de màme que les questionnaires annexäs au guide. Au Mali, PAN Mali a traduit les questionnaires du guide et le module në1 en langue Bambara, la principale langue nationale de ce pays. Le Manuel des OpÄrations produit par PAN Asie Pacific a ÄtÄ aussi traduit en franüais et distribuä aux partenaires pour aider aux enquàtes qu ils devraient faire. Le manuel couvre les objectifs, la portäe, les techniques d enquàtes et les questions liäes É l Äthique. Enfin, le formulaire sur les rapports d incidents de la Convention de Rotterdam communäment appelä Rapport d incident a ÄtÄ utilisä pour la documentation des incidents par les pesticides. Au total six principaux supports ont ÄtÄ produits et mis É la disposition des partenaires dans les pays pour la circonstance. Avec ces outils, les agents des ONGs et les partenaires accompagnäs avec les repräsentants des communautäs oã le suivi communautaire doit se därouler ont collectä les informations sur les conditions d utilisation des pesticides et leurs impacts sur la santä humaine et sur l environnement. Ainsi entre FÄvrier 2007 et Juillet 2009, cinq organisations africaines ont entrepris des activitäs de suivi communautaire des pesticides dans leurs pays, il s agit de : PAN Africa au SÄnÄgal, de PAN Mali, de l Association pour la Promotion des Initiatives de Base (APIB), l Association pour la Valorisation et la Promotion des Initiatives PrivÄes (AVPIB) au Mali, de Work And Health in Southern Africa (WAHSA) et de AGENDA for Environment and Responsible Development en Tanzanie, enfin de l Alliance Nationale des Consommateurs et de l Environnement au Togo (ANCE). 13

14 Les trois premiñres organisations citäes ont mis l accent sur le guide sur le suivi communautaire et ses questionnaires, les deux autres se sont appesanties sur le formulaire PIC ÄlaborÄ par le secrätariat de la Convention de Rotterdam sur le Principe du Consentement PrÄalable en connaissance de cause. Finalement, É Ngerananyuki en Tanzanie, l ONG WAHSA a interviewä 120 personnes sur les conditions d utilisation gänärale des pesticides et sur leur impact sur la santä. Au SÄnÄgal 200 personnes ont ÄtÄ interrogäes sur deux sites diffärents au Sud et au Nord du pays sur les conditions d utilisation gänärale des pesticides et leurs impacts sur la santä des producteurs. Au Mali le monitoring s est däroulä sur deux sites É Sikasso et É Bamako. A Sikasso 100 personnes ont ÄtÄ interrogäes sur les conditions d utilisation gänärale des pesticides et sur leur impact sur la santä des populations. A Bamako, le monitoring a portä sur la vente des pesticides, 35 commerüants/boutiquiers parmi les plus importants vendeurs d intrants agricoles de la capitale malienne ont ÄtÄ interrogäs. Au total de 420 personnes et 35 magasins et boutiques de pesticides ont participä É la collecte des donnäes utilisäes dans cette Ätude. 3. RESULTATS ET DISCUSSIONS 3.1 Mali Le Mali est un vaste pays francophone situä au cœur de l Afrique de l Ouest. Sa superficie est de km 2 avec une population estimäe en 2008 É prñs de 13 millions de personnes. 14

15 3.1.1 Utilisation et gestion des pesticides Figure 1. Utilisation des pesticides Le diagramme ci-dessus montre l intäràt que les agriculteurs maliens interrogäs portent aux pesticides. Ils sont 90 % É utiliser les pesticides. Les pesticides sont utilisäs principalement dans les champs (82 %) mais aussi dans les maisons (5 %) Formation des vendeurs Figure 2. Formation sur les pesticides Vente et distribution des pesticides Les vendeurs ayant reüu une formation (16) sont beaucoup moins nombreux. La formation a portä sur les principaux thñmes suivants : les präcautions É prendre lors des mälanges et dans le stockage des pesticides mais Ägalement sur les dangers liäs É l utilisation des pesticides. Aucun des thñmes n a portä sur les alternatives aux pesticides. 15

16 Figure 3. DisponibilitÅ Ç la vente des Åquipements de protection La Figure 3 présente les accessoires de protection individuelle disponibles à la vente dans les magasins. Les gants et les bottes sont les plus importants avec 23%, les combinaisons, les lunettes et les respirateurs 19%, les masques oculaires 21%. Par contre les chemises à manches longues et les pantalons ne sont pas disponibles dans les magasins de vente des intrants visités Autorisation de vente Figure 4. DÅtention d une licence pour la commercialisation des pesticides Ils sont 63 % à détenir une licence officielle qui leur permet de commercialiser les pesticides. 16

17 Devenir des emballages vides de pesticides Figure 5. Modes et voies d Ålimination des emballages vides de pesticide Plus de la moitiä des personnes interrogäes ont recours É l incinäration pour Äliminer les emballages vides de pesticide. Aucune des personnes interrogäes ne retournent les contenants vides aux distributeurs. Les autres modes d Älimination varient entre les jeter dans les champs 12 %, enfouissement dans le sol 14 %, les jeter dans une fosse septique 12 %, l usage domestique 3% enfin mis É la poubelle 1 % Impacts des pesticides sur la santå des applicateurs Figure 6. Manifestations et symptémes suite Ç une intoxication par les pesticides 17

18 Sur les symptçmes et manifestations recensäs É Sikasso, les maux de tàte et les Ätourdissements viennent en premier avec respectivement 21 % et 8 % des personnes interrogäes. 47 % des interviewäs estiment qu ils sont en bonne santä. Figure 7. Port d Åquipements individuels de protection Ils sont 48 % É utiliser des Äquipements de protection pour se prämunir contre les effets näfastes des pesticides alors que 52 % ne se protñgent pas. Figure 8. Les raisons du non port d Åquipements de protection La chertä des Equipements de protection individuelle est la premiñre cause avancäe concernant l absence de protection avec 57 % des personnes interrogäes, s y ajoute l indisponibilitä 47 %, le non confort 10 % et la mäconnaissance 9 %. 18

19 Figure 9. DegrÅ d utilisation de diffårents Åquipements de protection Concernant les accessoires de protection individuelle, les chemises É manches longues et les pantalons sont les plus utilisäs pour respectivement 49 % et 48 % des personnes interrogäes s y ajoute les masques 27 %, les bottes 8 %, les respirateurs 5 %, les gants 4 %, les lunettes 1 % enfin aucun agriculteur ne dispose d une combinaison späciale destinäe aux traitements. Les Äquipements de protection ne sont pratiquement jamais au complet, la plupart des personnes interrogäes dispose par exemple d une paire de bottes sans avoir de masque ou de gants. Figure 10. PulvÅrisation en fonction de la direction du vent La pulvärisation est effectuäe le plus souvent dans la direction contraire aux vents 81 %. 14 % ne connaissent pas les techniques de pulvärisation. 19

20 Figure 11. Connaissances sur les dangers et les risques liås Ç l Åpandage des pesticides Il paraöt avoir une bonne perception des dangers liäs É l utilisation des pesticides avec 91 % des personnes interrogäes qui en sont conscientes alors que 9 % les ignorent totalement. 3.2 SÅnÅgal Le SÅnÅgal est situä É l ouest du continent africain. Sa superficie est de Km 2 avec une population estimäe en 2008 É plus de 11 millions d habitants. 20

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