Cours 3 Structure thermique et dynamique
|
|
- Jean-Marc Lepage
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Cours 3 Structure thermique et dynamique Equilibre radiatif Trooshère, stratoshère, mésoshère Thermoshère Structure thermique horizontale Dynamique Aroximations cyclostrohique et géostrohique Cyclones et anticyclones Circulation générale
2 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Equilibre radiatif dπfrad Flux conservatif : = 0 ; on décomose F rad en F - F ; πf est le flux dz thermique et πf est le flux solaire net (descendant - montant diffusé) Trooshère Hyothèse : atmoshère chauffée ar source interne ou surface On suose que le flux solaire est absorbé seulement à la surface dπf te = 0 πf = C = σteff dz diν Equation de transfert sans diffusion : µ = Iν B d πf ν (a) ( ν ) = π d τ ( J (b) ν Bν) ν df dj db ν ν ν dτν = dτ ν dτν dτ (a) ν Aroximation à faisceaux : Jν = ( I + ν + I ν ); Fν = ( I + ν I ν ) (a) µ di ν π µ dµ = π µ ν µ π ν τ I d = F d ν djν avec d d + dj, on obtient ν µ Iν dµ Iν Iν dτ = + ( ) ν dτν 3 = Fν 3 dτ = (b) ν 3 dτν (a) + (b) dfν dbν 3F ν = dτν dτ (3) ν
3 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Modèle radiatif gris : τ = ν τ On intègre (3) sur ν df d σt π 3 3 T = T0 + T eff τ dτ 3F = Conditions aux limites : ; (b) I ( 0)= 0 ( )= ν ( ) ν = σ 0 π = ( 0)= 0 T = T T eff 0 + τ τ () Note : T = T eff à τ = /3 T = 0 T eff Si surface (Titan, lanètes telluriques) : Soit T la temérature juste au-dessus de la surface σt (b) σ J( τ surf )= = ( T surf + T surf T eff ) π π 3 Tsurf = T eff + τ surf (5) Gradient thermique dt/dz < 0 (car dτ/dz < 0) dû au transort vertical du flux de chaleur interne (lanètes géantes) ou du flux thermique re-émis ar la surface (lanètes telluriques) Il y a discontinuité de temérature à la surface crée une couche limite turbulente atmoshère convective gradient adiabatique dans les remiers kms 3 3 = + ( ) σ = π τ + σ dτ T F T J J d T I F ( surf )= surf ( surf )= ( surf eff ) + σ I τ σt π I τ T T π T = Tsurf T eff 0 τ τ surf F/ σt 0 π 0 σt π F/ σ π T surf
4 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Effet de serre T > T ( = T ) surf eff eq : effet combiné d une atmoshère transarente dans le visible/ roche et otiquement éaisse dans l infrarouge thermique ( τ surf > 0 ) T eff (K) T surf (K) Constituants resonsables Vénus CO, nuages H SO, H O Terre H O, CO, CH, O 3 Mars 0 5 CO Titan * 8 9 N -CH -H * Titan : τ Ross surf T surf = 03 K. En fait, la brume hotochimique bloque une artie du flux solaire (0% de F absorbé dans la stratoshère), laisse asser le flux thermique anti effet de serre T = -9 K Effet de serre divergent Gaz, absorbant dans l thermique, condensable dans la basse atmoshère, en équilibre avec la surface (H O dans les lanètes telluriques, CH sur Titan) Au-dessus d un certain niveau de flux solaire absorbé, l atmoshère ne eut as être en équilibre radiatif Dans la basse atmoshère, le cors suit la loi de saturation Au-dessus de la trooause, le raort de mélange garde sa valeur à ce niveau ( iège froid ) : q = q (z c ) M κ τ( z κ ρ dz κ = coefficient d absortion massique Mg z c)= = ( c) zc
5 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Mg Avec (z c ) = s (T c ). Pour la Terre, κ ~ 0, cm g -, s( Tc)= c 0 c d où 0 = 5 mbar Mκ τ τ Le flux solaire absorbé est σ T eff, avec T eff = T 0 (T 0 = 5 K our la Terre). Le rofil de temérature à l équilibre est T = T 0 (+3/ τ) Si T 0 50 K, as d équilibre ossible avec une atmoshère saturée en H O, car celle-ci est tro froide our re-émettre l énergie absorbée. Si océan il y a, lors de la formation de l atmoshère, il s évaore entièrement (T surf augmente eu à eu, de lus en lus de gaz condensable asse dans l atmoshère, jusqu à évaoration comlète). Vénus (0,7 UA) avec l albédo de la Terre (A b =0,30) T 0 = 53 K s( T)= 0 τ H O
6 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Convection dans la basse trooshère Due en artie à la discontinuité de temérature que tend à imoser l équilibre radiatif (Terre, Mars) Aaraît lorsque l éaisseur otique infrarouge τ devient tro imortante vers la surface (Vénus, Titan) ou vers l intérieur (lanètes géantes) dlnt dt T 38dτ dτ 38nτ Si τ ~ n, α = = = = dln d + 3 τ nτ + 3 τ quand τ, α n/ ; si τ varie en /T (oacité induite ar collisions) n = - α α(τ = ) = /5 = 0, alors que α ad = /7 our les lanètes géantes (C = 7/ R). Dans cet exemle, α atteint la valeur adiabatique our τ = /3 Le rofil d équilibre radiatif devient instable vis à vis de la convection lorsque τ A grande rofondeur, le gradient de temérature devient adiabatique et le flux total est égal au flux radiatif + flux convectif z équilibre radiatif A gradient adiabatique T
7 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Stratoshère Due à l absortion du flux solaire localement dans l atmoshère Equilibre radiatif : πf - πf = C te = 0 sans source interne = F int avec source interne (lanètes géantes) On artage πf en πf surf et πf s : πf surf = flux non absorbé ar l atmoshère, absorbé ar la surface Equation de transfert our F s, avec F s = I + - I -, diffusion isotroe et cas gris : di+ ω + = I+ ( I+ + I ) somme di ( + I ) = 3 dτ ( ) I+ + ω ( I ) df s s 3 dτ s = 3 ( ω) F s(6a) di ω = I ( + ) différence di ( + + I dτ ) s I+ I = I+ I 3 dτ s 3 dτ s (3) df d T ( σ π) 3F En suosant On obtient : = (6b) β = dτ s dτ dτ dτ = te C d F Fs dτ ( ) = ( ) d σt π 3F 3 dτ ( ) ( ) = ωβf, avec F - F s = F surf (lanètes telluriques) ou F int (lanètes géantes) = Cte D où d σt π 3 [ Fsurf Fs ( β ( ω ) ) ] (7) dτ d σt π Il existe un minimum de temérature ( 0 ) seulement si τ ( ω)( τ τ ) > ( ω) τ > τ s s s ( ) = β ω d ( ) > 0
8 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Une inversion de temérature (trooause) eut donc avoir lieu si le coefficient d absortion solaire est suérieur au coefficient d absortion moyen dans l infrarouge thermique : ( ωτ ) s > τ Au-dessus de la trooause, T croît avec z (décroît avec τ) stratoshère 3 ( ωτ ) s 3 ( ωβτ ) Avec Fs = Fs( 0) e = Fs( 0) e (en suosant 3 ( ωτ ) s [ surf ]>> ), on eut intégrer (7). + σ T0 df Condition aux limites : J( 0)= I( 0)= F( 0)= ( Fsurf + Fs ( 0) )= + ( 0) π dτ [d arès (b)]. Avec df dfs, on obtient : σt π dτ ( )= ( )= ( ) 0 0 Fs 0 β 3 ( ω) dτ σt 0 eff = Fsurf + Fs( 0) β 3 ω Fs 0 ( )+ ( ) ( )= + β 3 ω π ( ) CH sur lanètes géantes et Titan : nombreuses bandes d absortion du rouge à l infrarouge roche ; une seule bande (7,7 µm, 305 cm - ) dans l thermique, eu efficace our le refroidissement (λ tro faible) β > inversion de temérature bien marquée Problème sur Netune : temératures stratoshériques bien lus élevées que rédites ar les modèles d équilibre radiatif source de chaleur additionnelle (ondes de gravité?) ( ) Fs 0 (8)
9 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Aérosols hotochimiques sur Titan : très bons absorbants dans l UV et le visible, relativement transarents dans l infrarouge β >> (~00) forte inversion de temérature et stratoshère très chaude ( 80 K) O 3 sur Terre : resonsable de l inversion de temérature, formé à artir de la hotodissociation de O CO sur Vénus et Mars : bon absorbant dans l thermique, absorbe très eu dans l UV, le visible et l roche β <, as d inversion de temérature, as de stratoshère la mésoshère succède directement à la trooshère Planètes telluriques
10 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Mésoshère L existence d une mésoshère - où T décroît avec l altitude- au-dessus d une stratoause - maximum local de temérature - est due au fait que β n est as constant avec l altitude O3 Sur Terre, chauffage stratoshérique dû à O 3, refroidissement dû à CO CO Au-dessus de 0 km, [ O3] [ CO] diminue avec l altitude (roduction de O 3 ) stratoause bien marquée vers 0-50 km La mésoause corresond à la limite de l ETL et marque donc la limite de l équilibre radiatif et de la réondérance du rayonnement our transorter l énergie absorbée. [ ] β [ ]
11 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Constantes de tems radiatives * * * sol ρc avec = = + = Ksol K ρc z C z z z t K = taux de refroidissement (déend de T()) Fsol g Fsol Ksol = = * * K sol = taux de chauffage ρc z C Si une couche atmoshérique subit une erturbation + T= T - T eq, on suose une loi de refroidissement linéaire (Newtonien) ( T) T = avec t τrad τ = K rad T T( ) Aroximation transarente : τ << 3 K σ π π τ g ( T ) d 6σTgdτ = = = * * τ T C T d C rad T t τ rad F F F * C = 3 (9a) 6σTgdτ d T T T+ T Aroximation refroidissement direct vers l esace : τ (seul moyen de refroidissement = émission thermique vers l esace, on ne tient as comte du transfert entre couches) d K F = = d g F ( ) τ = 0 τ τ +dτ df = ( σt π) πe ( τ ) dτ τ rad = C * ( ) 3 8σTgE τ dτ d (9b)
12 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Aroximation diffusive : τ >> (le transort d énergie est équivalent à un rocessus de diffusion thermique) F π σt π ( ) = l où l = est le libre arcours moyen d un hoton z 3 z dτ dz 3 En renant z~h (=/ρg), on a : ( σt π) ( σt π) 8σT T z z = ( z) π( z) T 3 π 8σT T = τ * z rad ρc * T 3 dτ dz πh C dτ d τ rad = (9c) ( ) σtg τ rad varie resque en si τ varie en /T, et T en /7 T
13 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Planètes telluriques : Vénus : vers la surface, τ 30 (en utilisant Eq. 5) ; en suosant τ ~ dτ /d τ / ; C * ; = 9 bars ; T = 733 K = 9R M Eq. (9c) τ rad 30 ans >> T rot (3 jours) et T (6 jours) as de variations diurnes ni en fait horizontales, la circulation atmoshérique eut homogénéiser la temérature en latitude et longitude dans la basse atmoshère : τ dyn ~ jour << T rot << τ rad Terre : vers la surface, τ 0,8 ; E (τ ) = 0, ; en suosant dτ /d τ / ; C * = 7R M Eq. (9b) τ rad mois >> T rot ( heures) on s attend à des variations diurnes faibles, mais non négligeables (sur hrs τ rad / 60, ce calcul simle donne T 88/60 5 K, ce qui est OK) τ rad < T ( an), on s attend à des variations saisonnières de temérature Mars : vers la surface, τ 0,5 ; en suosant dτ /d τ / ; Eq. (9a) τ rad jour T rot (,6 heures) fortes variations diurnes et variations saisonnières attendues C * = 9R M Viking a mesuré à,5 N, au début de l été, des temératures au sol variant de87 K (5:00 heure solaire locale) à K (5:00 heure solaire locale) Plus haut dans l atmoshère, les constantes de tems radiatives sont lus faibles Exemle : sur Vénus, τ rad mois (< T rot ) à 60 km (vers le sommet des nuages)
14 Structure thermique verticale : équilibre radiatif Planètes géantes : τ rad varie en /T 3 les constantes de tems radiatives sont notablement lus élevées our Uranus et Netune que our Juiter et Saturne Dans la stratoshère, τ rad diminue avec l altitude, atteint un minimum vers la région de formation des hydrocarbures (~ 0 jours sur Juiter) τ rad >> T rot dans toute l atmoshère as de variations jour/nuit de temérature Sur Juiter et Saturne, τ rad reste inférieur à une année lanétaire audessus du niveau τ ~ /3 (environ 0,3 bar) effets saisonniers dans la stratoshère et vers la trooause de Saturne (obliquité = 7 ) Juiter Homoause concentrations maximales des hydrocarbures C H, C H 6 oacité H -H et H -He τ = /3
15 Structure thermique verticale : thermoshère Thermoshère Transort de chaleur rincialement ar conduction Présence d un fort gradient de temérature dt/dz > 0, dû à une source de chaleur à haute altitude Sur Terre : hotodissociation de O [O + hν O( 3 P) + O( D)] La chaleur est transortée ar conduction jusqu à la mésoshère où elle eut être reémise ar rayonnement vers l esace ρ C T en régime ermanent t z K T * = c z + qz ()= 0 K T c z On suose une source +Q à haute altitude (z ) et un uits - Q à z = z 0 (mésoause) avec s, on obtient : K ( T)= AT c z z z AT T s 0 < < = Q z s+ s+ Qs ( + ) T T0 = ( z z0) A (0) Eq. 0 donne alors une estimation de T, temérature exoshérique -Q T 0 +Q = qzdz () = Qz () z T mésoause z = z 0 vers l exobase z = z
16 Structure thermique verticale : thermoshère Planète T (K) Vénus Terre 000 Mars 00 Juiter 000 Saturne 0 Uranus 800 Netune 750 Titan 86 Sources de chaleur thermoshérique dans les différentes lanètes Photodissociation et hoto-ionisation de O (roduit de la hotochimie de CO ) sur Mars et Vénus Sur Vénus : le jour T 300 K, la nuit T 0 K ( cryoshère) Temératures faibles (<< Terre) : dues à la relative efficacité du refroidissement hors-etl de CO (collisions O-CO ) Cryoshère : due à la faiblesse de la circulation atmoshérique jour nuit (friction élevée) Planètes géantes : temératures très élevées une autre source que la hoto-ionisation ar le flux solaire (0-00 nm) doit exister Dissiation d ondes de gravité engendrées dans la trooshère Préciitation de articules chargées (e - et ions) Chauffage ar effet Joule Titan : thermoshère assez froide Chauffage dû à l absortion du rayonnement UV extrême Les modèles indiquent que le refroidissement ar les raies rotationnelles de HCN est lus efficace que la conduction thermique (car ETL encore valide our rotation ure et q(hcn) 0 - )
17 Structure thermique verticale : résumé Trooshère convection (+radiation) Transort du flux de chaleur rovenant de l intérieur (lanètes géantes) ou de la surface (lanètes telluriques et Titan) dt/dz > 0, τ /3 trooause ö τ < /3 Stratoshère radiation Absortion directe du flux solaire (O 3 sur Terre, CH sur les lanètes géantes, aérosols sur Titan) dt/dz > 0 ; l inversion de temérature (trooause) est due au chauffage d un cors bon absorbant dans le visible/ roche, eu émetteur dans l thermique stratoause Mésoshère radiation Région intermédiaire dt/dz < 0 mésoause ö chauffage solaire maximum ö limite ETL Thermoshère conduction (+radiation) Source de chaleur à haute altitude dt/dz >> 0
18 Structure thermique horizontale Terre Juiter Juiter L équilibre radiatif (πf abs = σt eff à toutes latitudes) rédit de fortes variations de temérature en latitude Les variations observées sont bien lus faibles La dynamique réduit les contrastes engendrés ar le forçage radiatif Les différences de temérature dues aux variations d ensoleillement constituent le moteur de la circulation atmoshérique transfert de chaleur des régions chaudes vers les régions froides
19 Equations du mouvement Dynamique dv dt F ρ ρ () Navier-Stokes : = Ω V + g+ où Ω = vitesse angulaire de la lanète accélération de Coriolis accélération effective terme de friction Le terme de friction F/ρ est lié au cisaillement de l écoulement ; il est arfois aramétrisé linéairement ar -V/τ F (friction Rayleigh ) Continuité : si fluide incomressible ρ constant ρ ( ρv)+ = 0 () V = 0 t En général, on suose l incomressibilité sauf, verticalement, our tenir comte de la oussée d Archimède aroximation Boussinesq N Coordonnées shériques j k x > 0 : est vitesse : u (vent zonal) i θ y > 0 : nord v z > 0 : haut w d ϕ dt = u v t + r + θ r +w cos ϕ θ r S d dt = + V. dt de la gravité g = g Ω ( Ω V)= g + Ω R 0 0 (R = distance à l axe)
20 On s intéresse à des mouvements atmoshériques à moyenne ou grande échelle, L >> H w << u et v, d arès l équation de continuité Mouvements quasi-horizontaux Si, de lus, on considère L << a (= rayon de la lanète) On définit le aramètre de Coriolis dv dt Dynamique f = Ωsinθ F = fv k + ρ ρ (3) Aroximation géostrohique Mouvements à grande échelle, loin de la surface (F 0), avec faible rayon de courbure dv/dt 0 dv dt = du dt i + dv dt j + O u v uv,, a a a fv k= (a) ρ fv= ρ x (b) fu= ρ y (c) gradients horizontaux de ression comensés ar les vents géostrohiques dus à la force de Coriolis Aroximation valable sur Mars et la Terre à z km, θ 0 ; sur les lanètes géantes, θ 5 ; as valable sur Vénus ou Titan où f 0
21 Dynamique Le vent souffle arallèlement aux isobares Dans le sens des aiguilles d une montre dans l hémishère nord autour des centres de haute ression (= anticyclones) ; dans le sens contraire dans l hémishère sud Dans le sens contraire des aiguilles d une montre dans l hémishère nord autour des centres de basse ression (= déressions) ; dans l autre sens dans l hémishère sud Plus rès de la surface, F 0 ; V n est lus arallèle aux isobares Comosante vers l extérieur d un anticyclone Comosante vers l intérieur d une déression Conservation de la masse air descendant dans une région de haute ression - anticyclonique - ; air ascendant dans une déression Ce n est as vrai dans les lanètes géantes : car as de surface! La turbulence ( friction) est élevée dans la trooshère suérieure dans les lanètes géantes, l air monte dans les régions anticycloniques (GRS, ovales), descend dans les régions cycloniques u < 0 Hémishère nord _ ρ + + fv k Hémishère sud _ ρ fv k Hémishère nord avec _ ρ friction F u τ ρ + F fv k u > 0 u
22 Cyclones et anticyclones sur Juiter Great Red Sot (GRS) - Anticyclone - 0 S km Deux ovales blancs - Anticyclones - et un vortex cyclonique au milieu 30 S km
23 Dynamique Mouvement cyclostrohique A faibles latitudes (f 0) ou our des mouvements à etite échelle (courbure élevée) Tornades sur Terre, tourbillons de oussières sur Terre et sur Mars V = (5) où r est la distance au centre de courbure r ρ r flux cyclostrohique : rotation autour d un centre de basse ression dans le sens ositif ou négatif Exemle : sur Terre, r 00 km, gradient de ression 30 mbar/00 km v 50 m s - Nombre de Rossby Mouvement de vitesse v, sur une échelle L R 0 v L v = = (6) fv fl terme centrifuge terme de Coriolis R 0 << aroximation géostrohique OK Sur Terre, our θ = 5, L 000 km, v 0 m s - R 0 0,
24 Vents thermiques (jet streams) Dynamique Gradients de ression dus aux différences de temérature sur la lanète z ρ z = g fv k g z x z = = x x z x z d On définit le géoentiel Note : on a Φ Φ()= z gdz = 0 0 ρ On a alors fv k = Φ Φ Φ soit, en coordonnées shériques, fv = et fu = acosθ ϕ a θ f u ln = f u = a Φ = θ RT = a θ M On obtient finalement l équation du vent thermique : u g T v g T = (7a) = (7b) z aft θ z aft cosθ ϕ Cisaillement vertical du vent dû aux variations horizontales de temérature (our une lanète en rotation raide : Terre, Mars, lanètes géantes) R T Ma θ et v f = ln = = ρ R T Macosθ ϕ RT M
25 Temératures et vitesses des vents sur Terre en janvier et en juillet T en C v en m s - Le gradient de temérature ôle-équateur bien lus marqué en hiver qu en été aux latitudes moyennes de l hémishère nord en hiver, fort jet-stream soufflant vers l est (car dt/dθ < 0) ; maximal à 30 N et km en été, le jet-stream faiblit et se délace vers le nord
26 Circulation atmoshérique des lanètes géantes Saturne Juiter Alternance de forts vents zonaux (jets-streams) d est et d ouest extrêmement stables ; fort jet équatorial soufflant vers l est (600 km/h sur Saturne!) Sur Juiter, l amlitude des vents est maximale aux interfaces entre zones (régions nuageuses, blanchâtres) et ceintures (régions lus dégagées, brunâtres)
27 Circulation atmoshérique des lanètes géantes Juiter Equation du vent thermique du/dz varie à eu rès roortionnellement à -u les vents zonaux décroissent avec l altitude Galileo a bien observé une augmentation de u avec la rofondeur jusqu à ~ bars Une friction imortante s exerce sur le vent zonal dans la trooshère suérieure ~ -u/τ F Juiter
28 Circulation atmoshérique des lanètes géantes Eq. 3 F u fv = = ; la friction sur ρ τ le vent zonal induit une F circulation méridienne. Equation de continuité w > 0 dans les zones et w < 0 dans les ceintures Air ascendant dans les zones condensation de l air humide qui se refroidit régions nuageuses Air descendant dans les ceintures l air frais est asséché régions claires Succession de cellules de Hadley qui se referment dans les couches rofondes Circulation enracinée dans l atmoshère rofonde, sous la couche météorologique. w <0 w > 0 v < 0 v > 0 v < 0 ceinture zone u < 0 u > 0 u < 0
29 Dynamique Circulation générale Circulation de Hadley : L air monte des régions chaudes, est transorté vers des latitudes lus froides où il redescend transfert de chaleur Le retour de l air froid et sec vers les régions chaudes a lieu rès de la surface une seule cellule de Hadley axisymétrique ne eut as s étendre jusqu aux ôles à cause d instabilités sur Terre, trois cellules de Hadley Force de Coriolis sur cette circulation méridienne rès de la surface : Vents d est (alizés) à θ < 30 Régimes d ouest à 30 < θ < 60 Front olaire (est) à θ > 60 En dehors des troiques, le transort d énergie se fait lus efficacement ar d autres mécanismes (ondes baroclines ) Sur Mars, forte influence de la toograhie et des marées thermiques, causées ar les variations diurnes du flux solaire N régions froides refroidissement adiabatique régions chaudes chauffage adiabatique S régions froides
30 Dynamique Planètes à rotation lente (Vénus, Titan) : Sur Vénus, suer-rotation (vent zonal d est) : origine encore mystérieuse Cellule de Hadley au niveau des nuages (où est absorbée la lus grande artie du flux solaire) Probablement d autres cellules existent lus rofond, y comris rès de la surface dv Equilibre cyclostrohique : = dt ρ our un vent zonal u, on a suivant j : u tanθ = a ρ u u g T = (8) y z z T tan θ θ en coordonnées isobariques u croît avec l altitude si la temérature décroît vers les ôles (ce qui est le cas < 70 km) On ense qu une suer-rotation existe aussi sur Titan N ϕ S j θ k i u u acosθ
L information sera transmise selon des signaux de nature et de fréquences différentes (sons, ultrasons, électromagnétiques, électriques).
CHAINE DE TRANSMISSION Nous avons une information que nous voulons transmettre (signal, images, sons ). Nous avons besoin d une chaîne de transmission comosée de trois éléments rinciaux : 1. L émetteur
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailModule : réponse d un système linéaire
BSEL - Physique aliquée Module : réonse d un système linéaire Diaoramas () : diagrammes de Bode, réonse Résumé de cours - Caractérisation d un système hysique - Calcul de la réonse our une entrée donnée
Plus en détailB- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements
B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition
Plus en détailColloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer
Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailMETEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM
METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailS2I 1. quartz circuit de commande. Figure 1. Engrenage
TSI 4 heures Calculatrices autorisées 214 S2I 1 L essor de l électronique nomade s accomagne d un besoin accru de sources d énergies miniaturisées. Les contraintes imosées à ces objets nomades sont multiles
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailMETEOROLOGIE CAEA 1990
METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les
Plus en détaildénombrement, loi binomiale
dénombrement, loi binomiale Table des matières I) Introduction au dénombrement 1 1. Problème ouvert....................................... 2 2. Jeux et dénombrements...................................
Plus en détailDes familles de deux enfants
Des familles de deux enfants Claudine Schwartz, IREM de Grenoble Professeur, Université Joseh Fourier Les questions et sont osées dans le dernier numéro de «Pour la Science» (n 336, octobre 2005, article
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détail-12. Dispersion atmosphérique (Mécanismes et outils de calcul)
Méthodes pour l évaluation et la prévention des risques accidentels (DRA-006) -1 Dispersion atmosphérique (Mécanismes et outils de calcul) Ministère de l Ecologie et du Développement Durable Direction
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailDEMYSTIFIONS L EMAGRAMME, LE «TEMP» ET L ECHAUFFEMENT DE L ATMOSPHERE, première partie.
DEMYSTIFIONS L EMAGRAMME, LE «TEMP» ET L ECHAUFFEMENT DE L ATMOSPHERE, première partie. Après parution de mon article sur les modèles numériques dans le «Swiss Glider» d avril, qui parlait entre autres
Plus en détailMétéo Marine. Benjamin Aymard. Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie. ./IMAGES/logo-n
Météo Marine Benjamin Aymard Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie 1/41 18 Février 2014, UPMC aymard@ann.jussieu.fr Météo Marine Cours Météo pratique Pourquoi les prévisions météo
Plus en détailRepérage d un point - Vitesse et
PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailDu Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax
Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et
Plus en détailStockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique
Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université
Plus en détailAccès optiques : la nouvelle montée en débit
Internet FTR&D Dossier du mois d'octobre 2005 Accès otiques : la nouvelle montée en débit Dans le domaine du haut débit, les accès en France sont our le moment très majoritairement basés sur les technologies
Plus en détailBois. P.21 Bois-béton à Paris. Carrefour du Bois. Saturateurs. Usinage fenêtres. Bardages P.25 P.34 P.31 P.37. La revue de l activité Bois en France
CMP Bois n 19-12 avril - mai 2010 P.25 Carrefour du Bois P.34 cm La revue de l activité Bois en France Bois Saturateurs P.31 Usinage fenêtres P.37 Bardages Tout our l usinage du bois massif. Tout d un
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailModèle de Climat de Titan
Planétologie - GSMA - Université de Reims Champagne-Ardenne Modèle de Climat de Titan Le contexte général : Titan, le plus gros satellite de Saturne, possède une atmosphère dense de 1.4 bar essentiellement
Plus en détailTout commence avec une histoire de masses d'air. Lorsque 2 masses d'air se rencontrent, des fronts se forment.
Tout commence avec une histoire de masses d'air. 2. Lorsque 2 masses d'air se rencontrent, des fronts se forment. Des nuages se forment dans le ciel, dont certains provoquent...... des hydrométéores, 4....
Plus en détailQu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle
Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. Durant la vie de l
Plus en détailTP : Outils de simulation. March 13, 2015
TP : Outils de simulation March 13, 2015 Chater 1 Initialisation Scilab Calculatrice matricielle Exercice 1. Système Unix Créer sous Unix un réertoire de travail outil_simulation dans votre home réertoire.
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détail1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h)
Problèmes IPhO 2012 1 NOM : PRENOM : LYCEE : 1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Nous souhaitons dans ce problème aborder quelques aspects de la conception d un avion solaire autonome. Les
Plus en détailChapitre 5. Le ressort. F ext. F ressort
Chapitre 5 Le ressort Le ressort est un élément fondamental de plusieurs mécanismes. Il existe plusieurs types de ressorts (à boudin, à lame, spiral etc.) Que l on comprime ou étire un ressort, tel que
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailPremier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détail3ème séance de Mécanique des fluides. Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait. 2 Écoulements potentiels
3ème séance de Mécanique des fluides Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait 1 Généralités 1.1 Introduction 1.2 Équation d Euler 1.3 Premier théorème de Bernoulli 1.4
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailThe Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE
The Tropical Warm Pool-International Cloud Experiment TWP-ICE Darwin, Australie Du 20 janvier au 13 fevrier 2006 radiosondages Flux radiatifs de surface Flux turbulents de surface Radar CPOL Forçages déduits
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif - 70 Chapitre 8 : Champ de gravitation - Satellites I. Loi de gravitation universelle : (
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailGrille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).
Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10
Plus en détailMécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI)
écanique du oint : foces Newtoniennes (PCSI Question de cous On admet que, losqu'il est soumis à une foce Newtonienne F K u, la tajectoie d'un cos est lane et décite a mc K +e cosθ où C θ est une constante
Plus en détailCirculation générale et météorologie
Circulation générale et météorologie B. Legras, http://www.lmd.ens.fr/legras I Instabilités convectives de l'atmosphère humide (supposés connues: les notions de température potentielle sèche et d'instabilité
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailL'atmosphère est subdivisée en plusieurs couches qui ont pour nom troposphère, stratosphère, mésosphère et thermosphère.
L'ATMOSPHERE N 1 Def : enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres Répartition verticale : Le gaz se raréfie avec l'altitude. 99% de la masse totale de l'atmosphère se
Plus en détailExercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique
Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction
Plus en détailEtudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes
Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Jérôme DREANO 28 Février 2014 1 Introduction Dans le modèle LMDZ, les paramétrisations physiques des nuages
Plus en détailL éclairage naturel première partie : Principes de base
Suzel BALEZ L5C 2007-08 L éclairage naturel première partie : Principes de base Hertzog et Partner Bât. De bureaux à Wiesbaden Plan Notions préliminaires La vision Grandeurs photométriques Le flux lumineux
Plus en détailACTIVITÉ. Configuration de la pression en surface. Matériel. Pointage et analyse de la pression aux stations sur cartes météorologiques.
ACTIVITÉ Configuration de la pression en surface Lorsque vous aurez complété cette activité, vous devriez être en mesure de : Dessiner des lignes d'égale pression (isobares) pour présenter la configuration
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailCatalogue 3 Chaine sur Mesure
Catalogue 3 Chaine sur Mesure SUBAKI Les Chaines 2009 CAALGUE 3 Classification chaine sur mesure sériés de chaîne ye de chaîne subaki Caractéristiques RUNNER BS Performance suérieure Général Chaînes à
Plus en détailÉconomie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante
Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos
Plus en détail3 - Description et orbite d'un satellite d'observation
Introduction à la télédétection 3 - Description et orbite d'un satellite d'observation OLIVIER DE JOINVILLE Table des matières I - Description d'un satellite d'observation 5 A. Schéma d'un satellite...5
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailFORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE)
FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE) Pierre Chastenay astronome Planétarium de Montréal Source : nia.ecsu.edu/onr/ocean/teampages/rs/daynight.jpg
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailLa Mesure du Temps. et Temps Solaire Moyen H m.
La Mesure du Temps Unité de temps du Système International. C est la seconde, de symbole s. Sa définition actuelle a été établie en 1967 par la 13 ème Conférence des Poids et Mesures : la seconde est la
Plus en détailGénéralités. Front froid
Apprendre : Les masses d'air, les fronts Tester : Les dictons Pratiquer : Prévoir le temps Prévoir : Les dictons mois par mois Généralités Deux masses d'air de température différente qui se rencontrent,
Plus en détailVI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland)
Z(km)= 112 96 80 64 48 32 16 0 VI.1) Description de la QBO Observation du vent zonal en moyenne zonale à l'équateur Données UARS (Swinbak et Orland) Thermosphère Mésosphère Stratosphère Troposphère Dans
Plus en détailFiche de lecture du projet de fin d étude
GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &
Plus en détailEn vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Philippe NERISSON Le 5 février 2009
THÈSE En vue de l'obtention du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délivré ar l Institut National Polytechnique de Toulouse Disciline ou sécialité : Dynamique des Fluides Présentée et soutenue ar Philie
Plus en détailGELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban
GELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban Gabriel Cormier, Ph.D., ing. Université de Moncton Hiver 2012 Gabriel Cormier (UdeM) GELE5222 Chapitre 9 Hiver 2012 1 / 51 Introduction Gabriel Cormier (UdeM)
Plus en détailMETEO n 1. !"#$%$&$'%() enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres. ( ( ( ( ( (
n 1 "#%&'()*+,+ L atmosphère "#%&'%() enveloppe gazeuse qui entoure la terre, sur quelques centaines de kilomètres. ( ( ( ( ( ( *"+,-&&'%(./-&0,1/() Le gaz se raréfie avec l'altitude. 99% de la masse totale
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailManuel de l'utilisateur
0 Manuel de l'utilisateur Mise en route... 4 Votre Rider 0... 4 Réinitialiser le Rider 0... 5 Accessoires... 5 Icônes d'état... 5 Connexion, synchro et chargement... 6 Allumer/éteindre le Rider 0... 6
Plus en détailUne introduction aux chauffe-eau solaires domestiques
Une introduction aux chauffe-eau solaires domestiques Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet de l utilisation de l énergie solaire afin de produire de l eau chaude domestique,
Plus en détailT.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY
T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailVENTILATION POUR LE CONFORT D ETE
le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détaila. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires -Séquence Principale (PMS)
VI. L évolution stellaire (un aperçu) 1. Les polytropes 2. L initialisation de la formation stellaire a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires 3. La contraction pré-s -Séquence Principale
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailMaison Modèle BIG BOX Altersmith
Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailDIVERSIFICATION DES ACTIVITES ET PRIVATISATION DES ENTREPRISES DE CHEMIN DE FER : ENSEIGNEMENTS DES EXEMPLES JAPONAIS
Ecole Nationale des Ponts et Chaussées Laboratoire Paris-Jourdan Sciences Economiques DIVERSIFICATION DES ACTIVITES ET PRIVATISATION DES ENTREPRISES DE CHEMIN DE FER : ENSEIGNEMENTS DES EXEMPLES JAPONAIS
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailFormation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau
Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailSYSTÈME DE DALLE ACTIVE ACTIV+ TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE
TEMPÉRISATION DE DALLE POUR CHAUFFER OU RAFRAÎCHIR LE CONFORT POUR LE TERTIAIRE *Des solutions polymères à l infini www.rehau.fr Bâtiment Automobile Industrie Les bâtiments tertiaires possèdent des équipements
Plus en détailÉclairage naturel L5C 2009/2010. Aurore BONNET
Éclairage naturel L5C 2009/2010 Aurore BONNET Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : l ensoleillement et l éclairage diffus L ENSOLEILLEMENT
Plus en détailVoyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Plus en détailCATALOGUE 2. Chaine avec attachements
CAALGUE 2 Chaine avec attachements SUBAKI LES CAIES 2010 CAALGUE 2 CAIE AVEC AACEMES Anti-corrosion Classification Sériés de ye de SUBAKI Caractéristiques RUER BS Performance suérieure Général Chaînes
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailLes calculatrices sont autorisées
Les calculatrices sont autorisées Le sujet comporte quatre parties indépendantes. Les parties 1 et portent sur la mécanique (de la page à la page 7). Les parties 3 et 4 portent sur la thermodnamique (de
Plus en détailLES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE
LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailCompte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy
Le Laboratoire de l Atmosphère et des Cyclones (LACy) UMR (8105) Université de la Réunion CNRS Météo France 15 avenue René Cassin, 97715 Saint Denis messag.,cedex 9 Compte rendu des utilisations du calculateur
Plus en détail