Photodétection quantique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Photodétection quantique"

Transcription

1 Photodétection quantique Emmanuel Rosencher MNO 1 1/02/2006 A: Photoexcitation Principe Distribution des porteurs Rendement quantique B: Détecteurs Photoconductifs Gain photoconductif Bande passante Exemple C: Détecteurs Photovoltaïques Rendement photovoltaïque Bande passante Exemple Notion de détecteurs CCD D: Détecteurs à Puits Quantiques Principes de fonctionnement Rendement Technologie E: Détecteurs à avalanche Origine de l avalanche Facteur de multiplication F: Bruit de détection* Bruit de générationrecombinaison G: Notion de détectivité* *hors programme 1/57

2 Expérience de Millikan V -V 0 e V = X f W V = énergie cinétique des électrons émis W f Albert Einstein: h f W Albert Einstein: X = h = J.s 2/57

3 PHOTOEXCITATIONS QUANTIQUES BC BC BV transition interbande transition inter-sousbande photoémission interne Si 0.4 µm 1.1 µm CCD, cellules solaires GaAs 0.4 µm 0.85 µm Zapettes, liaison IR, InP 0.4 µm 1.55 µm Télécom HgCdTe 1.5 µm 10 µm Infrarouge thermique InAsSb 3 µm 5.5 µm Infrarouge thermique GaAs/AlGaAs 4 µm 20 µm Infrarouge thermique 3/57

4 Rappel de M écanique Quantique Règle d Or de Fermi Le taux de transition par seconde induit par un champ électromagnétique F Wˆ = q F zˆ E f entre deux niveaux quantiques i f est donné par: hω i f ρ( E f ) ( ) Gop ( E = E + hω ) π 2 = f q F zˆ i ρ f i 2h où ρ E f est la densité d états finals f Z P 0 Comme le flux de photons est donné par: op = hω Φ = 2 F 2 G op = α Φ cm -3 s -1 cm -1 cm -2 s -1 4/57

5 PHOTOEXCITATIONS DANS LES SEMICONDUCTEURS BC BC phonon Gap direct BV BV Gap indirect 5/57

6 e n 0 E F Équations de continuité qφ + kt j cond r ϕ n G n j dif n 0 r 1 r n. j t e n = Gn R n r 1 r p+. j t e p = Gp R p r r r jn = eµ n n F + edn n r r r jp = eµ p p F edp p r qφ( ) r + n( ) = n e kt 0 r qφ( ) r p( ) = p e kt 0 Poisson Potentiel r. F r = ( r ) e ρ ε0ε r r F r φ = 6/57

7 Φ 0 EQUATIONS DE BASE Loi de Beer - Lambert Φ ( z ) =Φ α z 0 e 1 photon absorbe 1 paire électron-trou F Φ( z) dz Distribution de génération optique par unité de volume Gop ( z) d Φ( z) = α Φ e αz = 3 1 dz 0 cm s (1) Distributions n et p données à l état stationnaire par les équations de continuité: dz d Φ p = dz d q 1 J p = Gop p ( z ) τ p dz d Φ n = dz d 1 q J n = Gop ( z) n τ n (2) où les courants J n et J p sont dus à la diffusion et le drift 1 Jn Dn n n n F q dz d 1 = + µ J p = Dp p p p F q dz d + µ (3) 7/57

8 DISTRIBUTION SPATIALE DES PORTEURS PHOTOEXCITES Exemple: pour un semiconducteur dopé (p=p 0 >> n 0 ) et sans champs électrique appliqué n d 2 D τ n n dz 2 n= α Φ z 0 e α recombinaison diffusion source n ( z) z / L = Ae D + z / L + Be D + 1 ατ Φ0 ( α L ) D 2 e α z si z fi Longueur de diffusion L = D D n τ n Difficulté: les différentes longueurs en jeu (diffusion L D, absorption a -1, zone de charge d espace d, longueur de recombinaison) sont proches! t n durée de vie des porteurs n minoritaire dans la partie p 8/57

9 INFLUENCE DES RECOMBINAISONS DE SURFACE J. Bardeen Prix Nobel 1949 Recombinaison de surface: S 0 en cm/s Φ 0 J n ( 0) = qs 0 n z= 0 = qd n dz d n z= 0 Dn (cm -3 ) n ( z) 5x x x x x = ( α L ) α τ Φ S0 / Dn + α z / L 0 e 2 1 S0 / Dn + 1/ LD D S0 = 10 4 cm/s S0 = 10 5 cm/s Distance (µm) S0 = 10 3 cm/s D n = 1 cm 2 /s t = 1. µs a = 10 4 cm -1 D L D = 10 µm L recomb = D n /S0 e α z Défi technologique: Minimiser la densité de centre recombinant de surface Si/SiO 2 InP/Si 3 N 4 HgCdTe/ secret 9/57

10 RENDEMENT QUANTIQUE: UN EXEMPLE gap direct fi durée de vie très faible fi L D << a -1 : n D τ n n d 2 dz 2 n= α Φ z 0 e α n τn α Φ 0 z e α n tot d = n 0 ( ) ( α d ) z dz= τ Φ 1 e n d n 0 si ad <<1 η = RENDEMENT QUANTIQUE: fluxd' électrons photocréés fluxde photonsincidents = J ph / q Φ0 J ph = q n tot τn η = α d 1 e z= 0 z= d 10/57

11 Photodétetection quantique A: Photoexcitation Principe Distribution des porteurs B: Détecteurs Photoconductifs Gain photoconductif Bande passante Exemple C: Détecteurs Photovoltaïques Rendement photovoltaïque Bande passante Exemple Notion de détecteurs CCD D: Détecteurs à Puits Quantiques Principes de fonctionnement Rendement Technologie E: Détecteurs à avalanche Origine de l avalanche Facteur de multiplication F: Bruit de détection Bruit de générationrecombinaison G: Notion de détectivité 11/57

12 PHOTOCONDUCTEUR V w d n( z) Si l épaisseur d est petite devant la longueur de diffusion L D Densité de courant entre les contacts dans la structure (A/cm -2 )si L ητ Φ j ph = n q v = 0 q µ d n V L cm -3 cm -2 ntot = ητ n = n= tot d µ n >> µ p 12/57 Φ0

13 GAIN DE PHOTOCONDUCTION Courant total circulant entre les contacts dans la structure (A): w L I ph = η qτµ n Φ0V Puissance lumineuse incidente sur la structure: Pinc = hν Φ0 I ph = wd j ph w L Réponse d un photoconducteur (A/W) R= I ph Pinc µ τ = η n L 2 hν V / q q = η g hν Gain de photoconduction: 1 photon 1électron g= τ avec le temps de transit des porteurs donné par: τ tr L 2 τ L tr = = µ nv µ n F 13/57

14 GAIN DE PHOTOCONDUCTION Interprétation physique Exemple instructif d une interprétation physique non triviale d un résultat de calcul issue d une théorie triviale 1 photon au mieux 1 électron si pas d avalanche q au mieux hν Chaque électron créé fait g fois le tour du circuit (grâce à la source de tension) avant de se recombiner et disparaître. Le nombre g est le rapport entre le durée de vie et le temps de transit dans le photoconducteur 14/57

15 GAIN DE PHOTOCONDUCTION Facteur de performance des matériaux I ph µ nτ R= = η P h V Le produit µτ n est fonction que du matériau inc L 2 ν / q t (s) m n (cm 2 /V.s) E g (ev) m n t Si Ge GaAs InAS InSb /57

16 REPONSE D UN PHOTOCONDUCTEUR I ph R= Pinc = ηext g ( µm) λ R avec le rendement quantique externe η ext donné par: λ ηext = ( 1 R)η où R est la réflectivité de la surface du détecteur 16/57

17 TEMPS DE REPONSE D UN PHOTOCONDUCTEUR Gop Éclairement et matériau homogène G op T <<τ n n G dt d tot + τ tot = η op η T G t / τ op e η τ G t / τ op e ( t) η τ G op 1+ 1 ( ωτ ) 2 Bande passante: 1/2π τ Le produit gain bande passante est une constante 17/57

18 w=100µm d =3µm V =10Volt L=1mm L=100 µm Temps de transit: EXEMPLE: photoconducteur GaAs 2 2 ( 10 cm) = 1. 17ns 2 τ L tr = = µ nv cm / V. s 10V η =0.6 2 µ n = 8500cm / V. s τ n =10 ns Gain photoconductif: τ g = τ n tr = Réponse: R= η g 1 = = 4. 2 A/ W hν / q /57

19 Photodétetection quantique A: Photoexcitation Principe Distribution des porteurs B: Détecteurs Photoconductifs Gain photoconductif Bande passante Exemple C: Détecteurs Photovoltaïques Rendement photovoltaïque Bande passante Exemple Notion de détecteurs CCD D: Détecteurs à Puits Quantiques Principes de fonctionnement Rendement Technologie E: Détecteurs à avalanche Origine de l avalanche Facteur de multiplication F: Bruit de détection Bruit de générationrecombinaison G: Notion de détectivité 19/57

20 DETECTEUR PHOTOVOLTAïQUE 0 w I p n J ph V ph V zone de charge d espace zone de diffusion p ++ SiO 2 n métal semi-transparent A V 20/57

21 DETECTION EN REGIME PHOTOVOLTAïQUE Le courant d obsurité et le photocourant s ajoutent: J = Jsat ( ) e qv / kt 1 J ph Contribution de la zone de charge d espace au photocourant (z compris entre 0 et w): On néglige la diffusion dans la zone de charge d espace αz ( z) = α Φ q 1 dz d JG = Gop 0 e Contribution de la zone de diffusion (z > w): J ( w G = qφ0 1 e α ) d 2 D n z n n+ = α Φ0 e α dz 2 τ n = Ae Tout porteur capté par la ZCE est balayé: z/ L D n( w) 0 + Be z/ L D + ατ 1 Φ0 L D ( α ) 2 e α z n = ( ( ) ( z w) ) e α z w / e D αw α τ Φ0 e L 1 ( αl ) 2 D 21/57

22 DETECTION EN REGIME PHOTOVOLTAÎQUE Le courant de diffusion en w donné par: Jdiff = q Dn dz d n z= w Courant total: Jdiff α L = q D 1+ αld J ph = JG + Jdiff Φ0 e α w α w J ph = q Φ e + αl D D où la réponse d un détecteur photovoltaïque: Rappel de la définition J ph 1 λ R= = η =η Pinc hν / q ( µm) ( A/ W ) 22/57

23 RENDEMENT QUANTIQUE D UN DETECTEUR PHOTOVOLTAÎQUE η = 1 α e w 1+ α 1 L D Détecteur parfait Ce qui n est pas absorbé dans la zone de charge d espace..peut être récupéré par diffusion!!! Pas de gain photoconductif!!! 23/57

24 DUREE DE VIE DES PORTEURS MINORITAIRES ET COURANT DE FUITE Courant de saturation I sat = q D n n p0 L Dn Courant de fuite: I sat 1 τn Auger τ nonrad ns ms τ rad ns τ rad ms τ non ns rad Dépend de la pureté du matériau GaAs, InP Si, Ge HgCdTe, InSb,.. 24/57

25 DUREE DE VIE DES PORTEURS MINORITAIRES ET COURANT DE FUITE Le courant de saturation est une source de bruit (voir détectivité). I sat = q D n n p0 L Dn I sat 1 τ n Maximiser t n Recombinaison radiative Impuretés Auger τ rad ns GaAs, InP τ n N 1 A τ rad ms Si, Ge τ τ nonrad ns ms n N def e Eg / 2kT τ Aug n 2 i e Eg / kt HgCdTe, InSb,.. 25/57

26 DETECTEUR pin ε Temps de réponse d un détecteur photovoltaïque: 0 ε C = A R = w A qε0ε RND 2 V Pour augmenter la bande passante, augmenter la zone de charge d espace w V p ++ n ++ 26/57

27 Exemple 1: MATRICE CCD Déplétion profonde V g E F Paquet d électrons photocréés En fait, mouvement de péristaltisme M O S 27/57

28 28/57

29 29/57

30 Ensoleillement maximal : 1000 W/m 2 Exemple 2: Cellule solaire en silicium 2 Rendement quantique : η max 0. rendement < 150 W / m 15 Plusieurs origines : recouvrement entre le gap de Si et le spectre solaire résistance de contact surface des contacts électriques recombinaison (Si amorphe ou polycristalin) etc Spectre solaire Wêm^2.µm ev Rendement énergétique de la conversion dans Si 30/57

31 Exemple 2: Cellule solaire Cellules de hautes performances pour missions spatiales: 31/57

32 Photodétetection quantique A: Photoexcitation Principe Distribution des porteurs B: Détecteurs Photoconductifs Gain photoconductif Bande passante Exemple C: Détecteurs Photovoltaïques Rendement photovoltaïque Bande passante Exemple Notion de détecteurs CCD D: Détecteurs à Puits Quantiques Principes de fonctionnement Rendement Technologie E: Détecteurs à avalanche Origine de l avalanche Facteur de multiplication F: Bruit de détection Bruit de générationrecombinaison G: Notion de détectivité 32/57

33 Gaps de différentes familles de semiconducteurs 33/57

34 34/57

35 UTILISATION DES OSCILLATIONS RHEED POUR LE COMPTAGE DE MONOCOUCHES 35/57

36 Le puits quantique AlGaAs GaAs AlGaAs /57

37 TRANSITION INTERBANDE vs INTER-SOUS BANDE Al x Ga 1-x As GaAs Al x Ga 1-x As E e 2 e 2 INTERSUBBAND e 1 e 1 INTERBAND hh 1 hh 1 hh 2 hh 2 k d 37/57

38 ABSORPTION INTERBANDE vs INTERSOUSBANDE 38/57

39 INGENIERIE QUANTIQUE 39/57

40 PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT 40/57

41 PHOTOCONDUCTEUR A MULTIPUITS QUANTIQUES STRUCTURE DU DISPOSITIF 41/57

42 SPECTRE DE PHOTOCOURANT ET D ABSORPTION 42/57

43 REPONSE D UN DETECTEUR A PUITS QUANTIQUE Taux de génération optique par puits quantique (cm 2.s -1 ): p e G op = p e α 1pq Φ 0 Taux de recombinaison par puits quantique (cm 2.s -1 ): R= n2d L n = 3d τc τc Pas trivial!!! L A l état stationnaire: G op = R n3d = pe α1pqτc Φ0 L 43/57

44 REPONSE D UN DETECTEUR A PUITS QUANTIQUE Photocourant donné par: Réponse donnée par: J V ph = n3d qµ n L R= J ph h ν Φ0 rappel R=η1 pq G1pq 1 hν / q Rendement quantique par puits η 1pq = pe α1pq Gain photoconductif par puits G1pq = τc τtr τ = c L/ µ ne La réponse d un détecteur à puits quantique est indépendant du nombre de puits!!!. mais pas sa détectivité!!! 44/57

45 Exemple: REPONSE D UN DETECTEUR A PUITS QUANTIQUE TYPIQUE E = 1V 4 sur 1µm = 10 V 2 2 µ n = 10 cm / V. s / cm 7 L cm τtr = = µ ne cm / V. s 10 V = 2. 5ps / cm L=25nm τ c =10ps G1pq τ 10 ps = c = = 4 τtr 2. 5ps p e 1 2 α1pq = 10 2 η1pq = 10 h ν = 0. 1 ev R= η G 1 1 pq 1pq 0. 4 A/ W hν / q 45/57

46 46/57

47 Photodétetection quantique A: Photoexcitation Principe Distribution des porteurs B: Détecteurs Photoconductifs Gain photoconductif Bande passante Exemple C: Détecteurs Photovoltaïques Rendement photovoltaïque Bande passante Exemple Notion de détecteurs CCD D: Détecteurs à Puits Quantiques Principes de fonctionnement Rendement Technologie E: Détecteurs à avalanche Origine de l avalanche Facteur de multiplication F: Bruit de détection Bruit de générationrecombinaison G: Notion de détectivité 47/57

48 MODELE PHYSIQUE DE L AVALANCHE superbe calcul du à W. Schockley(modèle de l électron chanceux) hω op Émission d un phonon optique E i Énergie x Ionisation par impact x i E i énergie nécessaire pour une ionisation par impact λ op libre parcours moyen avant émission d un phonon Probabilité d acquérir l énergie d ionisation E i : P i = e x i /λop E i =q F x i P i = e E i / qfλop 48/57

49 MODELE PHYSIQUE DE L AVALANCHE Ce que l on cherche: α i : coefficient d ionisation par impact par unité de longueur (cm -1 ) qf Conservation de l énergie: qfλ op hωop αop h (1) Ωop Probabilité d ionisation par impact; αi αop Pi (2) a n (cm -1 ) l op = 10 nm E i = 1.8 ev E op = 36 mev αi Ei qf e qfλ op hω op Electric field (V/cm) 49/57

50 PHOTODETECTION A AVALANCHE p αn α p Coefficient d avalanche des électrons Coefficient d avalanche des trous n i d dx I n = αnin + α pi p + qgop d I p = α dx nin + α pi p + qgop continuité du courant total: I ( x) + I ( x) I d dx n p = ( α p αn ) I p + n I qgop I p = α + I p ( x) = Ce ( α α ) n p x αn I + qgop + αn α p 50/57

51 PHOTODETECTION A AVALANCHE Condition limite: en x=0, le contact ne peut injecter aucun trou I p ( 0) = 0 I p ( x) ( α α ) αn I + qgop = 1 x e n p αn α p Condition limite: I = I ( L) I ( 0) Facteur de multiplication M r = 1. p = a n L n.1 Le flux de photons captés est de 0. M = ( α α ) n p L e 1 I = qg op ( αn α p)l αn α p e ( α α ) L e n p 1 L 1 ( αn α p )L αn α p e Icapté = qgop L Facteur d amplification: M = 1 e αnl 1 re ( 1 r) αnl 1 ( 1 r) α L On pose α p r = αn n 51/57

52 PHOTODETECTION A AVALANCHE Remarque 1: divergence pour α n L = ln 1/ r 1 r avec r = α / α p n I V M Avalanche sur une caractéristique I(V) V Remarque 2: pour α n = α p Optimum avec M = 1 α 1 L Remarque 3: gain désiré M obtenu par le champ électrique F M donné par L équation implicite: qfm Eop E qf e i / Mλop = L 1 ( 1 ) M 1 52/57

53 Photodétetection quantique A: Photoexcitation Principe Distribution des porteurs B: Détecteurs Photoconductifs Gain photoconductif Bande passante Exemple C: Détecteurs Photovoltaïques Rendement photovoltaïque Bande passante Exemple Notion de détecteurs CCD D: Détecteurs à Puits Quantiques Principes de fonctionnement Rendement Technologie E: Détecteurs à avalanche Origine de l avalanche Facteur de multiplication F: Bruit de détection Bruit de générationrecombinaison G: Notion de détectivité 53/57

54 NOTION DE BRUIT DE GENERATION-RECOMBINAISON I Ik BC BV ( t t ) k qv/ L pour 0 < t < τk = 0 pour t < 0 ou t > τk ( t ) I = Ik t k k 2 i gr τ k τ k+ 1 ν I d t Wiener-Kinchin ( I( t) I( t + τ) ) 2 ( ν ) TF = i gr ν I d : courant moyen (d obscurité) ν: bande de fréquence g : gain de photoconduction i 2 gr = 4 q g Id ν 54/57

55 RAPPORT SIGNAL SUR BRUIT Capacité à détecter un signal hors du bruit Signal donné par la réponse du photodétecteur Bruit donné par : i = 2 B igr = uq AJ d S / B = S / B = is ib is = RP inc ν RPinc uq AJd ν i s u =2 u = 4 g i B photovoltaïque photoconducteur Le courant d obscurité J d fixe une limite à la puissance incidente détectable NEP pour laquelle S/B =1 S / B= 1 NEP= u q A J d R ν Noise equivalent power 55/57

56 NOTION DE DETECTIVITE La dépendance en A ν n est pas intrinsèque au matériau Notion de détectivité propre au matériau et au composant A ν D* ( en cm Hz/ W) NEP D*= R uq J d Origine du courant d obscurité: J d J d = J f + Jcn J f courant de fuite lié au détecteur J f e Eg / kt f hν = e J cn du à la détection des photons du corps noir / kt f T T = 300K B φ f T << T B Jcn q gηφcn 56/57

57 TEMPERATURE ET DETECTIVITE DE BLIP Température de refroidissement du détecteur en dessous de laquelle il est inutile de descendre car les performances du détecteur sont limités par le corps noir D * Eg / 2kT e f q gη Φcn Limite fondamentale de détectivité d une photodiode: J f =0, η = 1 J ph R= Pinc D h 1 BLIP = ν = 1 hν / q * 4 1 2Φcn T BLIP longueur d'onde (µm) T f 20 57/57

58 DETECTIVITE DES PRINCIPALES FILIERES DE DETECTEURS INFRAROUGES 58/57

59 Exemple: performances d un détecteur infrarouge HgCdTe l coup = 9 µm 10 D* = 310 cm. 2 A = µm ν =40Hz Hz / W NEP= = 510 W Une variation de température de T conduit à une variation de la puissance émise par le corps noir donnée par: P = d dt Rcn ( T, λ ) T coup Le contraste minimal de température détectable (NETD) est donc: NETD = dt d NEP Rcn coup ( T,λ ) > 12 µm 3 -> 5 µm Détectivité (cm Hz 1/2 /W) mk! 59/57

60 Caméra infrarouge et applications Caméra infrarouge avec son cryogénérateur miniature Niveau de carburant Transmission Longueur d'onde (µm) Niveau de carburant Transparence sur 5 km Défense 60/57

61 Gaps et couleurs UV Visible caméras CCD cellules solaires InGaAs µm Télécom Infrarouge proche Infrarouge lointain 61/57

62 QUELQUES CONCLUSIONS Les détecteurs quantiques ont pratiquement tous atteint leurs limites quantiques Des hétérostructures complexes vont continuer à améliorer les rendements quantiques des cellules solaires, mais les progrès les plus importants attendus sont d ordre économique Des progrès très importants devraient être obtenus dans les températures de fonctionnement des détecteurs quantiques infrarouge Les percées fondamentales les plus importantes sont attendues dans les domaines des circuits de lecture et les fonctions intégrées sur composants. 62/57

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29 Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel

Plus en détail

Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC)

Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Faculté Polytechnique Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Prof. André DECROLY Dr Abdoul Fatah KANTA andre.decroly@umons.ac.be Service de

Plus en détail

BULLETIN L ACADÉMIE DES SCIENCES ET LETTRES MONTPELLIER

BULLETIN L ACADÉMIE DES SCIENCES ET LETTRES MONTPELLIER BULLETIN DE L ACADÉMIE DES SCIENCES ET LETTRES DE MONTPELLIER NOUVELLE SÉRIE TOME 39 ISSN 1146-7282 ANNÉE 2008 Académie des Sciences et Lettres de Montpellier 183 Séance du 26 mai 2008 Deux aspects des

Plus en détail

Module HVAC - fonctionnalités

Module HVAC - fonctionnalités Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABOU BEKR BELKAID-TLEMCEN FACULTE DES SCIENCES UNITE DE RECHERCHE MATERIAUX

Plus en détail

Sensibilité (bas niveaux de lumière, hauts niveaux de lumière) Spectre de sensibilité : visible (400-700 nm) mais aussi IR, UV, RX

Sensibilité (bas niveaux de lumière, hauts niveaux de lumière) Spectre de sensibilité : visible (400-700 nm) mais aussi IR, UV, RX Les capteurs pour l imagerie en biologie i Marc Moreau Catherine Leclerc Centre de Biologie du développement UMR 5547 et GDR E n 731 Toulouse BC02 mars 2013 Les différents système d imagerie à base de

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact

W 12-2 : haute performance et savoir-faire compact Barrières W - Détecteurs réflex, élimination de premier plan EPP Détecteurs réflex, élimination d arrière-plan EAP W - : haute performance et savoir-faire compact Détecteurs réflex énergétiques fibres

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

République Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique

République Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Université M Hamed Bougara- BOUMERDES Faculté des sciences de l Ingénieur Ecole Doctorale

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Système d énergie solaire et de gain énergétique

Système d énergie solaire et de gain énergétique Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une

Plus en détail

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS) apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé

Plus en détail

Figure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C

Figure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par

Plus en détail

Circuits intégrés micro-ondes

Circuits intégrés micro-ondes Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors

Plus en détail

Master Photovoltaïque

Master Photovoltaïque 1- Semestre 1 : Master Photovoltaïque Unité d Enseignement UE fondamentales UEF11(O/P) VHS 15 Semaines V.H hebdomadaire Mode d'évaluation Coeff Crédits C TD TP Autres Continu Examen Physique du Solide

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les

Plus en détail

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.

Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo. Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Les transistors à effet de champ.

Les transistors à effet de champ. Chapitre 2 Les transistors à effet de champ. 2.1 Les différentes structures Il existe de nombreux types de transistors utilisant un effet de champ (FET : Field Effect Transistor). Ces composants sont caractérisés

Plus en détail

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque

Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

Structures de semiconducteurs II-VI à alignement de bandes de type II pour le photovoltaïque

Structures de semiconducteurs II-VI à alignement de bandes de type II pour le photovoltaïque Structures de semiconducteurs II-VI à alignement de bandes de type II pour le photovoltaïque Lionel Gérard To cite this version: Lionel Gérard. Structures de semiconducteurs II-VI à alignement de bandes

Plus en détail

1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h)

1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Problèmes IPhO 2012 1 NOM : PRENOM : LYCEE : 1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Nous souhaitons dans ce problème aborder quelques aspects de la conception d un avion solaire autonome. Les

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

Panneaux solaires. cette page ne traite pas la partie mécanique (portique, orientation,...) mais uniquement la partie électrique

Panneaux solaires. cette page ne traite pas la partie mécanique (portique, orientation,...) mais uniquement la partie électrique Panneaux solaires cette page ne traite pas la partie mécanique (portique, orientation,...) mais uniquement la partie électrique Les panneaux solaires n ont pas de pièces mobiles, sont durables, et à bien

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV)

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Évidemment, l emploi le plus fréquent de la fibre optique se trouve dans le domaine des télécommunications. Mais d autre part,

Plus en détail

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)

Plus en détail

Les impulsions laser sont passées en quarante ans de la

Les impulsions laser sont passées en quarante ans de la Toujours plus court : des impulsions lumineuses attosecondes Les impulsions laser «femtoseconde» sont devenues routinières dans de nombreux domaines de la physique. Elles sont exploitées en particulier

Plus en détail

Manuel d'utilisation de la maquette

Manuel d'utilisation de la maquette Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie

Plus en détail

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.

Plus en détail

Conception. de systèmes électroniques. analogiques

Conception. de systèmes électroniques. analogiques Christian JUTTEN Conception de systèmes électroniques analogiques Université Joseph Fourier - Polytech Grenoble Cours de deuxième année du département 3i Janvier 2007 Table des matières Modèle mathématique

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

Les rayons X. Olivier Ernst

Les rayons X. Olivier Ernst Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse

Plus en détail

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème

Plus en détail

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L

Plus en détail

Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N

Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N 1 Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION Compte tenu des règles de sélection une émission peut être observée si un gap d énergie important existe entre l état fondamental et un des états

Plus en détail

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources

Plus en détail

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +

Plus en détail

Plus de précision. Mesure thermique sans contact : fondements

Plus de précision. Mesure thermique sans contact : fondements Plus de précision Mesure thermique sans contact : fondements 2 Fondements physiques Seul le monde exposé au spectre visible est percevable par l oeil humain. La lumière visible ne constitue qu une petite

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception

Plus en détail

Mise en pratique : Etude de spectres

Mise en pratique : Etude de spectres Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule

Plus en détail

Master 1 EEA. Capteurs numériques CCD & CMOS

Master 1 EEA. Capteurs numériques CCD & CMOS Master 1 EEA Capteurs numériques CCD & CMOS 1 PLAN DU COURS 1 - Historique, domaine d application et généralités 2 Structure d un capteur CCD 3 Principe de fonctionnement 4 Les capteurs couleurs 5 Aberrations

Plus en détail

EP 2 290 703 A1 (19) (11) EP 2 290 703 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 02.03.2011 Bulletin 2011/09

EP 2 290 703 A1 (19) (11) EP 2 290 703 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 02.03.2011 Bulletin 2011/09 (19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 2 290 703 A1 (43) Date de publication: 02.03.2011 Bulletin 2011/09 (1) Int Cl.: H01L 31/02 (2006.01) (21) Numéro de dépôt: 008786. (22) Date de dépôt: 24.08.20

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D TITRE : Mesures sur les fibres optiques 0 Temps de préparation :... h 5 minutes Temps de présentation devant le jury :.0 minutes Entretien avec le jury :..0 minutes GUIDE

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

a-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement

a-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement a-si:h/c-si heterojunction solar cells: back side assessment and improvement Sílvia Martín de Nicolás Résumé La diminution du coût des cellules photovoltaïques en silicium cristallin (c-si) passe par une

Plus en détail

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette

Plus en détail

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel

Plus en détail

Elvire Guiot. To cite this version: HAL Id: tel-00010025 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00010025

Elvire Guiot. To cite this version: HAL Id: tel-00010025 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00010025 microscopie de fluorescence par excitation à deux photons : application à des études de corrélations et de déclins de fluorescence en milieu biologique Elvire Guiot To cite this version: Elvire Guiot.

Plus en détail

Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes

Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes Avant Propos : Le sujet comporte deux parties : une partie théorique, jalonnée de questions (dans les cadres), qui doit être préparée

Plus en détail

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.

A chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde. CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance

Plus en détail

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

Système de sécurité de périmètre INTREPID

Système de sécurité de périmètre INTREPID TM Système de sécurité de périmètre INTREPID La nouvelle génération de systèmes de sécurité de périmètre MicroPoint Cable combine la technologie brevetée de Southwest Microwave, la puissance d un micro

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique?

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement

Plus en détail

Chapitre I La fonction transmission

Chapitre I La fonction transmission Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

Centre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique

Plus en détail

SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE

SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE 18 CHAPITRE III SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE La spectroscopie d absorption dans l UV et le visible est une méthode très commune dans les laboratoires. Elle est basée sur la propriété des

Plus en détail

Influence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique

Influence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique SYMPOSIUM DE GENIE ELECTRIQUE (SGE 14) : EF-EPF-MGE 2014, 8-10 JUILLET 2014, ENS CACHAN, FRANCE Influence de la géométrie du conducteur sur la dans un poste sous enveloppe métallique Nesrine REBZANI 1,2,3,

Plus en détail

Étude et modélisation des étoiles

Étude et modélisation des étoiles Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur

Plus en détail

Une nouvelle technique d'analyse : La spectrophotométrie

Une nouvelle technique d'analyse : La spectrophotométrie Une nouvelle technique d'analyse : La spectrophotométrie Par spectrophotométrie on peut : - déterminer la concentration d'une espèce chimique colorée en solution à partir de l'absorbance. - suivre la cinétique

Plus en détail

Microscopie de fluorescence Etat de l art

Microscopie de fluorescence Etat de l art Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet

Plus en détail

Le projet HBS. LETI/DSIS Jean-Jacques Chaillout jean-jacques.chaillout@cea.fr. CEA. All rights reserved

Le projet HBS. LETI/DSIS Jean-Jacques Chaillout jean-jacques.chaillout@cea.fr. CEA. All rights reserved Le projet HBS LETI/DSIS Jean-Jacques Chaillout jean-jacques.chaillout@cea.fr Les buts du projet HBS En 2010 : 8.3 milliards, 1.3 millions d implantations par an, forte croissance dans pays émergents Réduire

Plus en détail

La spectrophotométrie

La spectrophotométrie Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la

Plus en détail

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit

Plus en détail

Recherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur

Recherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur Recherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur Fabrice Beauville Journées Jeunes Chercheurs 18/12/2003 Les Coalescences Binaires & VIRGO Système binaire d objets compacts (étoiles à neutrons,

Plus en détail

RDP : Voir ou conduire

RDP : Voir ou conduire 1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants

Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants & INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre

Plus en détail

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler

TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du

Plus en détail

Le concept cellulaire

Le concept cellulaire Le concept cellulaire X. Lagrange Télécom Bretagne 21 Mars 2014 X. Lagrange (Télécom Bretagne) Le concept cellulaire 21/03/14 1 / 57 Introduction : Objectif du cours Soit un opérateur qui dispose d une

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES ETUDE D UN TRAITEMENT DE SURFACE

LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES ETUDE D UN TRAITEMENT DE SURFACE TP. TET LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES GENIE ELECTROTECHNIQUE Durée : 3 heures Tp relais statique 10-11 RELAIS STATIQUE S.T.I. Pré-requis : Laboratoire des systèmes Cours sur les

Plus en détail

1 Mise en application

1 Mise en application Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau

Plus en détail

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques

Plus en détail

kst ag Module thermoactif klima system technologie klima system technologie

kst ag Module thermoactif klima system technologie klima system technologie kst ag Module thermoactif system klima technologie klima system technologie 2 Confort climatique et bien-être Le module thermoactif de KST AG intègre la masse du bâtiment dans la gestion énergétique du

Plus en détail

Formation Bâtiment durable-energie Cycle 2013

Formation Bâtiment durable-energie Cycle 2013 Formation Bâtiment durable-energie Cycle 2013 Production d'électricité renouvelable : énergie solaire photovoltaïque et éolienne Ing. Jérémie DE CLERCK Service du Facilitateur Bâtiment Durable Spécialiste

Plus en détail

MODELE DE PRESENTATION DU PROJET

MODELE DE PRESENTATION DU PROJET MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du

Plus en détail

La température du filament mesurée et mémorisée par ce thermomètre Infra-Rouge(IR) est de 285 C. EST-CE POSSIBLE?

La température du filament mesurée et mémorisée par ce thermomètre Infra-Rouge(IR) est de 285 C. EST-CE POSSIBLE? INVESTIGATION De nombreux appareils domestiques, convecteurs, chauffe-biberon, cafetière convertissent l énergie électrique en chaleur. Comment interviennent les grandeurs électriques, tension, intensité,

Plus en détail

document proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015

document proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015 BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour

Plus en détail

Mémento à l usage du personnel des laboratoires

Mémento à l usage du personnel des laboratoires Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l

Plus en détail

Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie

Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie ABDELILAH EL KHADIRY ABDELHAKIM BOURENNANE MARIE BREIL DUPUY FRÉDÉRIC RICHARDEAU

Plus en détail