La réintroduction du lamantin des Antilles (Trichechus manatus manatus) dans la baie du Grand Cul-de-Sac marin (Guadeloupe)

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1 La réintroduction du lamantin des Antilles (Trichechus manatus manatus) dans la baie du Grand Cul-de-Sac marin (Guadeloupe) Présentation et stratégie opérationnelle Fred Buyle nektos.net Par l'etablissement public du Parc national de la Guadeloupe Décembre 2011 Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

2 Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

3 SOMMAIRE RÉSUMÉ... 4 PORTEUR DU PROJET... 5 CONTEXTE, ENJEUX ET OBJECTIFS... 5 ETAT DE LA CONNAISSANCE... 8 STRATÉGIE OPÉRATIONNELLE... 9 I. Suivi général du projet... 9 a) Les ressources humaines... 9 b) La formation c) La sensibilisation, la communication et la pédagogie II. La phase de préparation a) L'établissement de la coopération régionale et la recherche de populations fondatrices b) Recherches sur le lamantin de Guadeloupe c) Évaluation du site de réintroduction d) Les installations pour les animaux III. La phase de réalisation et de suivi a) La capture de lamantins sauvages b) Le transfert d animaux captifs c) Le suivi satellitaire et par bateau d) Les études e) Le centre d accueil et d information PARTENARIATS BUDGET PREVISIONNEL BIBLIOGRAPHIE Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

4 RÉSUMÉ Le lamantin des Antilles (Trichechus manatus manatus), mammifère marin classé «en danger» sur la Liste Rouge de l'uicn 1, a disparu depuis le début du XXème dans les eaux de Guadeloupe. Il fait l'objet d'un projet ambitieux porté par l'établissement public du Parc national de la Guadeloupe et impliquant un partenariat étroit avec les collectivités territoriales de Guadeloupe : celui de sa réintroduction dans la baie du Grand Cul-de-Sac marin (voir carte 3). Ce projet figurant à la fois dans le premier plan de gestion de la réserve naturelle du Grand Cul-de- Sac Marin (1998), dans le programme d'aménagement du Parc national et dans le plan d'actions outre mer pour la biodiversité en Guadeloupe (2005), a déjà fait l'objet d'une étude de faisabilité (DIREN, 2002) et d'un atelier de travail (2008) avec des scientifiques (américains, cubains et guadeloupéens), des acteurs institutionnels et des partenaires du Parc national de la Guadeloupe. Des conclusions positives quant à la réalisation et la réussite du projet en sont ressorties accompagnées de plusieurs recommandations (populations fondatrices composées d'au moins 500 individus, réintroduction de 15 individus minimum avec une majorité de femelles, garantir un site d'accueil optimal, adhésion sociale et large communication). Par ailleurs, en 2008, la 5ème Conférence des Parties du protocole SPAW 2 a approuvé le projet comme une opportunité potentielle et prometteuse pour améliorer le statut de conservation de l espèce. Le projet a été inscrit dans le Plan de gestion régional du lamantin des Caraïbes adopté à cette occasion. La première phase, la phase de préparation, a pour objet d'obtenir l'adhésion des populations de la baie, des acteurs socio-professionnels et des responsables politiques, de mettre en place des partenariats avec les pays donateurs, ainsi que de travailler sur le traitement des menaces tout en précisant le diagnostic du milieu. Un centre de soins devra être construit pour être en capacité d'assurer les soins des animaux dès le premier relâcher. Certaines des études intégrées dans la réalisation de cette phase ont déjà été menées ou sont en cours de réalisation. La deuxième phase, la phase de réalisation et suivi, consiste en la capture d'individus dans les pays identifiés comme donateurs et leur relâcher durant plusieurs années dans la baie du Grand Culde-Sac marin. Le suivi du déplacement de chaque animal par balise satellite permettra de s'assurer de leur santé et de leur comportement dans le milieu. Ce gros effort de suivi et de surveillance continue est indispensable à la réussite du projet et à son évaluation précise. Un centre d'accueil et d'information est envisagé pour valoriser le projet et sensibiliser la population locale et les touristes sur la protection des lamantins. Ces 2 phases seront accompagnées d'actions d'information, de sensibilisation et de communication, essentielles à l'acceptation du projet à l'échelle locale, nationale et internationale. 1 Union Internationale pour la Conservation de la Nature 2 Specially Protected Areas and Wildlife Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

5 PORTEUR DU PROJET NOM : Parc national de la Guadeloupe (carte 1) NATURE JURIDIQUE : Établissement public à caractère administratif ADRESSE : Habitation Beausoleil, Montéran, Saint Claude PERSONNES RESPONSABLES EN CHARGE DU PROJET : Denis Girou, Directeur (denis.girou@guadeloupe-parcnational.fr) Hervé Magnin, Chef du service Biodiversité (herve.magnin@guadeloupe-parcnational.fr) Lerebours Boris, Responsable de projet (boris.lerebours@guadeloupe-parcnational.fr) Carte 1 : La Guadeloupe et son Parc national CONTEXTE, ENJEUX ET OBJECTIFS Le lamantin, mammifère aquatique herbivore, était présent à l'époque précolombienne autour de la majorité des îles des Petites Antilles, de façon permanente pour la plupart d'entre elles (voir carte 2). Le déclin de cette espèce a probablement débuté peu de temps après la colonisation. En Guadeloupe, les effectifs ont sérieusement diminué dans la deuxième moitié du XIXème siècle, pour aboutir à sa disparition au début du XXème siècle, victime d une surexploitation. A l'heure actuelle, cette espèce n'est plus présente dans les Petites Antilles, créant un vide entre les populations des Grandes Antilles au nord (Porto Rico, République Dominicaine) et celles de Trinidad et Tobago et du plateau des Guyanes au sud. Aujourd hui, bien que le lamantin soit présent dans 20 Etats de la Grande région Caraïbe, les experts estiment que, dans 14 cas sur les 20, les populations s'élèvent à moins de 100 individus. Ces populations sont souvent distribuées de façon discontinue, les petits groupes qui les constituent Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

6 n'ayant entre eux que peu ou pas d'échanges. Cette dispersion constitue un facteur défavorable à la conservation de l'espèce. En outre, les populations sont menacées par le braconnage, les pollutions, les captures accidentelles, les collisions avec les bateaux, ainsi que d'autres facteurs. Aussi, dans la majeure partie de l'aire de répartition de l'espèce, une disparition est probable à brève échéance. Parmi ses différentes ambitions, ce projet a pour objectif de consolider le statut global de l'espèce en rétablissant un noyau de population en Guadeloupe. L'objectif est d'obtenir une population viable de lamantins et ainsi diversifier les chances de survie de l'espèce. A plus long terme, le projet pourrait recréer les conditions d'une recolonisation progressive de l'espèce dans les Petites Antilles afin de reconstituer un flux entre des populations aujourd'hui déconnectées. Par ailleurs, ce projet incite à l'établissement d'une coopération scientifique et technique à l'échelle de la Caraïbe. La dynamique que pourra créer le projet sera initiatrice à la fois de collaborations scientifiques mais aussi de projets de conservation. La réussite de la réintroduction d'une telle espèce constituera une force motrice pour sa conservation à l'échelle de la région Caraïbe, incitant à l'élaboration d'autres initiatives en faveur du lamantin (maîtrise des menaces, gestion des usages, protection de l'habitat, renforcements, réintroductions...). En plus d'établir une population qui améliorerait le statut global de conservation de l espèce et en raison des questions qu'il faut résoudre, il apparaît également que ce projet serait l'opportunité de créer un modèle transférable qui contribuerait à atteindre les objectifs de conservation pour d'autres populations de lamantins dans la Caraïbe et ailleurs dans le monde. Carte 2 : Distribution du lamantin dans l'arc antillais Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

7 Au delà de son intérêt pour la conservation globale de l'espèce, ce projet de réintroduction permettrait à la Guadeloupe de reconquérir un élément fort de sa biodiversité, perdu par l'action de l'homme. La réintroduction du lamantin constitue un projet moteur d une gestion concertée de la baie du Grand Cul-de-Sac Marin (voir carte 3). L'objectif recherché réside surtout dans l'amélioration de la conscience écologique citoyenne de la population riveraine de la baie et de la maîtrise des impacts des activités humaines sur le milieu. Un tel projet permet d engager une démarche collective en faveur de l environnement dans la baie et de développer une dynamique de réseau et de partenariat avec les acteurs locaux en faveur de l environnement et de la biodiversité. Cette démarche collective pourrait être symbolisée par le retour de cet animal emblématique qui occupe encore une place importante dans la culture et l'imaginaire collectif guadeloupéens. Par ailleurs, le lamantin offre une image sympathique de mammifère marin paisible et inoffensif qui constitue un support de communication grand public efficace en faveur de l'environnement. En outre, les enjeux économiques sont importants et non négligeables si un tourisme durable et raisonné autour du lamantin s établit dans la baie. Une action de cette envergure apportera aussi à la Guadeloupe un rayonnement régional, voire international en matière de politique en faveur de l'environnement. Le projet de réintroduction du lamantin en Guadeloupe est un projet collectif de grande envergure, s'échelonnant sur plusieurs années et qu'il est impératif de planifier et structurer sur le long terme avec l'aide des partenaires institutionnels, techniques et financiers. Carte 3 : La baie du Grand Cul-de-Sac marin et les biocenoses marines Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

8 ETAT DE LA CONNAISSANCE L'étude de faisabilité de la réintroduction datant de 2002 effectuée par Lartiges et al. suite à une commande de la DIREN, a apporté des conclusions positives quant à la réalisation de la réintroduction, tout en rappelant que des études approfondies devront être menées en amont (état du site d'accueil, évaluation des menaces potentielles...) Les éléments essentiels qui en ressortent : - habitats très favorables en terme de ressource alimentaire (herbiers sous-marins très étendus), - accès à l'eau douce, notamment de la Grande Rivière à Goyaves favorable depuis la dépollution de la distillerie, - capture de lamantins sauvages (pas d'élevage de lamantins), - population minimale viable : 10 femelles étant le seuil minimal de viabilité, individus à relâcher au total, - origine des animaux : Cuba, meilleure éventualité du fait des milieux fréquentés par les lamantins semblables à ceux de la Guadeloupe et des bonnes relations diplomatiques existantes, - relâchers des animaux échelonnés sur 5 ans. Des éléments récents ont été apportés par John REYNOLDS (USA), directeur du «center for marine mammal and sea turtle research» du Mote Marine Laboratory (Floride) et coordinateur du PNUE pour le plan de gestion régional en faveur du lamantin et Dana WETZEL (USA), chimiste et écotoxicologue au Mote Marine Laboratory, qui ont participé en avril 2008 à un atelier de travail autour du projet de réintroduction du Lamantin organisé par le Parc national en Guadeloupe. Grâce à des visites de terrain dans le Grand Cul-de-Sac marin et le Petit Cul-de-Sac marin (bateau et survol), ces scientifiques ont pu apprécier la superficie et la qualité des herbiers marins, alimentation préférentielle du lamantin, et la fréquentation nautique raisonnable (plaisanciers et pêcheurs), principale menace pesant sur les lamantins dans d'autres pays de la Caraïbe et de Floride en particulier. De plus, leurs entretiens avec les représentants des collectivités territoriales leur ont apporté une première perception de l'acceptation locale du projet. Néanmoins, des études plus approfondies devront être réalisées afin d'accueillir des lamantins dans des conditions optimales. Atelier de travail «réintroduction du lamantin» : interview de John Reynolds et réunion technique avec les scientifiques PNG Un rapport d'expertise a été livré par les deux experts américains, qui présente les grandes recommandations pour mener à bien ce projet, ainsi que des conclusions positives et encourageantes. Des pays présentant une population de lamantins en capacité de supporter un prélèvement ont été listés. Il s'agit du Brésil, du Belize, du Mexique, du Nicaragua et de la Colombie. Certains de ces pays ont été contactés par le Parc national de la Guadeloupe pour les informer du projet guadeloupéen. La possibilité de prélever des individus détenus en centre de soins a aussi été énoncée, cette piste de travail restant à approfondir. Pour Cuba, les potentialités de prélèvement paraissent moins probables à terme (mais restent à l'étude) et imposent donc d'étendre la coopération régionale. Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

9 Par ailleurs, lors de la Commission Technique et Scientifique du CAR-SPAW (Centre d'activités Régional - Specially Protected Areas and Wildlife) de 2008, la France a décidé de présenter ce projet dans le plan de gestion régional en faveur du lamantin du PNUE. Ce programme, incluant le projet de réintroduction en tant qu action possible de conservation de l espèce, a été adopté en septembre 2008 (UNEP/CEP, 2008). Lamantin de Floride : au Mote Aquarium et au centre de soins à lamantins du Lowry Park Zoo de Tampa (Floride) PNG Les échanges techniques et scientifiques avec le «Mote Marine Laboratory» (USA) se poursuivent activement et alimentent les réflexions sur l'orientation et la stratégie opérationnelle du projet. Le travail en collaboration avec le CAR-SPAW se poursuit, notamment sur les aspects internationaux du projet et les démarches officielles à effectuer auprès des pays potentiellement donateurs. STRATÉGIE OPÉRATIONNELLE Le projet de réintroduction est un projet sur le long terme en deux temps, avec une phase de préparation et une phase de réalisation et de suivi. Par la suite, la surveillance continue des individus s'effectuera par les agents du Parc national dans le cadre de leurs missions. Ces phases ont des coûts financiers importants et demandent un engagement solide et pérenne des partenaires techniques et financiers. Ainsi, une concertation locale avec les partenaires institutionnels pour la structuration du dossier est primordiale. Outre l'appui national et local, des financements européens et privés seront à l avenir sollicités. Les durées prévisionnelles des phases sont les suivantes : phase préparatoire P1 : 3 ans phase de réalisation et de suivi P2 : 5 ans I. Suivi général du projet a) Les ressources humaines Afin d'assurer un suivi et une animation efficaces du projet, une personne occupe 100% de son temps à ce projet durant sa phase de préparation et le début de la phase de réalisation. Des agents et techniciens de l'environnement s'investiront également dans le projet lors de la préparation de la phase opérationnelle et durant le suivi des lamantins. Ces personnes bénéficieront alors d'une formation spécifique traitant du lamantin. Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

10 Par ailleurs, le projet mobilise une partie du temps de travail du Chef de service Biodiversité, du Chef de service Communication, du Responsable pédagogique et du Chef de service Système d Informations ainsi que du personnel administratif. Leur mobilisation pour ce projet fait partie intégrante de leur mission au sein de l'établissement public. Par ailleurs, pour les aspects scientifiques en lien avec ce projet, et notamment la phase préparatoire et l'identification des populations émettrices, l'intervention d'un ou plusieurs chercheurs en Post-Doc est envisagée. b) La formation Vu l'absence de compétences scientifiques françaises en matière de lamantin, la formation initiale des personnels en charge de l'opération devra s'effectuer à l'étranger (Floride, Mexique...). Les formations seront à destination des agents (personne en charge du projet et agent technique de l'environnement). L'obtention du certificat de capacité et la gestion d'un centre de soins nécessitent aussi des journées de formations (à l'étranger et/ou France). La rédaction d'un guide méthodologique sur les soins vétérinaires spécifiques au lamantin pourrait être envisagée. c) La sensibilisation, la communication et la pédagogie Le projet de réintroduction, bien qu'inscrit initialement dans le plan de gestion de la Réserve Naturelle du Grand Cul-de-Sac marin puis dans le Programme d'aménagement du Parc national de la Guadeloupe, ne peut être conduit par l'établissement public du Parc national sans une totale adhésion de ses partenaires institutionnels, de la population et des acteurs locaux. Ce projet est un projet de territoire pour la protection de l'environnement et doit présenter une transparence totale pour une adhésion des populations locales. Une stratégie de communication à destination des acteurs locaux doit être rapidement établie. Par ailleurs, des échanges seront prochainement organisés entre les acteurs socio-professionnels (les pêcheurs par exemple) et les élus de la Guadeloupe et des pays tiers durant la phase préparatoire, l'objectif étant d'impliquer au mieux les divers partenaires du projet et d'assurer une totale adhésion des pays donateurs et des partenaires du Parc national de la Guadeloupe. En 2010, le Parc national a fait appel un appui extérieur afin de mieux structurer le processus de concertation locale et de dialogue autour du projet. L objectif principal de cette mission était de rencontrer les principaux acteurs concernées afin d étudier leur niveau de connaissance, d appropriation et d acceptabilité du projet et déboucher sur des propositions sur le dialogue à mener. Cette étude a permis : - de synthétiser les questions que le projet de réintroduction du lamantin soulève, - de faire des premières préconisations pour établir le dialogue avec l ensemble des personnes et structures concernées par le projet. Par ailleurs, le projet a déjà donné lieu à de nombreuses actions d information et de communication. Plusieurs réunions d échanges autour du projet ont été menées avec les acteurs de la baie et notamment les associations de protection de l'environnement et les marins-pêcheurs. Ce travail d information et de dialogue va se poursuivre et s intensifier. Un comité de concertation et de suivi du projet devrait voir le jour prochainement pour renforcer cette démarche. L'adhésion des citoyens à ce projet garantit sa réussite. Le volet éducation et sensibilisation concerne le milieu scolaire mais aussi le grand public, à travers la poursuite de programmes éducatifs, la conception d'outils de communication et de sensibilisation. Un programme pédagogique sur trois ans a été finalisé en Ce projet pédagogique intitulé «Mamand'lo ou le retour de la sirène du Grand Cul-de-Sac marin» a été mené auprès de tous les établissements scolaires de la baie, en partenariat avec l'education Nationale et le soutien du Conseil Régional. Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

11 A la rentrée 2010, le Parc national en collaboration avec le rectorat de Guadeloupe et le soutien d'air France, a organisé un concours scolaire sur l ensemble de l Académie. Les lauréats du concours intitulé «Les journalistes en herbe à la rencontre du lamantin» partiront en avril 2011 en Floride pour un séjour pédagogique à la découverte du lamantin et de son habitat. Par ailleurs, un conte sur le lamantin à destination du public scolaire a été édité. L'appropriation du projet passe par l'identification et une connaissance de l'animal. Des films présentant l'espèce mais aussi les diverses phases du projet sont à élaborer pour diffusion massive lors de manifestations culturelles, rencontres scientifiques... Ce projet, bien que national, possède une envergure régionale (Caraïbe et plus) du fait de la nécessaire implication des pays potentiellement donateurs de lamantins (appartenant à l'aire de répartition du lamantin). Une large communication au niveau international doit être effectuée afin d'optimiser les retours d'expérience et l'adhésion de la communauté scientifique internationale. Cet objectif peut être rempli par la participation à des colloques, par l'organisation d'ateliers de travail ou la réalisation de missions de terrain. La coordination de l'action avec le CAR SPAW est à ce titre incontournable. Le Parc national a déjà mené plusieurs missions exploratoires (Mexique, Belize, Etats-Unis, Porto Rico) durant lesquelles le projet a pu être exposé aux partenaires de ces pays. En outre, le projet a été présenté à la communauté scientifique dans différentes conférences internationales. En janvier 2011, le Parc national a organisé en Guadeloupe, en partenariat avec le CAR SPAW et L AAMP, un colloque sur les Aires Marines Protégées de la Caraïbe. Un atelier spécifique était dédié au lamantin avec la participation de plusieurs experts scientifiques étrangers spécialistes de l espèce. De nombreux projets de réintroduction d'espèces voient le jour et aboutissent à des résultats très satisfaisants. Afin d'éviter des erreurs ou de conforter certains points du projet, il est indispensable de se mettre en contact avec des spécialistes de cette thématique ou des gestionnaires d'espaces naturels ayant participé à de tels projets. La recherche doit se concentrer sur des projets semblables à celui de la Guadeloupe (contexte local, milieu...). II. La phase de préparation Cette phase P1 concerne toutes les études et les recherches à effectuer sur la population fondatrice, le site d'accueil, la sensibilisation,... Des pistes de travail ont été énoncées dans le rapport d'expertise de JE Reynolds et D. Wetzel (2008). Cette phase est échelonnée sur 3 ans. Patrick M. Rose, Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

12 a) L'établissement de la coopération régionale et la recherche de populations fondatrices 5 pays (Belize, Brésil, Colombie, Mexique, Nicaragua) ont été identifiés (Reynolds et Wetzel, 2008) comme des pays potentiellement «donateurs» de lamantins, du fait notamment de la taille des populations de lamantins estimée à plus de 500 individus. L'identification précise de ces pays a débuté avec la mise en place d'un réseau de partenaires caribéens facilitant les échanges et les conventionnements (étude préliminaire menée par le Mote Marine Laboratory). La rencontre de scientifiques, de gestionnaires et d'institutionnels est primordiale. Des échanges et des missions techniques ont déjà été menés par le Parc national dans certains de ces pays potentiellement donateurs mais il conviendra rapidement de formaliser les prises de contact avec les autorités et de mener les démarches officielles nécessaires. Ces relations formelles permettront de présenter les grands principes et étapes du projet auprès des gouvernements et de nos interlocuteurs dans ces pays. Par ailleurs, la Guyane possède également des lamantins dont le statut demande à être précisé. Une mission d'étude des populations guyanaises de lamantin a été réalisée en novembre 2010 en partenariat avec le Parc national de la Guadeloupe, le Car Spaw, la Diren Guyane et l association Kwata. Cette première mission doit encourager la mise en place d'un suivi à long terme de l espèce. L étude approfondie des populations guyanaises doit être considérée comme une action prioritaire. Par la suite, les populations de lamantins de ces pays devront être la cible de plusieurs études afin de s'assurer de la viabilité des individus et de leur patrimoine génétique. La population fondatrice devrait idéalement être étroitement liée au stock d'origine et présenter des caractéristiques écologiques semblables (UICN, 1998). Les études et approfondissements en question devront apporter des éléments sur : la taxonomie la variabilité génétique : certains pays de la Caraïbe ont procédé à des analyses de la variabilité génétique (ADN mitochondrial). Une coopération autour de la thématique «génétique» avec les spécialistes sera à planifier. le statut de la population et les menaces pesant sur cette population la biologie des populations (décrire leur habitat préférentiel, leurs variations et leur adaptation intraspécifique à la situation écologique locale, éthologie, la composition de leur groupe, la taille de leur aire de répartition, leur régime alimentaire, leurs besoins d'abri, leur comportement alimentaire, leurs prédateurs et leurs maladies (UICN, 1998)) la contamination des individus par des polluants organiques l'évaluation de l'impact du prélèvement d'individus sur ces populations Les Post-Doc interviendraient dans ce cadre de recherche. Cuba, initialement retenu comme pays potentiellement donateur, n'est pas écarté de cette liste, mais des études plus précises sur le statut de la population de lamantins sont nécessaires (population estimée à une centaine d'individus selon Reynolds and Quintana-Rizzo, 2007). Il ne faut pas oublier que le statut juridique du lamantin oblige le Parc national à veiller rigoureusement aux diverses lois nationales et conventions internationales. En effet, plusieurs réglementations devront être respectées ou faire l'objet de dérogations spécifiques. Entres autres, au niveau national, le Lamantin figure sur la liste des mammifères marins protégés sur le territoire national de l'arrêté du 27 juillet Le projet devra également faire l'objet de l'approbation du Conseil National de la Protection de la Nature. En septembre 2010, le Parc national a fait une première présentation du projet devant le CNPN et a bénéficié de l'encouragement de ses membres à la poursuite du projet. Au niveau international, le projet devra tenir compte de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d extinction de 1973 ; le Lamantin des Antilles est en annexe 1 («espèces menacées d'extinction qui sont ou pourraient être affectées par le commerce»), des permis d'importation et d'exportation seront obligatoires. La Convention de Carthagène et le Protocole SPAW sont aussi à prendre en compte. Ces démarches requièrent également des négociations diplomatiques importantes. Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

13 b) Recherches sur le lamantin de Guadeloupe Il y a un siècle, le lamantin des Antilles Trichechus manatus manatus était encore présent dans le Grand Cul-de-Sac marin. Les lignes directrices de l'uicn relatives aux réintroductions (UICN, 1998) précisent que les individus devant être réintroduits doivent appartenir de préférence à la même sousespèce ou espèce que ceux qui ont été éliminés. Aucune donnée sur la génétique des lamantins autrefois présents en Guadeloupe n'est disponible. Une recherche de restes (os, tissus...) conservés dans les Petites Antilles a été lancée dans le cadre d'une étude préliminaire menée par le Mote Marine Laboratory. Des analyses génétiques (sur ces restes) devraient être prochainement effectuées pour déterminer la taxonomie et étudier la variabilité génétique (haplotypes de l ADN mitochondrial ou Complexe Majeur Histocompatibilité). c) Évaluation du site de réintroduction Les lamantins fréquentent indifféremment les eaux douces, saumâtres ou salées, mais trois exigences principales déterminent leur occupation des milieux : la température de l'eau, la disponibilité en nourriture végétale, l'accès à une source d'eau douce à proximité des zones d'alimentation. En ce qui concerne la température de l'eau, la Guadeloupe n'est pas concernée par de grandes fluctuations de températures pouvant engendrer des déplacements d'individus comme en Floride. Pour l'accès à l'eau douce, des précisions quant au rôle et à la nécessité réelle de celle-ci pour les lamantins devront être apportées. La baie du Grand Cul-de-Sac marin était autrefois le site fréquenté par la population guadeloupéenne de lamantins. Par ailleurs, il apparaît être le site le plus propice à la réintroduction du lamantin, même si le Petit Cul-de-Sac marin présente aussi des critères favorables. Le site de réintroduction est donc bien identifié. Néanmoins, de nombreuses problématiques doivent être traitées pour assurer un environnement sain et une protection sur le long terme : étude de la capacité biologique de la baie du Grand Cul-de-Sac marin en matière d'alimentation : il s'agit essentiellement d'étudier la productivité des herbiers de phanérogames dans la perspective du choix et du dimensionnement des parcs de pré-relâcher. En 2010, une première étude portant sur l analyse de la production primaire des herbiers a été réalisée dans le Grand Cul-de-Sac marin, en fonction des comportements alimentaires du lamantin et de la pression du broutage. recherche et inventaire des points d'alimentation en eaux douces de la baie du Grand Cul-de-Sac marin et détermination de l épaisseur de la couche d eau douce dans les embouchures de rivières. Un premier travail cartographique des points d alimentation en eaux douces a été réalisé en 2010 ainsi que des mesures de salinité dans la colonne d eau. Ce travail d inventaire et d analyse devra être approfondi. étude de la qualité des eaux douces : analyses de la contamination organique (PCB, pesticides), minérale (métaux lourds) et bactériologique. analyse de la contamination en PCB, pesticides, métaux lourds des herbiers et de leurs substrats. Une étude approfondie de la contamination des herbiers de phanérogames marines et sédiments de la baie Grand Cul-de-Sac Marin a été commandée par le Parc national et réceptionnée en Au total, 297 molécules ont été recherchées et analysées. D une manière générale, les taux de contamination mesurés sont faibles et ne dépassent pas les seuils de toxicité admis pour l homme ou les organismes marins. identification, quantification et maîtrise des menaces potentielles (pollution, trafic maritime, activités de pêche, activités touristiques) via des actions de concertation et des modes compensatoires. En 2010, une première cartographie des usages dans la baie du Grand Cul-de-Sac Marin a été réalisée dans la baie ainsi que les interactions potentielles avec le lamantin.. Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

14 Le lamantin présente parfois des mœurs migratoires, même si ceux-ci restent majoritairement de faible ampleur et le propre des mâles adultes. Mais, afin de limiter les déplacements vers des territoires hors de la Guadeloupe et d'assurer un suivi intensif des individus réintroduits, la mise en place d'enclos de pré-lâcher a été proposée et des études spécifiques sont à mener pour l installation et les coûts de ces enclos. Une étude préliminaire de localisation des parcs de pré-lâcher a été menée en Au total sept sites ont été retenus comme potentiellement intéressants pour établir ces parcs d acclimatation, dont trois plus spécifiquement. Par ailleurs, des études socio-économiques sont indispensables pour évaluer les impacts, le coût et les avantages du programme de réintroduction pour les populations humaines locales (UICN, 1998). L'évaluation des attitudes de la population locale à l'égard du projet proposé est nécessaire pour assurer la protection à long terme de la population réintroduite, surtout si le déclin de l'espèce est dû à des facteurs humains (UICN, 1998). Le lamantin est très présent dans les légendes et contes créoles. Son image persiste encore dans les esprits et une réflexion d'un sociologue et/ou d'un anthropologue apporterait des précisions quand à la perception de cet animal qu'ont les guadeloupéens. d) Les installations pour les animaux Des installations seront nécessaires à la fois pour assurer les soins des animaux (centre de soins) et pour évaluer leur adaptation au nouveau milieu (enclos de pré lâcher) La construction de ces installations devra débuter pendant la phase préparatoire afin qu'elles soient opérationnelles dès le premier relâcher (phase de réalisation et de suivi). Le centre de soins sera très probablement à proximité de l'aquarium de Pointe-à-Pitre afin de bénéficier de ressources humaines spécialisées dans les soins et la maintenance de bassins. L'acquisition foncière est en cours de discussion. Le chiffrage des équipements a déjà débuté et une étude des coups et de faisabilité d un centre de soins en Guadeloupe a été réalisée en décembre 2009 à la suite de visites de structures dédiées au lamantin en Floride. Centre de soins à lamantins du Lowry Park Zoo (Tampa, Floride) PNG Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

15 III. La phase de réalisation et de suivi Cette phase P2 a été étudiée et budgétisée par Lartiges et al (2002) lors de l'étude de faisabilité de la réintroduction commandée par la DIREN Guadeloupe (ex DEAL). Ainsi, ce paragraphe se base en grande partie sur cette étude, mais des mises à jour ont été effectuées et seront apportées par les recherches effectuées lors de la phase de préparation. Par conséquent, il s'agit d'un programme prévisionnel. La réintroduction effective nécessite des techniques pour le transport et la maintenance des lamantins, mais aussi une importante communication et information. Cette étape devrait être échelonnée sur 5 ans et concernée 15 individus au total. Les grandes étapes de la réintroduction sont les suivantes : prospection aérienne et capture des animaux dans le cas d'animaux sauvages en liberté ou uniquement transfert des animaux des centres de soins, hébergements temporaires des animaux avant le transport, transport des animaux sur le site de réintroduction (transport aérien et routier), hébergements temporaires des animaux au sein d'enclos pour assurer le suivi sanitaire et leur adaptation à leur nouvel environnement. relâcher définitif des animaux. Par ailleurs, en parallèle de la réintroduction, une large communication, débutée en amont de la réintroduction, devra être poursuivie. Le suivi des animaux débutera dès le premier relâcher et s'effectuera selon les modalités indiquées ci-après. Des déplacements à l'étranger s'effectueront à nouveau, afin de finaliser certaines négociations et transferts d'animaux. a) La capture de lamantins sauvages 15 individus est le nombre minimal pour l'établissement d'une population minimum viable (selon l'étude de faisabilité de Lartiges et al., 2002). Par ailleurs il est préférable de prélever au sein de différentes populations ou de centres de soins (Reynolds et Wetzel, 2008) et donc de considérer plusieurs pays. On estime à 10 le nombre de lamantins à prélever à l état sauvage. Les 5 autres seraient issus de captivité. Dans la capture, on entend le repérage, la capture elle-même et le transport des animaux jusqu à l aéroport de départ. Cette étape sera étudiée en concertation entre le Parc national de la Guadeloupe et les pays donateurs qui proposeront alors un coût de capture (ce coût sera fonction de la technique employée pour la capture et des moyens dont disposeront les pays). b) Le transfert d animaux captifs 5 individus captifs seront transférés jusqu à l aéroport de départ, puis voyageront, comme les animaux sauvages capturés, en avion jusqu en Guadeloupe pour terminer par un trajet routier. c) Le suivi satellitaire et par bateau J.E. Reynolds a conseillé au Parc national de la Guadeloupe de mettre en place des suivis des animaux à la fois par satellites et par radio-tracking avec l'appui d'un bateau. Cette méthode est la garantie d'un suivi efficace, notamment dans un premier temps, afin d'appréhender au plus vite le comportement et les mouvements des individus, indispensable à la délimitation des espaces sensibles. Ceci facilitera aussi l'intervention d'urgence auprès des animaux en cas de besoin. Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

16 d) Les études L'évaluation de la réussite de la réintroduction passe par un suivi attentif des animaux relâchés, des ressources dont ils dépendent, ainsi que des activités humaines pouvant entraîner un impact négatif. Divers suivis seront donc à mettre en place : suivi des individus : état de santé, comportement suivi à long terme des herbiers des Culs-de-Sac marins (indicateur environnemental de l'état de santé des milieux côtiers de la Guadeloupe). Ce suivi est déjà en place et devra être complété par la cartographie par photo-interprétation des missions IGN (orthophotos), Les études pourront être réalisées directement par le Parc national de la Guadeloupe et ses agents, mais des experts/ spécialistes pourront être appelés pour renforcer l'équipe scientifique. e) Le centre d accueil et d information La commune du Lamentin a évoqué à plusieurs reprises le souhait d'apporter sa contribution à ce projet. La prise en charge (acquisition foncière, construction, fonctionnement) d'un centre d'information du public pourrait lui être proposée. L'établissement public du Parc national n'apporterait pas une contribution financière ; seule une contribution ponctuelle «en nature» serait apportée (prêt d'exposition, agent mis en disposition pour des animations...). L'aquarium est prêt à s'associer à cette réflexion en apportant son savoir faire en muséographie. Fish and Wildlife Research Institute et Patrick M. Rose, (en bas à droite) Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

17 PARTENARIATS Divers partenaires sont et seront sollicités, pour totalité ou partie du projet. En effet, le projet concerne différents aspects - la conservation de la biodiversité, la recherche scientifique, la pédagogie et la sensibilisation, le tourisme et les activités économiques... - qu'il est nécessaire d'orienter en fonction des compétences et des objectifs de chaque partenaire. Les principaux partenaires sont : le Ministère en charge de l'ecologie ; les collectivités territoriales (Conseil Régional, Collectivités bordant le Grand Cul-de-Sac marin) ; l'union Européenne ; des fondations françaises (Fondation de France, Fondation EDF...), mais aussi américaines (National Fish and Wildlife Foundation, Save the Manatee Club...) Le mécénat d'entreprise avec SITA Espérance (filiale de SUEZ Environnement), exploitant du centre de stockage de déchets non dangereux de Sainte-Rose, a été conclu le 7 octobre Leur soutien intervient sur l'intégralité du projet et leur engagement est prévu sur 3 ans. Ce partenariat manifeste leur volonté commune d'agir en faveur d'une meilleure gestion de l'environnement en Guadeloupe, notamment en se préoccupant de la qualité des eaux de la baie du Grand Cul-de-Sac marin. En janvier 2011, une convention de partenariat à été signée entre le Parc national de la Guadeloupe et Air France dans le cadre du projet de réintroduction du lamantin. D'autres mécénats privés pourront être recherchés ultérieurement. La Fondation de France a accordé en 2010 une subvention au Parc national pour financer une mission d appui extérieur afin de structurer le processus de concertation avec les acteurs locaux autour du projet. Par ailleurs, le Parc national et ses partenaires étrangers bénéficient depuis avril 2010 d une aide du Fonds de Coopération Régionale (FCR) pour mener des missions de coopération autour du projet. Le MEDDTL soutient financièrement le projet depuis Outre la recherche de financement, ce projet peut être créateur de services et de supports (centre d'information payant, vente d'objets en lien avec le lamantin...) BUDGET PREVISIONNEL Le projet est estimé à : le coût de la phase de préparation P1 : le coût de la phase de réalisation et de suivi P2 : Soit un montant global du projet de : Le personnel du PNG prendra part à ces deux phases. Le coût engendré (salaire, frais de fonctionnement...) est estimé à Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

18 BIBLIOGRAPHIE A. Lartiges, C. Bouchon et Y. Bouchon-Navaro, Quel avenir pour le lamantin de Guadeloupe. Etude de faisabilité de la réintroduction du lamantin des caraïbes (Trichechus manatus) en Guadeloupe. Etude Bios Environnement / DIREN / UAG. 96 p. E. Quintana-Rizzo and J.E. Reynolds III, Regional plan for the West Indian Manatee (Trichechus manatus). Caribbean Environement Programme, United Nations Environement Programme, CEP Technical report. 178 p. J.E., Reynolds III and D.L. Wetzel, Reintroduction of Manatees, Trichechus manatus, into Guadeloupe, Lesser Antilles : Issues, Questions and Possible Answers. Submitted to the Parc national de la Guadeloupe, 6 May p. UICN, Lignes directrices de l'uicn relatives aux réintroductions. Préparées par le Groupe de spécialistes de la réintroduction de la Commission de la sauvegarde des espèces de l'uicn. UICN, Gland, Suisse et Cambridge, Royaume-Uni. 20 p. UNEP/CEP. Action plan for the conservation of marine mammals. Antigua, September Réintroduction du lamantin Établissement public du Parc national de la Guadeloupe décembre

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