Suez : Des solutions alternatives face au défi du stress hydrique. acquises dans le cadre des projets Barka Phase II - Rusail.
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1 Suez : Des solutions alternatives face au défi du stress hydrique Thierry MALLET Directeur Général de Degrémont Mario SAVASTANO Directeur Général des sociétés créées ou acquises dans le cadre des projets Barka Phase II - Rusail. 7 février 2007
2 Réunion d information 5 au 8 février Avertissement Cette communication ne constitue ni une offre d'achat ou d'échange, ni une sollicitation d'une offre pour la vente ou l'échange de titres Suez ou une offre de vente ou d'échange, ni une sollicitation d'une offre pour l'acquisition ou l'échange d'actions Gaz de France. Elle ne constitue pas plus une offre de vente ou d'échange de titres dans un pays (y compris les États-Unis d'amérique, l'allemagne, l'italie et le Japon) dans lequel une telle offre, sollicitation, vente ou échange est illégal ou est soumis à un enregistrement en vertu du droit applicable dans ledit pays. Sa diffusion peut, dans certains pays, faire l'objet de restrictions légales ou réglementaires. Par conséquent, les personnes qui l'obtiendraient doivent s'informer sur l'existence de telles restrictions et s'y conformer. Dans toute la mesure permise par les lois et règlementations en vigueur, Gaz de France et Suez déclinent toute forme de responsabilité en cas de violation de ces restrictions par toute personne. Les actions Gaz de France qui seront émises dans le cadre de l opération de rapprochement au bénéfice des porteurs d actions Suez (y compris les porteurs d ADS Suez (American Depositary Shares)) ne pourront être offertes ou vendues aux États-Unis d Amérique sans avoir fait l objet d un enregistrement ou bénéficié d une exemption à l obligation d enregistrement conformément au US Securities Act de 1933, tel que modifié. Pour les besoins de l opération de rapprochement projetée, les documents d information nécessaires seront déposés auprès de l Autorité des marchés financiers («AMF»). Dans la mesure où Gaz de France serait dans l obligation ou déciderait d enregistrer au États-Unis d Amérique les actions Gaz de France qui seront émises dans le cadre de l opération de rapprochement, elle déposerait auprès de la SEC (United States Securities and Exchange Commission) un document d enregistrement américain (registration statement on Form F-4) comprenant un prospectus. Il sera fortement recommandé aux investisseurs de lire les documents d information déposés auprès de l AMF, le document d'enregistrement américain (registration statement) et le prospectus s ils sont disponibles et lorsqu ils seront disponibles, ainsi que tout autre document approprié déposé auprès de la SEC et/ou de l AMF, ainsi que les avenants et les compléments à ces documents parce que ceux-ci contiendront des informations importantes. En cas d enregistrement aux États Unis d Amérique, des exemplaires du document d enregistrement américain, du prospectus ainsi que des autres documents appropriés déposés auprès de la SEC, seront disponibles sans frais sur le site web de la SEC ( Les investisseurs recevront, au moment opportun, des informations sur la manière d obtenir, sans frais, les documents relatifs à l opération par Gaz de France ou par son mandataires dûment désigné. Les investisseurs et les porteurs de titres Suez peuvent obtenir sans frais des exemplaires des documents déposés auprès de l AMF sur le site internet de l AMF ( ou directement sur le site internet de Gaz de France ( ou sur le site internet de Suez ( le cas échéant. Déclarations prospectives Cette communication contient des informations et des déclarations prospectives concernant Gaz de France, Suez et leurs activités regroupées après réalisation de l opération de rapprochement envisagée. Ces déclarations ne constituent pas des faits historiques. Ces déclarations comprennent des projections financières et des estimations ainsi que les hypothèses sur lesquelles celles-ci reposent, des déclarations portant sur des projets, des objectifs et des attentes concernant des opérations, des produits et des services futurs ou les performances futures. Ces déclarations prospectives peuvent souvent être identifiées par les mots «s'attendre à», «anticiper», «croire», «planifier» ou «estimer», ainsi que par d autres termes similaires. Bien que les directions de Gaz de France et Suez estiment que ces déclarations prospectives sont raisonnables, les investisseurs et les porteurs de titres Gaz de France et Suez sont alertés sur le fait que ces déclarations prospectives sont soumises à de nombreux risques et incertitudes, difficilement prévisibles et généralement en dehors du contrôle de Gaz de France et de Suez, qui peuvent impliquer que les résultats et développements attendus diffèrent significativement de ceux qui sont exprimés, induits ou prévus dans les informations et déclarations prospectives. Ces risques comprennent ceux qui sont développés ou identifiés dans les documents publics déposés par Gaz de France et Suez auprès de l AMF, y compris ceux énumérés sous la section «Facteurs de risque» du Document de Référence de Gaz de France enregistré le 5 mai 2006 sous le numéro R et du document de référence de Suez enregistré le 11 avril 2006 sous le numéro D ainsi que dans les documents déposés par Suez auprès de la SEC, y compris ceux énumérés sous la section «Risk Factors» du rapport annuel 2005 (Annual Report on Form 20-F) enregistré par la SEC le 26 juin 2006, et du rapport annuel 2005 modifié (Annual Report on Form 20-F/A) enregistré par la SEC le 1er février Gaz de France et Suez ne prennent aucun engagement de mettre à jour les informations et déclarations prospectives, à l exception de ce qui est requis par les lois et règlements applicables.
3 Réunion d information 5 au 8 février Programme Stress hydrique 2 solutions alternatives de ressource en eau Dessalement Réutilisation
4 Réunion d information 5 au 8 février Le stress hydrique : un problème mondial 2,5 milliards de personnes sont confrontées au stress hydrique et à la pénurie d eau : Stress hydrique < m3 de ressource renouvelable / an Pénurie d eau < m3 de ressource renouvelable / an Exemple de l Australie : Pas de manque d eau d ampleur nationale mais des particularités locales : L ouest & le sud font face à des pénuries d eau chroniques.
5 Réunion d information 5 au 8 février Stress hydrique : 2 solutions alternatives Ressources complémentaires Eau potable Dessalement Irrigation Réutilisation Industrie 2,4 milliards de personnes vivent près de la mer 368 km3/an d eaux usées collectées dans le monde Le dessalement : désormais une solution alternative pour plus de 200 millions de personnes Seulement 160 km3/an d eaux usées sont traitées et 7,1 km3/an (4,5 %) recyclées.
6 Réunion d information 5 au 8 février Programme Stress hydrique 2 solutions alternatives de ressource en eau Dessalement - Technologies - Aspects spécifiques au Moyen-Orient Réutilisation
7 Réunion d information 5 au 8 février Osmose inverse et technologie thermique : des procédés de dessalement majeurs Deux catégories majeures : La technologie membranaire (Osmose Inverse : OI) L eau de mer est filtrée, sous l action de la pression à travers une membrane laissant passer le perméat d un côté et la saumure de l autre. 32 à 80 bars pour le traitement de l eau saumâtre et l eau de mer La technologie thermique L eau de mer est vaporisée puis condensée pour obtenir un distillat sans sel Distillation à détentes étagées (MSF) Distillation à effets multiples (MED)
8 Réunion d information 5 au 8 février Osmose inverse et technologie thermique : des procédés de dessalement de premier plan Procédé thermique : Séparation de l eau et du sel dissous par évaporation Procédé de l osmose inverse : Rétention par un filtre membranaire des sels dissous dans l eau Capacité d installation (en million de m3/jour) Investissements mondiaux en OI ( ) : 17 milliards de $ Osmose inverse Procédé thermique L osmose inverse : une : une technologie compétitive qui qui supplante la solution thermique
9 Réunion d information 5 au 8 février La hausse du prix du gaz favorise les technologies à moindre coût énergétique A mesure que les prix du gaz augmentent au niveau international, le OI devient nettement plus compétitif Dans un contexte de flambée des prix du gaz, le carburant devient le composant déterminant du coût dans une production de m3 d eau par MSF Les technologies MSF et MED requièrent plus d investissement que le OI Coût de l eau vs prix du carburant ( cents/m 3 ) Coût de financement O&M Coût des produits chimiques Frais de rénovation de la division O&M O&M Coût de la main d œuvre Coût d électricité Coût du carburant OI MSF 0,8$/Mmbtu MSF 2$/Mmbtu MSF 3$/Mmbtu MSF 4$/Mmbtu La La technologie OI OI est est la la plus compétitive, d autant plus dans un un contexte de de hausse des des prix prix énergétiques
10 Réunion d information 5 au 8 février Les avantages techniques de l osmose inverse Souplesse d utilisation : Adapté au traitement de tous types d eau : eau saumâtre eau de mer Adapté à toutes tailles d installations et sources d énergie : vapeur, électricité Possibilité de mise en place dans toutes zones géographiques Curaçao, Caraïbes eau de mer m3 Flexibilité : Dimensionnement d usine selon les besoins du moment (possibilités d accroître la capacité de production) Coût d exploitation proportionnel aux variations de débit El Atabal, Espagne, eau saumâtre m3
11 Réunion d information 5 au 8 février L osmose inverse : une solution compétitive optimisée par DEGREMONT en tant que CONSTRUCTEUR Indice des prix pour l eau de mer Indice des prix pour l eau saumâtre Indice des prix Solution mature Facteurs clés maîtrisés : Standardisation Court délai d achèvement. L usine de Perth fut construite en 18 mois
12 Réunion d information 5 au 8 février L osmose inverse : une solution compétitive optimisée par DEGREMONT en tant qu OPERATEUR Consommations d électricité / kwh/m Début de l OI 11,8 Turbine Pelton 8 Moteurs et pompes à haute efficacité 5 Elément OI à faible énergie avec un rejet de sel amélioré 3,2 Coût total de l eau (CAPEX + OPEX): 0,5 0,8 $/m 3 Dispositif efficace pour la récupération d énergie Optimisation généralisée : Meilleure efficacité des moteurs Meilleure perméabilité des membranes 2,3 < Evolution de de la la consommation d électricité pour pour l eau de de mer mer contribue au au développement de de l OI l OI
13 Une des expertises majeures de Degrémont OI : Le choix de la flexibilité et de la souplesse Pionnier du procédé de l osmose inverse (OI): première installation en 1972 sur l île de Houat, France 250 références dans le monde 1,9 million m3/jour d eau dessalée 8 usines exploitées par DEGREMONT, m3/jour Réunion d information 5 au 8 février
14 Réunion d information 5 au 8 février Programme Stress hydrique 2 solutions alternatives de ressource en eau Dessalement - Technologies - Aspects spécifiques au Moyen-Orient Réutilisation
15 Dans la région du Golfe, le marché du dessalement est lié à celui de l énergie Les pays du Golfe on une capacité installée de MW en 2006 Cette capacité est appelée à croître de MW d ici 2010, dont environ MW pour les IPP et IWPP Capacité d exploitation installée en 2006 (MW) Arabie Saoudite Oman Capacité additionnelle d ici 2010 (MW) EAU Qatar Bahreïn Usines de dessalement dans la région du Golfe et la Mer Rouge : CAPEX total prévu pour la période : 14 milliards de USD Réunion d information 5 au 8 février
16 Réunion d information 5 au 8 février Associer la production d énergie au dessalement : Un atout considérable en terme d efficacité énergétique Technologie CCGT seule (conditions ambiantes dans le Golfe) 2,22 Gwh gaz 1,00 Gwh électricité 1,22 GWh pertes Technologie MSF seule 0,45 GWh gaz m3 Eau Total = = 2,67 GWh de de gaz gaz utilisé par par jour
17 Réunion d information 5 au 8 février Associer la production d énergie au dessalement : CCGT + MSF Usine à usage mixte : CCGT+ MSF combinées 2,533 GWh de gas gaz 1,00 GWh 13.2 d électricité GWh electricity 1,5 GWh de perte m3 d eau Total = = 2,5 2,5 GWh de de gaz gaz utilisé, c.à.d 6,5 6,5 %% d économie d énergie pour l ensemble du du système
18 Réunion d information 5 au 8 février Associer la production d énergie au dessalement : CCGT + OI Usine à usage mixte : CCGT+OI combinées 33 GWh gas 13.2 GWh 2,3 GWh de gaz 1,00 GWh electricity d électricité 1,35 GWh de perte m3 d eau Total = 2,3 = 2,3 GWh de de gaz gaz utilisé, c.à.d %% d économie d énergie pour l ensemble du du système L alliance OI OI et et CCGT est est la la solution la la plus plus efficace en en matière de de carburant
19 Associer la production d énergie au dessalement : L OI bénéficie de la saisonnalité locale de la consommation d électricité Traite simultanément 2 problématiques clés dans cette région : la production d énergie et d eau au sein d une seule installation Les besoins en eau ne sont pas satisfaits avec le procédé thermique De considérables synergies et économies d échelle pour les coûts de développement, le financement, et l exploitation m 3 d eau Production d eau en utilisant le procédé d osmose inverse besoins en eau Une moindre consommation de gaz Une économie d énergie considérable Plus de flexibilité du système d utilisation avec l OI en raison du caractère saisonnier en profitant des périodes de pointe/de basse consommation (utiliser l OI en période de basse consommation pour bénéficier de l électricité à bas prix). Réunion d information 5 au 8 février Production d eau en utilisant le procédé thermique (en fonction des besoins énergétiques)
20 Réunion d information 5 au 8 février Suez maîtrise les technologies clés afin de fournir des solutions solides aux problèmes d eau et d électricité dans le Moyen-Orient Forte croissance de la consommation d électricité Pénurie des ressources d eau Accès privilégié au pétrole et au gaz Importance croissante de l investissement privé une combinaison de facteurs à la hauteur des compétences de Suez Un acteur majeur sur le marché de l énergie, maîtrisant les technologies de cogénération Un leader dans les technologies de dessalement Un développeur et un opérateur compétent et reconnu pour les systèmes complexes de gestion d infrastructures Résultats irréfutables sur de grands projets financiers de développement Optimisation de la solution la plus adaptée à des conditions de marché locales
21 Réunion d information 5 au 8 février Programme Stress hydrique 2 solutions alternatives de ressource en eau Dessalement - Technologies - Aspects spécifiques au Moyen-Orient Réutilisation
22 Réunion d information 5 au 8 février Réutilisation : trois applications REUTILISATION Usage Domestique (arrosage ) Irrigation Industrie Pimpama (Australie) m 3 /jr réutilisées dans le cadre de l usage domestique (arrosage ) Lusail (Qatar) m 3 /jr réutilisées pour l irrigation agricole Sempra (Mexique) m 3 /jr pour l usine ICA Fluor / Sempra energy
23 Réunion d information 5 au 8 février Réutilisation : tendances du marché mondial Million USD v CAPEX year CAPEX sur 5 ans Annual OPEX OPEX annuel Year Le marché est porté essentiellement par la construction de nouvelles usines Les usines de traitement des eaux usées à venir, peuvent être conçues pour la réutilisation dans les pays confrontés au stress hydrique. Les pays industrialisés peuvent être amenés à augmenter le traitement des installations existantes, sous la pression de la population pour les questions environnementales, à des fins de réutilisation.
24 Réutilisation : les tendances du marché dans la région du Golfe Le traitement des eaux usées peut répondre aux besoins croissants en eau (démographiques & économiques) Doha West, Qatar m 3 /jr réutilisées pour l irrigation agricole Usines de réutilisation dans le Moyen-Orient et l Afrique du Nord Prévision d investissement totaux pour : 7 Mrds de $ Projets : Emirats Arabes Unis - Dubaï, Palm Water, usine de réutilisation, DBO - Abu Dhabi, usine de réutilisation, m3/jr, BOT - Al Ain, usine de réutilisation, m3/jr, BOT Qatar - Doha Nord, usine de réutilisation et plate-forme régionale de traitement des boues, m3/jr / p.e. - Dhakhira, usine de réutilisation, m3/d / p.e. Réunion d information 5 au 8 février
25 Réutilisation : l expérience de Degrémont Plus de 2,4 millions de m3/jour de capacité installée Plus de 10 % de la capacité installée mondiale Près de 50 références dans le monde entier Angleterre m3/jr France Portugal 100 m3/jr m3/jr Italie Espagne m3/jr Qatar m3/jr m3/jr Etats-Unis m3/jr Mexique m3/jr Arabie Saoudite m3/jr Chine m3/jr Inde 1500 m3/jr Vénézuéla m3/jr Australie m3/jr Réunion d information 5 au 8 février
26 ANNEXES
27 Réunion d information 5 au 8 février Procédé de distillation à détentes étagées (MSF). L eau de mer est chauffée par vapeur dans une chaudière à saumure L eau bouillante s évapore (flash) sous une pression plus réduite que la pression de saturation. La vapeur d eau produite se condense pour obtenir le distillat L évaporation et la condensation sont répétées par détentes successives dans des chambres à pressions de plus en plus réduites
28 Procédé de distillation à multiples effets (MED). L eau de mer est vaporisée sur des tubes chauffés par circulation de vapeur La vapeur produite est envoyée dans des tubes chauffés à l effet suivant L eau évaporée est condensée dans les tubes chauffés à l effet suivant pour produire de l eau douce refroidie par l eau de mer Multiplication des effets à des pressions et températures de plus en plus réduites Le distillat est collecté à partir des tubes chauffés à chaque effet Fonctionne généralement à des températures plus basses que le MSF afin de réduire l entartrage (CaSO4) Réunion d information 5 au 8 février
29 Réunion d information 5 au 8 février Technologie de l osmose inverse (OI) Le procédé de l osmose inverse intervient au moyen de membranes polymères au sein de chaque module OI Pour l eau de mer, la pression peut s élever jusqu à 80 bars Pour optimiser la consommation d énergie, des pompes haute pression sont associées au système de récupération de l énergie
30 Réunion d information 5 au 8 février Des références dans le monde entier 2009 Barka Oman m 3 /jr 2008 Barcelone Espagne m 3 /jr 2007 Perth Australie m 3 /jr 2006 Cartagena Espagne m 3 /jr 2006 Wadi Ma In Jordanie m 3 /jr 2006 Minera La Escondida Chili m 3 /jr 2006 Curaçao Antilles m 3 /jr 2004 Fujairah EAU m 3 /jr 2003 El Atabal Espagne m 3 /jr 2003 Bredeah Algérie m 3 /jr 2001 Carboneras Espagne m 3 /jr 1999 Bahia Espagne m 3 /jr En construction Achevé Exploité par DEGREMONT
31 Réunion d information 5 au 8 février Réutilisation : des processus sur mesure en fonction de l usage final L expertise du spécialiste du traitement de l eau pour définir une gamme de traitements adéquats en fonction de l usage final Usage domestique : irrigation de golf, nettoyage des rues, autres Irrigation agricole Industrie : système de refroidissement, climatisation, autres La mise en œuvre de membranes (UF / OI) sécurise la santé publique et est à même de garantir l adhésion du public notamment pour les usages domestiques.
32 Réunion d information 5 au 8 février , Tripoli, WWTP & et usine de traitement des boues 1 million p.e., 77 millions d Présence de DEGREMONT au Moyen-Orient 2008, Doha West, DBO, Usine de réutilisation 10 ans, m3/jr. 260 millions de $ 2006, Amman, Wadi Ma In usine de dessalement, m3/jr 2007, Amman, BOT As Samra WWTP, m3/jr 150 millions de $ AMMAN Mer Rouge RIYADH Arabie Saoudite Qatar DOHA Emirats Arabes Unis Oman Golfe d Oman 2007, Lusail, DBO Usine de réutilisation 10 ans de gestion, m3/jr. 188 millions de $ 2003, Fujairah, usine DB, OI au sein de la 1ère usine de dessalement hybride m3/jr. 100 millions de $ Mer Arabe 1983, Riyadh, DB, m3/jr. 1ère grande usine de dessalement OI dans la région 2009, DB Barka, usine de dessalement, m3/jr
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