F o r m a t i o n. Promotion de la bientraitance de la personne âgée à domicile

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1 M é t a F o r F o r m a t i o n Promotion de la bientraitance de la personne âgée à domicile Public ciblé : 2014 tout professionnel de l aide à domicile aux personnes âgées Objectifs principaux : La formation «Promotion de la bientraitance de la personne âgée à domicile» s inscrit dans le contexte d amélioration de la qualité de vie des personnes âgées vivant à domicile ainsi que de la prévention des phénomènes de maltraitance encore trop fréquents auprès de ce public. Pour cela, cette formation se donne pour objectifs d apporter à l intervenant à domicile : une réflexion constructive, illustrée d exemples concrets sur le thème de la «culture bientraitante», du bien-fondé d une telle approche et de la complexité de sa mise en œuvre lors de certaines situations. une sensibilisation aux phénomènes de la maltraitance de la personne âgée, aux différents types de maltraitance et aux facteurs de risques de ces phénomènes. un regard spécifique sur le rôle primordial de l aide à domicile en tant qu acteur de la lutte contre toutes les formes de maltraitance de la personne âgée : lutte contre l isolement et le délaissement de la personne âgée, contre les abus de confiance, contre les négligences actives et passives, etc. Durée de la formation : Coût : 2 journées (14h) + ½ journée de régulation gratuit (prise en charge par la CARSAT du Sud-Est) Votre interlocuteur : Robert Roux, chargé d études et responsable des formations pour Gulliver, Président de MétaFor Tél. : foxp2@voila.fr Contact CARSAT Sud-Est : Patricia Coulomb : Guillaume Briclot : patricia.coulomb@carsat-sudest.fr guillaume.briclot@carsat-sudest.fr

2 Promotion de la bientraitance de la personne âgée à domicile Les chiffres du dernier rapport d activité ALMA-HABEO 1, deux des principaux acteurs de lutte contre la maltraitance des personnes âgées et handicapées sont sans appel. Bien que les mesures législatives 2 et les structures d accompagnement 3 se multiplient, bien que la conscience collective commence à se structurer et le tabou à se lever, la maltraitance de la personne âgée perdure de façon dramatique. Le domicile rend la maltraitance d autant plus difficile à déceler que le lieu est clos, à l abri des regards (75% des cas signalés de maltraitance auprès de personnes âgées ont lieu à domicile). La maltraitance est bien souvent la conséquence de l épuisement de l accompagnant, de la méconnaissance des difficultés et incapacités de la personne âgée mais peut aussi parfois être issue de la cupidité, de la perversité ou du désir de domination de certains accompagnants. La maltraitance reste néanmoins un phénomène difficile à appréhender tant par la diversité des situations individuelles que par la diversité des formes sous lesquelles elle peut se manifester. Aborder la maltraitance comme risque pour la personne âgée ne reflète pas complètement la réalité des faits. C est plutôt la perte d autonomie et plus particulièrement la perte d autonomie mentale (troubles cognitifs et troubles psychiatriques) qui constitue le risque prédominant de maltraitance. L entourage familial ou professionnel, rarement préparé aux conséquences de maladies telles que la maladie d Alzheimer et moins encore à l évolution des troubles, se trouve souvent déconcerté par les réactions de la personne malade et met alors en œuvre des réponses inappropriées. 1 ALMA ALlo MALtraitance des personnes âgées et/ou des personnes handicapées. HABEO Association J agis contre la maltraitance des personnes âgées et des adultes handicapés : Observatoire de la maltraitance des personnes âgées et handicapées en France. Rapport d activité ALMA-HABEO Parmi d autres : Loi du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale, La loi du 11 février 2005 pour l égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. PLAN DE DÉVELOPPEMENT DE LA BIENTRAITANCE ET DE RENFORCEMENT DE LA LUTTE CONTRE LA MALTRAITANCE 14 MARS PHILIPPE BAS, MINISTRE DELEGUE A LA SECURITE SOCIALE, AUX PERSONNES AGEES, AUX PERSONNES HANDICAPEES ET A LA FAMILLE 3 Evolution du nombre de centres d écoutes ALMA : 6 centres en 1995 / 62 centres en

3 Par ailleurs, il ne fait désormais plus aucun doute que l isolement social constitue une situation à risque tout a fait déterminante de la perte d autonomie et de la maltraitance des personnes âgées. 4 Phénomène qui ne cesse de croître, la proportion des personnes vivant seules en France est ainsi passée de 6% en 1962 à 14% en Cette proportion augmente considérablement avec l âge. Conséquence du contexte de vie (perte du conjoint, éloignement familial), de la précarité ou encore de la perte de l autonomie mentale ou physique de la personne, l absence de réseau social se révèle être un des facteurs de risque de maltraitance des personnes âgées à domicile important à repérer et à prévenir Les conséquences des actes maltraitants sur des personnes fragilisées par l avancée en âge ainsi que par des incapacités sensorielles, physiques ou mentales peuvent être extrêmement graves : fractures, endettement, escarres, dépression, décès, etc. Le danger est d autant plus insidieux que nous n apercevons qu une infime partie des cas de maltraitance à domicile. En effet, dans de nombreux cas, la personne âgée victime de maltraitance n a pas les moyens d exprimer sa souffrance, soit en raison de ses incapacités (physiques, cognitives), soit en raison de son isolement social, soit par crainte de se priver de la seule aide quotidienne dont elle bénéficie. Parfois, la victime n a tout simplement pas conscience de la maltraitance qu elle subit. Pour une lutte efficace contre la maltraitance des personnes vulnérables, l ANESM préconise de mettre en œuvre les moyens de tendre vers une culture de la bientraitance. «La bientraitance relève d une culture partagée du respect de la personne et de son histoire, de sa dignité et de sa singularité. Pour le professionnel, il s agit d une manière d être, de dire et d agir, soucieuse de l autre, réactive à ses besoins et à ses demandes, respectueuse de ses choix et de ses refus. La bientraitance intègre le souci de maintenir un cadre institutionnel stable, avec des règles claires, connues et sécurisantes pour tous et d un refus sans concession de toute forme de violence.» 6 4 Rapport MONALISA : Préconisations pour une MObilisation NAtionale contre l ISolement social des Agés remis le 12 juillet 2013 à Michèle Delaunay, Ministre déléguée aux Personnes âgées et à l Autonomie 5 Gestion des risques de maltraitance pour les services d aide, de soins et d accompagnement à domicile Méthodes Repères - Outils - Comité national de vigilance contre la maltraitance des personnes âgées et des adultes handicapés - Janvier ANESM (Agence Nationale de l Evaluation et de la qualité des Etablissements et Services sociaux et Médicosociaux) - Recommandations de bonnes pratiques professionnelles «La bientraitance : définition et repères pour la mise en œuvre» - juin

4 Adopter une «culture bientraitante» ne se limite pas à se montrer bienveillant : la bienveillance est nécessaire mais en aucun cas suffisante. L acquisition de concepts, de méthodes et de savoir-faire sont indispensables pour assurer une réflexion pertinente permettant un accompagnement bientraitant de la personne vulnérable. Etre formé aux spécificités de la personne âgée, aux phénomènes de dépendance et aux comportements bientraitants devrait être un préalable indispensable à toute personne intervenant régulièrement auprès d une personne vulnérable. La complexité des situations d accompagnement peut amener tout un chacun à commettre des actes nuisibles envers la personne en situation de dépendance et cela alors même que son dévouement est absolu. L aide à domicile, plus que d autres professionnels, se trouve être dans une situation pouvant mener à des attitudes ou comportement maltraitants involontaires 7. Tout d abord par manque de formation aux spécificités des publics qu ils accompagnent, ainsi que par le manque de reconnaissance social dont souffre leur emploi et enfin par la pénibilité physique et psychologique à laquelle ils sont souvent soumis. Intervenir auprès de ces professionnels en leur apportant des connaissances et des axes de réflexion dans un contexte constructif et non culpabilisant pourrait amener certains de ces professionnels à repenser leur pratique afin de l intégrer à cette culture bientraitante. Par exemple, il serait intéressant que l aide à domicile prenne conscience que, grâce au temps passé avec son bénéficiaire et à la qualité du lien empathique mis en place avec lui, il occupe une place stratégique dans l accompagnement du maintien et du développement du réseau social du bénéficiaire. Par ailleurs, les chiffres le montrent, les membres de l entourage familial de la personne vulnérable et notamment l aidant principal, peuvent parfois être extrêmement maltraitants envers leur proche fragilisé à domicile 8. Alors qu il s avère difficile d apporter une information ciblée à ce public sur la question de la maltraitance (situations interindividuelles variées, phénomènes d affectivité et d émotivité en jeu, etc.), l aide à domicile, parfois seule personne extérieure à intervenir dans le domicile, se trouvera être une personne relais importante de l identification des situations problématiques. Ainsi, un aide à domicile sensibilisé aux phénomènes de maltraitance (différents types de maltraitances, facteurs de risque, modes opératoires, comportements à adopter lorsqu une maltraitance est identifiée ou suspectée, etc ) sera un atout pour la 7 La prévention des situations à risque de maltraitance dans l aide et les soins à domicile Guide méthodologique Chorum, l UNA et la Mutualité française - Mars Rapport d activité ALMA-HABEO

5 protection de la personne âgée bénéficiaire, pour la protection de sa structure de services à domicile employeur ainsi que pour lui-même. 9 Objectifs de la formation : La formation «Promotion de la bientraitance de la personne âgée à domicile» se donne pour objectifs d apporter à l aide à domicile : - Une sensibilisation aux phénomènes de la maltraitance de la personne âgée, aux différents types de maltraitance et aux facteurs de risques de ces phénomènes. - Une réflexion constructive, illustrée d exemples concrets sur le terme «culture bientraitante», le bien-fondé d une telle approche et la complexité de sa mise en œuvre lors de certaines situations. - Un regard spécifique sur le rôle primordial de l aide à domicile en tant qu acteur de la lutte contre la maltraitance de la personne âgée. 9 Art du code pénal : «Il appartient à toutes personne ayant eu connaissance de mauvais traitements ou de privations infligés ( ) à une personne particulièrement vulnérable, en raison de son âge, d une maladie, d une infirmité, d une déficience physique ou psychique ( ), d en informer les autorités judiciaires ou administratives, sous risque d encourir une peine de trois ans d emprisonnement et de euros d amende «. 5

6 Programme de la formation : Jour 1 1. Qu entend-on par maltraitance des personnes âgées? 1.1. Définition du Conseil de l Europe Classification des différents types de maltraitances Conseil de l Europe Maltraitance de la personne âgée en institution versus à domicile : les chiffres et les manifestations 2. Les facteurs de risques de maltraitance 2.1. Les caractéristiques de la victime potentielle 2.2. Les caractéristiques de l auteur potentiel 2.3. Les contextes sociaux et familiaux favorisants 3. La maltraitance d un point de vue législatif 3.1. Qu est ce qu une personne vulnérable? 3.2. La protection civile des personnes vulnérables : les mesures de protection juridique 3.3. La protection pénale des personnes vulnérables : exemple d infractions et de peines 3.4. La dénonciation des cas de maltraitance : une obligation légale 6

7 Jour 2 4. Qu entend-on par bientraitance des personnes âgées? 4.1. La bientraitance n est pas l absence de la maltraitance : une culture de la bientraitance 4.2. Les principes fondamentaux de mise en œuvre selon le guide de recommandation de bonnes pratiques de l ANESM Les bénéficiaires de la mise en œuvre d une culture bientraitante : la personne âgée, sa famille, le professionnel 4.4. Les situations complexes : comment faire lorsqu aucune des solutions ne se situe dans le respect bientraitant de la personne. 5. Le rôle de l aide à domicile dans la prévention de la maltraitance des personnes âgées 5.1. Prévenir la perte d autonomie de la personne âgée 5.2. Prévenir l isolement de la personne âgée 5.3. Optimiser la communication avec la personne âgée 5.4. Adapter son positionnement professionnel 5.5. Les transmissions écrites 6. Etudes de cas, conseils, propositions 6.1. Réflexion et échanges autour d exemples concrets 6.2. Retours d expériences : évaluation critique et propositions Demi-journée de régulation : o Connaître les difficultés des stagiaires et y remédier o Reprendre les points de formation qui n ont pas été bien assimilés o Connaître l impact de la formation sur les pratiques professionnelles quotidiennes des stagiaires. 10 ANESM (Agence Nationale de l Evaluation et de la qualité des Etablissements et Services sociaux et Médicosociaux) - Recommandations de bonnes pratiques professionnelles «La bientraitance : définition et repères pour la mise en œuvre» - juin

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