«Tendre à la Bientraitance pour prévenir la Maltraitance» Des défis relationnels et organisationnels. A propos de notre expérience

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1 Paris, les 8, 9, 15 et 16 mars 2010 «Tendre à la Bientraitance pour prévenir la Maltraitance» Des défis relationnels et organisationnels A propos de notre expérience Michel Schmitt, Anne Macherich, Magali Vizzari, Stella Vidal Hôpital Albert Schweitzer Colmar michel.schmitt@ghca.fr

2 Nous sommes, tous, maltraitants!

3 «L espèce humaine marche d un pas ferme et sûr dans la route de la vérité, de la vertu etdubonheur»condorcet( ) Les progrès techniques ont bouleversé ce bel optimisme et, si le citoyen pense aujourd hui qu ils sont nécessaires, ils n entraînent pas, inéluctablement, l épanouissement de l homme La technique a progressé plus vite que les valeurs humaines, la morale et l éthique

4 Hôpital Albert Schweitzer

5 12,0 10, févr- 09 Evolution de l'activité horaire scanner févr- 10 gh ca lib N b F T 500 Evolution de l'activité Scanner 0 mars 09 mars 08 Nombre d'actes par heure (ghca) 8,0 6,0 4,0 2,0 0,0 5 janv-10 févr-10 avr-09 mai-09 juin-09 juil-09 août-09 sept-09 oct-09 nov-09 déc-09 mars-09

6 L Homme devient transparent 6

7 Le «soin» n est il qu un geste technique, simple ou plus sophistiqué? Est il, au contraire, une prise en charge humaine, globale et coordonnée, de la personnesoignée?

8 La médecine actuelle peut-elle être «bientraitante»? Le veut-elle? En a-t-elle les moyens? N y a-t-il pas dérive de la Médecine qui oublie l Homme caché derrière le «malade»?

9 Ne sommes nous pas, tous soignants confondus (agents médicaux, para médicaux ou administratifs), acteurs certes le plus souvent involontaires, de cette dérive? N y a-t-il pas, au quotidien, risque de «maltraitance» dans nos services?

10 La maltraitance «ordinaire» ne se mesurepasàlatailled unhématome Elle est «tout acte, volontaire ou non, attitude, propos, négligence, omis sion ou absence d action, portant atteinte à l intégrité physique, psychologique ou morale d unepersonne»

11 La maltraitance est latente et consubstantielle de la notion de soin Elle repose sur la banalisation ou indifférence du soignant face à une personne qui se sent devenir «transparente» avant de disparaitre, de mourir Ennui et inoccupation de la personne soignée Absence ou refus de communication, manque d écoute Absence de prise en compte par le soignant de la peur, la douleur, la pudeur, la gêne et du sentiment d infériorité vécus par certaines personnes soignées et leur famille Absence de convivialité des locaux, bruits, excès de lumière, froid et autres nuisances Absence d organisation : délais de rendez vous, attente des résultats, durée exagérée des examens => tout simplement absence de présence humaine et de bienveillance

12 Le risque de maltraitance est lié à trois facteurs : Absence de «prise de conscience» du risque par les personnels «Mal-être»dessoignants Problèmes organisationnels Ilenrésulteunealtérationdelarelationavecla personne accueillie

13 Manque de communication entre professionnels Lassitude et Solitude du soignant Manque d information et d attention de la part de la hiérarchie, et réciproquement! Epuisementphysiqueetmoral,«BurnOut» Le travail en équipe, la communication, le partage des informations, la formation, la structuration des activités sont les meilleurs facteurs de prévention

14 La «Bientraitance» n est pas le simple contrairedelamaltraitance Elle procède de l ensemble des comportements et attitudes qui prennent en compte et respectent la personne accueillie dans sa globalité, son intériorité, s adaptent à ses besoins (psychologiques, physiologiques, affectifs, ) et se résument dans les «bonnes pratiques professionnelles»

15 La qualité ne saurait se résumer en locaux, techniques, statistiques, résultats financiers et gestion! Elle est prise de conscience, réflexion sur le soin, remise en cause de nos pratiques professionnelles et abord du patient en sa qualité d être humain, riche de son passé, de ses valeurs, croyances, de son intériorité

16 Comment avons-nous procédé et pourquoi?

17 Définition de Valeurs fondamentales partagées Le Respect de l Homme accueilli, de sa dignité, est la première des valeurs à mettre en œuvre Le patient ne se résume pas à un champ d exploration ouàunobjetd examen Lesoinneselimitepasàungestetechnique La famille fait partie de l univers de la personne accueillie

18 Toute personne a droit à un accueil respectueux La personne particulièrement vulnérable doit être prise en charge de manière adaptée Toute personne accueillie a droit à des soins personnalisés La maltraitance est un acte inacceptable et répréhensible

19 Définition de Conduites inacceptables Est considérée comme inacceptable ou maltraitante, «toute conduite ayant pour effet direct ou indirect de causer un tort, un dommage, de porter préjudice, tant physique que moral, à une personne accueillie»

20 Privation de la satisfaction des besoins essentiels Atteintes à la dignité ou à l intégrité de l Homme, tant physique que morale Comportements d omission, de complicité ou de négligence Non respect de la déontologie et de l éthique professionnelles(dont l organisationnel!!!)

21 Evocation sans raison de la maladie afin d humilier la personne Nonrespectdelalibertédel humain Corrections physiques Non respect de l obligation de signalement des conduites maltraitantes

22 Charte qualité «Prévenir la maltraitance Pour tendre à la bientraitance»

23

24 Fiches «Action» Attente des personnes hospitalisés en salle d attente dédiée Communication avec les patients lors d examens lourds ou invasifs Respect de la nudité et de l intimité (tant physique que psychologique) des personnes Prise en charge des personnes, très âgées, ou aux facultés de communication perturbées, ou démentes Dispositif d annonce du cancer ou d une maladie grave

25 Prise en charge de la souffrance de la personne accueillie et du personnel Communication des résultats et mesures aux personnels Modalités de signalement des maltraitances Réduction des délais de rendez vous Réduction des délais de transmission des résultats

26

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